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Léana Martin - Réaliser un rêve d’enfant cover
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Léana Martin - Réaliser un rêve d’enfant

Léana Martin - Réaliser un rêve d’enfant

11min |22/07/2025
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Description

Partir à New York, c’était un rêve pour Léana. Entre cours à l’américaine, vie en colocation internationale, visites organisées au coucher du soleil et stage engagé dans la mode durable, elle revient sur six mois intenses et inoubliables.

Des buildings de Manhattan aux plages de Miami, de la pédagogie inversée à l’indépendance personnelle, Léana partage ce que vivre aux États-Unis lui a apporté humainement, professionnellement et culturellement.

Un témoignage vibrant et sincère, au cœur d’une ville grandiose où tout semble possible.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Léana Martin, j'ai vécu six mois à New York en expatriation et je vais vous partager quelques souvenirs. Alors moi c'est vrai que voyager à travers mon cursus universitaire c'était primordial et c'est quelque chose qui m'intéressait beaucoup quand j'ai intégré l'AM Normandie et d'autant plus voyager aux Etats-Unis et étudier là-bas puisque ça a toujours été un de mes rêves. C'est une destination qui m'a toujours très intéressée donc c'est vrai que mes choix étaient... plus particulièrement porté sur les États-Unis, notamment New York était mon premier choix, Los Angeles ou Boston, plus que par exemple l'Amérique latine ou alors en Europe. Il n'y avait que 15 places, on était 800 étudiants à peu près, donc je n'y attendais pas du tout. J'étais assez surprise et très contente. J'ai eu la chance de partir avec deux de mes meilleurs amis de l'OM Normandie. Donc déjà l'appréhension, il y en avait beaucoup moins, puisqu'on est partis toutes les trois le même jour. On était en colocation ensemble avec des étrangers, des Américains. Mais c'est vrai qu'au niveau du stress, je pense que partir accompagnée, c'est toujours moins stressant que partir seule à l'autre bout du monde. Alors c'est vrai que quand on était dans le taxi du coup direction New York, C'est vrai que la vue est très impressionnante et puis on se demande comment on va pouvoir s'adapter à ce nouvel environnement qui est très particulier. L'architecture aux Etats-Unis est complètement différente dans France. Donc on peut tout de suite se dire, on va se sentir plus étouffée à New York ou quoi. Mais on va dire que ce que j'en retiens à chaque fois que j'ai été à New York et puis on a pu pas mal voyager, donc quand on revenait, on avait toujours la même sensation, c'est que New York, c'est une ville qui dort jamais. et en fait c'est Rien que voir les buildings au loin, on sait qu'il se passe plein de choses là-bas et on a envie d'y retourner à chaque fois. Alors nous on est arrivés une semaine avant de reprendre les cours. Et donc on a pris pas mal de temps à s'installer puisqu'on devait aller acheter certaines fournitures, etc. Mais on a pris le temps de visiter et de prendre nos marques, donc de Manhattan ou encore faire quelques visites un peu plus lointaines, comme la plage de Coney Island, où on a pu un petit peu se détendre avant de reprendre les cours. Mais voilà, on a pris nos marques avant d'arriver, et comme ça, on pouvait plus facilement s'adapter à cet environnement nouveau. Donc au niveau de l'intégration, nous, on s'est inscrite à plusieurs activités au sein du campus pour rencontrer des étrangers ou d'autres. d'autres personnes venant d'autres universités en France. Aux États-Unis, la manière d'étudier et de nous apprendre certains cours sont complètement différentes en France. On garde toujours cet aspect de travail en groupe qu'on retrouve à l'UM Normandie, mais par contre, pour les travaux individuels, c'est vrai qu'ils utilisent la méthode de la classe inversée. C'est-à-dire qu'on travaille énormément chez soi, on a beaucoup de lectures, de bouquins, beaucoup de pages, donc ça demande énormément de travail personnel, et en fait en cours on revoit ce qu'on a vu individuellement chez nous. Alors c'est vrai qu'au début c'était du coup une nouvelle méthode, il fallait un peu se l'approprier, mais je pense que c'est une méthode qui demande beaucoup plus de temps à côté, c'est vrai que nous au début ça nous a un peu... petit peu bloqués sur certaines visites qu'on voulait faire, puisqu'on était très concentrés sur nos cours, étant donné que c'était un programme sur mesure qui, en fait, on avait deux mois de cours, mais c'était un programme qui, normalement, se réalisait en quatre mois. Donc, c'est vrai qu'on a eu énormément de travail. Nos midterms sont arrivés rapidement, donc on avait beaucoup de travail. Et le fait de lire énormément de pages par jour, ça nous prenait beaucoup de temps pour nous sortir. Alors New York, on avait commencé à faire une liste avec toutes les places ou endroits ou musées qu'on voulait faire, des choses qu'on voulait découvrir. Donc c'est vrai qu'on était très organisé à ce niveau-là. Et donc du coup, on s'est organisé des journées après nos fours ou alors le week-end, où on faisait des journées entières de visites, puisqu'on habitait assez loin de Manhattan. Et les principales visites qu'on réalisait étaient à Manhattan. Je pense que la plus mémorable, ce sera Summit. Donc en fait, c'était un building, un nouveau building qui avait ouvert au public. Et en fait, on y était allés pour le coucher de soleil. Et on avait vu sur l'Empire State Building, et on a vu le coucher de soleil la nuit tombée, avec Manhattan dans toute sa splendeur. Tous les buildings, c'était vraiment incroyable. On a resté là des heures. Et c'est là vraiment qu'on s'est dit qu'on avait de la chance d'être là, et que New York, c'était incroyable. En étant à Summit, on a vraiment profité de cet instant. On s'est assises avec la vue de tout New York. New York, c'est grandiose avec tous ces buildings. Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, on voit bien que New York, c'est une ville qui ne dort jamais puisqu'à la nuit tombée, on voyait toute l'activité de New York. On voyait les buildings avec toutes les fenêtres qui ont commencé à s'éliminer. C'était vraiment incroyable, on a même fait un timelapse du soleil qui se pousse avec la nuit tombée puisque de jour comme de nuit, ça reste une ville incroyable où d'ailleurs les couchers de soleil sont toujours magnifiques. Alors du coup, on a eu la chance de pouvoir pas mal voyager. On a fait une grande partie des villes aux États-Unis, des grandes villes. Sur la côte Est, on a pu faire Boston, Washington ou encore Philadelphie. On a également fait Miami, Chicago. On a fait une partie de la côte Ouest aussi. On est allé à Los Angeles, Las Vegas. Los Angeles, où d'ailleurs on a rejoint des étudiants de l'OM Normandie, qu'on connaissait. Ou encore San Francisco. Donc c'était vraiment incroyable. et dans chaque ville, on... on a pu découvrir une autre petite partie des États-Unis. La plus grande distinction entre la France et les États-Unis, c'est que les États-Unis, tout est très grand, que ce soit en termes de bâtiments, que ce soit en termes de distance, nos voyages, que ce soit en termes de... en ce qui concerne la nourriture. Donc en fait, il y a énormément de différences entre la France et les États-Unis, c'est indéniable. Mais oui, on a pu découvrir... tous ces petits aspects qui distinguent les États-Unis de la France. Mais on va dire que ce qui détermine vraiment les États-Unis, c'est que tout est grandiose. Et les gens sont très ouverts, très sociables. Ils ne vont pas avoir de mal à être plus loin dans la rue. C'est vrai que New York m'a permis d'énormément grandir. Puisque vivre loin de ses proches, ce n'est pas forcément très simple. Même si en partant, moi j'étais très heureuse de partir à New York, dont dans tous les cas, je savais que j'allais vivre une excellente expérience et que je n'allais pas trop avoir le mal du pays, et ça a été le cas. Mais c'est vrai que j'ai grandi, puisque je suis devenue plus indépendante. Je me suis découverte aussi là-bas, à faire plus de choses toute seule, à visiter plus de choses, à prendre plus de temps pour moi. Et professionnellement, j'ai pu réaliser un stage de deux mois. à New York, qui était dans le secteur d'activité qui m'intéresse. C'était un stage au sein de Maison Atia, qui est une maison qui propose des fausses fourrures durables et éco-responsables faites à partir de plastique recyclé et de jet de tissu. Donc c'est un concept qui m'a énormément intéressée, puisque je suis très engagée sur l'éco-responsabilité et la durabilité des matières. des vêtements. Donc c'est un stage qui m'a aussi permis de progresser en anglais mine de rien puisque j'étais avec une équipe d'américains, j'ai pu énormément échanger avec eux également sur les différences culturelles entre les français et les américains donc c'était très enrichissant tant sur le point personnel que professionnel où j'ai pu beaucoup apprendre et développer ce que j'avais pu apprendre en cours que ce soit à l'EM Normandie ou dans mon université à New York. Franchement, je rêve d'y retourner si demain on me dit « t'emmènes à New York » , pas une seule seconde. Et toutes les personnes que j'ai rencontrées à New York, les Français expatriés, diront la même chose. Je pense que si vous avez envie de partir à New York, il ne faut vraiment pas hésiter, surtout si vous avez un attrait pour les États-Unis. Moi, c'était mon cas, c'était mon rêve. Et franchement, il ne faut pas hésiter à partir en expatriation, même si c'est une destination qui est plutôt loin de nos proches. Parce que finalement, on ressort grandi de cette expérience, même si on peut avoir peut-être un peu d'appréhension avant de partir, puisque c'est toujours peut-être un petit peu stressant de découvrir un environnement et s'adapter à un environnement qu'on ne connaît pas. mais les conseils que je pourrais donner c'est de bien se renseigner sur le pays dans lequel on va partir, également sur les habitudes qu'on les a là-bas ou les coutumes, surtout si on ne connaît pas trop la culture. Et puis, je pense que c'est aussi s'y préparer psychologiquement, à quitter ses proches et à partir loin, parce que ça peut être très compliqué si on n'est pas prêt. Mais on en ressort grandi et ce sera de toute façon une expérience inoubliable.

