49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné cover
49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné cover
Imprévu par Alexane Roux

49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné

49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné

41min |06/01/2025
Play
49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné cover
49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné cover
Imprévu par Alexane Roux

49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné

49. Bâtir son succès en 2025 : ce que 2024 m’a enseigné

41min |06/01/2025
Play

Description

Cette année encore, j'ai compris que la résilience est essentielle pour surmonter les challenges et les critiques que nous pouvons rencontrer sur notre chemin. Et plus que jamais, je me suis rappelé à quel point il est crucial de prendre des pauses pour se recentrer et se reconnecter à ses valeurs.


Dans cet épisode, je te partage les leçons précieuses que j'ai tirées de l'année 2024 et je célèbre le succès de mon Académie 100K, qui a généré plus de 100 000 € de chiffre d'affaires en un an, un véritable témoignage de ce que l'on peut accomplir en osant entreprendre et croire en ses rêves !


__________


// POUR ALLER PLUS LOIN


L'Académie 100K : L'accélérateur dédié aux femmes entrepreneures

La Check-List 0-100K : Télécharge gratuitement le plan d’action complet pour un business à 6 chiffres


// SOUTENIR LE PODCAST


Si tu aimes ce podcast et que tu veux me soutenir, je t'invite à partager cet épisode autour de toi et à me laisser un commentaire ou une note 5* sur Apple Podcasts ou Spotify.


// SUIVRE MES AVENTURES OU ME CONTACTER


Sur LinkedIn Alexane Roux 

Sur Instagram @alexane_roux 

Sur YouTube @alexaneroux 

Sur mon site web alexaneroux.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et bienvenue dans le podcast Imprévu. Parce que l'imprévu fait partie de notre quotidien d'entrepreneurs et qu'au-delà de nos réussites, il est temps de valoriser notre capacité à transformer les obstacles en opportunités. Je m'appelle Alexane Roux et comme tout entrepreneur, je me suis beaucoup questionnée, je me suis trompée, j'ai parfois eu peur de tout perdre mais je me suis toujours relevée. Imprévu, c'est le podcast qui vous fait découvrir les dessous de l'entrepreneuriat. On raconte ici des parcours d'entrepreneurs, le mien,

  • Speaker #1

    celui des autres,

  • Speaker #0

    Ces chemins qui peuvent parfois vous sembler tout tracés, mais qui en réalité sont semés d'embûches. On se retrouve un lundi sur deux pour rentrer dans l'intimité de ceux qui inspirent, qui marquent l'histoire à leur façon et qui face à l'imprévu n'abandonnent jamais.

  • Speaker #1

    Je suis hyper heureuse de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast, le tout premier de 2025. Et après quatre semaines d'arrêt, de pause sur le podcast, il était grand temps que je revienne. J'aurai l'occasion dans cet épisode de vous expliquer... pourquoi j'ai eu besoin de cette pause, qu'est-ce qui s'est passé pour moi sur ces quatre dernières semaines. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je ne peux pas démarrer cet épisode sans vous souhaiter une merveilleuse année 2025. Je vous souhaite beaucoup de bonheur, je vous souhaite de réaliser tous vos projets, je vous souhaite la santé clairement, parce que sans ça, c'est quand même compliqué, on va être tout à fait honnête. Mais je vous souhaite aussi vraiment de vous réaliser pleinement, d'apprendre à vous faire confiance et d'oser voir plus grand. Car s'il y a bien quelque chose que j'ai appris en 2024, c'est ça. Oser voir plus grand, ça nous conduit toujours vers des choses incroyables, insoupçonnées. Je pense que quand j'ai démarré 2024, je n'imaginais même pas tout ce qui allait se passer pour moi en 2024. Je n'imaginais pas que... Je crois que vraiment la chose la plus incroyable que je retiens, c'est de monter sur la scène de Stedix. Et d'ailleurs, j'ai tellement hâte de pouvoir diffuser la vidéo du Stedix pour ceux qui ont envie de voir ma conférence. C'était un moment juste incroyable. Donc bon, bref, passons à autre chose, mais vraiment, osez voir plus grand. C'est vraiment, je pense, la chose la plus précieuse que je peux vous transmettre aujourd'hui. Alors, dans quelques jours, je vais fêter les un an de l'Académie 100K et je devais aussi faire le bilan dans cet épisode de podcast. J'ai animé le premier call de groupe dans l'Académie 100K le 17 janvier, le mardi 17 janvier 2024. Et c'était... hyper stressant. Je m'apprêtais justement à mettre les premières pierres de quelque chose de très grand. Ça me faisait vraiment hyper, hyper peur. J'avais peur de ne pas être à la hauteur. J'avais peur de ne pas être aimée aussi, on va être tout à fait honnête. En fait, j'avais plein de peur. À partir du moment où je me suis dit, je vais créer quelque chose d'incroyable pour les femmes entrepreneurs qui ont envie d'accélérer dans le développement de leur entreprise, pour leur transmettre tout ce que j'ai appris durant ces plus de dix années d'entrepreneuriat. Poum ! derrière je me suis dit mais ouais est-ce que je suis la bonne personne pour faire ça ? Il y a plein d'autres personnes qui le font alors pourquoi est-ce que moi je le ferais ? Et si ça marche pas et si mes clientes n'obtiennent pas de résultat et si elles sont pas contentes ? Enfin bon bref tout un tas de peurs et j'imagine que vous pouvez probablement vous reconnaître en écoutant ça parce qu'à chaque fois qu'on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu et encore une fois qu'on voit plus grand, il y a toujours des peurs qui viennent se déclencher derrière. Mais aujourd'hui, un an après, ce que je peux dire, c'est que ça a dépassé toutes mes attentes et humainement avant tout. Alors, bien sûr que sur le côté business, je me sens hyper heureuse, hyper épanouie, hyper alignée, que mes clientes obtiennent des résultats de dingue et que j'ai une liste de témoignages longue comme le bras. Mais vraiment, ce que je retiens, c'est... C'est toute cette sororité qu'on a réussi à créer. Je dis on parce que vraiment, chacune des entrepreneuses qui est passée dans l'Académie 100K cette année, l'année dernière, a contribué à ça. On a mis en place vraiment un groupe tellement bienveillant, un groupe qui s'engageait pour leur propre réussite individuelle, des femmes qui osaient parler de toutes leurs difficultés pour se dire ok, je le pose là et ce n'est pas quelque chose que je vais récupérer récupérées et que je vais emmener avec moi après. Et des femmes surtout qui se sont soutenues à un point, mais vraiment, où j'avais jamais vu ça, connu ça et j'en suis d'autant plus fière que je suis à la base de tout ça. Mais vraiment, je me dis, mais qu'est-ce que j'ai bien fait de lancer cette Académie 5K pour tout ce que ça m'a permis de voir et de connaître humainement. Parce que j'entends souvent les personnes dire que, voilà, des fois, l'humain est un peu con et qu'il n'y a plus d'espoir et que... Et là, en fait, j'ai tellement vu une autre réalité, j'ai tellement vu à quel point on peut décider de se créer une bulle hyper positive, hyper bienveillante avec des personnes qui le sont, qui sont véritablement bienveillantes. Et dans ce monde, parfois, ça fait du bien, parce que oui, tout ne tourne pas complètement rond. On a vécu quand même ces dernières années des choses qui sont compliquées aussi dans la vie de façon globale. Les guerres, le Covid, le terrorisme, enfin... et voir en fait que maintenant il y a encore... Des personnes qui ont envie de créer cette bulle autour d'eux, ça fait du bien. Et moi, aujourd'hui, j'ai envie de continuer à vivre dans ce monde de bisounours. Alors, bien sûr que parfois, la réalité nous rattrape. Mais en fait, quand on décide que notre quotidien doit devenir quelque chose de positif, s'entourer de personnes qui partagent les mêmes ambitions que nous, tout a tellement une autre saveur. Donc voilà, déjà humainement, c'était incroyable. Et puis, sur le plan financier, je viens de faire mon bilan de l'année 2024. Et je suis hyper, hyper fière de voir que grâce au lancement de l'Académie 100K, j'ai réussi à générer plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires supplémentaire dans ma société en 2024. Et franchement, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai vécu aussi là des up and down. J'ai eu plusieurs mois à zéro et ça peut peut-être vous paraître fou quand je dis que j'ai fait plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires avec l'Académie 100K alors que j'ai eu des mois à zéro. Et pourtant, c'est vrai. Et ça fait partie des enseignements que je vais vous transmettre aussi dans cet épisode de podcast. Mais franchement, si on m'avait dit en janvier 2024 qu'en lançant l'Académie 100K, j'arriverais à ce point à créer une communauté bienveillante, est-ce qu'en plus ça se... Que mes ambitions se ressentent aussi dans mes chiffres, franchement, je ne l'aurais pas cru. Et c'est que la première année de l'Académie 100K. Franchement, il va y avoir plein de choses derrière. Puis bon, je suis assez fière d'avoir passé ce cap des 100K, parce que l'Académie 100K, c'est là pour ça aussi, pour aider les femmes entrepreneurs à passer leurs premiers 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et évidemment, je l'ai fait de nombreuses fois sur ces 11 dernières années d'entrepreneuriat. Là, je démarre ma douzième année d'entrepreneuriat. Mais d'avoir réussi à le faire sur une année 1 du développement d'une nouvelle activité, je suis d'autant plus fière. Et puis, je me suis appliqué la méthode que je transmets aussi. Donc, elle marche cette méthode. Du coup, ça, c'est chouette. Donc, voilà, j'avais envie de vous partager ça juste pour que vous puissiez prendre conscience aussi que rien n'est définitif et que vous pouvez décider de créer quelque chose de grand. Moi, j'ai fini fin 2023, où j'avais commencé à créer mon activité de mentor d'entrepreneur, que je me cherchais un petit peu sur ma cible, sur quoi faire, comment transmettre. J'étais un petit peu dans le flou, vraiment, si je dois être honnête. Et je crois qu'avec mon activité d'accompagnement, coaching, mentorat, je ne sais même pas si j'avais fait 10 000 euros en 2023. Donc voilà, faire 100 000 euros en 2024, en ayant décidé que... de créer quelque chose de plus grand, ça me rend fière aussi. Et pour en arriver là, j'ai testé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. Les entrepreneuses de l'Académie Sanka le savent parce qu'elles me voient au fur et à mesure tester des choses et elles m'ont vu me planter aussi. Mais ça, c'est hyper important que je vous le transmette parce que tout ça, ça ne s'est pas fait en un claquement de doigts. Je me suis vraiment, véritablement trompée un paquet de fois en 2024. Et par contre, je n'ai jamais rien lâché. Et je crois que c'est ça qu'il faut retenir. Et j'en parle suffisamment. D'ailleurs, c'est la thématique de ce podcast aussi, la résilience. Mais vraiment, ne jamais abandonner. Et à chaque fois que je testais quelque chose, je me disais, OK, ce n'est pas grave. Plus ça avançait dans l'année, plus je me disais, je n'ai pas d'attente. Je teste parce que j'ai envie de le tester, parce que ça fait sens pour moi, parce que je suis alignée avec ça. Si ça ne marche pas, ce n'est pas grave, je testerai autre chose. Ça ne s'est pas fait à n'importe quel prix, je vais y revenir après dans les enseignements, mais vraiment, c'était nécessaire aussi de tester à ce point des choses pour ne pas perdre de temps. Je vois beaucoup trop d'entrepreneurs qui testent des choses et qui attendent des mois et des mois pour se dire Ok, est-ce que je vais avoir des résultats ? clairement non, il faut continuer. Si on voit que ça ne fonctionne pas par le chemin A, il faut prendre le chemin B. Et si ça ne fonctionne pas par le chemin B, il faut prendre le chemin C. Et ça, ça a vraiment été ma philosophie. C'est ma philosophie depuis que j'ai démarré dans l'entrepreneuriat. J'ai assez vite appris ça sur le tas aussi, quand j'ai démarré. Mais ça s'est encore plus vérifié cette année. Plus on teste de choses, plus on se rapproche. de la réalité, en tout cas plus on se rapproche de qu'est-ce qui fonctionne pour nous véritablement dans notre business. Donc, j'ai vécu des gros moments de doute, des moments où je me disais, mais est-ce que je ne suis pas juste en train de voir trop grand ? Est-ce que je suis véritablement faite pour ça ? Est-ce que j'ai envie de faire ça ? Enfin, tout un tas de questionnements encore qui, je crois, est la réalité de beaucoup d'entrepreneurs. Il faut qu'on accepte et qu'on ose le dire aussi que non, tout n'est pas tout beau, tout rose. Ça, c'est la réalité d'Instagram et encore que maintenant, ça... Ça change, je trouve, parce que de plus en plus d'entrepreneurs acceptent de dire quand ça ne va pas. Alors d'autres, c'est peut-être, je crois, un peu trop marketing, mais c'est bien de le dire. En fait, c'est bien de montrer que derrière chaque réussite, il y a des difficultés et que le plus important, en fait, c'est de rebondir et c'est de jamais rien lâcher. Donc vraiment, on en vient à mes plus gros enseignements de l'année 2024 et que j'avais envie de vous transmettre. pour vous donner cette chance de partir avec les bonnes bases en 2025 et de vous dire que vous pouvez d'ores et déjà appliquer, si vous le souhaitez, ces enseignements et vous dire que 2025 sera une année extraordinaire pour vous. Et la première chose que je dois vous dire, c'est qu'on doit toujours, toujours, toujours se laisser une chance d'essayer, quitte à se tromper. Vraiment, encore une fois, quand je lance l'Académie 100K, je vous l'ai dit. L'année d'avant, je faisais à peine 10 000 euros de chiffre d'affaires sur mon activité de coaching. Je fais 100 000 euros en 2024. Mais je n'avais aucune certitude. Je ne savais pas si ça allait marcher. Je ne savais pas si la méthode que j'avais développée allait marcher. Je ne savais pas si ma méthode d'acquisition client serait la bonne. Moi, je ne connaissais rien à ce type de business. J'avais développé des entreprises, je dirais, plus traditionnelles. En tout cas, qui n'avaient pas besoin d'une présence sur les réseaux sociaux pour se développer. Qui n'avaient pas besoin de... Je crois que maintenant, toutes les entreprises ont besoin quand même d'être présentes sur les réseaux. Mais moi, quand j'ai démarré dans l'entrepreneuriat, il n'y avait pas tout ça. Il y avait Facebook et puis ça n'avait pas du tout l'importance que peuvent avoir Instagram, LinkedIn et autres aujourd'hui. Donc, je me suis dit, allez, je tente, je tente et je ne sais pas ce que ça donnera. Je ne savais même pas si j'allais avoir des clientes. Quand j'annonce la première fois que je lance l'Académie 100K, c'est sur un workshop que j'organise en présentiel dans ma ville natale. Avec 10 entrepreneurs, j'annonce à ce moment-là que je vais lancer l'Académie 100K parce que j'ai juste l'idée en tête. Et en fait, les choses sont allées assez vite. Donc, une fois que j'ai eu les premiers engagements, je me suis dit, il va falloir se bouger et développer sa méthode maintenant. Parce que ce n'est pas le tout. Il y a des femmes qui sont prêtes à payer pour l'Académie 100K, pour se donner les chances d'accélérer le développement de leur entreprise. Donc, moi, je n'avais plus le choix que de donner mon maximum. pour développer cette méthode. Et encore une fois, quand chacune des entrepreneurs commence à implémenter la méthode, je n'ai aucune idée de ce que ça va donner. Mais je me suis dit, j'y vais, quitte à me tromper, de toute façon, pour le coup, ce qu'on ne m'enlèvera pas, c'est mon expérience dans l'entrepreneuriat, c'est le développement de mes différentes entreprises, puisque du coup, j'en ai développé quatre maintenant. Et puis, la revente de ma société. Il y a plein de choses que j'ai apprises de ces années d'entrepreneuriat, et ça, on ne pourra pas me l'enlever. Donc, je me suis dit, au pire, j'ajusterai, etc. Et du coup, quand j'ai vu les premiers résultats, j'ai été rassurée, mais je me suis laissée la chance d'essayer. Et donc, ça, c'est important. Tester des choses. N'ayez pas peur de vous tromper. Au pire, vous apprendrez quoi. Et la deuxième chose que je veux vous dire, c'est que vous devez y croire avant tout le monde. Personne ne peut plus croire en vous que vous-même. Et je dis ça, et à la fois, il y a souvent les entrepreneurs dans l'académie qui me font ça comme type de retour. Elles me disent, mais merci parce que... Tu as cru en moi et tu m'as permis... Je voyais à quel point tu croyais en moi et ça m'a permis de croire en moi. Mais véritablement, quand même, tout part de vous. Alors, est-ce que parfois, quelqu'un d'extérieur peut donner l'impulsion ? Oui. Mais vous, vous devez croire en vous. Si vous ne croyez pas en vous, ça va se ressentir d'une façon ou d'une autre. Ça se ressentira auprès de vos partenaires, de vos prestataires, de votre entourage personnel, de votre entourage professionnel. Peu importe dans quel contexte, vous devez toujours croire en vous avant tout le monde. Et je sais que ce n'est pas forcément évident, mais pour ça, il y a quelque chose que j'aime bien faire, c'est prendre un bout de papier, un stylo et de se dire, Ok, quelles sont toutes les choses qui me rendent fière ? Qu'est-ce que moi j'ai réussi à faire ? Parce qu'on a tous réussi à faire des choses dans ce monde. dans notre vie perso et dans notre vie pro. Et ça, c'est important d'accepter, de le regarder, parce que c'est aussi ce qui va nous donner l'impulsion, ce qui va nous donner confiance. Ensuite, un des plus gros enseignements aussi que j'ai reçus en 2024, c'est que ce qui fonctionne aujourd'hui ne fonctionnera peut-être pas demain. Je parle de ça sur autant de sujets que, par exemple, une méthode, parce que le business évolue et que je pense qu'il faut continuer à être agile par rapport aux évolutions du marché, de l'entrepreneuriat et du business, etc. Je parle aussi en termes d'acquisition client. Je pense même au podcast, je pense aux réseaux sociaux, Instagram, LinkedIn. Je crois que ce qu'il faut développer aussi aujourd'hui, c'est ce côté un peu funambule. C'est de pouvoir... Avoir l'agilité de modifier certaines choses et de se dire, OK, je vais continuer à tester des nouvelles choses. Et ce n'est pas parce qu'il y a une chose qui a marché à un instant T que ça fonctionnera demain. Moi, je pense notamment à des challenges que j'ai pu mettre en place, qui ont bien fonctionné en termes d'acquisition client, qui ensuite n'ont pas bien fonctionné. Mais ce n'est pas grave. En fait, c'est juste une opportunité de plus de continuer à croître, de continuer à apprendre et de continuer à renforcer notre résilience. Donc, ce n'est pas grave s'il y a des choses qui ne fonctionnent pas. Ce qui est grave, c'est de continuer à avancer, tête baissée, toujours sur la même stratégie, même si on voit que ça ne fonctionne plus. Je dirais même à l'inverse, ce qui ne fonctionne plus aujourd'hui, fonctionnera peut-être demain. Donc là, encore une fois, ne pas hésiter à tester. Il y a tellement de paramètres, on ne peut pas maîtriser tous les paramètres. Puis on ne peut pas identifier à chaque fois pourquoi est-ce que ça fonctionne, pourquoi est-ce que ça ne fonctionne pas. Parce qu'encore une fois, il y a tellement de choses qui peuvent interférer dans le processus. Il faut continuer, tester, réitérer en fait. si ça fonctionne pas là, peut-être que ça fonctionnera dans 6 mois ou dans 12 mois ou peut-être jamais mais en fait si vous testez pas, vous le saurez pas je voulais aussi vous dire que ce qui nous empêche d'avancer ce sont nos propres peurs et ça clairement, je l'ai encore plus perçu en 2024 j'allais dire cette année je m'habitue au fait qu'on soit en 2025 mais je crois que cette année 2024, elle m'a fait remonter à la surface quand même pas mal de peurs la peur de ne pas être assez Ça, c'est quelque chose que je pense que je tiens depuis une paire d'années, si ce n'est depuis mon enfance. Peur de ne jamais être à la hauteur, de ne pas en faire assez, que ce ne soit pas suffisant pour les autres. Enfin bref, la peur de ne pas être assez, c'est quelque chose qui est hyper présent. La peur de manquer, que ce soit le côté financier, que ce soit le côté matériel, etc. La peur de manquer, la peur de l'abandon. Alors celle-là, elle est venue quand même... me prendre de plein fouet, notamment avec les premières entrepreneuses de l'Académie 100K qui ont fini leur cursus et qui ont quitté l'Académie 100K. Ça a été extrêmement dur à vivre pour moi aussi, parce que pendant six mois, on avait créé des liens hyper forts. Et puis du coup, voir ces personnes-là quitter le navire, mais juste parce qu'en fait, elles arrivent à la fin de leur cursus et qu'elles ont besoin de voler leurs propres ailes, c'est vrai que c'est venu chercher quelque chose chez moi. Alors c'est bien parce que... À chaque fois qu'il y a des peurs qui remontent à la surface, je préfère du coup les aborder et voir, OK, pourquoi ça remonte ? Comment est-ce que je peux travailler ça ? Comment est-ce que je peux m'en libérer ? La peur d'être critiquée aussi. Et alors ça, plus on gagne en visibilité sur les réseaux, plus on est sujet à ça. Et les premières critiques que j'ai reçues ont été assez violentes. Pas forcément en termes de mots et tout ça, c'était pas forcément à des personnes qui me manquaient. cruellement de respect, encore que, à partir du moment où on critique ouvertement les gens, je pense qu'on peut quand même considérer que c'est un manque de respect. Mais ce n'était pas violent au point de certaines personnes qui se font critiquer, insulter, etc. Je n'étais pas à ce point-là, mais ça a été quand même assez dur à encaisser, de se dire Ouais, je ne plairai pas à tout le monde et je ne pourrai jamais plaire à tout le monde. Et ça, c'est vrai que c'est une réalité qu'il faut aborder. Et puis, on a beau se le dire, on a beau avoir conscience qu'un jour, on peut être critiqué, que tout le monde ne nous aime pas, etc. Quand on le voit, quand on le lit, quand on le ressent, c'est encore pas pareil. Mais la bonne nouvelle, c'est que les premières fois, c'est dur. Puis plus on avance, plus c'est facile. Et aujourd'hui, je me dis qu'à chaque fois qu'il y a une personne qui me critique, c'est OK. Je me dis que je n'aimerais pas être à la place de cette personne qui, du coup, prend le temps de critiquer ouvertement les autres. parce qu'elle doit vraiment pas être bien dans sa peau. Donc aujourd'hui, je perçois presque la critique comme quelque chose de positif parce que plus on est critiqué, plus on va être aligné avec certaines personnes aussi. Donc bien sûr qu'on ne plaira jamais à tout le monde. Et heureusement, en fait, j'ai envie de dire. Aujourd'hui, je préfère... Je préfère être hyper alignée avec des personnes. Puis d'ailleurs, dans l'Académie 100K, c'est sur candidature et ce n'est pas pour rien parce que j'ai vraiment envie de travailler avec des personnes avec lesquelles je suis alignée. Parce que ma réalité, mon cocon, mon monde de bison-ours, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai envie de continuer, j'ai envie de poursuivre comme ça. Et ce n'est pas juste un business pour être un business. Ce n'est pas juste un business pour toucher un salaire à la fin du mois et générer du chiffre d'affaires. C'est aussi... C'est aussi ma vie, comme c'est notre vie pour chacun d'entre nous en tant qu'entrepreneurs. On met tellement d'énergie dans tout ce qu'on fait que j'estime qu'on mérite de bien vivre nos entreprises et donc de faire des choses qui nous plaisent, des choses avec lesquelles on est alignés, des personnes avec lesquelles on est alignées. Mais tout ça pour dire que derrière toutes nos peurs, se cache réellement le bonheur. Et c'est pour ça qu'il ne faut pas chasser une peur quand elle arrive et qu'il faut savoir aussi l'affronter et élargir sa zone de confort, comme j'aime bien le dire, parce que plus on va travailler sur ces peurs-là, plus on va diminuer la pression sur ces peurs, moins on les ressentira, moins elles seront viscérales. Plus on se sentira bien dans notre vie. Et puis, moi, aujourd'hui, toutes les choses sur lesquelles j'ai dû travailler à titre pro... tellement, tellement, tellement servis dans ma vie perso. Enfin, moi aujourd'hui, je suis aussi beaucoup plus souple, alignée et heureuse, y compris dans ma vie de famille. Et donc, ça, c'est précieux. Je parlais de la critique. Et dans ce sens de la critique, je suis tombée sur une phrase sur les réseaux cette année qui a énormément résonné en moi et que je dois partager avec vous. C'est que la vie des autres n'est que la vie des autres. La vie, L-A-V-I-S. des autres n'est que la vie, V-I-E, des autres. Et ça, c'est tellement puissant, ça va dans le sens de ce que je vous disais, c'est que souvent, une personne qui critique, c'est le reflet de ses propres peurs. Vraiment, pour le coup, ça fait comme un effet miroir. Donc il ne faut pas prendre ses critiques pour nous-mêmes, mais il faut se dire aussi que quand une personne critique, c'est qu'elle a véritablement quelque chose qui vient faire écho chez elle, une peur qui remonte. par rapport à ce qu'on partage ou ce qu'on montre, etc. Et donc, c'est puissant, je trouve cette phrase-là. La vie des autres n'est que la vie des autres. Et ça renforce encore plus cette idée qu'il faut oser mener son propre chemin parce qu'il y aura toujours, toujours, toujours des personnes pour critiquer. Ensuite, par rapport à vous-même, un de mes gros enseignements aussi de cette année, c'est que ce qu'on perçoit comme des défauts, sont bien souvent nos plus grandes qualités. Et ce que j'ai perçu, moi, comme des défauts, des choses que je n'aimais pas et que je détestais chez moi, sont en réalité mes plus grandes qualités. C'est ce que, majoritairement, on est venu me remonter d'un point de vue extérieur, que ce soit de mes clientes ou de personnes qui ne sont même pas clientes d'ailleurs, mais sur les réseaux et autres. Et à commencer par ma voix et mes tics de langage. J'avais fait un épisode sur ce sujet. C'était un sujet qui était assez vif pour moi. et qui avaient failli me freiner dans l'idée de développer mon propre podcast parce que je n'aimais pas ma voix, parce que je trouvais que je ne m'exprimais pas toujours bien, parce que j'avais beaucoup de tics de langage, des phrases aussi parfois qui ne veulent rien dire, des expressions qui ne veulent rien dire. J'adore mixer des expressions. Ce n'est vraiment pas une de mes plus grandes qualités de bien connaître les expressions françaises et du coup, je fais toujours des mixes pas possibles. Et ça, en fait, j'ai eu tellement de retours. hyper bienveillant de personnes extérieures sur ma voix, sur le fait que c'était hyper agréable à écouter et tout ça. Peut-être que ce n'est pas votre cas, je dis ça. En tout cas, j'ai eu beaucoup de retours dans ce sens et c'est venu me réconcilier avec ma voix et ma façon de m'exprimer. Et j'ai appris à me dire que ce ne serait jamais parfait, mais ce qui était le plus important, c'était finalement l'authenticité. Je ne prépare pas, je n'écris pas mes épisodes. Je ne les prépare pas, ce n'est pas tout à fait vrai, je sais toujours ce que je vais aborder avec vous, mais... Mais je ne les écris pas ligne par ligne et je ne lis pas et je laisse cette authenticité. J'ai besoin de ça et j'aime ça. Donc voilà, j'avais vraiment envie de vous partager assez librement ce que j'avais sur le cœur. Et donc, accepter ma voix et mes tics de langage étaient nécessaires. Et donc, quand on reçoit des messages de personnes qui disent En fait, ta voix, elle est juste trop bien pour écouter des podcasts et tout. Ça donne vraiment envie de t'écouter. Je me dis Waouh ! C'est fou parce que genre, c'est ce que je détestais chez moi. Tout comme mon émotivité et mon impatience. C'est vrai que je suis hyper émotive, je pleure facilement. Je transfère aussi, je crois, assez facilement les émotions des autres, etc. Et du coup, mes émotions me gagnent assez souvent, dans les bons et dans les moins bons moments. Mais mes émotions sont quand même assez vives. Et puis mon impatience, j'aime pas. J'aime pas attendre. C'est vrai qu'il faut toujours que ça marche tout de suite. Moi, je vois que j'ai fait 100K. Cette année, aujourd'hui, j'ai un peu du mal à y croire, mais vous auriez vu toute mon impatience tout le long de l'année. Et d'ailleurs, ça aurait pu me coûter cette réussite-là. Mais je crois que derrière chaque défaut, il y a toujours une qualité. Donc ce que je peux dire derrière mon émotivité, c'est que ça a été aussi mon accessibilité. En fait, les gens m'ont vue comme quelqu'un d'accessible et puis qu'ils osaient montrer ce qu'elles ressentaient, ses sentiments, etc. Et en fait, aujourd'hui, je pense que c'est précieux. Et aujourd'hui, je ne le vois même plus comme un défaut. Je me dis que c'est aussi une qualité. Et pour mon impatience, je crois que ça m'a poussée à être toujours dans l'action. Ma capacité à être dans l'action est véritablement ce qui m'a permis d'obtenir ces résultats-là en 2024 et puis de faire tout ce chemin-là aussi dans l'entrepreneuriat. Et aujourd'hui, ça serait peut-être le moment pour vous de vous dire, ok, quels sont mes défauts ? qu'est-ce que je déteste et en fait qu'est-ce qui peut réellement être une qualité si j'accepte de changer de point de vue, si j'accepte de voir différemment avec un autre spectre. Je voulais vous partager aussi que cette année, je me suis rendue compte que moins je regardais ce que faisaient les autres, plus j'étais créative. Je me suis rendue compte que, notamment quand je passais trop de temps sur les réseaux sociaux à regarder ce que faisaient aussi mes concurrents, il faut être honnête, c'est comme si ça m'aspirait le cerveau. Ça me faisait complètement perdre mon unicité, le message que j'avais envie de passer, de défendre, parce que je me disais, peut-être que c'est eux qui ont raison, peut-être que je ne suis pas dans le juste, que je ne suis pas dans le vrai et que ce n'est pas ça qu'il faut dire. Et en fait, ça vient pomper déjà toute son énergie parce que se comparer, c'est vraiment hyper nocif, mais en plus, ça nous empêche de suivre notre propre chemin. Et s'il y a bien quelque chose que j'ai compris aujourd'hui, je ne passe quasiment plus de temps sur les réseaux, je publie. Je crée du contenu sur les réseaux, mais je ne consomme quasiment pas de contenu sur les réseaux. Surtout pas auprès de mes concurrents, de personnes qui se rapprochent de près ou de moins près de ce que je fais, parce qu'en fait, ça me ferait... Et ça m'a fait, même pendant l'année 2024, changer plusieurs fois de stratégie, parce que j'avais peur de ne pas être dans le vrai. Donc vraiment, juste libérez-vous de ça, menez votre propre chemin, faites ce que vous avez envie de faire profondément. Et puis n'oubliez pas que vos échecs seront... Je pense encore plus puissant que vos victoires. En tout cas, moi, c'est vraiment comme ça que je l'ai perçu cette année. Parce que derrière chaque échec, il y avait tellement, tellement, tellement d'enseignements. Que c'est ça qui m'a fait évoluer. C'est ça qui m'a permis vraiment de m'améliorer sur un tas de sujets. Et j'aimerais juste... En tout cas, moi, c'est mon vœu pour 2025. Qu'on accepte d'avoir l'échec comme quelque chose de positif. C'est encore une fois une question de perception. L'échec fait partie du chemin. Et plus on échoue, plus on se rapproche aussi de nos plus grandes victoires. Maintenant, je vais rentrer un peu plus dans un sujet presque personnel.

