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L’INDOMPTABLE Podcast par Mélanie Fortin

Je réponds à 10 des meilleures questions que j'ai reçue sur l’entrepreneuriat et autres sujets ! E88

Je réponds à 10 des meilleures questions que j'ai reçue sur l’entrepreneuriat et autres sujets ! E88

49min |20/06/2024
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L’INDOMPTABLE Podcast par Mélanie Fortin

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49min |20/06/2024
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Description

"La véritable force d'un entrepreneur réside dans sa persévérance à surmonter les défis; c'est ainsi que nous atteignons non seulement nos objectifs, mais que nous enrichissons et inspirons véritablement notre communauté." - Mélanie Fortin

🚀 "Aujourd'hui dans l'épisode 88, on change de format ! Récemment, j'ai défié ma communauté : 'Demandez-moi n'importe quelle question, peu importe le sujet'. La réponse? Une avalanche de questions incroyablement intéressantes et variées!


Étant donné la grande quantité de questions reçues, il m'est impossible de répondre à toutes les questions dans un épisode ! J'ai donc soigneusement choisi quelques questions qui résument les questions que je reçois régulièrement.


Es-tu prêt à découvrir ces réponses ? Elles vont non seulement piquer ta curiosité mais également t'offrir des outils pratiques et démystifier certaines idées préconçues sur l'entrepreneuriat et le behind the scène.


À travers mes réponses, je te partage des stratégies efficaces, je démystifie les fausses croyances, et je te partage des conseils pratiques issus de mes expériences personnelles et professionnelles.


Bonne écoute !


Les liens pour me rejoindre :

Pour découvrir le Mastermind le Club des Maîtres : https://melaniefortin.mykajabi.com/mastermind-club-des-maitres

Mon groupe Facebook La Tribu des entrepreneurs indomptables : https://www.facebook.com/groups/339664020169546

Outil gratuit - 5 étapes infaillibles pour créer une offre qui a du punch! : https://melaniefortin.co/outil-gratuit

Chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCWUrRmqdzYv6S3QJTdLWAJw 

Mon courriel : info@melaniefortin.co

Mon site web : https://www.melaniefortin.co/

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    L'Indomptable est le podcast pour les entrepreneurs, coachs et experts qui désirent apprendre, s'inspirer et se faire challenger dans le but d'assumer totalement qui ils sont. À travers l'Indomptable, je te dévoile les hauts et les bas de l'entrepreneuriat à la sauce raw. Le tout livré sans filtre. Excite le politically correct, la censure et le statu quo. Je vais te partager mes réflexions du moment, du contenu divertissant avec quelques montées de lait à l'occasion et des stratégies audacieuses. basé sur mes expériences qui m'ont permis de bâtir une entreprise prospère. Si tu désires sortir du moule, laisser ta marque, augmenter ton influence et surtout devenir indomptable en affaires, tu es à la bonne place. Bonjour tout le monde et bienvenue à l'Indomptable Podcast. Aujourd'hui, c'est un épisode complètement différent. Pourquoi ? Bien, il y a quelques temps, j'ai demandé à vous, à ma communauté, de me poser une question ou plusieurs questions. Ask me anything. Et là, dans ces feuilles-là, j'ai une partie de toutes les questions que vous m'avez posées. Avec la quantité que j'ai reçue, c'est clair que je ne pourrais pas tout y répondre, mais on va commencer par le commencement. J'ai justement sélectionné certaines questions que je trouve hyper pertinentes et que je suis convaincue que ça va aider plusieurs d'entre vous. Vous saurez me le dire. Première question de Stéphanie Schmitt. Elle me demande, Mélanie, qu'est-ce qui fait en sorte... qu'on n'a pas atteint encore nos objectifs, et ce, malgré le fait qu'on travaille d'arrache-pied, qu'on travaille fort, qu'on travaille tout le temps. Pourquoi je n'ai pas... Fort probablement, OK ? Et ça, c'est bon pour tout le monde. Ce n'est pas parce qu'on travaille très, très fort, tout le temps. Tu sais, là, on n'arrête pas, 7 jours sur 7, qu'on va automatiquement réussir. La question qu'il faut que tu te demandes, Stéphanie, et pour tout le monde qui vit une situation similaire, est-ce que tu te concentres sur les choses qui sont les plus importantes ? Est-ce que tu te concentres sur les projets, les choses qui sont payantes ? Est-ce que tu te concentres sur les bonnes priorités, les bonnes actions ? Et ça, c'est vraiment hyper important. Rendre du recul et de demander ces questions-là. Combien de fois j'ai vu ça, surtout dans le corpo, à quel point on travaille beaucoup, beaucoup, beaucoup, fort, fort, fort, parce que c'était, d'après moi, une des plus grandes croyances en business. Il faut travailler fort pour avoir du succès. Aujourd'hui, pour moi, c'est totalement différent. Tu dois travailler intelligemment. Travailler intelligemment, c'est de savoir te poser les bonnes questions. Question numéro 2 de Lisons le 5. Lisons, tu m'as posé plusieurs super bonnes questions. J'en ai sélectionné une que je trouve hyper intéressante. Lisons, elle me demande... Comment ta formation, tes certifications, tes diplômes, influencent-elles ta pratique quotidienne ? Est-ce que j'ai envie de te dire, lisons, et on va prendre un peu plus de hauteur, ce que j'entends souvent comme question ou qu'on me demande souvent, Mélanie, est-ce qu'il faut absolument un diplôme, des certifications, un nom bien calculable de formation en ligne pour pouvoir vraiment réussir ? Je te dirais que c'est plus l'ensemble... de la profondeur de mon expérience, de mon expertise qui fait la différence. Oui, ça ne peut pas nuire d'avoir des diplômes, des certifications, des formations, mais ce n'est pas ça qui va faire la différence. C'est l'ensemble de tes actions. C'est l'ensemble de ce que tu vas faire au quotidien. Et ça, c'est important que tu gardes ça en tête. Et au niveau des formations, je veux dire, combien de fois j'ai vu des gens… enfiler formation après formation après formation après formation. Je les appelle les boulimiques de la formation. À un moment donné, demande-toi, est-ce que c'est réellement une dixième formation en ligne que j'ai de besoin ou un énième certificat, diplôme que j'ai de besoin pour réellement réussir avec ma business ? Alors, au final, assurez-vous et lisons, assure-toi que, oui, tu as des diplômes, oui, tu as de l'expérience, oui, il y a plusieurs aspects dans ton parcours probablement que tu es capable de mettre ensemble. Et regarde le tout comme c'est vraiment l'ensemble de la profondeur de tes actions, expertise, diplômes et tout qui fait, qui va faire en sorte justement que tu vas pouvoir démontrer ta crédibilité. Et je pense que quand on parle de profondeur d'expérience… C'est beaucoup en lien avec ça, de quelle façon vous êtes capable, de quelle façon, disons, tu es capable de démontrer justement ta crédibilité. Et si je fais un lien avec mon expérience, la profondeur de mon expérience, c'est ça qui fait vraiment la différence aujourd'hui. Je vais parler évidemment de les 25 années d'expérience que j'ai eues dans les grandes entreprises, les grands postes que j'ai occupés dans le corpo. Le fait que j'ai été dans un mastermind quatre ans, j'ai un baccalauréat en administration marketing, j'ai des certifications de coaching, d'affaires, PNL, je veux dire, il y a tellement de choses qu'au fil des années, je suis capable de dire, ça, c'est l'ensemble de mon expérience. Et plus on va justement parler de l'ensemble de l'expérience, plus on va être en mesure justement d'être capable d'aller voir, OK, quelles sont justement les compétences que j'ai développées suite à ça. Prochaine question de Stéphanie Racine. Stéphanie, elle me demande, Mélanie, comment on peut s'assurer qu'on pratique de la bonne manière, qu'on pratique avec les bonnes directives, la bonne direction, qu'on va utiliser les bons mots, qu'on va créer le bon contenu au quotidien ? Déjà là, Stéphanie, arrête de t'enfarger dans les mailles du tapis, OK ? C'est tout le temps, comme je dis souvent, c'est dans l'action que ça se clarifie. La meilleure façon et le meilleur indicateur que tu peux savoir si tu es justement dans la bonne direction, c'est de faire des essais. Fais des essais erreurs. Et si c'est le moment que tu vas commencer à avoir des résultats positifs suite à tes actions, c'est là que tu vas savoir que, OK, ça fait du sens. On ne peut pas... dépendre de quelqu'un à côté de soi constamment pour savoir si on fait la bonne chose. À un moment donné, c'est qu'il faut prendre un leap of faith, il faut aller de l'avant. C'est dans l'action que tu prends confiance en tes capacités. C'est dans l'action que ça va se clarifier. Et c'est dans l'action que tu vas savoir, en expérimentant, en faisant des essais rares, que tu vas savoir si tu es sur la bonne voie. Puis le meilleur, meilleur, meilleur indicateur, c'est Oh, est-ce que j'ai des résultats suite à mes actions ou non ? Si tu n'as pas encore des résultats à la hauteur de tes attentes, mais il y a quelque chose à ajuster, il y a une action qu'il faut que tu changes, il faut que tu réorientes quelque chose. Et comme je me dis souvent, oui, ce n'est pas toujours facile, right, de faire une action. On va avoir peur. La peur du jugement, la peur d'avoir de l'air ridicule, la peur de ne pas savoir quoi dire, la peur de ne pas faire la bonne chose, la peur de ne pas être assez. Mais dis-toi que c'est dans l'adversité que tu te définis. que tu te construis et que tu es en train de devenir la personne que tu sais et que tu désires être. Prochaine question de Mireille Chevalier, et je vais dire aussi Brigitte Brabant, parce que les questions se ressemblent beaucoup. Dans le fond, les filles me demandaient, c'est quoi les compétences, les habitudes clés à développer pour pouvoir développer une entreprise prospère ? Dans le fond, c'est quoi les, je dirais, les accélérateurs, les compétences qui vont accélérer ta croissance ? C'est sûr qu'on va parler, bien oui, il faut avoir des bonnes habitudes, il faut avoir une bonne routine, il faut avoir un mindset fort, oui, oui, oui, oui, oui, OK ? Mais il y a des choses, il y a des aspects, des compétences, des expertises spécifiques qu'on ne parle pas assez et qui vont vraiment faire la différence. Numéro un, est-ce que tu as un système D bien développé en toi ? Système D pour débrouillardise. Et une des choses que je me souviens, quand j'étais dans le corpo, je pouvais voir en un claquement de doigts lequel de mes directeurs dans mon équipe allait réussir ou pas. Et souvent, cet indicateur-là, c'est j'ai quelqu'un qui a les bras croisés, qui attend que je le forme, tandis qu'il y en a un autre, OK, qui va se retrousser les manches, all right, je m'en vais chercher l'information, je prends en charge mon développement, ma progression, ma formation. Ça, c'est un, je dirais, une des compétences, un aspect qui va faire... toute la différence. Alors, demande-toi, penses-tu que tu as un système D bien développé ? Si ce n'est pas le cas, je t'invite à être davantage curieux. Fais des recherches, pose des questions, prends charge, prends les devants pour ton développement. N'attends pas après personne. Un autre aspect que je parle souvent, on en parle, mais je ne pense pas qu'on réalise la puissance de cette, je dirais, c'est une compétence. Est-ce que c'est une compétence ? C'est plutôt un trait de personnalité ou un aspect à développer. C'est la persévérance. Neuf personnes sur dix, en général, lorsque c'est le temps de persévérer, ne vont pas réussir à persévérer. Au lieu de persévérer pour continuer ton chemin, puis de t'en aller, de te diriger vers ton objectif, Ah oui ! ils vont bifurquer à gauche, oh, bifurquer à droite, oh, peut-être. Pourquoi ? C'est que là, ce que j'observe, après avoir accompagné des milliers de personnes, des coachs, des entrepreneurs, dirigeants, leaders, C'est plus facile de trouver un autre chemin, d'essayer quelque chose de plus facile. Oh, le shiny object. Oh, une nouvelle stratégie. Oh, il y a une nouveauté ici. C'est pour ça que quand c'est le temps de persévérer, ou des fois ça me fait penser, il y a des gens qui me disent Hey Mélanie, là je suis vraiment en train de persévérer en ce moment. Euh, non. Pourquoi ? Quand c'est le temps de persévérer, t'as pas un sourire dans la face. Souvent c'est que t'as un genou, voire deux genoux à terre, t'es découragée, t'es assoute, t'es abandonnée. Mais il y a quelque chose en toi, une force, une puissance. un courage que tu n'avais pas vu jusqu'à présent, qui va te permettre de faire le petit pas de plus et qui va te permettre de continuer. La persévérance, c'est comme un marathon. C'est la game, c'est la longue game. Alors, tu veux réussir en business, tu désires scaler ta business. Es-tu prêt à jouer la long game, la game de patience ? Et ça, c'est un aspect qui est trop sous-estimé. On est trop à la recherche du get rich quick On est trop à la recherche de c'est quoi la stratégie de l'heure qui va m'assurer sans aucun doute la réussite ? Ça n'existe pas. Oubliez ça. There is no such thing. Ça, c'est réglé. Un autre aspect aussi. on n'en parle pas assez. Et ça, c'est un de mes mentors qui m'a dit ça il y a 25 ans. Ça m'a marquée. Pour pouvoir réussir à la hauteur de ses aspirations. Ou bien, ça c'est quelque chose qu'on me dit souvent, mes clients me demandent, Oh Mélanie, moi je veux impacter plein de monde. Qui sait qui ne veut pas impacter plein de monde, right ? On veut tout impacter les gens autour de nous. C'est plaisant d'impacter et de savoir qu'on a eu un impact. Mais pour être en mesure d'impacter positivement et en puissance les gens qui nous entourent, Il faut d'abord être un champion of people. Et ça, c'est une phrase que mon mentor de l'époque me dit. Mélanie, tu veux réussir là ? Tu veux te rendre là ? À l'époque, pour moi, mon but, c'était d'être présidente d'une grande entreprise canadienne. Laquelle ? Pas grave, pas grave, je vais être présidente. Il m'avait dit, et c'est drôle parce que je ne pensais pas que ça aurait été de mon entreprise. Fait que, yes ! Mais bref, à l'époque, Mélanie, tu veux te rendre là ? Pour te rendre là, il y a un élément. essentiel que tu dois développer. J'étais début vingtaine. Be a champion of people. Sois au service des gens. donne, vois comment tu peux les aider. Parce que dans la vie, il y a deux types de personnes. Il y a des givers, qui sont des champions of people, puis il y a des takers, qui ne donnent pas vraiment, mais qui vont aller prendre peu importe quoi, un peu partout. Malheureusement, il y en a un peu trop, des takers, dans notre marché général, sur le web. Mais il y a aussi beaucoup de givers. J'ai envie de te demander, es-tu un taker ou un giver ? Prochaine question de Josée Bernier. Ça va être une quickie, mais je la trouve super intéressante. Elle me demande... Mélanie ! Depuis que tu es en business, as-tu déjà pensé abandonner l'entrepreneuriat ? Non, jamais. Jamais, jamais, jamais. Ça ne veut pas dire qu'il y a des moments et des journées que... Tu sais, là, c'est ça. Des journées que j'ai envie de prendre congé. Mais il y a une différence entre j'ai envie de prendre une couple de jours de congé pour me reposer versus, hostie, dans quoi je me sens embarquée ? Non. Mais là, en ce moment, les gens ne le savent pas, mais je suis en présence de ma super adjointe, Stéphanie Chichou, qui est de l'autre côté. Oui, fait que... deux, trois ans, j'aurais fait ça, elle serait liquifiée sur le sofa. Elle serait jamais venue ici. Es-tu d'accord ?

  • Speaker #1

    Je suis très d'accord.

  • Speaker #0

    J'ai envie de faire venir Stéphanie ici parce que j'ai envie de se poser une question. Ça a un lien avec la question de José Bernier. Stéph, tu te rappelles-tu la première année quand on est parti en business ? La lune de miel dans laquelle on était.

  • Speaker #1

    Tout à fait. On était comme Oh my God, wow !

  • Speaker #0

    Plus de trafic ! Plus de trafic ! Oh my God ! On s'appelait As-tu vu ça ? Il neige ! On n'est pas obligés de sortir de la maison ! Oh my God, oh my God ! Au début, on s'entend-tu ?

  • Speaker #1

    C'était vraiment la lune de miel. Wow !

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, après, ça va faire six ans, cinq ans. Comment tu définirais ? C'est peut-être plus... C'est différent de la lune de miel. Je te mets sur le spot et je suis tellement fière de toi. J'en viens pas que t'es venue. Ça, j'aime ça. Ça, c'est de la progression. C'est fou comment Stéphanie a progressé. Autre que le fait que c'est ma super adjointe, super Stéphanie, c'est aussi une grande amie et c'est mon ancienne partenaire. de kickboxing. C'est bon. C'est bon. Ça, ça veut dire que je suis trop prévisible. Il faut que je travaille là-dessus. Mais dis-moi donc, Stéphanie, aujourd'hui, autre le fait, ce n'est pas de la lune de miel. Comment tu définirais justement l'entrepreneuriat après cinq ans ?

  • Speaker #1

    Je dirais que c'est tout un chemin, vraiment. Beaucoup de questionnements, c'est pas toujours facile. Puis même si des fois, on se dit, Ah, j'ai des doutes, est-ce que je fais la bonne chose ? Ça a toujours été la meilleure décision, c'est de persévérer, sortir de sa zone de confort tout le temps, tout le temps. Puis ça fait tellement grandir en tant que... humain, puis on fait des choses qu'on ne pensait pas faire, comme me voilà devant la caméra.

