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"Les RH sont une passion" - Bojer Kinzonzi cover
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L'aventure RH

"Les RH sont une passion" - Bojer Kinzonzi

"Les RH sont une passion" - Bojer Kinzonzi

10min |12/08/2022
Play
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10min |12/08/2022
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Description

 Bojer Kinzonzi 

  

Après un licence Info-Com spécialisation RH puis un Master RH en alternance, ce jeune homme de 26 ans est aujourd'hui en charge du recrutement chez Play play. Il se concentre sur les profils dits "tech"tels que les développeurs et les ingénieurs. Play play emploie actuellement plus de 200 collaborateurs avec pour objectif de passer la barre des 300 d'ici la fin de l'année. 

  

Un métier passion 


Pour Bojer Kinzonzi les RH sont d’abord et avant tout une passion. Cette fonction ransverse est au croisement de multiples disciplines et de sujets : la sociologie, l'économie, la psychologie… ce qui fait d'elle une source intarissable de découvertes, d'échanges et de contacts. 

C'est pourtant par hasard qu'il croise le chemin des RH. Lors d’un projet universitaire, Bojer rencontre un responsable RH qui lui présente son métier. Le portrait qu'il dresse de sa profession séduit immédiatement Bojer. Les pré-requis du métier correspondent parfaitement à sa personnalité et la notion d'impact sur la carrière d'autrui et d'utilité finissent par le convaincre. 

  

Une image parfois négative des RH 


En commençant à exercer son activité RH, Bojer Kinzonzi réalise qu'il existe un véritable décalage entre la vision du grand public et la réalité du métier. 

« Les RH souffrent d'une image négative. J'ai été très surpris des retours que j'ai eu quand mon travail commençait à faire son effet. Des propos du style "t'es cool pour un
RH", "non mais ça va t'es sympa en vrai" même moi je me suis surpris (agréablement) à pouvoir nouer des liens avec des employés loin de l'image caricaturale du RH dans son bureau qui ne se mélange pas trop avec lescollaborateurs. J'ai réussi à me détacher de cette idée de mon métier et ça m'a fait beaucoup de bien. » 

  

Trouver des pépites 


Le quotidien des RH est souvent jalonné de belles rencontres. Bojer nous raconte dans ce podcast une anecdotedont il est particulièrement fière. «  C’était un après-midi de juin
relativement chaud. On travaillait/discutait dans le salon parce qu’il faisait frais avec des allers-retours à nos bureaux si on avait oublié un truc. A un moment je vais chercher mon chargeur et mon boss me dit que quelqu’un est à l’accueil pour le rencontrer mais vu qu’il est en réunion il demande si quelqu’un peut voir de qui il s’agit. Je me porte volontaire puisque j’avais bien travaillé la matinée et j’avais fais un gros déjeuner. Je me rends à l’accueil et vois cette femme d’une vingtaine d’année, je comprends assez vite que ce n’est pas une cliente. Elle me dit qu’elle avait vu qu’on avait une offre en alternance et qu’elle aimerait postuler directement en donnant son CV au RH (donc moi !).  Je l’ai fais monter et s’installer dans le salon sous le regard de tous mes collègues un peu surpris. Je lui révèle que je suis la personne en charge du recrutement mais qu’on a déjà vu 3 candidats et 2 sont en phase de test avec 1 qui devrait avoir le poste. Mais je
prends quand même son CV (que je reconnais car je l’avais trié ce matin même et il collait bien) en lui disant que si jamais le candidat ne fait pas l'affaire je l’appellerai en premier. 

Contre toutes attentes le candidat ne nous rend pas le test et comme promis je l’appelle en premier. J'organise un entretien et elle obtient le poste ! Elle a fait 2 très bonnes années en alternance et on est même devenu amis depuis. »  

Description

 Bojer Kinzonzi 

  

Après un licence Info-Com spécialisation RH puis un Master RH en alternance, ce jeune homme de 26 ans est aujourd'hui en charge du recrutement chez Play play. Il se concentre sur les profils dits "tech"tels que les développeurs et les ingénieurs. Play play emploie actuellement plus de 200 collaborateurs avec pour objectif de passer la barre des 300 d'ici la fin de l'année. 

  

Un métier passion 


Pour Bojer Kinzonzi les RH sont d’abord et avant tout une passion. Cette fonction ransverse est au croisement de multiples disciplines et de sujets : la sociologie, l'économie, la psychologie… ce qui fait d'elle une source intarissable de découvertes, d'échanges et de contacts. 