  • Speaker #0

    On peut vite s'oublier, même quand on sait qu'on peut vite s'oublier. Vous savez que je défends vraiment ce message de réussir à créer une entreprise au service de sa vie, qu'on ne doit pas dévier sa vie à son entreprise. Et si je défends ce message aussi, c'est pour une bonne raison. Je vous l'ai déjà partagé dans le podcast aussi, c'est que... En 2017, j'ai fait une grave hémorragie interne, je ne l'ai pas détectée, je n'ai pas vu ce qui était en train de se passer parce que j'étais beaucoup trop focus sur mon business et que voilà, j'ai pas vu les signes de quelque chose de grave qui était en train de se passer à l'intérieur de moi, parce que l'envie de réussir, parce que l'envie de prouver à la terre entière que j'étais capable et autres qui m'avaient fait dévier en fait de mon écoute de moi-même on va dire. Et depuis ces événements, cet événement-là... Je sais à quel point il faut faire attention. Je sais à quel point il faut toujours se mettre au centre de l'équation parce que quand on est entrepreneur, on est la fondation de notre entreprise. Donc du coup, si on s'oublie et qu'on se perd en chemin, le reste s'oublie avec que ce n'est pas bon pour notre business. Et sur cette fin d'année, ça a été quand même assez challengeant pour moi. Déjà parce qu'il y a eu la conférence TEDx qui m'a vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup pris de temps, de charge mentale, d'énergie, de stress. Et la conférence, la thématique générale des conférences TEDx ce jour-là, c'était s'oublier pour mieux se trouver. Et plus j'avançais dans ma préparation, plus j'avais ce message qui sonnait fort à l'intérieur de moi, qui me disait, en fait, tu vas faire une conférence sur ce sujet-là, mais juste là, est-ce que tu n'es pas de nouveau en train de t'oublier ? Et ça, c'est assez dur. c'est assez dur et je me disais du coup je suis plus pertinente aussi dans le message que je défends, est-ce que comment je fais en fait du coup pour me réaligner alors que je me sentais désalignée et du coup là j'ai perdu complètement le contrôle sur les 4 à 8 dernières semaines je savais plus si j'avais envie de faire ce que j'étais en train de faire, je savais plus si ça faisait sens, je savais plus si j'étais profondément... aligné avec moi-même et ma mission. Et le problème, c'est que quand on se laisse jamais d'air, on a du mal à voir ça. J'ai envie de vous dire, et c'est un des apprentissages aussi, c'est que la Terre ne va pas s'arrêter de tourner si on décide d'appuyer sur pause pendant un moment. Et moi, personnellement, là, j'ai eu besoin de prendre du recul. J'ai eu besoin de prendre du recul sur les réseaux, sur le podcast. J'ai besoin de me recentrer sur ce que je voulais profondément, ce qui faisait sens. Encore une fois, sans aller regarder ce que font les autres, mais juste faire ce travail d'introspection et de se dire, mais qu'est-ce qui est juste pour moi ? Qu'est-ce que j'ai envie de défendre ? Qu'est-ce que j'ai envie de montrer ? Et je vais être honnête, j'avais plein de contenus qui étaient déjà prévus sur le podcast, sur les réseaux. Et en fait, ça ne résonnait pas avec moi parce que je tentais que j'étais en train de me perdre. Et du coup, je n'avais pas envie de partager pour partager. Je me suis dit que j'avais besoin de revenir à moi et de me dire qu'est-ce que j'ai envie de transmettre ? Qu'est-ce que je donne comme conseil aux autres que je suis en train d'oublier, d'appliquer ? Et ça, c'était assez difficile comme exercice, mais surtout très puissant. Et du coup, j'ai accepté d'appuyer sur pause. Et du coup, là, vous n'avez même pas idée à quel point je reviens avec beaucoup plus de clarté. avec un retour à ma mission profonde. Et ça, c'est fondamental, c'est ce que j'espérais, c'est ce que je voulais sur ces dernières semaines. Mais tant que j'avais la tête dans le guidon, je n'y arrivais tout simplement pas du tout. Et je crois que ça a été aussi lié aux faits et à cet enseignement-là aussi que j'ai reçu, c'est que chacun est responsable de ses choix et de ses actions. Et là, je m'explique. Coacher des femmes entrepreneurs au quotidien, c'est pas forcément évident. Parce qu'on connaît toutes, tous et toutes, des moments de up and down. Et moi, mon travail, c'est de réussir du coup à, j'allais dire, diminuer ces downs, diminuer la perception de ces downs que les entrepreneurs peuvent vivre. Et mon objectif, moi, c'est de les tirer vers le haut. Et à un moment, quand moi, je me suis sentie moins bien, je me suis rendue compte à quel point j'avais du mal à tirer les autres vers le haut. En fait, donc, toute l'importance de prendre soin de moi. Mais surtout, ce qui m'a conduite à ça, je crois, c'était le transfert que j'ai pu faire avec mes clientes. C'est-à-dire qu'elles me partageaient leurs victoires et leurs difficultés et leurs échecs. Et en fait, je me suis attribuée cette année et j'ai mis du temps à prendre conscience, mais je m'attribuais chacun des échecs de mes clientes. Et sans avoir la vision positive de l'échec, comme je vous l'ai dit juste avant. Et du coup, j'ai dû apprendre à prendre de la distance. J'ai dû apprendre à éliminer ce schéma dans lequel j'étais, que de transférer et se rappeler que chacun est responsable de ses choix et de ses actions une fois encore. Parce que je donne des conseils, mais la façon dont c'est appliqué... ne relève que de la responsabilité de l'entrepreneuse que je peux accompagner. Et je me disais, ben non, en fait, j'ai une méthode, elle doit fonctionner de la même façon pour tout le monde. Et ça, ça a été dur aussi de voir que tout le monde n'obtenait pas les mêmes résultats. Alors aujourd'hui, je touche du bois, 100% de mes clientes sont ravies, m'ont fait des témoignages juste... Voilà, à chaque fois que je les lis, je me dis, mais vraiment, on parle de moi et de l'académie là. Mais par contre... Toutes n'obtiennent pas le même type de résultat parce que chacun vient chercher aussi à un moment dans sa vie quelque chose de différent. Et il y en a qui ont connu juste des résultats incroyables sur le côté chiffre d'affaires, d'autres c'est plus sur le mindset, etc. Et en fait, encore une fois, tout le monde a la même méthode, tout le monde a accès à la même méthode, mais personne n'en fait la même chose. Donc aujourd'hui, il se passe que tout le monde en fait des choses incroyables. Mais parfois, je me suis quand même sentie frustrée. cette année de voir que je conseillais certaines choses et que c'était pas appliqué, pas implémenté. Mais encore une fois, je ne suis pas responsable de ça et j'ai mis du temps vraiment à prendre cette distance-là. Et si vous êtes des coachs, vous aussi, vous savez à quel point ça, c'est un travail hyper important qu'on doit faire en tant que coach. C'est vraiment de réussir à ne pas s'attribuer tout ce que vivent nos clients. Et vraiment de se dire, chacun sa vie, son chemin aussi. Et moi, je peux juste être là pour améliorer ça, pour améliorer sa vie, pour améliorer son chemin, pour améliorer ses résultats, sans en prendre l'entière responsabilité, parce que c'est aussi hyper dangereux. Je crois que c'est ça qui m'a amenée à me dire, est-ce que j'ai toujours envie de faire ça ? Est-ce que je me sens alignée ? Il y a un moment où, dans l'année, je me suis sentie véritablement nulle. Je me disais, mais en fait, ça ne sert à rien ce que je fais. Bref, mon bref. On aime bien s'auto-saboter. Je crois que c'est un truc assez féminin quand même. Et voilà, du coup, j'ai fait un énorme travail sur tout ça. Et pour en avoir parlé avec certaines de mes clientes en off, je sais que tout ce que j'ai vécu ne s'est pas senti, ne s'est pas vu d'un point de vue extérieur. Mais j'ai justement envie de vous partager ça parce que justement, on ne voit pas ça de la part des gens. Et puis moi, on va juste me coller l'étiquette de... Elle a relancé une entreprise, une activité, et puis en un an, elle fait 100 000 euros de chiffre d'affaires. Mais j'ai juste envie de vous montrer aussi la réalité des choses et ce par quoi on peut passer. Ce podcast s'appelle Imprévu, ce n'est pas pour rien. C'est aussi pour vous expliquer tout ce qui se passe derrière, la réalité de la vie d'un entrepreneur. Donc j'ai moi-même envie de porter ce message haut et fort et puis de vous transmettre les choses aussi en toute transparence. Enfin, je voulais finir par ce dernier enseignement qui a aussi été puissant pour moi en 2024 et qui le sera. tout autant en 2025 et qui j'espère vous portera aussi, c'est que la réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Je vous ai dit tout à l'heure que ce qui marchait à un moment ne marcherait peut-être pas à un autre moment, etc. Mais la réalité dans laquelle vous êtes aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Si vous vous sentez stressé aujourd'hui de reprendre le travail alors que vous vous dites que c'est votre propre entreprise, c'est pas parce que ça se passe comme ça là que ça se passera comme ça la prochaine fois. Ce n'est pas parce que là, vous n'avez pas encore les résultats financiers que vous espérez, que vous n'aurez pas les résultats financiers que vous espérez demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous n'avez pas confiance en vous, que vous n'aurez pas confiance en vous demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous ne vous sentez pas dans la gratitude, dans la fierté profonde de ce que vous êtes en train de faire, que ce ne sera pas le cas demain. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et à chaque jour, vous pouvez décider d'écrire une nouvelle histoire. En fait, chaque jour, c'est un reset. Ce n'est pas juste de passer de 2024 à 2025. Genre chaque jour, on peut faire cette... appuyer sur ce bouton reset et se dire ok, ça c'est pas ok, je veux écrire une autre réalité et ça c'est juste possible en fait. C'est juste possible et heureusement qu'on n'a pas à attendre un passage d'une année à l'autre pour se dire qu'on veut définir d'autres objectifs. Alors c'est bien de se nourrir de ça, c'est bien de se dire à chaque même rentrée scolaire, il y a souvent cet effet-là, tout comme le passage de 2024 à 2025, se dire ok là. C'est bon, je repars avec de nouvelles bases, etc. Mais vous pourriez décider d'avoir le même raisonnement qu'on soit au mois de mars, au mois de mai, au mois de juillet. On s'en fiche, en fait. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et du coup, je ne m'attendais pas à faire un épisode de podcast aussi long. On s'approche des 40 minutes. Donc, vraiment, je vais terminer cet épisode de podcast en vous disant que 2024 m'a véritablement appris à voir grand. Et en 2025, je vais voir encore plus grand ma mission. est tellement plus forte, là je me sens tellement plus alignée, j'ai pu me reconnecter à moi et à ce que je voulais et note à moi-même, je réécouterai cet épisode de podcast si je me perds à nouveau en chemin en 2025, mais à chaque fois que je me sentirai désalignée, il faut que je me reconnecte parce que c'est puissant. Apprendre à perdre du temps pour en gagner, ça je le dis tout le temps aux entrepreneuses de l'Académie 5K et c'est hyper important, parfois on a besoin de perdre un jour, deux jours, genre dix jours peu importe. mais pour gagner tellement de temps derrière. Parce que juste quand on est au bout du rouleau, on est désaligné, de toute façon, on perd du temps. On n'arrive pas à mettre en place les bonnes actions, pas avec la bonne intention. Et donc, il vaut mieux apprendre à perdre un petit peu de temps pour en gagner derrière. Je suis ravie de vous retrouver sur ce podcast. J'en profite pour vous dire aussi que le rythme va changer. En 2000, à partir de septembre 2024, j'avais décidé d'avoir un épisode par semaine sur le podcast avec des capsules Mindset. Force est de constater que c'était trop pour moi sur le podcast et que les capsules Mindset en fait ne raisonnaient pas suffisamment aussi avec ce que je voulais sur le podcast. Les capsules Mindset, si vous aimez, on le retrouvera ça. Je suis en train de préparer quelque chose d'assez fou. probablement pour début 2025, c'est certain, mais début février, je pense. Je ne vous en dis pas plus pour le moment, mais continuez à me suivre sur les réseaux sociaux si vous le faites déjà, si vous ne me suivez pas encore, que vous avez envie de voir tout ce qui se prépare à ce sujet-là, tout ce que je vais pouvoir vous délivrer comme contenu, parce que j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie d'accompagner encore plus d'entrepreneuses. L'Académie 100K est et restera, ça ne bougera pas. mais je vais développer un autre format d'accompagnement et je pense que ça va aider beaucoup de femmes entrepreneurs en 2025 donc voilà moi ça va être mon boulot là sur les prochaines semaines mais le podcast du coup revient à son format initial un épisode tous les 15 jours mais ce ne sera pas nécessairement un épisode solo, une interview, un épisode solo une interview comme je le faisais jusque là il y aura probablement beaucoup plus d'interviews parce que j'ai envie d'avoir des prises de parole ici sur des formats solo et qui ne sont pas forcées, pas parce que je dois publier un épisode solo à ce moment-là. J'ai vraiment envie de le faire parce que ça fait profonder mon sens et je me suis déjà énormément livrée sur ce podcast et je n'ai pas envie de tourner en rond, de vous dire tout le temps les mêmes choses ou alors commencer à créer des messages bateaux pour combler le podcast. Donc voilà, là, on va avoir un cycle de 3-4 interviews qui vont arriver. Je vais vous parler aussi toujours de sujets assez personnels, mais je ferai quand même intervenir des personnes qui pourront évoquer ces sujets personnels avec moi. Donc, il y aura toujours autant d'authenticité, toujours autant de partage puissant et profond sur le podcast. Mais ça va évoluer parce que j'évolue, parce qu'on évolue, parce que les choses changent. Et puis, encore une fois, vous l'avez compris, j'ai vraiment envie de faire les choses en étant profondément alignée. Je n'ai pas envie de poster X fois par semaine parce qu'il faut poster X fois par semaine. Je n'ai pas envie de... j'ai pas envie de m'imposer des choses qui ne feront pas sens parce qu'encore une fois c'est ce qui tue ma créativité c'est ce qui tue le message aussi que je veux faire passer en tout cas je vous souhaite encore une merveilleuse année 2025 merci pour tout ce que vous m'avez fait vivre en 2024 parce que ça a été puissant, merci pour les innombrables messages que j'ai reçus sur les réseaux, que ce soit au sujet du podcast, au sujet de mes contenus sur les réseaux, au sujet de l'académie aussi merci pour tout ça et je vous souhaite juste une... une magnifique année 2025. Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à le partager autour de toi ou sur les réseaux sociaux. Et pour ne pas louper les prochains épisodes du podcast, tu peux t'abonner dès maintenant sur ta plateforme d'écoute préférée. D'ailleurs, si tu m'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, tu peux me laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aidera énormément pour remonter dans les résultats de recherche et faire connaître le podcast au plus grand nombre. En attendant, je te souhaite une très belle journée et je te retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode inspirant.