  • Speaker #0

    Excellent ! Ça paraît qu'on se connaît. Merci Stéphanie ! Je suis tellement fière d'elle. C'est ça, la progression, c'est ça, les sorties de zone. Je vous le dis, il y a deux ou trois ans, ça serait liquifié sur le sofa. Ça, on le sait. Puis des fois, le fait que c'est mon ami, que c'est mon allié... Puis, étant coach dans l'homme, je ne peux rien faire, c'est là. Bien, je vais la mettre des fois dans des situations qui font vraiment la challenge. Donc là, des fois, c'est ça qui est le fun, faire du contenu comme ça. On va passer par Shibugamo, bien, je trouve ça le fun. Pour finalement, la réponse à Josée était bien, était assez simple. Non, je ne regrette pas du tout. Puis, c'est drôle parce que quand on le sait que l'entrepreneuriat, c'est un monde, on est comme dans une matrice à l'extérieur de la société par moments. Je me sens comme ça, je ne sais pas pour vous. Mais... si je regarde mon conjoint, mes amis, ma famille qui sont dans le système, combien de fois on m'a demandé Tu regrettes-tu ? On dirait ce que je perçois. Qu'est-ce qui est en dessous de ça ou en arrière de cette question-là ? C'est avouer que tu regrettes et que tu étais donc bien dans ton poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise canadienne. Non. Comme non. Je pensais que c'était ça, la réussite. Ça, c'est la réussite sociale aux yeux de la société. Oh my God, t'as atteint le gros poste. Mais c'est parce que dans notre société aujourd'hui, c'est fou, pareil, comment on fabrique des soldats. On fabrique des salariés. C'est ça, pareil. Bref, des fois, je peux aller bien loin, donc je vais m'arrêter là. Non, je ne regrette pas du tout. Et pour tout le monde, un dernier point là-dessus. Quand vous êtes découragé, Souvent, c'est ces passagers. Il n'y a rien, rien, rien qui est permanent. Autant les bonnes journées, autant les moins bonnes journées. Il n'y a rien qui est permanent. Quand ça ne va pas, prends du recul, prends soin de toi, fais quelque chose qui te fait du bien. Prends le temps de te ressourcer, de recharger tes batteries et après, là, redemande-toi. Est-ce que j'ai envie d'abandonner ou est-ce que je regrette ? Non, fort probablement que quand tu vas être au meilleur de ta forme, je suis convaincue que tu vas être super motivé. Prochaine question de Véronique Brouillette. Une question que je me fais demander souvent, comment je fais, Mélanie, pour passer d'une entreprise qui, en ce moment, est quasiment uniquement en présentiel, en virtuel ? Mettons que Véronique, en ce moment, c'est 90-10, puis là, elle aimerait avoir un 50-50. Réponse super simple. Dans le fond, Véronique, toutes les stratégies que tu as actuellement en présentiel, c'est pas mal les mêmes en virtuel. C'est juste que tu vas l'offrir. à justement un plus grand nombre de personnes. Mais si tu as une page d'inscription, par exemple, pour s'inscrire à un atelier, une formation en présentiel, bien, c'est la même chose en virtuel. C'est le format qui va changer en bout de ligne. Et je trouve qu'on va se casser la tête tellement par rapport à ça. Comment je fais ? Ma phrase qui me monte, qui vient là, c'est Just do it C'est tout. Arrêtez de vous enfarger dans les fleurs du tapis. D'arrêter. ou plutôt d'essayer d'avoir la réponse parfaite, de tout planifier, de tout, OK, j'ai-tu ça, j'ai-tu pensé à ça, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça, puis là, un mois plus tard, j'ai-tu pensé à ça, qu'est-ce qu'il faut que je fasse, qu'est-ce qui manque, deux mois plus tard, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça ? On arrête. Allez expérimenter. Comme je dis souvent, je l'ai dit précédemment, tout se clarifie dans l'action. Alors, va le tester. Oui, je pourrais te donner tous les micro-détails qui sont, mettons, les petites différences entre les deux, mais overall, c'est pas mal la même chose. Alors, ce que tu as présentement en présentiel, essaie le tout en virtuel. C'est le format, l'endroit, la façon d'assister à ce que tu fais. Et toi, pour livrer ta formation, ton contenu, que tu sois devant une caméra comme en ce moment, que tu sois devant un ordi ou devant les gens, c'est la même chose. Une autre croyance qu'on me dit souvent... Ah, Mélanie, c'est pas pareil en virtuel. Mettons, en virtuel versus présentiel, je me sens pas aussi bien. C'est juste que tu l'as pas faite ou peu faite. C'est juste dans la pratique. Pratique, pratique, pratique. Ou bien un autre, souvent, une autre question. Ah, le coaching individuel. c'est plus puissant que du coaching de groupe. Non. Ça, c'est une des plus grandes croyances erronées que j'ai entendues dans ma carrière. C'est plutôt, est-ce que tu as... Il faut que tu regardes si tu es la bonne personne pour t'aider par rapport à ce que tu as besoin. Là, je m'en vais encore très loin. J'y reviendrai sur cette question-là qui me passionne, mais au final, Véronique, super simple. Just do it. Ce que tu fais présentement en présentiel, applique-le tout. La même chose en virtuel. Je n'ai aucun doute que ça va fonctionner. visite un peu plus, peut-être, certaines peurs, craintes, croyances qui sont là, qui t'empêchent à faire le move, je dirais, totalement. Prochaine question de ma belle Joannie Nolet qui demande, Mélanie, comment je peux faire pour que les entrepreneurs puissent vraiment prendre au sérieux leurs chiffres ? Qui comprennent plutôt l'importance de bien comprendre ses chiffres. Je dirais, Joannie, dans n'importe quel contenu, peu importe le sujet, c'est dans la façon que tu vas le présenter. Si ton sujet est moins sexy, moins excitant, il faut quand même le dire, les chiffres, la comptabilité, les finances, c'est un petit peu plus challengeant de capter l'attention de ton audience, c'est de présenter ton contenu de différentes façons. Essaie d'aller voir sur les tendances sur le web. Essaie de peut-être faire du contenu, faire une vidéo avec quelqu'un, amener un côté ludique. Oui. quand on crée du contenu, si notre intention, c'est que je veux que les entrepreneurs réalisent à quel point c'est absolument essentiel qu'ils comprennent leurs chiffres, bien, ils doivent comprendre en un claquement de doigts What's in it for me ? Je le sais, c'est évident de Mélanie. On le sait tous, c'est important. Oui, mais la majorité des gens le font pas. Fait que bref, voici où nous en sommes. Et c'est de voir, bien, rapidement, c'est quoi le bénéfice ? Bien, ça va m'aider à prendre de meilleures décisions. ça va m'aider à ne pas frapper un mur parce que j'ai tellement investi que, oups, j'ai pas regardé mes chiffres, j'ai pris des mauvais calques, puis là, je me retrouve en précarité financière. C'est pas ce qu'on veut. Ou bien, ça peut être un angle, comment maximiser, justement, sa liberté financière. Bref, sky's the limit. Mais le point le plus important pour n'importe qui, quand votre sujet est un peu plus sérieux, moins sexy, moins comme, je veux absolument le consommer, trouver peut-être un angle différent, ludique, amener de l'humour, faire des contenus différents. Parce qu'aujourd'hui, ce n'est plus genre comme bonjour, alors aujourd'hui, je vais vous parler, je vais vous enseigner A, B, C, D. Ça ne marchera plus, ça c'est sûr. Fait que, un pensez-y bien. Prochaine question. Cette question-là me fait sourire et on me la pose régulièrement. Et quand j'ai lu la question de Véronique Plante, il a fallu que je réfléchisse comme trois secondes. Je ne suis pas sûre de la réponse, tellement que c'est inné en moi. Véronique, elle me demande, Mélanie, d'où te vient cette fougue ? On dirait que tu as peur de rien. Est-ce que j'ai peur de quelque chose ? Je n'ai pratiquement aucune peur en ce qui a trait à mon expertise, ma business. Pourquoi la fougue, l'absence de peur, ce courage, cette détermination-là, sincèrement, je crois que c'est la somme de toutes mes actions. plus on fait des actions, plus on est en mouvement, plus on essaie des choses, plus ça nous confirme que, surtout quand on a des résultats comme ceux que j'ai eus, bien, ça confirme qu'on fait quelque chose de bon. Ça confirme qu'on est à la bonne place. Je pense qu'il y a un peu aussi de ma mère qui était aussi très... qui est toujours super énergique dans ses 70 ans. Oui, ça, si je le dis, elle va faire. Mais maman, c'est ça, c'est correct. Mais je dirais, la peur, c'est plus par rapport au niveau société. Puis j'en parlais avec ma super amie Stéphanie. Et c'est plutôt les peurs par rapport à certains aspects. Aujourd'hui, l'arrivée rapide de façon exponentielle de l'intelligence artificielle, les changements climatiques, la mort. Ça, c'est des choses qui me font peur. je m'observe pour pas que je tombe trop là-dedans, comment je me récorde, mais c'est plus par rapport à ça. Par rapport à la job, au travail, la business, la croissance, ouais, ça, la confiance est assez élevée, merci. Prochaine question de Julie Courchêne et aussi Diane Noël. Souvent, il y a plusieurs personnes qui ont posé des questions qui sont un peu similaires et celle-là, c'est que ça tourne autour du contenu. Combien de fois on va me demander... Mélanie, pour savoir quel contenu mettre ? Déjà là, arrêtez de vous casser la tête à savoir qu'est-ce que je publie. Déjà là, il y a un problème. Qu'est-ce que je publie ? Ça peut être plein de raisons, plein de causes. Mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'on sait pourquoi publier ? posez-vous la question, pourquoi on rush, on se casse la tête ? Ah, c'est que si je publie ? C'est parce qu'on est mal aligné ? Est-ce que c'est parce que notre orientation n'est pas super claire ? Est-ce que parce qu'on voit tout ce qui se passe sur le web, il y a tellement d'informations partout ? Ah, qu'est-ce que je peux ajouter par rapport à ça ? Qu'est-ce que je peux partager ? premièrement, je vais te donner deux, trois pistes super intéressantes. C'est autant pour Julie, Diane et pour la majorité des gens qui vont écouter cette capsule et ce podcast-là. Il faut que tu te dises que R.E.P., Rest in Peace, excite l'information. On n'est plus à l'ère de l'information. Aujourd'hui, si je lis un contenu, je vais te partager les trois meilleures stratégies pour réussir à baisser. J'ai juste à aller écrire ça dans le chat GPT, il va m'y sortir. Ça ne veut pas dire que c'est bon, ça ne veut pas dire que c'est les bonnes nécessairement, mais on s'entend dessus pour dire que l'information n'a jamais été autant facile d'accès. Donc, à partir de maintenant, bienvenue l'ère de l'expérience. Ce que j'entends par là, c'est que ce que les gens veulent réellement savoir... Si ça, c'est le futur, et si c'est le passé, va voir dans ton passé, il y a quelques jours, il y a quelques semaines, et demande-toi. Les gens, ce qu'ils veulent savoir, c'est comment tu te sens. Comment tu as vécu telle expérience ? Comment tu as vécu telle transition ? Comment tu t'es senti quand tu as... développer ta business. C'est quoi l'expérience ? Partage une expérience avec un client. Partage un moment où tu as voulu tout abandonner et comment tu as réussi à trouver le courage de persévérer. Les gens veulent du real life, du behind the scenes. Ils veulent savoir comment tu te sens, comment tu as fait face à l'adversité, comment tu as persévéré ou pas. Ça, de plus en plus, on sent et on voit, on observe un switch à travers les réseaux sociaux. Et ce n'est pas pour rien que Pourquoi qu'on entend tellement Ah, je ne suis plus capable, Mélanie, des réseaux sociaux, je suis écoeurée,

  • Speaker #1

    tatatata

  • Speaker #0

    Mais pourquoi on est écoeuré ? Est-ce que c'est parce qu'il y en a trop ? Est-ce que parce qu'il y a trop de faux ? Parce qu'on ne parle pas des vraies choses ? C'est toutes des raisons que j'entends. Mais à partir de maintenant, on a tout un rôle de partager c'est quoi ? Les vraies choses. Et c'est pour ça que c'est, pour moi, alias Mélanie Fortin, alias l'indomptable, de plus en plus… J'ai envie, et c'est plus fort qu'une envie. C'est comme une mission de dire les vraies choses. Dans les dernières années, il y a trop de fausseté. On a de la misère à savoir ce qui est vrai, c'est quoi le vrai. On n'est pas capable de faire la différence entre le vrai et le faux. Hé, Mélanie, c'est-tu vrai qu'on peut faire 100 000 par mois si on a fait ABCD ? Non ! Non, ce n'est pas avec une méthode. Le succès, ça se bâtit, ça prend beaucoup plus d'étapes que ça. Et si tu regardes, OK, dans mes derniers, mes récents épisodes de l'Indéontable podcast au cours des derniers mois, ou bien dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indéontables, de plus en plus, je vais parler de montée de lait, des choses qui méritent. Je vais partager des expériences et comment j'ai vécu. Par exemple, le dernier lancement que j'ai fait, Elevate Your Game, qui est le meilleur lancement ever. comment j'ai fait mon post-mortem ? Qu'est-ce que j'en retiens ? Qu'est-ce que j'ai appris par rapport à ça ? Ça vaut de l'art. Ce n'est pas de la théorie. Voici ce que tu devrais faire. Non, voici ce que j'ai testé, expérimenté. Voici le résultat. Voici comment tu peux l'appliquer et le modéliser. Bref, pour faire ce cours, c'est un peu comme la technique de création de contenu inversée. Au lieu d'aller en avant sur voici ce que tu dois faire, voici des trucs, voici des stratégies, ce n'est plus ça que les gens veulent savoir. Alors, si tu continues là... tu vas continuer à rusher avec ton contenu c'est clair voilà Qu'est-ce que tu as vécu ? Comment tu t'es senti ? Comment tu as réussi ça ? À quoi tu penses ? Comment tu as développé un projet ? As-tu eu une bonne, une mauvaise, une épouvantable expérience avec un client ? C'est tout ça que les gens veulent savoir. Et ça, malheureusement, regarde un peu partout ce qu'on voit sur le web. Il n'y en a pas beaucoup. Alors, tu as, j'ai, nous avons un rôle de pouvoir justement partager davantage de contenu, d'expérience. Prochaine question de Mickaël Lamarche. quel est le plus grand piège dans lequel tu es tombé et qu'as-tu appris ? Pour moi, et ça va sûrement en surprendre plus d'un, je dirais que le plus grand piège dans lequel je suis tombée, c'est d'avoir tombé dans un excès d'ego. Ça a été beaucoup dans ma carrière en business, dans ma carrière dans les grandes entreprises. À un moment donné, quand je suis arrivée à un certain niveau, oh my God ! Comment je le sais que ça a été un piège ? C'est que quand on est trop dans l'ego, c'est pas mieux que pas avoir assez d'ego, ça, je vous le garantis. Je m'en suis aperçue... Plus tard, en prenant un recul, en sortant justement de la prison de l'ego, j'ai réalisé à quel point comme aïe aïe aïe, que quand on est trop dans l'ego, ça ralentit sa progression. Imaginez, à un moment donné, au cœur de ma carrière, au top de mon ascension, je me disais... Je sais tout. J'ai tout appris. J'ai tout vu. Je suis la meilleure dans ce que je fais. C'est beau avoir confiance. Avoir trop confiance, c'est limitatif. Ça ne m'a pas servi. Ça n'a pas d'allure, penser ça, quand on y pense. Puis, je n'ai pas peur d'en parler. Ça fait 10-15 ans. Aujourd'hui, j'ai l'impression que je n'en sais jamais assez. J'ai une soif d'apprendre absolument incroyable. Cette soif-là, cette curiosité-là n'aurait pas pu être là si j'aurais été encore dans la prison de l'égo. L'égo, ça m'a aidée grandement à franchir les échelons un à un jusqu'à un poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise et ensuite de partir ma business qui est en hypercroissance depuis jour 1. Absolument, OK ? Absolument. Mais j'ai vu l'envers aussi de la médaille. Puis quand on est prise dans la prison de l'égo, on se limite, on progresse moins. On est également dans la victimite. Je l'ai été une petite période dans ma carrière. J'ai trouvé ça très challengeant. Et une anecdote par rapport à ça, puis Stéphanie, tu étais là. Tu étais là, Stéphanie, qui est là, justement, aujourd'hui. Je me souviens, là... Une dizaine d'années, je faisais une compétition de kickboxing, des tournois inter-école et tout. J'avais gagné la médaille d'or facilement de ma compétition précédente. Puis là, j'étais dans l'ego, l'orgueil, la tête ne me passait plus d'un cadrage. Et là, ça, c'est le piège. Et je me suis faite ramasser d'une façon comme ça a été dur pour l'ego, entre tabarouettes. Parce que quand j'ai fait, justement, cette compétition-là, la fille... Puis j'étais vraiment... J'étais prête, là. Tu sais, je veux dire, let's go. Et là, elle a fait une... Elle a fait quelque chose que je n'avais pas encore apprise par mon sensei. Je voulais y arracher la tête. Parce que là, c'est drôle, parce qu'aujourd'hui, je suis capable de le voir. Avant, je n'étais pas capable. La fille, elle m'a... Là, mettons, tu es en combat, là, tu es prête. C'est déjà... Puis là, elle arrive... Comment tu appelles ça ? Elle me prend au complet. Puis là, je ne peux plus bouger. Au lieu d'être juste en mode solution, il n'y en a pas de problème. Quand on y pense, c'est assez facile de sortir de là. Mais là, j'étais prise dans mon égo, mon orgueil, comme dans la victimite. Je m'en souviens, je faisais des regards à mon sensei comme Qu'est-ce que c'est ça ? Je n'ai pas appris ça. Qu'est-ce que je fais là ? Au lieu de me mettre en mode solution, j'étais en victimite. J'accusais dans ma tête mon sensei. J'étais en crise après la fille. J'étais en crise après l'arbitre. C'est n'importe quoi, dans le fond. L'ego, une autre chose que ça m'a apprise, quand tu es trop d'ego et que tu es pris un peu dans cette prison-là, tu n'es pas en mode solution. Tu es en mode victimite. Trop, c'est comme passé. Et ce qui m'a aidée à me sortir de cette prison-là, c'est quand j'ai eu le privilège de faire le parcours de la maison des leaders avec Rémi Tremblay, meilleur humain, meilleur leader. Ça, ça a été le premier pas de faire une fissure dans mon armoire, dans mon armure plutôt. Et quand on retire cette armure-là, hé là là, on réalise que c'est possible de vivre autrement. Et que j'ai réalisé, ça a été le début de ma réalisation du fait que... J'ai plus besoin d'avoir un excès d'ego comme ça pour me protéger ou bien pour aller plus loin. Ça, ça a été le début d'une autre quête. Prochaine question de Virginie Gentil qui demande, Mélanie, avec tout ce qu'on voit sur le web en ce moment, comment on fait pour ne pas se faire dépenser ? Et comment on fait pour rester dans le flot ? Et puis, où est-ce que tu trouves tes inspirations ? Numéro un. on va mettre quelque chose au clair tout de suite. Tu vas te faire dépasser. Je vais me faire dépasser. Nous allons nous faire dépasser. Fait qu'avoue qu'en sachant cela... un poids de moins ses épaules. Dans le sens qu'il va toujours avoir quelqu'un qui va être meilleur que nous, quelqu'un qui est moins bon que nous. Je veux dire, c'est relatif. Je pense que le plus important, c'est de voir, OK, de quelle façon je peux partager mon contenu différemment. Parce que la meilleure façon de passer inaperçu sur le web, c'est de faire comme les autres ou c'est de suivre les tendances. Ça, j'en ai parlé souvent dans certains épisodes de podcast ou à travers certains lives montés de lait dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indomptables. et de quelle façon tu as envie d'amener ton contenu. Et c'est fou à quel point 90-95, 99 des gens, oui, instinctivement, on va avoir tendance à regarder ce qui se fait. Ah, ça a l'air intéressant, ça, je vais modéliser. il y en a qui vont modéliser slash copier, il faut faire attention, modéliser ou s'inspirer de la stratégie, OK, ça fait du sens. Au début, on a besoin de barèmes, on a besoin de guidelines, absolument. Mais c'est pour ça aussi que c'est intéressant de réfléchir à l'aspect branding identitaire. C'est justement le podcast, le sujet du podcast de la semaine passée que j'ai fait par rapport à l'importance d'avoir un branding identitaire personnel fort. Puis c'est pas seulement le look, c'est comment qu'on assume ses idées, ses idéaux, ce qu'on a à dire. Et ça, ça fait toute la différence. Une fois qu'on assume, parce que ça prend de la détermination, du courage pour vraiment assumer ce qu'on veut partager. Malheureusement, c'est un aspect qui est sous-estimé. On ne prend pas le temps de s'arrêter et de se demander c'est quoi mon intention avec mon contenu. Qu'est-ce que j'ai envie que les gens se disent ou retiennent de mon contenu après l'avoir consommé ? La majorité des gens vont toujours dire, Ah, je veux avoir un impact auprès des gens. OK, mais de quelle façon ? Es-tu prête à développer, à faire, à créer du contenu d'impact ? C'est quoi du contenu d'impact ? Si j'ai mon téléphone, je scrolle sur mon fil d'actualité, peu importe la plateforme. il y a quelque chose qui a attiré mon attention. Ça, ça veut dire que je ne suis pas facile à attirer l'attention. N'importe qui, je pense que ça va être la même chose. Il y en a tellement. On scrolle, on scrolle, on défile, on fait l'actualité. Puis là, qu'est-ce qui va faire en sorte que je vais m'arrêter ? Demandez-vous ça. Demande-toi ça, justement, Virginie. Qu'est-ce qui va faire que je vais m'arrêter sur ton contenu ? et c'est là que le bas blesse puis c'est là que ça fait mal parce que la majorité des gens ça va être des photos qui ne vous ressemblent pas pantoute qui ne sont pas vraiment vous ça va être des images qui vont être inspirées de quelque chose d'autre que vous allez avoir vu sur le web hey I pled guilty je l'ai fait avant no way que je vais recommencer ça et c'est pour ça que je fais un détour sur parce que c'est important au début quand je faisais des shootings photos du contenu oui C'était, j'ai pris le temps qu'il fallait pour me demander c'est quoi je veux vraiment écrire, qu'est-ce que je veux partager, comment je veux impacter. Pour impacter, il faut que, wow, ça crée un arrêt, ça attire mon attention et que ça puisse changer la trajectoire, la perspective, la croyance, quelque chose que je pensais être à faire, mais là, ça m'a amené, ça m'a ouvert à une autre façon de faire. Ça m'a fait découvrir un autre style, un autre philosophie, un autre mode de vie, par exemple. Dans ton contenu, challengez-vous. Allez prendre votre cellulaire, regardez Facebook, Instagram, TikTok, peu importe, et est-ce que le contenu que vous partagez, c'est votre meilleur contenu ? Je vous garantis que vous n'avez pas fait encore votre meilleur contenu, même affaire pour moi, et ça s'en vient, par contre. C'est tout le temps, c'est de la pratique, de la pratique, de la pratique, de la pratique. Pour rester, justement, quand Virginie, tu demandes... comment tu fais pour... Où est-ce que tu trouves tes inspirations ? C'est d'être curieux. Je vais aller regarder, je consomme des shorts, je vais écouter des podcasts, je vais lire beaucoup de livres. J'adore lire en nature. Mais ça m'ouvre, justement, un monde. Ça m'ouvre encore plus. Ça élève ma curiosité puis mon désir d'en savoir davantage. Mais je ne suis pas une boulimique de la surconsommation de contenu. Ça, c'est pas mieux. À un moment donné, c'est que ça me donne des idées. Oh, ça m'a ouvert des perspectives. Parfait. là, je vais aller préparer justement ce que je veux partager. Fait que demande-toi, quand je vois ton contenu, qu'est-ce que tu pourrais partager qui fait en sorte que je vais m'arrêter ? Fait que si vous faites ce que la majorité des gens font, oubliez ça, là. Ça ne marchera pas. Je le sais que c'est dur, puis je le sais que c'est chiant. Parce que moi aussi, des fois, c'est comme, Hum, qu'est-ce que je peux partager ? Ah, c'est-tu que... Là, on n'est pas à la bonne place. Fait que là, on arrête ça, c'est fini pour la journée. On s'en va courir, on va pratiquer un sport, on revient. OK, là, il faut être dans l'énergie. Est-ce que je suis dans la bonne énergie pour créer quelque chose de différent ? C'est un peu ça aussi pourquoi j'ai développé ou j'ai créé et je suis arrivée à la création de l'indomptable. L'indomptable, c'est moi. Et suite à ça, l'indomptable, c'est quelqu'un qui n'est soumis à aucune autorité. C'est quelqu'un qui n'est pas domptable. C'est quelqu'un qui va suivre sa propre voie, qui va, justement, assumer ses idées, ses idéaux. C'est moi. Et là... par la suite, ça n'a plus jamais été pareil. Je vais partager des sujets, puis de plus en plus, je vais loin, je me laisse aller parce que j'ai un besoin, j'ai un désir, des fois, de provoquer des réflexions, de provoquer des changements. Fait que demandez-vous, qu'est-ce que vous voulez provoquer à travers votre contenu ? Qu'est-ce que vous voulez partager ? Est-ce qu'on va s'arrêter à votre prochaine pièce de contenu ? Gardez ça en tête. aujourd'hui, c'était un essai de pouvoir répondre à des questions qu'on me demande. J'ai encore plein de questions que je n'ai pas répondues encore. Bref, j'espère que vous avez aimé, apprécié. Je vous invite à me partager. Posez-moi vos meilleures questions. intelligentes, si possible, humoristiques, qui sortent du champ gauche. Tu sais, vraiment, là, je vous challenge à me poser les questions. Où est-ce que vous voulez avoir... Ça se dit dessus, ça ? Je coupe ça. Je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot, qui ont un peu de piquant. Parce qu'il n'y a rien que je ne vais pas dire. Comme, par exemple, la majorité des gens, la question sur le Botox... on l'aurait laissé là. J'assume. Alors, je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot. En même temps, je vous fais travailler. Alors, dites-moi, est-ce que vous avez aimé ce format-là qui est l'épisode 88 de l'Indomptable Podcast que je vais découper, justement, en petits shorts puis je vais optimiser la formule. Oui, je pense que ça va être quelque chose de pas mal intéressant. Dites-moi, est-ce que ça a eu de la valeur ? Est-ce que c'est divertissant ? Comment vous avez trouvé ça ? J'ai très hâte de vous entendre. et on se voit ultérieurement pour un prochain épisode de ce style-là et autres styles qui s'en viennent à l'Indomptable Podcast

Description

"La véritable force d'un entrepreneur réside dans sa persévérance à surmonter les défis; c'est ainsi que nous atteignons non seulement nos objectifs, mais que nous enrichissons et inspirons véritablement notre communauté." - Mélanie Fortin

🚀 "Aujourd'hui dans l'épisode 88, on change de format ! Récemment, j'ai défié ma communauté : 'Demandez-moi n'importe quelle question, peu importe le sujet'. La réponse? Une avalanche de questions incroyablement intéressantes et variées!


