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Amalgam : Inclusion, diversité et transformation humaine

Stratégie de coaching ou technique?

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17min |08/11/2023
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Stratégie de coaching ou technique?

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17min |08/11/2023
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Description

Plongez dans l'univers fascinant du coaching avec "Amalgames". 


Je suis Patricia Cyprien Cloarec, coach professionnelle et superviseure, spécialisée dans l'inclusion. Dans
ce podcast, nous explorons la différence cruciale entre la mécanique de
questionnement en coaching et une véritable stratégie de coaching. 

Découvrez pourquoi la qualité de présence du coach est la clé pour une séance de coaching
réussie. La technique est essentielle, mais une fois intégrée, elle doit laisser place à l'intuition, à l'écoute active, et à l'adaptation en temps réel. 


Si vous êtes un coach en herbe ou expérimenté  ou encore une personne curieuse qui iame comprendre, cet épisode vous aidera à trouver l'équilibre entre technique et présence. 

Écoutez
"Amalgames" pour transformer votre pratique du coaching et approfondir votre posture de coach.   


Suivre notre actu: www.ecoleducoachinginclusif .com

Nous suivre sur intagram : https://www.instagram.com/eci_coachinginclusif/

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur votre podcast Amalgam, le podcast qui vous fait faire un pas de côté, qui bouscule les croyances et explore l'univers du coaching professionnel. Alors je suis Patricia Cyprien-Couarec, votre coach professionnel, superviseur, formatrice, et je suis aussi l'auteur du livre Repérer et coacher les profils atypiques. Je me suis spécialisée dans les problématiques liées à l'inclusion au sens large. Aujourd'hui, nous allons plonger au cœur d'une question existentielle pour vous, les coachs. Quelle est la différence entre la technique de questionnement, la mécanique en coaching, et une véritable stratégie de coaching ? Alors, vous allez rester à l'écoute et découvrir avec moi pourquoi il est intéressant de se poser cette question, de faire le lien avec la qualité de présence du coach, de voir quelle est la place de l'un et de l'autre pour ne pas faire d'amalgame entre les deux, et enfin, avoir une petite clé de réussite entre vos mains. Alors pour beaucoup, le coaching est perçu comme un ensemble de techniques à maîtriser, comme un processus à maîtriser. Et c'est vrai que cette technique, elle est indispensable. Ce processus est indispensable. C'est un socle. C'est en fait les fondations d'une maison. Cette technique, ce processus doit vraiment être là à l'origine de manière à structurer l'entretien, de manière à valider, à assurer. La posture aussi du coach, sa déontologie. Ça me fait un peu penser à l'analogie d'un danseur qui apprend des pas pour un spectacle. Bien évidemment, la technique de base, elle doit être intégrée. Les spécificités de chaque danse doivent être intégrées, mais à l'arrivée, ce n'est pas ce qui sera au premier plan. Imaginez un danseur qui, pendant sa représentation, se concentre uniquement sur les pas qu'il a appris. Sur cette technique de base, ça ne fonctionnerait pas. Il n'y aurait pas de communication entre vous. Pour que ça fonctionne, il faut que le danseur ait envie de communiquer avec vous. Il a envie de se connecter à vous-même, de se connecter, on va dire, à l'émotion qu'il veut transmettre. Mais pour ça, ça va lui demander quelque chose de très, très, très important, notamment pour nous les coachs, c'est se connecter à nous-mêmes, se connecter à l'instant présent, se connecter à nos émotions. En coaching, c'est pareil. La technique, elle est cruciale pour avancer de manière structurée, comme je l'ai dit, mais c'est quelque chose qui doit être suffisamment intégré pour être oublié en séance. Quand on dit oublié, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait pas, ça veut dire qu'on ne le fait tellement, cette structure. Par exemple, pour ceux qui ont appris comme moi la technique du gros, cette technique où on va d'abord chercher l'objectif, creuser la réalité, poser des nouvelles idées d'options, d'actions, pour ensuite s'engager, c'est quelque chose, aujourd'hui, que je peux appliquer même dans une conversation avec mon enfant. C'est-à-dire que quand je lui parle, je parle sur base d'un objectif que je peux même construire avec lui. Je peux aller chercher comment lui perçoit la chose, plutôt que de lui punir, de lui dire comment tu vois le truc, et ensuite voir les idées qui pourraient émerger de ça, parce qu'il aura compris quelque chose, et ensuite s'engager. Ça n'a pas besoin de durer une heure, une demi-heure, ça peut durer cinq minutes. C'est une technique qui, une fois intégrée, doit quasiment disparaître parce qu'elle est intégrée, et parce que vous avez compris aussi son intérêt. Quand une technique a été intégrée, c'est qu'elle a été comprise, c'est-à-dire que vous avez compris le sens et l'intérêt de ce process. Maintenant, ce qui va être intéressant, c'est de se dire que quand la technique comme ça est intégrée, reprenons l'exemple de notre danseur, on ne la sent pas, on ne la voit pas. Le client, comme nous, spectateurs, ce qu'on est là à vivre est plus important. que de savoir si oui ou non, se demander si oui ou non il a réussi ou pas les pas qu'il avait appris pendant tous ses entraînements. C'est une question qu'on ne se pose pas puisqu'on est là dans nos ressentis, on est là dans la pleine présence, on est connecté, on ne se pose pas des questions. Et pour le coach, c'est pareil. À ce moment-là, la technique étant tellement intégrée, le coach est là pour ressentir lui aussi. Il est là pour être dans sa pleine présence, présence avec ses sens, avec ses oreilles. Présence avec ses yeux, avec son toucher, avec ce qu'il ressent, il est connecté, il pense à ses questions, il est dans une notion d'intention. Et c'est là que c'est intéressant de continuer à avancer cette réflexion sur cette qualité de présence. Parce que pour moi, qui suis initialement affiliée à la Fédération de coaching internationale ICF, la qualité de présence est pour moi la compétence la plus... longue et la plus complexe à acquérir parce qu'elle paraît simple finalement être présent dans la pièce et dans la visio c'est être avec son client c'est se dire ah bah oui moi je suis présent j'entends ce qui me dit j'entends ce qui me dit ce qui me dit pas alors qu'en fait La présence, et je ne vais pas vous faire là une étude de la présence, mais c'est vraiment pour moi la compétence la plus complexe, parce que quelqu'un qui a une grande qualité de présence a réussi à intégrer tellement son propre fonctionnement, se connaît tellement et est tellement dans l'acceptation de ce qu'il est qu'en fait, qui il est, son programme, ses propres liens disparaissent. C'est pour ça que vous verrez parfois dans des interviews que j'ai pu faire que la qualité de présence d'un coach se mesure à la qualité de son absence en séance. Cette qualité de présence, quand elle commence à se développer, ça englobe bien sûr l'écoute, la perception, mais plus on monte en pression, en pression, pas en pression, plus on monte en présence, en qualité de présence, plus cette perception peut aller jusqu'à devenir très subtile. je vous parle pas des gens qui sont par exemple, hyper empathique, des personnes qui sont en capacité de ressentir une douleur physique là où le client leur soit. Moi, par exemple, ça m'est arrivé d'avoir une douleur dans le dos et de dire à mon client, je ne lui ai pas dit tu as une douleur dans le dos, je n'étais pas ce genre de présomption. Par contre, ça m'indique que cette douleur n'a pas l'air de m'appartenir et que je peux effectivement questionner le client sur comment il se sent, s'il y a quelque chose qui se passe dans son corps. Et vous voyez, ça c'est une qualité de... présence qu'il est possible que si moi je suis en phase avec moi même et que je me connais bien la résonance avec le client a dit je me connais bien c'est pareil je pourrais digresser là dessus parce que méfiez vous de ça quand on dit qu'on se connaît bien moi quand je vous dis que je vous connais bien ça veut dire que je suis consciente qu'il ya une quantité assez effroyable de choses sur moi que je ne connais pas et c'est ça que je connais bien Donc, je reviens sur la présence. Donc, il y a aussi les résonances qu'on va avoir avec le client. Elles sont intéressantes. Alors, il ne faut pas en avoir peur, bien évidemment. Forcément, quand on se forme, on apprend à se méfier de ces résonances. Mais plus la qualité de présence augmente, plus du coup, on est en absence de ses propres blessures, ressenties liées à notre expérience personnelle, à nous. Et donc, on peut entrer en résonance, mais sur la partie résiliente, la partie guérie. ou la partie qui est très stabilisée, finalement, émotionnellement, de la blessure. Et la résonance, dans ces cas-là, devient très intéressante, parce qu'elle permet d'avoir des questionnements, elle permet d'avoir des intentions. Donc pour moi, le coach, il est un peu comme un miroir. Il va refléter les émotions du client, alors pas parce qu'il va se mettre à pleurer lui aussi. Si le client a une émotion liée à quelque chose qui lui fait pleurer, par exemple la tristesse, ça peut être une autre émotion. Bon, alors, nous... Mais un miroir, parce que finalement, il va refléter. Oui, mettez-vous devant un miroir. Vous allez voir que dans le miroir, selon qui vous êtes, il y a différentes choses que vous pouvez voir. Il y a bien sûr vous dans votre couche physique terrestre classique. Mais dans un miroir, vos pensées sont aussi reflétées, mais on ne sait pas les voir. Dans le miroir, votre énergie est reflétée, mais on ne sait pas la voir. Dans le miroir, tout un tas de choses sont reflétées. que