C'est pourtant par hasard qu'il croise le chemin des RH. Lors d’un projet universitaire, Bojer rencontre un responsable RH qui lui présente son métier. Le portrait qu'il dresse de sa profession séduit immédiatement Bojer. Les pré-requis du métier correspondent parfaitement à sa personnalité et la notion d'impact sur la carrière d'autrui et d'utilité finissent par le convaincre. 

  

Une image parfois négative des RH 


En commençant à exercer son activité RH, Bojer Kinzonzi réalise qu'il existe un véritable décalage entre la vision du grand public et la réalité du métier. 

« Les RH souffrent d'une image négative. J'ai été très surpris des retours que j'ai eu quand mon travail commençait à faire son effet. Des propos du style "t'es cool pour un
RH", "non mais ça va t'es sympa en vrai" même moi je me suis surpris (agréablement) à pouvoir nouer des liens avec des employés loin de l'image caricaturale du RH dans son bureau qui ne se mélange pas trop avec lescollaborateurs. J'ai réussi à me détacher de cette idée de mon métier et ça m'a fait beaucoup de bien. » 

  

Trouver des pépites 


Le quotidien des RH est souvent jalonné de belles rencontres. Bojer nous raconte dans ce podcast une anecdotedont il est particulièrement fière. «  C’était un après-midi de juin
relativement chaud. On travaillait/discutait dans le salon parce qu’il faisait frais avec des allers-retours à nos bureaux si on avait oublié un truc. A un moment je vais chercher mon chargeur et mon boss me dit que quelqu’un est à l’accueil pour le rencontrer mais vu qu’il est en réunion il demande si quelqu’un peut voir de qui il s’agit. Je me porte volontaire puisque j’avais bien travaillé la matinée et j’avais fais un gros déjeuner. Je me rends à l’accueil et vois cette femme d’une vingtaine d’année, je comprends assez vite que ce n’est pas une cliente. Elle me dit qu’elle avait vu qu’on avait une offre en alternance et qu’elle aimerait postuler directement en donnant son CV au RH (donc moi !).  Je l’ai fais monter et s’installer dans le salon sous le regard de tous mes collègues un peu surpris. Je lui révèle que je suis la personne en charge du recrutement mais qu’on a déjà vu 3 candidats et 2 sont en phase de test avec 1 qui devrait avoir le poste. Mais je
prends quand même son CV (que je reconnais car je l’avais trié ce matin même et il collait bien) en lui disant que si jamais le candidat ne fait pas l'affaire je l’appellerai en premier. 

Contre toutes attentes le candidat ne nous rend pas le test et comme promis je l’appelle en premier. J'organise un entretien et elle obtient le poste ! Elle a fait 2 très bonnes années en alternance et on est même devenu amis depuis. »  

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 Bojer Kinzonzi 

  

Après un licence Info-Com spécialisation RH puis un Master RH en alternance, ce jeune homme de 26 ans est aujourd'hui en charge du recrutement chez Play play. Il se concentre sur les profils dits "tech"tels que les développeurs et les ingénieurs. Play play emploie actuellement plus de 200 collaborateurs avec pour objectif de passer la barre des 300 d'ici la fin de l'année. 

  

Un métier passion 


Pour Bojer Kinzonzi les RH sont d’abord et avant tout une passion. Cette fonction ransverse est au croisement de multiples disciplines et de sujets : la sociologie, l'économie, la psychologie… ce qui fait d'elle une source intarissable de découvertes, d'échanges et de contacts. 

C'est pourtant par hasard qu'il croise le chemin des RH. Lors d’un projet universitaire, Bojer rencontre un responsable RH qui lui présente son métier. Le portrait qu'il dresse de sa profession séduit immédiatement Bojer. Les pré-requis du métier correspondent parfaitement à sa personnalité et la notion d'impact sur la carrière d'autrui et d'utilité finissent par le convaincre. 

  

Une image parfois négative des RH 


En commençant à exercer son activité RH, Bojer Kinzonzi réalise qu'il existe un véritable décalage entre la vision du grand public et la réalité du métier. 

« Les RH souffrent d'une image négative. J'ai été très surpris des retours que j'ai eu quand mon travail commençait à faire son effet. Des propos du style "t'es cool pour un
RH", "non mais ça va t'es sympa en vrai" même moi je me suis surpris (agréablement) à pouvoir nouer des liens avec des employés loin de l'image caricaturale du RH dans son bureau qui ne se mélange pas trop avec lescollaborateurs. J'ai réussi à me détacher de cette idée de mon métier et ça m'a fait beaucoup de bien. » 

  