Étant donné la grande quantité de questions reçues, il m'est impossible de répondre à toutes les questions dans un épisode ! J'ai donc soigneusement choisi quelques questions qui résument les questions que je reçois régulièrement.


Es-tu prêt à découvrir ces réponses ? Elles vont non seulement piquer ta curiosité mais également t'offrir des outils pratiques et démystifier certaines idées préconçues sur l'entrepreneuriat et le behind the scène.


À travers mes réponses, je te partage des stratégies efficaces, je démystifie les fausses croyances, et je te partage des conseils pratiques issus de mes expériences personnelles et professionnelles.


Bonne écoute !


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Transcription

  • Speaker #0

    L'Indomptable est le podcast pour les entrepreneurs, coachs et experts qui désirent apprendre, s'inspirer et se faire challenger dans le but d'assumer totalement qui ils sont. À travers l'Indomptable, je te dévoile les hauts et les bas de l'entrepreneuriat à la sauce raw. Le tout livré sans filtre. Excite le politically correct, la censure et le statu quo. Je vais te partager mes réflexions du moment, du contenu divertissant avec quelques montées de lait à l'occasion et des stratégies audacieuses. basé sur mes expériences qui m'ont permis de bâtir une entreprise prospère. Si tu désires sortir du moule, laisser ta marque, augmenter ton influence et surtout devenir indomptable en affaires, tu es à la bonne place. Bonjour tout le monde et bienvenue à l'Indomptable Podcast. Aujourd'hui, c'est un épisode complètement différent. Pourquoi ? Bien, il y a quelques temps, j'ai demandé à vous, à ma communauté, de me poser une question ou plusieurs questions. Ask me anything. Et là, dans ces feuilles-là, j'ai une partie de toutes les questions que vous m'avez posées. Avec la quantité que j'ai reçue, c'est clair que je ne pourrais pas tout y répondre, mais on va commencer par le commencement. J'ai justement sélectionné certaines questions que je trouve hyper pertinentes et que je suis convaincue que ça va aider plusieurs d'entre vous. Vous saurez me le dire. Première question de Stéphanie Schmitt. Elle me demande, Mélanie, qu'est-ce qui fait en sorte... qu'on n'a pas atteint encore nos objectifs, et ce, malgré le fait qu'on travaille d'arrache-pied, qu'on travaille fort, qu'on travaille tout le temps. Pourquoi je n'ai pas... Fort probablement, OK ? Et ça, c'est bon pour tout le monde. Ce n'est pas parce qu'on travaille très, très fort, tout le temps. Tu sais, là, on n'arrête pas, 7 jours sur 7, qu'on va automatiquement réussir. La question qu'il faut que tu te demandes, Stéphanie, et pour tout le monde qui vit une situation similaire, est-ce que tu te concentres sur les choses qui sont les plus importantes ? Est-ce que tu te concentres sur les projets, les choses qui sont payantes ? Est-ce que tu te concentres sur les bonnes priorités, les bonnes actions ? Et ça, c'est vraiment hyper important. Rendre du recul et de demander ces questions-là. Combien de fois j'ai vu ça, surtout dans le corpo, à quel point on travaille beaucoup, beaucoup, beaucoup, fort, fort, fort, parce que c'était, d'après moi, une des plus grandes croyances en business. Il faut travailler fort pour avoir du succès. Aujourd'hui, pour moi, c'est totalement différent. Tu dois travailler intelligemment. Travailler intelligemment, c'est de savoir te poser les bonnes questions. Question numéro 2 de Lisons le 5. Lisons, tu m'as posé plusieurs super bonnes questions. J'en ai sélectionné une que je trouve hyper intéressante. Lisons, elle me demande... Comment ta formation, tes certifications, tes diplômes, influencent-elles ta pratique quotidienne ? Est-ce que j'ai envie de te dire, lisons, et on va prendre un peu plus de hauteur, ce que j'entends souvent comme question ou qu'on me demande souvent, Mélanie, est-ce qu'il faut absolument un diplôme, des certifications, un nom bien calculable de formation en ligne pour pouvoir vraiment réussir ? Je te dirais que c'est plus l'ensemble... de la profondeur de mon expérience, de mon expertise qui fait la différence. Oui, ça ne peut pas nuire d'avoir des diplômes, des certifications, des formations, mais ce n'est pas ça qui va faire la différence. C'est l'ensemble de tes actions. C'est l'ensemble de ce que tu vas faire au quotidien. Et ça, c'est important que tu gardes ça en tête. Et au niveau des formations, je veux dire, combien de fois j'ai vu des gens… enfiler formation après formation après formation après formation. Je les appelle les boulimiques de la formation. À un moment donné, demande-toi, est-ce que c'est réellement une dixième formation en ligne que j'ai de besoin ou un énième certificat, diplôme que j'ai de besoin pour réellement réussir avec ma business ? Alors, au final, assurez-vous et lisons, assure-toi que, oui, tu as des diplômes, oui, tu as de l'expérience, oui, il y a plusieurs aspects dans ton parcours probablement que tu es capable de mettre ensemble. Et regarde le tout comme c'est vraiment l'ensemble de la profondeur de tes actions, expertise, diplômes et tout qui fait, qui va faire en sorte justement que tu vas pouvoir démontrer ta crédibilité. Et je pense que quand on parle de profondeur d'expérience… C'est beaucoup en lien avec ça, de quelle façon vous êtes capable, de quelle façon, disons, tu es capable de démontrer justement ta crédibilité. Et si je fais un lien avec mon expérience, la profondeur de mon expérience, c'est ça qui fait vraiment la différence aujourd'hui. Je vais parler évidemment de les 25 années d'expérience que j'ai eues dans les grandes entreprises, les grands postes que j'ai occupés dans le corpo. Le fait que j'ai été dans un mastermind quatre ans, j'ai un baccalauréat en administration marketing, j'ai des certifications de coaching, d'affaires, PNL, je veux dire, il y a tellement de choses qu'au fil des années, je suis capable de dire, ça, c'est l'ensemble de mon expérience. Et plus on va justement parler de l'ensemble de l'expérience, plus on va être en mesure justement d'être capable d'aller voir, OK, quelles sont justement les compétences que j'ai développées suite à ça. Prochaine question de Stéphanie Racine. Stéphanie, elle me demande, Mélanie, comment on peut s'assurer qu'on pratique de la bonne manière, qu'on pratique avec les bonnes directives, la bonne direction, qu'on va utiliser les bons mots, qu'on va créer le bon contenu au quotidien ? Déjà là, Stéphanie, arrête de t'enfarger dans les mailles du tapis, OK ? C'est tout le temps, comme je dis souvent, c'est dans l'action que ça se clarifie. La meilleure façon et le meilleur indicateur que tu peux savoir si tu es justement dans la bonne direction, c'est de faire des essais. Fais des essais erreurs. Et si c'est le moment que tu vas commencer à avoir des résultats positifs suite à tes actions, c'est là que tu vas savoir que, OK, ça fait du sens. On ne peut pas... dépendre de quelqu'un à côté de soi constamment pour savoir si on fait la bonne chose. À un moment donné, c'est qu'il faut prendre un leap of faith, il faut aller de l'avant. C'est dans l'action que tu prends confiance en tes capacités. C'est dans l'action que ça va se clarifier. Et c'est dans l'action que tu vas savoir, en expérimentant, en faisant des essais rares, que tu vas savoir si tu es sur la bonne voie. Puis le meilleur, meilleur, meilleur indicateur, c'est Oh, est-ce que j'ai des résultats suite à mes actions ou non ? Si tu n'as pas encore des résultats à la hauteur de tes attentes, mais il y a quelque chose à ajuster, il y a une action qu'il faut que tu changes, il faut que tu réorientes quelque chose. Et comme je me dis souvent, oui, ce n'est pas toujours facile, right, de faire une action. On va avoir peur. La peur du jugement, la peur d'avoir de l'air ridicule, la peur de ne pas savoir quoi dire, la peur de ne pas faire la bonne chose, la peur de ne pas être assez. Mais dis-toi que c'est dans l'adversité que tu te définis. que tu te construis et que tu es en train de devenir la personne que tu sais et que tu désires être. Prochaine question de Mireille Chevalier, et je vais dire aussi Brigitte Brabant, parce que les questions se ressemblent beaucoup. Dans le fond, les filles me demandaient, c'est quoi les compétences, les habitudes clés à développer pour pouvoir développer une entreprise prospère ? Dans le fond, c'est quoi les, je dirais, les accélérateurs, les compétences qui vont accélérer ta croissance ? C'est sûr qu'on va parler, bien oui, il faut avoir des bonnes habitudes, il faut avoir une bonne routine, il faut avoir un mindset fort, oui, oui, oui, oui, oui, OK ? Mais il y a des choses, il y a des aspects, des compétences, des expertises spécifiques qu'on ne parle pas assez et qui vont vraiment faire la différence. Numéro un, est-ce que tu as un système D bien développé en toi ? Système D pour débrouillardise. Et une des choses que je me souviens, quand j'étais dans le corpo, je pouvais voir en un claquement de doigts lequel de mes directeurs dans mon équipe allait réussir ou pas. Et souvent, cet indicateur-là, c'est j'ai quelqu'un qui a les bras croisés, qui attend que je le forme, tandis qu'il y en a un autre, OK, qui va se retrousser les manches, all right, je m'en vais chercher l'information, je prends en charge mon développement, ma progression, ma formation. Ça, c'est un, je dirais, une des compétences, un aspect qui va faire... toute la différence. Alors, demande-toi, penses-tu que tu as un système D bien développé ? Si ce n'est pas le cas, je t'invite à être davantage curieux. Fais des recherches, pose des questions, prends charge, prends les devants pour ton développement. N'attends pas après personne. Un autre aspect que je parle souvent, on en parle, mais je ne pense pas qu'on réalise la puissance de cette, je dirais, c'est une compétence. Est-ce que c'est une compétence ? C'est plutôt un trait de personnalité ou un aspect à développer. C'est la persévérance. Neuf personnes sur dix, en général, lorsque c'est le temps de persévérer, ne vont pas réussir à persévérer. Au lieu de persévérer pour continuer ton chemin, puis de t'en aller, de te diriger vers ton objectif, Ah oui ! ils vont bifurquer à gauche, oh, bifurquer à droite, oh, peut-être. Pourquoi ? C'est que là, ce que j'observe, après avoir accompagné des milliers de personnes, des coachs, des entrepreneurs, dirigeants, leaders, C'est plus facile de trouver un autre chemin, d'essayer quelque chose de plus facile. Oh, le shiny object. Oh, une nouvelle stratégie. Oh, il y a une nouveauté ici. C'est pour ça que quand c'est le temps de persévérer, ou des fois ça me fait penser, il y a des gens qui me disent Hey Mélanie, là je suis vraiment en train de persévérer en ce moment. Euh, non. Pourquoi ? Quand c'est le temps de persévérer, t'as pas un sourire dans la face. Souvent c'est que t'as un genou, voire deux genoux à terre, t'es découragée, t'es assoute, t'es abandonnée. Mais il y a quelque chose en toi, une force, une puissance. un courage que tu n'avais pas vu jusqu'à présent, qui va te permettre de faire le petit pas de plus et qui va te permettre de continuer. La persévérance, c'est comme un marathon. C'est la game, c'est la longue game. Alors, tu veux réussir en business, tu désires scaler ta business. Es-tu prêt à jouer la long game, la game de patience ? Et ça, c'est un aspect qui est trop sous-estimé. On est trop à la recherche du get rich quick On est trop à la recherche de c'est quoi la stratégie de l'heure qui va m'assurer sans aucun doute la réussite ? Ça n'existe pas. Oubliez ça. There is no such thing. Ça, c'est réglé. Un autre aspect aussi. on n'en parle pas assez. Et ça, c'est un de mes mentors qui m'a dit ça il y a 25 ans. Ça m'a marquée. Pour pouvoir réussir à la hauteur de ses aspirations. Ou bien, ça c'est quelque chose qu'on me dit souvent, mes clients me demandent, Oh Mélanie, moi je veux impacter plein de monde. Qui sait qui ne veut pas impacter plein de monde, right ? On veut tout impacter les gens autour de nous. C'est plaisant d'impacter et de savoir qu'on a eu un impact. Mais pour être en mesure d'impacter positivement et en puissance les gens qui nous entourent, Il faut d'abord être un champion of people. Et ça, c'est une phrase que mon mentor de l'époque me dit. Mélanie, tu veux réussir là ? Tu veux te rendre là ? À l'époque, pour moi, mon but, c'était d'être présidente d'une grande entreprise canadienne. Laquelle ? Pas grave, pas grave, je vais être présidente. Il m'avait dit, et c'est drôle parce que je ne pensais pas que ça aurait été de mon entreprise. Fait que, yes ! Mais bref, à l'époque, Mélanie, tu veux te rendre là ? Pour te rendre là, il y a un élément. essentiel que tu dois développer. J'étais début vingtaine. Be a champion of people. Sois au service des gens. donne, vois comment tu peux les aider. Parce que dans la vie, il y a deux types de personnes. Il y a des givers, qui sont des champions of people, puis il y a des takers, qui ne donnent pas vraiment, mais qui vont aller prendre peu importe quoi, un peu partout. Malheureusement, il y en a un peu trop, des takers, dans notre marché général, sur le web. Mais il y a aussi beaucoup de givers. J'ai envie de te demander, es-tu un taker ou un giver ? Prochaine question de Josée Bernier. Ça va être une quickie, mais je la trouve super intéressante. Elle me demande... Mélanie ! Depuis que tu es en business, as-tu déjà pensé abandonner l'entrepreneuriat ? Non, jamais. Jamais, jamais, jamais. Ça ne veut pas dire qu'il y a des moments et des journées que... Tu sais, là, c'est ça. Des journées que j'ai envie de prendre congé. Mais il y a une différence entre j'ai envie de prendre une couple de jours de congé pour me reposer versus, hostie, dans quoi je me sens embarquée ? Non. Mais là, en ce moment, les gens ne le savent pas, mais je suis en présence de ma super adjointe, Stéphanie Chichou, qui est de l'autre côté. Oui, fait que... deux, trois ans, j'aurais fait ça, elle serait liquifiée sur le sofa. Elle serait jamais venue ici. Es-tu d'accord ?

  • Speaker #1

    Je suis très d'accord.

  • Speaker #0

    J'ai envie de faire venir Stéphanie ici parce que j'ai envie de se poser une question. Ça a un lien avec la question de José Bernier. Stéph, tu te rappelles-tu la première année quand on est parti en business ? La lune de miel dans laquelle on était.

  • Speaker #1

    Tout à fait. On était comme Oh my God, wow !

  • Speaker #0

    Plus de trafic ! Plus de trafic ! Oh my God ! On s'appelait As-tu vu ça ? Il neige ! On n'est pas obligés de sortir de la maison ! Oh my God, oh my God ! Au début, on s'entend-tu ?

  • Speaker #1

    C'était vraiment la lune de miel. Wow !

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, après, ça va faire six ans, cinq ans. Comment tu définirais ? C'est peut-être plus... C'est différent de la lune de miel. Je te mets sur le spot et je suis tellement fière de toi. J'en viens pas que t'es venue. Ça, j'aime ça. Ça, c'est de la progression. C'est fou comment Stéphanie a progressé. Autre que le fait que c'est ma super adjointe, super Stéphanie, c'est aussi une grande amie et c'est mon ancienne partenaire. de kickboxing. C'est bon. C'est bon. Ça, ça veut dire que je suis trop prévisible. Il faut que je travaille là-dessus. Mais dis-moi donc, Stéphanie, aujourd'hui, autre le fait, ce n'est pas de la lune de miel. Comment tu définirais justement l'entrepreneuriat après cinq ans ?

  • Speaker #1

    Je dirais que c'est tout un chemin, vraiment. Beaucoup de questionnements, c'est pas toujours facile. Puis même si des fois, on se dit, Ah, j'ai des doutes, est-ce que je fais la bonne chose ? Ça a toujours été la meilleure décision, c'est de persévérer, sortir de sa zone de confort tout le temps, tout le temps. Puis ça fait tellement grandir en tant que... humain, puis on fait des choses qu'on ne pensait pas faire, comme me voilà devant la caméra.