nous ne savons pas voir avec nos yeux, parce qu'on cherche à voir avec nos yeux. Et finalement, le travail d'un coach, c'est justement d'augmenter cette qualité de présence pour refléter autre chose que ce qui est assez évident et qui sera fait de façon évidente dans un miroir. On est là pour être une autre qualité de miroir. Le coach est là aussi pour refléter les émotions, parce qu'elles ne se présentent pas de façon évidente. Un client triste ne pleure pas toujours. Un client en colère ne se met pas en colère. Et donc ça... Le reflet des émotions, c'est intéressant, non pas pour dire « tiens, cher client, je vois que tu as telle émotion » , mais dans son intention et dans sa stratégie de questionnement, permettre le reflet des émotions, c'est permettre leur expression. Parce qu'on les a perçues et que plutôt que de les donner nous-mêmes, c'est permettre l'expression. On va pouvoir faire de même avec les besoins du client, ses désirs. C'est cette qualité de présence qui va nous permettre de capter le non-dit, de sentir l'énergie du moment présent, de s'adapter en conséquence et de faire preuve de... sollicitude de bienveillance, la vraie bienveillance. Alors, finalement, un coach, il va adapter finalement ses intentions. Il va adapter sa posture sans faire quelque chose qui n'est pas lui. Mais il va s'ajuster parce qu'il va se connecter à son client et il va pouvoir ajuster sa stratégie en fonction des signaux qu'il reçoit et que les clients envoient. Et que les clients envoient consciemment ou inconsciemment. Le client, il n'est pas là pour rentrer dans des outils, il n'est pas là pour rentrer dans une technique. Il est là pour nous offrir des opportunités de questionnement. des opportunités à l'instant présent. Et c'est là que le coach devient pertinent, c'est quand il est capable, sur l'instant présent, de mettre en place, d'adapter son questionnement sur la base d'une stratégie ou d'une intention efficace. Et qu'est-ce qui fait que c'est efficace ? C'est que c'est en lien avec le moment présent, c'est en lien avec la circonstance, on va dire l'environnement dans lequel on se trouve, et c'est en lien avec l'énergie qui est dégagée sur le moment. Pour faire ça, comment on peut savoir si c'est efficace ou pas ? Comment on peut savoir si c'est en lien avec ce que l'étudiant veut atteindre ou pas ? Ce qui est important pour ça, c'est d'avoir fixé un objectif clair. C'est d'avoir une séance qui est basée sur un objectif concret, un objectif, vous l'avez vu dans mon livre, positif, basé sur une action qui est orientée vers le futur et qui est plutôt spécifique. L'outil PASS, c'est vraiment un outil très intéressant pour... déterminer un objectif de coaching qui fonctionne. Ça veut dire quoi fonctionne ? Ça veut dire qu'à l'arrivée, c'est un objectif de coaching qui va vous permettre d'avoir un périmètre de questionnement qui est efficace. Alors, c'est plusieurs fois que je dis efficace, donc je vais vraiment définir ce qui est efficace. Si le client vient et démarre sur quelque chose de plutôt large, un objectif large, en fait, le champ des possibles de questionnement va être encore plus large. Ce qui veut dire qu'on laisse une part très grande à la chance d'intervenir sur est-ce que oui ou non ça va permettre à mon client de passer à l'action. Un objectif efficace, c'est celui qui est fixé de façon très précise, concise, concrète. On sait vraiment qui fait quoi, pourquoi, comment il le fait et pourquoi il veut le faire. Ce qui nous permet au cours d'une séance de pouvoir questionner uniquement ce qui entra à cet objectif. Merci. Là que la stratégie devient intéressante, c'est parce qu'elle se base sur un objectif qui a été fixé de façon pertinente. Et vous voyez que là, je ne suis plus dans la technique, je suis dans la stratégie. La technique me dit qu'il faut un objectif. La technique va me donner les caractéristiques de cet objectif, mais ça, c'est intégré. Par contre, là où ça va être intéressant, c'est quelle stratégie je mets en place pour le trouver, cet objectif. Parce que ce n'est pas à mon client de me le donner. C'est impossible. Vous ne savez pas le faire vous-même. Vous allez vous-même voir un superviseur pour aller chercher les solutions aux problématiques que vous avez. En tout cas, je vous le souhaite. Moi, personnellement, quand j'ai une problématique comme ça, je fais appel à mon superviseur. Donc, c'est intéressant. Et puis, les risques qu'on pourrait avoir à ne pas avoir cet objectif, c'est d'entraîner une forme de stress chez les coachs. Parce que finalement, vous avez tous et on a tous vécu ces séances. On a la sensation que le client, il comprend des choses, mais que ça n'avance pas. Les actions ne sont pas mises en. les actions ne sont pas mises en place et ça va générer une forme de stress, ça va générer une perte de présence, ça va générer une perte de discernement et pour certains, ça va générer le réflexe de vouloir reprendre le contrôle un petit peu sur ce qui se passe et de tomber dans autre chose que du coaching, ce qui est d'ailleurs très très très très fréquent, je pense, où on commence à donner des solutions, à faciliter la vie du client, on commence en fait à trouver des voies. des voies de facilité pour moi, qui en fait ne sont pas des voies d'introspection. Pour avoir une introspection, il me faut un objectif. Et pour avoir un objectif, il me faut une stratégie. Et pareil, il me faudra une stratégie aussi dans mon introspection, mais cette stratégie ne sera efficace que si elle est basée sur un objectif. Vous voyez, on tourne un peu en rond, et en même temps, c'est un cercle très vertueux. Donc vous voyez maintenant pourquoi c'est vraiment déterminant de déterminer un objectif. Alors déterminant, déterminer, ce n'est pas très joli. de déterminer un objectif solide. Une fois que vous avez la vision claire de la destination, vous pouvez mettre en place une stratégie de manière assez naturelle et assez singulière en respectant qui vous êtes. Donc en résumé, la technique en coaching, c'est vraiment fondamental, c'est la base, c'est votre socle. Si on est dans la construction d'une maison, on va dire que c'est vos fondations. C'est vraiment les fondations, ça doit être intégré. Mais ce qu'on voit quand on regarde une maison, ce ne sont pas les fondations. c'est toute la stratégie qui a été mise en place par l'architecte, par les décorateurs, et qui fait que quand on est dedans, on s'y sent bien. Donc cette stratégie, cette technique en coaching, elle doit être intégrée pour laisser place à la qualité de présence du coach, pour laisser place à sa singularité. Une stratégie, elle, ne peut être efficace que si elle s'appuie sur un objectif clair. Alors, choisissez la présence, l'intention et la stratégie, plutôt que la performance qui serait basée sur la mise en application d'une technique. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vais organiser des ateliers. Je pense que j'en ferai à minima deux par an, notamment sur les stratégies et les intentions dans les objectifs, mais j'en ferai d'autres. Vous pouvez consulter aussi notre site web sur l'école du coaching inclusif.com pour plus d'informations sur tous nos événements. Il y aura d'autres sujets qui sont abordés en atelier. Un atelier, c'est une session de formation plutôt courte. Donc, ceux du midi, c'est deux heures d'atelier avec un sujet très précis. Vous avez aussi des ateliers sur les demi-journées. Je vous invite vraiment à vous inscrire parce que ça va vous permettre de passer à un autre stade sur des sujets vraiment très précis qui seront vos préoccupations à vous. Vous trouverez toutes les informations aussi concernant l'objectif dans mon livre « Repérer et coacher les profils atypiques » qui a été publié aux éditions Erol. Là-dessus, vous avez tout un chapitre qui est consacré à l'objectif avec une démo de coaching, avec la mise en application de la stratégie, des commentaires. Je vous explique à chaque fois pourquoi j'ai posé telle question, dans quel but, avec quelle intention. Ce sont à chaque fois dans le livre que des vrais coachings que j'ai réalisés. Donc, c'est toujours des moments émouvants quand vous me dites que ça vous a touché ou quand vous me dites que vous avez pu vous appuyer dessus. Voilà, je vous remercie beaucoup d'avoir écouté cet épisode. J'aime passer ces temps avec vous. Et ce que j'aime le plus, c'est avoir vos retours. Donc, n'hésitez pas à commenter sur les réseaux sociaux, à commenter ce podcast, à nous faire un retour par mail pour nous dire ce que cet épisode vous a apporté. Ceux qui ont mes coordonnées, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Je suis vraiment très preneuse de ce type d'échange. Vous pourriez aussi vous poster... pas vous postez vous, on n'allait pas vous envoyer à la poste, mais faire un poste avec le podcast et votre avis dessus, ça va élargir notre communauté, ça va permettre d'élargir cette communauté humaine de personnes qui veulent faire un pas de côté, sortir des certitudes pour construire un autre milieu. Prenez plaisir à accompagner vos clients, et ne vous stressez pas avec la technique, intégrez-la pour vraiment prendre plaisir et contribuer à ce monde plus inclus. A bientôt. Donc, c'était Patricia, votre coach, votre superviseur, votre formatrice. N'hésitez pas à aller écouter également les podcasts de Marianne sur sa chaîne M3 qui vous parle beaucoup d'écologie d'entrepreneur, qui vous donne des conseils. De Claudia sur sa chaîne Odyssée Intérieure, où vous avez des récits métaphoriques absolument incroyables, incroyables pour pouvoir réaliser des auto-introspections. Et Christelle Cassier sur sa chaîne de Coeur à Coeur, qui vous partage. comme ce moment-là, de cœur à cœur, des tranches de vie pour vous faire réfléchir sur vos tranches de vie. À nous quatre, on a vraiment envie de contribuer à un monde plus inclusif, plus humain, beaucoup plus simple. Alors, à très bientôt !

