Speaker #0Si vous vous posez des questions comme comment trouver plus de clients et faire décoller mon business, comment vendre mes services sans me sentir trop pushy, comment être plus visible sur les réseaux sociaux, alors vous êtes au bon endroit. Bienvenue dans le podcast Je peux pas, j'ai business. Je m'appelle Aline, je suis coach business diplômée depuis 2019 et ce podcast a été créé pour vous, pour vous aider à développer le business de vos rêves, un épisode à la fois. C'est comme avoir une coche business dans votre poche, prête à vous donner le petit coup de pouce ou le botage de fesse dont vous avez besoin. Alors, installez-vous confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Hello à tous, nous sommes le 20 août et aujourd'hui, on va parler de comment passer de mon business marche à mon business cartonne. Et merci beaucoup parce que c'est l'un d'entre vous qui m'a fait cette suggestion d'épisode. J'avais fait une rapide story sur Instagram en vous demandant « Ah bah tiens, on est à mi-parcours de challenge, quels sont les épisodes que vous aimeriez entendre d'ici la fin du mois ? » Et c'était l'une de vos idées, que j'ai trouvée d'ailleurs excellente. Donc merci à la personne qui me l'a suggéré, je sais qu'elle se reconnaîtra. Il y a une différence entre avoir un business qui tourne, un business qui fonctionne, un business qui marche, et un business qui cartonne. Sauf que le problème, enfin problème, si on décide que c'est un problème, c'est que la plupart des entrepreneurs restent bloqués dans cette zone du « ça marche » Parce qu'ils ont juste... pas vu l'ingrédient manquant, le pas qu'il leur manquait pour pouvoir passer à un business qui cartonne. Donc aujourd'hui, l'idée, c'est de mettre le doigt dessus et de vous donner aussi le plan d'action pour passer à l'étape d'après. L'idée, c'est évidemment pas de créer de fausses ambitions ou des ambitions qui ne sont pas les vôtres. Si actuellement, la dynamique dans votre business, en termes de revenus, en termes de temps passé à travailler, en termes de lifestyle, si ça vous convient, évidemment que vous avez le droit et raison de vouloir que ça continue comme ça. Tout le monde n'a pas besoin de construire des entreprises. à 7 chiffres, 8 chiffres, 10 chiffres. Tout le monde n'a pas vocation à avoir une équipe de 10 000 personnes. Tout le monde n'a pas forcément envie de vouloir manager une grosse boîte. Et ça, c'est OK. Simplement, si vous vous sentez actuellement coincé dans cette frustration de « Punaise, en fait, ça marche, mais j'aimerais bien que ça décolle, que ça cartonne » , alors là, cet épisode est fait pour vous. Déjà, commençons par expliquer la différence entre le « un business qui marche » et « un business qui cartonne » . Pour moi, un business qui marche, c'est un business qui génère des revenus corrects. où vous avez quelques clients réguliers, mais souvent, il y a de la fatigue et de la surcharge mentale. Souvent, vous avez peu de marge de manœuvre, que ce soit en termes de trésorerie, ou vous vous dites que si vous perdez un client, ça va être un peu la merde. C'est un business qui dépend du bouche à oreille et ou de votre énergie personnelle, de votre temps. C'est un business où vous avez l'impression que votre chiffre d'affaires, ok, il est correct, il vous permet de vivre, mais il est plafonné. C'est un business qui est hyper dépendant à votre temps. Si vous ne bossez pas, vous n'avez pas de revenus. C'est un business... où votre communication, votre marketing est un peu faite au feeling, vous postez quand vous pouvez, sans vraiment une vraie stratégie, ou alors vous avez une esquisse, un brouillon de stratégie, mais vous avez du mal à vous y tenir. Alors qu'à contrario, pour moi, un business qui cartonne, c'est un business dont la croissance est soutenable, avec un chiffre d'affaires qui dépasse les plafonds, un business qui dégage du temps pour vous, et qui ne dépend pas que de l'énergie et de la présence de son CEO, son fondateur. son entrepreneur. Évidemment