  • Speaker #0

    Excellent ! Ça paraît qu'on se connaît. Merci Stéphanie ! Je suis tellement fière d'elle. C'est ça, la progression, c'est ça, les sorties de zone. Je vous le dis, il y a deux ou trois ans, ça serait liquifié sur le sofa. Ça, on le sait. Puis des fois, le fait que c'est mon ami, que c'est mon allié... Puis, étant coach dans l'homme, je ne peux rien faire, c'est là. Bien, je vais la mettre des fois dans des situations qui font vraiment la challenge. Donc là, des fois, c'est ça qui est le fun, faire du contenu comme ça. On va passer par Shibugamo, bien, je trouve ça le fun. Pour finalement, la réponse à Josée était bien, était assez simple. Non, je ne regrette pas du tout. Puis, c'est drôle parce que quand on le sait que l'entrepreneuriat, c'est un monde, on est comme dans une matrice à l'extérieur de la société par moments. Je me sens comme ça, je ne sais pas pour vous. Mais... si je regarde mon conjoint, mes amis, ma famille qui sont dans le système, combien de fois on m'a demandé Tu regrettes-tu ? On dirait ce que je perçois. Qu'est-ce qui est en dessous de ça ou en arrière de cette question-là ? C'est avouer que tu regrettes et que tu étais donc bien dans ton poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise canadienne. Non. Comme non. Je pensais que c'était ça, la réussite. Ça, c'est la réussite sociale aux yeux de la société. Oh my God, t'as atteint le gros poste. Mais c'est parce que dans notre société aujourd'hui, c'est fou, pareil, comment on fabrique des soldats. On fabrique des salariés. C'est ça, pareil. Bref, des fois, je peux aller bien loin, donc je vais m'arrêter là. Non, je ne regrette pas du tout. Et pour tout le monde, un dernier point là-dessus. Quand vous êtes découragé, Souvent, c'est ces passagers. Il n'y a rien, rien, rien qui est permanent. Autant les bonnes journées, autant les moins bonnes journées. Il n'y a rien qui est permanent. Quand ça ne va pas, prends du recul, prends soin de toi, fais quelque chose qui te fait du bien. Prends le temps de te ressourcer, de recharger tes batteries et après, là, redemande-toi. Est-ce que j'ai envie d'abandonner ou est-ce que je regrette ? Non, fort probablement que quand tu vas être au meilleur de ta forme, je suis convaincue que tu vas être super motivé. Prochaine question de Véronique Brouillette. Une question que je me fais demander souvent, comment je fais, Mélanie, pour passer d'une entreprise qui, en ce moment, est quasiment uniquement en présentiel, en virtuel ? Mettons que Véronique, en ce moment, c'est 90-10, puis là, elle aimerait avoir un 50-50. Réponse super simple. Dans le fond, Véronique, toutes les stratégies que tu as actuellement en présentiel, c'est pas mal les mêmes en virtuel. C'est juste que tu vas l'offrir. à justement un plus grand nombre de personnes. Mais si tu as une page d'inscription, par exemple, pour s'inscrire à un atelier, une formation en présentiel, bien, c'est la même chose en virtuel. C'est le format qui va changer en bout de ligne. Et je trouve qu'on va se casser la tête tellement par rapport à ça. Comment je fais ? Ma phrase qui me monte, qui vient là, c'est Just do it C'est tout. Arrêtez de vous enfarger dans les fleurs du tapis. D'arrêter. ou plutôt d'essayer d'avoir la réponse parfaite, de tout planifier, de tout, OK, j'ai-tu ça, j'ai-tu pensé à ça, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça, puis là, un mois plus tard, j'ai-tu pensé à ça, qu'est-ce qu'il faut que je fasse, qu'est-ce qui manque, deux mois plus tard, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça ? On arrête. Allez expérimenter. Comme je dis souvent, je l'ai dit précédemment, tout se clarifie dans l'action. Alors, va le tester. Oui, je pourrais te donner tous les micro-détails qui sont, mettons, les petites différences entre les deux, mais overall, c'est pas mal la même chose. Alors, ce que tu as présentement en présentiel, essaie le tout en virtuel. C'est le format, l'endroit, la façon d'assister à ce que tu fais. Et toi, pour livrer ta formation, ton contenu, que tu sois devant une caméra comme en ce moment, que tu sois devant un ordi ou devant les gens, c'est la même chose. Une autre croyance qu'on me dit souvent... Ah, Mélanie, c'est pas pareil en virtuel. Mettons, en virtuel versus présentiel, je me sens pas aussi bien. C'est juste que tu l'as pas faite ou peu faite. C'est juste dans la pratique. Pratique, pratique, pratique. Ou bien un autre, souvent, une autre question. Ah, le coaching individuel. c'est plus puissant que du coaching de groupe. Non. Ça, c'est une des plus grandes croyances erronées que j'ai entendues dans ma carrière. C'est plutôt, est-ce que tu as... Il faut que tu regardes si tu es la bonne personne pour t'aider par rapport à ce que tu as besoin. Là, je m'en vais encore très loin. J'y reviendrai sur cette question-là qui me passionne, mais au final, Véronique, super simple. Just do it. Ce que tu fais présentement en présentiel, applique-le tout. La même chose en virtuel. Je n'ai aucun doute que ça va fonctionner. visite un peu plus, peut-être, certaines peurs, craintes, croyances qui sont là, qui t'empêchent à faire le move, je dirais, totalement. Prochaine question de ma belle Joannie Nolet qui demande, Mélanie, comment je peux faire pour que les entrepreneurs puissent vraiment prendre au sérieux leurs chiffres ? Qui comprennent plutôt l'importance de bien comprendre ses chiffres. Je dirais, Joannie, dans n'importe quel contenu, peu importe le sujet, c'est dans la façon que tu vas le présenter. Si ton sujet est moins sexy, moins excitant, il faut quand même le dire, les chiffres, la comptabilité, les finances, c'est un petit peu plus challengeant de capter l'attention de ton audience, c'est de présenter ton contenu de différentes façons. Essaie d'aller voir sur les tendances sur le web. Essaie de peut-être faire du contenu, faire une vidéo avec quelqu'un, amener un côté ludique. Oui. quand on crée du contenu, si notre intention, c'est que je veux que les entrepreneurs réalisent à quel point c'est absolument essentiel qu'ils comprennent leurs chiffres, bien, ils doivent comprendre en un claquement de doigts What's in it for me ? Je le sais, c'est évident de Mélanie. On le sait tous, c'est important. Oui, mais la majorité des gens le font pas. Fait que bref, voici où nous en sommes. Et c'est de voir, bien, rapidement, c'est quoi le bénéfice ? Bien, ça va m'aider à prendre de meilleures décisions. ça va m'aider à ne pas frapper un mur parce que j'ai tellement investi que, oups, j'ai pas regardé mes chiffres, j'ai pris des mauvais calques, puis là, je me retrouve en précarité financière. C'est pas ce qu'on veut. Ou bien, ça peut être un angle, comment maximiser, justement, sa liberté financière. Bref, sky's the limit. Mais le point le plus important pour n'importe qui, quand votre sujet est un peu plus sérieux, moins sexy, moins comme, je veux absolument le consommer, trouver peut-être un angle différent, ludique, amener de l'humour, faire des contenus différents. Parce qu'aujourd'hui, ce n'est plus genre comme bonjour, alors aujourd'hui, je vais vous parler, je vais vous enseigner A, B, C, D. Ça ne marchera plus, ça c'est sûr. Fait que, un pensez-y bien. Prochaine question. Cette question-là me fait sourire et on me la pose régulièrement. Et quand j'ai lu la question de Véronique Plante, il a fallu que je réfléchisse comme trois secondes. Je ne suis pas sûre de la réponse, tellement que c'est inné en moi. Véronique, elle me demande, Mélanie, d'où te vient cette fougue ? On dirait que tu as peur de rien. Est-ce que j'ai peur de quelque chose ? Je n'ai pratiquement aucune peur en ce qui a trait à mon expertise, ma business. Pourquoi la fougue, l'absence de peur, ce courage, cette détermination-là, sincèrement, je crois que c'est la somme de toutes mes actions. plus on fait des actions, plus on est en mouvement, plus on essaie des choses, plus ça nous confirme que, surtout quand on a des résultats comme ceux que j'ai eus, bien, ça confirme qu'on fait quelque chose de bon. Ça confirme qu'on est à la bonne place. Je pense qu'il y a un peu aussi de ma mère qui était aussi très... qui est toujours super énergique dans ses 70 ans. Oui, ça, si je le dis, elle va faire. Mais maman, c'est ça, c'est correct. Mais je dirais, la peur, c'est plus par rapport au niveau société. Puis j'en parlais avec ma super amie Stéphanie. Et c'est plutôt les peurs par rapport à certains aspects. Aujourd'hui, l'arrivée rapide de façon exponentielle de l'intelligence artificielle, les changements climatiques, la mort. Ça, c'est des choses qui me font peur. je m'observe pour pas que je tombe trop là-dedans, comment je me récorde, mais c'est plus par rapport à ça. Par rapport à la job, au travail, la business, la croissance, ouais, ça, la confiance est assez élevée, merci. Prochaine question de Julie Courchêne et aussi Diane Noël. Souvent, il y a plusieurs personnes qui ont posé des questions qui sont un peu similaires et celle-là, c'est que ça tourne autour du contenu. Combien de fois on va me demander... Mélanie, pour savoir quel contenu mettre ? Déjà là, arrêtez de vous casser la tête à savoir qu'est-ce que je publie. Déjà là, il y a un problème. Qu'est-ce que je publie ? Ça peut être plein de raisons, plein de causes. Mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'on sait pourquoi publier ? posez-vous la question, pourquoi on rush, on se casse la tête ? Ah, c'est que si je publie ? C'est parce qu'on est mal aligné ? Est-ce que c'est parce que notre orientation n'est pas super claire ? Est-ce que parce qu'on voit tout ce qui se passe sur le web, il y a tellement d'informations partout ? Ah, qu'est-ce que je peux ajouter par rapport à ça ? Qu'est-ce que je peux partager ? premièrement, je vais te donner deux, trois pistes super intéressantes. C'est autant pour Julie, Diane et pour la majorité des gens qui vont écouter cette capsule et ce podcast-là. Il faut que tu te dises que R.E.P., Rest in Peace, excite l'information. On n'est plus à l'ère de l'information. Aujourd'hui, si je lis un contenu, je vais te partager les trois meilleures stratégies pour réussir à baisser. J'ai juste à aller écrire ça dans le chat GPT, il va m'y sortir. Ça ne veut pas dire que c'est bon, ça ne veut pas dire que c'est les bonnes nécessairement, mais on s'entend dessus pour dire que l'information n'a jamais été autant facile d'accès. Donc, à partir de maintenant, bienvenue l'ère de l'expérience. Ce que j'entends par là, c'est que ce que les gens veulent réellement savoir... Si ça, c'est le futur, et si c'est le passé, va voir dans ton passé, il y a quelques jours, il y a quelques semaines, et demande-toi. Les gens, ce qu'ils veulent savoir, c'est comment tu te sens. Comment tu as vécu telle expérience ? Comment tu as vécu telle transition ? Comment tu t'es senti quand tu as... développer ta business. C'est quoi l'expérience ? Partage une expérience avec un client. Partage un moment où tu as voulu tout abandonner et comment tu as réussi à trouver le courage de persévérer. Les gens veulent du real life, du behind the scenes. Ils veulent savoir comment tu te sens, comment tu as fait face à l'adversité, comment tu as persévéré ou pas. Ça, de plus en plus, on sent et on voit, on observe un switch à travers les réseaux sociaux. Et ce n'est pas pour rien que Pourquoi qu'on entend tellement Ah, je ne suis plus capable, Mélanie, des réseaux sociaux, je suis écoeurée,

  • Speaker #1

    tatatata

  • Speaker #0

    Mais pourquoi on est écoeuré ? Est-ce que c'est parce qu'il y en a trop ? Est-ce que parce qu'il y a trop de faux ? Parce qu'on ne parle pas des vraies choses ? C'est toutes des raisons que j'entends. Mais à partir de maintenant, on a tout un rôle de partager c'est quoi ? Les vraies choses. Et c'est pour ça que c'est, pour moi, alias Mélanie Fortin, alias l'indomptable, de plus en plus… J'ai envie, et c'est plus fort qu'une envie. C'est comme une mission de dire les vraies choses. Dans les dernières années, il y a trop de fausseté. On a de la misère à savoir ce qui est vrai, c'est quoi le vrai. On n'est pas capable de faire la différence entre le vrai et le faux. Hé, Mélanie, c'est-tu vrai qu'on peut faire 100 000 par mois si on a fait ABCD ? Non ! Non, ce n'est pas avec une méthode. Le succès, ça se bâtit, ça prend beaucoup plus d'étapes que ça. Et si tu regardes, OK, dans mes derniers, mes récents épisodes de l'Indéontable podcast au cours des derniers mois, ou bien dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indéontables, de plus en plus, je vais parler de montée de lait, des choses qui méritent. Je vais partager des expériences et comment j'ai vécu. Par exemple, le dernier lancement que j'ai fait, Elevate Your Game, qui est le meilleur lancement ever. comment j'ai fait mon post-mortem ? Qu'est-ce que j'en retiens ? Qu'est-ce que j'ai appris par rapport à ça ? Ça vaut de l'art. Ce n'est pas de la théorie. Voici ce que tu devrais faire. Non, voici ce que j'ai testé, expérimenté. Voici le résultat. Voici comment tu peux l'appliquer et le modéliser. Bref, pour faire ce cours, c'est un peu comme la technique de création de contenu inversée. Au lieu d'aller en avant sur voici ce que tu dois faire, voici des trucs, voici des stratégies, ce n'est plus ça que les gens veulent savoir. Alors, si tu continues là... tu vas continuer à rusher avec ton contenu c'est clair voilà Qu'est-ce que tu as vécu ? Comment tu t'es senti ? Comment tu as réussi ça ? À quoi tu penses ? Comment tu as développé un projet ? As-tu eu une bonne, une mauvaise, une épouvantable expérience avec un client ? C'est tout ça que les gens veulent savoir. Et ça, malheureusement, regarde un peu partout ce qu'on voit sur le web. Il n'y en a pas beaucoup. Alors, tu as, j'ai, nous avons un rôle de pouvoir justement partager davantage de contenu, d'expérience. Prochaine question de Mickaël Lamarche. quel est le plus grand piège dans lequel tu es tombé et qu'as-tu appris ? Pour moi, et ça va sûrement en surprendre plus d'un, je dirais que le plus grand piège dans lequel je suis tombée, c'est d'avoir tombé dans un excès d'ego. Ça a été beaucoup dans ma carrière en business, dans ma carrière dans les grandes entreprises. À un moment donné, quand je suis arrivée à un certain niveau, oh my God ! Comment je le sais que ça a été un piège ? C'est que quand on est trop dans l'ego, c'est pas mieux que pas avoir assez d'ego, ça, je vous le garantis. Je m'en suis aperçue... Plus tard, en prenant un recul, en sortant justement de la prison de l'ego, j'ai réalisé à quel point comme aïe aïe aïe, que quand on est trop dans l'ego, ça ralentit sa progression. Imaginez, à un moment donné, au cœur de ma carrière, au top de mon ascension, je me disais... Je sais tout. J'ai tout appris. J'ai tout vu. Je suis la meilleure dans ce que je fais. C'est beau avoir confiance. Avoir trop confiance, c'est limitatif. Ça ne m'a pas servi. Ça n'a pas d'allure, penser ça, quand on y pense. Puis, je n'ai pas peur d'en parler. Ça fait 10-15 ans. Aujourd'hui, j'ai l'impression que je n'en sais jamais assez. J'ai une soif d'apprendre absolument incroyable. Cette soif-là, cette curiosité-là n'aurait pas pu être là si j'aurais été encore dans la prison de l'égo. L'égo, ça m'a aidée grandement à franchir les échelons un à un jusqu'à un poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise et ensuite de partir ma business qui est en hypercroissance depuis jour 1. Absolument, OK ? Absolument. Mais j'ai vu l'envers aussi de la médaille. Puis quand on est prise dans la prison de l'égo, on se limite, on progresse moins. On est également dans la victimite. Je l'ai été une petite période dans ma carrière. J'ai trouvé ça très challengeant. Et une anecdote par rapport à ça, puis Stéphanie, tu étais là. Tu étais là, Stéphanie, qui est là, justement, aujourd'hui. Je me souviens, là... Une dizaine d'années, je faisais une compétition de kickboxing, des tournois inter-école et tout. J'avais gagné la médaille d'or facilement de ma compétition précédente. Puis là, j'étais dans l'ego, l'orgueil, la tête ne me passait plus d'un cadrage. Et là, ça, c'est le piège. Et je me suis faite ramasser d'une façon comme ça a été dur pour l'ego, entre tabarouettes. Parce que quand j'ai fait, justement, cette compétition-là, la fille... Puis j'étais vraiment... J'étais prête, là. Tu sais, je veux dire, let's go. Et là, elle a fait une... Elle a fait quelque chose que je n'avais pas encore apprise par mon sensei. Je voulais y arracher la tête. Parce que là, c'est drôle, parce qu'aujourd'hui, je suis capable de le voir. Avant, je n'étais pas capable. La fille, elle m'a... Là, mettons, tu es en combat, là, tu es prête. C'est déjà... Puis là, elle arrive... Comment tu appelles ça ? Elle me prend au complet. Puis là, je ne peux plus bouger. Au lieu d'être juste en mode solution, il n'y en a pas de problème. Quand on y pense, c'est assez facile de sortir de là. Mais là, j'étais prise dans mon égo, mon orgueil, comme dans la victimite. Je m'en souviens, je faisais des regards à mon sensei comme Qu'est-ce que c'est ça ? Je n'ai pas appris ça. Qu'est-ce que je fais là ? Au lieu de me mettre en mode solution, j'étais en victimite. J'accusais dans ma tête mon sensei. J'étais en crise après la fille. J'étais en crise après l'arbitre. C'est n'importe quoi, dans le fond. L'ego, une autre chose que ça m'a apprise, quand tu es trop d'ego et que tu es pris un peu dans cette prison-là, tu n'es pas en mode solution. Tu es en mode victimite. Trop, c'est comme passé. Et ce qui m'a aidée à me sortir de cette prison-là, c'est quand j'ai eu le privilège de faire le parcours de la maison des leaders avec Rémi Tremblay, meilleur humain, meilleur leader. Ça, ça a été le premier pas de faire une fissure dans mon armoire, dans mon armure plutôt. Et quand on retire cette armure-là, hé là là, on réalise que c'est possible de vivre autrement. Et que j'ai réalisé, ça a été le début de ma réalisation du fait que... J'ai plus besoin d'avoir un excès d'ego comme ça pour me protéger ou bien pour aller plus loin. Ça, ça a été le début d'une autre quête. Prochaine question de Virginie Gentil qui demande, Mélanie, avec tout ce qu'on voit sur le web en ce moment, comment on fait pour ne pas se faire dépenser ? Et comment on fait pour rester dans le flot ? Et puis, où est-ce que tu trouves tes inspirations ? Numéro un. on va mettre quelque chose au clair tout de suite. Tu vas te faire dépasser. Je vais me faire dépasser. Nous allons nous faire dépasser. Fait qu'avoue qu'en sachant cela... un poids de moins ses épaules. Dans le sens qu'il va toujours avoir quelqu'un qui va être meilleur que nous, quelqu'un qui est moins bon que nous. Je veux dire, c'est relatif. Je pense que le plus important, c'est de voir, OK, de quelle façon je peux partager mon contenu différemment. Parce que la meilleure façon de passer inaperçu sur le web, c'est de faire comme les autres ou c'est de suivre les tendances. Ça, j'en ai parlé souvent dans certains épisodes de podcast ou à travers certains lives montés de lait dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indomptables. et de quelle façon tu as envie d'amener ton contenu. Et c'est fou à quel point 90-95, 99 des gens, oui, instinctivement, on va avoir tendance à regarder ce qui se fait. Ah, ça a l'air intéressant, ça, je vais modéliser. il y en a qui vont modéliser slash copier, il faut faire attention, modéliser ou s'inspirer de la stratégie, OK, ça fait du sens. Au début, on a besoin de barèmes, on a besoin de guidelines, absolument. Mais c'est pour ça aussi que c'est intéressant de réfléchir à l'aspect branding identitaire. C'est justement le podcast, le sujet du podcast de la semaine passée que j'ai fait par rapport à l'importance d'avoir un branding identitaire personnel fort. Puis c'est pas seulement le look, c'est comment qu'on assume ses idées, ses idéaux, ce qu'on a à dire. Et ça, ça fait toute la différence. Une fois qu'on assume, parce que ça prend de la détermination, du courage pour vraiment assumer ce qu'on veut partager. Malheureusement, c'est un aspect qui est sous-estimé. On ne prend pas le temps de s'arrêter et de se demander c'est quoi mon intention avec mon contenu. Qu'est-ce que j'ai envie que les gens se disent ou retiennent de mon contenu après l'avoir consommé ? La majorité des gens vont toujours dire, Ah, je veux avoir un impact auprès des gens. OK, mais de quelle façon ? Es-tu prête à développer, à faire, à créer du contenu d'impact ? C'est quoi du contenu d'impact ? Si j'ai mon téléphone, je scrolle sur mon fil d'actualité, peu importe la plateforme. il y a quelque chose qui a attiré mon attention. Ça, ça veut dire que je ne suis pas facile à attirer l'attention. N'importe qui, je pense que ça va être la même chose. Il y en a tellement. On scrolle, on scrolle, on défile, on fait l'actualité. Puis là, qu'est-ce qui va faire en sorte que je vais m'arrêter ? Demandez-vous ça. Demande-toi ça, justement, Virginie. Qu'est-ce qui va faire que je vais m'arrêter sur ton contenu ? et c'est là que le bas blesse puis c'est là que ça fait mal parce que la majorité des gens ça va être des photos qui ne vous ressemblent pas pantoute qui ne sont pas vraiment vous ça va être des images qui vont être inspirées de quelque chose d'autre que vous allez avoir vu sur le web hey I pled guilty je l'ai fait avant no way que je vais recommencer ça et c'est pour ça que je fais un détour sur parce que c'est important au début quand je faisais des shootings photos du contenu oui C'était, j'ai pris le temps qu'il fallait pour me demander c'est quoi je veux vraiment écrire, qu'est-ce que je veux partager, comment je veux impacter. Pour impacter, il faut que, wow, ça crée un arrêt, ça attire mon attention et que ça puisse changer la trajectoire, la perspective, la croyance, quelque chose que je pensais être à faire, mais là, ça m'a amené, ça m'a ouvert à une autre façon de faire. Ça m'a fait découvrir un autre style, un autre philosophie, un autre mode de vie, par exemple. Dans ton contenu, challengez-vous. Allez prendre votre cellulaire, regardez Facebook, Instagram, TikTok, peu importe, et est-ce que le contenu que vous partagez, c'est votre meilleur contenu ? Je vous garantis que vous n'avez pas fait encore votre meilleur contenu, même affaire pour moi, et ça s'en vient, par contre. C'est tout le temps, c'est de la pratique, de la pratique, de la pratique, de la pratique. Pour rester, justement, quand Virginie, tu demandes... comment tu fais pour... Où est-ce que tu trouves tes inspirations ? C'est d'être curieux. Je vais aller regarder, je consomme des shorts, je vais écouter des podcasts, je vais lire beaucoup de livres. J'adore lire en nature. Mais ça m'ouvre, justement, un monde. Ça m'ouvre encore plus. Ça élève ma curiosité puis mon désir d'en savoir davantage. Mais je ne suis pas une boulimique de la surconsommation de contenu. Ça, c'est pas mieux. À un moment donné, c'est que ça me donne des idées. Oh, ça m'a ouvert des perspectives. Parfait. là, je vais aller préparer justement ce que je veux partager. Fait que demande-toi, quand je vois ton contenu, qu'est-ce que tu pourrais partager qui fait en sorte que je vais m'arrêter ? Fait que si vous faites ce que la majorité des gens font, oubliez ça, là. Ça ne marchera pas. Je le sais que c'est dur, puis je le sais que c'est chiant. Parce que moi aussi, des fois, c'est comme, Hum, qu'est-ce que je peux partager ? Ah, c'est-tu que... Là, on n'est pas à la bonne place. Fait que là, on arrête ça, c'est fini pour la journée. On s'en va courir, on va pratiquer un sport, on revient. OK, là, il faut être dans l'énergie. Est-ce que je suis dans la bonne énergie pour créer quelque chose de différent ? C'est un peu ça aussi pourquoi j'ai développé ou j'ai créé et je suis arrivée à la création de l'indomptable. L'indomptable, c'est moi. Et suite à ça, l'indomptable, c'est quelqu'un qui n'est soumis à aucune autorité. C'est quelqu'un qui n'est pas domptable. C'est quelqu'un qui va suivre sa propre voie, qui va, justement, assumer ses idées, ses idéaux. C'est moi. Et là... par la suite, ça n'a plus jamais été pareil. Je vais partager des sujets, puis de plus en plus, je vais loin, je me laisse aller parce que j'ai un besoin, j'ai un désir, des fois, de provoquer des réflexions, de provoquer des changements. Fait que demandez-vous, qu'est-ce que vous voulez provoquer à travers votre contenu ? Qu'est-ce que vous voulez partager ? Est-ce qu'on va s'arrêter à votre prochaine pièce de contenu ? Gardez ça en tête. aujourd'hui, c'était un essai de pouvoir répondre à des questions qu'on me demande. J'ai encore plein de questions que je n'ai pas répondues encore. Bref, j'espère que vous avez aimé, apprécié. Je vous invite à me partager. Posez-moi vos meilleures questions. intelligentes, si possible, humoristiques, qui sortent du champ gauche. Tu sais, vraiment, là, je vous challenge à me poser les questions. Où est-ce que vous voulez avoir... Ça se dit dessus, ça ? Je coupe ça. Je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot, qui ont un peu de piquant. Parce qu'il n'y a rien que je ne vais pas dire. Comme, par exemple, la majorité des gens, la question sur le Botox... on l'aurait laissé là. J'assume. Alors, je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot. En même temps, je vous fais travailler. Alors, dites-moi, est-ce que vous avez aimé ce format-là qui est l'épisode 88 de l'Indomptable Podcast que je vais découper, justement, en petits shorts puis je vais optimiser la formule. Oui, je pense que ça va être quelque chose de pas mal intéressant. Dites-moi, est-ce que ça a eu de la valeur ? Est-ce que c'est divertissant ? Comment vous avez trouvé ça ? J'ai très hâte de vous entendre. et on se voit ultérieurement pour un prochain épisode de ce style-là et autres styles qui s'en viennent à l'Indomptable Podcast

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"La véritable force d'un entrepreneur réside dans sa persévérance à surmonter les défis; c'est ainsi que nous atteignons non seulement nos objectifs, mais que nous enrichissons et inspirons véritablement notre communauté." - Mélanie Fortin

🚀 "Aujourd'hui dans l'épisode 88, on change de format ! Récemment, j'ai défié ma communauté : 'Demandez-moi n'importe quelle question, peu importe le sujet'. La réponse? Une avalanche de questions incroyablement intéressantes et variées!