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Je suis Patricia Cyprien Cloarec, coach professionnelle et superviseure, spécialisée dans l'inclusion. Dans
ce podcast, nous explorons la différence cruciale entre la mécanique de
questionnement en coaching et une véritable stratégie de coaching. 

Découvrez pourquoi la qualité de présence du coach est la clé pour une séance de coaching
réussie. La technique est essentielle, mais une fois intégrée, elle doit laisser place à l'intuition, à l'écoute active, et à l'adaptation en temps réel. 


Si vous êtes un coach en herbe ou expérimenté  ou encore une personne curieuse qui iame comprendre, cet épisode vous aidera à trouver l'équilibre entre technique et présence. 

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  • Speaker #0

    Bienvenue sur votre podcast Amalgam, le podcast qui vous fait faire un pas de côté, qui bouscule les croyances et explore l'univers du coaching professionnel. Alors je suis Patricia Cyprien-Couarec, votre coach professionnel, superviseur, formatrice, et je suis aussi l'auteur du livre Repérer et coacher les profils atypiques. Je me suis spécialisée dans les problématiques liées à l'inclusion au sens large. Aujourd'hui, nous allons plonger au cœur d'une question existentielle pour vous, les coachs. Quelle est la différence entre la technique de questionnement, la mécanique en coaching, et une véritable stratégie de coaching ? Alors, vous allez rester à l'écoute et découvrir avec moi pourquoi il est intéressant de se poser cette question, de faire le lien avec la qualité de présence du coach, de voir quelle est la place de l'un et de l'autre pour ne pas faire d'amalgame entre les deux, et enfin, avoir une petite clé de réussite entre vos mains. Alors pour beaucoup, le coaching est perçu comme un ensemble de techniques à maîtriser, comme un processus à maîtriser. Et c'est vrai que cette technique, elle est indispensable. Ce processus est indispensable. C'est un socle. C'est en fait les fondations d'une maison. Cette technique, ce processus doit vraiment être là à l'origine de manière à structurer l'entretien, de manière à valider, à assurer. La posture aussi du coach, sa déontologie. Ça me fait un peu penser à l'analogie d'un danseur qui apprend des pas pour un spectacle. Bien évidemment, la technique de base, elle doit être intégrée. Les spécificités de chaque danse doivent être intégrées, mais à l'arrivée, ce n'est pas ce qui sera au premier plan. Imaginez un danseur qui, pendant sa représentation, se concentre uniquement sur les pas qu'il a appris. Sur cette technique de base, ça ne fonctionnerait pas. Il n'y aurait pas de communication entre vous. Pour que ça fonctionne, il faut que le danseur ait envie de communiquer avec vous. Il a envie de se connecter à vous-même, de se connecter, on va dire, à l'émotion qu'il veut transmettre. Mais pour ça, ça va lui demander quelque chose de très, très, très important, notamment pour nous les coachs, c'est se connecter à nous-mêmes, se connecter à l'instant présent, se connecter à nos émotions. En coaching, c'est pareil. La technique, elle est cruciale pour avancer de manière structurée, comme je l'ai dit, mais c'est quelque chose qui doit être suffisamment intégré pour être oublié en séance. Quand on dit oublié, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait pas, ça veut dire qu'on ne le fait tellement, cette structure. Par exemple, pour ceux qui ont appris comme moi la technique du gros, cette technique où on va d'abord chercher l'objectif, creuser la réalité, poser des nouvelles idées d'options, d'actions, pour ensuite s'engager, c'est quelque chose, aujourd'hui, que je peux appliquer même dans une conversation avec mon enfant. C'est-à-dire que quand je lui parle, je parle sur base d'un objectif que je peux même construire avec lui. Je peux aller chercher comment lui perçoit la chose, plutôt que de lui punir, de lui dire comment tu vois le truc, et ensuite voir les idées qui pourraient émerger de ça, parce qu'il aura compris quelque chose, et ensuite s'engager. Ça n'a pas besoin de durer une heure, une demi-heure, ça peut durer cinq minutes. C'est une technique qui, une fois intégrée, doit quasiment disparaître parce qu'elle est intégrée, et parce que vous avez compris aussi son intérêt. Quand une technique a été intégrée, c'est qu'elle a été comprise, c'est-à-dire que vous avez compris le sens et l'intérêt de ce process. Maintenant, ce qui va être intéressant, c'est de se dire que quand la technique comme ça est intégrée, reprenons l'exemple de notre danseur, on ne la sent pas, on ne la voit pas. Le client, comme nous, spectateurs, ce qu'on est là à vivre est plus important. que de savoir si oui ou non, se demander si oui ou non il a réussi ou pas les pas qu'il avait appris pendant tous ses entraînements. C'est une question qu'on ne se pose pas puisqu'on est là dans nos ressentis, on est là dans la pleine présence, on est connecté, on ne se pose pas des questions. Et pour le coach, c'est pareil. À ce moment-là, la technique étant tellement intégrée, le coach est là pour ressentir lui aussi. Il est là pour être dans sa pleine présence, présence avec ses sens, avec ses oreilles. Présence avec ses yeux, avec son toucher, avec ce qu'il ressent, il est connecté, il pense à ses questions, il est dans une notion d'intention. Et c'est là que c'est intéressant de continuer à avancer cette réflexion sur cette qualité de présence. Parce que pour moi, qui suis initialement affiliée à la Fédération de coaching internationale ICF, la qualité de présence est pour moi la compétence la plus... longue et la plus complexe à acquérir parce qu'elle paraît simple finalement être présent dans la pièce et dans la visio c'est être avec son client c'est se dire ah bah oui moi je suis présent j'entends ce qui me dit j'entends ce qui me dit ce qui me dit pas alors qu'en fait La présence, et je ne vais pas vous faire là une étude de la présence, mais c'est vraiment pour moi la compétence la plus complexe, parce que quelqu'un qui a une grande qualité de présence a réussi à intégrer tellement son propre fonctionnement, se connaît tellement et est tellement dans l'acceptation de ce qu'il est qu'en fait, qui il est, son programme, ses propres liens disparaissent. C'est pour ça que vous verrez parfois dans des interviews que j'ai pu faire que la qualité de présence d'un coach se mesure à la qualité de son absence en séance. Cette qualité de présence, quand elle commence à se développer, ça englobe bien sûr l'écoute, la perception, mais plus on monte en pression, en pression, pas en pression, plus on monte en présence, en qualité de présence, plus cette perception peut aller jusqu'à devenir très subtile. je vous parle pas des gens qui sont par exemple, hyper empathique, des personnes qui sont en capacité de ressentir une douleur physique là où le client leur soit. Moi, par exemple, ça m'est arrivé d'avoir une douleur dans le dos et de dire à mon client, je ne lui ai pas dit tu as une douleur dans le dos, je n'étais pas ce genre de présomption. Par contre, ça m'indique que cette douleur n'a pas l'air de m'appartenir et que je peux effectivement questionner le client sur comment il se sent, s'il y a quelque chose qui se passe dans son corps. Et vous voyez, ça c'est une qualité de... présence qu'il est possible que si moi je suis en phase avec moi même et que je me connais bien la résonance avec le client a dit je me connais bien c'est pareil je pourrais digresser là dessus parce que méfiez vous de ça quand on dit qu'on se connaît bien moi quand je vous dis que je vous connais bien ça veut dire que je suis consciente qu'il ya une quantité assez effroyable de choses sur moi que je ne connais pas et c'est ça que je connais bien Donc, je reviens sur la présence. Donc, il y a aussi les résonances qu'on va avoir avec le client. Elles sont intéressantes. Alors, il ne faut pas en avoir peur, bien évidemment. Forcément, quand on se forme, on apprend à se méfier de ces résonances. Mais plus la qualité de présence augmente, plus du coup, on est en absence de ses propres blessures, ressenties liées à notre expérience personnelle, à nous. Et donc, on peut entrer en résonance, mais sur la partie résiliente, la partie guérie. ou la partie qui est très stabilisée, finalement, émotionnellement, de la blessure. Et la résonance, dans ces cas-là, devient très intéressante, parce qu'elle permet d'avoir des questionnements, elle permet d'avoir des intentions. Donc pour moi, le coach, il est un peu comme un miroir. Il va refléter les émotions du client, alors pas parce qu'il va se mettre à pleurer lui aussi. Si le client a une émotion liée à quelque chose qui lui fait pleurer, par exemple la tristesse, ça peut être une autre émotion. Bon, alors, nous... Mais un miroir, parce que finalement, il va refléter. Oui, mettez-vous devant un miroir. Vous allez voir que dans le miroir, selon qui vous êtes, il y a différentes choses que vous pouvez voir. Il y a bien sûr vous dans votre couche physique terrestre classique. Mais dans un miroir, vos pensées sont aussi reflétées, mais on ne sait pas les voir. Dans le miroir, votre énergie est reflétée, mais on ne sait pas la voir. Dans le miroir, tout un tas de choses sont reflétées. que nous ne savons pas voir avec nos yeux, parce qu'on cherche à voir avec nos yeux. Et finalement, le travail d'un coach, c'est justement d'augmenter cette qualité de présence pour refléter autre chose que ce qui est assez évident et qui sera fait de façon évidente dans un miroir. On est là pour être une autre qualité de miroir. Le