Speaker #0Et c'est parti pour mon premier épisode de podcast. Je suis très très très contente de lancer ce 2 mars 2025. Mon podcast, un projet mûrement réfléchi mais aussi rêvé, profondément rêvé en cette année 2024. Ça fait partie de ma vision et j'avais... cœur de le mettre en place et ça y est, c'est chose faite. Alors le premier épisode s'intitule le jour où j'ai décidé de m'aimer pour de vrai. Cet épisode c'est le tout premier de la série et je souhaite aujourd'hui vous partager en fait mon histoire afin que vous puissiez mieux comprendre la personne qui se cache derrière le micro. Et pour commencer, en préparant cet épisode, j'ai pensé Tout naturellement à une phrase, et je vous la partage. Et si le plus beau voyage était celui vers soi-même ? Eh oui, vous saurez un petit peu plus loin pourquoi cette phrase a résonné en moi. Donc dans cet épisode, vous allez comprendre mon parcours et comment j'ai réussi à me reconnecter à tout mon être, à apprendre à m'aimer et à me prioriser. A la fin de cet épisode, vous aurez les premières étapes pour vous prioriser et ainsi... commencer à cultiver l'amour pour vous-même. Alors tout d'abord, je vous partage mon expérience personnelle. Je vais vous raconter un petit peu les étapes de ma transformation, comment j'en suis arrivée là. Alors aujourd'hui, je suis une entrepreneuse accomplie, heureuse et épanouie dans tous mes domaines de vie. Je ressens l'amour chaque jour, vraiment, dans tout ce que je fais. Je choisis toujours tout avec... joie, plaisir et amour. Je vibre vraiment pleinement ma vie. Rien que là, de parler avec vous, c'est un exercice et une première pour moi, le podcast, mais je vibre. Je ressens cette chaleur dans tout mon être. Donc c'est un flux très positif, vibratoire, que je ressens à chaque étape, à chaque seconde de ma vie. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Pour vous faire comprendre Cette phrase qui est venue de manière naturelle et limpide, et si le plus beau voyage était celui vers soi-même, je vais vous expliquer qu'en fait, le voyage fait partie intégrante de ma vie. Pendant 21 ans, j'ai évolué dans l'industrie du tourisme, à des postes à haute responsabilité. Je suis passée vendeuse en agence de voyage, chef d'agence de petite, moyenne, grande taille, responsable des ventes et puis chef de projet. à la distribution, au marketing, à la fin de ma carrière. J'occupais des postes en fait très passionnants, très riches, les uns et les autres, en gérant des équipes, donc de petite, moyenne, grande taille aussi. Donc à l'extérieur, tout semblait vraiment parfait, mais à l'intérieur, je ressentais comme un vide profond. Une charge mentale qui commençait à s'installer, un harcèlement moral au travail, la mélancolie et la solitude qui commençaient à m'épuiser. Alors tout remonte à une dizaine d'années en arrière. J'ai travaillé 21 ans dans le tourisme mais je n'ai pas vécu tout ça pendant 21 ans. Ça a été vraiment une période très noire pour moi mais ponctuelle. Donc en 2012... 2013. Donc on remonte à 12 ans en arrière. Tout a commencé par un poste à responsabilité. Donc moi j'ai gravi les échelons de manière logique dans l'entreprise. Et c'est en arrivant responsable des ventes où j'ai accepté, en fait, j'ai postulé, j'ai passé les entretiens, etc. Mais je ne me suis jamais vraiment posé la question de si je voulais vraiment l'être. Donc tout le monde m'en parlait autour de moi, tout le monde me disait, bah oui, tu travailles bien, tu as des bons résultats, tu devrais postuler ce que j'ai fait. Et je me suis retrouvée en fait dans un contexte assez... particuliers, compliqués au niveau de l'entreprise, à devoir annoncer des nouvelles qui n'étaient pas très positives