Speaker #0Salut et bienvenue dans Impact Mental, le podcast où tu rentres plein fer dans la tête. Interview de joueurs, joueuses, coachs, réparateurs en tout genre qui vont nous partager leur vécu intérieur. leurs routines, leurs déclics personnels. Et parfois, je prends le micro en solo, pour te transmettre des outils concrets et t'aider à gagner en résilience, en lucidité, en confiance. Stress avant les matchs, pression à cause de l'enjeu, blessure, on va tout aborder pour éviter de se faire déborder. Parce que dans le rugby, comme dans la vie, tout commence souvent dans la tête. Je suis Arthur Sestaro, ancien rugbyman professionnel et aujourd'hui préparateur mental. T'es dans le podcast qui met de l'impact là où on ne l'attend pas, dans la tête. Salut à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Impact Mental. C'est marrant parce qu'hier je me demandais sur quoi j'allais bien pouvoir enregistrer ce nouvel épisode. Et en fait, ça m'a paru tout logique. Hier, j'ai eu deux coachings en individuel avec des joueurs. Et les deux étaient sur le même thème. Le thème de la frustration. Tu sais, cette frustration que tu as quand le début de saison commence, tu n'es pas sélectionné par le manager. Tu fais une grosse préparation, tu arrives dans un nouveau club, tu es prêt. Et au moment de la composition, le coach ne te fait pas confiance. Donc un premier match, un deuxième match, des fois trois ou quatre maintenant. depuis que le début de saison a commencé. Donc t'es soit sur le banc ou des fois t'es même hors groupe. Et cette frustration, elle peut être violente. J'ai décidé de faire un épisode pour voir comment mentalement tu peux essayer de gérer cette frustration et faire en sorte que ça soit plus cool pour toi et que tu puisses continuer de progresser et être focus sur ta progression. Déjà, la première chose, selon moi, à faire... C'est d'accueillir et de normaliser cette émotion qu'est la frustration. Il faut arrêter de se juger d'avoir de la frustration. Pour moi c'est normal, c'est humain. Même les meilleurs la vivent. Tu peux avoir des top players, des super joueurs, qui peuvent vivre de la frustration de par exemple ne pas être sélectionné en équipe nationale pour une Coupe du Monde. Tu peux avoir par exemple des joueurs du Stade Toulousain qui peuvent vivre de la frustration parce qu'ils n'ont pas été sur la feuille de match pour la finale. du championnat de France. Donc du coup, ils sont quand même champions de France. Mais il y a ce petit côté frustration de ne pas avoir joué la finale parfois. Ça peut arriver. Donc pour moi, la première étape, c'est vraiment d'accepter que cette émotion, elle est naturelle, de ne pas la refouler et de se dire OK, je suis déçu, c'est légitime. Je suis déçu parce que c'est important pour moi. J'ai cette volonté, par exemple, de jouer, d'être sur la feuille de match. Donc c'est tout à fait légitime de ressentir ça. Maintenant, une fois que tu as réussi à accueillir cette émotion, et de savoir que c'était normal, tu peux décider de ne pas rester bloqué dedans, et en tout cas de la transformer. La première chose à faire, c'est de se recentrer sur ce qui est contrôlable. Souvent la frustration, elle vient de ce qu'on attend des choses qu'on ne maîtrise pas. Par exemple, les choix du coach, la concurrence directe, etc. En fait, elle vient d'objectifs dont le résultat n'est pas contrôlable à 100% par toi. Tu ne vas pas pouvoir contrôler ce que le coach décide de faire pour la feuille de match. Par contre, tu vas pouvoir contrôler ton attitude, ta préparation, ton langage corporel. Des fois, c'est hyper important. C'est OK de vivre de la frustration, mais c'est OK de ne pas l'imposer à tout le monde aussi. Surtout quand tu es dans un sport co comme le rugby. Tu peux contrôler ton énergie, décider où est-ce que tu veux mettre ton énergie. Sur ce que tu contrôles ou sur ce que tu ne contrôles pas. C'est hyper important de faire cet exercice. Et