Étant donné la grande quantité de questions reçues, il m'est impossible de répondre à toutes les questions dans un épisode ! J'ai donc soigneusement choisi quelques questions qui résument les questions que je reçois régulièrement.


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  • Speaker #0

    L'Indomptable est le podcast pour les entrepreneurs, coachs et experts qui désirent apprendre, s'inspirer et se faire challenger dans le but d'assumer totalement qui ils sont. À travers l'Indomptable, je te dévoile les hauts et les bas de l'entrepreneuriat à la sauce raw. Le tout livré sans filtre. Excite le politically correct, la censure et le statu quo. Je vais te partager mes réflexions du moment, du contenu divertissant avec quelques montées de lait à l'occasion et des stratégies audacieuses. basé sur mes expériences qui m'ont permis de bâtir une entreprise prospère. Si tu désires sortir du moule, laisser ta marque, augmenter ton influence et surtout devenir indomptable en affaires, tu es à la bonne place. Bonjour tout le monde et bienvenue à l'Indomptable Podcast. Aujourd'hui, c'est un épisode complètement différent. Pourquoi ? Bien, il y a quelques temps, j'ai demandé à vous, à ma communauté, de me poser une question ou plusieurs questions. Ask me anything. Et là, dans ces feuilles-là, j'ai une partie de toutes les questions que vous m'avez posées. Avec la quantité que j'ai reçue, c'est clair que je ne pourrais pas tout y répondre, mais on va commencer par le commencement. J'ai justement sélectionné certaines questions que je trouve hyper pertinentes et que je suis convaincue que ça va aider plusieurs d'entre vous. Vous saurez me le dire. Première question de Stéphanie Schmitt. Elle me demande, Mélanie, qu'est-ce qui fait en sorte... qu'on n'a pas atteint encore nos objectifs, et ce, malgré le fait qu'on travaille d'arrache-pied, qu'on travaille fort, qu'on travaille tout le temps. Pourquoi je n'ai pas... Fort probablement, OK ? Et ça, c'est bon pour tout le monde. Ce n'est pas parce qu'on travaille très, très fort, tout le temps. Tu sais, là, on n'arrête pas, 7 jours sur 7, qu'on va automatiquement réussir. La question qu'il faut que tu te demandes, Stéphanie, et pour tout le monde qui vit une situation similaire, est-ce que tu te concentres sur les choses qui sont les plus importantes ? Est-ce que tu te concentres sur les projets, les choses qui sont payantes ? Est-ce que tu te concentres sur les bonnes priorités, les bonnes actions ? Et ça, c'est vraiment hyper important. Rendre du recul et de demander ces questions-là. Combien de fois j'ai vu ça, surtout dans le corpo, à quel point on travaille beaucoup, beaucoup, beaucoup, fort, fort, fort, parce que c'était, d'après moi, une des plus grandes croyances en business. Il faut travailler fort pour avoir du succès. Aujourd'hui, pour moi, c'est totalement différent. Tu dois travailler intelligemment. Travailler intelligemment, c'est de savoir te poser les bonnes questions. Question numéro 2 de Lisons le 5. Lisons, tu m'as posé plusieurs super bonnes questions. J'en ai sélectionné une que je trouve hyper intéressante. Lisons, elle me demande... Comment ta formation, tes certifications, tes diplômes, influencent-elles ta pratique quotidienne ? Est-ce que j'ai envie de te dire, lisons, et on va prendre un peu plus de hauteur, ce que j'entends souvent comme question ou qu'on me demande souvent, Mélanie, est-ce qu'il faut absolument un diplôme, des certifications, un nom bien calculable de formation en ligne pour pouvoir vraiment réussir ? Je te dirais que c'est plus l'ensemble... de la profondeur de mon expérience, de mon expertise qui fait la différence. Oui, ça ne peut pas nuire d'avoir des diplômes, des certifications, des formations, mais ce n'est pas ça qui va faire la différence. C'est l'ensemble de tes actions. C'est l'ensemble de ce que tu vas faire au quotidien. Et ça, c'est important que tu gardes ça en tête. Et au niveau des formations, je veux dire, combien de fois j'ai vu des gens… enfiler formation après formation après formation après formation. Je les appelle les boulimiques de la formation. À un moment donné, demande-toi, est-ce que c'est réellement une dixième formation en ligne que j'ai de besoin ou un énième certificat, diplôme que j'ai de besoin pour réellement réussir avec ma business ? Alors, au final, assurez-vous et lisons, assure-toi que, oui, tu as des diplômes, oui, tu as de l'expérience, oui, il y a plusieurs aspects dans ton parcours probablement que tu es capable de mettre ensemble. Et regarde le tout comme c'est vraiment l'ensemble de la profondeur de tes actions, expertise, diplômes et tout qui fait, qui va faire en sorte justement que tu vas pouvoir démontrer ta crédibilité. Et je pense que quand on parle de profondeur d'expérience… C'est beaucoup en lien avec ça, de quelle façon vous êtes capable, de quelle façon, disons, tu es capable de démontrer justement ta crédibilité. Et si je fais un lien avec mon expérience, la profondeur de mon expérience, c'est ça qui fait vraiment la différence aujourd'hui. Je vais parler évidemment de les 25 années d'expérience que j'ai eues dans les grandes entreprises, les grands postes que j'ai occupés dans le corpo. Le fait que j'ai été dans un mastermind quatre ans, j'ai un baccalauréat en administration marketing, j'ai des certifications de coaching, d'affaires, PNL, je veux dire, il y a tellement de choses qu'au fil des années, je suis capable de dire, ça, c'est l'ensemble de mon expérience. Et plus on va justement parler de l'ensemble de l'expérience, plus on va être en mesure justement d'être capable d'aller voir, OK, quelles sont justement les compétences que j'ai développées suite à ça. Prochaine question de Stéphanie Racine. Stéphanie, elle me demande, Mélanie, comment on peut s'assurer qu'on pratique de la bonne manière, qu'on pratique avec les bonnes directives, la bonne direction, qu'on va utiliser les bons mots, qu'on va créer le bon contenu au quotidien ? Déjà là, Stéphanie, arrête de t'enfarger dans les mailles du tapis, OK ? C'est tout le temps, comme je dis souvent, c'est dans l'action que ça se clarifie. La meilleure façon et le meilleur indicateur que tu peux savoir si tu es justement dans la bonne direction, c'est de faire des essais. Fais des essais erreurs. Et si c'est le moment que tu vas commencer à avoir des résultats positifs suite à tes actions, c'est là que tu vas savoir que, OK, ça fait du sens. On ne peut pas... dépendre de quelqu'un à côté de soi constamment pour savoir si on fait la bonne chose. À un moment donné, c'est qu'il faut prendre un leap of faith, il faut aller de l'avant. C'est dans l'action que tu prends confiance en tes capacités. C'est dans l'action que ça va se clarifier. Et c'est dans l'action que tu vas savoir, en expérimentant, en faisant des essais rares, que tu vas savoir si tu es sur la bonne voie. Puis le meilleur, meilleur, meilleur indicateur, c'est Oh, est-ce que j'ai des résultats suite à mes actions ou non ? Si tu n'as pas encore des résultats à la hauteur de tes attentes, mais il y a quelque chose à ajuster, il y a une action qu'il faut que tu changes, il faut que tu réorientes quelque chose. Et comme je me dis souvent, oui, ce n'est pas toujours facile, right, de faire une action. On va avoir peur. La peur du jugement, la peur d'avoir de l'air ridicule, la peur de ne pas savoir quoi dire, la peur de ne pas faire la bonne chose, la peur de ne pas être assez. Mais dis-toi que c'est dans l'adversité que tu te définis. que tu te construis et que tu es en train de devenir la personne que tu sais et que tu désires être. Prochaine question de Mireille Chevalier, et je vais dire aussi Brigitte Brabant, parce que les questions se ressemblent beaucoup. Dans le fond, les filles me demandaient, c'est quoi les compétences, les habitudes clés à développer pour pouvoir développer une entreprise prospère ? Dans le fond, c'est quoi les, je dirais, les accélérateurs, les compétences qui vont accélérer ta croissance ? C'est sûr qu'on va parler, bien oui, il faut avoir des bonnes habitudes, il faut avoir une bonne routine, il faut avoir un mindset fort, oui, oui, oui, oui, oui, OK ? Mais il y a des choses, il y a des aspects, des compétences, des expertises spécifiques qu'on ne parle pas assez et qui vont vraiment faire la différence. Numéro un, est-ce que tu as un système D bien développé en toi ? Système D pour débrouillardise. Et une des choses que je me souviens, quand j'étais dans le corpo, je pouvais voir en un claquement de doigts lequel de mes directeurs dans mon équipe allait réussir ou pas. Et souvent, cet indicateur-là, c'est j'ai quelqu'un qui a les bras croisés, qui attend que je le forme, tandis qu'il y en a un autre, OK, qui va se retrousser les manches, all right, je m'en vais chercher l'information, je prends en charge mon développement, ma progression, ma formation. Ça, c'est un, je dirais, une des compétences, un aspect qui va faire... toute la différence. Alors, demande-toi, penses-tu que tu as un système D bien développé ? Si ce n'est pas le cas, je t'invite à être davantage curieux. Fais des recherches, pose des questions, prends charge, prends les devants pour ton développement. N'attends pas après personne. Un autre aspect que je parle souvent, on en parle, mais je ne pense pas qu'on réalise la puissance de cette, je dirais, c'est une compétence. Est-ce que c'est une compétence ? C'est plutôt un trait de personnalité ou un aspect à développer. C'est la persévérance. Neuf personnes sur dix, en général, lorsque c'est le temps de persévérer, ne vont pas réussir à persévérer. Au lieu de persévérer pour continuer ton chemin, puis de t'en aller, de te diriger vers ton objectif, Ah oui ! ils vont bifurquer à gauche, oh, bifurquer à droite, oh, peut-être. Pourquoi ? C'est que là, ce que j'observe, après avoir accompagné des milliers de personnes, des coachs, des entrepreneurs, dirigeants, leaders, C'est plus facile de trouver un autre chemin, d'essayer quelque chose de plus facile. Oh, le shiny object. Oh, une nouvelle stratégie. Oh, il y a une nouveauté ici. C'est pour ça que quand c'est le temps de persévérer, ou des fois ça me fait penser, il y a des gens qui me disent Hey Mélanie, là je suis vraiment en train de persévérer en ce moment. Euh, non. Pourquoi ? Quand c'est le temps de persévérer, t'as pas un sourire dans la face. Souvent c'est que t'as un genou, voire deux genoux à terre, t'es découragée, t'es assoute, t'es abandonnée. Mais il y a quelque chose en toi, une force, une puissance. un courage que tu n'avais pas vu jusqu'à présent, qui va te permettre de faire le petit pas de plus et qui va te permettre de continuer. La persévérance, c'est comme un marathon. C'est la game, c'est la longue game. Alors, tu veux réussir en business, tu désires scaler ta business. Es-tu prêt à jouer la long game, la game de patience ? Et ça, c'est un aspect qui est trop sous-estimé. On est trop à la recherche du get rich quick On est trop à la recherche de c'est quoi la stratégie de l'heure qui va m'assurer sans aucun doute la réussite ? Ça n'existe pas. Oubliez ça. There is no such thing. Ça, c'est réglé. Un autre aspect aussi. on n'en parle pas assez. Et ça, c'est un de mes mentors qui m'a dit ça il y a 25 ans. Ça m'a marquée. Pour pouvoir réussir à la hauteur de ses aspirations. Ou bien, ça c'est quelque chose qu'on me dit souvent, mes clients me demandent, Oh Mélanie, moi je veux impacter plein de monde. Qui sait qui ne veut pas impacter plein de monde, right ? On veut tout impacter les gens autour de nous. C'est plaisant d'impacter et de savoir qu'on a eu un impact. Mais pour être en mesure d'impacter positivement et en puissance les gens qui nous entourent, Il faut d'abord être un champion of people. Et ça, c'est une phrase que mon mentor de l'époque me dit. Mélanie, tu veux réussir là ? Tu veux te rendre là ? À l'époque, pour moi, mon but, c'était d'être présidente d'une grande entreprise canadienne. Laquelle ? Pas grave, pas grave, je vais être présidente. Il m'avait dit, et c'est drôle parce que je ne pensais pas que ça aurait été de mon entreprise. Fait que, yes ! Mais bref, à l'époque, Mélanie, tu veux te rendre là ? Pour te rendre là, il y a un élément. essentiel que tu dois développer. J'étais début vingtaine. Be a champion of people. Sois au service des gens. donne, vois comment tu peux les aider. Parce que dans la vie, il y a deux types de personnes. Il y a des givers, qui sont des champions of people, puis il y a des takers, qui ne donnent pas vraiment, mais qui vont aller prendre peu importe quoi, un peu partout. Malheureusement, il y en a un peu trop, des takers, dans notre marché général, sur le web. Mais il y a aussi beaucoup de givers. J'ai envie de te demander, es-tu un taker ou un giver ? Prochaine question de Josée Bernier. Ça va être une quickie, mais je la trouve super intéressante. Elle me demande... Mélanie ! Depuis que tu es en business, as-tu déjà pensé abandonner l'entrepreneuriat ? Non, jamais. Jamais, jamais, jamais. Ça ne veut pas dire qu'il y a des moments et des journées que... Tu sais, là, c'est ça. Des journées que j'ai envie de prendre congé. Mais il y a une différence entre j'ai envie de prendre une couple de jours de congé pour me reposer versus, hostie, dans quoi je me sens embarquée ? Non. Mais là, en ce moment, les gens ne le savent pas, mais je suis en présence de ma super adjointe, Stéphanie Chichou, qui est de l'autre côté. Oui, fait que... deux, trois ans, j'aurais fait ça, elle serait liquifiée sur le sofa. Elle serait jamais venue ici. Es-tu d'accord ?

  • Speaker #1

    Je suis très d'accord.

  • Speaker #0

    J'ai envie de faire venir Stéphanie ici parce que j'ai envie de se poser une question. Ça a un lien avec la question de José Bernier. Stéph, tu te rappelles-tu la première année quand on est parti en business ? La lune de miel dans laquelle on était.

  • Speaker #1

    Tout à fait. On était comme Oh my God, wow !

  • Speaker #0

    Plus de trafic ! Plus de trafic ! Oh my God ! On s'appelait As-tu vu ça ? Il neige ! On n'est pas obligés de sortir de la maison ! Oh my God, oh my God ! Au début, on s'entend-tu ?

  • Speaker #1

    C'était vraiment la lune de miel. Wow !

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, après, ça va faire six ans, cinq ans. Comment tu définirais ? C'est peut-être plus... C'est différent de la lune de miel. Je te mets sur le spot et je suis tellement fière de toi. J'en viens pas que t'es venue. Ça, j'aime ça. Ça, c'est de la progression. C'est fou comment Stéphanie a progressé. Autre que le fait que c'est ma super adjointe, super Stéphanie, c'est aussi une grande amie et c'est mon ancienne partenaire. de kickboxing. C'est bon. C'est bon. Ça, ça veut dire que je suis trop prévisible. Il faut que je travaille là-dessus. Mais dis-moi donc, Stéphanie, aujourd'hui, autre le fait, ce n'est pas de la lune de miel. Comment tu définirais justement l'entrepreneuriat après cinq ans ?

  • Speaker #1

    Je dirais que c'est tout un chemin, vraiment. Beaucoup de questionnements, c'est pas toujours facile. Puis même si des fois, on se dit, Ah, j'ai des doutes, est-ce que je fais la bonne chose ? Ça a toujours été la meilleure décision, c'est de persévérer, sortir de sa zone de confort tout le temps, tout le temps. Puis ça fait tellement grandir en tant que... humain, puis on fait des choses qu'on ne pensait pas faire, comme me voilà devant la caméra.

