Speaker #0Bienvenue dans le Kundalini Club, l'espace où l'énergie rencontre la réalité. Mon nom est Émilie de Decker et ici on parle de Kundalini, bien sûr, mais surtout de comment l'intégrer dans ton quotidien. Comment réveiller ta vitalité, élargir ta vision et créer une vie qui dépasse ce que tu croyais possible. À travers des pratiques, des histoires, des interviews, des transmissions, ce podcast est vraiment là pour t'aider à t'expanser sans pour autant fuir la réalité, mais vraiment en l'habitant pleinement. Alors installe-toi confortablement et profite du voyage. Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode du Kundalini Club. Jamais tu n'as pas encore pris le temps d'écouter les deux premiers épisodes sur mon périple en solo. en Bretagne, va les écouter et ensuite revient ici. En tout cas, je te souhaite la bienvenue et merci d'être là. Je veux juste dire que j'ai pris conscience, puis je ne l'ai pas partagé dans le podcast, mais j'ai pris conscience que, sans le vouloir, j'ai démarré ce trek, cette marche, un jour de Nouvelle Lune en Lyon. Et la Nouvelle Lune en Lyon, c'est vraiment le renouveau et comment se connecter à son pouvoir. Et toute cette marche est en lien. Avec ça, entre autres, avec la créativité, toutes ces choses-là, mais vraiment, c'est comment être dans mon pouvoir pour pouvoir être au service de l'autre. Donc là, j'arrive à ma dernière nuit. Demain, je marche encore pour aller rejoindre la gare et retrouver ma route vers Bruxelles. Et je veux te partager une chose, une prise de conscience que j'ai eue là tout à l'heure dans le sauna, car oui. Je te parlerai de ce dernier hôtel que j'ai pris qui est vraiment la cerise sur le sunday, comme on dit au Québec, mais qui est vraiment tellement beau, luxueux et juste parfait pour clôturer ce séjour. Et la prise de conscience que j'avais, c'est que, comme tu le sais, si tu m'étais écouté les précédents épisodes, chaque journée était dédiée à un mois de SatNam. Donc SatNam, c'est le programme que je démarre en septembre, programme accompagnement cercle qui dure quatre mois. L'idée était, mon intention était que chaque jour représente un mois la thématique d'un mois de Sat Nam. Et donc, le premier mois, c'est vraiment la dissolution. La dissolution de tes croyances, de tes peurs, de ce qui ne convient plus. Et la prise de conscience que j'ai eue, c'est que la première maison d'hôte dans laquelle j'ai été, qui était vraiment magnifique également, complètement une autre vibe que celle d'aujourd'hui, que l'hôtel d'aujourd'hui, mais très très beau. le monsieur Le jeune homme qui tenait l'endroit, en fait, il a repris ça de ses parents. Et tu sentais une certaine lourdeur, même si l'accueil était super, mais tu sentais qu'il y avait... Voilà, c'était quelqu'un qui était quand même assez fermé. Il m'a juste dit sur le départ, donc j'ai demandé s'il y avait d'autres personnes qui arrivaient. Il m'a juste dit, non, il n'y a personne aujourd'hui, il n'y a personne demain. Et franchement, c'est très bien comme ça parce que j'en ai marre. Et ça fait 250 jours que je n'ai pas eu un jour de congé. Et je le comprends, vraiment. 250 jours sans congé, c'est horrible. Mais juste de partager ça et de t'être cliente sur le départ, j'étais là, OK. Et là, aujourd'hui, je suis vraiment dans l'opulence, dans un cadre vraiment magnifique, mais dans la nature. C'est vraiment, vraiment deux énergies complètement différentes. Et le jour 3 représente le mois 3 de Sat Nam qui est autour de la manifestation. Est-ce que tu as vraiment envie d'aller demander à l'univers Est-ce que tu as vraiment envie de vivre aussi dans ton quotidien ? Et donc, on est complètement dans deux énergies différentes qui représentent totalement ce que je partage dans cette NAM. Et pour revenir à ce premier mois et à l'expérience de ce jeune homme avec sa maison d'hôte, c'est vraiment l'exemple parfait de quelqu'un qui s'est mis dans un cadre depuis des années, reprend l'entreprise familiale. ça ne lui convient plus, tu sens qu'il n'a plus envie de faire ça. Mais c'est comme s'il y avait une certaine désillusion. Et il se peut que ce soit ton cas actuellement, qui est comme une sorte de... Ok, peut-être que tu es dans la quarantaine, dans la cinquantaine ou même dans la trentaine et tu te dis, ok, en fait, ce n'était pas vraiment ça que j'avais envie de faire dans ma vie. Et donc, il y a cette... C'est dommage, mais peut-être que c'est comme ça et que c'est ça la vie. Et je pense que ma mission