un exercice qui peut être intéressant à faire, c'est de faire deux cercles, tu vois. D'un côté, de mettre ce que tu peux contrôler, et de l'autre, ce que tu contrôles pas. Et d'essayer de comprendre vraiment là où tu veux mettre ton énergie et dans le cercle des choses que tu peux contrôler. Et un truc qui revient souvent aussi, là c'est revenu dans les coachings, c'est que quand on est enfermé un peu dans... Emprisonné dans cette émotion de frustration, on va avoir tendance à se comparer beaucoup, notamment par exemple avec nos concurrents directs. Je pense que ce n'est pas la bonne solution pour être dans un état d'esprit de performance. Ce qui est important dans la performance selon moi, c'est de se comparer à soi-même. C'était de voir d'où on part et où est-ce qu'on veut aller et comment on fait pour progresser. D'observer et de dire « ah ouais, lui il a le droit de faire tomber un ballon en entraînement, il se fait même pas engueuler par le coach » . D'être dans ce genre de choses, c'est pas des choses qui vont t'aider, ça va te tirer vers le bas, ça va te faire rester dans cette émotion de frustration. Donc vraiment c'est d'essayer de voir où est-ce que tu vas pouvoir mettre ton énergie pour toi te transformer et transformer l'image que tu renvoies aussi au coach. pour aller chercher ton objectif final. Quels sont les mini-objectifs que tu peux te fixer, que toi tu contrôles à 100%, pour que derrière, le gros objectif de jouer et d'être titulaire soit atteint. Et d'ailleurs, ce qui peut t'aider pour ça, c'est de transformer ta frustration en moteur un petit peu. Que ce soit comme un moteur un peu de motivation. Soit tu choisis en gros de la subir cette frustration, et tu vas peut-être des fois la traîner toute la saison, soit tu la transformes un peu. Au lieu de dire « ouais, je suis pas bon aux yeux du coach » . Je ne suis pas choisi, je ne suis pas sélectionné. C'est plutôt de se dire, j'ai du temps pour progresser et revenir plus fort. Et quand ce sera mon moment, je serai prêt et je pourrai montrer la valeur que j'ai. Tu vas pouvoir vraiment te concentrer sur toi. Tu peux te faire un journal un peu de progression, noter chaque semaine deux, trois objectifs, pareil sur des choses que tu maîtrises, pour essayer de voir un peu comment tu évolues et de pouvoir te comparer à toi-même et te donner aussi de la satisfaction de voir que tu es en train de progresser pour aller de l'avant. Après cette frustration, quand elle arrive tout de suite, par exemple, annonce du groupe ou de l'équipe, elle est assez puissante, elle est assez forte à ce moment-là, l'émotion. Il faut savoir la gérer aussi à ce moment-là pour ne pas se laisser de suite envahir par tout ça. Ça explose, c'est comme un cocktail Molotov un peu à l'intérieur. Donc là, tu as besoin un peu d'outils rapides pour essayer de gérer ça. Il y a plusieurs techniques de ça. Tu peux faire de la cohérence cardiaque, par exemple, pour essayer de faire retomber un peu... un peu la pression. Pour faire de la cohérence cardiaque, c'est simple, tu trouves pas mal de choses sur internet, t'as des applis gratuites. J'en ai une qui s'appelle Respire Relax Plus que tu trouveras, qui est gratuite. En fait, tu suis une bulle au moment de respirer, inspirer, expirer. Ça te permet de redescendre la pression, tu peux te le faire une cohérence cardiaque de 2-3 minutes, tu verras que déjà ton état est en train de changer de se faire 2-3 minutes de respiration comme ça. Tu peux aussi revenir à des ancrages un peu plus positifs pour toi, revenir à des choses Basé sur ta confiance, on en reparlera après, mais en fait il faut aussi comprendre que cette non-sélection, la chose qui développe ta frustration, elle n'est pas liée à ton identité. On en reparlera un peu plus tard, mais en gros revenir aussi à du positif, à de la confiance en soi aussi. Parce que souvent ce qui arrive sur ce genre de frustration, c'est que ça vient saboter la