Description

Partir à New York, c’était un rêve pour Léana. Entre cours à l’américaine, vie en colocation internationale, visites organisées au coucher du soleil et stage engagé dans la mode durable, elle revient sur six mois intenses et inoubliables.

Des buildings de Manhattan aux plages de Miami, de la pédagogie inversée à l’indépendance personnelle, Léana partage ce que vivre aux États-Unis lui a apporté humainement, professionnellement et culturellement.

Un témoignage vibrant et sincère, au cœur d’une ville grandiose où tout semble possible.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Léana Martin, j'ai vécu six mois à New York en expatriation et je vais vous partager quelques souvenirs. Alors moi c'est vrai que voyager à travers mon cursus universitaire c'était primordial et c'est quelque chose qui m'intéressait beaucoup quand j'ai intégré l'AM Normandie et d'autant plus voyager aux Etats-Unis et étudier là-bas puisque ça a toujours été un de mes rêves. C'est une destination qui m'a toujours très intéressée donc c'est vrai que mes choix étaient... plus particulièrement porté sur les États-Unis, notamment New York était mon premier choix, Los Angeles ou Boston, plus que par exemple l'Amérique latine ou alors en Europe. Il n'y avait que 15 places, on était 800 étudiants à peu près, donc je n'y attendais pas du tout. J'étais assez surprise et très contente. J'ai eu la chance de partir avec deux de mes meilleurs amis de l'OM Normandie. Donc déjà l'appréhension, il y en avait beaucoup moins, puisqu'on est partis toutes les trois le même jour. On était en colocation ensemble avec des étrangers, des Américains. Mais c'est vrai qu'au niveau du stress, je pense que partir accompagnée, c'est toujours moins stressant que partir seule à l'autre bout du monde. Alors c'est vrai que quand on était dans le taxi du coup direction New York, C'est vrai que la vue est très impressionnante et puis on se demande comment on va pouvoir s'adapter à ce nouvel environnement qui est très particulier. L'architecture aux Etats-Unis est complètement différente dans France. Donc on peut tout de suite se dire, on va se sentir plus étouffée à New York ou quoi. Mais on va dire que ce que j'en retiens à chaque fois que j'ai été à New York et puis on a pu pas mal voyager, donc quand on revenait, on avait toujours la même sensation, c'est que New York, c'est une ville qui dort jamais. et en fait c'est Rien que voir les buildings au loin, on sait qu'il se passe plein de choses là-bas et on a envie d'y retourner à chaque fois. Alors nous on est arrivés une semaine avant de reprendre les cours. Et donc on a pris pas mal de temps à s'installer puisqu'on devait aller acheter certaines fournitures, etc. Mais on a pris le temps de visiter et de prendre nos marques, donc de Manhattan ou encore faire quelques visites un peu plus lointaines, comme la plage de Coney Island, où on a pu un petit peu se détendre avant de reprendre les cours. Mais voilà, on a pris nos marques avant d'arriver, et comme ça, on pouvait plus facilement s'adapter à cet environnement nouveau. Donc au niveau de l'intégration, nous, on s'est inscrite à plusieurs activités au sein du campus pour rencontrer des étrangers ou d'autres. d'autres personnes venant d'autres universités en France. Aux États-Unis, la manière d'étudier et de nous apprendre certains cours sont complètement différentes en France. On garde toujours cet aspect de travail en groupe qu'on retrouve à l'UM Normandie, mais par contre, pour les travaux individuels, c'est vrai qu'ils utilisent la méthode de la classe inversée. C'est-à-dire qu'on travaille énormément chez soi, on a beaucoup de lectures, de bouquins, beaucoup de pages, donc ça demande énormément de travail personnel, et en fait en cours on revoit ce qu'on a vu individuellement chez nous. Alors c'est vrai qu'au début c'était du coup une nouvelle méthode, il fallait un peu se l'approprier, mais je pense que c'est une méthode qui demande beaucoup plus de temps à côté, c'est vrai que nous au début ça nous a un peu... petit peu bloqués sur certaines visites qu'on voulait faire, puisqu'on était très concentrés sur nos cours, étant donné que c'était un programme sur mesure qui, en fait, on avait deux mois de cours, mais c'était un programme qui, normalement, se réalisait en quatre mois. Donc, c'est vrai qu'on a eu énormément de travail. Nos midterms sont arrivés rapidement, donc on avait beaucoup de travail. Et le fait de lire énormément de pages par jour, ça nous prenait beaucoup de temps pour nous sortir. Alors New York, on avait commencé à faire une liste avec toutes les places ou endroits ou musées qu'on voulait faire, des choses qu'on voulait découvrir. Donc c'est vrai qu'on était très organisé à ce niveau-là. Et donc du coup, on s'est organisé des journées après nos fours ou alors le week-end, où on faisait des journées entières de visites, puisqu'on habitait assez loin de Manhattan. Et les principales visites qu'on réalisait étaient à Manhattan. Je pense que la plus mémorable, ce sera Summit. Donc en fait, c'était un building, un nouveau building qui avait ouvert au public. Et en fait, on y était allés pour le coucher de soleil. Et on avait vu sur l'Empire State Building, et on a vu le coucher de soleil la nuit tombée, avec Manhattan dans toute sa splendeur. Tous les buildings, c'était vraiment incroyable. On a resté là des heures. Et c'est là vraiment qu'on s'est dit qu'on avait de la chance d'être là, et que New York, c'était incroyable. En étant à Summit, on a vraiment profité de cet instant. On s'est assises avec la vue de tout New York. New York, c'est grandiose avec tous ces buildings. Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, on voit bien que New York, c'est une ville qui ne dort jamais puisqu'à la nuit tombée, on voyait toute l'activité de New York. On voyait les buildings avec toutes les fenêtres qui ont commencé à s'éliminer. C'était vraiment incroyable, on a même fait un timelapse du soleil qui se pousse avec la nuit tombée puisque de jour comme de nuit, ça reste une ville incroyable où d'ailleurs les couchers de soleil sont toujours magnifiques. Alors du coup, on a eu la chance de pouvoir pas mal voyager. On a fait une grande partie des villes aux États-Unis, des grandes villes. Sur la côte Est, on a pu faire Boston, Washington ou encore Philadelphie. On a également fait Miami, Chicago. On a fait une partie de la côte Ouest aussi. On est allé à Los Angeles, Las Vegas. Los Angeles, où d'ailleurs on a rejoint des étudiants de l'OM Normandie, qu'on connaissait. Ou encore San Francisco. Donc c'était vraiment incroyable. et dans chaque ville, on... on a pu découvrir une autre petite partie des États-Unis. La plus grande distinction entre la France et les États-Unis, c'est que les États-Unis, tout est très grand, que ce soit en termes de bâtiments, que ce soit en termes de distance, nos voyages, que ce soit en termes de... en ce qui concerne la nourriture. Donc en fait, il y a énormément de différences entre la France et les États-Unis, c'est indéniable. Mais oui, on a pu découvrir... tous ces petits aspects qui distinguent les États-Unis de la France. Mais on va dire que ce qui détermine vraiment les États-Unis, c'est que tout est grandiose. Et les gens sont très ouverts, très sociables. Ils ne vont pas avoir de mal à être plus loin dans la rue. C'est vrai que New York m'a permis d'énormément grandir. Puisque vivre loin de ses proches, ce n'est pas forcément très simple. Même si en partant, moi j'étais très heureuse de partir à New York, dont dans tous les cas, je savais que j'allais vivre une excellente expérience et que je n'allais pas trop avoir le mal du pays, et ça a été le cas. Mais c'est vrai que j'ai grandi, puisque je suis devenue plus indépendante. Je me suis découverte aussi là-bas, à faire plus de choses toute seule, à visiter plus de choses, à prendre plus de temps pour moi. Et professionnellement, j'ai pu réaliser un stage de deux mois. à New York, qui était dans le secteur d'activité qui m'intéresse. C'était un stage au sein de Maison Atia, qui est une maison qui propose des fausses fourrures durables et éco-responsables faites à partir de plastique recyclé et de jet de tissu. Donc c'est un concept qui m'a énormément intéressée, puisque je suis très engagée sur l'éco-responsabilité et la durabilité des matières. des vêtements. Donc c'est un stage qui m'a aussi permis de progresser en anglais mine de rien puisque j'étais avec une équipe d'américains, j'ai pu énormément échanger avec eux également sur les différences culturelles entre les français et les américains donc c'était très enrichissant tant sur le point personnel que professionnel où j'ai pu beaucoup apprendre et développer ce que j'avais pu apprendre en cours que ce soit à l'EM Normandie ou dans mon université à New York. Franchement, je rêve d'y retourner si demain on me dit « t'emmènes à New York » , pas une seule seconde. Et toutes les personnes que j'ai rencontrées à New York, les Français expatriés, diront la même chose. Je pense que si vous avez envie de partir à New York, il ne faut vraiment pas hésiter, surtout si vous avez un attrait pour les États-Unis. Moi, c'était mon cas, c'était mon rêve. Et franchement, il ne faut pas hésiter à partir en expatriation, même si c'est une destination qui est plutôt loin de nos proches. Parce que finalement, on ressort grandi de cette expérience, même si on peut avoir peut-être un peu d'appréhension avant de partir, puisque c'est toujours peut-être un petit peu stressant de découvrir un environnement et s'adapter à un environnement qu'on ne connaît pas. mais les conseils que je pourrais donner c'est de bien se renseigner sur le pays dans lequel on va partir, également sur les habitudes qu'on les a là-bas ou les coutumes, surtout si on ne connaît pas trop la culture. Et puis, je pense que c'est aussi s'y préparer psychologiquement, à quitter ses proches et à partir loin, parce que ça peut être très compliqué si on n'est pas prêt. Mais on en ressort grandi et ce sera de toute façon une expérience inoubliable.