Description

Cette année encore, j'ai compris que la résilience est essentielle pour surmonter les challenges et les critiques que nous pouvons rencontrer sur notre chemin. Et plus que jamais, je me suis rappelé à quel point il est crucial de prendre des pauses pour se recentrer et se reconnecter à ses valeurs.


Dans cet épisode, je te partage les leçons précieuses que j'ai tirées de l'année 2024 et je célèbre le succès de mon Académie 100K, qui a généré plus de 100 000 € de chiffre d'affaires en un an, un véritable témoignage de ce que l'on peut accomplir en osant entreprendre et croire en ses rêves !


__________


// POUR ALLER PLUS LOIN


L'Académie 100K : L'accélérateur dédié aux femmes entrepreneures

La Check-List 0-100K : Télécharge gratuitement le plan d’action complet pour un business à 6 chiffres


// SOUTENIR LE PODCAST


Si tu aimes ce podcast et que tu veux me soutenir, je t'invite à partager cet épisode autour de toi et à me laisser un commentaire ou une note 5* sur Apple Podcasts ou Spotify.


// SUIVRE MES AVENTURES OU ME CONTACTER


Sur LinkedIn Alexane Roux 

Sur Instagram @alexane_roux 

Sur YouTube @alexaneroux 

Sur mon site web alexaneroux.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et bienvenue dans le podcast Imprévu. Parce que l'imprévu fait partie de notre quotidien d'entrepreneurs et qu'au-delà de nos réussites, il est temps de valoriser notre capacité à transformer les obstacles en opportunités. Je m'appelle Alexane Roux et comme tout entrepreneur, je me suis beaucoup questionnée, je me suis trompée, j'ai parfois eu peur de tout perdre mais je me suis toujours relevée. Imprévu, c'est le podcast qui vous fait découvrir les dessous de l'entrepreneuriat. On raconte ici des parcours d'entrepreneurs, le mien,

  • Speaker #1

    celui des autres,

  • Speaker #0

    Ces chemins qui peuvent parfois vous sembler tout tracés, mais qui en réalité sont semés d'embûches. On se retrouve un lundi sur deux pour rentrer dans l'intimité de ceux qui inspirent, qui marquent l'histoire à leur façon et qui face à l'imprévu n'abandonnent jamais.

  • Speaker #1

    Je suis hyper heureuse de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast, le tout premier de 2025. Et après quatre semaines d'arrêt, de pause sur le podcast, il était grand temps que je revienne. J'aurai l'occasion dans cet épisode de vous expliquer... pourquoi j'ai eu besoin de cette pause, qu'est-ce qui s'est passé pour moi sur ces quatre dernières semaines. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je ne peux pas démarrer cet épisode sans vous souhaiter une merveilleuse année 2025. Je vous souhaite beaucoup de bonheur, je vous souhaite de réaliser tous vos projets, je vous souhaite la santé clairement, parce que sans ça, c'est quand même compliqué, on va être tout à fait honnête. Mais je vous souhaite aussi vraiment de vous réaliser pleinement, d'apprendre à vous faire confiance et d'oser voir plus grand. Car s'il y a bien quelque chose que j'ai appris en 2024, c'est ça. Oser voir plus grand, ça nous conduit toujours vers des choses incroyables, insoupçonnées. Je pense que quand j'ai démarré 2024, je n'imaginais même pas tout ce qui allait se passer pour moi en 2024. Je n'imaginais pas que... Je crois que vraiment la chose la plus incroyable que je retiens, c'est de monter sur la scène de Stedix. Et d'ailleurs, j'ai tellement hâte de pouvoir diffuser la vidéo du Stedix pour ceux qui ont envie de voir ma conférence. C'était un moment juste incroyable. Donc bon, bref, passons à autre chose, mais vraiment, osez voir plus grand. C'est vraiment, je pense, la chose la plus précieuse que je peux vous transmettre aujourd'hui. Alors, dans quelques jours, je vais fêter les un an de l'Académie 100K et je devais aussi faire le bilan dans cet épisode de podcast. J'ai animé le premier call de groupe dans l'Académie 100K le 17 janvier, le mardi 17 janvier 2024. Et c'était... hyper stressant. Je m'apprêtais justement à mettre les premières pierres de quelque chose de très grand. Ça me faisait vraiment hyper, hyper peur. J'avais peur de ne pas être à la hauteur. J'avais peur de ne pas être aimée aussi, on va être tout à fait honnête. En fait, j'avais plein de peur. À partir du moment où je me suis dit, je vais créer quelque chose d'incroyable pour les femmes entrepreneurs qui ont envie d'accélérer dans le développement de leur entreprise, pour leur transmettre tout ce que j'ai appris durant ces plus de dix années d'entrepreneuriat. Poum ! derrière je me suis dit mais ouais est-ce que je suis la bonne personne pour faire ça ? Il y a plein d'autres personnes qui le font alors pourquoi est-ce que moi je le ferais ? Et si ça marche pas et si mes clientes n'obtiennent pas de résultat et si elles sont pas contentes ? Enfin bon bref tout un tas de peurs et j'imagine que vous pouvez probablement vous reconnaître en écoutant ça parce qu'à chaque fois qu'on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu et encore une fois qu'on voit plus grand, il y a toujours des peurs qui viennent se déclencher derrière. Mais aujourd'hui, un an après, ce que je peux dire, c'est que ça a dépassé toutes mes attentes et humainement avant tout. Alors, bien sûr que sur le côté business, je me sens hyper heureuse, hyper épanouie, hyper alignée, que mes clientes obtiennent des résultats de dingue et que j'ai une liste de témoignages longue comme le bras. Mais vraiment, ce que je retiens, c'est... C'est toute cette sororité qu'on a réussi à créer. Je dis on parce que vraiment, chacune des entrepreneuses qui est passée dans l'Académie 100K cette année, l'année dernière, a contribué à ça. On a mis en place vraiment un groupe tellement bienveillant, un groupe qui s'engageait pour leur propre réussite individuelle, des femmes qui osaient parler de toutes leurs difficultés pour se dire ok, je le pose là et ce n'est pas quelque chose que je vais récupérer récupérées et que je vais emmener avec moi après. Et des femmes surtout qui se sont soutenues à un point, mais vraiment, où j'avais jamais vu ça, connu ça et j'en suis d'autant plus fière que je suis à la base de tout ça. Mais vraiment, je me dis, mais qu'est-ce que j'ai bien fait de lancer cette Académie 5K pour tout ce que ça m'a permis de voir et de connaître humainement. Parce que j'entends souvent les personnes dire que, voilà, des fois, l'humain est un peu con et qu'il n'y a plus d'espoir et que... Et là, en fait, j'ai tellement vu une autre réalité, j'ai tellement vu à quel point on peut décider de se créer une bulle hyper positive, hyper bienveillante avec des personnes qui le sont, qui sont véritablement bienveillantes. Et dans ce monde, parfois, ça fait du bien, parce que oui, tout ne tourne pas complètement rond. On a vécu quand même ces dernières années des choses qui sont compliquées aussi dans la vie de façon globale. Les guerres, le Covid, le terrorisme, enfin... et voir en fait que maintenant il y a encore... Des personnes qui ont envie de créer cette bulle autour d'eux, ça fait du bien. Et moi, aujourd'hui, j'ai envie de continuer à vivre dans ce monde de bisounours. Alors, bien sûr que parfois, la réalité nous rattrape. Mais en fait, quand on décide que notre quotidien doit devenir quelque chose de positif, s'entourer de personnes qui partagent les mêmes ambitions que nous, tout a tellement une autre saveur. Donc voilà, déjà humainement, c'était incroyable. Et puis, sur le plan financier, je viens de faire mon bilan de l'année 2024. Et je suis hyper, hyper fière de voir que grâce au lancement de l'Académie 100K, j'ai réussi à générer plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires supplémentaire dans ma société en 2024. Et franchement, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai vécu aussi là des up and down. J'ai eu plusieurs mois à zéro et ça peut peut-être vous paraître fou quand je dis que j'ai fait plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires avec l'Académie 100K alors que j'ai eu des mois à zéro. Et pourtant, c'est vrai. Et ça fait partie des enseignements que je vais vous transmettre aussi dans cet épisode de podcast. Mais franchement, si on m'avait dit en janvier 2024 qu'en lançant l'Académie 100K, j'arriverais à ce point à créer une communauté bienveillante, est-ce qu'en plus ça se... Que mes ambitions se ressentent aussi dans mes chiffres, franchement, je ne l'aurais pas cru. Et c'est que la première année de l'Académie 100K. Franchement, il va y avoir plein de choses derrière. Puis bon, je suis assez fière d'avoir passé ce cap des 100K, parce que l'Académie 100K, c'est là pour ça aussi, pour aider les femmes entrepreneurs à passer leurs premiers 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et évidemment, je l'ai fait de nombreuses fois sur ces 11 dernières années d'entrepreneuriat. Là, je démarre ma douzième année d'entrepreneuriat. Mais d'avoir réussi à le faire sur une année 1 du développement d'une nouvelle activité, je suis d'autant plus fière. Et puis, je me suis appliqué la méthode que je transmets aussi. Donc, elle marche cette méthode. Du coup, ça, c'est chouette. Donc, voilà, j'avais envie de vous partager ça juste pour que vous puissiez prendre conscience aussi que rien n'est définitif et que vous pouvez décider de créer quelque chose de grand. Moi, j'ai fini fin 2023, où j'avais commencé à créer mon activité de mentor d'entrepreneur, que je me cherchais un petit peu sur ma cible, sur quoi faire, comment transmettre. J'étais un petit peu dans le flou, vraiment, si je dois être honnête. Et je crois qu'avec mon activité d'accompagnement, coaching, mentorat, je ne sais même pas si j'avais fait 10 000 euros en 2023. Donc voilà, faire 100 000 euros en 2024, en ayant décidé que... de créer quelque chose de plus grand, ça me rend fière aussi. Et pour en arriver là, j'ai testé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. Les entrepreneuses de l'Académie Sanka le savent parce qu'elles me voient au fur et à mesure tester des choses et elles m'ont vu me planter aussi. Mais ça, c'est hyper important que je vous le transmette parce que tout ça, ça ne s'est pas fait en un claquement de doigts. Je me suis vraiment, véritablement trompée un paquet de fois en 2024. Et par contre, je n'ai jamais rien lâché. Et je crois que c'est ça qu'il faut retenir. Et j'en parle suffisamment. D'ailleurs, c'est la thématique de ce podcast aussi, la résilience. Mais vraiment, ne jamais abandonner. Et à chaque fois que je testais quelque chose, je me disais, OK, ce n'est pas grave. Plus ça avançait dans l'année, plus je me disais, je n'ai pas d'attente. Je teste parce que j'ai envie de le tester, parce que ça fait sens pour moi, parce que je suis alignée avec ça. Si ça ne marche pas, ce n'est pas grave, je testerai autre chose. Ça ne s'est pas fait à n'importe quel prix, je vais y revenir après dans les enseignements, mais vraiment, c'était nécessaire aussi de tester à ce point des choses pour ne pas perdre de temps. Je vois beaucoup trop d'entrepreneurs qui testent des choses et qui attendent des mois et des mois pour se dire Ok, est-ce que je vais avoir des résultats ? clairement non, il faut continuer. Si on voit que ça ne fonctionne pas par le chemin A, il faut prendre le chemin B. Et si ça ne fonctionne pas par le chemin B, il faut prendre le chemin C. Et ça, ça a vraiment été ma philosophie. C'est ma philosophie depuis que j'ai démarré dans l'entrepreneuriat. J'ai assez vite appris ça sur le tas aussi, quand j'ai démarré. Mais ça s'est encore plus vérifié cette année. Plus on teste de choses, plus on se rapproche. de la réalité, en tout cas plus on se rapproche de qu'est-ce qui fonctionne pour nous véritablement dans notre business. Donc, j'ai vécu des gros moments de doute, des moments où je me disais, mais est-ce que je ne suis pas juste en train de voir trop grand ? Est-ce que je suis véritablement faite pour ça ? Est-ce que j'ai envie de faire ça ? Enfin, tout un tas de questionnements encore qui, je crois, est la réalité de beaucoup d'entrepreneurs. Il faut qu'on accepte et qu'on ose le dire aussi que non, tout n'est pas tout beau, tout rose. Ça, c'est la réalité d'Instagram et encore que maintenant, ça... Ça change, je trouve, parce que de plus en plus d'entrepreneurs acceptent de dire quand ça ne va pas. Alors d'autres, c'est peut-être, je crois, un peu trop marketing, mais c'est bien de le dire. En fait, c'est bien de montrer que derrière chaque réussite, il y a des difficultés et que le plus important, en fait, c'est de rebondir et c'est de jamais rien lâcher. Donc vraiment, on en vient à mes plus gros enseignements de l'année 2024 et que j'avais envie de vous transmettre. pour vous donner cette chance de partir avec les bonnes bases en 2025 et de vous dire que vous pouvez d'ores et déjà appliquer, si vous le souhaitez, ces enseignements et vous dire que 2025 sera une année extraordinaire pour vous. Et la première chose que je dois vous dire, c'est qu'on doit toujours, toujours, toujours se laisser une chance d'essayer, quitte à se tromper. Vraiment, encore une fois, quand je lance l'Académie 100K, je vous l'ai dit. L'année d'avant, je faisais à peine 10 000 euros de chiffre d'affaires sur mon activité de coaching. Je fais 100 000 euros en 2024. Mais je n'avais aucune certitude. Je ne savais pas si ça allait marcher. Je ne savais pas si la méthode que j'avais développée allait marcher. Je ne savais pas si ma méthode d'acquisition client serait la bonne. Moi, je ne connaissais rien à ce type de business. J'avais développé des entreprises, je dirais, plus traditionnelles. En tout cas, qui n'avaient pas besoin d'une présence sur les réseaux sociaux pour se développer. Qui n'avaient pas besoin de... Je crois que maintenant, toutes les entreprises ont besoin quand même d'être présentes sur les réseaux. Mais moi, quand j'ai démarré dans l'entrepreneuriat, il n'y avait pas tout ça. Il y avait Facebook et puis ça n'avait pas du tout l'importance que peuvent avoir Instagram, LinkedIn et autres aujourd'hui. Donc, je me suis dit, allez, je tente, je tente et je ne sais pas ce que ça donnera. Je ne savais même pas si j'allais avoir des clientes. Quand j'annonce la première fois que je lance l'Académie 100K, c'est sur un workshop que j'organise en présentiel dans ma ville natale. Avec 10 entrepreneurs, j'annonce à ce moment-là que je vais lancer l'Académie 100K parce que j'ai juste l'idée en tête. Et en fait, les choses sont allées assez vite. Donc, une fois que j'ai eu les premiers engagements, je me suis dit, il va falloir se bouger et développer sa méthode maintenant. Parce que ce n'est pas le tout. Il y a des femmes qui sont prêtes à payer pour l'Académie 100K, pour se donner les chances d'accélérer le développement de leur entreprise. Donc, moi, je n'avais plus le choix que de donner mon maximum. pour développer cette méthode. Et encore une fois, quand chacune des entrepreneurs commence à implémenter la méthode, je n'ai aucune idée de ce que ça va donner. Mais je me suis dit, j'y vais, quitte à me tromper, de toute façon, pour le coup, ce qu'on ne m'enlèvera pas, c'est mon expérience dans l'entrepreneuriat, c'est le développement de mes différentes entreprises, puisque du coup, j'en ai développé quatre maintenant. Et puis, la revente de ma société. Il y a plein de choses que j'ai apprises de ces années d'entrepreneuriat, et ça, on ne pourra pas me l'enlever. Donc, je me suis dit, au pire, j'ajusterai, etc. Et du coup, quand j'ai vu les premiers résultats, j'ai été rassurée, mais je me suis laissée la chance d'essayer. Et donc, ça, c'est important. Tester des choses. N'ayez pas peur de vous tromper. Au pire, vous apprendrez quoi. Et la deuxième chose que je veux vous dire, c'est que vous devez y croire avant tout le monde. Personne ne peut plus croire en vous que vous-même. Et je dis ça, et à la fois, il y a souvent les entrepreneurs dans l'académie qui me font ça comme type de retour. Elles me disent, mais merci parce que... Tu as cru en moi et tu m'as permis... Je voyais à quel point tu croyais en moi et ça m'a permis de croire en moi. Mais véritablement, quand même, tout part de vous. Alors, est-ce que parfois, quelqu'un d'extérieur peut donner l'impulsion ? Oui. Mais vous, vous devez croire en vous. Si vous ne croyez pas en vous, ça va se ressentir d'une façon ou d'une autre. Ça se ressentira auprès de vos partenaires, de vos prestataires, de votre entourage personnel, de votre entourage professionnel. Peu importe dans quel contexte, vous devez toujours croire en vous avant tout le monde. Et je sais que ce n'est pas forcément évident, mais pour ça, il y a quelque chose que j'aime bien faire, c'est prendre un bout de papier, un stylo et de se dire, Ok, quelles sont toutes les choses qui me rendent fière ? Qu'est-ce que moi j'ai réussi à faire ? Parce qu'on a tous réussi à faire des choses dans ce monde. dans notre vie perso et dans notre vie pro. Et ça, c'est important d'accepter, de le regarder, parce que c'est aussi ce qui va nous donner l'impulsion, ce qui va nous donner confiance. Ensuite, un des plus gros enseignements aussi que j'ai reçus en 2024, c'est que ce qui fonctionne aujourd'hui ne fonctionnera peut-être pas demain. Je parle de ça sur autant de sujets que, par exemple, une méthode, parce que le business évolue et que je pense qu'il faut continuer à être agile par rapport aux évolutions du marché, de l'entrepreneuriat et du business, etc. Je parle aussi en termes d'acquisition client. Je pense même au podcast, je pense aux réseaux sociaux, Instagram, LinkedIn. Je crois que ce qu'il faut développer aussi aujourd'hui, c'est ce côté un peu funambule. C'est de pouvoir... Avoir l'agilité de modifier certaines choses et de se dire, OK, je vais continuer à tester des nouvelles choses. Et ce n'est pas parce qu'il y a une chose qui a marché à un instant T que ça fonctionnera demain. Moi, je pense notamment à des challenges que j'ai pu mettre en place, qui ont bien fonctionné en termes d'acquisition client, qui ensuite n'ont pas bien fonctionné. Mais ce n'est pas grave. En fait, c'est juste une opportunité de plus de continuer à croître, de continuer à apprendre et de continuer à renforcer notre résilience. Donc, ce n'est pas grave s'il y a des choses qui ne fonctionnent pas. Ce qui est grave, c'est de continuer à avancer, tête baissée, toujours sur la même stratégie, même si on voit que ça ne fonctionne plus. Je dirais même à l'inverse, ce qui ne fonctionne plus aujourd'hui, fonctionnera peut-être demain. Donc là, encore une fois, ne pas hésiter à tester. Il y a tellement de paramètres, on ne peut pas maîtriser tous les paramètres. Puis on ne peut pas identifier à chaque fois pourquoi est-ce que ça fonctionne, pourquoi est-ce que ça ne fonctionne pas. Parce qu'encore une fois, il y a tellement de choses qui peuvent interférer dans le processus. Il faut continuer, tester, réitérer en fait. si ça fonctionne pas là, peut-être que ça fonctionnera dans 6 mois ou dans 12 mois ou peut-être jamais mais en fait si vous testez pas, vous le saurez pas je voulais aussi vous dire que ce qui nous empêche d'avancer ce sont nos propres peurs et ça clairement, je l'ai encore plus perçu en 2024 j'allais dire cette année je m'habitue au fait qu'on soit en 2025 mais je crois que cette année 2024, elle m'a fait remonter à la surface quand même pas mal de peurs la peur de ne pas être assez Ça, c'est quelque chose que je pense que je tiens depuis une paire d'années, si ce n'est depuis mon enfance. Peur de ne jamais être à la hauteur, de ne pas en faire assez, que ce ne soit pas suffisant pour les autres. Enfin bref, la peur de ne pas être assez, c'est quelque chose qui est hyper présent. La peur de manquer, que ce soit le côté financier, que ce soit le côté matériel, etc. La peur de manquer, la peur de l'abandon. Alors celle-là, elle est venue quand même... me prendre de plein fouet, notamment avec les premières entrepreneuses de l'Académie 100K qui ont fini leur cursus et qui ont quitté l'Académie 100K. Ça a été extrêmement dur à vivre pour moi aussi, parce que pendant six mois, on avait créé des liens hyper forts. Et puis du coup, voir ces personnes-là quitter le navire, mais juste parce qu'en fait, elles arrivent à la fin de leur cursus et qu'elles ont besoin de voler leurs propres ailes, c'est vrai que c'est venu chercher quelque chose chez moi. Alors c'est bien parce que... À chaque fois qu'il y a des peurs qui remontent à la surface, je préfère du coup les aborder et voir, OK, pourquoi ça remonte ? Comment est-ce que je peux travailler ça ? Comment est-ce que je peux m'en libérer ? La peur d'être critiquée aussi. Et alors ça, plus on gagne en visibilité sur les réseaux, plus on est sujet à ça. Et les premières critiques que j'ai reçues ont été assez violentes. Pas forcément en termes de mots et tout ça, c'était pas forcément à des personnes qui me manquaient. cruellement de respect, encore que, à partir du moment où on critique ouvertement les gens, je pense qu'on peut quand même considérer que c'est un manque de respect. Mais ce n'était pas violent au point de certaines personnes qui se font critiquer, insulter, etc. Je n'étais pas à ce point-là, mais ça a été quand même assez dur à encaisser, de se dire Ouais, je ne plairai pas à tout le monde et je ne pourrai jamais plaire à tout le monde. Et ça, c'est vrai que c'est une réalité qu'il faut aborder. Et puis, on a beau se le dire, on a beau avoir conscience qu'un jour, on peut être critiqué, que tout le monde ne nous aime pas, etc. Quand on le voit, quand on le lit, quand on le ressent, c'est encore pas pareil. Mais la bonne nouvelle, c'est que les premières fois, c'est dur. Puis plus on avance, plus c'est facile. Et aujourd'hui, je me dis qu'à chaque fois qu'il y a une personne qui me critique, c'est OK. Je me dis que je n'aimerais pas être à la place de cette personne qui, du coup, prend le temps de critiquer ouvertement les autres. parce qu'elle doit vraiment pas être bien dans sa peau. Donc aujourd'hui, je perçois presque la critique comme quelque chose de positif parce que plus on est critiqué, plus on va être aligné avec certaines personnes aussi. Donc bien sûr qu'on ne plaira jamais à tout le monde. Et heureusement, en fait, j'ai envie de dire. Aujourd'hui, je préfère... Je préfère être hyper alignée avec des personnes. Puis d'ailleurs, dans l'Académie 100K, c'est sur candidature et ce n'est pas pour rien parce que j'ai vraiment envie de travailler avec des personnes avec lesquelles je suis alignée. Parce que ma réalité, mon cocon, mon monde de bison-ours, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai envie de continuer, j'ai envie de poursuivre comme ça. Et ce n'est pas juste un business pour être un business. Ce n'est pas juste un business pour toucher un salaire à la fin du mois et générer du chiffre d'affaires. C'est aussi... C'est aussi ma vie, comme c'est notre vie pour chacun d'entre nous en tant qu'entrepreneurs. On met tellement d'énergie dans tout ce qu'on fait que j'estime qu'on mérite de bien vivre nos entreprises et donc de faire des choses qui nous plaisent, des choses avec lesquelles on est alignés, des personnes avec lesquelles on est alignées. Mais tout ça pour dire que derrière toutes nos peurs, se cache réellement le bonheur. Et c'est pour ça qu'il ne faut pas chasser une peur quand elle arrive et qu'il faut savoir aussi l'affronter et élargir sa zone de confort, comme j'aime bien le dire, parce que plus on va travailler sur ces peurs-là, plus on va diminuer la pression sur ces peurs, moins on les ressentira, moins elles seront viscérales. Plus on se sentira bien dans notre vie. Et puis, moi, aujourd'hui, toutes les choses sur lesquelles j'ai dû travailler à titre pro... tellement, tellement, tellement servis dans ma vie perso. Enfin, moi aujourd'hui, je suis aussi beaucoup plus souple, alignée et heureuse, y compris dans ma vie de famille. Et donc, ça, c'est précieux. Je parlais de la critique. Et dans ce sens de la critique, je suis tombée sur une phrase sur les réseaux cette année qui a énormément résonné en moi et que je dois partager avec vous. C'est que la vie des autres n'est que la vie des autres. La vie, L-A-V-I-S. des autres n'est que la vie, V-I-E, des autres. Et ça, c'est tellement puissant, ça va dans le sens de ce que je vous disais, c'est que souvent, une personne qui critique, c'est le reflet de ses propres peurs. Vraiment, pour le coup, ça fait comme un effet miroir. Donc il ne faut pas prendre ses critiques pour nous-mêmes, mais il faut se dire aussi que quand une personne critique, c'est qu'elle a véritablement quelque chose qui vient faire écho chez elle, une peur qui remonte. par rapport à ce qu'on partage ou ce qu'on montre, etc. Et donc, c'est puissant, je trouve cette phrase-là. La vie des autres n'est que la vie des autres. Et ça renforce encore plus cette idée qu'il faut oser mener son propre chemin parce qu'il y aura toujours, toujours, toujours des personnes pour critiquer. Ensuite, par rapport à vous-même, un de mes gros enseignements aussi de cette année, c'est que ce qu'on perçoit comme des défauts, sont bien souvent nos plus grandes qualités. Et ce que j'ai perçu, moi, comme des défauts, des choses que je n'aimais pas et que je détestais chez moi, sont en réalité mes plus grandes qualités. C'est ce que, majoritairement, on est venu me remonter d'un point de vue extérieur, que ce soit de mes clientes ou de personnes qui ne sont même pas clientes d'ailleurs, mais sur les réseaux et autres. Et à commencer par ma voix et mes tics de langage. J'avais fait un épisode sur ce sujet. C'était un sujet qui était assez vif pour moi. et qui avaient failli me freiner dans l'idée de développer mon propre podcast parce que je n'aimais pas ma voix, parce que je trouvais que je ne m'exprimais pas toujours bien, parce que j'avais beaucoup de tics de langage, des phrases aussi parfois qui ne veulent rien dire, des expressions qui ne veulent rien dire. J'adore mixer des expressions. Ce n'est vraiment pas une de mes plus grandes qualités de bien connaître les expressions françaises et du coup, je fais toujours des mixes pas possibles. Et ça, en fait, j'ai eu tellement de retours. hyper bienveillant de personnes extérieures sur ma voix, sur le fait que c'était hyper agréable à écouter et tout ça. Peut-être que ce n'est pas votre cas, je dis ça. En tout cas, j'ai eu beaucoup de retours dans ce sens et c'est venu me réconcilier avec ma voix et ma façon de m'exprimer. Et j'ai appris à me dire que ce ne serait jamais parfait, mais ce qui était le plus important, c'était finalement l'authenticité. Je ne prépare pas, je n'écris pas mes épisodes. Je ne les prépare pas, ce n'est pas tout à fait vrai, je sais toujours ce que je vais aborder avec vous, mais... Mais je ne les écris pas ligne par ligne et je ne lis pas et je laisse cette authenticité. J'ai besoin de ça et j'aime ça. Donc voilà, j'avais vraiment envie de vous partager assez librement ce que j'avais sur le cœur. Et donc, accepter ma voix et mes tics de langage étaient nécessaires. Et donc, quand on reçoit des messages de personnes qui disent En fait, ta voix, elle est juste trop bien pour écouter des podcasts et tout. Ça donne vraiment envie de t'écouter. Je me dis Waouh ! C'est fou parce que genre, c'est ce que je détestais chez moi. Tout comme mon émotivité et mon impatience. C'est vrai que je suis hyper émotive, je pleure facilement. Je transfère aussi, je crois, assez facilement les émotions des autres, etc. Et du coup, mes émotions me gagnent assez souvent, dans les bons et dans les moins bons moments. Mais mes émotions sont quand même assez vives. Et puis mon impatience, j'aime pas. J'aime pas attendre. C'est vrai qu'il faut toujours que ça marche tout de suite. Moi, je vois que j'ai fait 100K. Cette année, aujourd'hui, j'ai un peu du mal à y croire, mais vous auriez vu toute mon impatience tout le long de l'année. Et d'ailleurs, ça aurait pu me coûter cette réussite-là. Mais je crois que derrière chaque défaut, il y a toujours une qualité. Donc ce que je peux dire derrière mon émotivité, c'est que ça a été aussi mon accessibilité. En fait, les gens m'ont vue comme quelqu'un d'accessible et puis qu'ils osaient montrer ce qu'elles ressentaient, ses sentiments, etc. Et en fait, aujourd'hui, je pense que c'est précieux. Et aujourd'hui, je ne le vois même plus comme un défaut. Je me dis que c'est aussi une qualité. Et pour mon impatience, je crois que ça m'a poussée à être toujours dans l'action. Ma capacité à être dans l'action est véritablement ce qui m'a permis d'obtenir ces résultats-là en 2024 et puis de faire tout ce chemin-là aussi dans l'entrepreneuriat. Et aujourd'hui, ça serait peut-être le moment pour vous de vous dire, ok, quels sont mes défauts ? qu'est-ce que je déteste et en fait qu'est-ce qui peut réellement être une qualité si j'accepte de changer de point de vue, si j'accepte de voir différemment avec un autre spectre. Je voulais vous partager aussi que cette année, je me suis rendue compte que moins je regardais ce que faisaient les autres, plus j'étais créative. Je me suis rendue compte que, notamment quand je passais trop de temps sur les réseaux sociaux à regarder ce que faisaient aussi mes concurrents, il faut être honnête, c'est comme si ça m'aspirait le cerveau. Ça me faisait complètement perdre mon unicité, le message que j'avais envie de passer, de défendre, parce que je me disais, peut-être que c'est eux qui ont raison, peut-être que je ne suis pas dans le juste, que je ne suis pas dans le vrai et que ce n'est pas ça qu'il faut dire. Et en fait, ça vient pomper déjà toute son énergie parce que se comparer, c'est vraiment hyper nocif, mais en plus, ça nous empêche de suivre notre propre chemin. Et s'il y a bien quelque chose que j'ai compris aujourd'hui, je ne passe quasiment plus de temps sur les réseaux, je publie. Je crée du contenu sur les réseaux, mais je ne consomme quasiment pas de contenu sur les réseaux. Surtout pas auprès de mes concurrents, de personnes qui se rapprochent de près ou de moins près de ce que je fais, parce qu'en fait, ça me ferait... Et ça m'a fait, même pendant l'année 2024, changer plusieurs fois de stratégie, parce que j'avais peur de ne pas être dans le vrai. Donc vraiment, juste libérez-vous de ça, menez votre propre chemin, faites ce que vous avez envie de faire profondément. Et puis n'oubliez pas que vos échecs seront... Je pense encore plus puissant que vos victoires. En tout cas, moi, c'est vraiment comme ça que je l'ai perçu cette année. Parce que derrière chaque échec, il y avait tellement, tellement, tellement d'enseignements. Que c'est ça qui m'a fait évoluer. C'est ça qui m'a permis vraiment de m'améliorer sur un tas de sujets. Et j'aimerais juste... En tout cas, moi, c'est mon vœu pour 2025. Qu'on accepte d'avoir l'échec comme quelque chose de positif. C'est encore une fois une question de perception. L'échec fait partie du chemin. Et plus on échoue, plus on se rapproche aussi de nos plus grandes victoires. Maintenant, je vais rentrer un peu plus dans un sujet presque personnel.