pour un certain nombre de personnes, et des nouvelles assez difficiles à annoncer, qui finalement n'étaient pas de mon ressort. Après coup, je m'en étais rendue compte. Mais en bon petit soldat, je venais d'arriver à ce poste-là, on m'a demandé d'annoncer des choses que j'ai faites. J'ai effectué ces missions, vraiment. J'ai toujours été présente le soir, le week-end, à lever le doigt pour être disponible aussi à accompagner des groupes en voyage, être présente aux soirées commerciales, etc. J'étais tout le temps disponible parce que personnellement je l'étais. Et j'ai plongé, tête baissée, dans le boulot. Le besoin de perfection au travail m'amena une pression constante, alors que je me suis infligée moi-même, avec un ressenti d'oppression. Comme si j'avais la tête au-dessus de l'eau et j'étais prête à couler, et je n'arrivais plus à respirer. J'étais vraiment en manque d'oxygène. S'en est suivi un harcèlement moral au travail du fait de ces fameuses annonces que je devais faire. C'est par le biais de coups de fil, de messages, de critiques, d'ironie et de mépris que petit à petit s'est installé cet harcèlement que je ressentais de manière virulente. de jour en jour. Et puis à la même période, la maladie dans mon entourage, dans mon environnement familial, frappa à deux reprises. C'est là que j'ai pris conscience en fait qu'on avait qu'une vie et que tout pouvait basculer du jour au lendemain. Cette tristesse que je ressentais au fond de moi, elle a commencé à se décupler, car j'avais pris conscience que je pouvais perdre des personnes chères à mon cœur aussi. Et donc parallèlement à tout ça, au niveau de ma vie professionnelle, familiale, ma vie de couple suivait un schéma des plus répétitifs et vraiment destructeurs. Alors je faisais des rencontres, c'était pas ça qui manquait, mais sans jamais vraiment aboutir à mon rêve d'engagement. Je faisais tout le temps les mêmes rencontres. Quand on dit « je rencontre tout le temps les mêmes personnes » , au bout d'un moment, le dénominateur commun c'est qui ? C'est quoi ? C'est vous. Bah oui. Mais je le savais pas à l'époque. Alors je vivais des relations où je donnais toujours tout sans jamais recevoir en retour. Vraiment. Je pouvais attendre des soirées qu'on me fasse signe, qu'on me réponde, qu'on me dise oui ou non. Est-ce que je viens ? Je viens pas. Je sais pas. Il y avait ce chaud-froid à chaque fois. Je me rendais tout le temps disponible aussi. Pour l'homme avec lequel j'étais, et le vieil adage en fait, « Fuis-moi, je te suis, suis-moi, je te fuis » , je l'ai vraiment connu en fait. La fuite, l'absence, la non-bienveillance, aucune attention, aucune intention, je l'ai connu. Et puis pareil, le claquement de doigts, où tout de suite je me rendais disponible, je l'ai connu aussi. Donc au final... Je me sentais très seule en fait, avec ce sentiment de rejet, d'abandon à chaque fois, ce manque d'amour très présent pour le coup. Donc j'étais là pour tout le monde, mais qui était là pour moi ? Pas grand monde. Donc des croyances limitantes ont commencé à s'ancrer en moi, comme... Je ne suis pas assez bien. Je ne suis pas faite pour l'amour. Je ne sais pas garder un homme. Je resterai célibataire toute ma vie. Donc alors, mon rêve de fonder une famille, d'être en couple, heureuse, de vivre... Voilà, mon rêve du plus profond de mon être commençait à vraiment se dissiper. Je mettais une croix dessus en fait. Je me suis dit, bah non, je ne suis pas faite pour l'amour avec un grand A. Moi, je suis faite pour travailler. pour être célibataire et être là pour les autres. Et c'est comme ça. Et je commençais à l'accepter. Sauf qu'un soir, je m'en rappelle encore, sur mon canapé, impossible de me lever