est vraiment de te crier haut et fort et avec douceur et avec amour que non, ce n'est pas ça la vie. Tu peux vraiment changer les choses. Un autre point de départ pour Satnam, et je l'ai partagé aussi sur mes réseaux, et je sais que ça a résonné vraiment avec certaines femmes qui l'ont déjà rejoint, il se peut que pour toi la vie aille vraiment bien. Et ça n'empêche que la vie peut aller très bien et que tu peux te mettre dans certains cadres et que tu as envie de ressentir plus d'énergie et que tu as envie d'aller chercher plus dans ta vie et d'entrer dans un cercle comme celui-là. D'accord ? Donc il y a tout type de femmes qui rejoignent cet espace. Et je me suis dit que c'était juste une anecdote drôle qui montre bien le voyage. Donc là, je suis dans ma chambre d'hôtel. Dans 20 minutes, il y a ma formation dans le Colorado qui démarre. J'ai vraiment hâte de connecter, vraiment de vivre. continue à vivre cette mixité de nature, la journée et de connexion le soir. Et je te dirais que l'énergie d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celle d'hier. Mais rien. J'ai super bien dormi dans le logement précédent, la literie était incroyable, en fibre naturelle, c'était vraiment super confortable, mon corps était plus détendu et c'est comme si j'avais passé ce cap de « Ah, ok, exactement ce que j'expliquais dans le dernier épisode, d'accord ? De quand tu découvres quelque chose de génial, puis ah, ok, je vais devoir travailler un peu plus fort que prévu. Et là, c'est comme si j'avais trouvé ma vitesse de croisière. Et donc la thématique d'aujourd'hui, c'est vraiment la manifestation. Et c'est drôle parce que je me suis dit ça au début du séjour, mais ce n'est pas comme si le matin, je me disais, ok, il faut vraiment quitter des trucs autour de la manifestation. Non, les idées viennent, je vois des choses sur mon chemin. Et en fait... Je laisse libre cours à ce qui est présent et souvent ça colle à la thématique. C'est comme quand je prépare mes classes de Nouvelle Lune et Pleine Lune et que je lis sur l'énergie de la Lune et je me rends compte que c'est exactement ce que je suis en train de vivre. C'est la même chose. Et donc la première chose qui m'est venue, c'est vraiment de me rendre compte à quel point il y a eu de la transformation sur les dernières années parce que je pense qu'une partie de moi n'aurait pas bien vécu le fait de déconnecter au temps. pendant deux mois. Et qu'aujourd'hui, ça devient mon nouveau baseline, ma nouvelle balle, qui, autant que possible, je ne sais pas évidemment de quoi demain sera fait, mais deviendra mon non négociable et je le vis extrêmement bien. Et ce que je vais partager ici dans cet épisode, il y a toujours une petite pointe de peur parce que je rentre dans des nouveaux territoires et donc il y a toujours une peur qui peut être liée à ça. La thématique, c'est vraiment autour du fait de faire confiance à quelque chose de plus grand. Et donc, cette idée-là est venue au début de ma mâtre, ce matin. J'étais dans le village de Meriadec et il y a une magnifique petite chapelle. Je suis rentrée dans la chapelle, je prends un moment pour me connecter à l'énergie. Et en sortant de là, je me suis dit, ok, j'ai envie de partager un peu de... Un peu de ça parce que je pense que c'est important. Et il y a toujours une part qui contracte en moi. Je l'observe, d'accord ? Je suis dans mon corps, je l'observe même là quand j'en parle. Je peux sentir cette part qui est présente, qui crie plus autant qu'avant, mais qui est juste présente. Et je me rends compte que j'ai vécu vraiment toutes les premières années de ma vie jusqu'à dernièrement en étant extrêmement méfiante par rapport à tout ce qui était religieux et en rejetant activement. C'est ça, tout ce qui était en connexion avec Dieu, le mot Dieu était comme... Parce qu'il y a, je pense, un énorme trauma dans la religion catholique, avec toutes les dérives qu'il y a eues. Et en fait, je ne comprenais même pas l'intérêt. Moi, en fait, ce que je voyais, c'était des gens qui devaient aller à l'église, qui devaient faire bonne impression pour la communauté, pour... Cette empreinte culturelle, mais derrière ça, c'était vide de sens. Et donc même si j'avais déjà eu des expériences dans le corps, j'avais eu des expériences plus subtiles, je vivais, et puis je l'ai déjà partagé dans un précédent podcast, cette spiritualité plus au niveau mental, avec des expériences corporelles quand même, et de sentir l'énergie. mais je me rends compte