  • Speaker #0

    On peut vite s'oublier, même quand on sait qu'on peut vite s'oublier. Vous savez que je défends vraiment ce message de réussir à créer une entreprise au service de sa vie, qu'on ne doit pas dévier sa vie à son entreprise. Et si je défends ce message aussi, c'est pour une bonne raison. Je vous l'ai déjà partagé dans le podcast aussi, c'est que... En 2017, j'ai fait une grave hémorragie interne, je ne l'ai pas détectée, je n'ai pas vu ce qui était en train de se passer parce que j'étais beaucoup trop focus sur mon business et que voilà, j'ai pas vu les signes de quelque chose de grave qui était en train de se passer à l'intérieur de moi, parce que l'envie de réussir, parce que l'envie de prouver à la terre entière que j'étais capable et autres qui m'avaient fait dévier en fait de mon écoute de moi-même on va dire. Et depuis ces événements, cet événement-là... Je sais à quel point il faut faire attention. Je sais à quel point il faut toujours se mettre au centre de l'équation parce que quand on est entrepreneur, on est la fondation de notre entreprise. Donc du coup, si on s'oublie et qu'on se perd en chemin, le reste s'oublie avec que ce n'est pas bon pour notre business. Et sur cette fin d'année, ça a été quand même assez challengeant pour moi. Déjà parce qu'il y a eu la conférence TEDx qui m'a vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup pris de temps, de charge mentale, d'énergie, de stress. Et la conférence, la thématique générale des conférences TEDx ce jour-là, c'était s'oublier pour mieux se trouver. Et plus j'avançais dans ma préparation, plus j'avais ce message qui sonnait fort à l'intérieur de moi, qui me disait, en fait, tu vas faire une conférence sur ce sujet-là, mais juste là, est-ce que tu n'es pas de nouveau en train de t'oublier ? Et ça, c'est assez dur. c'est assez dur et je me disais du coup je suis plus pertinente aussi dans le message que je défends, est-ce que comment je fais en fait du coup pour me réaligner alors que je me sentais désalignée et du coup là j'ai perdu complètement le contrôle sur les 4 à 8 dernières semaines je savais plus si j'avais envie de faire ce que j'étais en train de faire, je savais plus si ça faisait sens, je savais plus si j'étais profondément... aligné avec moi-même et ma mission. Et le problème, c'est que quand on se laisse jamais d'air, on a du mal à voir ça. J'ai envie de vous dire, et c'est un des apprentissages aussi, c'est que la Terre ne va pas s'arrêter de tourner si on décide d'appuyer sur pause pendant un moment. Et moi, personnellement, là, j'ai eu besoin de prendre du recul. J'ai eu besoin de prendre du recul sur les réseaux, sur le podcast. J'ai besoin de me recentrer sur ce que je voulais profondément, ce qui faisait sens. Encore une fois, sans aller regarder ce que font les autres, mais juste faire ce travail d'introspection et de se dire, mais qu'est-ce qui est juste pour moi ? Qu'est-ce que j'ai envie de défendre ? Qu'est-ce que j'ai envie de montrer ? Et je vais être honnête, j'avais plein de contenus qui étaient déjà prévus sur le podcast, sur les réseaux. Et en fait, ça ne résonnait pas avec moi parce que je tentais que j'étais en train de me perdre. Et du coup, je n'avais pas envie de partager pour partager. Je me suis dit que j'avais besoin de revenir à moi et de me dire qu'est-ce que j'ai envie de transmettre ? Qu'est-ce que je donne comme conseil aux autres que je suis en train d'oublier, d'appliquer ? Et ça, c'était assez difficile comme exercice, mais surtout très puissant. Et du coup, j'ai accepté d'appuyer sur pause. Et du coup, là, vous n'avez même pas idée à quel point je reviens avec beaucoup plus de clarté. avec un retour à ma mission profonde. Et ça, c'est fondamental, c'est ce que j'espérais, c'est ce que je voulais sur ces dernières semaines. Mais tant que j'avais la tête dans le guidon, je n'y arrivais tout simplement pas du tout. Et je crois que ça a été aussi lié aux faits et à cet enseignement-là aussi que j'ai reçu, c'est que chacun est responsable de ses choix et de ses actions. Et là, je m'explique. Coacher des femmes entrepreneurs au quotidien, c'est pas forcément évident. Parce qu'on connaît toutes, tous et toutes, des moments de up and down. Et moi, mon travail, c'est de réussir du coup à, j'allais dire, diminuer ces downs, diminuer la perception de ces downs que les entrepreneurs peuvent vivre. Et mon objectif, moi, c'est de les tirer vers le haut. Et à un moment, quand moi, je me suis sentie moins bien, je me suis rendue compte à quel point j'avais du mal à tirer les autres vers le haut. En fait, donc, toute l'importance de prendre soin de moi. Mais surtout, ce qui m'a conduite à ça, je crois, c'était le transfert que j'ai pu faire avec mes clientes. C'est-à-dire qu'elles me partageaient leurs victoires et leurs difficultés et leurs échecs. Et en fait, je me suis attribuée cette année et j'ai mis du temps à prendre conscience, mais je m'attribuais chacun des échecs de mes clientes. Et sans avoir la vision positive de l'échec, comme je vous l'ai dit juste avant. Et du coup, j'ai dû apprendre à prendre de la distance. J'ai dû apprendre à éliminer ce schéma dans lequel j'étais, que de transférer et se rappeler que chacun est responsable de ses choix et de ses actions une fois encore. Parce que je donne des conseils, mais la façon dont c'est appliqué... ne relève que de la responsabilité de l'entrepreneuse que je peux accompagner. Et je me disais, ben non, en fait, j'ai une méthode, elle doit fonctionner de la même façon pour tout le monde. Et ça, ça a été dur aussi de voir que tout le monde n'obtenait pas les mêmes résultats. Alors aujourd'hui, je touche du bois, 100% de mes clientes sont ravies, m'ont fait des témoignages juste... Voilà, à chaque fois que je les lis, je me dis, mais vraiment, on parle de moi et de l'académie là. Mais par contre... Toutes n'obtiennent pas le même type de résultat parce que chacun vient chercher aussi à un moment dans sa vie quelque chose de différent. Et il y en a qui ont connu juste des résultats incroyables sur le côté chiffre d'affaires, d'autres c'est plus sur le mindset, etc. Et en fait, encore une fois, tout le monde a la même méthode, tout le monde a accès à la même méthode, mais personne n'en fait la même chose. Donc aujourd'hui, il se passe que tout le monde en fait des choses incroyables. Mais parfois, je me suis quand même sentie frustrée. cette année de voir que je conseillais certaines choses et que c'était pas appliqué, pas implémenté. Mais encore une fois, je ne suis pas responsable de ça et j'ai mis du temps vraiment à prendre cette distance-là. Et si vous êtes des coachs, vous aussi, vous savez à quel point ça, c'est un travail hyper important qu'on doit faire en tant que coach. C'est vraiment de réussir à ne pas s'attribuer tout ce que vivent nos clients. Et vraiment de se dire, chacun sa vie, son chemin aussi. Et moi, je peux juste être là pour améliorer ça, pour améliorer sa vie, pour améliorer son chemin, pour améliorer ses résultats, sans en prendre l'entière responsabilité, parce que c'est aussi hyper dangereux. Je crois que c'est ça qui m'a amenée à me dire, est-ce que j'ai toujours envie de faire ça ? Est-ce que je me sens alignée ? Il y a un moment où, dans l'année, je me suis sentie véritablement nulle. Je me disais, mais en fait, ça ne sert à rien ce que je fais. Bref, mon bref. On aime bien s'auto-saboter. Je crois que c'est un truc assez féminin quand même. Et voilà, du coup, j'ai fait un énorme travail sur tout ça. Et pour en avoir parlé avec certaines de mes clientes en off, je sais que tout ce que j'ai vécu ne s'est pas senti, ne s'est pas vu d'un point de vue extérieur. Mais j'ai justement envie de vous partager ça parce que justement, on ne voit pas ça de la part des gens. Et puis moi, on va juste me coller l'étiquette de... Elle a relancé une entreprise, une activité, et puis en un an, elle fait 100 000 euros de chiffre d'affaires. Mais j'ai juste envie de vous montrer aussi la réalité des choses et ce par quoi on peut passer. Ce podcast s'appelle Imprévu, ce n'est pas pour rien. C'est aussi pour vous expliquer tout ce qui se passe derrière, la réalité de la vie d'un entrepreneur. Donc j'ai moi-même envie de porter ce message haut et fort et puis de vous transmettre les choses aussi en toute transparence. Enfin, je voulais finir par ce dernier enseignement qui a aussi été puissant pour moi en 2024 et qui le sera. tout autant en 2025 et qui j'espère vous portera aussi, c'est que la réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Je vous ai dit tout à l'heure que ce qui marchait à un moment ne marcherait peut-être pas à un autre moment, etc. Mais la réalité dans laquelle vous êtes aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Si vous vous sentez stressé aujourd'hui de reprendre le travail alors que vous vous dites que c'est votre propre entreprise, c'est pas parce que ça se passe comme ça là que ça se passera comme ça la prochaine fois. Ce n'est pas parce que là, vous n'avez pas encore les résultats financiers que vous espérez, que vous n'aurez pas les résultats financiers que vous espérez demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous n'avez pas confiance en vous, que vous n'aurez pas confiance en vous demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous ne vous sentez pas dans la gratitude, dans la fierté profonde de ce que vous êtes en train de faire, que ce ne sera pas le cas demain. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et à chaque jour, vous pouvez décider d'écrire une nouvelle histoire. En fait, chaque jour, c'est un reset. Ce n'est pas juste de passer de 2024 à 2025. Genre chaque jour, on peut faire cette... appuyer sur ce bouton reset et se dire ok, ça c'est pas ok, je veux écrire une autre réalité et ça c'est juste possible en fait. C'est juste possible et heureusement qu'on n'a pas à attendre un passage d'une année à l'autre pour se dire qu'on veut définir d'autres objectifs. Alors c'est bien de se nourrir de ça, c'est bien de se dire à chaque même rentrée scolaire, il y a souvent cet effet-là, tout comme le passage de 2024 à 2025, se dire ok là. C'est bon, je repars avec de nouvelles bases, etc. Mais vous pourriez décider d'avoir le même raisonnement qu'on soit au mois de mars, au mois de mai, au mois de juillet. On s'en fiche, en fait. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et du coup, je ne m'attendais pas à faire un épisode de podcast aussi long. On s'approche des 40 minutes. Donc, vraiment, je vais terminer cet épisode de podcast en vous disant que 2024 m'a véritablement appris à voir grand. Et en 2025, je vais voir encore plus grand ma mission. est tellement plus forte, là je me sens tellement plus alignée, j'ai pu me reconnecter à moi et à ce que je voulais et note à moi-même, je réécouterai cet épisode de podcast si je me perds à nouveau en chemin en 2025, mais à chaque fois que je me sentirai désalignée, il faut que je me reconnecte parce que c'est puissant. Apprendre à perdre du temps pour en gagner, ça je le dis tout le temps aux entrepreneuses de l'Académie 5K et c'est hyper important, parfois on a besoin de perdre un jour, deux jours, genre dix jours peu importe. mais pour gagner tellement de temps derrière. Parce que juste quand on est au bout du rouleau, on est désaligné, de toute façon, on perd du temps. On n'arrive pas à mettre en place les bonnes actions, pas avec la bonne intention. Et donc, il vaut mieux apprendre à perdre un petit peu de temps pour en gagner derrière. Je suis ravie de vous retrouver sur ce podcast. J'en profite pour vous dire aussi que le rythme va changer. En 2000, à partir de septembre 2024, j'avais décidé d'avoir un épisode par semaine sur le podcast avec des capsules Mindset. Force est de constater que c'était trop pour moi sur le podcast et que les capsules Mindset en fait ne raisonnaient pas suffisamment aussi avec ce que je voulais sur le podcast. Les capsules Mindset, si vous aimez, on le retrouvera ça. Je suis en train de préparer quelque chose d'assez fou. probablement pour début 2025, c'est certain, mais début février, je pense. Je ne vous en dis pas plus pour le moment, mais continuez à me suivre sur les réseaux sociaux si vous le faites déjà, si vous ne me suivez pas encore, que vous avez envie de voir tout ce qui se prépare à ce sujet-là, tout ce que je vais pouvoir vous délivrer comme contenu, parce que j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie d'accompagner encore plus d'entrepreneuses. L'Académie 100K est et restera, ça ne bougera pas. mais je vais développer un autre format d'accompagnement et je pense que ça va aider beaucoup de femmes entrepreneurs en 2025 donc voilà moi ça va être mon boulot là sur les prochaines semaines mais le podcast du coup revient à son format initial un épisode tous les 15 jours mais ce ne sera pas nécessairement un épisode solo, une interview, un épisode solo une interview comme je le faisais jusque là il y aura probablement beaucoup plus d'interviews parce que j'ai envie d'avoir des prises de parole ici sur des formats solo et qui ne sont pas forcées, pas parce que je dois publier un épisode solo à ce moment-là. J'ai vraiment envie de le faire parce que ça fait profonder mon sens et je me suis déjà énormément livrée sur ce podcast et je n'ai pas envie de tourner en rond, de vous dire tout le temps les mêmes choses ou alors commencer à créer des messages bateaux pour combler le podcast. Donc voilà, là, on va avoir un cycle de 3-4 interviews qui vont arriver. Je vais vous parler aussi toujours de sujets assez personnels, mais je ferai quand même intervenir des personnes qui pourront évoquer ces sujets personnels avec moi. Donc, il y aura toujours autant d'authenticité, toujours autant de partage puissant et profond sur le podcast. Mais ça va évoluer parce que j'évolue, parce qu'on évolue, parce que les choses changent. Et puis, encore une fois, vous l'avez compris, j'ai vraiment envie de faire les choses en étant profondément alignée. Je n'ai pas envie de poster X fois par semaine parce qu'il faut poster X fois par semaine. Je n'ai pas envie de... j'ai pas envie de m'imposer des choses qui ne feront pas sens parce qu'encore une fois c'est ce qui tue ma créativité c'est ce qui tue le message aussi que je veux faire passer en tout cas je vous souhaite encore une merveilleuse année 2025 merci pour tout ce que vous m'avez fait vivre en 2024 parce que ça a été puissant, merci pour les innombrables messages que j'ai reçus sur les réseaux, que ce soit au sujet du podcast, au sujet de mes contenus sur les réseaux, au sujet de l'académie aussi merci pour tout ça et je vous souhaite juste une... une magnifique année 2025. Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à le partager autour de toi ou sur les réseaux sociaux. Et pour ne pas louper les prochains épisodes du podcast, tu peux t'abonner dès maintenant sur ta plateforme d'écoute préférée. D'ailleurs, si tu m'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, tu peux me laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aidera énormément pour remonter dans les résultats de recherche et faire connaître le podcast au plus grand nombre. En attendant, je te souhaite une très belle journée et je te retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode inspirant.