pour continuer à travailler, à être au contact de ces personnes toxiques justement, au travail, de relever des missions qui ne me ressemblaient plus. Je ressentais vraiment un malaise, un mal-être à l'intérieur de moi. A l'époque, je ne savais pas pourquoi, mais aujourd'hui, je vous en parle. J'ai mis les mots sur mes mots, M-A-U-X. Mais je savais que j'étais si triste, en fait, de ressentir cette agressivité environnante, vraiment ce mépris, impossible de m'arrêter de pleurer. Je ne comprenais pas, en fait, pourquoi j'avais autant d'agressivité, de virulence, alors que j'essayais de faire mon travail du mieux possible. Avec bienveillance, avec douceur, communication. Et on me renvoyait tout l'inverse. C'était incompréhensible pour moi. Et j'ai dit stop. J'ai dit stop, alors je n'arrêtais pas de pleurer. Mais j'ai dit stop pourquoi ? Grâce à mes larmes en fait. Grâce à mon corps qui n'avait plus la capacité à continuer à se lever et aller vers des personnes qui me renvoyaient en fait ce mépris. Cette agressivité, c'était plus possible pour moi. Donc j'ai décidé de faire une pause, de prendre du temps pour moi. Je me suis mise en arrêt. Et ça m'a fait du bien. Ah oui, ça m'a fait du bien. Donc là, pour le coup, les bonnes personnes étaient autour de moi. Et aujourd'hui, si ma sœur écoute ce podcast, j'ai envie de lui dédier. de lui dire merci. Merci. Avec toute ma gratitude, elle a été là pour moi. Elle m'a écoutée. Elle a été là avec une oreille, mais pas que. Elle a été là physiquement. Et elle a compris. Et elle m'a accompagnée à prendre du temps pour moi, à m'écouter, à être bienveillante. Et quelques semaines après, j'ai pris la décision, en fait, de partir à l'île Maurice. Ah, l'île Maurice. Une île que j'affectionne particulièrement. Je ne sais pas si vous connaissez cette île, si vous y êtes déjà allé, si on vous en a parlé. Mais c'est là-bas que l'évidence m'est apparue. Donc là, je me suis dit, plus jamais ça. J'avais dit stop sur mon canapé. Et là-bas, ça a été limpide, comme l'eau cristalline, la mer turquoise, le ciel bleu, le soleil, le sourire, la bienveillance des Mauriciens. Ça a été une évidence pour moi de dire plus jamais ça. J'ai pris conscience que je pouvais vivre autrement, que des personnes bienveillantes pouvaient être autour de moi, être... attentionner, me faire du bien et ne plus recevoir de mal. Si j'avais fait le choix de venir à l'île Maurice et d'être entourée de beauté, d'harmonie, de bienveillance, je pouvais à l'avenir choisir tout ce que j'allais vivre. Ça a été vraiment un déclic, mais vraiment. C'est là-bas que j'ai décidé de me faire accompagner. Et quand vous décidez quelque chose, Je peux vous dire que l'univers, il conspire à vous apporter sur un plateau ce dont vous avez besoin. Alors, peut-être qu'il m'avait donné des signes, l'univers, que je n'étais pas en mesure de comprendre. Je n'étais pas prête, certainement à l'époque, de saisir quoi que ce soit, parce que j'étais embrigadée dans mon mur, dans mon carcan d'agressivité. Mais là, en tout cas, ça a été le déclic et j'ai compris. J'ai compris que c'était à moi. de faire des choses. J'ai décidé plus jamais ça et je peux vous assurer que je ne l'ai plus jamais vécu et je ne le vivrai plus jamais. C'est quelque chose qui est ancré en moi, c'est limpide, je sais ce qui me fait vibrer et ce qui ne me fait pas vibrer. Ça a été une évidence. Vraiment. Waouh. Vraiment. Le waouh. Donc je décide à me faire accompagner. Voilà. Et c'est à ce moment-là que j'ai vécu de réelles prises de conscience sur l'importance de la reconnexion à soi et de l'amour de soi. avant tout le reste. Vraiment, j'ai eu l'opportunité et la chance de rencontrer une personne qui est