  • Speaker #0

    Excellent ! Ça paraît qu'on se connaît. Merci Stéphanie ! Je suis tellement fière d'elle. C'est ça, la progression, c'est ça, les sorties de zone. Je vous le dis, il y a deux ou trois ans, ça serait liquifié sur le sofa. Ça, on le sait. Puis des fois, le fait que c'est mon ami, que c'est mon allié... Puis, étant coach dans l'homme, je ne peux rien faire, c'est là. Bien, je vais la mettre des fois dans des situations qui font vraiment la challenge. Donc là, des fois, c'est ça qui est le fun, faire du contenu comme ça. On va passer par Shibugamo, bien, je trouve ça le fun. Pour finalement, la réponse à Josée était bien, était assez simple. Non, je ne regrette pas du tout. Puis, c'est drôle parce que quand on le sait que l'entrepreneuriat, c'est un monde, on est comme dans une matrice à l'extérieur de la société par moments. Je me sens comme ça, je ne sais pas pour vous. Mais... si je regarde mon conjoint, mes amis, ma famille qui sont dans le système, combien de fois on m'a demandé Tu regrettes-tu ? On dirait ce que je perçois. Qu'est-ce qui est en dessous de ça ou en arrière de cette question-là ? C'est avouer que tu regrettes et que tu étais donc bien dans ton poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise canadienne. Non. Comme non. Je pensais que c'était ça, la réussite. Ça, c'est la réussite sociale aux yeux de la société. Oh my God, t'as atteint le gros poste. Mais c'est parce que dans notre société aujourd'hui, c'est fou, pareil, comment on fabrique des soldats. On fabrique des salariés. C'est ça, pareil. Bref, des fois, je peux aller bien loin, donc je vais m'arrêter là. Non, je ne regrette pas du tout. Et pour tout le monde, un dernier point là-dessus. Quand vous êtes découragé, Souvent, c'est ces passagers. Il n'y a rien, rien, rien qui est permanent. Autant les bonnes journées, autant les moins bonnes journées. Il n'y a rien qui est permanent. Quand ça ne va pas, prends du recul, prends soin de toi, fais quelque chose qui te fait du bien. Prends le temps de te ressourcer, de recharger tes batteries et après, là, redemande-toi. Est-ce que j'ai envie d'abandonner ou est-ce que je regrette ? Non, fort probablement que quand tu vas être au meilleur de ta forme, je suis convaincue que tu vas être super motivé. Prochaine question de Véronique Brouillette. Une question que je me fais demander souvent, comment je fais, Mélanie, pour passer d'une entreprise qui, en ce moment, est quasiment uniquement en présentiel, en virtuel ? Mettons que Véronique, en ce moment, c'est 90-10, puis là, elle aimerait avoir un 50-50. Réponse super simple. Dans le fond, Véronique, toutes les stratégies que tu as actuellement en présentiel, c'est pas mal les mêmes en virtuel. C'est juste que tu vas l'offrir. à justement un plus grand nombre de personnes. Mais si tu as une page d'inscription, par exemple, pour s'inscrire à un atelier, une formation en présentiel, bien, c'est la même chose en virtuel. C'est le format qui va changer en bout de ligne. Et je trouve qu'on va se casser la tête tellement par rapport à ça. Comment je fais ? Ma phrase qui me monte, qui vient là, c'est Just do it C'est tout. Arrêtez de vous enfarger dans les fleurs du tapis. D'arrêter. ou plutôt d'essayer d'avoir la réponse parfaite, de tout planifier, de tout, OK, j'ai-tu ça, j'ai-tu pensé à ça, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça, puis là, un mois plus tard, j'ai-tu pensé à ça, qu'est-ce qu'il faut que je fasse, qu'est-ce qui manque, deux mois plus tard, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça ? On arrête. Allez expérimenter. Comme je dis souvent, je l'ai dit précédemment, tout se clarifie dans l'action. Alors, va le tester. Oui, je pourrais te donner tous les micro-détails qui sont, mettons, les petites différences entre les deux, mais overall, c'est pas mal la même chose. Alors, ce que tu as présentement en présentiel, essaie le tout en virtuel. C'est le format, l'endroit, la façon d'assister à ce que tu fais. Et toi, pour livrer ta formation, ton contenu, que tu sois devant une caméra comme en ce moment, que tu sois devant un ordi ou devant les gens, c'est la même chose. Une autre croyance qu'on me dit souvent... Ah, Mélanie, c'est pas pareil en virtuel. Mettons, en virtuel versus présentiel, je me sens pas aussi bien. C'est juste que tu l'as pas faite ou peu faite. C'est juste dans la pratique. Pratique, pratique, pratique. Ou bien un autre, souvent, une autre question. Ah, le coaching individuel. c'est plus puissant que du coaching de groupe. Non. Ça, c'est une des plus grandes croyances erronées que j'ai entendues dans ma carrière. C'est plutôt, est-ce que tu as... Il faut que tu regardes si tu es la bonne personne pour t'aider par rapport à ce que tu as besoin. Là, je m'en vais encore très loin. J'y reviendrai sur cette question-là qui me passionne, mais au final, Véronique, super simple. Just do it. Ce que tu fais présentement en présentiel, applique-le tout. La même chose en virtuel. Je n'ai aucun doute que ça va fonctionner. visite un peu plus, peut-être, certaines peurs, craintes, croyances qui sont là, qui t'empêchent à faire le move, je dirais, totalement. Prochaine question de ma belle Joannie Nolet qui demande, Mélanie, comment je peux faire pour que les entrepreneurs puissent vraiment prendre au sérieux leurs chiffres ? Qui comprennent plutôt l'importance de bien comprendre ses chiffres. Je dirais, Joannie, dans n'importe quel contenu, peu importe le sujet, c'est dans la façon que tu vas le présenter. Si ton sujet est moins sexy, moins excitant, il faut quand même le dire, les chiffres, la comptabilité, les finances, c'est un petit peu plus challengeant de capter l'attention de ton audience, c'est de présenter ton contenu de différentes façons. Essaie d'aller voir sur les tendances sur le web. Essaie de peut-être faire du contenu, faire une vidéo avec quelqu'un, amener un côté ludique. Oui. quand on crée du contenu, si notre intention, c'est que je veux que les entrepreneurs réalisent à quel point c'est absolument essentiel qu'ils comprennent leurs chiffres, bien, ils doivent comprendre en un claquement de doigts What's in it for me ? Je le sais, c'est évident de Mélanie. On le sait tous, c'est important. Oui, mais la majorité des gens le font pas. Fait que bref, voici où nous en sommes. Et c'est de voir, bien, rapidement, c'est quoi le bénéfice ? Bien, ça va m'aider à prendre de meilleures décisions. ça va m'aider à ne pas frapper un mur parce que j'ai tellement investi que, oups, j'ai pas regardé mes chiffres, j'ai pris des mauvais calques, puis là, je me retrouve en précarité financière. C'est pas ce qu'on veut. Ou bien, ça peut être un angle, comment maximiser, justement, sa liberté financière. Bref, sky's the limit. Mais le point le plus important pour n'importe qui, quand votre sujet est un peu plus sérieux, moins sexy, moins comme, je veux absolument le consommer, trouver peut-être un angle différent, ludique, amener de l'humour, faire des contenus différents. Parce qu'aujourd'hui, ce n'est plus genre comme bonjour, alors aujourd'hui, je vais vous parler, je vais vous enseigner A, B, C, D. Ça ne marchera plus, ça c'est sûr. Fait que, un pensez-y bien. Prochaine question. Cette question-là me fait sourire et on me la pose régulièrement. Et quand j'ai lu la question de Véronique Plante, il a fallu que je réfléchisse comme trois secondes. Je ne suis pas sûre de la réponse, tellement que c'est inné en moi. Véronique, elle me demande, Mélanie, d'où te vient cette fougue ? On dirait que tu as peur de rien. Est-ce que j'ai peur de quelque chose ? Je n'ai pratiquement aucune peur en ce qui a trait à mon expertise, ma business. Pourquoi la fougue, l'absence de peur, ce courage, cette détermination-là, sincèrement, je crois que c'est la somme de toutes mes actions. plus on fait des actions, plus on est en mouvement, plus on essaie des choses, plus ça nous confirme que, surtout quand on a des résultats comme ceux que j'ai eus, bien, ça confirme qu'on fait quelque chose de bon. Ça confirme qu'on est à la bonne place. Je pense qu'il y a un peu aussi de ma mère qui était aussi très... qui est toujours super énergique dans ses 70 ans. Oui, ça, si je le dis, elle va faire. Mais maman, c'est ça, c'est correct. Mais je dirais, la peur, c'est plus par rapport au niveau société. Puis j'en parlais avec ma super amie Stéphanie. Et c'est plutôt les peurs par rapport à certains aspects. Aujourd'hui, l'arrivée rapide de façon exponentielle de l'intelligence artificielle, les changements climatiques, la mort. Ça, c'est des choses qui me font peur. je m'observe pour pas que je tombe trop là-dedans, comment je me récorde, mais c'est plus par rapport à ça. Par rapport à la job, au travail, la business, la croissance, ouais, ça, la confiance est assez élevée, merci. Prochaine question de Julie Courchêne et aussi Diane Noël. Souvent, il y a plusieurs personnes qui ont posé des questions qui sont un peu similaires et celle-là, c'est que ça tourne autour du contenu. Combien de fois on va me demander... Mélanie, pour savoir quel contenu mettre ? Déjà là, arrêtez de vous casser la tête à savoir qu'est-ce que je publie. Déjà là, il y a un problème. Qu'est-ce que je publie ? Ça peut être plein de raisons, plein de causes. Mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'on sait pourquoi publier ? posez-vous la question, pourquoi on rush, on se casse la tête ? Ah, c'est que si je publie ? C'est parce qu'on est mal aligné ? Est-ce que c'est parce que notre orientation n'est pas super claire ? Est-ce que parce qu'on voit tout ce qui se passe sur le web, il y a tellement d'informations partout ? Ah, qu'est-ce que je peux ajouter par rapport à ça ? Qu'est-ce que je peux partager ? premièrement, je vais te donner deux, trois pistes super intéressantes. C'est autant pour Julie, Diane et pour la majorité des gens qui vont écouter cette capsule et ce podcast-là. Il faut que tu te dises que R.E.P., Rest in Peace, excite l'information. On n'est plus à l'ère de l'information. Aujourd'hui, si je lis un contenu, je vais te partager les trois meilleures stratégies pour réussir à baisser. J'ai juste à aller écrire ça dans le chat GPT, il va m'y sortir. Ça ne veut pas dire que c'est bon, ça ne veut pas dire que c'est les bonnes nécessairement, mais on s'entend dessus pour dire que l'information n'a jamais été autant facile d'accès. Donc, à partir de maintenant, bienvenue l'ère de l'expérience. Ce que j'entends par là, c'est que ce que les gens veulent réellement savoir... Si ça, c'est le futur, et si c'est le passé, va voir dans ton passé, il y a quelques jours, il y a quelques semaines, et demande-toi. Les gens, ce qu'ils veulent savoir, c'est comment tu te sens. Comment tu as vécu telle expérience ? Comment tu as vécu telle transition ? Comment tu t'es senti quand tu as... développer ta business. C'est quoi l'expérience ? Partage une expérience avec un client. Partage un moment où tu as voulu tout abandonner et comment tu as réussi à trouver le courage de persévérer. Les gens veulent du real life, du behind the scenes. Ils veulent savoir comment tu te sens, comment tu as fait face à l'adversité, comment tu as persévéré ou pas. Ça, de plus en plus, on sent et on voit, on observe un switch à travers les réseaux sociaux. Et ce n'est pas pour rien que Pourquoi qu'on entend tellement Ah, je ne suis plus capable, Mélanie, des réseaux sociaux, je suis écoeurée,

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    tatatata

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    Mais pourquoi on est écoeuré ? Est-ce que c'est parce qu'il y en a trop ? Est-ce que parce qu'il y a trop de faux ? Parce qu'on ne parle pas des vraies choses ? C'est toutes des raisons que j'entends. Mais à partir de maintenant, on a tout un rôle de partager c'est quoi ? Les vraies choses. Et c'est pour ça que c'est, pour moi, alias Mélanie Fortin, alias l'indomptable, de plus en plus… J'ai envie, et c'est plus fort qu'une envie. C'est comme une mission de dire les vraies choses. Dans les dernières années, il y a trop de fausseté. On a de la misère à savoir ce qui est vrai, c'est quoi le vrai. On n'est pas capable de faire la différence entre le vrai et le faux. Hé, Mélanie, c'est-tu vrai qu'on peut faire 100 000 par mois si on a fait ABCD ? Non ! Non, ce n'est pas avec une méthode. Le succès, ça se bâtit, ça prend beaucoup plus d'étapes que ça. Et si tu regardes, OK, dans mes derniers, mes récents épisodes de l'Indéontable podcast au cours des derniers mois, ou bien dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indéontables, de plus en plus, je vais parler de montée de lait, des choses qui méritent. Je vais partager des expériences et comment j'ai vécu. Par exemple, le dernier lancement que j'ai fait, Elevate Your Game, qui est le meilleur lancement ever. comment j'ai fait mon post-mortem ? Qu'est-ce que j'en retiens ? Qu'est-ce que j'ai appris par rapport à ça ? Ça vaut de l'art. Ce n'est pas de la théorie. Voici ce que tu devrais faire. Non, voici ce que j'ai testé, expérimenté. Voici le résultat. Voici comment tu peux l'appliquer et le modéliser. Bref, pour faire ce cours, c'est un peu comme la technique de création de contenu inversée. Au lieu d'aller en avant sur voici ce que tu dois faire, voici des trucs, voici des stratégies, ce n'est plus ça que les gens veulent savoir. Alors, si tu continues là... tu vas continuer à rusher avec ton contenu c'est clair voilà Qu'est-ce que tu as vécu ? Comment tu t'es senti ? Comment tu as réussi ça ? À quoi tu penses ? Comment tu as développé un projet ? As-tu eu une bonne, une mauvaise, une épouvantable expérience avec un client ? C'est tout ça que les gens veulent savoir. Et ça, malheureusement, regarde un peu partout ce qu'on voit sur le web. Il n'y en a pas beaucoup. Alors, tu as, j'ai, nous avons un rôle de pouvoir justement partager davantage de contenu, d'expérience. Prochaine question de Mickaël Lamarche. quel est le plus grand piège dans lequel tu es tombé et qu'as-tu appris ? Pour moi, et ça va sûrement en surprendre plus d'un, je dirais que le plus grand piège dans lequel je suis tombée, c'est d'avoir tombé dans un excès d'ego. Ça a été beaucoup dans ma carrière en business, dans ma carrière dans les grandes entreprises. À un moment donné, quand je suis arrivée à un certain niveau, oh my God ! Comment je le sais que ça a été un piège ? C'est que quand on est trop dans l'ego, c'est pas mieux que pas avoir assez d'ego, ça, je vous le garantis. Je m'en suis aperçue... Plus tard, en prenant un recul, en sortant justement de la prison de l'ego, j'ai réalisé à quel point comme aïe aïe aïe, que quand on est trop dans l'ego, ça ralentit sa progression. Imaginez, à un moment donné, au cœur de ma carrière, au top de mon ascension, je me disais... Je sais tout. J'ai tout appris. J'ai tout vu. Je suis la meilleure dans ce que je fais. C'est beau avoir confiance. Avoir trop confiance, c'est limitatif. Ça ne m'a pas servi. Ça n'a pas d'allure, penser ça, quand on y pense. Puis, je n'ai pas peur d'en parler. Ça fait 10-15 ans. Aujourd'hui, j'ai l'impression que je n'en sais jamais assez. J'ai une soif d'apprendre absolument incroyable. Cette soif-là, cette curiosité-là n'aurait pas pu être là si j'aurais été encore dans la prison de l'égo. L'égo, ça m'a aidée grandement à franchir les échelons un à un jusqu'à un poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise et ensuite de partir ma business qui est en hypercroissance depuis jour 1. Absolument, OK ? Absolument. Mais j'ai vu l'envers aussi de la médaille. Puis quand on est prise dans la prison de l'égo, on se limite, on progresse moins. On est également dans la victimite. Je l'ai été une petite période dans ma carrière. J'ai trouvé ça très challengeant. Et une anecdote par rapport à ça, puis Stéphanie, tu étais là. Tu étais là, Stéphanie, qui est là, justement, aujourd'hui. Je me souviens, là... Une dizaine d'années, je faisais une compétition de kickboxing, des tournois inter-école et tout. J'avais gagné la médaille d'or facilement de ma compétition précédente. Puis là, j'étais dans l'ego, l'orgueil, la tête ne me passait plus d'un cadrage. Et là, ça, c'est le piège. Et je me suis faite ramasser d'une façon comme ça a été dur pour l'ego, entre tabarouettes. Parce que quand j'ai fait, justement, cette compétition-là, la fille... Puis j'étais vraiment... J'étais prête, là. Tu sais, je veux dire, let's go. Et là, elle a fait une... Elle a fait quelque chose que je n'avais pas encore apprise par mon sensei. Je voulais y arracher la tête. Parce que là, c'est drôle, parce qu'aujourd'hui, je suis capable de le voir. Avant, je n'étais pas capable. La fille, elle m'a... Là, mettons, tu es en combat, là, tu es prête. C'est déjà... Puis là, elle arrive... Comment tu appelles ça ? Elle me prend au complet. Puis là, je ne peux plus bouger. Au lieu d'être juste en mode solution, il n'y en a pas de problème. Quand on y pense, c'est assez facile de sortir de là. Mais là, j'étais prise dans mon égo, mon orgueil, comme dans la victimite. Je m'en souviens, je faisais des regards à mon sensei comme Qu'est-ce que c'est ça ? Je n'ai pas appris ça. Qu'est-ce que je fais là ? Au lieu de me mettre en mode solution, j'étais en victimite. J'accusais dans ma tête mon sensei. J'étais en crise après la fille. J'étais en crise après l'arbitre. C'est n'importe quoi, dans le fond. L'ego, une autre chose que ça m'a apprise, quand tu es trop d'ego et que tu es pris un peu dans cette prison-là, tu n'es pas en mode solution. Tu es en mode victimite. Trop, c'est comme passé. Et ce qui m'a aidée à me sortir de cette prison-là, c'est quand j'ai eu le privilège de faire le parcours de la maison des leaders avec Rémi Tremblay, meilleur humain, meilleur leader. Ça, ça a été le premier pas de faire une fissure dans mon armoire, dans mon armure plutôt. Et quand on retire cette armure-là, hé là là, on réalise que c'est possible de vivre autrement. Et que j'ai réalisé, ça a été le début de ma réalisation du fait que... J'ai plus besoin d'avoir un excès d'ego comme ça pour me protéger ou bien pour aller plus loin. Ça, ça a été le début d'une autre quête. Prochaine question de Virginie Gentil qui demande, Mélanie, avec tout ce qu'on voit sur le web en ce moment, comment on fait pour ne pas se faire dépenser ? Et comment on fait pour rester dans le flot ? Et puis, où est-ce que tu trouves tes inspirations ? Numéro un. on va mettre quelque chose au clair tout de suite. Tu vas te faire dépasser. Je vais me faire dépasser. Nous allons nous faire dépasser. Fait qu'avoue qu'en sachant cela... un poids de moins ses épaules. Dans le sens qu'il va toujours avoir quelqu'un qui va être meilleur que nous, quelqu'un qui est moins bon que nous. Je veux dire, c'est relatif. Je pense que le plus important, c'est de voir, OK, de quelle façon je peux partager mon contenu différemment. Parce que la meilleure façon de passer inaperçu sur le web, c'est de faire comme les autres ou c'est de suivre les tendances. Ça, j'en ai parlé souvent dans certains épisodes de podcast ou à travers certains lives montés de lait dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indomptables. et de quelle façon tu as envie d'amener ton contenu. Et c'est fou à quel point 90-95, 99 des gens, oui, instinctivement, on va avoir tendance à regarder ce qui se fait. Ah, ça a l'air intéressant, ça, je vais modéliser. il y en a qui vont modéliser slash copier, il faut faire attention, modéliser ou s'inspirer de la stratégie, OK, ça fait du sens. Au début, on a besoin de barèmes, on a besoin de guidelines, absolument. Mais c'est pour ça aussi que c'est intéressant de réfléchir à l'aspect branding identitaire. C'est justement le podcast, le sujet du podcast de la semaine passée que j'ai fait par rapport à l'importance d'avoir un branding identitaire personnel fort. Puis c'est pas seulement le look, c'est comment qu'on assume ses idées, ses idéaux, ce qu'on a à dire. Et ça, ça fait toute la différence. Une fois qu'on assume, parce que ça prend de la détermination, du courage pour vraiment assumer ce qu'on veut partager. Malheureusement, c'est un aspect qui est sous-estimé. On ne prend pas le temps de s'arrêter et de se demander c'est quoi mon intention avec mon contenu. Qu'est-ce que j'ai envie que les gens se disent ou retiennent de mon contenu après l'avoir consommé ? La majorité des gens vont toujours dire, Ah, je veux avoir un impact auprès des gens. OK, mais de quelle façon ? Es-tu prête à développer, à faire, à créer du contenu d'impact ? C'est quoi du contenu d'impact ? Si j'ai mon téléphone, je scrolle sur mon fil d'actualité, peu importe la plateforme. il y a quelque chose qui a attiré mon attention. Ça, ça veut dire que je ne suis pas facile à attirer l'attention. N'importe qui, je pense que ça va être la même chose. Il y en a tellement. On scrolle, on scrolle, on défile, on fait l'actualité. Puis là, qu'est-ce qui va faire en sorte que je vais m'arrêter ? Demandez-vous ça. Demande-toi ça, justement, Virginie. Qu'est-ce qui va faire que je vais m'arrêter sur ton contenu ? et c'est là que le bas blesse puis c'est là que ça fait mal parce que la majorité des gens ça va être des photos qui ne vous ressemblent pas pantoute qui ne sont pas vraiment vous ça va être des images qui vont être inspirées de quelque chose d'autre que vous allez avoir vu sur le web hey I pled guilty je l'ai fait avant no way que je vais recommencer ça et c'est pour ça que je fais un détour sur parce que c'est important au début quand je faisais des shootings photos du contenu oui C'était, j'ai pris le temps qu'il fallait pour me demander c'est quoi je veux vraiment écrire, qu'est-ce que je veux partager, comment je veux impacter. Pour impacter, il faut que, wow, ça crée un arrêt, ça attire mon attention et que ça puisse changer la trajectoire, la perspective, la croyance, quelque chose que je pensais être à faire, mais là, ça m'a amené, ça m'a ouvert à une autre façon de faire. Ça m'a fait découvrir un autre style, un autre philosophie, un autre mode de vie, par exemple. Dans ton contenu, challengez-vous. Allez prendre votre cellulaire, regardez Facebook, Instagram, TikTok, peu importe, et est-ce que le contenu que vous partagez, c'est votre meilleur contenu ? Je vous garantis que vous n'avez pas fait encore votre meilleur contenu, même affaire pour moi, et ça s'en vient, par contre. C'est tout le temps, c'est de la pratique, de la pratique, de la pratique, de la pratique. Pour rester, justement, quand Virginie, tu demandes... comment tu fais pour... Où est-ce que tu trouves tes inspirations ? C'est d'être curieux. Je vais aller regarder, je consomme des shorts, je vais écouter des podcasts, je vais lire beaucoup de livres. J'adore lire en nature. Mais ça m'ouvre, justement, un monde. Ça m'ouvre encore plus. Ça élève ma curiosité puis mon désir d'en savoir davantage. Mais je ne suis pas une boulimique de la surconsommation de contenu. Ça, c'est pas mieux. À un moment donné, c'est que ça me donne des idées. Oh, ça m'a ouvert des perspectives. Parfait. là, je vais aller préparer justement ce que je veux partager. Fait que demande-toi, quand je vois ton contenu, qu'est-ce que tu pourrais partager qui fait en sorte que je vais m'arrêter ? Fait que si vous faites ce que la majorité des gens font, oubliez ça, là. Ça ne marchera pas. Je le sais que c'est dur, puis je le sais que c'est chiant. Parce que moi aussi, des fois, c'est comme, Hum, qu'est-ce que je peux partager ? Ah, c'est-tu que... Là, on n'est pas à la bonne place. Fait que là, on arrête ça, c'est fini pour la journée. On s'en va courir, on va pratiquer un sport, on revient. OK, là, il faut être dans l'énergie. Est-ce que je suis dans la bonne énergie pour créer quelque chose de différent ? C'est un peu ça aussi pourquoi j'ai développé ou j'ai créé et je suis arrivée à la création de l'indomptable. L'indomptable, c'est moi. Et suite à ça, l'indomptable, c'est quelqu'un qui n'est soumis à aucune autorité. C'est quelqu'un qui n'est pas domptable. C'est quelqu'un qui va suivre sa propre voie, qui va, justement, assumer ses idées, ses idéaux. C'est moi. Et là... par la suite, ça n'a plus jamais été pareil. Je vais partager des sujets, puis de plus en plus, je vais loin, je me laisse aller parce que j'ai un besoin, j'ai un désir, des fois, de provoquer des réflexions, de provoquer des changements. Fait que demandez-vous, qu'est-ce que vous voulez provoquer à travers votre contenu ? Qu'est-ce que vous voulez partager ? Est-ce qu'on va s'arrêter à votre prochaine pièce de contenu ? Gardez ça en tête. aujourd'hui, c'était un essai de pouvoir répondre à des questions qu'on me demande. J'ai encore plein de questions que je n'ai pas répondues encore. Bref, j'espère que vous avez aimé, apprécié. Je vous invite à me partager. Posez-moi vos meilleures questions. intelligentes, si possible, humoristiques, qui sortent du champ gauche. Tu sais, vraiment, là, je vous challenge à me poser les questions. Où est-ce que vous voulez avoir... Ça se dit dessus, ça ? Je coupe ça. Je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot, qui ont un peu de piquant. Parce qu'il n'y a rien que je ne vais pas dire. Comme, par exemple, la majorité des gens, la question sur le Botox... on l'aurait laissé là. J'assume. Alors, je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot. En même temps, je vous fais travailler. Alors, dites-moi, est-ce que vous avez aimé ce format-là qui est l'épisode 88 de l'Indomptable Podcast que je vais découper, justement, en petits shorts puis je vais optimiser la formule. Oui, je pense que ça va être quelque chose de pas mal intéressant. Dites-moi, est-ce que ça a eu de la valeur ? Est-ce que c'est divertissant ? Comment vous avez trouvé ça ? J'ai très hâte de vous entendre. et on se voit ultérieurement pour un prochain épisode de ce style-là et autres styles qui s'en viennent à l'Indomptable Podcast

Description

"La véritable force d'un entrepreneur réside dans sa persévérance à surmonter les défis; c'est ainsi que nous atteignons non seulement nos objectifs, mais que nous enrichissons et inspirons véritablement notre communauté." - Mélanie Fortin

🚀 "Aujourd'hui dans l'épisode 88, on change de format ! Récemment, j'ai défié ma communauté : 'Demandez-moi n'importe quelle question, peu importe le sujet'. La réponse? Une avalanche de questions incroyablement intéressantes et variées!