Share

Embed

You may also like

Description

Cette année encore, j'ai compris que la résilience est essentielle pour surmonter les challenges et les critiques que nous pouvons rencontrer sur notre chemin. Et plus que jamais, je me suis rappelé à quel point il est crucial de prendre des pauses pour se recentrer et se reconnecter à ses valeurs.


Dans cet épisode, je te partage les leçons précieuses que j'ai tirées de l'année 2024 et je célèbre le succès de mon Académie 100K, qui a généré plus de 100 000 € de chiffre d'affaires en un an, un véritable témoignage de ce que l'on peut accomplir en osant entreprendre et croire en ses rêves !


__________


// POUR ALLER PLUS LOIN


L'Académie 100K : L'accélérateur dédié aux femmes entrepreneures

La Check-List 0-100K : Télécharge gratuitement le plan d’action complet pour un business à 6 chiffres


// SOUTENIR LE PODCAST


Si tu aimes ce podcast et que tu veux me soutenir, je t'invite à partager cet épisode autour de toi et à me laisser un commentaire ou une note 5* sur Apple Podcasts ou Spotify.


// SUIVRE MES AVENTURES OU ME CONTACTER


Sur LinkedIn Alexane Roux 

Sur Instagram @alexane_roux 

Sur YouTube @alexaneroux 

Sur mon site web alexaneroux.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et bienvenue dans le podcast Imprévu. Parce que l'imprévu fait partie de notre quotidien d'entrepreneurs et qu'au-delà de nos réussites, il est temps de valoriser notre capacité à transformer les obstacles en opportunités. Je m'appelle Alexane Roux et comme tout entrepreneur, je me suis beaucoup questionnée, je me suis trompée, j'ai parfois eu peur de tout perdre mais je me suis toujours relevée. Imprévu, c'est le podcast qui vous fait découvrir les dessous de l'entrepreneuriat. On raconte ici des parcours d'entrepreneurs, le mien,

  • Speaker #1

    celui des autres,

  • Speaker #0

    Ces chemins qui peuvent parfois vous sembler tout tracés, mais qui en réalité sont semés d'embûches. On se retrouve un lundi sur deux pour rentrer dans l'intimité de ceux qui inspirent, qui marquent l'histoire à leur façon et qui face à l'imprévu n'abandonnent jamais.

  • Speaker #1

    Je suis hyper heureuse de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast, le tout premier de 2025. Et après quatre semaines d'arrêt, de pause sur le podcast, il était grand temps que je revienne. J'aurai l'occasion dans cet épisode de vous expliquer... pourquoi j'ai eu besoin de cette pause, qu'est-ce qui s'est passé pour moi sur ces quatre dernières semaines. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je ne peux pas démarrer cet épisode sans vous souhaiter une merveilleuse année 2025. Je vous souhaite beaucoup de bonheur, je vous souhaite de réaliser tous vos projets, je vous souhaite la santé clairement, parce que sans ça, c'est quand même compliqué, on va être tout à fait honnête. Mais je vous souhaite aussi vraiment de vous réaliser pleinement, d'apprendre à vous faire confiance et d'oser voir plus grand. Car s'il y a bien quelque chose que j'ai appris en 2024, c'est ça. Oser voir plus grand, ça nous conduit toujours vers des choses incroyables, insoupçonnées. Je pense que quand j'ai démarré 2024, je n'imaginais même pas tout ce qui allait se passer pour moi en 2024. Je n'imaginais pas que... Je crois que vraiment la chose la plus incroyable que je retiens, c'est de monter sur la scène de Stedix. Et d'ailleurs, j'ai tellement hâte de pouvoir diffuser la vidéo du Stedix pour ceux qui ont envie de voir ma conférence. C'était un moment juste incroyable. Donc bon, bref, passons à autre chose, mais vraiment, osez voir plus grand. C'est vraiment, je pense, la chose la plus précieuse que je peux vous transmettre aujourd'hui. Alors, dans quelques jours, je vais fêter les un an de l'Académie 100K et je devais aussi faire le bilan dans cet épisode de podcast. J'ai animé le premier call de groupe dans l'Académie 100K le 17 janvier, le mardi 17 janvier 2024. Et c'était... hyper stressant. Je m'apprêtais justement à mettre les premières pierres de quelque chose de très grand. Ça me faisait vraiment hyper, hyper peur. J'avais peur de ne pas être à la hauteur. J'avais peur de ne pas être aimée aussi, on va être tout à fait honnête. En fait, j'avais plein de peur. À partir du moment où je me suis dit, je vais créer quelque chose d'incroyable pour les femmes entrepreneurs qui ont envie d'accélérer dans le développement de leur entreprise, pour leur transmettre tout ce que j'ai appris durant ces plus de dix années d'entrepreneuriat. Poum ! derrière je me suis dit mais ouais est-ce que je suis la bonne personne pour faire ça ? Il y a plein d'autres personnes qui le font alors pourquoi est-ce que moi je le ferais ? Et si ça marche pas et si mes clientes n'obtiennent pas de résultat et si elles sont pas contentes ? Enfin bon bref tout un tas de peurs et j'imagine que vous pouvez probablement vous reconnaître en écoutant ça parce qu'à chaque fois qu'on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu et encore une fois qu'on voit plus grand, il y a toujours des peurs qui viennent se déclencher derrière. Mais aujourd'hui, un an après, ce que je peux dire, c'est que ça a dépassé toutes mes attentes et humainement avant tout. Alors, bien sûr que sur le côté business, je me sens hyper heureuse, hyper épanouie, hyper alignée, que mes clientes obtiennent des résultats de dingue et que j'ai une liste de témoignages longue comme le bras. Mais vraiment, ce que je retiens, c'est... C'est toute cette sororité qu'on a réussi à créer. Je dis on parce que vraiment, chacune des entrepreneuses qui est passée dans l'Académie 100K cette année, l'année dernière, a contribué à ça. On a mis en place vraiment un groupe tellement bienveillant, un groupe qui s'engageait pour leur propre réussite individuelle, des femmes qui osaient parler de toutes leurs difficultés pour se dire ok, je le pose là et ce n'est pas quelque chose que je vais récupérer récupérées et que je vais emmener avec moi après. Et des femmes surtout qui se sont soutenues à un point, mais vraiment, où j'avais jamais vu ça, connu ça et j'en suis d'autant plus fière que je suis à la base de tout ça. Mais vraiment, je me dis, mais qu'est-ce que j'ai bien fait de lancer cette Académie 5K pour tout ce que ça m'a permis de voir et de connaître humainement. Parce que j'entends souvent les personnes dire que, voilà, des fois, l'humain est un peu con et qu'il n'y a plus d'espoir et que... Et là, en fait, j'ai tellement vu une autre réalité, j'ai tellement vu à quel point on peut décider de se créer une bulle hyper positive, hyper bienveillante avec des personnes qui le sont, qui sont véritablement bienveillantes. Et dans ce monde, parfois, ça fait du bien, parce que oui, tout ne tourne pas complètement rond. On a vécu quand même ces dernières années des choses qui sont compliquées aussi dans la vie de façon globale. Les guerres, le Covid, le terrorisme, enfin... et voir en fait que maintenant il y a encore... Des personnes qui ont envie de créer cette bulle autour d'eux, ça fait du bien. Et moi, aujourd'hui, j'ai envie de continuer à vivre dans ce monde de bisounours. Alors, bien sûr que parfois, la réalité nous rattrape. Mais en fait, quand on décide que notre quotidien doit devenir quelque chose de positif, s'entourer de personnes qui partagent les mêmes ambitions que nous, tout a tellement une autre saveur. Donc voilà, déjà humainement, c'était incroyable. Et puis, sur le plan financier, je viens de faire mon bilan de l'année 2024. Et je suis hyper, hyper fière de voir que grâce au lancement de l'Académie 100K, j'ai réussi à générer plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires supplémentaire dans ma société en 2024. Et franchement, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai vécu aussi là des up and down. J'ai eu plusieurs mois à zéro et ça peut peut-être vous paraître fou quand je dis que j'ai fait plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires avec l'Académie 100K alors que j'ai eu des mois à zéro. Et pourtant, c'est vrai. Et ça fait partie des enseignements que je vais vous transmettre aussi dans cet épisode de podcast. Mais franchement, si on m'avait dit en janvier 2024 qu'en lançant l'Académie 100K, j'arriverais à ce point à créer une communauté bienveillante, est-ce qu'en plus ça se... Que mes ambitions se ressentent aussi dans mes chiffres, franchement, je ne l'aurais pas cru. Et c'est que la première année de l'Académie 100K. Franchement, il va y avoir plein de choses derrière. Puis bon, je suis assez fière d'avoir passé ce cap des 100K, parce que l'Académie 100K, c'est là pour ça aussi, pour aider les femmes entrepreneurs à passer leurs premiers 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et évidemment, je l'ai fait de nombreuses fois sur ces 11 dernières années d'entrepreneuriat. Là, je démarre ma douzième année d'entrepreneuriat. Mais d'avoir réussi à le faire sur une année 1 du développement d'une nouvelle activité, je suis d'autant plus fière. Et puis, je me suis appliqué la méthode que je transmets aussi. Donc, elle marche cette méthode. Du coup, ça, c'est chouette. Donc, voilà, j'avais envie de vous partager ça juste pour que vous puissiez prendre conscience aussi que rien n'est définitif et que vous pouvez décider de créer quelque chose de grand. Moi, j'ai fini fin 2023, où j'avais commencé à créer mon activité de mentor d'entrepreneur, que je me cherchais un petit peu sur ma cible, sur quoi faire, comment transmettre. J'étais un petit peu dans le flou, vraiment, si je dois être honnête. Et je crois qu'avec mon activité d'accompagnement, coaching, mentorat, je ne sais même pas si j'avais fait 10 000 euros en 2023. Donc voilà, faire 100 000 euros en 2024, en ayant décidé que... de créer quelque chose de plus grand, ça me rend fière aussi. Et pour en arriver là, j'ai testé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. Les entrepreneuses de l'Académie Sanka le savent parce qu'elles me voient au fur et à mesure tester des choses et elles m'ont vu me planter aussi. Mais ça, c'est hyper important que je vous le transmette parce que tout ça, ça ne s'est pas fait en un claquement de doigts. Je me suis vraiment, véritablement trompée un paquet de fois en 2024. Et par contre, je n'ai jamais rien lâché. Et je crois que c'est ça qu'il faut retenir. Et j'en parle suffisamment. D'ailleurs, c'est la thématique de ce podcast aussi, la résilience. Mais vraiment, ne jamais abandonner. Et à chaque fois que je testais quelque chose, je me disais, OK, ce n'est pas grave. Plus ça avançait dans l'année, plus je me disais, je n'ai pas d'attente. Je teste parce que j'ai envie de le tester, parce que ça fait sens pour moi, parce que je suis alignée avec ça. Si ça ne marche pas, ce n'est pas grave, je testerai autre chose. Ça ne s'est pas fait à n'importe quel prix, je vais y revenir après dans les enseignements, mais vraiment, c'était nécessaire aussi de tester à ce point des choses pour ne pas perdre de temps. Je vois beaucoup trop d'entrepreneurs qui testent des choses et qui attendent des mois et des mois pour se dire Ok, est-ce que je vais avoir des résultats ? clairement non, il faut continuer. Si on voit que ça ne fonctionne pas par le chemin A, il faut prendre le chemin B. Et si ça ne fonctionne pas par le chemin B, il faut prendre le chemin C. Et ça, ça a vraiment été ma philosophie. C'est ma philosophie depuis que j'ai démarré dans l'entrepreneuriat. J'ai assez vite appris ça sur le tas aussi, quand j'ai démarré. Mais ça s'est encore plus vérifié cette année. Plus on teste de choses, plus on se rapproche. de la réalité, en tout cas plus on se rapproche de qu'est-ce qui fonctionne pour nous véritablement dans notre business. Donc, j'ai vécu des gros moments de doute, des moments où je me disais, mais est-ce que je ne suis pas juste en train de voir trop grand ? Est-ce que je suis véritablement faite pour ça ? Est-ce que j'ai envie de faire ça ? Enfin, tout un tas de questionnements encore qui, je crois, est la réalité de beaucoup d'entrepreneurs. Il faut qu'on accepte et qu'on ose le dire aussi que non, tout n'est pas tout beau, tout rose. Ça, c'est la réalité d'Instagram et encore que maintenant, ça... Ça change, je trouve, parce que de plus en plus d'entrepreneurs acceptent de dire quand ça ne va pas. Alors d'autres, c'est peut-être, je crois, un peu trop marketing, mais c'est bien de le dire. En fait, c'est bien de montrer que derrière chaque réussite, il y a des difficultés et que le plus important, en fait, c'est de rebondir et c'est de jamais rien lâcher. Donc vraiment, on en vient à mes plus gros enseignements de l'année 2024 et que j'avais envie de vous transmettre. pour vous donner cette chance de partir avec les bonnes bases en 2025 et de vous dire que vous pouvez d'ores et déjà appliquer, si vous le souhaitez, ces enseignements et vous dire que 2025 sera une année extraordinaire pour vous. Et la première chose que je dois vous dire, c'est qu'on doit toujours, toujours, toujours se laisser une chance d'essayer, quitte à se tromper. Vraiment, encore une fois, quand je lance l'Académie 100K, je vous l'ai dit. L'année d'avant, je faisais à peine 10 000 euros de chiffre d'affaires sur mon activité de coaching. Je fais 100 000 euros en 2024. Mais je n'avais aucune certitude. Je ne savais pas si ça allait marcher. Je ne savais pas si la méthode que j'avais développée allait marcher. Je ne savais pas si ma méthode d'acquisition client serait la bonne. Moi, je ne connaissais rien à ce type de business. J'avais développé des entreprises, je dirais, plus traditionnelles. En tout cas, qui n'avaient pas besoin d'une présence sur les réseaux sociaux pour se développer. Qui n'avaient pas besoin de... Je crois que maintenant, toutes les entreprises ont besoin quand même d'être présentes sur les réseaux. Mais moi, quand j'ai démarré dans l'entrepreneuriat, il n'y avait pas tout ça. Il y avait Facebook et puis ça n'avait pas du tout l'importance que peuvent avoir Instagram, LinkedIn et autres aujourd'hui. Donc, je me suis dit, allez, je tente, je tente et je ne sais pas ce que ça donnera. Je ne savais même pas si j'allais avoir des clientes. Quand j'annonce la première fois que je lance l'Académie 100K, c'est sur un workshop que j'organise en présentiel dans ma ville natale. Avec 10 entrepreneurs, j'annonce à ce moment-là que je vais lancer l'Académie 100K parce que j'ai juste l'idée en tête. Et en fait, les choses sont allées assez vite. Donc, une fois que j'ai eu les premiers engagements, je me suis dit, il va falloir se bouger et développer sa méthode maintenant. Parce que ce n'est pas le tout. Il y a des femmes qui sont prêtes à payer pour l'Académie 100K, pour se donner les chances d'accélérer le développement de leur entreprise. Donc, moi, je n'avais plus le choix que de donner mon maximum. pour développer cette méthode. Et encore une fois, quand chacune des entrepreneurs commence à implémenter la méthode, je n'ai aucune idée de ce que ça va donner. Mais je me suis dit, j'y vais, quitte à me tromper, de toute façon, pour le coup, ce qu'on ne m'enlèvera pas, c'est mon expérience dans l'entrepreneuriat, c'est le développement de mes différentes entreprises, puisque du coup, j'en ai développé quatre maintenant. Et puis, la revente de ma société. Il y a plein de choses que j'ai apprises de ces années d'entrepreneuriat, et ça, on ne pourra pas me l'enlever. Donc, je me suis dit, au pire, j'ajusterai, etc. Et du coup, quand j'ai vu les premiers résultats, j'ai été rassurée, mais je me suis laissée la chance d'essayer. Et donc, ça, c'est important. Tester des choses. N'ayez pas peur de vous tromper. Au pire, vous apprendrez quoi. Et la deuxième chose que je veux vous dire, c'est que vous devez y croire avant tout le monde. Personne ne peut plus croire en vous que vous-même. Et je dis ça, et à la fois, il y a souvent les entrepreneurs dans l'académie qui me font ça comme type de retour. Elles me disent, mais merci parce que... Tu as cru en moi et tu m'as permis... Je voyais à quel point tu croyais en moi et ça m'a permis de croire en moi. Mais véritablement, quand même, tout part de vous. Alors, est-ce que parfois, quelqu'un d'extérieur peut donner l'impulsion ? Oui. Mais vous, vous devez croire en vous. Si vous ne croyez pas en vous, ça va se ressentir d'une façon ou d'une autre. Ça se ressentira auprès de vos partenaires, de vos prestataires, de votre entourage personnel, de votre entourage professionnel. Peu importe dans quel contexte, vous devez toujours croire en vous avant tout le monde. Et je sais que ce n'est pas forcément évident, mais pour ça, il y a quelque chose que j'aime bien faire, c'est prendre un bout de papier, un stylo et de se dire, Ok, quelles sont toutes les choses qui me rendent fière ? Qu'est-ce que moi j'ai réussi à faire ? Parce qu'on a tous réussi à faire des choses dans ce monde. dans notre vie perso et dans notre vie pro. Et ça, c'est important d'accepter, de le regarder, parce que c'est aussi ce qui va nous donner l'impulsion, ce qui va nous donner confiance. Ensuite, un des plus gros enseignements aussi que j'ai reçus en 2024, c'est que ce qui fonctionne aujourd'hui ne fonctionnera peut-être pas demain. Je parle de ça sur autant de sujets que, par exemple, une méthode, parce que le business évolue et que je pense qu'il faut continuer à être agile par rapport aux évolutions du marché, de l'entrepreneuriat et du business, etc. Je parle aussi en termes d'acquisition client. Je pense même au podcast, je pense aux réseaux sociaux, Instagram, LinkedIn. Je crois que ce qu'il faut développer aussi aujourd'hui, c'est ce côté un peu funambule. C'est de pouvoir... Avoir l'agilité de modifier certaines choses et de se dire, OK, je vais continuer à tester des nouvelles choses. Et ce n'est pas parce qu'il y a une chose qui a marché à un instant T que ça fonctionnera demain. Moi, je pense notamment à des challenges que j'ai pu mettre en place, qui ont bien fonctionné en termes d'acquisition client, qui ensuite n'ont pas bien fonctionné. Mais ce n'est pas grave. En fait, c'est juste une opportunité de plus de continuer à croître, de continuer à apprendre et de continuer à renforcer notre résilience. Donc, ce n'est pas grave s'il y a des choses qui ne fonctionnent pas. Ce qui est grave, c'est de continuer à avancer, tête baissée, toujours sur la même stratégie, même si on voit que ça ne fonctionne plus. Je dirais même à l'inverse, ce qui ne fonctionne plus aujourd'hui, fonctionnera peut-être demain. Donc là, encore une fois, ne pas hésiter à tester. Il y a tellement de paramètres, on ne peut pas maîtriser tous les paramètres. Puis on ne peut pas identifier à chaque fois pourquoi est-ce que ça fonctionne, pourquoi est-ce que ça ne fonctionne pas. Parce qu'encore une fois, il y a tellement de choses qui peuvent interférer dans le processus. Il faut continuer, tester, réitérer en fait. si ça fonctionne pas là, peut-être que ça fonctionnera dans 6 mois ou dans 12 mois ou peut-être jamais mais en fait si vous testez pas, vous le saurez pas je voulais aussi vous dire que ce qui nous empêche d'avancer ce sont nos propres peurs et ça clairement, je l'ai encore plus perçu en 2024 j'allais dire cette année je m'habitue au fait qu'on soit en 2025 mais je crois que cette année 2024, elle m'a fait remonter à la surface quand même pas mal de peurs la peur de ne pas être assez Ça, c'est quelque chose que je pense que je tiens depuis une paire d'années, si ce n'est depuis mon enfance. Peur de ne jamais être à la hauteur, de ne pas en faire assez, que ce ne soit pas suffisant pour les autres. Enfin bref, la peur de ne pas être assez, c'est quelque chose qui est hyper présent. La peur de manquer, que ce soit le côté financier, que ce soit le côté matériel, etc. La peur de manquer, la peur de l'abandon. Alors celle-là, elle est venue quand même... me prendre de plein fouet, notamment avec les premières entrepreneuses de l'Académie 100K qui ont fini leur cursus et qui ont quitté l'Académie 100K. Ça a été extrêmement dur à vivre pour moi aussi, parce que pendant six mois, on avait créé des liens hyper forts. Et puis du coup, voir ces personnes-là quitter le navire, mais juste parce qu'en fait, elles arrivent à la fin de leur cursus et qu'elles ont besoin de voler leurs propres ailes, c'est vrai que c'est venu chercher quelque chose chez moi. Alors c'est bien parce que... À chaque fois qu'il y a des peurs qui remontent à la surface, je préfère du coup les aborder et voir, OK, pourquoi ça remonte ? Comment est-ce que je peux travailler ça ? Comment est-ce que je peux m'en libérer ? La peur d'être critiquée aussi. Et alors ça, plus on gagne en visibilité sur les réseaux, plus on est sujet à ça. Et les premières critiques que j'ai reçues ont été assez violentes. Pas forcément en termes de mots et tout ça, c'était pas forcément à des personnes qui me manquaient. cruellement de respect, encore que, à partir du moment où on critique ouvertement les gens, je pense qu'on peut quand même considérer que c'est un manque de respect. Mais ce n'était pas violent au point de certaines personnes qui se font critiquer, insulter, etc. Je n'étais pas à ce point-là, mais ça a été quand même assez dur à encaisser, de se dire Ouais, je ne plairai pas à tout le monde et je ne pourrai jamais plaire à tout le monde. Et ça, c'est vrai que c'est une réalité qu'il faut aborder. Et puis, on a beau se le dire, on a beau avoir conscience qu'un jour, on peut être critiqué, que tout le monde ne nous aime pas, etc. Quand on le voit, quand on le lit, quand on le ressent, c'est encore pas pareil. Mais la bonne nouvelle, c'est que les premières fois, c'est dur. Puis plus on avance, plus c'est facile. Et aujourd'hui, je me dis qu'à chaque fois qu'il y a une personne qui me critique, c'est OK. Je me dis que je n'aimerais pas être à la place de cette personne qui, du coup, prend le temps de critiquer ouvertement les autres. parce qu'elle doit vraiment pas être bien dans sa peau. Donc aujourd'hui, je perçois presque la critique comme quelque chose de positif parce que plus on est critiqué, plus on va être aligné avec certaines personnes aussi. Donc bien sûr qu'on ne plaira jamais à tout le monde. Et heureusement, en fait, j'ai envie de dire. Aujourd'hui, je préfère... Je préfère être hyper alignée avec des personnes. Puis d'ailleurs, dans l'Académie 100K, c'est sur candidature et ce n'est pas pour rien parce que j'ai vraiment envie de travailler avec des personnes avec lesquelles je suis alignée. Parce que ma réalité, mon cocon, mon monde de bison-ours, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai envie de continuer, j'ai envie de poursuivre comme ça. Et ce n'est pas juste un business pour être un business. Ce n'est pas juste un business pour toucher un salaire à la fin du mois et générer du chiffre d'affaires. C'est aussi... C'est aussi ma vie, comme c'est notre vie pour chacun d'entre nous en tant qu'entrepreneurs. On met tellement d'énergie dans tout ce qu'on fait que j'estime qu'on mérite de bien vivre nos entreprises et donc de faire des choses qui nous plaisent, des choses avec lesquelles on est alignés, des personnes avec lesquelles on est alignées. Mais tout ça pour dire que derrière toutes nos peurs, se cache réellement le bonheur. Et c'est pour ça qu'il ne faut pas chasser une peur quand elle arrive et qu'il faut savoir aussi l'affronter et élargir sa zone de confort, comme j'aime bien le dire, parce que plus on va travailler sur ces peurs-là, plus on va diminuer la pression sur ces peurs, moins on les ressentira, moins elles seront viscérales. Plus on se sentira bien dans notre vie. Et puis, moi, aujourd'hui, toutes les choses sur lesquelles j'ai dû travailler à titre pro... tellement, tellement, tellement servis dans ma vie perso. Enfin, moi aujourd'hui, je suis aussi beaucoup plus souple, alignée et heureuse, y compris dans ma vie de famille. Et donc, ça, c'est précieux. Je parlais de la critique. Et dans ce sens de la critique, je suis tombée sur une phrase sur les réseaux cette année qui a énormément résonné en moi et que je dois partager avec vous. C'est que la vie des autres n'est que la vie des autres. La vie, L-A-V-I-S. des autres n'est que la vie, V-I-E, des autres. Et ça, c'est tellement puissant, ça va dans le sens de ce que je vous disais, c'est que souvent, une personne qui critique, c'est le reflet de ses propres peurs. Vraiment, pour le coup, ça fait comme un effet miroir. Donc il ne faut pas prendre ses critiques pour nous-mêmes, mais il faut se dire aussi que quand une personne critique, c'est qu'elle a véritablement quelque chose qui vient faire écho chez elle, une peur qui remonte. par rapport à ce qu'on partage ou ce qu'on montre, etc. Et donc, c'est puissant, je trouve cette phrase-là. La vie des autres n'est que la vie des autres. Et ça renforce encore plus cette idée qu'il faut oser mener son propre chemin parce qu'il y aura toujours, toujours, toujours des personnes pour critiquer. Ensuite, par rapport à vous-même, un de mes gros enseignements aussi de cette année, c'est que ce qu'on perçoit comme des défauts, sont bien souvent nos plus grandes qualités. Et ce que j'ai perçu, moi, comme des défauts, des choses que je n'aimais pas et que je détestais chez moi, sont en réalité mes plus grandes qualités. C'est ce que, majoritairement, on est venu me remonter d'un point de vue extérieur, que ce soit de mes clientes ou de personnes qui ne sont même pas clientes d'ailleurs, mais sur les réseaux et autres. Et à commencer par ma voix et mes tics de langage. J'avais fait un épisode sur ce sujet. C'était un sujet qui était assez vif pour moi. et qui avaient failli me freiner dans l'idée de développer mon propre podcast parce que je n'aimais pas ma voix, parce que je trouvais que je ne m'exprimais pas toujours bien, parce que j'avais beaucoup de tics de langage, des phrases aussi parfois qui ne veulent rien dire, des expressions qui ne veulent rien dire. J'adore mixer des expressions. Ce n'est vraiment pas une de mes plus grandes qualités de bien connaître les expressions françaises et du coup, je fais toujours des mixes pas possibles. Et ça, en fait, j'ai eu tellement de retours. hyper bienveillant de personnes extérieures sur ma voix, sur le fait que c'était hyper agréable à écouter et tout ça. Peut-être que ce n'est pas votre cas, je dis ça. En tout cas, j'ai eu beaucoup de retours dans ce sens et c'est venu me réconcilier avec ma voix et ma façon de m'exprimer. Et j'ai appris à me dire que ce ne serait jamais parfait, mais ce qui était le plus important, c'était finalement l'authenticité. Je ne prépare pas, je n'écris pas mes épisodes. Je ne les prépare pas, ce n'est pas tout à fait vrai, je sais toujours ce que je vais aborder avec vous, mais... Mais je ne les écris pas ligne par ligne et je ne lis pas et je laisse cette authenticité. J'ai besoin de ça et j'aime ça. Donc voilà, j'avais vraiment envie de vous partager assez librement ce que j'avais sur le cœur. Et donc, accepter ma voix et mes tics de langage étaient nécessaires. Et donc, quand on reçoit des messages de personnes qui disent En fait, ta voix, elle est juste trop bien pour écouter des podcasts et tout. Ça donne vraiment envie de t'écouter. Je me dis Waouh ! C'est fou parce que genre, c'est ce que je détestais chez moi. Tout comme mon émotivité et mon impatience. C'est vrai que je suis hyper émotive, je pleure facilement. Je transfère aussi, je crois, assez facilement les émotions des autres, etc. Et du coup, mes émotions me gagnent assez souvent, dans les bons et dans les moins bons moments. Mais mes émotions sont quand même assez vives. Et puis mon impatience, j'aime pas. J'aime pas attendre. C'est vrai qu'il faut toujours que ça marche tout de suite. Moi, je vois que j'ai fait 100K. Cette année, aujourd'hui, j'ai un peu du mal à y croire, mais vous auriez vu toute mon impatience tout le long de l'année. Et d'ailleurs, ça aurait pu me coûter cette réussite-là. Mais je crois que derrière chaque défaut, il y a toujours une qualité. Donc ce que je peux dire derrière mon émotivité, c'est que ça a été aussi mon accessibilité. En fait, les gens m'ont vue comme quelqu'un d'accessible et puis qu'ils osaient montrer ce qu'elles ressentaient, ses sentiments, etc. Et en fait, aujourd'hui, je pense que c'est précieux. Et aujourd'hui, je ne le vois même plus comme un défaut. Je me dis que c'est aussi une qualité. Et pour mon impatience, je crois que ça m'a poussée à être toujours dans l'action. Ma capacité à être dans l'action est véritablement ce qui m'a permis d'obtenir ces résultats-là en 2024 et puis de faire tout ce chemin-là aussi dans l'entrepreneuriat. Et aujourd'hui, ça serait peut-être le moment pour vous de vous dire, ok, quels sont mes défauts ? qu'est-ce que je déteste et en fait qu'est-ce qui peut réellement être une qualité si j'accepte de changer de point de vue, si j'accepte de voir différemment avec un autre spectre. Je voulais vous partager aussi que cette année, je me suis rendue compte que moins je regardais ce que faisaient les autres, plus j'étais créative. Je me suis rendue compte que, notamment quand je passais trop de temps sur les réseaux sociaux à regarder ce que faisaient aussi mes concurrents, il faut être honnête, c'est comme si ça m'aspirait le cerveau. Ça me faisait complètement perdre mon unicité, le message que j'avais envie de passer, de défendre, parce que je me disais, peut-être que c'est eux qui ont raison, peut-être que je ne suis pas dans le juste, que je ne suis pas dans le vrai et que ce n'est pas ça qu'il faut dire. Et en fait, ça vient pomper déjà toute son énergie parce que se comparer, c'est vraiment hyper nocif, mais en plus, ça nous empêche de suivre notre propre chemin. Et s'il y a bien quelque chose que j'ai compris aujourd'hui, je ne passe quasiment plus de temps sur les réseaux, je publie. Je crée du contenu sur les réseaux, mais je ne consomme quasiment pas de contenu sur les réseaux. Surtout pas auprès de mes concurrents, de personnes qui se rapprochent de près ou de moins près de ce que je fais, parce qu'en fait, ça me ferait... Et ça m'a fait, même pendant l'année 2024, changer plusieurs fois de stratégie, parce que j'avais peur de ne pas être dans le vrai. Donc vraiment, juste libérez-vous de ça, menez votre propre chemin, faites ce que vous avez envie de faire profondément. Et puis n'oubliez pas que vos échecs seront... Je pense encore plus puissant que vos victoires. En tout cas, moi, c'est vraiment comme ça que je l'ai perçu cette année. Parce que derrière chaque échec, il y avait tellement, tellement, tellement d'enseignements. Que c'est ça qui m'a fait évoluer. C'est ça qui m'a permis vraiment de m'améliorer sur un tas de sujets. Et j'aimerais juste... En tout cas, moi, c'est mon vœu pour 2025. Qu'on accepte d'avoir l'échec comme quelque chose de positif. C'est encore une fois une question de perception. L'échec fait partie du chemin. Et plus on échoue, plus on se rapproche aussi de nos plus grandes victoires. Maintenant, je vais rentrer un peu plus dans un sujet presque personnel.