confiance qu'on a en soi. On se dit qu'on n'est pas assez bon, que le coach ne nous trouve pas bon, etc. Et du coup ça ne va pas être aidant pour la performance. Et ce qu'on cherche notamment dans la prépa mentale, c'est vraiment toutes les choses qui vont pouvoir être aidantes pour la performance. Donc c'est vraiment revenir à de la confiance et ne pas se laisser saboter par ça. Autre chose que tu peux faire, c'est tout simplement écrire ta frustration. Tu vois, pour la normaliser, se dire que ok, elle est là, je l'écris, je la transforme en moteur comme on a dit, et ça y est, après elle est derrière moi. Et je reviens aussi un peu à l'instant présent, et ce qui compte et ce qui est important pour moi. Donc de progresser, de faire le job à l'entraînement, etc. Un outil qui est très très très puissant pour progresser là-dedans, dans la gestion des émotions, dans la gestion des pensées, toutes les pensées qui peuvent être parasites, un peu négatives, c'est de se mettre à la méditation. La méditation c'est un outil où tu apprends en fait à laisser passer, accepter qu'il y ait des émotions qui arrivent, des pensées, etc. et à les laisser passer. Et vraiment... Il y a pas mal de témoignages là-dessus sur des sportifs qui ont utilisé la méditation. T'as Lebron James, machin, etc. Dans le rugby, il y a Thomas Ramos qui dit qu'il a beaucoup médité pendant un moment. Et je pense que ça se voit d'ailleurs sur le terrain. Il est capable d'être parfois très excité, un peu énervé, mais de switcher en fait et de revenir à lui à l'instant présent et à ce qui compte et à ce qu'il maîtrise. Parce que souvent, on se laisse envahir par des choses en plus qu'on ne maîtrise pas. Donc là, c'est vraiment de faire cet exercice-là. Et de gérer dans l'immédiateté quand ça commence à devenir fort, d'essayer de gérer, de respirer et de laisser passer. De revenir en fait à quelque chose de rationnel. Je t'invite à aller voir si tu le souhaites. Beaucoup en parlent, cerveau rouge, cerveau bleu, le cerveau émotionnel et après le cerveau un peu plus rationnel. C'est vraiment d'essayer de switcher, de passer du cerveau émotionnel au cerveau un peu plus rationnel. Une chose qui est hyper importante aussi selon moi, ça va être de pouvoir créer une communication constructive avec le staff. Je pense que quand t'es comme ça, t'as besoin de comprendre. Beaucoup se disent « Ouais, mais c'est parce que ci, c'est parce que ça, mais parce que mon concurrent ça, mon concurrent ci, et moi il voit pas mes progrès, etc. » En fait, il y a beaucoup de joueurs qui restent bloqués dans leurs coins. Et en fait, l'étape suivante, pour essayer de se libérer aussi de cette frustration qui reste bloquée là, c'est d'oser demander. Alors selon moi, ce n'est pas d'aller d'oser demander en étant hyper agressif, en disant « ouais, pourquoi je ne joue pas ? » etc. Mais c'est plutôt d'avoir une ouverture vers le coach, de lui dire que tu es ambitieux, que tu souhaites avoir plus de temps de jeu, mais du coup, coach, quel point précis je dois améliorer pour espérer être sur la feuille de match ? Qu'est-ce que tu attends de moi plus précisément ? Qu'est-ce que tu aimerais que j'améliore ? Qui te donnerait les garanties de me donner un peu plus de temps de jeu ? Et en fait, ça va tout changer. Parce que souvent, la frustration vient aussi du fait qu'il n'y a pas de feedback avec le coach. Donc là, je ne tape pas non plus sur les coachs. Je sais que c'est compliqué. Les coachs, en fait, gèrent 40 mecs. Et des fois, ils n'ont pas le temps de faire du feedback avec tout le monde, etc. Et ils ont des choix à faire, mine de rien. donc c'est aussi d'aller ça et puis de montrer que Tu es dans une ouverture et dans une démarche de progression, de vouloir trouver les petits points qui vont faire que tu vas pouvoir jouer. Du coup, je pense que pour le manager, de voir ça aussi, ça lui met un peu la puce à l'oreille en se disant que le joueur est dans une