coach est là aussi pour refléter les émotions, parce qu'elles ne se présentent pas de façon évidente. Un client triste ne pleure pas toujours. Un client en colère ne se met pas en colère. Et donc ça... Le reflet des émotions, c'est intéressant, non pas pour dire « tiens, cher client, je vois que tu as telle émotion » , mais dans son intention et dans sa stratégie de questionnement, permettre le reflet des émotions, c'est permettre leur expression. Parce qu'on les a perçues et que plutôt que de les donner nous-mêmes, c'est permettre l'expression. On va pouvoir faire de même avec les besoins du client, ses désirs. C'est cette qualité de présence qui va nous permettre de capter le non-dit, de sentir l'énergie du moment présent, de s'adapter en conséquence et de faire preuve de... sollicitude de bienveillance, la vraie bienveillance. Alors, finalement, un coach, il va adapter finalement ses intentions. Il va adapter sa posture sans faire quelque chose qui n'est pas lui. Mais il va s'ajuster parce qu'il va se connecter à son client et il va pouvoir ajuster sa stratégie en fonction des signaux qu'il reçoit et que les clients envoient. Et que les clients envoient consciemment ou inconsciemment. Le client, il n'est pas là pour rentrer dans des outils, il n'est pas là pour rentrer dans une technique. Il est là pour nous offrir des opportunités de questionnement. des opportunités à l'instant présent. Et c'est là que le coach devient pertinent, c'est quand il est capable, sur l'instant présent, de mettre en place, d'adapter son questionnement sur la base d'une stratégie ou d'une intention efficace. Et qu'est-ce qui fait que c'est efficace ? C'est que c'est en lien avec le moment présent, c'est en lien avec la circonstance, on va dire l'environnement dans lequel on se trouve, et c'est en lien avec l'énergie qui est dégagée sur le moment. Pour faire ça, comment on peut savoir si c'est efficace ou pas ? Comment on peut savoir si c'est en lien avec ce que l'étudiant veut atteindre ou pas ? Ce qui est important pour ça, c'est d'avoir fixé un objectif clair. C'est d'avoir une séance qui est basée sur un objectif concret, un objectif, vous l'avez vu dans mon livre, positif, basé sur une action qui est orientée vers le futur et qui est plutôt spécifique. L'outil PASS, c'est vraiment un outil très intéressant pour... déterminer un objectif de coaching qui fonctionne. Ça veut dire quoi fonctionne ? Ça veut dire qu'à l'arrivée, c'est un objectif de coaching qui va vous permettre d'avoir un périmètre de questionnement qui est efficace. Alors, c'est plusieurs fois que je dis efficace, donc je vais vraiment définir ce qui est efficace. Si le client vient et démarre sur quelque chose de plutôt large, un objectif large, en fait, le champ des possibles de questionnement va être encore plus large. Ce qui veut dire qu'on laisse une part très grande à la chance d'intervenir sur est-ce que oui ou non ça va permettre à mon client de passer à l'action. Un objectif efficace, c'est celui qui est fixé de façon très précise, concise, concrète. On sait vraiment qui fait quoi, pourquoi, comment il le fait et pourquoi il veut le faire. Ce qui nous permet au cours d'une séance de pouvoir questionner uniquement ce qui entra à cet objectif. Merci. Là que la stratégie devient intéressante, c'est parce qu'elle se base sur un objectif qui a été fixé de façon pertinente. Et vous voyez que là, je ne suis plus dans la technique, je suis dans la stratégie. La technique me dit qu'il faut un objectif. La technique va me donner les caractéristiques de cet objectif, mais ça, c'est intégré. Par contre, là où ça va être intéressant, c'est quelle stratégie je mets en place pour le trouver, cet objectif. Parce que ce n'est pas à mon client de me le donner. C'est impossible. Vous ne savez pas le faire vous-même. Vous allez vous-même voir un superviseur pour aller chercher les solutions aux problématiques que vous avez. En tout cas, je vous le souhaite. Moi, personnellement, quand j'ai une problématique comme ça, je fais appel à mon superviseur. Donc, c'est intéressant. Et puis, les risques qu'on pourrait avoir à ne pas avoir cet objectif, c'est d'entraîner une forme de stress chez les coachs. Parce que finalement, vous avez tous et on a tous vécu ces séances. On a la sensation que le client, il comprend des choses, mais que ça n'avance pas. Les actions ne sont pas mises en. les actions ne sont pas mises en place et ça va générer une forme de stress, ça va générer une perte de présence, ça va générer une perte de discernement et pour certains, ça va générer le réflexe de vouloir reprendre le contrôle un petit peu sur ce qui se passe et de tomber dans autre chose que du coaching, ce qui est d'ailleurs très très très très fréquent, je pense, où on commence à donner des solutions, à faciliter la vie du client, on commence en fait à trouver des voies. des voies de facilité pour moi, qui en fait ne sont pas des voies d'introspection. Pour avoir une introspection, il me faut un objectif. Et pour avoir un objectif, il me faut une stratégie. Et pareil, il me faudra une stratégie aussi dans mon introspection, mais cette stratégie ne sera efficace que si elle est basée sur un objectif. Vous voyez, on tourne un peu en rond, et en même temps, c'est un cercle très vertueux. Donc vous voyez maintenant pourquoi c'est vraiment déterminant de déterminer un objectif. Alors déterminant, déterminer, ce n'est pas très joli. de déterminer un objectif solide. Une fois que vous avez la vision claire de la destination, vous pouvez mettre en place une stratégie de manière assez naturelle et assez singulière en respectant qui vous êtes. Donc en résumé, la technique en coaching, c'est vraiment fondamental, c'est la base, c'est votre socle. Si on est dans la construction d'une maison, on va dire que c'est vos fondations. C'est vraiment les fondations, ça doit être intégré. Mais ce qu'on voit quand on regarde une maison, ce ne sont pas les fondations. c'est toute la stratégie qui a été mise en place par l'architecte, par les décorateurs, et qui fait que quand on est dedans, on s'y sent bien. Donc cette stratégie, cette technique en coaching, elle doit être intégrée pour laisser place à la qualité de présence du coach, pour laisser place à sa singularité. Une stratégie, elle, ne peut être efficace que si elle s'appuie sur un objectif clair. Alors, choisissez la présence, l'intention et la stratégie, plutôt que la performance qui serait basée sur la mise en application d'une technique. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vais organiser des ateliers. Je pense que j'en ferai à minima deux par an, notamment sur les stratégies et les intentions dans les objectifs, mais j'en ferai d'autres. Vous pouvez consulter aussi notre site web sur l'école du coaching inclusif.com pour plus d'informations sur tous nos événements. Il y aura d'autres sujets qui sont abordés en atelier. Un atelier, c'est une session de formation plutôt courte. Donc, ceux du midi, c'est deux heures d'atelier avec un sujet très précis. Vous avez aussi des ateliers sur les demi-journées. Je vous invite vraiment à vous inscrire parce que ça va vous permettre de passer à un autre stade sur des sujets vraiment très précis qui seront vos préoccupations à vous. Vous trouverez toutes les informations aussi concernant l'objectif dans mon livre « Repérer et coacher les profils atypiques » qui a été publié aux éditions Erol. Là-dessus, vous avez tout un chapitre qui est consacré à l'objectif avec une démo de coaching, avec la mise en application de la stratégie, des commentaires. Je vous explique à chaque fois pourquoi j'ai posé telle question, dans quel but, avec quelle intention. Ce sont à chaque fois dans le livre que des vrais coachings que j'ai réalisés. Donc, c'est toujours des moments émouvants quand vous me dites que ça vous a touché ou quand vous me dites que vous avez pu vous appuyer dessus. Voilà, je vous remercie beaucoup d'avoir écouté cet épisode. J'aime passer ces temps avec vous. Et ce que j'aime le plus, c'est avoir vos retours. Donc, n'hésitez pas à commenter sur les réseaux sociaux, à commenter ce podcast, à nous faire un retour par mail pour nous dire ce que cet épisode vous a apporté. Ceux qui ont mes coordonnées, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Je suis vraiment très preneuse de ce type d'échange. Vous pourriez aussi vous poster... pas vous postez vous, on n'allait pas vous envoyer à la poste, mais faire un poste avec le podcast et votre avis dessus, ça va élargir notre communauté, ça va permettre d'élargir cette communauté humaine de personnes qui veulent faire un pas de côté, sortir des certitudes pour construire un autre milieu. Prenez plaisir à accompagner vos clients, et ne vous stressez pas avec la technique, intégrez-la pour vraiment prendre plaisir et contribuer à ce monde plus inclus. A bientôt. Donc, c'était Patricia, votre coach, votre superviseur, votre formatrice. N'hésitez pas à aller écouter également les podcasts de Marianne sur sa chaîne M3 qui vous parle beaucoup d'écologie d'entrepreneur, qui vous donne des conseils. De Claudia sur sa chaîne Odyssée Intérieure, où vous avez des récits métaphoriques absolument incroyables, incroyables pour pouvoir réaliser des auto-introspections. Et Christelle Cassier sur sa chaîne de Coeur à Coeur, qui vous partage. comme ce moment-là, de cœur à cœur, des tranches de vie pour vous faire réfléchir sur vos tranches de vie. À nous quatre, on a vraiment envie de contribuer à un monde plus inclusif, plus humain, beaucoup plus simple. Alors, à très bientôt !

