undefined cover
undefined cover
S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN cover
S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN cover
Interpol Story

S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN

S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN

14min |22/07/2025
Play
undefined cover
undefined cover
S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN cover
S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN cover
Interpol Story

S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN

S1 E26 - Le millionaire qui a disparu en plein vol : L’affaire Alfred LOEWENSTEIN

14min |22/07/2025
Play

Description

Alfred Loewenstein, né en 1877 à Bruxelles, est l’un des financiers les plus brillants et controversés de son époque. D’origine juive allemande et issu d’une famille aisée, il se distingue très jeune par son intelligence analytique et son flair pour les affaires.


En quelques années, il bâtit un empire tentaculaire grâce à des investissements stratégiques dans l’électricité, la chimie, les infrastructures ferroviaires et la production de soie artificielle. À la tête de la société International Holdings, il devient l’un des hommes les plus riches du monde dans les années 1920, incarnant le capitalisme triomphant. Il mène une vie luxueuse, fréquente les élites européennes, voyage dans son propre avion et fascine autant qu’il dérange.


Mais derrière cette réussite fulgurante, des doutes grandissent sur la transparence de ses montages financiers. Certains soupçonnent des manipulations comptables et des fragilités dissimulées au sein de son empire. Le 4 juillet 1928, Loewenstein embarque à bord de son avion privé pour un vol entre Londres et Bruxelles, accompagné de six collaborateurs de confiance. En plein vol au-dessus de la Manche, il se rend à l’arrière de l’appareil, là où se trouvent les toilettes. Quelques minutes plus tard, on découvre que la porte latérale est grande ouverte et que Loewenstein a disparu.


L’avion atterrit en urgence près de Dunkerque, et une vaste opération de recherche est lancée. Quinze jours plus tard, son corps est retrouvé en mer, en état de décomposition avancée. L’autopsie révèle qu’il était vivant au moment de sa chute, et qu’il est mort en heurtant violemment la surface de l’eau. Aucun message de détresse, aucune anomalie météo, aucun témoin oculaire : la disparition est inexpliquée. L’enquête officielle conclut à un accident : Loewenstein aurait confondu la porte des toilettes avec celle menant à l’extérieur et serait tombé dans le vide. Pourtant, cette hypothèse peine à convaincre. Des tests ultérieurs sur des avions identiques montrent qu’il est presque impossible d’ouvrir cette porte en plein vol à cause de la pression exercée par l’air extérieur.


De plus, Loewenstein connaissait parfaitement son avion, qu’il utilisait fréquemment. Son personnel était à proximité, et le financier était réputé pour sa rigueur. L’hypothèse d’une erreur semble donc hautement improbable, bien qu’elle soit retenue par l’enquête britannique. Rapidement, l’idée d’un assassinat prend de l’ampleur. La porte aurait pu être ouverte volontairement avec l’aide d’un complice, ou Loewenstein aurait été poussé. Plusieurs personnes à bord auraient eu l’opportunité d’agir, et les mobiles financiers ne manquent pas. Son empire connaissait des tensions croissantes, et certains associés pouvaient craindre des révélations compromettantes.


Même sa femme, Madeleine, est évoquée comme possible bénéficiaire de cette mort soudaine. La succession est réglée discrètement, sans demande d’autopsie complémentaire, et l’enterrement se fait dans l’intimité. Mais aucune preuve formelle ne vient accréditer la thèse du meurtre. L’enquête est rapidement close, sans inculpation. À ce jour, la mort d’Alfred Loewenstein demeure l’un des plus grands mystères du XXe siècle. L’accident paraît peu crédible, l’assassinat impossible à prouver. Aucun enregistreur de vol, aucun témoignage décisif, aucune preuve matérielle.


Loewenstein est tombé du ciel comme il avait gravi les sommets : à toute allure, dans un halo de pouvoir, d’ombre et de silence. Sa chute brutale a marqué la fin d’une époque où la richesse fulgurante se mêlait à l’opacité des fortunes modernes.


Derrière le mutisme des témoins et l’indifférence des autorités, le mystère reste entier, suspendu quelque part au-dessus de la Manche.

Description

Alfred Loewenstein, né en 1877 à Bruxelles, est l’un des financiers les plus brillants et controversés de son époque. D’origine juive allemande et issu d’une famille aisée, il se distingue très jeune par son intelligence analytique et son flair pour les affaires.


En quelques années, il bâtit un empire tentaculaire grâce à des investissements stratégiques dans l’électricité, la chimie, les infrastructures ferroviaires et la production de soie artificielle. À la tête de la société International Holdings, il devient l’un des hommes les plus riches du monde dans les années 1920, incarnant le capitalisme triomphant. Il mène une vie luxueuse, fréquente les élites européennes, voyage dans son propre avion et fascine autant qu’il dérange.


Mais derrière cette réussite fulgurante, des doutes grandissent sur la transparence de ses montages financiers. Certains soupçonnent des manipulations comptables et des fragilités dissimulées au sein de son empire. Le 4 juillet 1928, Loewenstein embarque à bord de son avion privé pour un vol entre Londres et Bruxelles, accompagné de six collaborateurs de confiance. En plein vol au-dessus de la Manche, il se rend à l’arrière de l’appareil, là où se trouvent les toilettes. Quelques minutes plus tard, on découvre que la porte latérale est grande ouverte et que Loewenstein a disparu.