  • Speaker #0

    On peut vite s'oublier, même quand on sait qu'on peut vite s'oublier. Vous savez que je défends vraiment ce message de réussir à créer une entreprise au service de sa vie, qu'on ne doit pas dévier sa vie à son entreprise. Et si je défends ce message aussi, c'est pour une bonne raison. Je vous l'ai déjà partagé dans le podcast aussi, c'est que... En 2017, j'ai fait une grave hémorragie interne, je ne l'ai pas détectée, je n'ai pas vu ce qui était en train de se passer parce que j'étais beaucoup trop focus sur mon business et que voilà, j'ai pas vu les signes de quelque chose de grave qui était en train de se passer à l'intérieur de moi, parce que l'envie de réussir, parce que l'envie de prouver à la terre entière que j'étais capable et autres qui m'avaient fait dévier en fait de mon écoute de moi-même on va dire. Et depuis ces événements, cet événement-là... Je sais à quel point il faut faire attention. Je sais à quel point il faut toujours se mettre au centre de l'équation parce que quand on est entrepreneur, on est la fondation de notre entreprise. Donc du coup, si on s'oublie et qu'on se perd en chemin, le reste s'oublie avec que ce n'est pas bon pour notre business. Et sur cette fin d'année, ça a été quand même assez challengeant pour moi. Déjà parce qu'il y a eu la conférence TEDx qui m'a vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup pris de temps, de charge mentale, d'énergie, de stress. Et la conférence, la thématique générale des conférences TEDx ce jour-là, c'était s'oublier pour mieux se trouver. Et plus j'avançais dans ma préparation, plus j'avais ce message qui sonnait fort à l'intérieur de moi, qui me disait, en fait, tu vas faire une conférence sur ce sujet-là, mais juste là, est-ce que tu n'es pas de nouveau en train de t'oublier ? Et ça, c'est assez dur. c'est assez dur et je me disais du coup je suis plus pertinente aussi dans le message que je défends, est-ce que comment je fais en fait du coup pour me réaligner alors que je me sentais désalignée et du coup là j'ai perdu complètement le contrôle sur les 4 à 8 dernières semaines je savais plus si j'avais envie de faire ce que j'étais en train de faire, je savais plus si ça faisait sens, je savais plus si j'étais profondément... aligné avec moi-même et ma mission. Et le problème, c'est que quand on se laisse jamais d'air, on a du mal à voir ça. J'ai envie de vous dire, et c'est un des apprentissages aussi, c'est que la Terre ne va pas s'arrêter de tourner si on décide d'appuyer sur pause pendant un moment. Et moi, personnellement, là, j'ai eu besoin de prendre du recul. J'ai eu besoin de prendre du recul sur les réseaux, sur le podcast. J'ai besoin de me recentrer sur ce que je voulais profondément, ce qui faisait sens. Encore une fois, sans aller regarder ce que font les autres, mais juste faire ce travail d'introspection et de se dire, mais qu'est-ce qui est juste pour moi ? Qu'est-ce que j'ai envie de défendre ? Qu'est-ce que j'ai envie de montrer ? Et je vais être honnête, j'avais plein de contenus qui étaient déjà prévus sur le podcast, sur les réseaux. Et en fait, ça ne résonnait pas avec moi parce que je tentais que j'étais en train de me perdre. Et du coup, je n'avais pas envie de partager pour partager. Je me suis dit que j'avais besoin de revenir à moi et de me dire qu'est-ce que j'ai envie de transmettre ? Qu'est-ce que je donne comme conseil aux autres que je suis en train d'oublier, d'appliquer ? Et ça, c'était assez difficile comme exercice, mais surtout très puissant. Et du coup, j'ai accepté d'appuyer sur pause. Et du coup, là, vous n'avez même pas idée à quel point je reviens avec beaucoup plus de clarté. avec un retour à ma mission profonde. Et ça, c'est fondamental, c'est ce que j'espérais, c'est ce que je voulais sur ces dernières semaines. Mais tant que j'avais la tête dans le guidon, je n'y arrivais tout simplement pas du tout. Et je crois que ça a été aussi lié aux faits et à cet enseignement-là aussi que j'ai reçu, c'est que chacun est responsable de ses choix et de ses actions. Et là, je m'explique. Coacher des femmes entrepreneurs au quotidien, c'est pas forcément évident. Parce qu'on connaît toutes, tous et toutes, des moments de up and down. Et moi, mon travail, c'est de réussir du coup à, j'allais dire, diminuer ces downs, diminuer la perception de ces downs que les entrepreneurs peuvent vivre. Et mon objectif, moi, c'est de les tirer vers le haut. Et à un moment, quand moi, je me suis sentie moins bien, je me suis rendue compte à quel point j'avais du mal à tirer les autres vers le haut. En fait, donc, toute l'importance de prendre soin de moi. Mais surtout, ce qui m'a conduite à ça, je crois, c'était le transfert que j'ai pu faire avec mes clientes. C'est-à-dire qu'elles me partageaient leurs victoires et leurs difficultés et leurs échecs. Et en fait, je me suis attribuée cette année et j'ai mis du temps à prendre conscience, mais je m'attribuais chacun des échecs de mes clientes. Et sans avoir la vision positive de l'échec, comme je vous l'ai dit juste avant. Et du coup, j'ai dû apprendre à prendre de la distance. J'ai dû apprendre à éliminer ce schéma dans lequel j'étais, que de transférer et se rappeler que chacun est responsable de ses choix et de ses actions une fois encore. Parce que je donne des conseils, mais la façon dont c'est appliqué... ne relève que de la responsabilité de l'entrepreneuse que je peux accompagner. Et je me disais, ben non, en fait, j'ai une méthode, elle doit fonctionner de la même façon pour tout le monde. Et ça, ça a été dur aussi de voir que tout le monde n'obtenait pas les mêmes résultats. Alors aujourd'hui, je touche du bois, 100% de mes clientes sont ravies, m'ont fait des témoignages juste... Voilà, à chaque fois que je les lis, je me dis, mais vraiment, on parle de moi et de l'académie là. Mais par contre... Toutes n'obtiennent pas le même type de résultat parce que chacun vient chercher aussi à un moment dans sa vie quelque chose de différent. Et il y en a qui ont connu juste des résultats incroyables sur le côté chiffre d'affaires, d'autres c'est plus sur le mindset, etc. Et en fait, encore une fois, tout le monde a la même méthode, tout le monde a accès à la même méthode, mais personne n'en fait la même chose. Donc aujourd'hui, il se passe que tout le monde en fait des choses incroyables. Mais parfois, je me suis quand même sentie frustrée. cette année de voir que je conseillais certaines choses et que c'était pas appliqué, pas implémenté. Mais encore une fois, je ne suis pas responsable de ça et j'ai mis du temps vraiment à prendre cette distance-là. Et si vous êtes des coachs, vous aussi, vous savez à quel point ça, c'est un travail hyper important qu'on doit faire en tant que coach. C'est vraiment de réussir à ne pas s'attribuer tout ce que vivent nos clients. Et vraiment de se dire, chacun sa vie, son chemin aussi. Et moi, je peux juste être là pour améliorer ça, pour améliorer sa vie, pour améliorer son chemin, pour améliorer ses résultats, sans en prendre l'entière responsabilité, parce que c'est aussi hyper dangereux. Je crois que c'est ça qui m'a amenée à me dire, est-ce que j'ai toujours envie de faire ça ? Est-ce que je me sens alignée ? Il y a un moment où, dans l'année, je me suis sentie véritablement nulle. Je me disais, mais en fait, ça ne sert à rien ce que je fais. Bref, mon bref. On aime bien s'auto-saboter. Je crois que c'est un truc assez féminin quand même. Et voilà, du coup, j'ai fait un énorme travail sur tout ça. Et pour en avoir parlé avec certaines de mes clientes en off, je sais que tout ce que j'ai vécu ne s'est pas senti, ne s'est pas vu d'un point de vue extérieur. Mais j'ai justement envie de vous partager ça parce que justement, on ne voit pas ça de la part des gens. Et puis moi, on va juste me coller l'étiquette de... Elle a relancé une entreprise, une activité, et puis en un an, elle fait 100 000 euros de chiffre d'affaires. Mais j'ai juste envie de vous montrer aussi la réalité des choses et ce par quoi on peut passer. Ce podcast s'appelle Imprévu, ce n'est pas pour rien. C'est aussi pour vous expliquer tout ce qui se passe derrière, la réalité de la vie d'un entrepreneur. Donc j'ai moi-même envie de porter ce message haut et fort et puis de vous transmettre les choses aussi en toute transparence. Enfin, je voulais finir par ce dernier enseignement qui a aussi été puissant pour moi en 2024 et qui le sera. tout autant en 2025 et qui j'espère vous portera aussi, c'est que la réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Je vous ai dit tout à l'heure que ce qui marchait à un moment ne marcherait peut-être pas à un autre moment, etc. Mais la réalité dans laquelle vous êtes aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Si vous vous sentez stressé aujourd'hui de reprendre le travail alors que vous vous dites que c'est votre propre entreprise, c'est pas parce que ça se passe comme ça là que ça se passera comme ça la prochaine fois. Ce n'est pas parce que là, vous n'avez pas encore les résultats financiers que vous espérez, que vous n'aurez pas les résultats financiers que vous espérez demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous n'avez pas confiance en vous, que vous n'aurez pas confiance en vous demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous ne vous sentez pas dans la gratitude, dans la fierté profonde de ce que vous êtes en train de faire, que ce ne sera pas le cas demain. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et à chaque jour, vous pouvez décider d'écrire une nouvelle histoire. En fait, chaque jour, c'est un reset. Ce n'est pas juste de passer de 2024 à 2025. Genre chaque jour, on peut faire cette... appuyer sur ce bouton reset et se dire ok, ça c'est pas ok, je veux écrire une autre réalité et ça c'est juste possible en fait. C'est juste possible et heureusement qu'on n'a pas à attendre un passage d'une année à l'autre pour se dire qu'on veut définir d'autres objectifs. Alors c'est bien de se nourrir de ça, c'est bien de se dire à chaque même rentrée scolaire, il y a souvent cet effet-là, tout comme le passage de 2024 à 2025, se dire ok là. C'est bon, je repars avec de nouvelles bases, etc. Mais vous pourriez décider d'avoir le même raisonnement qu'on soit au mois de mars, au mois de mai, au mois de juillet. On s'en fiche, en fait. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et du coup, je ne m'attendais pas à faire un épisode de podcast aussi long. On s'approche des 40 minutes. Donc, vraiment, je vais terminer cet épisode de podcast en vous disant que 2024 m'a véritablement appris à voir grand. Et en 2025, je vais voir encore plus grand ma mission. est tellement plus forte, là je me sens tellement plus alignée, j'ai pu me reconnecter à moi et à ce que je voulais et note à moi-même, je réécouterai cet épisode de podcast si je me perds à nouveau en chemin en 2025, mais à chaque fois que je me sentirai désalignée, il faut que je me reconnecte parce que c'est puissant. Apprendre à perdre du temps pour en gagner, ça je le dis tout le temps aux entrepreneuses de l'Académie 5K et c'est hyper important, parfois on a besoin de perdre un jour, deux jours, genre dix jours peu importe. mais pour gagner tellement de temps derrière. Parce que juste quand on est au bout du rouleau, on est désaligné, de toute façon, on perd du temps. On n'arrive pas à mettre en place les bonnes actions, pas avec la bonne intention. Et donc, il vaut mieux apprendre à perdre un petit peu de temps pour en gagner derrière. Je suis ravie de vous retrouver sur ce podcast. J'en profite pour vous dire aussi que le rythme va changer. En 2000, à partir de septembre 2024, j'avais décidé d'avoir un épisode par semaine sur le podcast avec des capsules Mindset. Force est de constater que c'était trop pour moi sur le podcast et que les capsules Mindset en fait ne raisonnaient pas suffisamment aussi avec ce que je voulais sur le podcast. Les capsules Mindset, si vous aimez, on le retrouvera ça. Je suis en train de préparer quelque chose d'assez fou. probablement pour début 2025, c'est certain, mais début février, je pense. Je ne vous en dis pas plus pour le moment, mais continuez à me suivre sur les réseaux sociaux si vous le faites déjà, si vous ne me suivez pas encore, que vous avez envie de voir tout ce qui se prépare à ce sujet-là, tout ce que je vais pouvoir vous délivrer comme contenu, parce que j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie d'accompagner encore plus d'entrepreneuses. L'Académie 100K est et restera, ça ne bougera pas. mais je vais développer un autre format d'accompagnement et je pense que ça va aider beaucoup de femmes entrepreneurs en 2025 donc voilà moi ça va être mon boulot là sur les prochaines semaines mais le podcast du coup revient à son format initial un épisode tous les 15 jours mais ce ne sera pas nécessairement un épisode solo, une interview, un épisode solo une interview comme je le faisais jusque là il y aura probablement beaucoup plus d'interviews parce que j'ai envie d'avoir des prises de parole ici sur des formats solo et qui ne sont pas forcées, pas parce que je dois publier un épisode solo à ce moment-là. J'ai vraiment envie de le faire parce que ça fait profonder mon sens et je me suis déjà énormément livrée sur ce podcast et je n'ai pas envie de tourner en rond, de vous dire tout le temps les mêmes choses ou alors commencer à créer des messages bateaux pour combler le podcast. Donc voilà, là, on va avoir un cycle de 3-4 interviews qui vont arriver. Je vais vous parler aussi toujours de sujets assez personnels, mais je ferai quand même intervenir des personnes qui pourront évoquer ces sujets personnels avec moi. Donc, il y aura toujours autant d'authenticité, toujours autant de partage puissant et profond sur le podcast. Mais ça va évoluer parce que j'évolue, parce qu'on évolue, parce que les choses changent. Et puis, encore une fois, vous l'avez compris, j'ai vraiment envie de faire les choses en étant profondément alignée. Je n'ai pas envie de poster X fois par semaine parce qu'il faut poster X fois par semaine. Je n'ai pas envie de... j'ai pas envie de m'imposer des choses qui ne feront pas sens parce qu'encore une fois c'est ce qui tue ma créativité c'est ce qui tue le message aussi que je veux faire passer en tout cas je vous souhaite encore une merveilleuse année 2025 merci pour tout ce que vous m'avez fait vivre en 2024 parce que ça a été puissant, merci pour les innombrables messages que j'ai reçus sur les réseaux, que ce soit au sujet du podcast, au sujet de mes contenus sur les réseaux, au sujet de l'académie aussi merci pour tout ça et je vous souhaite juste une... une magnifique année 2025. Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à le partager autour de toi ou sur les réseaux sociaux. Et pour ne pas louper les prochains épisodes du podcast, tu peux t'abonner dès maintenant sur ta plateforme d'écoute préférée. D'ailleurs, si tu m'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, tu peux me laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aidera énormément pour remonter dans les résultats de recherche et faire connaître le podcast au plus grand nombre. En attendant, je te souhaite une très belle journée et je te retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode inspirant.

Description

Cette année encore, j'ai compris que la résilience est essentielle pour surmonter les challenges et les critiques que nous pouvons rencontrer sur notre chemin. Et plus que jamais, je me suis rappelé à quel point il est crucial de prendre des pauses pour se recentrer et se reconnecter à ses valeurs.