qu'un business dépendra toujours de notre temps, de notre énergie. Je ne veux pas non plus nourrir le mythe de « je ne fais rien et je gagne plein d'argent » . Par contre, un business qui dépend que de vous et qui est mis en danger dès que votre énergie n'est pas là ou que votre présence diminue un petit peu, c'est quand même très risqué pour l'avenir. Donc, si je vais faire une métaphore, moi avec mes métaphores à la mort moelleux, mais un business qui marche, pour moi, c'est comme une voiture qui roule en seconde vitesse. pour toutes les personnes comme moi qui ont passé leur permis sur des boîtes à vitesse manuelles. Maintenant, je sais que c'est tout en automatique, j'espère que ça vous parlera. En fait, une voiture, quand elle a la seconde enclenchée, elle avance. Elle peut même avancer vite. Mais si vous ne changez jamais de vitesse, vous grillez votre moteur. Cartonner, c'est apprendre à passer à la vitesse supérieure. Ceci étant dit, quels sont les trois éléments principaux qui vous bloquent au stade de mon business marche ? C'est les trois cas de figure que je vois le plus souvent chez les entrepreneurs que j'accompagne. Parfois, il y en a même plusieurs qui sont combinées. Donc, à vous de piocher, faites votre marché, voyez ce qui vous correspond le plus. Le premier élément, c'est votre relation slash rapport au travail, de penser que plus vous allez bosser, plus vous allez grossir. Ça, c'est faux, mais c'est une tendance qui est très pernicieuse parce qu'avant, elle était vraie. Évidemment qu'au début, lorsqu'on se lance, plus on bosse, plus vite ça grossit. Bien sûr, alors évidemment, ce n'est pas aussi simple que ça, mais il y a une corrélation indéniable entre la quantité de travail que vous injectez dans votre business à ses débuts, et les résultats que vous générez. En tout cas, il faut mettre la main à la patte. Sauf que, pour passer de sa marche à sa cartonne, ce n'est plus une question de beaucoup bosser, c'est plus une question de volume, c'est une question de pertinence. Et souvent, je vois des entrepreneurs qui bossent, au lieu de scaler. Ce que je veux dire par là, c'est que ce sont des entrepreneurs qui font, font, font, font, font, sont dans l'opérationnel, remplissent leurs agendas, enchaînent les tâches qu'ils ont toujours faites, sans prendre ce recul, cette posture méta, de mettre leur casquette de chef d'entreprise et de dire « Ok, qu'est-ce qu'il faut pour scaler mon business ? Qu'est-ce qu'il faut pour automatiser plus ? Comment est-ce que je peux faire les choses différemment pour que mon business grossisse sans dépendre de moi ? » Donc, la première chose, c'est ce rapport au travail, cette illusion de « plus je bosse, plus je grossis » . qui a été vrai passé un temps, mais qui n'est plus vrai pour enclencher la troisième. Deuxième élément qui vous bloque au stade de sa marche, c'est l'absence d'un système qui vous permet de grossir. Encore une fois, c'est facile alors. Ok, toute proportion gardée, mais c'est facile en fait de monter un business où on est prestataire de service, où on vend notre temps contre de l'argent. Simplement, quand on veut scaler, bien souvent, le point bloquant numéro un, c'est que notre business dépend de nous, mais notre business dépend de notre temps. Et c'est là où... on a cette transformation à opérer, de comprendre que c'est avec un système qui permet de scaler qu'on va pouvoir scaler notre business. Ce que j'appelle système, c'est des ensembles de stratégies. Ça peut être votre business model, trouver un business model qui ne dépend pas de votre temps, ça peut être des stratégies pour vous faire connaître, ça peut être des stratégies pour convertir. Mais l'idée, c'est d'avoir des systèmes qui font que vous sortez de cette corrélation temps égale résultat ou temps égale chiffre d'affaires. Et souvent, c'est le point le plus compliqué à entendre pour les entrepreneurs que je peux accompagner et coacher, c'est de leur dire, en fait, tu fais plein de choses, mais il n'y a pas vraiment