devenue une amie aussi aujourd'hui, donc je remercie aussi qui fait partie intégrante de ma transformation. Donc il y a beaucoup de dédicaces dans ce podcast. Je remercie Anne-Laure qui m'a accompagnée sur le chemin de la reconnexion à soi et de l'amour de soi. Elle m'a aidée à reprendre ma place en tant que femme déjà et en tant qu'enfant aussi. J'ai compris quelle femme j'étais, ce qui était fondamental pour moi, vraiment, ça a été une évidence, ça a été un travail quand même d'introspection qui a été long, mais quand j'ai eu cette évidence, ça a été ancré en moi et comme je vous l'ai dit, j'ai réussi à poser naturellement mes limites et je les pose encore aujourd'hui et il y a des choses pour lesquelles c'est rédhibitoire et je sais que ça ne me convient pas et je n'y vais pas en fait. Et c'est tout ce travail de reconnexion à soi qui fait que vous pouvez vivre une vie qui vous correspond. Et c'est ce que j'ai mis en place. Parce que grâce à ce travail, tout s'est imbriqué naturellement par la suite. Fin 2015, début 2016, c'est à ce moment-là qu'on me propose un poste beaucoup plus aligné. avec mes valeurs. Et le même mois, j'ai rencontré un homme qui est devenu mon mari, le père de mes filles. Et ensemble, on a construit la maison de mes rêves. Vraiment, ça a été un avant et un après. Pour les personnes qui me connaissent, qui connaissent mon parcours, c'est plus jamais ça, mais oui, plus jamais ça. Alors, je ne crache pas dans la soupe. J'ai vécu de très bons moments avant aussi dans l'entreprise. dans laquelle j'étais, où je vivais dans mon appartement, etc. Les amis, tout ce que je pouvais faire, etc. C'était mon ancienne vie, ça fait partie de mon parcours et c'est très bien, c'est juste. Ce qui a été le déclencheur, c'est tout ce que je vous ai détaillé entre 2012-2013. Ces moments-là, de manière très précise, ont vraiment permis... de prendre conscience de plus jamais ça. C'est-à-dire, mon révéler, on mit en lumière que la vie que j'avais créée ces derniers mois, 2012-2013, c'était absolument pas ce que je voulais vivre. Et qu'il fallait que je change de direction. Mon désir de devenir entrepreneuse est venu bien plus tard. C'est en devenant maman une première fois que j'ai commencé à me dire « Ah, il y a quelque chose qui change en moi, j'ai peut-être fait le tour. » En même temps, j'avais terminé les missions pour lesquelles j'avais eu ce fameux poste qui était plus aligné. C'était un poste plus aligné dans le sens où j'ai développé du positif. J'ai implanté une nouvelle marque de tourisme en France. Je me suis éclatée pendant trois ans à parcourir les quatre coins de la France. et à implanter des nouvelles agences, donc à faire du positif. Donc ça a été complètement extraordinaire pour moi. J'étais dans un entourage très bénéfique, très porteur et je me suis vraiment éclatée. Une fois ma mission terminée, j'ai dû changer de mission et c'est après que là je me suis rendue compte que je n'étais peut-être plus alignée avec les valeurs de l'entreprise. Et c'est en étant enceinte la deuxième fois en plein Covid que j'ai compris que je ne reviendrai plus, qu'il y avait quelque chose de mieux qui m'attendait, un autre step vraiment. Et j'avais la certitude au fond de moi, cet appel, mais je ne savais pas quoi. Et donc cet été 2020, sur une feuille blanche, j'ai commencé à travailler. à continuer cette introspection avec moi-même. Et j'ai trouvé mon Ikigai. Je ne sais pas si vous connaissez, mais c'est un outil très puissant que j'utilise en accompagnement qui m'a permis de trouver ma mission de vie. Vraiment. De trouver du sens à ma vie. L'Ikigai, c'est de trouver sa raison d'être. Pourquoi on est là sur Terre, en gros. Et donc moi, ma