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Description

Partir à New York, c’était un rêve pour Léana. Entre cours à l’américaine, vie en colocation internationale, visites organisées au coucher du soleil et stage engagé dans la mode durable, elle revient sur six mois intenses et inoubliables.

Des buildings de Manhattan aux plages de Miami, de la pédagogie inversée à l’indépendance personnelle, Léana partage ce que vivre aux États-Unis lui a apporté humainement, professionnellement et culturellement.

Un témoignage vibrant et sincère, au cœur d’une ville grandiose où tout semble possible.


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Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Léana Martin, j'ai vécu six mois à New York en expatriation et je vais vous partager quelques souvenirs. Alors moi c'est vrai que voyager à travers mon cursus universitaire c'était primordial et c'est quelque chose qui m'intéressait beaucoup quand j'ai intégré l'AM Normandie et d'autant plus voyager aux Etats-Unis et étudier là-bas puisque ça a toujours été un de mes rêves. C'est une destination qui m'a toujours très intéressée donc c'est vrai que mes choix étaient... plus particulièrement porté sur les États-Unis, notamment New York était mon premier choix, Los Angeles ou Boston, plus que par exemple l'Amérique latine ou alors en Europe. Il n'y avait que 15 places, on était 800 étudiants à peu près, donc je n'y attendais pas du tout. J'étais assez surprise et très contente. J'ai eu la chance de partir avec deux de mes meilleurs amis de l'OM Normandie. Donc déjà l'appréhension, il y en avait beaucoup moins, puisqu'on est partis toutes les trois le même jour. On était en colocation ensemble avec des étrangers, des Américains. Mais c'est vrai qu'au niveau du stress, je pense que partir accompagnée, c'est toujours moins stressant que partir seule à l'autre bout du monde. Alors c'est vrai que quand on était dans le taxi du coup direction New York, C'est vrai que la vue est très impressionnante et puis on se demande comment on va pouvoir s'adapter à ce nouvel environnement qui est très particulier. L'architecture aux Etats-Unis est complètement différente dans France. Donc on peut tout de suite se dire, on va se sentir plus étouffée à New York ou quoi. Mais on va dire que ce que j'en retiens à chaque fois que j'ai été à New York et puis on a pu pas mal voyager, donc quand on revenait, on avait toujours la même sensation, c'est que New York, c'est une ville qui dort jamais. et en fait c'est Rien que voir les buildings au loin, on sait qu'il se passe plein de choses là-bas et on a envie d'y retourner à chaque fois. Alors nous on est arrivés une semaine avant de reprendre les cours. Et donc on a pris pas mal de temps à s'installer puisqu'on devait aller acheter certaines fournitures, etc. Mais on a pris le temps de visiter et de prendre nos marques, donc de Manhattan ou encore faire quelques visites un peu plus lointaines, comme la plage de Coney Island, où on a pu un petit peu se détendre avant de reprendre les cours. Mais voilà, on a pris nos marques avant d'arriver, et comme ça, on pouvait plus facilement s'adapter à cet environnement nouveau. Donc au niveau de l'intégration, nous, on s'est inscrite à plusieurs activités au sein du campus pour rencontrer des étrangers ou d'autres. d'autres personnes venant d'autres universités en France. Aux États-Unis, la manière d'étudier et de nous apprendre certains cours sont complètement différentes en France. On garde toujours cet aspect de travail en groupe qu'on retrouve à l'UM Normandie, mais par contre, pour les travaux individuels, c'est vrai qu'ils utilisent la méthode de la classe inversée. C'est-à-dire qu'on travaille énormément chez soi, on a beaucoup de lectures, de bouquins, beaucoup de pages, donc ça demande énormément de travail personnel, et en fait en cours on revoit ce qu'on a vu individuellement chez nous. Alors c'est vrai qu'au début c'était du coup une nouvelle méthode, il fallait un peu se l'approprier, mais je pense que c'est une méthode qui demande beaucoup plus de temps à côté, c'est vrai que nous au début ça nous a un peu... petit peu bloqués sur certaines visites qu'on voulait faire, puisqu'on était très concentrés sur nos cours, étant donné que c'était un programme sur mesure qui, en fait, on avait deux mois de cours, mais c'était un programme qui, normalement, se réalisait en quatre mois. Donc, c'est vrai qu'on a eu énormément de travail. Nos midterms sont arrivés rapidement, donc on avait beaucoup de travail. Et le fait de lire énormément de pages par jour, ça nous prenait beaucoup de temps pour nous sortir. Alors New York, on avait commencé à faire une liste avec toutes les places ou endroits ou musées qu'on voulait faire, des choses qu'on voulait découvrir. Donc c'est vrai qu'on était très organisé à ce niveau-là. Et donc du coup, on s'est organisé des journées après nos fours ou alors le week-end, où on faisait des journées entières de visites, puisqu'on habitait assez loin de Manhattan. Et les principales visites qu'on réalisait étaient à Manhattan. Je pense que la plus mémorable, ce sera Summit. Donc en fait, c'était un building, un nouveau building qui avait ouvert au public. Et en fait, on y était allés pour le coucher de soleil. Et on avait vu sur l'Empire State Building, et on a vu le coucher de soleil la nuit tombée, avec Manhattan dans toute sa splendeur. Tous les buildings, c'était vraiment incroyable. On a resté là des heures. Et c'est là vraiment qu'on s'est dit qu'on avait de la chance d'être là, et que New York, c'était incroyable. En étant à Summit, on a vraiment profité de cet instant. On s'est assises avec la vue de tout New York. New York, c'est grandiose avec tous ces buildings. Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, on voit bien que New York, c'est une ville qui ne dort jamais puisqu'à la nuit tombée, on voyait toute l'activité de New York. On voyait les buildings avec toutes les fenêtres qui ont commencé à s'éliminer. C'était vraiment incroyable, on a même fait un timelapse du soleil qui se pousse avec la nuit tombée puisque de jour comme de nuit, ça reste une ville incroyable où d'ailleurs les couchers de soleil sont toujours magnifiques. Alors du coup, on a eu la chance de pouvoir pas mal voyager. On a fait une grande partie des villes aux États-Unis, des grandes villes. Sur la côte Est, on a pu faire Boston, Washington ou encore Philadelphie. On a également fait Miami, Chicago. On a fait une partie de la côte Ouest aussi. On est allé à Los Angeles, Las Vegas. Los Angeles, où d'ailleurs on a rejoint des étudiants de l'OM Normandie, qu'on connaissait. Ou encore San Francisco. Donc c'était vraiment incroyable. et dans chaque ville, on... on a pu découvrir une autre petite partie des États-Unis. La plus grande distinction entre la France et les États-Unis, c'est que les États-Unis, tout est très grand, que ce soit en termes de bâtiments, que ce soit en termes de distance, nos voyages, que ce soit en termes de... en ce qui concerne la nourriture. Donc en fait, il y a énormément de différences entre la France et les États-Unis, c'est indéniable. Mais oui, on a pu découvrir... tous ces petits aspects qui distinguent les États-Unis de la France. Mais on va dire que ce qui détermine vraiment les États-Unis, c'est que tout est grandiose. Et les gens sont très ouverts, très sociables. Ils ne vont pas avoir de mal à être plus loin dans la rue. C'est vrai que New York m'a permis d'énormément grandir. Puisque vivre loin de ses proches, ce n'est pas forcément très simple. Même si en partant, moi j'étais très heureuse de partir à New York, dont dans tous les cas, je savais que j'allais vivre une excellente expérience et que je n'allais pas trop avoir le mal du pays, et ça a été le cas. Mais c'est vrai que j'ai grandi, puisque je suis devenue plus indépendante. Je me suis découverte aussi là-bas, à faire plus de choses toute seule, à visiter plus de choses, à prendre plus de temps pour moi. Et professionnellement, j'ai pu réaliser un stage de deux mois. à New York, qui était dans le secteur d'activité qui m'intéresse. C'était un stage au sein de Maison Atia, qui est une maison qui propose des fausses fourrures durables et éco-responsables faites à partir de plastique recyclé et de jet de tissu. Donc c'est un concept qui m'a énormément intéressée, puisque je suis très engagée sur l'éco-responsabilité et la durabilité des matières. des vêtements. Donc c'est un stage qui m'a aussi permis de progresser en anglais mine de rien puisque j'étais avec une équipe d'américains, j'ai pu énormément échanger avec eux également sur les différences culturelles entre les français et les américains donc c'était très enrichissant tant sur le point personnel que professionnel où j'ai pu beaucoup apprendre et développer ce que j'avais pu apprendre en cours que ce soit à l'EM Normandie ou dans mon université à New York. Franchement, je rêve d'y retourner si demain on me dit « t'emmènes à New York » , pas une seule seconde. Et toutes les personnes que j'ai rencontrées à New York, les Français expatriés, diront la même chose. Je pense que si vous avez envie de partir à New York, il ne faut vraiment pas hésiter, surtout si vous avez un attrait pour les États-Unis. Moi, c'était mon cas, c'était mon rêve. Et franchement, il ne faut pas hésiter à partir en expatriation, même si c'est une destination qui est plutôt loin de nos proches. Parce que finalement, on ressort grandi de cette expérience, même si on peut avoir peut-être un peu d'appréhension avant de partir, puisque c'est toujours peut-être un petit peu stressant de découvrir un environnement et s'adapter à un environnement qu'on ne connaît pas. mais les conseils que je pourrais donner c'est de bien se renseigner sur le pays dans lequel on va partir, également sur les habitudes qu'on les a là-bas ou les coutumes, surtout si on ne connaît pas trop la culture. Et puis, je pense que c'est aussi s'y préparer psychologiquement, à quitter ses proches et à partir loin, parce que ça peut être très compliqué si on n'est pas prêt. Mais on en ressort grandi et ce sera de toute façon une expérience inoubliable.