de stratégie, il n'y a pas de système, tu n'es pas capable et tu n'es pas en mesure de justifier pourquoi tu fais telle et telle chose. Un des exemples que je rencontre le plus souvent, c'est sur les stratégies de contenu. Il y a plein de personnes qui communiquent très bien sur leur entreprise, qui postent quasiment chaque jour, plusieurs fois par semaine, sauf que je leur explique, en fait, c'est très différent d'avoir un système, une stratégie de visibilité. être régulé c'est bien, mais sans stratégie en fait on fait tout juste tourner une roue du hamster qui à un moment nous emmenait d'un point A au point B sauf que pour passer du point B au point C ce ne sont plus les mêmes systèmes, ce ne sont plus les mêmes manières de procéder qui vont pouvoir nous aider. Et enfin troisième élément qui vous bloque au stade de sa marche et ça je pense que c'est peut-être le plus difficile à travailler mais celui qui déclenche aussi le plus de transformation c'est quand vous restez dans le rôle d'exécutant, quand vous pensez comme freelance, solopreneur micropreneur et non pas comme dirigeant Chef d'entreprise, CEO, fondateur, président, vous appelez ça comme vous voulez. En fait, il y a un vrai souci souvent dans la posture qui généralement se ressent sur la manière dont vous déléguez ou pas d'ailleurs, dans la manière dont vous communiquez, dans les tâches que vous choisissez de mettre dans votre emploi du temps, dans votre capacité à prioriser et à mettre le focus sur les bonnes actions au sein de votre business. Et en fait, quand on se met soi-même dans ce moule d'exécutant, on ne peut pas scaler son business. on reste presque un employé de notre business plutôt que... le chef de bord, le capitaine. Et ce que j'avais envie de vous dire avec tout ça, c'est qu'être au stade de mon business marche, mon business fonctionne, c'est normal, et non seulement c'est normal, mais en fait, c'est un passage qu'on doit tous franchir. Évidemment qu'on ne peut pas passer de zéro à sa scale. Évidemment que tout le monde ici, moi la première, on est passé par des stades de mon business marche. C'est un passage obligé, c'est un rite de passage, comme quand vous conduisez, encore une fois, je reprends ma métaphore de voiture, avec la boîte à vitesse manuelle, mais Et avant de passer à la troisième, vous êtes obligés de passer à la première ou la seconde. Si vous essayez de démarrer directement en troisième, vous allez avoir un vrai problème avec votre moteur. Sauf que la croissance n'arrive pas par hasard. Je répète parce que c'est important, mais la croissance n'arrive pas par hasard. Et quand vous êtes coincé dans le « mon business marche » , ce n'est pas que vous faites les mauvaises choses en soi. C'est juste que vous continuez à faire les choses qui vous ont emmené du point A au point B. Et que vous faites trop longtemps ces choses-là, alors que vous êtes censé changer de posture. Mettre en place des systèmes et changer votre manière de travailler aussi. Alors du coup, quels sont les leviers qui vont vous faire passer de sa marche à sa cartonne ? Le premier, je rebondis sur ce que je viens de dire, c'est le switch de posture. Acceptez que vous n'êtes plus juste freelance, juste formateur, juste prestataire, juste exécutant. Vous devenez fondateur, chef d'entreprise, CEO, gérant, président. Ce switch de posture, vous pouvez l'opérer en vous faisant coacher, en consommant des contenus sur... le leadership sur le fait d'être entrepreneur en vous inspirant de mentors, de personnes qui incarnent en fait le chef d'entreprise ou la chef d'entreprise que vous voulez devenir. Mais l'idée, c'est de sortir de juste la stratégie, l'exécution et de se dire « Ok, c'est quoi mon rôle dans mon business maintenant ? C'est quoi mon rôle dans un business qui scale ? C'est quoi mon rôle dans un business qui cartonne ? Est-ce que c'est le même que celui que j'ai dans mon business aujourd'hui ? » Ok, deuxième levier qui fait passer votre business de « ça marche » à « ça cartonne » , c'est le