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Le quotidien des RH est souvent jalonné de belles rencontres. Bojer nous raconte dans ce podcast une anecdotedont il est particulièrement fière. «  C’était un après-midi de juin
relativement chaud. On travaillait/discutait dans le salon parce qu’il faisait frais avec des allers-retours à nos bureaux si on avait oublié un truc. A un moment je vais chercher mon chargeur et mon boss me dit que quelqu’un est à l’accueil pour le rencontrer mais vu qu’il est en réunion il demande si quelqu’un peut voir de qui il s’agit. Je me porte volontaire puisque j’avais bien travaillé la matinée et j’avais fais un gros déjeuner. Je me rends à l’accueil et vois cette femme d’une vingtaine d’année, je comprends assez vite que ce n’est pas une cliente. Elle me dit qu’elle avait vu qu’on avait une offre en alternance et qu’elle aimerait postuler directement en donnant son CV au RH (donc moi !).  Je l’ai fais monter et s’installer dans le salon sous le regard de tous mes collègues un peu surpris. Je lui révèle que je suis la personne en charge du recrutement mais qu’on a déjà vu 3 candidats et 2 sont en phase de test avec 1 qui devrait avoir le poste. Mais je
prends quand même son CV (que je reconnais car je l’avais trié ce matin même et il collait bien) en lui disant que si jamais le candidat ne fait pas l'affaire je l’appellerai en premier. 

Contre toutes attentes le candidat ne nous rend pas le test et comme promis je l’appelle en premier. J'organise un entretien et elle obtient le poste ! Elle a fait 2 très bonnes années en alternance et on est même devenu amis depuis. »  

Description

 Bojer Kinzonzi 

  

Après un licence Info-Com spécialisation RH puis un Master RH en alternance, ce jeune homme de 26 ans est aujourd'hui en charge du recrutement chez Play play. Il se concentre sur les profils dits "tech"tels que les développeurs et les ingénieurs. Play play emploie actuellement plus de 200 collaborateurs avec pour objectif de passer la barre des 300 d'ici la fin de l'année. 

  

Un métier passion 


Pour Bojer Kinzonzi les RH sont d’abord et avant tout une passion. Cette fonction ransverse est au croisement de multiples disciplines et de sujets : la sociologie, l'économie, la psychologie… ce qui fait d'elle une source intarissable de découvertes, d'échanges et de contacts. 

C'est pourtant par hasard qu'il croise le chemin des RH. Lors d’un projet universitaire, Bojer rencontre un responsable RH qui lui présente son métier. Le portrait qu'il dresse de sa profession séduit immédiatement Bojer. Les pré-requis du métier correspondent parfaitement à sa personnalité et la notion d'impact sur la carrière d'autrui et d'utilité finissent par le convaincre. 

  

Une image parfois négative des RH 


En commençant à exercer son activité RH, Bojer Kinzonzi réalise qu'il existe un véritable décalage entre la vision du grand public et la réalité du métier. 

« Les RH souffrent d'une image négative. J'ai été très surpris des retours que j'ai eu quand mon travail commençait à faire son effet. Des propos du style "t'es cool pour un
RH", "non mais ça va t'es sympa en vrai" même moi je me suis surpris (agréablement) à pouvoir nouer des liens avec des employés loin de l'image caricaturale du RH dans son bureau qui ne se mélange pas trop avec lescollaborateurs. J'ai réussi à me détacher de cette idée de mon métier et ça m'a fait beaucoup de bien. » 

  

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Le quotidien des RH est souvent jalonné de belles rencontres. Bojer nous raconte dans ce podcast une anecdotedont il est particulièrement fière. «  C’était un après-midi de juin
relativement chaud. On travaillait/discutait dans le salon parce qu’il faisait frais avec des allers-retours à nos bureaux si on avait oublié un truc. A un moment je vais chercher mon chargeur et mon boss me dit que quelqu’un est à l’accueil pour le rencontrer mais vu qu’il est en réunion il demande si quelqu’un peut voir de qui il s’agit. Je me porte volontaire puisque j’avais bien travaillé la matinée et j’avais fais un gros déjeuner. Je me rends à l’accueil et vois cette femme d’une vingtaine d’année, je comprends assez vite que ce n’est pas une cliente. Elle me dit qu’elle avait vu qu’on avait une offre en alternance et qu’elle aimerait postuler directement en donnant son CV au RH (donc moi !).  Je l’ai fais monter et s’installer dans le salon sous le regard de tous mes collègues un peu surpris. Je lui révèle que je suis la personne en charge du recrutement mais qu’on a déjà vu 3 candidats et 2 sont en phase de test avec 1 qui devrait avoir le poste. Mais je
prends quand même son CV (que je reconnais car je l’avais trié ce matin même et il collait bien) en lui disant que si jamais le candidat ne fait pas l'affaire je l’appellerai en premier. 

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