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IJE_AWELE_PODCAST

#9- COUMBA : SE RÉAPPROPRIER SON CORPS ET SON INTIMITÉ APRÈS UNE EXCISION !

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44min |13/09/2022
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#9- COUMBA : SE RÉAPPROPRIER SON CORPS ET SON INTIMITÉ APRÈS UNE EXCISION !

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44min |13/09/2022
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Description

Excisée ou non une femme à droit et au respect de son corps. Une femme excisée rime-t-elle forcément avec insatisfaction sexuelle ? Est-ce possible de jouir, avoir du plaisir lorsqu’on est excisée ? Le Clitoris est-il la seule clé du plaisir sexuel de la femme ?  

Mais bien évidemment, chaque corps est différent et chaque femme excisée a sa propre histoire.  

Parmi les conséquences de l’excision sur la santé de la femme, on peut citer la sensibilité sexuelle et la qualité des rapports sexuels, car ces femmes sont privées de l’organe du plaisir féminin, le clitoris. Aujourd’hui, il est possible de se faire opérer. Les progrès de la médecine permettent en effet de réparer les dommages de l’excision. La clitoridoplastie est une technique de reconstruction chirurgicale du clitoris mis en place par urologue français Pierre Foldes qui permet à une femme excisée de retrouver un clitoris fonctionnel. Mais la
chirurgie réparatrice seule ne suffit pas, car l’excision est une souffrance qui va au-delà du physique. La répartition physique doit être accompagnée d’une prise en charge psychologique et sexologique afin d’aider les femmes dans le processus d’acceptation et de réappropriation de leur corps.  

Aujourd’hui à mon micro, je reçois Coumba @prunelle, une jeune femme dynamique et pleine de vie. Elle a été excisée au Mali lorsqu’elle était enfant. Elle a grandi dans un environnement où cette pratique était “normale“, car c’est la coutume. Arrivée en France, pendant un de ses cours, elle prendra alors conscience que l’excision est une pratique dangereuse. Ambassadrice auprès de l’association @excision, elle sensibilise dans l’espoir de voir un jour, un monde où cette pratique sera abandonnée.  

Dans cet échange, elle explique que la chirurgie réparatrice n’est qu’une étape dans le processus de “guérison “ mais qu’il y a également un travail psychologique et intime à faire pour se connaitre, s’accepter et se réapproprier son corps. Elle parle également de son action auprès de l’association @alerteexcision.   

Merci à Coumba pour ce partage sans filtre.  

Vous pouvez retrouver Coumba sur Instagram @pru_nelle_1 et @coumba_si   

À PROPOS DE CE PODCAST   

Ije_Awele_Podcast, est un podcast 100% afro qui donne la parole à des personnes comme vous et moi, pour aborder des sujets dont nous ne parlons pas forcément dans les communautés africaines et afrodescendante afin de lever les tabous, briser les stéréotypes et avoir nos propres modèles de représentation. 

Pour ne rien rater, rdv sur Instagram pour plus de contenus et retrouvez également les tips de mes invités.

Pour témoigner et partager un bout de votre parcours, écrivez-moi à ijeawele275@gmail.com

Si le podcast vous plaît, n’hésitez pas à me laisser vos feedbacks, un 5 étoiles ou un
commentaire sur les applications d'écoute pour m'aider à le faire connaître.😊  

Références et notes utiles : 

Des Associations d’aide et de lutte contre les violences faites aux femmes :  

- Excision, parlons-en !   

- Les Orchidées Rouges   

- La Fédération nationale GAMS  

- Dialogues F   

Création : Mimi B. 

Enregistrement et production : Mimi. B. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Excisée ou non une femme à droit et au respect de son corps. Une femme excisée rime-t-elle forcément avec insatisfaction sexuelle ? Est-ce possible de jouir, avoir du plaisir lorsqu’on est excisée ? Le Clitoris est-il la seule clé du plaisir sexuel de la femme ?  