Description

Partir à New York, c’était un rêve pour Léana. Entre cours à l’américaine, vie en colocation internationale, visites organisées au coucher du soleil et stage engagé dans la mode durable, elle revient sur six mois intenses et inoubliables.

Des buildings de Manhattan aux plages de Miami, de la pédagogie inversée à l’indépendance personnelle, Léana partage ce que vivre aux États-Unis lui a apporté humainement, professionnellement et culturellement.

Un témoignage vibrant et sincère, au cœur d’une ville grandiose où tout semble possible.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Je suis Léana Martin, j'ai vécu six mois à New York en expatriation et je vais vous partager quelques souvenirs. Alors moi c'est vrai que voyager à travers mon cursus universitaire c'était primordial et c'est quelque chose qui m'intéressait beaucoup quand j'ai intégré l'AM Normandie et d'autant plus voyager aux Etats-Unis et étudier là-bas puisque ça a toujours été un de mes rêves. C'est une destination qui m'a toujours très intéressée donc c'est vrai que mes choix étaient... plus particulièrement porté sur les États-Unis, notamment New York était mon premier choix, Los Angeles ou Boston, plus que par exemple l'Amérique latine ou alors en Europe. Il n'y avait que 15 places, on était 800 étudiants à peu près, donc je n'y attendais pas du tout. J'étais assez surprise et très contente. J'ai eu la chance de partir avec deux de mes meilleurs amis de l'OM Normandie. Donc déjà l'appréhension, il y en avait beaucoup moins, puisqu'on est partis toutes les trois le même jour. On était en colocation ensemble avec des étrangers, des Américains. Mais c'est vrai qu'au niveau du stress, je pense que partir accompagnée, c'est toujours moins stressant que partir seule à l'autre bout du monde. Alors c'est vrai que quand on était dans le taxi du coup direction New York, C'est vrai que la vue est très impressionnante et puis on se demande comment on va pouvoir s'adapter à ce nouvel environnement qui est très particulier. L'architecture aux Etats-Unis est complètement différente dans France. Donc on peut tout de suite se dire, on va se sentir plus étouffée à New York ou quoi. Mais on va dire que ce que j'en retiens à chaque fois que j'ai été à New York et puis on a pu pas mal voyager, donc quand on revenait, on avait toujours la même sensation, c'est que New York, c'est une ville qui dort jamais. et en fait c'est Rien que voir les buildings au loin, on sait qu'il se passe plein de choses là-bas et on a envie d'y retourner à chaque fois. Alors nous on est arrivés une semaine avant de reprendre les cours. Et donc on a pris pas mal de temps à s'installer puisqu'on devait aller acheter certaines fournitures, etc. Mais on a pris le temps de visiter et de prendre nos marques, donc de Manhattan ou encore faire quelques visites un peu plus lointaines, comme la plage de Coney Island, où on a pu un petit peu se détendre avant de reprendre les cours. Mais voilà, on a pris nos marques avant d'arriver, et comme ça, on pouvait plus facilement s'adapter à cet environnement nouveau. Donc au niveau de l'intégration, nous, on s'est inscrite à plusieurs activités au sein du campus pour rencontrer des étrangers ou d'autres. d'autres personnes venant d'autres universités en France. Aux États-Unis, la manière d'étudier et de nous apprendre certains cours sont complètement différentes en France. On garde toujours cet aspect de travail en groupe qu'on retrouve à l'UM Normandie, mais par contre, pour les travaux individuels, c'est vrai qu'ils utilisent la méthode de la classe inversée. C'est-à-dire qu'on travaille énormément chez soi, on a beaucoup de lectures, de bouquins, beaucoup de pages, donc ça demande énormément de travail personnel, et en fait en cours on revoit ce qu'on a vu individuellement chez nous. Alors c'est vrai qu'au début c'était du coup une nouvelle méthode, il fallait un peu se l'approprier, mais je pense que c'est une méthode qui demande beaucoup plus de temps à côté, c'est vrai que nous au début ça nous a un peu... petit peu bloqués sur certaines visites qu'on voulait faire, puisqu'on était très concentrés sur nos cours, étant donné que c'était un programme sur mesure qui, en fait, on avait deux mois de cours, mais c'était un programme qui, normalement, se réalisait en quatre mois. Donc, c'est vrai qu'on a eu énormément de travail. Nos midterms sont arrivés rapidement, donc on avait beaucoup de travail. Et le fait de lire énormément de pages par jour, ça nous prenait beaucoup de temps pour nous sortir. Alors New York, on avait commencé à faire une liste avec toutes les places ou endroits ou musées qu'on voulait faire, des choses qu'on voulait découvrir. Donc c'est vrai qu'on était très organisé à ce niveau-là. Et donc du coup, on s'est organisé des journées après nos fours ou alors le week-end, où on faisait des journées entières de visites, puisqu'on habitait assez loin de Manhattan. Et les principales visites qu'on réalisait étaient à Manhattan. Je pense que la plus mémorable, ce sera Summit. Donc en fait, c'était un building, un nouveau building qui avait ouvert au public. Et en fait, on y était allés pour le coucher de soleil. Et on avait vu sur l'Empire State Building, et on a vu le coucher de soleil la nuit tombée, avec Manhattan dans toute sa splendeur. Tous les buildings, c'était vraiment incroyable. On a resté là des heures. Et c'est là vraiment qu'on s'est dit qu'on avait de la chance d'être là, et que New York, c'était incroyable. En étant à Summit, on a vraiment profité de cet instant. On s'est assises avec la vue de tout New York. New York, c'est grandiose avec tous ces buildings. Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, on voit bien que New York, c'est une ville qui ne dort jamais puisqu'à la nuit tombée, on voyait toute l'activité de New York. On voyait les buildings avec toutes les fenêtres qui ont commencé à s'éliminer. C'était vraiment incroyable, on a même fait un timelapse du soleil qui se pousse avec la nuit tombée puisque de jour comme de nuit, ça reste une ville incroyable où d'ailleurs les couchers de soleil sont toujours magnifiques. Alors du coup, on a eu la chance de pouvoir pas mal voyager. On a fait une grande partie des villes aux États-Unis, des grandes villes. Sur la côte Est, on a pu faire Boston, Washington ou encore Philadelphie. On a également fait Miami, Chicago. On a fait une partie de la côte Ouest aussi. On est allé à Los Angeles, Las Vegas. Los Angeles, où d'ailleurs on a rejoint des étudiants de l'OM Normandie, qu'on connaissait. Ou encore San Francisco. Donc c'était vraiment incroyable. et dans chaque ville, on... on a pu découvrir une autre petite partie des États-Unis. La plus grande distinction entre la France et les États-Unis, c'est que les États-Unis, tout est très grand, que ce soit en termes de bâtiments, que ce soit en termes de distance, nos voyages, que ce soit en termes de... en ce qui concerne la nourriture. Donc en fait, il y a énormément de différences entre la France et les États-Unis, c'est indéniable. Mais oui, on a pu découvrir... tous ces petits aspects qui distinguent les États-Unis de la France. Mais on va dire que ce qui détermine vraiment les États-Unis, c'est que tout est grandiose. Et les gens sont très ouverts, très sociables. Ils ne vont pas avoir de mal à être plus loin dans la rue. C'est vrai que New York m'a permis d'énormément grandir. Puisque vivre loin de ses proches, ce n'est pas forcément très simple. Même si en partant, moi j'étais très heureuse de partir à New York, dont dans tous les cas, je savais que j'allais vivre une excellente expérience et que je n'allais pas trop avoir le mal du pays, et ça a été le cas. Mais c'est vrai que j'ai grandi, puisque je suis devenue plus indépendante. Je me suis découverte aussi là-bas, à faire plus de choses toute seule, à visiter plus de choses, à prendre plus de temps pour moi. Et professionnellement, j'ai pu réaliser un stage de deux mois. à New York, qui était dans le secteur d'activité qui m'intéresse. C'était un stage au sein de Maison Atia, qui est une maison qui propose des fausses fourrures durables et éco-responsables faites à partir de plastique recyclé et de jet de tissu. Donc c'est un concept qui m'a énormément intéressée, puisque je suis très engagée sur l'éco-responsabilité et la durabilité des matières. des vêtements. Donc c'est un stage qui m'a aussi permis de progresser en anglais mine de rien puisque j'étais avec une équipe d'américains, j'ai pu énormément échanger avec eux également sur les différences culturelles entre les français et les américains donc c'était très enrichissant tant sur le point personnel que professionnel où j'ai pu beaucoup apprendre et développer ce que j'avais pu apprendre en cours que ce soit à l'EM Normandie ou dans mon université à New York. Franchement, je rêve d'y retourner si demain on me dit « t'emmènes à New York » , pas une seule seconde. Et toutes les personnes que j'ai rencontrées à New York, les Français expatriés, diront la même chose. Je pense que si vous avez envie de partir à New York, il ne faut vraiment pas hésiter, surtout si vous avez un attrait pour les États-Unis. Moi, c'était mon cas, c'était mon rêve. Et franchement, il ne faut pas hésiter à partir en expatriation, même si c'est une destination qui est plutôt loin de nos proches. Parce que finalement, on ressort grandi de cette expérience, même si on peut avoir peut-être un peu d'appréhension avant de partir, puisque c'est toujours peut-être un petit peu stressant de découvrir un environnement et s'adapter à un environnement qu'on ne connaît pas. mais les conseils que je pourrais donner c'est de bien se renseigner sur le pays dans lequel on va partir, également sur les habitudes qu'on les a là-bas ou les coutumes, surtout si on ne connaît pas trop la culture. Et puis, je pense que c'est aussi s'y préparer psychologiquement, à quitter ses proches et à partir loin, parce que ça peut être très compliqué si on n'est pas prêt. Mais on en ressort grandi et ce sera de toute façon une expérience inoubliable.

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