Étant donné la grande quantité de questions reçues, il m'est impossible de répondre à toutes les questions dans un épisode ! J'ai donc soigneusement choisi quelques questions qui résument les questions que je reçois régulièrement.


Es-tu prêt à découvrir ces réponses ? Elles vont non seulement piquer ta curiosité mais également t'offrir des outils pratiques et démystifier certaines idées préconçues sur l'entrepreneuriat et le behind the scène.


À travers mes réponses, je te partage des stratégies efficaces, je démystifie les fausses croyances, et je te partage des conseils pratiques issus de mes expériences personnelles et professionnelles.


Bonne écoute !


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Transcription

  • Speaker #0

    L'Indomptable est le podcast pour les entrepreneurs, coachs et experts qui désirent apprendre, s'inspirer et se faire challenger dans le but d'assumer totalement qui ils sont. À travers l'Indomptable, je te dévoile les hauts et les bas de l'entrepreneuriat à la sauce raw. Le tout livré sans filtre. Excite le politically correct, la censure et le statu quo. Je vais te partager mes réflexions du moment, du contenu divertissant avec quelques montées de lait à l'occasion et des stratégies audacieuses. basé sur mes expériences qui m'ont permis de bâtir une entreprise prospère. Si tu désires sortir du moule, laisser ta marque, augmenter ton influence et surtout devenir indomptable en affaires, tu es à la bonne place. Bonjour tout le monde et bienvenue à l'Indomptable Podcast. Aujourd'hui, c'est un épisode complètement différent. Pourquoi ? Bien, il y a quelques temps, j'ai demandé à vous, à ma communauté, de me poser une question ou plusieurs questions. Ask me anything. Et là, dans ces feuilles-là, j'ai une partie de toutes les questions que vous m'avez posées. Avec la quantité que j'ai reçue, c'est clair que je ne pourrais pas tout y répondre, mais on va commencer par le commencement. J'ai justement sélectionné certaines questions que je trouve hyper pertinentes et que je suis convaincue que ça va aider plusieurs d'entre vous. Vous saurez me le dire. Première question de Stéphanie Schmitt. Elle me demande, Mélanie, qu'est-ce qui fait en sorte... qu'on n'a pas atteint encore nos objectifs, et ce, malgré le fait qu'on travaille d'arrache-pied, qu'on travaille fort, qu'on travaille tout le temps. Pourquoi je n'ai pas... Fort probablement, OK ? Et ça, c'est bon pour tout le monde. Ce n'est pas parce qu'on travaille très, très fort, tout le temps. Tu sais, là, on n'arrête pas, 7 jours sur 7, qu'on va automatiquement réussir. La question qu'il faut que tu te demandes, Stéphanie, et pour tout le monde qui vit une situation similaire, est-ce que tu te concentres sur les choses qui sont les plus importantes ? Est-ce que tu te concentres sur les projets, les choses qui sont payantes ? Est-ce que tu te concentres sur les bonnes priorités, les bonnes actions ? Et ça, c'est vraiment hyper important. Rendre du recul et de demander ces questions-là. Combien de fois j'ai vu ça, surtout dans le corpo, à quel point on travaille beaucoup, beaucoup, beaucoup, fort, fort, fort, parce que c'était, d'après moi, une des plus grandes croyances en business. Il faut travailler fort pour avoir du succès. Aujourd'hui, pour moi, c'est totalement différent. Tu dois travailler intelligemment. Travailler intelligemment, c'est de savoir te poser les bonnes questions. Question numéro 2 de Lisons le 5. Lisons, tu m'as posé plusieurs super bonnes questions. J'en ai sélectionné une que je trouve hyper intéressante. Lisons, elle me demande... Comment ta formation, tes certifications, tes diplômes, influencent-elles ta pratique quotidienne ? Est-ce que j'ai envie de te dire, lisons, et on va prendre un peu plus de hauteur, ce que j'entends souvent comme question ou qu'on me demande souvent, Mélanie, est-ce qu'il faut absolument un diplôme, des certifications, un nom bien calculable de formation en ligne pour pouvoir vraiment réussir ? Je te dirais que c'est plus l'ensemble... de la profondeur de mon expérience, de mon expertise qui fait la différence. Oui, ça ne peut pas nuire d'avoir des diplômes, des certifications, des formations, mais ce n'est pas ça qui va faire la différence. C'est l'ensemble de tes actions. C'est l'ensemble de ce que tu vas faire au quotidien. Et ça, c'est important que tu gardes ça en tête. Et au niveau des formations, je veux dire, combien de fois j'ai vu des gens… enfiler formation après formation après formation après formation. Je les appelle les boulimiques de la formation. À un moment donné, demande-toi, est-ce que c'est réellement une dixième formation en ligne que j'ai de besoin ou un énième certificat, diplôme que j'ai de besoin pour réellement réussir avec ma business ? Alors, au final, assurez-vous et lisons, assure-toi que, oui, tu as des diplômes, oui, tu as de l'expérience, oui, il y a plusieurs aspects dans ton parcours probablement que tu es capable de mettre ensemble. Et regarde le tout comme c'est vraiment l'ensemble de la profondeur de tes actions, expertise, diplômes et tout qui fait, qui va faire en sorte justement que tu vas pouvoir démontrer ta crédibilité. Et je pense que quand on parle de profondeur d'expérience… C'est beaucoup en lien avec ça, de quelle façon vous êtes capable, de quelle façon, disons, tu es capable de démontrer justement ta crédibilité. Et si je fais un lien avec mon expérience, la profondeur de mon expérience, c'est ça qui fait vraiment la différence aujourd'hui. Je vais parler évidemment de les 25 années d'expérience que j'ai eues dans les grandes entreprises, les grands postes que j'ai occupés dans le corpo. Le fait que j'ai été dans un mastermind quatre ans, j'ai un baccalauréat en administration marketing, j'ai des certifications de coaching, d'affaires, PNL, je veux dire, il y a tellement de choses qu'au fil des années, je suis capable de dire, ça, c'est l'ensemble de mon expérience. Et plus on va justement parler de l'ensemble de l'expérience, plus on va être en mesure justement d'être capable d'aller voir, OK, quelles sont justement les compétences que j'ai développées suite à ça. Prochaine question de Stéphanie Racine. Stéphanie, elle me demande, Mélanie, comment on peut s'assurer qu'on pratique de la bonne manière, qu'on pratique avec les bonnes directives, la bonne direction, qu'on va utiliser les bons mots, qu'on va créer le bon contenu au quotidien ? Déjà là, Stéphanie, arrête de t'enfarger dans les mailles du tapis, OK ? C'est tout le temps, comme je dis souvent, c'est dans l'action que ça se clarifie. La meilleure façon et le meilleur indicateur que tu peux savoir si tu es justement dans la bonne direction, c'est de faire des essais. Fais des essais erreurs. Et si c'est le moment que tu vas commencer à avoir des résultats positifs suite à tes actions, c'est là que tu vas savoir que, OK, ça fait du sens. On ne peut pas... dépendre de quelqu'un à côté de soi constamment pour savoir si on fait la bonne chose. À un moment donné, c'est qu'il faut prendre un leap of faith, il faut aller de l'avant. C'est dans l'action que tu prends confiance en tes capacités. C'est dans l'action que ça va se clarifier. Et c'est dans l'action que tu vas savoir, en expérimentant, en faisant des essais rares, que tu vas savoir si tu es sur la bonne voie. Puis le meilleur, meilleur, meilleur indicateur, c'est Oh, est-ce que j'ai des résultats suite à mes actions ou non ? Si tu n'as pas encore des résultats à la hauteur de tes attentes, mais il y a quelque chose à ajuster, il y a une action qu'il faut que tu changes, il faut que tu réorientes quelque chose. Et comme je me dis souvent, oui, ce n'est pas toujours facile, right, de faire une action. On va avoir peur. La peur du jugement, la peur d'avoir de l'air ridicule, la peur de ne pas savoir quoi dire, la peur de ne pas faire la bonne chose, la peur de ne pas être assez. Mais dis-toi que c'est dans l'adversité que tu te définis. que tu te construis et que tu es en train de devenir la personne que tu sais et que tu désires être. Prochaine question de Mireille Chevalier, et je vais dire aussi Brigitte Brabant, parce que les questions se ressemblent beaucoup. Dans le fond, les filles me demandaient, c'est quoi les compétences, les habitudes clés à développer pour pouvoir développer une entreprise prospère ? Dans le fond, c'est quoi les, je dirais, les accélérateurs, les compétences qui vont accélérer ta croissance ? C'est sûr qu'on va parler, bien oui, il faut avoir des bonnes habitudes, il faut avoir une bonne routine, il faut avoir un mindset fort, oui, oui, oui, oui, oui, OK ? Mais il y a des choses, il y a des aspects, des compétences, des expertises spécifiques qu'on ne parle pas assez et qui vont vraiment faire la différence. Numéro un, est-ce que tu as un système D bien développé en toi ? Système D pour débrouillardise. Et une des choses que je me souviens, quand j'étais dans le corpo, je pouvais voir en un claquement de doigts lequel de mes directeurs dans mon équipe allait réussir ou pas. Et souvent, cet indicateur-là, c'est j'ai quelqu'un qui a les bras croisés, qui attend que je le forme, tandis qu'il y en a un autre, OK, qui va se retrousser les manches, all right, je m'en vais chercher l'information, je prends en charge mon développement, ma progression, ma formation. Ça, c'est un, je dirais, une des compétences, un aspect qui va faire... toute la différence. Alors, demande-toi, penses-tu que tu as un système D bien développé ? Si ce n'est pas le cas, je t'invite à être davantage curieux. Fais des recherches, pose des questions, prends charge, prends les devants pour ton développement. N'attends pas après personne. Un autre aspect que je parle souvent, on en parle, mais je ne pense pas qu'on réalise la puissance de cette, je dirais, c'est une compétence. Est-ce que c'est une compétence ? C'est plutôt un trait de personnalité ou un aspect à développer. C'est la persévérance. Neuf personnes sur dix, en général, lorsque c'est le temps de persévérer, ne vont pas réussir à persévérer. Au lieu de persévérer pour continuer ton chemin, puis de t'en aller, de te diriger vers ton objectif, Ah oui ! ils vont bifurquer à gauche, oh, bifurquer à droite, oh, peut-être. Pourquoi ? C'est que là, ce que j'observe, après avoir accompagné des milliers de personnes, des coachs, des entrepreneurs, dirigeants, leaders, C'est plus facile de trouver un autre chemin, d'essayer quelque chose de plus facile. Oh, le shiny object. Oh, une nouvelle stratégie. Oh, il y a une nouveauté ici. C'est pour ça que quand c'est le temps de persévérer, ou des fois ça me fait penser, il y a des gens qui me disent Hey Mélanie, là je suis vraiment en train de persévérer en ce moment. Euh, non. Pourquoi ? Quand c'est le temps de persévérer, t'as pas un sourire dans la face. Souvent c'est que t'as un genou, voire deux genoux à terre, t'es découragée, t'es assoute, t'es abandonnée. Mais il y a quelque chose en toi, une force, une puissance. un courage que tu n'avais pas vu jusqu'à présent, qui va te permettre de faire le petit pas de plus et qui va te permettre de continuer. La persévérance, c'est comme un marathon. C'est la game, c'est la longue game. Alors, tu veux réussir en business, tu désires scaler ta business. Es-tu prêt à jouer la long game, la game de patience ? Et ça, c'est un aspect qui est trop sous-estimé. On est trop à la recherche du get rich quick On est trop à la recherche de c'est quoi la stratégie de l'heure qui va m'assurer sans aucun doute la réussite ? Ça n'existe pas. Oubliez ça. There is no such thing. Ça, c'est réglé. Un autre aspect aussi. on n'en parle pas assez. Et ça, c'est un de mes mentors qui m'a dit ça il y a 25 ans. Ça m'a marquée. Pour pouvoir réussir à la hauteur de ses aspirations. Ou bien, ça c'est quelque chose qu'on me dit souvent, mes clients me demandent, Oh Mélanie, moi je veux impacter plein de monde. Qui sait qui ne veut pas impacter plein de monde, right ? On veut tout impacter les gens autour de nous. C'est plaisant d'impacter et de savoir qu'on a eu un impact. Mais pour être en mesure d'impacter positivement et en puissance les gens qui nous entourent, Il faut d'abord être un champion of people. Et ça, c'est une phrase que mon mentor de l'époque me dit. Mélanie, tu veux réussir là ? Tu veux te rendre là ? À l'époque, pour moi, mon but, c'était d'être présidente d'une grande entreprise canadienne. Laquelle ? Pas grave, pas grave, je vais être présidente. Il m'avait dit, et c'est drôle parce que je ne pensais pas que ça aurait été de mon entreprise. Fait que, yes ! Mais bref, à l'époque, Mélanie, tu veux te rendre là ? Pour te rendre là, il y a un élément. essentiel que tu dois développer. J'étais début vingtaine. Be a champion of people. Sois au service des gens. donne, vois comment tu peux les aider. Parce que dans la vie, il y a deux types de personnes. Il y a des givers, qui sont des champions of people, puis il y a des takers, qui ne donnent pas vraiment, mais qui vont aller prendre peu importe quoi, un peu partout. Malheureusement, il y en a un peu trop, des takers, dans notre marché général, sur le web. Mais il y a aussi beaucoup de givers. J'ai envie de te demander, es-tu un taker ou un giver ? Prochaine question de Josée Bernier. Ça va être une quickie, mais je la trouve super intéressante. Elle me demande... Mélanie ! Depuis que tu es en business, as-tu déjà pensé abandonner l'entrepreneuriat ? Non, jamais. Jamais, jamais, jamais. Ça ne veut pas dire qu'il y a des moments et des journées que... Tu sais, là, c'est ça. Des journées que j'ai envie de prendre congé. Mais il y a une différence entre j'ai envie de prendre une couple de jours de congé pour me reposer versus, hostie, dans quoi je me sens embarquée ? Non. Mais là, en ce moment, les gens ne le savent pas, mais je suis en présence de ma super adjointe, Stéphanie Chichou, qui est de l'autre côté. Oui, fait que... deux, trois ans, j'aurais fait ça, elle serait liquifiée sur le sofa. Elle serait jamais venue ici. Es-tu d'accord ?

  • Speaker #1

    Je suis très d'accord.

  • Speaker #0

    J'ai envie de faire venir Stéphanie ici parce que j'ai envie de se poser une question. Ça a un lien avec la question de José Bernier. Stéph, tu te rappelles-tu la première année quand on est parti en business ? La lune de miel dans laquelle on était.

  • Speaker #1

    Tout à fait. On était comme Oh my God, wow !

  • Speaker #0

    Plus de trafic ! Plus de trafic ! Oh my God ! On s'appelait As-tu vu ça ? Il neige ! On n'est pas obligés de sortir de la maison ! Oh my God, oh my God ! Au début, on s'entend-tu ?

  • Speaker #1

    C'était vraiment la lune de miel. Wow !

  • Speaker #0

    Aujourd'hui, après, ça va faire six ans, cinq ans. Comment tu définirais ? C'est peut-être plus... C'est différent de la lune de miel. Je te mets sur le spot et je suis tellement fière de toi. J'en viens pas que t'es venue. Ça, j'aime ça. Ça, c'est de la progression. C'est fou comment Stéphanie a progressé. Autre que le fait que c'est ma super adjointe, super Stéphanie, c'est aussi une grande amie et c'est mon ancienne partenaire. de kickboxing. C'est bon. C'est bon. Ça, ça veut dire que je suis trop prévisible. Il faut que je travaille là-dessus. Mais dis-moi donc, Stéphanie, aujourd'hui, autre le fait, ce n'est pas de la lune de miel. Comment tu définirais justement l'entrepreneuriat après cinq ans ?

  • Speaker #1

    Je dirais que c'est tout un chemin, vraiment. Beaucoup de questionnements, c'est pas toujours facile. Puis même si des fois, on se dit, Ah, j'ai des doutes, est-ce que je fais la bonne chose ? Ça a toujours été la meilleure décision, c'est de persévérer, sortir de sa zone de confort tout le temps, tout le temps. Puis ça fait tellement grandir en tant que... humain, puis on fait des choses qu'on ne pensait pas faire, comme me voilà devant la caméra.