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Description

Plongez dans l'univers fascinant du coaching avec "Amalgames". 


Je suis Patricia Cyprien Cloarec, coach professionnelle et superviseure, spécialisée dans l'inclusion. Dans
ce podcast, nous explorons la différence cruciale entre la mécanique de
questionnement en coaching et une véritable stratégie de coaching. 

Découvrez pourquoi la qualité de présence du coach est la clé pour une séance de coaching
réussie. La technique est essentielle, mais une fois intégrée, elle doit laisser place à l'intuition, à l'écoute active, et à l'adaptation en temps réel. 


Si vous êtes un coach en herbe ou expérimenté  ou encore une personne curieuse qui iame comprendre, cet épisode vous aidera à trouver l'équilibre entre technique et présence. 

Écoutez
"Amalgames" pour transformer votre pratique du coaching et approfondir votre posture de coach.   


Suivre notre actu: www.ecoleducoachinginclusif .com

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue sur votre podcast Amalgam, le podcast qui vous fait faire un pas de côté, qui bouscule les croyances et explore l'univers du coaching professionnel. Alors je suis Patricia Cyprien-Couarec, votre coach professionnel, superviseur, formatrice, et je suis aussi l'auteur du livre Repérer et coacher les profils atypiques. Je me suis spécialisée dans les problématiques liées à l'inclusion au sens large. Aujourd'hui, nous allons plonger au cœur d'une question existentielle pour vous, les coachs. Quelle est la différence entre la technique de questionnement, la mécanique en coaching, et une véritable stratégie de coaching ? Alors, vous allez rester à l'écoute et découvrir avec moi pourquoi il est intéressant de se poser cette question, de faire le lien avec la qualité de présence du coach, de voir quelle est la place de l'un et de l'autre pour ne pas faire d'amalgame entre les deux, et enfin, avoir une petite clé de réussite entre vos mains. Alors pour beaucoup, le coaching est perçu comme un ensemble de techniques à maîtriser, comme un processus à maîtriser. Et c'est vrai que cette technique, elle est indispensable. Ce processus est indispensable. C'est un socle. C'est en fait les fondations d'une maison. Cette technique, ce processus doit vraiment être là à l'origine de manière à structurer l'entretien, de manière à valider, à assurer. La posture aussi du coach, sa déontologie. Ça me fait un peu penser à l'analogie d'un danseur qui apprend des pas pour un spectacle. Bien évidemment, la technique de base, elle doit être intégrée. Les spécificités de chaque danse doivent être intégrées, mais à l'arrivée, ce n'est pas ce qui sera au premier plan. Imaginez un danseur qui, pendant sa représentation, se concentre uniquement sur les pas qu'il a appris. Sur cette technique de base, ça ne fonctionnerait pas. Il n'y aurait pas de communication entre vous. Pour que ça fonctionne, il faut que le danseur ait envie de communiquer avec vous. Il a envie de se connecter à vous-même, de se connecter, on va dire, à l'émotion qu'il veut transmettre. Mais pour ça, ça va lui demander quelque chose de très, très, très important, notamment pour nous les coachs, c'est se connecter à nous-mêmes, se connecter à l'instant présent, se connecter à nos émotions. En coaching, c'est pareil. La technique, elle est cruciale pour avancer de manière structurée, comme je l'ai dit, mais c'est quelque chose qui doit être suffisamment intégré pour être oublié en séance. Quand on dit oublié, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait pas, ça veut dire qu'on ne le fait tellement, cette structure. Par exemple, pour ceux qui ont appris comme moi la technique du gros, cette technique où on va d'abord chercher l'objectif, creuser la réalité, poser des nouvelles idées d'options, d'actions, pour ensuite s'engager, c'est quelque chose, aujourd'hui, que je peux appliquer même dans une conversation avec mon enfant. C'est-à-dire que quand je lui parle, je parle sur base d'un objectif que je peux même construire avec lui. Je peux aller chercher comment lui perçoit la chose, plutôt que de lui punir, de lui dire comment tu vois le truc, et ensuite voir les idées qui pourraient émerger de ça, parce qu'il aura compris quelque chose, et ensuite s'engager. Ça n'a pas besoin de durer une heure, une demi-heure, ça peut durer cinq minutes. C'est une technique qui, une fois intégrée, doit quasiment disparaître parce qu'elle est intégrée, et parce que vous avez compris aussi son intérêt. Quand une technique a été intégrée, c'est qu'elle a été comprise, c'est-à-dire que vous avez compris le sens et l'intérêt de ce process. Maintenant, ce qui va être intéressant, c'est de se dire que quand la technique comme ça est intégrée, reprenons l'exemple de notre danseur, on ne la sent pas, on ne la voit pas. Le client, comme nous, spectateurs, ce qu'on est là à vivre est plus important. que de savoir si oui ou non, se demander si oui ou non il a réussi ou pas les pas qu'il avait appris pendant tous ses entraînements. C'est une question qu'on ne se pose pas puisqu'on est là dans nos ressentis, on est là dans la pleine présence, on est connecté, on ne se pose pas des questions. Et pour le coach, c'est pareil. À ce moment-là, la technique étant tellement intégrée, le coach est là pour ressentir lui aussi. Il est là pour être dans sa pleine présence, présence avec ses sens, avec ses oreilles. Présence avec ses yeux, avec son toucher, avec ce qu'il ressent, il est connecté, il pense à ses questions, il est dans une notion d'intention. Et c'est là que c'est intéressant de continuer à avancer cette réflexion sur cette qualité de présence. Parce que pour moi, qui suis initialement affiliée à la Fédération de coaching internationale ICF, la qualité de présence est pour moi la compétence la plus... longue et la plus complexe à acquérir parce qu'elle paraît simple finalement être présent dans la pièce et dans la visio c'est être avec son client c'est se dire ah bah oui moi je suis présent j'entends ce qui me dit j'entends ce qui me dit ce qui me dit pas alors qu'en fait La présence, et je ne vais pas vous faire là une étude de la présence, mais c'est vraiment pour moi la compétence la plus complexe, parce que quelqu'un qui a une grande qualité de présence a réussi à intégrer tellement son propre fonctionnement, se connaît tellement et est tellement dans l'acceptation de ce qu'il est qu'en fait, qui il est, son programme, ses propres liens disparaissent. C'est pour ça que vous verrez parfois dans des interviews que j'ai pu faire que la qualité de présence d'un coach se mesure à la qualité de son absence en séance. Cette qualité de présence, quand elle commence à se développer, ça englobe bien sûr l'écoute, la perception, mais plus on monte en pression, en pression, pas en pression, plus on monte en présence, en qualité de présence, plus cette perception peut aller jusqu'à devenir très subtile. je vous parle pas des gens qui sont par exemple, hyper empathique, des personnes qui sont en capacité de ressentir une douleur physique là où le client leur soit. Moi, par exemple, ça m'est arrivé d'avoir une douleur dans le dos et de dire à mon client, je ne lui ai pas dit tu as une douleur dans le dos, je n'étais pas ce genre de présomption. Par contre, ça m'indique que cette douleur n'a pas l'air de m'appartenir et que je peux effectivement questionner le client sur comment il se sent, s'il y a quelque chose qui se passe dans son corps. Et vous voyez, ça c'est une qualité de... présence qu'il est possible que si moi je suis en phase avec moi même et que je me connais bien la résonance avec le client a dit je me connais bien c'est pareil je pourrais digresser là dessus parce que méfiez vous de ça quand on dit qu'on se connaît bien moi quand je vous dis que je vous connais bien ça veut dire que je suis consciente qu'il ya une quantité assez effroyable de choses sur moi que je ne connais pas et c'est ça que je connais bien Donc, je reviens sur la présence. Donc, il y a aussi les résonances qu'on va avoir avec le client. Elles sont intéressantes. Alors, il ne faut pas en avoir peur, bien évidemment. Forcément, quand on se forme, on apprend à se méfier de ces résonances. Mais plus la qualité de présence augmente, plus du coup, on est en absence de ses propres blessures, ressenties liées à notre expérience personnelle, à nous. Et donc, on peut entrer en résonance, mais sur la partie résiliente, la partie guérie. ou la partie qui est très stabilisée, finalement, émotionnellement, de la blessure. Et la résonance, dans ces cas-là, devient très intéressante, parce qu'elle permet d'avoir des questionnements, elle permet d'avoir des intentions. Donc pour moi, le coach, il est un peu comme un miroir. Il va refléter les émotions du client, alors pas parce qu'il va se mettre à pleurer lui aussi. Si le client a une émotion liée à quelque chose qui lui fait pleurer, par exemple la tristesse, ça peut être une autre émotion. Bon, alors, nous... Mais un miroir, parce que finalement, il va refléter. Oui, mettez-vous devant un miroir. Vous allez voir que dans le miroir, selon qui vous êtes, il y a différentes choses que vous pouvez voir. Il y a bien sûr vous dans votre couche physique terrestre classique. Mais dans un miroir, vos pensées sont aussi reflétées, mais on ne sait pas les voir. Dans le miroir, votre énergie est reflétée, mais on ne sait pas la voir. Dans le miroir, tout un tas de choses sont reflétées. que nous ne savons pas voir avec nos yeux, parce qu'on cherche à voir avec nos yeux. Et finalement, le travail d'un coach, c'est justement d'augmenter cette qualité de présence pour refléter autre chose que ce qui est assez