L’avion atterrit en urgence près de Dunkerque, et une vaste opération de recherche est lancée. Quinze jours plus tard, son corps est retrouvé en mer, en état de décomposition avancée. L’autopsie révèle qu’il était vivant au moment de sa chute, et qu’il est mort en heurtant violemment la surface de l’eau. Aucun message de détresse, aucune anomalie météo, aucun témoin oculaire : la disparition est inexpliquée. L’enquête officielle conclut à un accident : Loewenstein aurait confondu la porte des toilettes avec celle menant à l’extérieur et serait tombé dans le vide. Pourtant, cette hypothèse peine à convaincre. Des tests ultérieurs sur des avions identiques montrent qu’il est presque impossible d’ouvrir cette porte en plein vol à cause de la pression exercée par l’air extérieur.


De plus, Loewenstein connaissait parfaitement son avion, qu’il utilisait fréquemment. Son personnel était à proximité, et le financier était réputé pour sa rigueur. L’hypothèse d’une erreur semble donc hautement improbable, bien qu’elle soit retenue par l’enquête britannique. Rapidement, l’idée d’un assassinat prend de l’ampleur. La porte aurait pu être ouverte volontairement avec l’aide d’un complice, ou Loewenstein aurait été poussé. Plusieurs personnes à bord auraient eu l’opportunité d’agir, et les mobiles financiers ne manquent pas. Son empire connaissait des tensions croissantes, et certains associés pouvaient craindre des révélations compromettantes.


Même sa femme, Madeleine, est évoquée comme possible bénéficiaire de cette mort soudaine. La succession est réglée discrètement, sans demande d’autopsie complémentaire, et l’enterrement se fait dans l’intimité. Mais aucune preuve formelle ne vient accréditer la thèse du meurtre. L’enquête est rapidement close, sans inculpation. À ce jour, la mort d’Alfred Loewenstein demeure l’un des plus grands mystères du XXe siècle. L’accident paraît peu crédible, l’assassinat impossible à prouver. Aucun enregistreur de vol, aucun témoignage décisif, aucune preuve matérielle.


Loewenstein est tombé du ciel comme il avait gravi les sommets : à toute allure, dans un halo de pouvoir, d’ombre et de silence. Sa chute brutale a marqué la fin d’une époque où la richesse fulgurante se mêlait à l’opacité des fortunes modernes.


Derrière le mutisme des témoins et l’indifférence des autorités, le mystère reste entier, suspendu quelque part au-dessus de la Manche.

Share

Embed

You may also like

Description

Alfred Loewenstein, né en 1877 à Bruxelles, est l’un des financiers les plus brillants et controversés de son époque. D’origine juive allemande et issu d’une famille aisée, il se distingue très jeune par son intelligence analytique et son flair pour les affaires.


En quelques années, il bâtit un empire tentaculaire grâce à des investissements stratégiques dans l’électricité, la chimie, les infrastructures ferroviaires et la production de soie artificielle. À la tête de la société International Holdings, il devient l’un des hommes les plus riches du monde dans les années 1920, incarnant le capitalisme triomphant. Il mène une vie luxueuse, fréquente les élites européennes, voyage dans son propre avion et fascine autant qu’il dérange.


Mais derrière cette réussite fulgurante, des doutes grandissent sur la transparence de ses montages financiers. Certains soupçonnent des manipulations comptables et des fragilités dissimulées au sein de son empire. Le 4 juillet 1928, Loewenstein embarque à bord de son avion privé pour un vol entre Londres et Bruxelles, accompagné de six collaborateurs de confiance. En plein vol au-dessus de la Manche, il se rend à l’arrière de l’appareil, là où se trouvent les toilettes. Quelques minutes plus tard, on découvre que la porte latérale est grande ouverte et que Loewenstein a disparu.


L’avion atterrit en urgence près de Dunkerque, et une vaste opération de recherche est lancée. Quinze jours plus tard, son corps est retrouvé en mer, en état de décomposition avancée. L’autopsie révèle qu’il était vivant au moment de sa chute, et qu’il est mort en heurtant violemment la surface de l’eau. Aucun message de détresse, aucune anomalie météo, aucun témoin oculaire : la disparition est inexpliquée. L’enquête officielle conclut à un accident : Loewenstein aurait confondu la porte des toilettes avec celle menant à l’extérieur et serait tombé dans le vide. Pourtant, cette hypothèse peine à convaincre. Des tests ultérieurs sur des avions identiques montrent qu’il est presque impossible d’ouvrir cette porte en plein vol à cause de la pression exercée par l’air extérieur.