que il y a une grande part de moi qui bloquait quelque chose de beaucoup plus grand. Et ça m'amène d'ailleurs là à la pensée qu'il explore dans le Existential King, c'est vraiment notre tolérance en fait. aux bonnes choses, notre tolérance à la quantité d'amour qu'on peut accepter dans notre vie. Ce qui est complètement faux, mais c'est vraiment une réalité. Observe à quel point tu te sabotes très rapidement quand les choses vont très bien. Et donc tous les contenants dans lesquels j'ai suivi des formations, où j'ai été faire des retraites depuis 10-15 ans maintenant, il y avait toujours ce... cette friction quand j'entendais le mot Dieu, mais en fait c'était des déités en général. Et donc avec le temps, j'ai commencé avec évidemment tout ce qui est New Age à parler d'univers, mais qui pour certaines personnes signifie Dieu, c'est la même chose. Et j'ai commencé à réexplorer avec une coach qui m'accompagne justement la souffrance que ça pouvait générer d'être en déconnexion totale. Et je sais que j'ai en moi cette croyance, comme beaucoup d'êtres humains d'ailleurs, que je dois faire tout toute seule, que je dois porter les choses seule. Et donc elle m'aide à aborder, parce que s'il y a une déconnexion par rapport à l'univers ou par rapport à Dieu, appelle-le comme tu veux, tu pourras seulement recevoir une quantité limitée d'énergie et d'amour. C'est aussi simple que ça. Et donc elle m'accompagne vraiment dans... Cette réexploration non dogmatique, parce que tout ce qui est dogmatique vient vraiment d'une base de trauma, et elle m'accompagne vraiment, par exemple, en m'invitant à aller dans certains lieux sacrés. Les premières fois où je l'ai fait, c'était vraiment bizarre. Tellement que j'ai un ancrage de « non, je ne peux pas » . Donc, commencer à le faire doucement, et en passant, je ne t'annonce absolument pas ici que je me convertis à quoi que ce soit. Ce n'est pas du tout le sujet de ce... podcast, mais c'est juste de voir comment je peux commencer à ouvrir ce canal et je sais, je vois la transformation depuis que j'ai commencé à faire ce travail qui est juste incroyable. Au lieu de voir, comme je disais aussi, toutes les choses qui ne vont pas, toutes les choses qu'il faut transformer dans notre vie, parfois il suffit juste d'aller se connecter et hier je parle... hier, ben oui, hier, mais toi c'est... c'est pas hier que tu as entendu le dernier podcast, mais c'est hier que je l'ai entendu. je partageais justement cette connexion à l'horizontale et comment commencer à te connecter à tes désirs et apprendre aussi à dire non à certaines choses qui ne te conviennent plus et donc c'est cette connexion horizontale avec ton entourage, avec la vie et cet épisode est plus sur la connexion verticale donc vraiment être cette antenne vibrante entre la terre qui amène Merci. tout le temps de l'énergie dès qu'on amène notre attention, en fait. C'est juste qu'on est tout le temps dans notre tête ou ailleurs. Et donc, on est déconnecté de cette énergie qui est débordante et toujours présente. Donc, l'énergie de la Terre et en même temps du ciel, du cosmos. Et je te dirais qu'aujourd'hui, j'ai encore beaucoup de mal et c'est quelque chose dans lequel je n'ai pas du tout envie d'embarquer, le côté plus dogmatique. D'ailleurs, pendant le séjour en Bretagne, j'ai fait un crochet par Saint-Anne-d'Orey et je suis rentrée dans une église. Il y avait une messe à ce moment-là, et je suis ressortie dans les cinq minutes qui ont suivi, parce que pour moi c'était tellement sombre. Agneau, péché, pardon, non en fait, non. Et donc là-haut, j'ai aussi envie de t'amener à travers cette lame, et qui est vraiment indispensable pour la manifestation, c'est cette connexion verticale. Voir les parts de toi éventuellement qui ont rejeté, certaines parties comme moi, où... D'autre part, je ne sais pas en fait quelle est ton histoire, mais juste de commencer à observer ce qui est présent et apprendre ou réapprendre en fait à te connecter à cette énergie. Et je pense que c'est vraiment important d'avoir un questionnement par rapport à ça parce qu'il y a plein de gens qui se disent spirituels, mais c'est une hypocrisie incroyable. Comme je disais au début, des gens qui vont... à la messe mais qui ne ressentent absolument pas vraiment la connexion, qui le font juste parce qu'on leur a dit qu'il fallait le faire. Et je comprends l'envie de faire partie d'une communauté, d'une sangha et de pouvoir voir les gens et de faire partie de quelque chose. Je