vraie démarche de vouloir progresser, d'aller chercher du temps de jeu. Et c'est aussi de pourquoi pas s'ouvrir. et de savoir comment tu pourrais être utile aussi au groupe. Des fois, on ne joue pas, mais on peut avoir un rôle super important en tant que remplaçant, en tant que hors-groupe, à se rendre utile au groupe. Et ça, ça va pouvoir t'aider aussi dans la gestion de ta frustration, parce que tu vas te sentir utile dans la construction du groupe. Et pour la suite aussi, quand tu vas pouvoir avoir ta chance et jouer, ça va beaucoup t'aider. Et ensuite, je l'évoquais tout à l'heure, en parlant d'identité, mais c'est vraiment de construire une identité qui va au-delà du terrain. La frustration, elle vient et elle est dure aussi parce que tu as l'impression de ne plus exister quand tu n'es pas sur la feuille de match. Mais il faut comprendre que ta valeur ne se limite pas à ta place sur une feuille de match. Ta confiance en toi ne se limite pas à ça. Tu as ton identité de rugbyman, tu as aussi ton identité d'homme ou de femme, pour les rugbywomen, et tu n'es pas seulement un joueur de rugby. Il ne faut pas non plus oublier qu'on joue à un jeu, qui est le rugby, ta vie ne se limite pas à ça. Même si tu as des gros objectifs, beaucoup veulent devenir professionnels, vivre de ça. Et même quand tu es professionnel, ta vie ne se limite pas à ça. Donc vraiment aussi essayer de développer cette identité. Comme je te le disais, d'être aussi un bon coéquipier, un bon leader à l'entraînement, donner de l'énergie aux autres aussi, aux mecs qui vont jouer. Et en fait, de se rendre utile aussi comme ça, ça va développer ton identité et ta présence dans le club. Et pour moi, je pense que ça compte énormément dans les sports collectifs. Donc c'est vraiment plutôt de ruminer, de faire la gueule pour montrer au coach que t'es énervé. Ce qui est, tu vois, à mon sens, pas constructif. Parce que tu viens saboter un peu l'esprit du groupe. Parce qu'il faut savoir que dans un groupe, les émotions se transmettent en fait. Il y a ce qu'on appelle la contagion émotionnelle. Donc plutôt que de venir saboter l'énergie du groupe, donner de la bonne énergie. Déjà, je pense qu'aux yeux du coach, ça change beaucoup de choses. Et comme je te l'ai dit, si t'as communiqué avec le staff, que t'as une communication qui est ouverte. A partir de ce moment-là, ça sert plus à rien de montrer au coach que t'es frustré, et première action, de mettre un grand coup d'épaule à ton concurrent, alors que ça va être une opposition raisonnée ou des choses comme ça. Pour moi, ça fait pas de sens, et c'est pas ça qui t'aidera à aller dans la performance. Bon, pour clôturer un peu cet épisode, je vais te raconter ma propre histoire, où je pense qu'après m'être analysé, quand j'ai fait mes études de préparateur mental, Je pense que par exemple cette frustration, je l'ai beaucoup vécue après mon départ de La Rochelle dans un club, j'étais à Aix-en-Provence, à Provence Rugby, où j'ai eu une première saison un peu galère où je me suis fait opérer deux fois du dos. Et la deuxième année, en revenant de blessure, en reprenant, j'ai eu du mal à retrouver une place de titulaire sur le terrain. Le manager avait décidé de ne pas forcément trop m'utiliser. Mais je pense que je ne me suis pas aidé parce que je suis resté dans cette énergie un peu de... de frustration. J'ai eu du mal à la verbaliser. Je ne suis pas forcément allé voir le staff et essayer d'avoir une communication constructive. J'ai arrêté un peu de faire les efforts que je faisais d'habitude, de faire des extras, du physique en plus. Je pense que j'étais moins engagé dans mes séances de muscu parce que j'avais l'impression que quoi que je fasse, de toute façon, le staff ne le voyait pas, etc. En fait, je suis resté vraiment bloqué là-dedans et je pense que ça m'a desservi. Donc vraiment, quand je te partage tout ça, c'est pour t'aider et vraiment, tu ne restes pas bloqué. Parce