levier de la différenciation. Je sais que je vous rabâche les oreilles avec ça, mais aujourd'hui... dans un marché saturé et plus votre marché saturé plus ça va être vrai En fait, c'est votre voix, votre style, votre positionnement, votre message qui deviennent votre actif numéro un. C'est votre différenciation. Si vous avez une identité forte, un message qui claque, et là, je ne parle pas juste de créer des contenus qui sont jolis ou qui ne sont pas trop mal, mais vraiment quelque chose qui vous fait sortir du lot, plus vous allez être en mesure de scaler. Contrairement à la croyance populaire qui dirait que plus je me différencie, plus je me niche, plus je cliff, plus je vais repousser des gens, en fait, non. vous créez l'effet inverse. Vous n'êtes pas du papier toilette, vous n'êtes pas un bien de consommation où les gens arrivent devant le rayon, prennent un peu le premier truc qui leur passe sous la patte et ensuite s'en vont. Non, les gens vous choisissent, les gens vous étudient, les gens vous comparent et c'est normal parce que souvent pour la plupart d'entre vous, c'est une dépense, c'est un investissement qu'ils font avec vous et donc en fait pour ça, il faut vous différencier, il faut montrer pourquoi et en quoi vous êtes différent du copain ou de la copine d'à côté. Troisième levier qui font que votre business passe de sa marche à sa cartonne, c'est d'avoir un focus et de mettre un focus sur la visibilité stratégique. Pourquoi j'ajoute le mot stratégique derrière le mot visibilité ? Parce qu'il ne s'agit pas ici de juste être visible, de juste poster, de juste communiquer, mais de créer une autorité, de créer une différenciation. Au lieu d'être partout, soyez là où vos clients prennent leurs décisions. Vos clients sont peut-être partout. Mais soyez là où ils prennent leurs décisions. Si vous savez que vos clients sont sur LinkedIn, soyez sur LinkedIn. Arrêtez de faire du TikTok pour essayer ou pour tester. Si vos clients sont sur LinkedIn et prennent leurs décisions sur LinkedIn, restez sur LinkedIn. Je sais que ce que je dis, ça peut paraître enfoncer des portes ouvertes et que ça peut paraître très simple, mais j'en vois beaucoup trop parmi vous se disperser et les personnes concernées le sauront. Ensuite, quatrième levier pour passer à sa cartonne, c'est de mettre en place des systèmes pro-croissance. Ça peut être des process, ça peut être des automatisations, ça peut être la délégation. Votre temps ne doit plus être l'unité de croissance de votre business. Ça, c'est le secret. Si vous voulez scaler votre business, si vous voulez passer à sa cartonne, votre temps ne doit plus être l'unité de croissance de votre business. Comment est-ce qu'on fait ça ? On identifie ce qui marche déjà et on l'amplifie. Vous pouvez, là, tout de suite, maintenant, lister vos trois meilleures sources de clients et doubler vos efforts là-dessus. Pas essayer de vous disperser, voire même couper le reste. Et enfin, cinquième levier pour passer à sa cartonne, c'est l'investissement. Investir en vous, que ce soit formation, coaching, mastermind, on en a déjà un petit peu parlé. Investir en votre équipe, investir en votre audience, pas en mode dépense, mais en mode levier. Où est-ce que vous allez pouvoir mettre une bille et en récupérer potentiellement 10 ? Évidemment qu'on n'est jamais exactement sûr du ROI qu'on va obtenir. Mais on peut quand même avoir des pistes, des guesses, des intuitions. Puis c'est votre rôle de chef d'entreprise aussi d'investir. Mais je pense vraiment que ce point de l'investissement, souvent, c'est ce qui fait le plus peur, alors que c'est là où il y a les plus grands déclics. Je ne veux pas devenir une de ces personnes qui commence à avoir ce discours infernal, où même moi, des fois, ça me saoule, de dire « Ah, c'est quand j'ai su investir sur moi que tout a changé » . Oui, et en même temps, j'ai envie de vous dire que moi, les plus belles prises de conscience et les plus grands pics de croissance que j'ai eu dans mon business, c'est