Dans cet épisode, je te partage les leçons précieuses que j'ai tirées de l'année 2024 et je célèbre le succès de mon Académie 100K, qui a généré plus de 100 000 € de chiffre d'affaires en un an, un véritable témoignage de ce que l'on peut accomplir en osant entreprendre et croire en ses rêves !


__________


// POUR ALLER PLUS LOIN


L'Académie 100K : L'accélérateur dédié aux femmes entrepreneures

La Check-List 0-100K : Télécharge gratuitement le plan d’action complet pour un business à 6 chiffres


// SOUTENIR LE PODCAST


Si tu aimes ce podcast et que tu veux me soutenir, je t'invite à partager cet épisode autour de toi et à me laisser un commentaire ou une note 5* sur Apple Podcasts ou Spotify.


// SUIVRE MES AVENTURES OU ME CONTACTER


Sur LinkedIn Alexane Roux 

Sur Instagram @alexane_roux 

Sur YouTube @alexaneroux 

Sur mon site web alexaneroux.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous et bienvenue dans le podcast Imprévu. Parce que l'imprévu fait partie de notre quotidien d'entrepreneurs et qu'au-delà de nos réussites, il est temps de valoriser notre capacité à transformer les obstacles en opportunités. Je m'appelle Alexane Roux et comme tout entrepreneur, je me suis beaucoup questionnée, je me suis trompée, j'ai parfois eu peur de tout perdre mais je me suis toujours relevée. Imprévu, c'est le podcast qui vous fait découvrir les dessous de l'entrepreneuriat. On raconte ici des parcours d'entrepreneurs, le mien,

  • Speaker #1

    celui des autres,

  • Speaker #0

    Ces chemins qui peuvent parfois vous sembler tout tracés, mais qui en réalité sont semés d'embûches. On se retrouve un lundi sur deux pour rentrer dans l'intimité de ceux qui inspirent, qui marquent l'histoire à leur façon et qui face à l'imprévu n'abandonnent jamais.

  • Speaker #1

    Je suis hyper heureuse de vous retrouver pour ce nouvel épisode de podcast, le tout premier de 2025. Et après quatre semaines d'arrêt, de pause sur le podcast, il était grand temps que je revienne. J'aurai l'occasion dans cet épisode de vous expliquer... pourquoi j'ai eu besoin de cette pause, qu'est-ce qui s'est passé pour moi sur ces quatre dernières semaines. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je ne peux pas démarrer cet épisode sans vous souhaiter une merveilleuse année 2025. Je vous souhaite beaucoup de bonheur, je vous souhaite de réaliser tous vos projets, je vous souhaite la santé clairement, parce que sans ça, c'est quand même compliqué, on va être tout à fait honnête. Mais je vous souhaite aussi vraiment de vous réaliser pleinement, d'apprendre à vous faire confiance et d'oser voir plus grand. Car s'il y a bien quelque chose que j'ai appris en 2024, c'est ça. Oser voir plus grand, ça nous conduit toujours vers des choses incroyables, insoupçonnées. Je pense que quand j'ai démarré 2024, je n'imaginais même pas tout ce qui allait se passer pour moi en 2024. Je n'imaginais pas que... Je crois que vraiment la chose la plus incroyable que je retiens, c'est de monter sur la scène de Stedix. Et d'ailleurs, j'ai tellement hâte de pouvoir diffuser la vidéo du Stedix pour ceux qui ont envie de voir ma conférence. C'était un moment juste incroyable. Donc bon, bref, passons à autre chose, mais vraiment, osez voir plus grand. C'est vraiment, je pense, la chose la plus précieuse que je peux vous transmettre aujourd'hui. Alors, dans quelques jours, je vais fêter les un an de l'Académie 100K et je devais aussi faire le bilan dans cet épisode de podcast. J'ai animé le premier call de groupe dans l'Académie 100K le 17 janvier, le mardi 17 janvier 2024. Et c'était... hyper stressant. Je m'apprêtais justement à mettre les premières pierres de quelque chose de très grand. Ça me faisait vraiment hyper, hyper peur. J'avais peur de ne pas être à la hauteur. J'avais peur de ne pas être aimée aussi, on va être tout à fait honnête. En fait, j'avais plein de peur. À partir du moment où je me suis dit, je vais créer quelque chose d'incroyable pour les femmes entrepreneurs qui ont envie d'accélérer dans le développement de leur entreprise, pour leur transmettre tout ce que j'ai appris durant ces plus de dix années d'entrepreneuriat. Poum ! derrière je me suis dit mais ouais est-ce que je suis la bonne personne pour faire ça ? Il y a plein d'autres personnes qui le font alors pourquoi est-ce que moi je le ferais ? Et si ça marche pas et si mes clientes n'obtiennent pas de résultat et si elles sont pas contentes ? Enfin bon bref tout un tas de peurs et j'imagine que vous pouvez probablement vous reconnaître en écoutant ça parce qu'à chaque fois qu'on fait quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu et encore une fois qu'on voit plus grand, il y a toujours des peurs qui viennent se déclencher derrière. Mais aujourd'hui, un an après, ce que je peux dire, c'est que ça a dépassé toutes mes attentes et humainement avant tout. Alors, bien sûr que sur le côté business, je me sens hyper heureuse, hyper épanouie, hyper alignée, que mes clientes obtiennent des résultats de dingue et que j'ai une liste de témoignages longue comme le bras. Mais vraiment, ce que je retiens, c'est... C'est toute cette sororité qu'on a réussi à créer. Je dis on parce que vraiment, chacune des entrepreneuses qui est passée dans l'Académie 100K cette année, l'année dernière, a contribué à ça. On a mis en place vraiment un groupe tellement bienveillant, un groupe qui s'engageait pour leur propre réussite individuelle, des femmes qui osaient parler de toutes leurs difficultés pour se dire ok, je le pose là et ce n'est pas quelque chose que je vais récupérer récupérées et que je vais emmener avec moi après. Et des femmes surtout qui se sont soutenues à un point, mais vraiment, où j'avais jamais vu ça, connu ça et j'en suis d'autant plus fière que je suis à la base de tout ça. Mais vraiment, je me dis, mais qu'est-ce que j'ai bien fait de lancer cette Académie 5K pour tout ce que ça m'a permis de voir et de connaître humainement. Parce que j'entends souvent les personnes dire que, voilà, des fois, l'humain est un peu con et qu'il n'y a plus d'espoir et que... Et là, en fait, j'ai tellement vu une autre réalité, j'ai tellement vu à quel point on peut décider de se créer une bulle hyper positive, hyper bienveillante avec des personnes qui le sont, qui sont véritablement bienveillantes. Et dans ce monde, parfois, ça fait du bien, parce que oui, tout ne tourne pas complètement rond. On a vécu quand même ces dernières années des choses qui sont compliquées aussi dans la vie de façon globale. Les guerres, le Covid, le terrorisme, enfin... et voir en fait que maintenant il y a encore... Des personnes qui ont envie de créer cette bulle autour d'eux, ça fait du bien. Et moi, aujourd'hui, j'ai envie de continuer à vivre dans ce monde de bisounours. Alors, bien sûr que parfois, la réalité nous rattrape. Mais en fait, quand on décide que notre quotidien doit devenir quelque chose de positif, s'entourer de personnes qui partagent les mêmes ambitions que nous, tout a tellement une autre saveur. Donc voilà, déjà humainement, c'était incroyable. Et puis, sur le plan financier, je viens de faire mon bilan de l'année 2024. Et je suis hyper, hyper fière de voir que grâce au lancement de l'Académie 100K, j'ai réussi à générer plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires supplémentaire dans ma société en 2024. Et franchement, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai vécu aussi là des up and down. J'ai eu plusieurs mois à zéro et ça peut peut-être vous paraître fou quand je dis que j'ai fait plus de 100 000 euros de chiffre d'affaires avec l'Académie 100K alors que j'ai eu des mois à zéro. Et pourtant, c'est vrai. Et ça fait partie des enseignements que je vais vous transmettre aussi dans cet épisode de podcast. Mais franchement, si on m'avait dit en janvier 2024 qu'en lançant l'Académie 100K, j'arriverais à ce point à créer une communauté bienveillante, est-ce qu'en plus ça se... Que mes ambitions se ressentent aussi dans mes chiffres, franchement, je ne l'aurais pas cru. Et c'est que la première année de l'Académie 100K. Franchement, il va y avoir plein de choses derrière. Puis bon, je suis assez fière d'avoir passé ce cap des 100K, parce que l'Académie 100K, c'est là pour ça aussi, pour aider les femmes entrepreneurs à passer leurs premiers 100 000 euros de chiffre d'affaires. Et évidemment, je l'ai fait de nombreuses fois sur ces 11 dernières années d'entrepreneuriat. Là, je démarre ma douzième année d'entrepreneuriat. Mais d'avoir réussi à le faire sur une année 1 du développement d'une nouvelle activité, je suis d'autant plus fière. Et puis, je me suis appliqué la méthode que je transmets aussi. Donc, elle marche cette méthode. Du coup, ça, c'est chouette. Donc, voilà, j'avais envie de vous partager ça juste pour que vous puissiez prendre conscience aussi que rien n'est définitif et que vous pouvez décider de créer quelque chose de grand. Moi, j'ai fini fin 2023, où j'avais commencé à créer mon activité de mentor d'entrepreneur, que je me cherchais un petit peu sur ma cible, sur quoi faire, comment transmettre. J'étais un petit peu dans le flou, vraiment, si je dois être honnête. Et je crois qu'avec mon activité d'accompagnement, coaching, mentorat, je ne sais même pas si j'avais fait 10 000 euros en 2023. Donc voilà, faire 100 000 euros en 2024, en ayant décidé que... de créer quelque chose de plus grand, ça me rend fière aussi. Et pour en arriver là, j'ai testé beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses. Les entrepreneuses de l'Académie Sanka le savent parce qu'elles me voient au fur et à mesure tester des choses et elles m'ont vu me planter aussi. Mais ça, c'est hyper important que je vous le transmette parce que tout ça, ça ne s'est pas fait en un claquement de doigts. Je me suis vraiment, véritablement trompée un paquet de fois en 2024. Et par contre, je n'ai jamais rien lâché. Et je crois que c'est ça qu'il faut retenir. Et j'en parle suffisamment. D'ailleurs, c'est la thématique de ce podcast aussi, la résilience. Mais vraiment, ne jamais abandonner. Et à chaque fois que je testais quelque chose, je me disais, OK, ce n'est pas grave. Plus ça avançait dans l'année, plus je me disais, je n'ai pas d'attente. Je teste parce que j'ai envie de le tester, parce que ça fait sens pour moi, parce que je suis alignée avec ça. Si ça ne marche pas, ce n'est pas grave, je testerai autre chose. Ça ne s'est pas fait à n'importe quel prix, je vais y revenir après dans les enseignements, mais vraiment, c'était nécessaire aussi de tester à ce point des choses pour ne pas perdre de temps. Je vois beaucoup trop d'entrepreneurs qui testent des choses et qui attendent des mois et des mois pour se dire Ok, est-ce que je vais avoir des résultats ? clairement non, il faut continuer. Si on voit que ça ne fonctionne pas par le chemin A, il faut prendre le chemin B. Et si ça ne fonctionne pas par le chemin B, il faut prendre le chemin C. Et ça, ça a vraiment été ma philosophie. C'est ma philosophie depuis que j'ai démarré dans l'entrepreneuriat. J'ai assez vite appris ça sur le tas aussi, quand j'ai démarré. Mais ça s'est encore plus vérifié cette année. Plus on teste de choses, plus on se rapproche. de la réalité, en tout cas plus on se rapproche de qu'est-ce qui fonctionne pour nous véritablement dans notre business. Donc, j'ai vécu des gros moments de doute, des moments où je me disais, mais est-ce que je ne suis pas juste en train de voir trop grand ? Est-ce que je suis véritablement faite pour ça ? Est-ce que j'ai envie de faire ça ? Enfin, tout un tas de questionnements encore qui, je crois, est la réalité de beaucoup d'entrepreneurs. Il faut qu'on accepte et qu'on ose le dire aussi que non, tout n'est pas tout beau, tout rose. Ça, c'est la réalité d'Instagram et encore que maintenant, ça... Ça change, je trouve, parce que de plus en plus d'entrepreneurs acceptent de dire quand ça ne va pas. Alors d'autres, c'est peut-être, je crois, un peu trop marketing, mais c'est bien de le dire. En fait, c'est bien de montrer que derrière chaque réussite, il y a des difficultés et que le plus important, en fait, c'est de rebondir et c'est de jamais rien lâcher. Donc vraiment, on en vient à mes plus gros enseignements de l'année 2024 et que j'avais envie de vous transmettre. pour vous donner cette chance de partir avec les bonnes bases en 2025 et de vous dire que vous pouvez d'ores et déjà appliquer, si vous le souhaitez, ces enseignements et vous dire que 2025 sera une année extraordinaire pour vous. Et la première chose que je dois vous dire, c'est qu'on doit toujours, toujours, toujours se laisser une chance d'essayer, quitte à se tromper. Vraiment, encore une fois, quand je lance l'Académie 100K, je vous l'ai dit. L'année d'avant, je faisais à peine 10 000 euros de chiffre d'affaires sur mon activité de coaching. Je fais 100 000 euros en 2024. Mais je n'avais aucune certitude. Je ne savais pas si ça allait marcher. Je ne savais pas si la méthode que j'avais développée allait marcher. Je ne savais pas si ma méthode d'acquisition client serait la bonne. Moi, je ne connaissais rien à ce type de business. J'avais développé des entreprises, je dirais, plus traditionnelles. En tout cas, qui n'avaient pas besoin d'une présence sur les réseaux sociaux pour se développer. Qui n'avaient pas besoin de... Je crois que maintenant, toutes les entreprises ont besoin quand même d'être présentes sur les réseaux. Mais moi, quand j'ai démarré dans l'entrepreneuriat, il n'y avait pas tout ça. Il y avait Facebook et puis ça n'avait pas du tout l'importance que peuvent avoir Instagram, LinkedIn et autres aujourd'hui. Donc, je me suis dit, allez, je tente, je tente et je ne sais pas ce que ça donnera. Je ne savais même pas si j'allais avoir des clientes. Quand j'annonce la première fois que je lance l'Académie 100K, c'est sur un workshop que j'organise en présentiel dans ma ville natale. Avec 10 entrepreneurs, j'annonce à ce moment-là que je vais lancer l'Académie 100K parce que j'ai juste l'idée en tête. Et en fait, les choses sont allées assez vite. Donc, une fois que j'ai eu les premiers engagements, je me suis dit, il va falloir se bouger et développer sa méthode maintenant. Parce que ce n'est pas le tout. Il y a des femmes qui sont prêtes à payer pour l'Académie 100K, pour se donner les chances d'accélérer le développement de leur entreprise. Donc, moi, je n'avais plus le choix que de donner mon maximum. pour développer cette méthode. Et encore une fois, quand chacune des entrepreneurs commence à implémenter la méthode, je n'ai aucune idée de ce que ça va donner. Mais je me suis dit, j'y vais, quitte à me tromper, de toute façon, pour le coup, ce qu'on ne m'enlèvera pas, c'est mon expérience dans l'entrepreneuriat, c'est le développement de mes différentes entreprises, puisque du coup, j'en ai développé quatre maintenant. Et puis, la revente de ma société. Il y a plein de choses que j'ai apprises de ces années d'entrepreneuriat, et ça, on ne pourra pas me l'enlever. Donc, je me suis dit, au pire, j'ajusterai, etc. Et du coup, quand j'ai vu les premiers résultats, j'ai été rassurée, mais je me suis laissée la chance d'essayer. Et donc, ça, c'est important. Tester des choses. N'ayez pas peur de vous tromper. Au pire, vous apprendrez quoi. Et la deuxième chose que je veux vous dire, c'est que vous devez y croire avant tout le monde. Personne ne peut plus croire en vous que vous-même. Et je dis ça, et à la fois, il y a souvent les entrepreneurs dans l'académie qui me font ça comme type de retour. Elles me disent, mais merci parce que... Tu as cru en moi et tu m'as permis... Je voyais à quel point tu croyais en moi et ça m'a permis de croire en moi. Mais véritablement, quand même, tout part de vous. Alors, est-ce que parfois, quelqu'un d'extérieur peut donner l'impulsion ? Oui. Mais vous, vous devez croire en vous. Si vous ne croyez pas en vous, ça va se ressentir d'une façon ou d'une autre. Ça se ressentira auprès de vos partenaires, de vos prestataires, de votre entourage personnel, de votre entourage professionnel. Peu importe dans quel contexte, vous devez toujours croire en vous avant tout le monde. Et je sais que ce n'est pas forcément évident, mais pour ça, il y a quelque chose que j'aime bien faire, c'est prendre un bout de papier, un stylo et de se dire, Ok, quelles sont toutes les choses qui me rendent fière ? Qu'est-ce que moi j'ai réussi à faire ? Parce qu'on a tous réussi à faire des choses dans ce monde. dans notre vie perso et dans notre vie pro. Et ça, c'est important d'accepter, de le regarder, parce que c'est aussi ce qui va nous donner l'impulsion, ce qui va nous donner confiance. Ensuite, un des plus gros enseignements aussi que j'ai reçus en 2024, c'est que ce qui fonctionne aujourd'hui ne fonctionnera peut-être pas demain. Je parle de ça sur autant de sujets que, par exemple, une méthode, parce que le business évolue et que je pense qu'il faut continuer à être agile par rapport aux évolutions du marché, de l'entrepreneuriat et du business, etc. Je parle aussi en termes d'acquisition client. Je pense même au podcast, je pense aux réseaux sociaux, Instagram, LinkedIn. Je crois que ce qu'il faut développer aussi aujourd'hui, c'est ce côté un peu funambule. C'est de pouvoir... Avoir l'agilité de modifier certaines choses et de se dire, OK, je vais continuer à tester des nouvelles choses. Et ce n'est pas parce qu'il y a une chose qui a marché à un instant T que ça fonctionnera demain. Moi, je pense notamment à des challenges que j'ai pu mettre en place, qui ont bien fonctionné en termes d'acquisition client, qui ensuite n'ont pas bien fonctionné. Mais ce n'est pas grave. En fait, c'est juste une opportunité de plus de continuer à croître, de continuer à apprendre et de continuer à renforcer notre résilience. Donc, ce n'est pas grave s'il y a des choses qui ne fonctionnent pas. Ce qui est grave, c'est de continuer à avancer, tête baissée, toujours sur la même stratégie, même si on voit que ça ne fonctionne plus. Je dirais même à l'inverse, ce qui ne fonctionne plus aujourd'hui, fonctionnera peut-être demain. Donc là, encore une fois, ne pas hésiter à tester. Il y a tellement de paramètres, on ne peut pas maîtriser tous les paramètres. Puis on ne peut pas identifier à chaque fois pourquoi est-ce que ça fonctionne, pourquoi est-ce que ça ne fonctionne pas. Parce qu'encore une fois, il y a tellement de choses qui peuvent interférer dans le processus. Il faut continuer, tester, réitérer en fait. si ça fonctionne pas là, peut-être que ça fonctionnera dans 6 mois ou dans 12 mois ou peut-être jamais mais en fait si vous testez pas, vous le saurez pas je voulais aussi vous dire que ce qui nous empêche d'avancer ce sont nos propres peurs et ça clairement, je l'ai encore plus perçu en 2024 j'allais dire cette année je m'habitue au fait qu'on soit en 2025 mais je crois que cette année 2024, elle m'a fait remonter à la surface quand même pas mal de peurs la peur de ne pas être assez Ça, c'est quelque chose que je pense que je tiens depuis une paire d'années, si ce n'est depuis mon enfance. Peur de ne jamais être à la hauteur, de ne pas en faire assez, que ce ne soit pas suffisant pour les autres. Enfin bref, la peur de ne pas être assez, c'est quelque chose qui est hyper présent. La peur de manquer, que ce soit le côté financier, que ce soit le côté matériel, etc. La peur de manquer, la peur de l'abandon. Alors celle-là, elle est venue quand même... me prendre de plein fouet, notamment avec les premières entrepreneuses de l'Académie 100K qui ont fini leur cursus et qui ont quitté l'Académie 100K. Ça a été extrêmement dur à vivre pour moi aussi, parce que pendant six mois, on avait créé des liens hyper forts. Et puis du coup, voir ces personnes-là quitter le navire, mais juste parce qu'en fait, elles arrivent à la fin de leur cursus et qu'elles ont besoin de voler leurs propres ailes, c'est vrai que c'est venu chercher quelque chose chez moi. Alors c'est bien parce que... À chaque fois qu'il y a des peurs qui remontent à la surface, je préfère du coup les aborder et voir, OK, pourquoi ça remonte ? Comment est-ce que je peux travailler ça ? Comment est-ce que je peux m'en libérer ? La peur d'être critiquée aussi. Et alors ça, plus on gagne en visibilité sur les réseaux, plus on est sujet à ça. Et les premières critiques que j'ai reçues ont été assez violentes. Pas forcément en termes de mots et tout ça, c'était pas forcément à des personnes qui me manquaient. cruellement de respect, encore que, à partir du moment où on critique ouvertement les gens, je pense qu'on peut quand même considérer que c'est un manque de respect. Mais ce n'était pas violent au point de certaines personnes qui se font critiquer, insulter, etc. Je n'étais pas à ce point-là, mais ça a été quand même assez dur à encaisser, de se dire Ouais, je ne plairai pas à tout le monde et je ne pourrai jamais plaire à tout le monde. Et ça, c'est vrai que c'est une réalité qu'il faut aborder. Et puis, on a beau se le dire, on a beau avoir conscience qu'un jour, on peut être critiqué, que tout le monde ne nous aime pas, etc. Quand on le voit, quand on le lit, quand on le ressent, c'est encore pas pareil. Mais la bonne nouvelle, c'est que les premières fois, c'est dur. Puis plus on avance, plus c'est facile. Et aujourd'hui, je me dis qu'à chaque fois qu'il y a une personne qui me critique, c'est OK. Je me dis que je n'aimerais pas être à la place de cette personne qui, du coup, prend le temps de critiquer ouvertement les autres. parce qu'elle doit vraiment pas être bien dans sa peau. Donc aujourd'hui, je perçois presque la critique comme quelque chose de positif parce que plus on est critiqué, plus on va être aligné avec certaines personnes aussi. Donc bien sûr qu'on ne plaira jamais à tout le monde. Et heureusement, en fait, j'ai envie de dire. Aujourd'hui, je préfère... Je préfère être hyper alignée avec des personnes. Puis d'ailleurs, dans l'Académie 100K, c'est sur candidature et ce n'est pas pour rien parce que j'ai vraiment envie de travailler avec des personnes avec lesquelles je suis alignée. Parce que ma réalité, mon cocon, mon monde de bison-ours, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'ai envie de continuer, j'ai envie de poursuivre comme ça. Et ce n'est pas juste un business pour être un business. Ce n'est pas juste un business pour toucher un salaire à la fin du mois et générer du chiffre d'affaires. C'est aussi... C'est aussi ma vie, comme c'est notre vie pour chacun d'entre nous en tant qu'entrepreneurs. On met tellement d'énergie dans tout ce qu'on fait que j'estime qu'on mérite de bien vivre nos entreprises et donc de faire des choses qui nous plaisent, des choses avec lesquelles on est alignés, des personnes avec lesquelles on est alignées. Mais tout ça pour dire que derrière toutes nos peurs, se cache réellement le bonheur. Et c'est pour ça qu'il ne faut pas chasser une peur quand elle arrive et qu'il faut savoir aussi l'affronter et élargir sa zone de confort, comme j'aime bien le dire, parce que plus on va travailler sur ces peurs-là, plus on va diminuer la pression sur ces peurs, moins on les ressentira, moins elles seront viscérales. Plus on se sentira bien dans notre vie. Et puis, moi, aujourd'hui, toutes les choses sur lesquelles j'ai dû travailler à titre pro... tellement, tellement, tellement servis dans ma vie perso. Enfin, moi aujourd'hui, je suis aussi beaucoup plus souple, alignée et heureuse, y compris dans ma vie de famille. Et donc, ça, c'est précieux. Je parlais de la critique. Et dans ce sens de la critique, je suis tombée sur une phrase sur les réseaux cette année qui a énormément résonné en moi et que je dois partager avec vous. C'est que la vie des autres n'est que la vie des autres. La vie, L-A-V-I-S. des autres n'est que la vie, V-I-E, des autres. Et ça, c'est tellement puissant, ça va dans le sens de ce que je vous disais, c'est que souvent, une personne qui critique, c'est le reflet de ses propres peurs. Vraiment, pour le coup, ça fait comme un effet miroir. Donc il ne faut pas prendre ses critiques pour nous-mêmes, mais il faut se dire aussi que quand une personne critique, c'est qu'elle a véritablement quelque chose qui vient faire écho chez elle, une peur qui remonte. par rapport à ce qu'on partage ou ce qu'on montre, etc. Et donc, c'est puissant, je trouve cette phrase-là. La vie des autres n'est que la vie des autres. Et ça renforce encore plus cette idée qu'il faut oser mener son propre chemin parce qu'il y aura toujours, toujours, toujours des personnes pour critiquer. Ensuite, par rapport à vous-même, un de mes gros enseignements aussi de cette année, c'est que ce qu'on perçoit comme des défauts, sont bien souvent nos plus grandes qualités. Et ce que j'ai perçu, moi, comme des défauts, des choses que je n'aimais pas et que je détestais chez moi, sont en réalité mes plus grandes qualités. C'est ce que, majoritairement, on est venu me remonter d'un point de vue extérieur, que ce soit de mes clientes ou de personnes qui ne sont même pas clientes d'ailleurs, mais sur les réseaux et autres. Et à commencer par ma voix et mes tics de langage. J'avais fait un épisode sur ce sujet. C'était un sujet qui était assez vif pour moi. et qui avaient failli me freiner dans l'idée de développer mon propre podcast parce que je n'aimais pas ma voix, parce que je trouvais que je ne m'exprimais pas toujours bien, parce que j'avais beaucoup de tics de langage, des phrases aussi parfois qui ne veulent rien dire, des expressions qui ne veulent rien dire. J'adore mixer des expressions. Ce n'est vraiment pas une de mes plus grandes qualités de bien connaître les expressions françaises et du coup, je fais toujours des mixes pas possibles. Et ça, en fait, j'ai eu tellement de retours. hyper bienveillant de personnes extérieures sur ma voix, sur le fait que c'était hyper agréable à écouter et tout ça. Peut-être que ce n'est pas votre cas, je dis ça. En tout cas, j'ai eu beaucoup de retours dans ce sens et c'est venu me réconcilier avec ma voix et ma façon de m'exprimer. Et j'ai appris à me dire que ce ne serait jamais parfait, mais ce qui était le plus important, c'était finalement l'authenticité. Je ne prépare pas, je n'écris pas mes épisodes. Je ne les prépare pas, ce n'est pas tout à fait vrai, je sais toujours ce que je vais aborder avec vous, mais... Mais je ne les écris pas ligne par ligne et je ne lis pas et je laisse cette authenticité. J'ai besoin de ça et j'aime ça. Donc voilà, j'avais vraiment envie de vous partager assez librement ce que j'avais sur le cœur. Et donc, accepter ma voix et mes tics de langage étaient nécessaires. Et donc, quand on reçoit des messages de personnes qui disent En fait, ta voix, elle est juste trop bien pour écouter des podcasts et tout. Ça donne vraiment envie de t'écouter. Je me dis Waouh ! C'est fou parce que genre, c'est ce que je détestais chez moi. Tout comme mon émotivité et mon impatience. C'est vrai que je suis hyper émotive, je pleure facilement. Je transfère aussi, je crois, assez facilement les émotions des autres, etc. Et du coup, mes émotions me gagnent assez souvent, dans les bons et dans les moins bons moments. Mais mes émotions sont quand même assez vives. Et puis mon impatience, j'aime pas. J'aime pas attendre. C'est vrai qu'il faut toujours que ça marche tout de suite. Moi, je vois que j'ai fait 100K. Cette année, aujourd'hui, j'ai un peu du mal à y croire, mais vous auriez vu toute mon impatience tout le long de l'année. Et d'ailleurs, ça aurait pu me coûter cette réussite-là. Mais je crois que derrière chaque défaut, il y a toujours une qualité. Donc ce que je peux dire derrière mon émotivité, c'est que ça a été aussi mon accessibilité. En fait, les gens m'ont vue comme quelqu'un d'accessible et puis qu'ils osaient montrer ce qu'elles ressentaient, ses sentiments, etc. Et en fait, aujourd'hui, je pense que c'est précieux. Et aujourd'hui, je ne le vois même plus comme un défaut. Je me dis que c'est aussi une qualité. Et pour mon impatience, je crois que ça m'a poussée à être toujours dans l'action. Ma capacité à être dans l'action est véritablement ce qui m'a permis d'obtenir ces résultats-là en 2024 et puis de faire tout ce chemin-là aussi dans l'entrepreneuriat. Et aujourd'hui, ça serait peut-être le moment pour vous de vous dire, ok, quels sont mes défauts ? qu'est-ce que je déteste et en fait qu'est-ce qui peut réellement être une qualité si j'accepte de changer de point de vue, si j'accepte de voir différemment avec un autre spectre. Je voulais vous partager aussi que cette année, je me suis rendue compte que moins je regardais ce que faisaient les autres, plus j'étais créative. Je me suis rendue compte que, notamment quand je passais trop de temps sur les réseaux sociaux à regarder ce que faisaient aussi mes concurrents, il faut être honnête, c'est comme si ça m'aspirait le cerveau. Ça me faisait complètement perdre mon unicité, le message que j'avais envie de passer, de défendre, parce que je me disais, peut-être que c'est eux qui ont raison, peut-être que je ne suis pas dans le juste, que je ne suis pas dans le vrai et que ce n'est pas ça qu'il faut dire. Et en fait, ça vient pomper déjà toute son énergie parce que se comparer, c'est vraiment hyper nocif, mais en plus, ça nous empêche de suivre notre propre chemin. Et s'il y a bien quelque chose que j'ai compris aujourd'hui, je ne passe quasiment plus de temps sur les réseaux, je publie. Je crée du contenu sur les réseaux, mais je ne consomme quasiment pas de contenu sur les réseaux. Surtout pas auprès de mes concurrents, de personnes qui se rapprochent de près ou de moins près de ce que je fais, parce qu'en fait, ça me ferait... Et ça m'a fait, même pendant l'année 2024, changer plusieurs fois de stratégie, parce que j'avais peur de ne pas être dans le vrai. Donc vraiment, juste libérez-vous de ça, menez votre propre chemin, faites ce que vous avez envie de faire profondément. Et puis n'oubliez pas que vos échecs seront... Je pense encore plus puissant que vos victoires. En tout cas, moi, c'est vraiment comme ça que je l'ai perçu cette année. Parce que derrière chaque échec, il y avait tellement, tellement, tellement d'enseignements. Que c'est ça qui m'a fait évoluer. C'est ça qui m'a permis vraiment de m'améliorer sur un tas de sujets. Et j'aimerais juste... En tout cas, moi, c'est mon vœu pour 2025. Qu'on accepte d'avoir l'échec comme quelque chose de positif. C'est encore une fois une question de perception. L'échec fait partie du chemin. Et plus on échoue, plus on se rapproche aussi de nos plus grandes victoires. Maintenant, je vais rentrer un peu plus dans un sujet presque personnel.