qu'en restant bloqué de cette manière, c'est le meilleur moyen pour te saboter toi-même. Vraiment, et puis si tu es dans cette situation, n'hésite pas à contacter un préparateur mental, à te faire accompagner, parce que c'est les meilleurs moments aussi pour se préparer. mentalement et pour que quand ça soit ton moment, qu'on te donne ta chance, que tu ne passes pas non plus à côté, que tu sois vraiment dans l'instant présent et que tu puisses délivrer ce que tu as envie de délivrer en fait. Parce que aussi, ce qui se passe souvent, c'est qu'en étant dans cette frustration tout le temps, quand on va jouer, on va vouloir trop en faire et on va complètement passer à côté. On va avoir l'impression qu'on n'a pas donné ce qu'on avait à donner par rapport à ce qu'on donne à l'entraînement, etc. Donc vraiment je... Je souhaite te partager ça pour que ça soit vraiment une aide pour toi. Tu puisses faire déjà ce que je t'ai donné comme astuce. Et si vraiment besoin, appeler un préparateur mental pour te faire accompagner et avancer. Je pense que c'est hyper important. Pour finir, je vais te donner deux citations de deux grands rugbymans. Pour les plus jeunes, le premier, peut-être que vous ne le connaissez pas, mais vous irez faire vos recherches. C'est un ancien troisième ligne de l'équipe de France qui est Jean-Pierre Rive. Et il dit bien le rugby. C'est une école de vie. On apprend à tomber, à se relever, à perdre, à gagner, mais surtout à rester soi-même. C'est aussi ça la vie, c'est de comprendre que la frustration, elle fait partie de la vie au quotidien. Elle n'est pas que dans le rugby. Et de comprendre aussi que dans tous les cas, dans tous les clubs, vous n'êtes pas les seuls à vivre de la frustration. Donc c'est aussi apprendre à pouvoir gérer ça, et pour grandir soi-même. Et après, on a avancé. Donc ça, c'est une première citation que je voulais te partager. Et il y en a une deuxième de Johnny Wilkinson. Bon, ça, je pense que tout le monde le connaît. Enfin, j'espère, si tu écoutes ce podcast. Ou alors, si tu n'es pas du monde du rugby, tu iras rechercher. Mais c'est un des plus grands rugbymans qui existait, selon moi. Il dit ça, Johnny Wilkinson. « Ce n'est pas la victoire qui te définit. C'est la manière dont tu réagis quand tu n'es pas choisi. Quand tu tombes et que tu dois te relever. » Et vraiment, je trouve que c'est ça qui est important. Quand j'en parlais tout à l'heure dans l'identité, le fait d'être pas choisi, c'est pas ce qui te définit en fait. Ce qui va te définir, c'est quelle est ton attitude derrière. Est-ce que tu vas poser les valises ? Tu vas te dire « Ouais, c'est bon, j'en ai marre. De toute façon, je suis jamais reconnu, etc. » Ou est-ce qu'au contraire, tu vas te concentrer sur toi, progresser pour aller chercher ce que tu as envie d'aller chercher ? Je te laisse avec cette réflexion et je te souhaite une bonne continuation. n'hésite pas à... à me contacter, tu peux me retrouver sur les réseaux sociaux, sur Instagram, notamment arthur.cestaro.pm Si vous partagez des choses comme ça, vous pouvez m'écrire et on pourra échanger facilement. On va se retrouver pour le prochain épisode où on accueillera un invité, cette fois-ci. Je ne vous en dis pas plus, mais j'ai hâte de vous retrouver pour vous présenter cette personne. Allez, je vous souhaite à tous une bonne continuation, une bonne saison. Continuez de vous préparer mentalement, c'est important. Merci d'avoir écouté cet épisode d'Impact Mental. Si t'as envie de me faire un retour, de partager ton avis ou de poser une question, je lis tous vos messages et commentaires, ça me fait toujours plaisir. Je suis aussi dispo sur Instagram, tu peux me retrouver sur le compte arthur.sestaro.pm Et si le podcast t'a plu, pense à t'abonner, à activer la cloche pour ne pas rater le prochain épisode et à laisser un avis 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute. A très vite dans un nouvel épisode.