mission de vie, elle est claire, elle est limpide aujourd'hui. Je l'ai même renforcé aujourd'hui. C'était à l'époque d'accompagner à mon tour les femmes à trouver du sens à leur vie. Donc pourquoi les femmes ? Parce que vous l'aurez compris, ça fait écho à mon parcours de vie. en fait. Et aujourd'hui, c'est encore plus fort que ça. J'en ai fait mon métier avec passion et engagement, où j'ai à cœur, vraiment, d'inspirer la joie, de transmettre la paix au plus grand nombre pour éveiller les consciences et faire que ce monde soit meilleur. Alors, avant ma transformation, imaginez, j'étais comme une statue de glace figée cristallisé dans une vie qui ne me ressemblait pas, plus en tout cas, incapable de bouger. Et c'est en me reconnectant à moi-même que j'ai commencé à fondre petit à petit et à retrouver ma véritable essence, prête à continuer à avancer et à créer la vie qui me correspond. Et je vous invite vraiment à ressentir ce que j'ai ressenti et ce que je ressens encore aujourd'hui. Pour le faire, pour le ressentir et toucher votre but ultime, je vous partage maintenant les quatre clés qui ont été puissantes pour moi pour amorcer l'amour de soi. La première, et non des moindres, c'est de comprendre l'importance de s'aimer d'abord. Chercher l'amour à l'extérieur ne fonctionne absolument pas. Moi, je l'ai fait pendant 38 ans. Vous avez compris. mon parcours, après chaque parcours est différent, mais c'est tout le temps validé dans tous les accompagnements que je peux faire, dans tous les échanges aussi, tout ce que je peux lire, entendre. Toutes les personnes qui vont tout faire pour être aimée, être reconnue, ne s'aiment pas assez. Et si vous ne vous aimez pas assez, ça ne fonctionne pas. Tout ce que vous pouvez rêver n'arrive pas dans votre réalité. Parce que vous donnez tout pour les autres et vous ne vous occupez pas de vous assez. C'est comme l'image en fait, imaginez-vous dans un avion, là il y a des turbulences et les masques à oxygène tombent. C'est comme si vous aviez envie de prendre le masque et de le donner à votre voisin. Mais si vous êtes en manque d'oxygène, que vous êtes en incapacité physique, De vous lever pour prendre le masque, c'est pas possible, on est d'accord. C'est mieux de prendre le masque pour vous, de respirer convenablement, de revenir à un oxygène plus stable et ensuite d'aller aider les autres. C'est un petit peu pareil pour l'amour. C'est mieux de remplir son réservoir d'amour avant d'en offrir aux autres, avant d'aller aussi le chercher. C'est d'équilibrer aussi. cet équilibre de donner et recevoir avec vous-même, d'aller vous donner de l'amour pour pouvoir en recevoir aussi. C'est vibratoire. Alors vous allez me dire, oui, mais je ne sais pas faire. Alors essayez déjà un petit pas vers ce qui vous fait plaisir. Moi je vous l'ai dit en préambule, l'amour fait partie inconsciente de moi tous les jours. Je mets de l'amour dans tout ce que je fais. Là je suis en train de vous parler, j'adore ça en fait. J'adore m'exprimer, vous... partager en fait mon parcours, mes expériences riches. Tout ce que je fais, je mets du plaisir, de la joie, de l'amour. Si à partir du moment où vous mettez de la joie, du plaisir et de l'amour, ça se fera beaucoup plus facilement en fait. Et je vais rajouter quelque chose. Parlez-vous comme à votre enfant ou à votre meilleure amie quand elle en a besoin. Et j'irai même un peu plus loin. Parlez-vous à la petite fille que vous étiez à 7 ans, par exemple. Qu'est-ce que vous pourriez lui dire ? J'ai des questions à vous poser. Vous pourriez vous poser la question de de quoi j'ai envie là, maintenant ? Pensez à la petite fille que vous étiez à 7 ans et dites-vous, qu'est-ce qui me ferait