  • Speaker #0

    On peut vite s'oublier, même quand on sait qu'on peut vite s'oublier. Vous savez que je défends vraiment ce message de réussir à créer une entreprise au service de sa vie, qu'on ne doit pas dévier sa vie à son entreprise. Et si je défends ce message aussi, c'est pour une bonne raison. Je vous l'ai déjà partagé dans le podcast aussi, c'est que... En 2017, j'ai fait une grave hémorragie interne, je ne l'ai pas détectée, je n'ai pas vu ce qui était en train de se passer parce que j'étais beaucoup trop focus sur mon business et que voilà, j'ai pas vu les signes de quelque chose de grave qui était en train de se passer à l'intérieur de moi, parce que l'envie de réussir, parce que l'envie de prouver à la terre entière que j'étais capable et autres qui m'avaient fait dévier en fait de mon écoute de moi-même on va dire. Et depuis ces événements, cet événement-là... Je sais à quel point il faut faire attention. Je sais à quel point il faut toujours se mettre au centre de l'équation parce que quand on est entrepreneur, on est la fondation de notre entreprise. Donc du coup, si on s'oublie et qu'on se perd en chemin, le reste s'oublie avec que ce n'est pas bon pour notre business. Et sur cette fin d'année, ça a été quand même assez challengeant pour moi. Déjà parce qu'il y a eu la conférence TEDx qui m'a vraiment beaucoup, beaucoup, beaucoup pris de temps, de charge mentale, d'énergie, de stress. Et la conférence, la thématique générale des conférences TEDx ce jour-là, c'était s'oublier pour mieux se trouver. Et plus j'avançais dans ma préparation, plus j'avais ce message qui sonnait fort à l'intérieur de moi, qui me disait, en fait, tu vas faire une conférence sur ce sujet-là, mais juste là, est-ce que tu n'es pas de nouveau en train de t'oublier ? Et ça, c'est assez dur. c'est assez dur et je me disais du coup je suis plus pertinente aussi dans le message que je défends, est-ce que comment je fais en fait du coup pour me réaligner alors que je me sentais désalignée et du coup là j'ai perdu complètement le contrôle sur les 4 à 8 dernières semaines je savais plus si j'avais envie de faire ce que j'étais en train de faire, je savais plus si ça faisait sens, je savais plus si j'étais profondément... aligné avec moi-même et ma mission. Et le problème, c'est que quand on se laisse jamais d'air, on a du mal à voir ça. J'ai envie de vous dire, et c'est un des apprentissages aussi, c'est que la Terre ne va pas s'arrêter de tourner si on décide d'appuyer sur pause pendant un moment. Et moi, personnellement, là, j'ai eu besoin de prendre du recul. J'ai eu besoin de prendre du recul sur les réseaux, sur le podcast. J'ai besoin de me recentrer sur ce que je voulais profondément, ce qui faisait sens. Encore une fois, sans aller regarder ce que font les autres, mais juste faire ce travail d'introspection et de se dire, mais qu'est-ce qui est juste pour moi ? Qu'est-ce que j'ai envie de défendre ? Qu'est-ce que j'ai envie de montrer ? Et je vais être honnête, j'avais plein de contenus qui étaient déjà prévus sur le podcast, sur les réseaux. Et en fait, ça ne résonnait pas avec moi parce que je tentais que j'étais en train de me perdre. Et du coup, je n'avais pas envie de partager pour partager. Je me suis dit que j'avais besoin de revenir à moi et de me dire qu'est-ce que j'ai envie de transmettre ? Qu'est-ce que je donne comme conseil aux autres que je suis en train d'oublier, d'appliquer ? Et ça, c'était assez difficile comme exercice, mais surtout très puissant. Et du coup, j'ai accepté d'appuyer sur pause. Et du coup, là, vous n'avez même pas idée à quel point je reviens avec beaucoup plus de clarté. avec un retour à ma mission profonde. Et ça, c'est fondamental, c'est ce que j'espérais, c'est ce que je voulais sur ces dernières semaines. Mais tant que j'avais la tête dans le guidon, je n'y arrivais tout simplement pas du tout. Et je crois que ça a été aussi lié aux faits et à cet enseignement-là aussi que j'ai reçu, c'est que chacun est responsable de ses choix et de ses actions. Et là, je m'explique. Coacher des femmes entrepreneurs au quotidien, c'est pas forcément évident. Parce qu'on connaît toutes, tous et toutes, des moments de up and down. Et moi, mon travail, c'est de réussir du coup à, j'allais dire, diminuer ces downs, diminuer la perception de ces downs que les entrepreneurs peuvent vivre. Et mon objectif, moi, c'est de les tirer vers le haut. Et à un moment, quand moi, je me suis sentie moins bien, je me suis rendue compte à quel point j'avais du mal à tirer les autres vers le haut. En fait, donc, toute l'importance de prendre soin de moi. Mais surtout, ce qui m'a conduite à ça, je crois, c'était le transfert que j'ai pu faire avec mes clientes. C'est-à-dire qu'elles me partageaient leurs victoires et leurs difficultés et leurs échecs. Et en fait, je me suis attribuée cette année et j'ai mis du temps à prendre conscience, mais je m'attribuais chacun des échecs de mes clientes. Et sans avoir la vision positive de l'échec, comme je vous l'ai dit juste avant. Et du coup, j'ai dû apprendre à prendre de la distance. J'ai dû apprendre à éliminer ce schéma dans lequel j'étais, que de transférer et se rappeler que chacun est responsable de ses choix et de ses actions une fois encore. Parce que je donne des conseils, mais la façon dont c'est appliqué... ne relève que de la responsabilité de l'entrepreneuse que je peux accompagner. Et je me disais, ben non, en fait, j'ai une méthode, elle doit fonctionner de la même façon pour tout le monde. Et ça, ça a été dur aussi de voir que tout le monde n'obtenait pas les mêmes résultats. Alors aujourd'hui, je touche du bois, 100% de mes clientes sont ravies, m'ont fait des témoignages juste... Voilà, à chaque fois que je les lis, je me dis, mais vraiment, on parle de moi et de l'académie là. Mais par contre... Toutes n'obtiennent pas le même type de résultat parce que chacun vient chercher aussi à un moment dans sa vie quelque chose de différent. Et il y en a qui ont connu juste des résultats incroyables sur le côté chiffre d'affaires, d'autres c'est plus sur le mindset, etc. Et en fait, encore une fois, tout le monde a la même méthode, tout le monde a accès à la même méthode, mais personne n'en fait la même chose. Donc aujourd'hui, il se passe que tout le monde en fait des choses incroyables. Mais parfois, je me suis quand même sentie frustrée. cette année de voir que je conseillais certaines choses et que c'était pas appliqué, pas implémenté. Mais encore une fois, je ne suis pas responsable de ça et j'ai mis du temps vraiment à prendre cette distance-là. Et si vous êtes des coachs, vous aussi, vous savez à quel point ça, c'est un travail hyper important qu'on doit faire en tant que coach. C'est vraiment de réussir à ne pas s'attribuer tout ce que vivent nos clients. Et vraiment de se dire, chacun sa vie, son chemin aussi. Et moi, je peux juste être là pour améliorer ça, pour améliorer sa vie, pour améliorer son chemin, pour améliorer ses résultats, sans en prendre l'entière responsabilité, parce que c'est aussi hyper dangereux. Je crois que c'est ça qui m'a amenée à me dire, est-ce que j'ai toujours envie de faire ça ? Est-ce que je me sens alignée ? Il y a un moment où, dans l'année, je me suis sentie véritablement nulle. Je me disais, mais en fait, ça ne sert à rien ce que je fais. Bref, mon bref. On aime bien s'auto-saboter. Je crois que c'est un truc assez féminin quand même. Et voilà, du coup, j'ai fait un énorme travail sur tout ça. Et pour en avoir parlé avec certaines de mes clientes en off, je sais que tout ce que j'ai vécu ne s'est pas senti, ne s'est pas vu d'un point de vue extérieur. Mais j'ai justement envie de vous partager ça parce que justement, on ne voit pas ça de la part des gens. Et puis moi, on va juste me coller l'étiquette de... Elle a relancé une entreprise, une activité, et puis en un an, elle fait 100 000 euros de chiffre d'affaires. Mais j'ai juste envie de vous montrer aussi la réalité des choses et ce par quoi on peut passer. Ce podcast s'appelle Imprévu, ce n'est pas pour rien. C'est aussi pour vous expliquer tout ce qui se passe derrière, la réalité de la vie d'un entrepreneur. Donc j'ai moi-même envie de porter ce message haut et fort et puis de vous transmettre les choses aussi en toute transparence. Enfin, je voulais finir par ce dernier enseignement qui a aussi été puissant pour moi en 2024 et qui le sera. tout autant en 2025 et qui j'espère vous portera aussi, c'est que la réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Je vous ai dit tout à l'heure que ce qui marchait à un moment ne marcherait peut-être pas à un autre moment, etc. Mais la réalité dans laquelle vous êtes aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Si vous vous sentez stressé aujourd'hui de reprendre le travail alors que vous vous dites que c'est votre propre entreprise, c'est pas parce que ça se passe comme ça là que ça se passera comme ça la prochaine fois. Ce n'est pas parce que là, vous n'avez pas encore les résultats financiers que vous espérez, que vous n'aurez pas les résultats financiers que vous espérez demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous n'avez pas confiance en vous, que vous n'aurez pas confiance en vous demain. Ce n'est pas parce qu'aujourd'hui, vous ne vous sentez pas dans la gratitude, dans la fierté profonde de ce que vous êtes en train de faire, que ce ne sera pas le cas demain. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et à chaque jour, vous pouvez décider d'écrire une nouvelle histoire. En fait, chaque jour, c'est un reset. Ce n'est pas juste de passer de 2024 à 2025. Genre chaque jour, on peut faire cette... appuyer sur ce bouton reset et se dire ok, ça c'est pas ok, je veux écrire une autre réalité et ça c'est juste possible en fait. C'est juste possible et heureusement qu'on n'a pas à attendre un passage d'une année à l'autre pour se dire qu'on veut définir d'autres objectifs. Alors c'est bien de se nourrir de ça, c'est bien de se dire à chaque même rentrée scolaire, il y a souvent cet effet-là, tout comme le passage de 2024 à 2025, se dire ok là. C'est bon, je repars avec de nouvelles bases, etc. Mais vous pourriez décider d'avoir le même raisonnement qu'on soit au mois de mars, au mois de mai, au mois de juillet. On s'en fiche, en fait. La réalité d'aujourd'hui n'est pas la réalité de demain. Et du coup, je ne m'attendais pas à faire un épisode de podcast aussi long. On s'approche des 40 minutes. Donc, vraiment, je vais terminer cet épisode de podcast en vous disant que 2024 m'a véritablement appris à voir grand. Et en 2025, je vais voir encore plus grand ma mission. est tellement plus forte, là je me sens tellement plus alignée, j'ai pu me reconnecter à moi et à ce que je voulais et note à moi-même, je réécouterai cet épisode de podcast si je me perds à nouveau en chemin en 2025, mais à chaque fois que je me sentirai désalignée, il faut que je me reconnecte parce que c'est puissant. Apprendre à perdre du temps pour en gagner, ça je le dis tout le temps aux entrepreneuses de l'Académie 5K et c'est hyper important, parfois on a besoin de perdre un jour, deux jours, genre dix jours peu importe. mais pour gagner tellement de temps derrière. Parce que juste quand on est au bout du rouleau, on est désaligné, de toute façon, on perd du temps. On n'arrive pas à mettre en place les bonnes actions, pas avec la bonne intention. Et donc, il vaut mieux apprendre à perdre un petit peu de temps pour en gagner derrière. Je suis ravie de vous retrouver sur ce podcast. J'en profite pour vous dire aussi que le rythme va changer. En 2000, à partir de septembre 2024, j'avais décidé d'avoir un épisode par semaine sur le podcast avec des capsules Mindset. Force est de constater que c'était trop pour moi sur le podcast et que les capsules Mindset en fait ne raisonnaient pas suffisamment aussi avec ce que je voulais sur le podcast. Les capsules Mindset, si vous aimez, on le retrouvera ça. Je suis en train de préparer quelque chose d'assez fou. probablement pour début 2025, c'est certain, mais début février, je pense. Je ne vous en dis pas plus pour le moment, mais continuez à me suivre sur les réseaux sociaux si vous le faites déjà, si vous ne me suivez pas encore, que vous avez envie de voir tout ce qui se prépare à ce sujet-là, tout ce que je vais pouvoir vous délivrer comme contenu, parce que j'ai envie d'aller plus loin, j'ai envie d'accompagner encore plus d'entrepreneuses. L'Académie 100K est et restera, ça ne bougera pas. mais je vais développer un autre format d'accompagnement et je pense que ça va aider beaucoup de femmes entrepreneurs en 2025 donc voilà moi ça va être mon boulot là sur les prochaines semaines mais le podcast du coup revient à son format initial un épisode tous les 15 jours mais ce ne sera pas nécessairement un épisode solo, une interview, un épisode solo une interview comme je le faisais jusque là il y aura probablement beaucoup plus d'interviews parce que j'ai envie d'avoir des prises de parole ici sur des formats solo et qui ne sont pas forcées, pas parce que je dois publier un épisode solo à ce moment-là. J'ai vraiment envie de le faire parce que ça fait profonder mon sens et je me suis déjà énormément livrée sur ce podcast et je n'ai pas envie de tourner en rond, de vous dire tout le temps les mêmes choses ou alors commencer à créer des messages bateaux pour combler le podcast. Donc voilà, là, on va avoir un cycle de 3-4 interviews qui vont arriver. Je vais vous parler aussi toujours de sujets assez personnels, mais je ferai quand même intervenir des personnes qui pourront évoquer ces sujets personnels avec moi. Donc, il y aura toujours autant d'authenticité, toujours autant de partage puissant et profond sur le podcast. Mais ça va évoluer parce que j'évolue, parce qu'on évolue, parce que les choses changent. Et puis, encore une fois, vous l'avez compris, j'ai vraiment envie de faire les choses en étant profondément alignée. Je n'ai pas envie de poster X fois par semaine parce qu'il faut poster X fois par semaine. Je n'ai pas envie de... j'ai pas envie de m'imposer des choses qui ne feront pas sens parce qu'encore une fois c'est ce qui tue ma créativité c'est ce qui tue le message aussi que je veux faire passer en tout cas je vous souhaite encore une merveilleuse année 2025 merci pour tout ce que vous m'avez fait vivre en 2024 parce que ça a été puissant, merci pour les innombrables messages que j'ai reçus sur les réseaux, que ce soit au sujet du podcast, au sujet de mes contenus sur les réseaux, au sujet de l'académie aussi merci pour tout ça et je vous souhaite juste une... une magnifique année 2025. Si tu as aimé cet épisode, n'hésite pas à le partager autour de toi ou sur les réseaux sociaux. Et pour ne pas louper les prochains épisodes du podcast, tu peux t'abonner dès maintenant sur ta plateforme d'écoute préférée. D'ailleurs, si tu m'écoutes sur Spotify ou Apple Podcast, tu peux me laisser un avis 5 étoiles. Ça m'aidera énormément pour remonter dans les résultats de recherche et faire connaître le podcast au plus grand nombre. En attendant, je te souhaite une très belle journée et je te retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode inspirant.

Share

Embed

You may also like