évident et qui sera fait de façon évidente dans un miroir. On est là pour être une autre qualité de miroir. Le coach est là aussi pour refléter les émotions, parce qu'elles ne se présentent pas de façon évidente. Un client triste ne pleure pas toujours. Un client en colère ne se met pas en colère. Et donc ça... Le reflet des émotions, c'est intéressant, non pas pour dire « tiens, cher client, je vois que tu as telle émotion » , mais dans son intention et dans sa stratégie de questionnement, permettre le reflet des émotions, c'est permettre leur expression. Parce qu'on les a perçues et que plutôt que de les donner nous-mêmes, c'est permettre l'expression. On va pouvoir faire de même avec les besoins du client, ses désirs. C'est cette qualité de présence qui va nous permettre de capter le non-dit, de sentir l'énergie du moment présent, de s'adapter en conséquence et de faire preuve de... sollicitude de bienveillance, la vraie bienveillance. Alors, finalement, un coach, il va adapter finalement ses intentions. Il va adapter sa posture sans faire quelque chose qui n'est pas lui. Mais il va s'ajuster parce qu'il va se connecter à son client et il va pouvoir ajuster sa stratégie en fonction des signaux qu'il reçoit et que les clients envoient. Et que les clients envoient consciemment ou inconsciemment. Le client, il n'est pas là pour rentrer dans des outils, il n'est pas là pour rentrer dans une technique. Il est là pour nous offrir des opportunités de questionnement. des opportunités à l'instant présent. Et c'est là que le coach devient pertinent, c'est quand il est capable, sur l'instant présent, de mettre en place, d'adapter son questionnement sur la base d'une stratégie ou d'une intention efficace. Et qu'est-ce qui fait que c'est efficace ? C'est que c'est en lien avec le moment présent, c'est en lien avec la circonstance, on va dire l'environnement dans lequel on se trouve, et c'est en lien avec l'énergie qui est dégagée sur le moment. Pour faire ça, comment on peut savoir si c'est efficace ou pas ? Comment on peut savoir si c'est en lien avec ce que l'étudiant veut atteindre ou pas ? Ce qui est important pour ça, c'est d'avoir fixé un objectif clair. C'est d'avoir une séance qui est basée sur un objectif concret, un objectif, vous l'avez vu dans mon livre, positif, basé sur une action qui est orientée vers le futur et qui est plutôt spécifique. L'outil PASS, c'est vraiment un outil très intéressant pour... déterminer un objectif de coaching qui fonctionne. Ça veut dire quoi fonctionne ? Ça veut dire qu'à l'arrivée, c'est un objectif de coaching qui va vous permettre d'avoir un périmètre de questionnement qui est efficace. Alors, c'est plusieurs fois que je dis efficace, donc je vais vraiment définir ce qui est efficace. Si le client vient et démarre sur quelque chose de plutôt large, un objectif large, en fait, le champ des possibles de questionnement va être encore plus large. Ce qui veut dire qu'on laisse une part très grande à la chance d'intervenir sur est-ce que oui ou non ça va permettre à mon client de passer à l'action. Un objectif efficace, c'est celui qui est fixé de façon très précise, concise, concrète. On sait vraiment qui fait quoi, pourquoi, comment il le fait et pourquoi il veut le faire. Ce qui nous permet au cours d'une séance de pouvoir questionner uniquement ce qui entra à cet objectif. Merci. Là que la stratégie devient intéressante, c'est parce qu'elle se base sur un objectif qui a été fixé de façon pertinente. Et vous voyez que là, je ne suis plus dans la technique, je suis dans la stratégie. La technique me dit qu'il faut un objectif. La technique va me donner les caractéristiques de cet objectif, mais ça, c'est intégré. Par contre, là où ça va être intéressant, c'est quelle stratégie je mets en place pour le trouver, cet objectif. Parce que ce n'est pas à mon client de me le donner. C'est impossible. Vous ne savez pas le faire vous-même. Vous allez vous-même voir un superviseur pour aller chercher les solutions aux problématiques que vous avez. En tout cas, je vous le souhaite. Moi, personnellement, quand j'ai une problématique comme ça, je fais appel à mon superviseur. Donc, c'est intéressant. Et puis, les risques qu'on pourrait avoir à ne pas avoir cet objectif, c'est d'entraîner une forme de stress chez les coachs. Parce que finalement, vous avez tous et on a tous vécu ces séances. On a la sensation que le client, il comprend des choses, mais que ça n'avance pas. Les actions ne sont pas mises en. les actions ne sont pas mises en place et ça va générer une forme de stress, ça va générer une perte de présence, ça va générer une perte de discernement et pour certains, ça va générer le réflexe de vouloir reprendre le contrôle un petit peu sur ce qui se passe et de tomber dans autre chose que du coaching, ce qui est d'ailleurs très très très très fréquent, je pense, où on commence à donner des solutions, à faciliter la vie du client, on commence en fait à trouver des voies. des voies de facilité pour moi, qui en fait ne sont pas des voies d'introspection. Pour avoir une introspection, il me faut un objectif. Et pour avoir un objectif, il me faut une stratégie. Et pareil, il me faudra une stratégie aussi dans mon introspection, mais cette stratégie ne sera efficace que si elle est basée sur un objectif. Vous voyez, on tourne un peu en rond, et en même temps, c'est un cercle très vertueux. Donc vous voyez maintenant pourquoi c'est vraiment déterminant de déterminer un objectif. Alors déterminant, déterminer, ce n'est pas très joli. de déterminer un objectif solide. Une fois que vous avez la vision claire de la destination, vous pouvez mettre en place une stratégie de manière assez naturelle et assez singulière en respectant qui vous êtes. Donc en résumé, la technique en coaching, c'est vraiment fondamental, c'est la base, c'est votre socle. Si on est dans la construction d'une maison, on va dire que c'est vos fondations. C'est vraiment les fondations, ça doit être intégré. Mais ce qu'on voit quand on regarde une maison, ce ne sont pas les fondations. c'est toute la stratégie qui a été mise en place par l'architecte, par les décorateurs, et qui fait que quand on est dedans, on s'y sent bien. Donc cette stratégie, cette technique en coaching, elle doit être intégrée pour laisser place à la qualité de présence du coach, pour laisser place à sa singularité. Une stratégie, elle, ne peut être efficace que si elle s'appuie sur un objectif clair. Alors, choisissez la présence, l'intention et la stratégie, plutôt que la performance qui serait basée sur la mise en application d'une technique. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vais organiser des ateliers. Je pense que j'en ferai à minima deux par an, notamment sur les stratégies et les intentions dans les objectifs, mais j'en ferai d'autres. Vous pouvez consulter aussi notre site web sur l'école du coaching inclusif.com pour plus d'informations sur tous nos événements. Il y aura d'autres sujets qui sont abordés en atelier. Un atelier, c'est une session de formation plutôt courte. Donc, ceux du midi, c'est deux heures d'atelier avec un sujet très précis. Vous avez aussi des ateliers sur les demi-journées. Je vous invite vraiment à vous inscrire parce que ça va vous permettre de passer à un autre stade sur des sujets vraiment très précis qui seront vos préoccupations à vous. Vous trouverez toutes les informations aussi concernant l'objectif dans mon livre « Repérer et coacher les profils atypiques » qui a été publié aux éditions Erol. Là-dessus, vous avez tout un chapitre qui est consacré à l'objectif avec une démo de coaching, avec la mise en application de la stratégie, des commentaires. Je vous explique à chaque fois pourquoi j'ai posé telle question, dans quel but, avec quelle intention. Ce sont à chaque fois dans le livre que des vrais coachings que j'ai réalisés. Donc, c'est toujours des moments émouvants quand vous me dites que ça vous a touché ou quand vous me dites que vous avez pu vous appuyer dessus. Voilà, je vous remercie beaucoup d'avoir écouté cet épisode. J'aime passer ces temps avec vous. Et ce que j'aime le plus, c'est avoir vos retours. Donc, n'hésitez pas à commenter sur les réseaux sociaux, à commenter ce podcast, à nous faire un retour par mail pour nous dire ce que cet épisode vous a apporté. Ceux qui ont mes coordonnées, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Je suis vraiment très preneuse de ce type d'échange. Vous pourriez aussi vous poster... pas vous postez vous, on n'allait pas vous envoyer à la poste, mais faire un poste avec le podcast et votre avis dessus, ça va élargir notre communauté, ça va permettre d'élargir cette communauté humaine de personnes qui veulent faire un pas de côté, sortir des certitudes pour construire un autre milieu. Prenez plaisir à accompagner vos clients, et ne vous stressez pas avec la technique, intégrez-la pour vraiment prendre plaisir et contribuer à ce monde plus inclus. A bientôt. Donc, c'était Patricia, votre coach, votre superviseur, votre formatrice. N'hésitez pas à aller écouter également les podcasts de Marianne sur sa chaîne M3 qui vous parle beaucoup d'écologie d'entrepreneur, qui vous donne des conseils. De Claudia sur sa chaîne Odyssée Intérieure, où vous avez des récits métaphoriques absolument incroyables, incroyables pour pouvoir réaliser des auto-introspections. Et Christelle Cassier sur sa chaîne de Coeur à Coeur, qui vous partage. comme ce moment-là, de cœur à cœur, des tranches de vie pour vous faire réfléchir sur vos tranches de vie. À nous quatre, on a vraiment envie de contribuer à un monde plus inclusif, plus humain, beaucoup plus simple. Alors, à très bientôt !