plaisir ? Qu'est-ce qui m'amènerait de la joie là ? Qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Posez-vous ces questions. Petit à petit, on y arrive. Ok ? On continue avec la deuxième clé qui est de se reconnecter à soi et non des moindres. Apprendre à s'écouter et à se recentrer sur ses besoins, c'est aussi nécessaire et vital. Je vous partage un exercice de respiration en pleine conscience. Quand vous respirez en pleine conscience, c'est-à-dire quand vous êtes concentré dans votre respiration, dans votre souffle, Ici et maintenant, donc, vous n'êtes plus dans votre mental. L'idée, c'est de ne plus ressasser les choses, d'être dans vos pensées et d'être dans l'esprit. L'idée, c'est d'être concentré dans l'instant présent, dans votre respiration, dans vos sensations physiques et dans vos vibrations. Plus vous allez exercer cette respiration, mieux vous allez vous comprendre, capter en fait. Les vibrations dans votre corps, les sensations de ce qui est bon pour vous, de ce qui l'est moins. Et plus vous allez vous comprendre du coup. Et ça sera facile après d'opérer des changements, d'agir. Donc là, si vous faites cet exercice, je ne sais pas où vous êtes. Si vous êtes chez vous, dans la rue, dans votre voiture. Alors, soit vous mettez pause ou vous reviendrez. à ce moment-là plus tard quand vous le pourrez, mais c'est de vous mettre confortable, les pieds ancrés au sol, et d'inspirer profondément par le nez, et d'expirer profondément par la bouche, et d'être concentré dans votre souffle. Vous allez le faire plusieurs fois d'affilée en fait, de respirer en pleine conscience. Pleine conscience, c'est d'être consciente de votre souffle. La clé, c'est d'être 100% connecté à votre souffle, à votre corps, à vos sensations physiques. Comme si vous scanniez votre corps. Qu'est-ce qui se passe ? De la tête aux pieds. De ne plus revenir justement dans le mental, dans vos pensées. Donc pratiquez cette respiration en pleine conscience. Mettez-vous dans un endroit... confort et ancrez-vous. On aura certainement l'occasion de partager dans des prochains commentaires vos demandes et en fait, via des exercices dédiés à un podcast particulier sur la reconnexion à soi parce que c'est un sujet qui m'est très très cher. Alors vous allez peut-être me dire j'ai peur de ce que je vais découvrir parce que ça je l'ai souvent. Qu'est-ce qu'il y a derrière le miroir ? Voilà. Mais vous savez que La reconnexion à soi, c'est vraiment une étape douce et progressive. Moi, j'ai changé, j'ai pas changé en un jour. J'ai fait ce travail, ça a duré des mois, pour comprendre qui j'étais et pour obtenir un changement dans mon monde physique. Ça a mis un an, un an et demi. Un enfant, il apprend pas à marcher en un jour et on apprend pas une langue étrangère en un jour. Donc, petit à petit, l'idée c'est de pratiquer. La troisième des clés, c'est de se prioriser sans culpabilité. Dire non avec bienveillance et s'accorder du temps. Vous pouvez apprendre à dire non à des engagements professionnels ou familiaux qui ne résonnent pas avec vos propres valeurs pour vous recentrer sur vos propres besoins. Donc tout est en lien, toutes les clés là sont nécessaires et se recoupent. Donc de comprendre l'importance de l'amour de soi et... Quand vous vous reconnectez à vous, vous savez ce qui est bon ou pas pour vous. Si c'est pas bon, et ben là vous pouvez plus facilement dire non avec bienveillance. Je vous dis pas de dire non à tout, mais de dire non à ce qui ne résonne pas à l'intérieur de vous, ok ? Alors vous allez peut-être me dire j'ai peur de décevoir, parce que souvent quand on n'arrive pas à dire non, on a peur du conflit, on a peur de décevoir l'autre. Mais vous savez que poser