Mais bien évidemment, chaque corps est différent et chaque femme excisée a sa propre histoire.  

Parmi les conséquences de l’excision sur la santé de la femme, on peut citer la sensibilité sexuelle et la qualité des rapports sexuels, car ces femmes sont privées de l’organe du plaisir féminin, le clitoris. Aujourd’hui, il est possible de se faire opérer. Les progrès de la médecine permettent en effet de réparer les dommages de l’excision. La clitoridoplastie est une technique de reconstruction chirurgicale du clitoris mis en place par urologue français Pierre Foldes qui permet à une femme excisée de retrouver un clitoris fonctionnel. Mais la
chirurgie réparatrice seule ne suffit pas, car l’excision est une souffrance qui va au-delà du physique. La répartition physique doit être accompagnée d’une prise en charge psychologique et sexologique afin d’aider les femmes dans le processus d’acceptation et de réappropriation de leur corps.  

Aujourd’hui à mon micro, je reçois Coumba @prunelle, une jeune femme dynamique et pleine de vie. Elle a été excisée au Mali lorsqu’elle était enfant. Elle a grandi dans un environnement où cette pratique était “normale“, car c’est la coutume. Arrivée en France, pendant un de ses cours, elle prendra alors conscience que l’excision est une pratique dangereuse. Ambassadrice auprès de l’association @excision, elle sensibilise dans l’espoir de voir un jour, un monde où cette pratique sera abandonnée.  

Dans cet échange, elle explique que la chirurgie réparatrice n’est qu’une étape dans le processus de “guérison “ mais qu’il y a également un travail psychologique et intime à faire pour se connaitre, s’accepter et se réapproprier son corps. Elle parle également de son action auprès de l’association @alerteexcision.   

Merci à Coumba pour ce partage sans filtre.  

Vous pouvez retrouver Coumba sur Instagram @pru_nelle_1 et @coumba_si   

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Mais bien évidemment, chaque corps est différent et chaque femme excisée a sa propre histoire.  

Parmi les conséquences de l’excision sur la santé de la femme, on peut citer la sensibilité sexuelle et la qualité des rapports sexuels, car ces femmes sont privées de l’organe du plaisir féminin, le clitoris. Aujourd’hui, il est possible de se faire opérer. Les progrès de la médecine permettent en effet de réparer les dommages de l’excision. La clitoridoplastie est une technique de reconstruction chirurgicale du clitoris mis en place par urologue français Pierre Foldes qui permet à une femme excisée de retrouver un clitoris fonctionnel. Mais la
chirurgie réparatrice seule ne suffit pas, car l’excision est une souffrance qui va au-delà du physique. La répartition physique doit être accompagnée d’une prise en charge psychologique et sexologique afin d’aider les femmes dans le processus d’acceptation et de réappropriation de leur corps.  

Aujourd’hui à mon micro, je reçois Coumba @prunelle, une jeune femme dynamique et pleine de vie. Elle a été excisée au Mali lorsqu’elle était enfant. Elle a grandi dans un environnement où cette pratique était “normale“, car c’est la coutume. Arrivée en France, pendant un de ses cours, elle prendra alors conscience que l’excision est une pratique dangereuse. Ambassadrice auprès de l’association @excision, elle sensibilise dans l’espoir de voir un jour, un monde où cette pratique sera abandonnée.  

Dans cet échange, elle explique que la chirurgie réparatrice n’est qu’une étape dans le processus de “guérison “ mais qu’il y a également un travail psychologique et intime à faire pour se connaitre, s’accepter et se réapproprier son corps. Elle parle également de son action auprès de l’association @alerteexcision.   

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Mais bien évidemment, chaque corps est différent et chaque femme excisée a sa propre histoire.  

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Dans cet échange, elle explique que la chirurgie réparatrice n’est qu’une étape dans le processus de “guérison “ mais qu’il y a également un travail psychologique et intime à faire pour se connaitre, s’accepter et se réapproprier son corps. Elle parle également de son action auprès de l’association @alerteexcision.   

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