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Je suis Patricia Cyprien Cloarec, coach professionnelle et superviseure, spécialisée dans l'inclusion. Dans
ce podcast, nous explorons la différence cruciale entre la mécanique de
questionnement en coaching et une véritable stratégie de coaching. 

Découvrez pourquoi la qualité de présence du coach est la clé pour une séance de coaching
réussie. La technique est essentielle, mais une fois intégrée, elle doit laisser place à l'intuition, à l'écoute active, et à l'adaptation en temps réel. 


Si vous êtes un coach en herbe ou expérimenté  ou encore une personne curieuse qui iame comprendre, cet épisode vous aidera à trouver l'équilibre entre technique et présence. 

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Alors pour beaucoup, le coaching est perçu comme un ensemble de techniques à maîtriser, comme un processus à maîtriser. Et c'est vrai que cette technique, elle est indispensable. Ce processus est indispensable. C'est un socle. C'est en fait les fondations d'une maison. Cette technique, ce processus doit vraiment être là à l'origine de manière à structurer l'entretien, de manière à valider, à assurer. La posture aussi du coach, sa déontologie. Ça me fait un peu penser à l'analogie d'un danseur qui apprend des pas pour un spectacle. Bien évidemment, la technique de base, elle doit être intégrée. Les spécificités de chaque danse doivent être intégrées, mais à l'arrivée, ce n'est pas ce qui sera au premier plan. Imaginez un danseur qui, pendant sa représentation, se concentre uniquement sur les pas qu'il a appris. Sur cette technique de base, ça ne fonctionnerait pas. Il n'y aurait pas de communication entre vous. Pour que ça fonctionne, il faut que le danseur ait envie de communiquer avec vous. Il a envie de se connecter à vous-même, de se connecter, on va dire, à l'émotion qu'il veut transmettre. Mais pour ça, ça va lui demander quelque chose de très, très, très important, notamment pour nous les coachs, c'est se connecter à nous-mêmes, se connecter à l'instant présent, se connecter à nos émotions. En coaching, c'est pareil. La technique, elle est cruciale pour avancer de manière structurée, comme je l'ai dit, mais c'est quelque chose qui doit être suffisamment intégré pour être oublié en séance. Quand on dit oublié, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait pas, ça veut dire qu'on ne le fait tellement, cette structure. Par exemple, pour ceux qui ont appris comme moi la technique du gros, cette technique où on va d'abord chercher l'objectif, creuser la réalité, poser des nouvelles idées d'options, d'actions, pour ensuite s'engager, c'est quelque chose, aujourd'hui, que je peux appliquer même dans une conversation avec mon enfant. C'est-à-dire que quand je lui parle, je parle sur base d'un objectif que je peux même construire avec lui. Je peux aller chercher comment lui perçoit la chose, plutôt que de lui punir, de lui dire comment tu vois le truc, et ensuite voir les idées qui pourraient émerger de ça, parce qu'il aura compris quelque chose, et ensuite s'engager. Ça n'a pas besoin de durer une heure, une demi-heure, ça peut durer cinq minutes. C'est une technique qui, une fois intégrée, doit quasiment disparaître parce qu'elle est intégrée, et parce que vous avez compris aussi son intérêt. Quand une technique a été intégrée, c'est qu'elle a été comprise, c'est-à-dire que vous avez compris le sens et l'intérêt de ce process. Maintenant, ce qui va être intéressant, c'est de se dire que quand la technique comme ça est intégrée, reprenons l'exemple de notre danseur, on ne la sent pas, on ne la voit pas. Le client, comme nous, spectateurs, ce qu'on est là à vivre est plus important. que de savoir si oui ou non, se demander si oui ou non il a réussi ou pas les pas qu'il avait appris pendant tous ses entraînements. C'est une question qu'on ne se pose pas puisqu'on est là dans nos ressentis, on est là dans la pleine présence, on est connecté, on ne se pose pas des questions. Et pour le coach, c'est pareil. À ce moment-là, la technique étant tellement intégrée, le coach est là pour ressentir lui aussi. Il est là pour être dans sa pleine présence, présence avec ses sens, avec ses oreilles. Présence avec ses yeux, avec son toucher, avec ce qu'il ressent, il est connecté, il pense à ses questions, il est dans une notion d'intention. Et c'est là que c'est intéressant de continuer à avancer cette réflexion sur cette qualité de présence. Parce que pour moi, qui suis initialement affiliée à la Fédération de coaching internationale ICF, la qualité de présence est pour moi la compétence la plus... longue et la plus complexe à acquérir parce qu'elle paraît simple finalement être présent dans la pièce et dans la visio c'est être avec son client c'est se dire ah bah oui moi je suis présent j'entends ce qui me dit j'entends ce qui me dit ce qui me dit pas alors qu'en fait La présence, et je ne vais pas vous faire là une étude de la présence, mais c'est vraiment pour moi la compétence la plus complexe, parce que quelqu'un qui a une grande qualité de présence a réussi à intégrer tellement son propre fonctionnement, se connaît tellement et est tellement dans l'acceptation de ce qu'il est qu'en fait, qui il est, son programme, ses propres liens disparaissent. C'est pour ça que vous verrez parfois dans des interviews que j'ai pu faire que la qualité de présence d'un coach se mesure à la qualité de son absence en séance. Cette qualité de présence, quand elle commence à se développer, ça englobe bien sûr l'écoute, la perception, mais plus on monte en pression, en pression, pas en pression, plus on monte en présence, en qualité de présence, plus cette perception peut aller jusqu'à devenir très subtile. je vous parle pas des gens qui sont par exemple, hyper empathique, des personnes qui sont en capacité de ressentir une douleur physique là où le client leur soit. Moi, par exemple, ça m'est arrivé d'avoir une douleur dans le dos et de dire à mon client, je ne lui ai pas dit tu as une douleur dans le dos, je n'étais pas ce genre de présomption. Par contre, ça m'indique que cette douleur n'a pas l'air de m'appartenir et que je peux effectivement questionner le client sur comment il se sent, s'il y a quelque chose qui se passe dans son corps. Et vous voyez, ça c'est une qualité de... présence qu'il est possible que si moi je suis en phase avec moi même et que je me connais bien la résonance avec le client a dit je me connais bien c'est pareil je pourrais digresser là dessus parce que méfiez vous de ça quand on dit qu'on se connaît bien moi quand je vous dis que je vous connais bien ça veut dire que je suis consciente qu'il ya une quantité assez effroyable de choses sur moi que je ne connais pas et c'est ça que je connais bien Donc, je reviens sur la présence. Donc, il y a aussi les résonances qu'on va avoir avec le client. Elles sont intéressantes. Alors, il ne faut pas en avoir peur, bien évidemment. Forcément, quand on se forme, on apprend à se méfier de ces résonances. Mais plus la qualité de présence augmente, plus du coup, on est en absence de ses propres blessures, ressenties liées à notre expérience personnelle, à nous. Et donc, on peut entrer en résonance, mais sur la partie résiliente, la partie