Description
đ„ Cette annĂ©e, Equita Lyon Ă©tait pour nous un vĂ©ritable dĂ©fi. Comme vous l'avez entendu en introduction de cet Ă©pisode, nous avons littĂ©ralement jouĂ©Â au tĂ©tris pour rĂ©ussir Ă mener de front toutes nos missions, y compris celle qui nous tient toujours le plus Ă cĆur : enregistrer de nouveaux Ă©pisodes pour le podcast. Mais ce n'est pas toujours simple et souvent, il faut faire des choix. Or, vous le savez... choisir c'est aussi renoncer.Â
đïžNous avons enregistrĂ© 6 Ă©pisodes au total, et parmi cette sĂ©lection d'invitĂ©s, nous avions vraiment envie de pouvoir vous proposer une nouvelle rencontre avec un cavalier international.Â
Et si nous ne pouvions en rencontrer qu'un seul, alors le voici : Richard Vogel đ©đȘ. Â
đŁïž Nous avons enregistrĂ© cet Ă©pisode samedi soir, en salle de presse. Nous avons pris le temps de tisser cette conversation qui dure 50 minutes avec celui qui nous avait fait vibrer Ă GenĂšve l'annĂ©e derniĂšre, au rythme d'un barrage complĂštement fou. Car derriĂšre cette performance, derriĂšre sa sĂ©lection aux Jeux Olympiques Ă tout juste 27 ans, derriĂšre ce couple phĂ©nomĂ©nal qu'il forme avec United Touch, se dresse le portrait d'un grand ambitieux.Â
Comme Edward Levy ou Henrik Von Eckermann, qui sont Ă©galement passĂ©s derriĂšre notre micro, Richard a fait ses armes chez Ludger Beerbaum. A 21 ans, il prenait le pari de s'installer et de donner sa chance Ă son ambition. đȘđŒ
On le retrouve 6 ans plus tard. Il est ce soir lĂ au 10Ăšme rang mondial, encore incertain de prendre le dĂ©part du Top Ten Ă GenĂšve, quelques heures seulement avant sa victoire dans le Grand Prix Coupe du Monde d'Equita Lyon đ. A croire que nous avons eu ce week-end, beaucoup de flair... đŻ
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