comprends totalement. Mais c'est le but d'être dans son Satnam, donc dans sa vérité qui n'est peut-être pas la même vérité que tes parents, que tes frères et sœurs, que les personnes qui t'entourent. Et donc, c'est d'avoir le courage à un moment donné de faire le statement, donc l'annonce de « Ok, ça c'est ma spiritualité. » Et je connais des gens qui sont... sans doute moi aussi, des gens qui sont bien plus spirituels sans pour autant être dans une boîte ou dans un cadre religieux. Et évidemment, il y a des gens qui sont dans la religion et qui sont extrêmement spirituels, en tant que moi aussi, à ce niveau-là, d'accord ? Et donc, au fil du chemin, aujourd'hui, j'ai commencé à me poser la question aussi de qu'est-ce que j'ai vraiment envie de manifester. dans les jours, les semaines, les mois, les années à venir ? Est-ce que c'est toujours la même chose ? Est-ce que les choses ont changé ? Et oui, les choses ont pas mal changé. Pour moi, la priorité absolue, c'est mes relations familiales, proches, mon mari, mes enfants, et vraiment voir comment avec mon mari, on peut évoluer en tant qu'être humain, dans notre couple, dans notre intimité, en tant que parents aussi, d'enfants qui grandissent et qui nous reflètent. constamment nos peurs, nos croyances limitantes, les cases aussi dans lesquelles on s'est mises. Et c'est tout un challenge, d'accord ? C'est vraiment tout un challenge. Et mon désir ici, c'est vraiment d'accueillir cette évolution de nos petits êtres humains en explorant peut-être d'autres voies que celles que je connaissais, qui est beaucoup plus rigide, en fait. Les choses se passent comme ça. Et comment je peux vraiment créer une relation de confiance ? Avec des petits humains qui ont besoin d'énormément de liberté, je me rends compte, et qui suis-je pour leur reprocher ça ? Ma mission sur Terre est d'aller vraiment incarner cette liberté, vraiment, vraiment, vraiment. Donc tout ce que je peux faire, c'est les accompagner là-dedans, sortir autant que possible de ma rigidité, et donc aller me bousculer et aller bousculer mes croyances par rapport à ça. Ensuite, il visualise vraiment deux cohortes de Satnam, vraiment un flow, des connexions. des retraites dans le cadre de SatNam. C'est vraiment là où j'ai envie d'aller. Et ce qui revient constamment aussi, c'est cette envie profonde d'aller créer une communauté et de créer un espace qui va au-delà des programmes que j'ai pu proposer. Donc j'ai déjà fait beaucoup de programmes et ce qui revient constamment, c'est ce lien entre les participantes et donc comment créer un cercle au-delà de la formation une fois qu'elle est finie pour qu'on puisse continuer à faire certains partages et... qu'elle puisse continuer à vibrer dans cet espace. Et puis ce que je visualise pour mon studio, le Kundalini Club, c'est vraiment d'aller au-delà de la Kundalini, vraiment aller explorer l'énergie vitale, que ce soit le hub ou les femmes, juste les femmes, I don't know, je ne sais pas, où elles peuvent se connecter pour vraiment aller ressentir cette énergie créatrice, cette vitalité qui est toujours là en fait et dont on se déconnecte. régulièrement. Même moi, c'est vraiment un choix constant que je dois faire. Évidemment que le Kundalini, c'est un outil, mais je vais transformer les choses. L'idée est vraiment d'apporter des pratiques au-delà du yoga Kundalini. Et finalement, ça fait longtemps que c'est présent, ça fait longtemps que j'ai envie de créer des partenariats. Dans Sadnam, je veux vraiment avoir des intervenantes, d'exceptions, qui vont vraiment aller compléter ce que moi, je peux aller offrir. et donc de commencer à développer ça. J'ai vraiment envie de connecter à une plus grande échelle encore avec d'autres personnes qui sont un peu dans le même secteur et au-delà. Et c'est ce que je visualise, évidemment, comme je disais dans le dernier épisode, c'est cultiver cette beauté dans toutes les sphères de ma vie et voir où ça m'amène. Donc, pose-toi la question déjà, toi aussi, qu'est-ce que tu as envie de manifester dans les jours, les semaines, les mois à venir ? Si tu veux venir me le partager, viens le partager sur Instagram, sur Emilie Kundalini Club. Si tu as aimé cet épisode, comme d'habitude, partage-le. Et si tu sens que ça te nommait pour toi, que tu as envie vraiment de faire ce voyage profond de reconnexion à ta joie, à ton essence, à ta vérité, il reste quelques places. On démarre en septembre et le lien est dans la légende. Merci à toi d'être là.