De plus, Loewenstein connaissait parfaitement son avion, qu’il utilisait fréquemment. Son personnel était à proximité, et le financier était réputé pour sa rigueur. L’hypothèse d’une erreur semble donc hautement improbable, bien qu’elle soit retenue par l’enquête britannique. Rapidement, l’idée d’un assassinat prend de l’ampleur. La porte aurait pu être ouverte volontairement avec l’aide d’un complice, ou Loewenstein aurait été poussé. Plusieurs personnes à bord auraient eu l’opportunité d’agir, et les mobiles financiers ne manquent pas. Son empire connaissait des tensions croissantes, et certains associés pouvaient craindre des révélations compromettantes.


Même sa femme, Madeleine, est évoquée comme possible bénéficiaire de cette mort soudaine. La succession est réglée discrètement, sans demande d’autopsie complémentaire, et l’enterrement se fait dans l’intimité. Mais aucune preuve formelle ne vient accréditer la thèse du meurtre. L’enquête est rapidement close, sans inculpation. À ce jour, la mort d’Alfred Loewenstein demeure l’un des plus grands mystères du XXe siècle. L’accident paraît peu crédible, l’assassinat impossible à prouver. Aucun enregistreur de vol, aucun témoignage décisif, aucune preuve matérielle.


Loewenstein est tombé du ciel comme il avait gravi les sommets : à toute allure, dans un halo de pouvoir, d’ombre et de silence. Sa chute brutale a marqué la fin d’une époque où la richesse fulgurante se mêlait à l’opacité des fortunes modernes.


Derrière le mutisme des témoins et l’indifférence des autorités, le mystère reste entier, suspendu quelque part au-dessus de la Manche.

Description

Alfred Loewenstein, né en 1877 à Bruxelles, est l’un des financiers les plus brillants et controversés de son époque. D’origine juive allemande et issu d’une famille aisée, il se distingue très jeune par son intelligence analytique et son flair pour les affaires.


En quelques années, il bâtit un empire tentaculaire grâce à des investissements stratégiques dans l’électricité, la chimie, les infrastructures ferroviaires et la production de soie artificielle. À la tête de la société International Holdings, il devient l’un des hommes les plus riches du monde dans les années 1920, incarnant le capitalisme triomphant. Il mène une vie luxueuse, fréquente les élites européennes, voyage dans son propre avion et fascine autant qu’il dérange.


Mais derrière cette réussite fulgurante, des doutes grandissent sur la transparence de ses montages financiers. Certains soupçonnent des manipulations comptables et des fragilités dissimulées au sein de son empire. Le 4 juillet 1928, Loewenstein embarque à bord de son avion privé pour un vol entre Londres et Bruxelles, accompagné de six collaborateurs de confiance. En plein vol au-dessus de la Manche, il se rend à l’arrière de l’appareil, là où se trouvent les toilettes. Quelques minutes plus tard, on découvre que la porte latérale est grande ouverte et que Loewenstein a disparu.


L’avion atterrit en urgence près de Dunkerque, et une vaste opération de recherche est lancée. Quinze jours plus tard, son corps est retrouvé en mer, en état de décomposition avancée. L’autopsie révèle qu’il était vivant au moment de sa chute, et qu’il est mort en heurtant violemment la surface de l’eau. Aucun message de détresse, aucune anomalie météo, aucun témoin oculaire : la disparition est inexpliquée. L’enquête officielle conclut à un accident : Loewenstein aurait confondu la porte des toilettes avec celle menant à l’extérieur et serait tombé dans le vide. Pourtant, cette hypothèse peine à convaincre. Des tests ultérieurs sur des avions identiques montrent qu’il est presque impossible d’ouvrir cette porte en plein vol à cause de la pression exercée par l’air extérieur.


De plus, Loewenstein connaissait parfaitement son avion, qu’il utilisait fréquemment. Son personnel était à proximité, et le financier était réputé pour sa rigueur. L’hypothèse d’une erreur semble donc hautement improbable, bien qu’elle soit retenue par l’enquête britannique. Rapidement, l’idée d’un assassinat prend de l’ampleur. La porte aurait pu être ouverte volontairement avec l’aide d’un complice, ou Loewenstein aurait été poussé. Plusieurs personnes à bord auraient eu l’opportunité d’agir, et les mobiles financiers ne manquent pas. Son empire connaissait des tensions croissantes, et certains associés pouvaient craindre des révélations compromettantes.


Même sa femme, Madeleine, est évoquée comme possible bénéficiaire de cette mort soudaine. La succession est réglée discrètement, sans demande d’autopsie complémentaire, et l’enterrement se fait dans l’intimité. Mais aucune preuve formelle ne vient accréditer la thèse du meurtre. L’enquête est rapidement close, sans inculpation. À ce jour, la mort d’Alfred Loewenstein demeure l’un des plus grands mystères du XXe siècle. L’accident paraît peu crédible, l’assassinat impossible à prouver. Aucun enregistreur de vol, aucun témoignage décisif, aucune preuve matérielle.


Loewenstein est tombé du ciel comme il avait gravi les sommets : à toute allure, dans un halo de pouvoir, d’ombre et de silence. Sa chute brutale a marqué la fin d’une époque où la richesse fulgurante se mêlait à l’opacité des fortunes modernes.


Derrière le mutisme des témoins et l’indifférence des autorités, le mystère reste entier, suspendu quelque part au-dessus de la Manche.

Share

Embed

You may also like