quand j'ai investi soit sur du coaching individuel, type coaching, leadership, etc. soit dans des masterminds, soit dans des événements, bref, des choses où je suis sortie de ma zone de confort, je suis allée à la rencontre de mon secteur, de mon milieu, de mon industrie, ou à la rencontre de moi-même, et où en fait, j'ai arrêté de mariner dans mon propre jus qui finalement n'était pas au service de ce que je voulais devenir, de la prochaine version du business que j'avais envie de construire. Et je me suis dit, OK, je vais aller voir ailleurs ce qui s'y passe. Donc, investissez en vous, en votre équipe. Et évidemment, quand je dis investissez en votre équipe, c'est que la délégation est un levier de croissance et de scalabilité. Et en fait, je pense qu'il y a une chose que personne ne nous explique quand on veut faire ce chiffre de passer de la seconde à la troisième dans notre voiture, quand on veut passer de sa marche à sa cartonne, c'est qu'en fait, un business cartonne, ce n'est pas un business qui fait plus de choses, c'est un business qui fait moins de choses, mais en plus grand, en plus clair, en plus assumé aussi parfois, et que souvent, le passage de sa marche à sa cartonne, ça se joue sur la vitesse de décision de son dirigeant. Il n'y a pas très longtemps, j'entendais une interview d'Alex Ormosi qui disait exactement la même chose, qui disait la vitesse à laquelle grandit le business et la vitesse à laquelle le dirigeant prend des décisions. Si vous mettez super longtemps à prendre des décisions, votre business va mettre super longtemps à grossir et à contrario, plus vite vous allez savoir passer à l'action, trancher dans le lard, prendre la décision, implémenter, regarder si ça fonctionne, optimiser, arrêter, changer, continuer, retrancher de nouveau, plus votre business va pouvoir grossir rapidement. Ceux qui cartonnent aujourd'hui, c'est ceux qui testent vite, qui tranchent vite, qui arrêtent vite. Ce n'est pas ceux qui cherchent à être... parfait ou à être bien ou à être précautionneux. C'est un peu horrible à dire, mais c'est vraiment ce que je vois se passer encore plus aujourd'hui sur les réseaux sociaux. Et je pense que peut-être la prise de conscience qu'il est nécessaire de faire quand on veut passer d'un ça marche à ça cartonne, et personnellement, moi, c'est comme ça que je l'ai vu, c'est de comprendre que cartonner, ce n'est pas travailler plus. Cartonner, c'est jouer un autre jeu. C'est on sort du bac à sable et on va jouer dans la cour de grande section. On joue un autre jeu. Et une petite chose que vous pouvez mettre en place dès aujourd'hui pour enclencher ce changement, si jamais c'est ce que vous avez envie de vivre avec votre business, c'est déjà de vous dire est-ce que, à votre avis, selon tout ce que je vous ai partagé, votre business est en mode marche ou en mode carton ou en train de basculer entre les deux. Et surtout, de regarder un petit peu tout ce que vous faites dans votre journée. Ça peut être votre journée d'aujourd'hui, la journée d'hier, ces derniers jours. Et de vous poser la question, est-ce que ce que je fais alimente le « ça marche » ou est-ce que ça alimente le « ça cartonne » ? Et je pense que là, vous allez avoir déjà des éléments de réponse assez clairs. Ensuite, vous pouvez identifier votre plus gros goulot d'étranglement actuel. Est-ce que ce sont vos offres ? Est-ce que c'est votre communication ? Est-ce que c'est votre posture ? Et vous dire, OK, comment est-ce que je peux travailler là-dessus ? Et vous n'avez pas encore une fois besoin d'énormément changer les choses, petit pas par petit pas, mais de vous poser la question, ce serait quoi une action que je pourrais mettre en place pour commencer à travailler là-dessus ? Voilà, c'est tout pour moi aujourd'hui. J'espère que cet épisode vous a plu. Merci de m'avoir écoutée jusqu'au bout. Et à vous tous, je vous souhaite une merveilleuse journée, soirée, après-midi, nuit, où que vous soyez. Et je vous dis à très vite dans un prochain épisode.