  • Speaker #0

    Excellent ! Ça paraît qu'on se connaît. Merci Stéphanie ! Je suis tellement fière d'elle. C'est ça, la progression, c'est ça, les sorties de zone. Je vous le dis, il y a deux ou trois ans, ça serait liquifié sur le sofa. Ça, on le sait. Puis des fois, le fait que c'est mon ami, que c'est mon allié... Puis, étant coach dans l'homme, je ne peux rien faire, c'est là. Bien, je vais la mettre des fois dans des situations qui font vraiment la challenge. Donc là, des fois, c'est ça qui est le fun, faire du contenu comme ça. On va passer par Shibugamo, bien, je trouve ça le fun. Pour finalement, la réponse à Josée était bien, était assez simple. Non, je ne regrette pas du tout. Puis, c'est drôle parce que quand on le sait que l'entrepreneuriat, c'est un monde, on est comme dans une matrice à l'extérieur de la société par moments. Je me sens comme ça, je ne sais pas pour vous. Mais... si je regarde mon conjoint, mes amis, ma famille qui sont dans le système, combien de fois on m'a demandé Tu regrettes-tu ? On dirait ce que je perçois. Qu'est-ce qui est en dessous de ça ou en arrière de cette question-là ? C'est avouer que tu regrettes et que tu étais donc bien dans ton poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise canadienne. Non. Comme non. Je pensais que c'était ça, la réussite. Ça, c'est la réussite sociale aux yeux de la société. Oh my God, t'as atteint le gros poste. Mais c'est parce que dans notre société aujourd'hui, c'est fou, pareil, comment on fabrique des soldats. On fabrique des salariés. C'est ça, pareil. Bref, des fois, je peux aller bien loin, donc je vais m'arrêter là. Non, je ne regrette pas du tout. Et pour tout le monde, un dernier point là-dessus. Quand vous êtes découragé, Souvent, c'est ces passagers. Il n'y a rien, rien, rien qui est permanent. Autant les bonnes journées, autant les moins bonnes journées. Il n'y a rien qui est permanent. Quand ça ne va pas, prends du recul, prends soin de toi, fais quelque chose qui te fait du bien. Prends le temps de te ressourcer, de recharger tes batteries et après, là, redemande-toi. Est-ce que j'ai envie d'abandonner ou est-ce que je regrette ? Non, fort probablement que quand tu vas être au meilleur de ta forme, je suis convaincue que tu vas être super motivé. Prochaine question de Véronique Brouillette. Une question que je me fais demander souvent, comment je fais, Mélanie, pour passer d'une entreprise qui, en ce moment, est quasiment uniquement en présentiel, en virtuel ? Mettons que Véronique, en ce moment, c'est 90-10, puis là, elle aimerait avoir un 50-50. Réponse super simple. Dans le fond, Véronique, toutes les stratégies que tu as actuellement en présentiel, c'est pas mal les mêmes en virtuel. C'est juste que tu vas l'offrir. à justement un plus grand nombre de personnes. Mais si tu as une page d'inscription, par exemple, pour s'inscrire à un atelier, une formation en présentiel, bien, c'est la même chose en virtuel. C'est le format qui va changer en bout de ligne. Et je trouve qu'on va se casser la tête tellement par rapport à ça. Comment je fais ? Ma phrase qui me monte, qui vient là, c'est Just do it C'est tout. Arrêtez de vous enfarger dans les fleurs du tapis. D'arrêter. ou plutôt d'essayer d'avoir la réponse parfaite, de tout planifier, de tout, OK, j'ai-tu ça, j'ai-tu pensé à ça, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça, puis là, un mois plus tard, j'ai-tu pensé à ça, qu'est-ce qu'il faut que je fasse, qu'est-ce qui manque, deux mois plus tard, j'ai-tu ci, j'ai-tu ça ? On arrête. Allez expérimenter. Comme je dis souvent, je l'ai dit précédemment, tout se clarifie dans l'action. Alors, va le tester. Oui, je pourrais te donner tous les micro-détails qui sont, mettons, les petites différences entre les deux, mais overall, c'est pas mal la même chose. Alors, ce que tu as présentement en présentiel, essaie le tout en virtuel. C'est le format, l'endroit, la façon d'assister à ce que tu fais. Et toi, pour livrer ta formation, ton contenu, que tu sois devant une caméra comme en ce moment, que tu sois devant un ordi ou devant les gens, c'est la même chose. Une autre croyance qu'on me dit souvent... Ah, Mélanie, c'est pas pareil en virtuel. Mettons, en virtuel versus présentiel, je me sens pas aussi bien. C'est juste que tu l'as pas faite ou peu faite. C'est juste dans la pratique. Pratique, pratique, pratique. Ou bien un autre, souvent, une autre question. Ah, le coaching individuel. c'est plus puissant que du coaching de groupe. Non. Ça, c'est une des plus grandes croyances erronées que j'ai entendues dans ma carrière. C'est plutôt, est-ce que tu as... Il faut que tu regardes si tu es la bonne personne pour t'aider par rapport à ce que tu as besoin. Là, je m'en vais encore très loin. J'y reviendrai sur cette question-là qui me passionne, mais au final, Véronique, super simple. Just do it. Ce que tu fais présentement en présentiel, applique-le tout. La même chose en virtuel. Je n'ai aucun doute que ça va fonctionner. visite un peu plus, peut-être, certaines peurs, craintes, croyances qui sont là, qui t'empêchent à faire le move, je dirais, totalement. Prochaine question de ma belle Joannie Nolet qui demande, Mélanie, comment je peux faire pour que les entrepreneurs puissent vraiment prendre au sérieux leurs chiffres ? Qui comprennent plutôt l'importance de bien comprendre ses chiffres. Je dirais, Joannie, dans n'importe quel contenu, peu importe le sujet, c'est dans la façon que tu vas le présenter. Si ton sujet est moins sexy, moins excitant, il faut quand même le dire, les chiffres, la comptabilité, les finances, c'est un petit peu plus challengeant de capter l'attention de ton audience, c'est de présenter ton contenu de différentes façons. Essaie d'aller voir sur les tendances sur le web. Essaie de peut-être faire du contenu, faire une vidéo avec quelqu'un, amener un côté ludique. Oui. quand on crée du contenu, si notre intention, c'est que je veux que les entrepreneurs réalisent à quel point c'est absolument essentiel qu'ils comprennent leurs chiffres, bien, ils doivent comprendre en un claquement de doigts What's in it for me ? Je le sais, c'est évident de Mélanie. On le sait tous, c'est important. Oui, mais la majorité des gens le font pas. Fait que bref, voici où nous en sommes. Et c'est de voir, bien, rapidement, c'est quoi le bénéfice ? Bien, ça va m'aider à prendre de meilleures décisions. ça va m'aider à ne pas frapper un mur parce que j'ai tellement investi que, oups, j'ai pas regardé mes chiffres, j'ai pris des mauvais calques, puis là, je me retrouve en précarité financière. C'est pas ce qu'on veut. Ou bien, ça peut être un angle, comment maximiser, justement, sa liberté financière. Bref, sky's the limit. Mais le point le plus important pour n'importe qui, quand votre sujet est un peu plus sérieux, moins sexy, moins comme, je veux absolument le consommer, trouver peut-être un angle différent, ludique, amener de l'humour, faire des contenus différents. Parce qu'aujourd'hui, ce n'est plus genre comme bonjour, alors aujourd'hui, je vais vous parler, je vais vous enseigner A, B, C, D. Ça ne marchera plus, ça c'est sûr. Fait que, un pensez-y bien. Prochaine question. Cette question-là me fait sourire et on me la pose régulièrement. Et quand j'ai lu la question de Véronique Plante, il a fallu que je réfléchisse comme trois secondes. Je ne suis pas sûre de la réponse, tellement que c'est inné en moi. Véronique, elle me demande, Mélanie, d'où te vient cette fougue ? On dirait que tu as peur de rien. Est-ce que j'ai peur de quelque chose ? Je n'ai pratiquement aucune peur en ce qui a trait à mon expertise, ma business. Pourquoi la fougue, l'absence de peur, ce courage, cette détermination-là, sincèrement, je crois que c'est la somme de toutes mes actions. plus on fait des actions, plus on est en mouvement, plus on essaie des choses, plus ça nous confirme que, surtout quand on a des résultats comme ceux que j'ai eus, bien, ça confirme qu'on fait quelque chose de bon. Ça confirme qu'on est à la bonne place. Je pense qu'il y a un peu aussi de ma mère qui était aussi très... qui est toujours super énergique dans ses 70 ans. Oui, ça, si je le dis, elle va faire. Mais maman, c'est ça, c'est correct. Mais je dirais, la peur, c'est plus par rapport au niveau société. Puis j'en parlais avec ma super amie Stéphanie. Et c'est plutôt les peurs par rapport à certains aspects. Aujourd'hui, l'arrivée rapide de façon exponentielle de l'intelligence artificielle, les changements climatiques, la mort. Ça, c'est des choses qui me font peur. je m'observe pour pas que je tombe trop là-dedans, comment je me récorde, mais c'est plus par rapport à ça. Par rapport à la job, au travail, la business, la croissance, ouais, ça, la confiance est assez élevée, merci. Prochaine question de Julie Courchêne et aussi Diane Noël. Souvent, il y a plusieurs personnes qui ont posé des questions qui sont un peu similaires et celle-là, c'est que ça tourne autour du contenu. Combien de fois on va me demander... Mélanie, pour savoir quel contenu mettre ? Déjà là, arrêtez de vous casser la tête à savoir qu'est-ce que je publie. Déjà là, il y a un problème. Qu'est-ce que je publie ? Ça peut être plein de raisons, plein de causes. Mais qu'est-ce qui fait en sorte qu'on sait pourquoi publier ? posez-vous la question, pourquoi on rush, on se casse la tête ? Ah, c'est que si je publie ? C'est parce qu'on est mal aligné ? Est-ce que c'est parce que notre orientation n'est pas super claire ? Est-ce que parce qu'on voit tout ce qui se passe sur le web, il y a tellement d'informations partout ? Ah, qu'est-ce que je peux ajouter par rapport à ça ? Qu'est-ce que je peux partager ? premièrement, je vais te donner deux, trois pistes super intéressantes. C'est autant pour Julie, Diane et pour la majorité des gens qui vont écouter cette capsule et ce podcast-là. Il faut que tu te dises que R.E.P., Rest in Peace, excite l'information. On n'est plus à l'ère de l'information. Aujourd'hui, si je lis un contenu, je vais te partager les trois meilleures stratégies pour réussir à baisser. J'ai juste à aller écrire ça dans le chat GPT, il va m'y sortir. Ça ne veut pas dire que c'est bon, ça ne veut pas dire que c'est les bonnes nécessairement, mais on s'entend dessus pour dire que l'information n'a jamais été autant facile d'accès. Donc, à partir de maintenant, bienvenue l'ère de l'expérience. Ce que j'entends par là, c'est que ce que les gens veulent réellement savoir... Si ça, c'est le futur, et si c'est le passé, va voir dans ton passé, il y a quelques jours, il y a quelques semaines, et demande-toi. Les gens, ce qu'ils veulent savoir, c'est comment tu te sens. Comment tu as vécu telle expérience ? Comment tu as vécu telle transition ? Comment tu t'es senti quand tu as... développer ta business. C'est quoi l'expérience ? Partage une expérience avec un client. Partage un moment où tu as voulu tout abandonner et comment tu as réussi à trouver le courage de persévérer. Les gens veulent du real life, du behind the scenes. Ils veulent savoir comment tu te sens, comment tu as fait face à l'adversité, comment tu as persévéré ou pas. Ça, de plus en plus, on sent et on voit, on observe un switch à travers les réseaux sociaux. Et ce n'est pas pour rien que Pourquoi qu'on entend tellement Ah, je ne suis plus capable, Mélanie, des réseaux sociaux, je suis écoeurée,

  • Speaker #1

    tatatata

  • Speaker #0

    Mais pourquoi on est écoeuré ? Est-ce que c'est parce qu'il y en a trop ? Est-ce que parce qu'il y a trop de faux ? Parce qu'on ne parle pas des vraies choses ? C'est toutes des raisons que j'entends. Mais à partir de maintenant, on a tout un rôle de partager c'est quoi ? Les vraies choses. Et c'est pour ça que c'est, pour moi, alias Mélanie Fortin, alias l'indomptable, de plus en plus… J'ai envie, et c'est plus fort qu'une envie. C'est comme une mission de dire les vraies choses. Dans les dernières années, il y a trop de fausseté. On a de la misère à savoir ce qui est vrai, c'est quoi le vrai. On n'est pas capable de faire la différence entre le vrai et le faux. Hé, Mélanie, c'est-tu vrai qu'on peut faire 100 000 par mois si on a fait ABCD ? Non ! Non, ce n'est pas avec une méthode. Le succès, ça se bâtit, ça prend beaucoup plus d'étapes que ça. Et si tu regardes, OK, dans mes derniers, mes récents épisodes de l'Indéontable podcast au cours des derniers mois, ou bien dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indéontables, de plus en plus, je vais parler de montée de lait, des choses qui méritent. Je vais partager des expériences et comment j'ai vécu. Par exemple, le dernier lancement que j'ai fait, Elevate Your Game, qui est le meilleur lancement ever. comment j'ai fait mon post-mortem ? Qu'est-ce que j'en retiens ? Qu'est-ce que j'ai appris par rapport à ça ? Ça vaut de l'art. Ce n'est pas de la théorie. Voici ce que tu devrais faire. Non, voici ce que j'ai testé, expérimenté. Voici le résultat. Voici comment tu peux l'appliquer et le modéliser. Bref, pour faire ce cours, c'est un peu comme la technique de création de contenu inversée. Au lieu d'aller en avant sur voici ce que tu dois faire, voici des trucs, voici des stratégies, ce n'est plus ça que les gens veulent savoir. Alors, si tu continues là... tu vas continuer à rusher avec ton contenu c'est clair voilà Qu'est-ce que tu as vécu ? Comment tu t'es senti ? Comment tu as réussi ça ? À quoi tu penses ? Comment tu as développé un projet ? As-tu eu une bonne, une mauvaise, une épouvantable expérience avec un client ? C'est tout ça que les gens veulent savoir. Et ça, malheureusement, regarde un peu partout ce qu'on voit sur le web. Il n'y en a pas beaucoup. Alors, tu as, j'ai, nous avons un rôle de pouvoir justement partager davantage de contenu, d'expérience. Prochaine question de Mickaël Lamarche. quel est le plus grand piège dans lequel tu es tombé et qu'as-tu appris ? Pour moi, et ça va sûrement en surprendre plus d'un, je dirais que le plus grand piège dans lequel je suis tombée, c'est d'avoir tombé dans un excès d'ego. Ça a été beaucoup dans ma carrière en business, dans ma carrière dans les grandes entreprises. À un moment donné, quand je suis arrivée à un certain niveau, oh my God ! Comment je le sais que ça a été un piège ? C'est que quand on est trop dans l'ego, c'est pas mieux que pas avoir assez d'ego, ça, je vous le garantis. Je m'en suis aperçue... Plus tard, en prenant un recul, en sortant justement de la prison de l'ego, j'ai réalisé à quel point comme aïe aïe aïe, que quand on est trop dans l'ego, ça ralentit sa progression. Imaginez, à un moment donné, au cœur de ma carrière, au top de mon ascension, je me disais... Je sais tout. J'ai tout appris. J'ai tout vu. Je suis la meilleure dans ce que je fais. C'est beau avoir confiance. Avoir trop confiance, c'est limitatif. Ça ne m'a pas servi. Ça n'a pas d'allure, penser ça, quand on y pense. Puis, je n'ai pas peur d'en parler. Ça fait 10-15 ans. Aujourd'hui, j'ai l'impression que je n'en sais jamais assez. J'ai une soif d'apprendre absolument incroyable. Cette soif-là, cette curiosité-là n'aurait pas pu être là si j'aurais été encore dans la prison de l'égo. L'égo, ça m'a aidée grandement à franchir les échelons un à un jusqu'à un poste de directrice nationale des ventes d'une grande entreprise et ensuite de partir ma business qui est en hypercroissance depuis jour 1. Absolument, OK ? Absolument. Mais j'ai vu l'envers aussi de la médaille. Puis quand on est prise dans la prison de l'égo, on se limite, on progresse moins. On est également dans la victimite. Je l'ai été une petite période dans ma carrière. J'ai trouvé ça très challengeant. Et une anecdote par rapport à ça, puis Stéphanie, tu étais là. Tu étais là, Stéphanie, qui est là, justement, aujourd'hui. Je me souviens, là... Une dizaine d'années, je faisais une compétition de kickboxing, des tournois inter-école et tout. J'avais gagné la médaille d'or facilement de ma compétition précédente. Puis là, j'étais dans l'ego, l'orgueil, la tête ne me passait plus d'un cadrage. Et là, ça, c'est le piège. Et je me suis faite ramasser d'une façon comme ça a été dur pour l'ego, entre tabarouettes. Parce que quand j'ai fait, justement, cette compétition-là, la fille... Puis j'étais vraiment... J'étais prête, là. Tu sais, je veux dire, let's go. Et là, elle a fait une... Elle a fait quelque chose que je n'avais pas encore apprise par mon sensei. Je voulais y arracher la tête. Parce que là, c'est drôle, parce qu'aujourd'hui, je suis capable de le voir. Avant, je n'étais pas capable. La fille, elle m'a... Là, mettons, tu es en combat, là, tu es prête. C'est déjà... Puis là, elle arrive... Comment tu appelles ça ? Elle me prend au complet. Puis là, je ne peux plus bouger. Au lieu d'être juste en mode solution, il n'y en a pas de problème. Quand on y pense, c'est assez facile de sortir de là. Mais là, j'étais prise dans mon égo, mon orgueil, comme dans la victimite. Je m'en souviens, je faisais des regards à mon sensei comme Qu'est-ce que c'est ça ? Je n'ai pas appris ça. Qu'est-ce que je fais là ? Au lieu de me mettre en mode solution, j'étais en victimite. J'accusais dans ma tête mon sensei. J'étais en crise après la fille. J'étais en crise après l'arbitre. C'est n'importe quoi, dans le fond. L'ego, une autre chose que ça m'a apprise, quand tu es trop d'ego et que tu es pris un peu dans cette prison-là, tu n'es pas en mode solution. Tu es en mode victimite. Trop, c'est comme passé. Et ce qui m'a aidée à me sortir de cette prison-là, c'est quand j'ai eu le privilège de faire le parcours de la maison des leaders avec Rémi Tremblay, meilleur humain, meilleur leader. Ça, ça a été le premier pas de faire une fissure dans mon armoire, dans mon armure plutôt. Et quand on retire cette armure-là, hé là là, on réalise que c'est possible de vivre autrement. Et que j'ai réalisé, ça a été le début de ma réalisation du fait que... J'ai plus besoin d'avoir un excès d'ego comme ça pour me protéger ou bien pour aller plus loin. Ça, ça a été le début d'une autre quête. Prochaine question de Virginie Gentil qui demande, Mélanie, avec tout ce qu'on voit sur le web en ce moment, comment on fait pour ne pas se faire dépenser ? Et comment on fait pour rester dans le flot ? Et puis, où est-ce que tu trouves tes inspirations ? Numéro un. on va mettre quelque chose au clair tout de suite. Tu vas te faire dépasser. Je vais me faire dépasser. Nous allons nous faire dépasser. Fait qu'avoue qu'en sachant cela... un poids de moins ses épaules. Dans le sens qu'il va toujours avoir quelqu'un qui va être meilleur que nous, quelqu'un qui est moins bon que nous. Je veux dire, c'est relatif. Je pense que le plus important, c'est de voir, OK, de quelle façon je peux partager mon contenu différemment. Parce que la meilleure façon de passer inaperçu sur le web, c'est de faire comme les autres ou c'est de suivre les tendances. Ça, j'en ai parlé souvent dans certains épisodes de podcast ou à travers certains lives montés de lait dans mon groupe, la tribu des entrepreneurs indomptables. et de quelle façon tu as envie d'amener ton contenu. Et c'est fou à quel point 90-95, 99 des gens, oui, instinctivement, on va avoir tendance à regarder ce qui se fait. Ah, ça a l'air intéressant, ça, je vais modéliser. il y en a qui vont modéliser slash copier, il faut faire attention, modéliser ou s'inspirer de la stratégie, OK, ça fait du sens. Au début, on a besoin de barèmes, on a besoin de guidelines, absolument. Mais c'est pour ça aussi que c'est intéressant de réfléchir à l'aspect branding identitaire. C'est justement le podcast, le sujet du podcast de la semaine passée que j'ai fait par rapport à l'importance d'avoir un branding identitaire personnel fort. Puis c'est pas seulement le look, c'est comment qu'on assume ses idées, ses idéaux, ce qu'on a à dire. Et ça, ça fait toute la différence. Une fois qu'on assume, parce que ça prend de la détermination, du courage pour vraiment assumer ce qu'on veut partager. Malheureusement, c'est un aspect qui est sous-estimé. On ne prend pas le temps de s'arrêter et de se demander c'est quoi mon intention avec mon contenu. Qu'est-ce que j'ai envie que les gens se disent ou retiennent de mon contenu après l'avoir consommé ? La majorité des gens vont toujours dire, Ah, je veux avoir un impact auprès des gens. OK, mais de quelle façon ? Es-tu prête à développer, à faire, à créer du contenu d'impact ? C'est quoi du contenu d'impact ? Si j'ai mon téléphone, je scrolle sur mon fil d'actualité, peu importe la plateforme. il y a quelque chose qui a attiré mon attention. Ça, ça veut dire que je ne suis pas facile à attirer l'attention. N'importe qui, je pense que ça va être la même chose. Il y en a tellement. On scrolle, on scrolle, on défile, on fait l'actualité. Puis là, qu'est-ce qui va faire en sorte que je vais m'arrêter ? Demandez-vous ça. Demande-toi ça, justement, Virginie. Qu'est-ce qui va faire que je vais m'arrêter sur ton contenu ? et c'est là que le bas blesse puis c'est là que ça fait mal parce que la majorité des gens ça va être des photos qui ne vous ressemblent pas pantoute qui ne sont pas vraiment vous ça va être des images qui vont être inspirées de quelque chose d'autre que vous allez avoir vu sur le web hey I pled guilty je l'ai fait avant no way que je vais recommencer ça et c'est pour ça que je fais un détour sur parce que c'est important au début quand je faisais des shootings photos du contenu oui C'était, j'ai pris le temps qu'il fallait pour me demander c'est quoi je veux vraiment écrire, qu'est-ce que je veux partager, comment je veux impacter. Pour impacter, il faut que, wow, ça crée un arrêt, ça attire mon attention et que ça puisse changer la trajectoire, la perspective, la croyance, quelque chose que je pensais être à faire, mais là, ça m'a amené, ça m'a ouvert à une autre façon de faire. Ça m'a fait découvrir un autre style, un autre philosophie, un autre mode de vie, par exemple. Dans ton contenu, challengez-vous. Allez prendre votre cellulaire, regardez Facebook, Instagram, TikTok, peu importe, et est-ce que le contenu que vous partagez, c'est votre meilleur contenu ? Je vous garantis que vous n'avez pas fait encore votre meilleur contenu, même affaire pour moi, et ça s'en vient, par contre. C'est tout le temps, c'est de la pratique, de la pratique, de la pratique, de la pratique. Pour rester, justement, quand Virginie, tu demandes... comment tu fais pour... Où est-ce que tu trouves tes inspirations ? C'est d'être curieux. Je vais aller regarder, je consomme des shorts, je vais écouter des podcasts, je vais lire beaucoup de livres. J'adore lire en nature. Mais ça m'ouvre, justement, un monde. Ça m'ouvre encore plus. Ça élève ma curiosité puis mon désir d'en savoir davantage. Mais je ne suis pas une boulimique de la surconsommation de contenu. Ça, c'est pas mieux. À un moment donné, c'est que ça me donne des idées. Oh, ça m'a ouvert des perspectives. Parfait. là, je vais aller préparer justement ce que je veux partager. Fait que demande-toi, quand je vois ton contenu, qu'est-ce que tu pourrais partager qui fait en sorte que je vais m'arrêter ? Fait que si vous faites ce que la majorité des gens font, oubliez ça, là. Ça ne marchera pas. Je le sais que c'est dur, puis je le sais que c'est chiant. Parce que moi aussi, des fois, c'est comme, Hum, qu'est-ce que je peux partager ? Ah, c'est-tu que... Là, on n'est pas à la bonne place. Fait que là, on arrête ça, c'est fini pour la journée. On s'en va courir, on va pratiquer un sport, on revient. OK, là, il faut être dans l'énergie. Est-ce que je suis dans la bonne énergie pour créer quelque chose de différent ? C'est un peu ça aussi pourquoi j'ai développé ou j'ai créé et je suis arrivée à la création de l'indomptable. L'indomptable, c'est moi. Et suite à ça, l'indomptable, c'est quelqu'un qui n'est soumis à aucune autorité. C'est quelqu'un qui n'est pas domptable. C'est quelqu'un qui va suivre sa propre voie, qui va, justement, assumer ses idées, ses idéaux. C'est moi. Et là... par la suite, ça n'a plus jamais été pareil. Je vais partager des sujets, puis de plus en plus, je vais loin, je me laisse aller parce que j'ai un besoin, j'ai un désir, des fois, de provoquer des réflexions, de provoquer des changements. Fait que demandez-vous, qu'est-ce que vous voulez provoquer à travers votre contenu ? Qu'est-ce que vous voulez partager ? Est-ce qu'on va s'arrêter à votre prochaine pièce de contenu ? Gardez ça en tête. aujourd'hui, c'était un essai de pouvoir répondre à des questions qu'on me demande. J'ai encore plein de questions que je n'ai pas répondues encore. Bref, j'espère que vous avez aimé, apprécié. Je vous invite à me partager. Posez-moi vos meilleures questions. intelligentes, si possible, humoristiques, qui sortent du champ gauche. Tu sais, vraiment, là, je vous challenge à me poser les questions. Où est-ce que vous voulez avoir... Ça se dit dessus, ça ? Je coupe ça. Je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot, qui ont un peu de piquant. Parce qu'il n'y a rien que je ne vais pas dire. Comme, par exemple, la majorité des gens, la question sur le Botox... on l'aurait laissé là. J'assume. Alors, je vous challenge à me poser des questions qui sortent du lot. En même temps, je vous fais travailler. Alors, dites-moi, est-ce que vous avez aimé ce format-là qui est l'épisode 88 de l'Indomptable Podcast que je vais découper, justement, en petits shorts puis je vais optimiser la formule. Oui, je pense que ça va être quelque chose de pas mal intéressant. Dites-moi, est-ce que ça a eu de la valeur ? Est-ce que c'est divertissant ? Comment vous avez trouvé ça ? J'ai très hâte de vous entendre. et on se voit ultérieurement pour un prochain épisode de ce style-là et autres styles qui s'en viennent à l'Indomptable Podcast

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