des limites permet de vous respecter et de mieux respecter vos propres besoins d'abord, tout en restant aussi disponible pour les autres. Plus vous allez vous respecter et faire des choses qui vous conviennent, vous apporter de l'amour, plus vous allez avoir de l'énergie, être disponible, disposée pour les autres et avec la création d'un équilibre entre vos besoins et les besoins des autres. Donc encore une fois, c'est petit à petit. Et d'ailleurs, la quatrième des clés... C'est de passer à l'action, petit à petit, de mettre en place des rituels quotidiens pour renforcer votre amour pour vous-même. Et je continue, sans transition, sur la rubrique de la semaine qui va devenir récurrente, un rituel de la semaine. Je vous partagerai un rituel par semaine à chaque fois. Et là, cette semaine, je vous invite à jouer au jeu du miroir. Un miroir, une affirmation. Chaque matin... Je vous invite à vous regarder dans le miroir et à vous dire une phrase positive comme Je m'ai donné, je sais recevoir, je m'accepte tel que je suis, etc. Donc là, quand vous vous regardez dans le miroir, je vous invite vraiment à regarder vos pupilles, le fond de vos yeux, vraiment. Et quand vous répétez cette phrase que vous avez choisi, c'est de ressentir chaque mot, de vibrer chaque mot, comme si vous reviviez la situation. Par exemple, je mérite tout l'amour que je me donne. Quand vous vous répétez cette phrase, c'est de vous voir être amour, ressentir l'amour, vibrer l'amour, de vous voir dans une situation, ressentir tout ce que vous vous dites là. Et du coup, si vous le ressentez dans votre corps, c'est de ressentir le flux, la chaleur, des ondes positives dans tout votre corps. Et en même temps, de vous regarder dans les yeux. Il y a beaucoup plus d'impact, en fait, quand on se regarde dans le miroir. Parce que cette phrase, vous pouvez vous la répéter à longueur de journée, dans la rue, quand vous travaillez, dans les toilettes, quand vous conduisez, etc. Vous pouvez le faire. Mais il y a beaucoup plus d'impact quand vous vous regardez dans le miroir. Vous allez me dire oui. Super, mais je me sens complètement ridicule à me regarder dans le miroir. C'est compliqué pour moi, je comprends. Si on n'a pas l'habitude de le faire, ça peut être compliqué au début, mais avec le temps, cela devient un puissant outil de transformation véridique. Si vous le faites un petit peu chaque matin, ça peut être 5 secondes, 10 secondes, puis 15, 30 secondes, et petit à petit, 1 minute, 2. 5 minutes, tous les matins, vous pouvez y aller crescendo. Et vous savez que votre corps, en fait, il commence à comprendre ce que vous lui envoyez comme message au bout de 7 jours, 10 jours. Et au bout de 21 jours, vous commencez à créer une nouvelle habitude. Il y a une transformation qui s'opère. Et la bonne nouvelle que j'ai envie de vous dire, c'est qu'on arrive, on peut, en fait, reprogrammer son cerveau. À partir du moment où on le veut vraiment, c'est une réelle volonté pour vous, vous y croyez, vous croyez que c'est possible et vous vous donnez les moyens, tout arrive. J'en suis la preuve vivante. J'en suis la preuve vivante qu'après 40 ans, on peut tout décider. On peut changer sa vie. On peut vivre la vie de nos rêves. On peut vivre une vie qui nous correspond à 100%. Alors pour conclure, j'ai envie de vous dire et que vous repartiez avec quatre éléments très importants. Aimez-vous d'abord. Respirez en pleine conscience pour mieux vous écouter et mieux vous comprendre. Mieux vous prioriser sans culpabilité. Commencez à dire non à ce que vous ne voulez pas, de ce qui ne résonne pas. plus en vous. Et passez à l'action avec le jeu du miroir ! Merci d'avoir écouté cet épisode d'Inspirationnel.