guérie. ou la partie qui est très stabilisée, finalement, émotionnellement, de la blessure. Et la résonance, dans ces cas-là, devient très intéressante, parce qu'elle permet d'avoir des questionnements, elle permet d'avoir des intentions. Donc pour moi, le coach, il est un peu comme un miroir. Il va refléter les émotions du client, alors pas parce qu'il va se mettre à pleurer lui aussi. Si le client a une émotion liée à quelque chose qui lui fait pleurer, par exemple la tristesse, ça peut être une autre émotion. Bon, alors, nous... Mais un miroir, parce que finalement, il va refléter. Oui, mettez-vous devant un miroir. Vous allez voir que dans le miroir, selon qui vous êtes, il y a différentes choses que vous pouvez voir. Il y a bien sûr vous dans votre couche physique terrestre classique. Mais dans un miroir, vos pensées sont aussi reflétées, mais on ne sait pas les voir. Dans le miroir, votre énergie est reflétée, mais on ne sait pas la voir. Dans le miroir, tout un tas de choses sont reflétées. que nous ne savons pas voir avec nos yeux, parce qu'on cherche à voir avec nos yeux. Et finalement, le travail d'un coach, c'est justement d'augmenter cette qualité de présence pour refléter autre chose que ce qui est assez évident et qui sera fait de façon évidente dans un miroir. On est là pour être une autre qualité de miroir. Le coach est là aussi pour refléter les émotions, parce qu'elles ne se présentent pas de façon évidente. Un client triste ne pleure pas toujours. Un client en colère ne se met pas en colère. Et donc ça... Le reflet des émotions, c'est intéressant, non pas pour dire « tiens, cher client, je vois que tu as telle émotion » , mais dans son intention et dans sa stratégie de questionnement, permettre le reflet des émotions, c'est permettre leur expression. Parce qu'on les a perçues et que plutôt que de les donner nous-mêmes, c'est permettre l'expression. On va pouvoir faire de même avec les besoins du client, ses désirs. C'est cette qualité de présence qui va nous permettre de capter le non-dit, de sentir l'énergie du moment présent, de s'adapter en conséquence et de faire preuve de... sollicitude de bienveillance, la vraie bienveillance. Alors, finalement, un coach, il va adapter finalement ses intentions. Il va adapter sa posture sans faire quelque chose qui n'est pas lui. Mais il va s'ajuster parce qu'il va se connecter à son client et il va pouvoir ajuster sa stratégie en fonction des signaux qu'il reçoit et que les clients envoient. Et que les clients envoient consciemment ou inconsciemment. Le client, il n'est pas là pour rentrer dans des outils, il n'est pas là pour rentrer dans une technique. Il est là pour nous offrir des opportunités de questionnement. des opportunités à l'instant présent. Et c'est là que le coach devient pertinent, c'est quand il est capable, sur l'instant présent, de mettre en place, d'adapter son questionnement sur la base d'une stratégie ou d'une intention efficace. Et qu'est-ce qui fait que c'est efficace ? C'est que c'est en lien avec le moment présent, c'est en lien avec la circonstance, on va dire l'environnement dans lequel on se trouve, et c'est en lien avec l'énergie qui est dégagée sur le moment. Pour faire ça, comment on peut savoir si c'est efficace ou pas ? Comment on peut savoir si c'est en lien avec ce que l'étudiant veut atteindre ou pas ? Ce qui est important pour ça, c'est d'avoir fixé un objectif clair. C'est d'avoir une séance qui est basée sur un objectif concret, un objectif, vous l'avez vu dans mon livre, positif, basé sur une action qui est orientée vers le futur et qui est plutôt spécifique. L'outil PASS, c'est vraiment un outil très intéressant pour... déterminer un objectif de coaching qui fonctionne. Ça veut dire quoi fonctionne ? Ça veut dire qu'à l'arrivée, c'est un objectif de coaching qui va vous permettre d'avoir un périmètre de questionnement qui est efficace. Alors, c'est plusieurs fois que je dis efficace, donc je vais vraiment définir ce qui est efficace. Si le client vient et démarre sur quelque chose de plutôt large, un objectif large, en fait, le champ des possibles de questionnement va être encore plus large. Ce qui veut dire qu'on laisse une part très grande à la chance d'intervenir sur est-ce que oui ou non ça va permettre à mon client de passer à l'action. Un objectif efficace, c'est celui qui est fixé de façon très précise, concise, concrète. On sait vraiment qui fait quoi, pourquoi, comment il le fait et pourquoi il veut le faire. Ce qui nous permet au cours d'une séance de pouvoir questionner uniquement ce qui entra à cet objectif. Merci. Là que la stratégie devient intéressante, c'est parce qu'elle se base sur un objectif qui a été fixé de façon pertinente. Et vous voyez que là, je ne suis plus dans la technique, je suis dans la stratégie. La technique me dit qu'il faut un objectif. La technique va me donner les caractéristiques de cet objectif, mais ça, c'est intégré. Par contre, là où ça va être intéressant, c'est quelle stratégie je mets en place pour le trouver, cet objectif. Parce que ce n'est pas à mon client de me le donner. C'est impossible. Vous ne savez pas le faire vous-même. Vous allez vous-même voir un superviseur pour aller chercher les solutions aux problématiques que vous avez. En tout cas, je vous le souhaite. Moi, personnellement, quand j'ai une problématique comme ça, je fais appel à mon superviseur. Donc, c'est intéressant. Et puis, les risques qu'on pourrait avoir à ne pas avoir cet objectif, c'est d'entraîner une forme de stress chez les coachs. Parce que finalement, vous avez tous et on a tous vécu ces séances. On a la sensation que le client, il comprend des choses, mais que ça n'avance pas. Les actions ne sont pas mises en. les actions ne sont pas mises en place et ça va générer une forme de stress, ça va générer une perte de présence, ça va générer une perte de discernement et pour certains, ça va générer le réflexe de vouloir reprendre le contrôle un petit peu sur ce qui se passe et de tomber dans autre chose que du coaching, ce qui est d'ailleurs très très très très fréquent, je pense, où on commence à donner des solutions, à faciliter la vie du client, on commence en fait à trouver des voies. des voies de facilité pour moi, qui en fait ne sont pas des voies d'introspection. Pour avoir une introspection, il me faut un objectif. Et pour avoir un objectif, il me faut une stratégie. Et pareil, il me faudra une stratégie aussi dans mon introspection, mais cette stratégie ne sera efficace que si elle est basée sur un objectif. Vous voyez, on tourne un peu en rond, et en même temps, c'est un cercle très vertueux. Donc vous voyez maintenant pourquoi c'est vraiment déterminant de déterminer un objectif. Alors déterminant, déterminer, ce n'est pas très joli. de déterminer un objectif solide. Une fois que vous avez la vision claire de la destination, vous pouvez mettre en place une stratégie de manière assez naturelle et assez singulière en respectant qui vous êtes. Donc en résumé, la technique en coaching, c'est vraiment fondamental, c'est la base, c'est votre socle. Si on est dans la construction d'une maison, on va dire que c'est vos fondations. C'est vraiment les fondations, ça doit être intégré. Mais ce qu'on voit quand on regarde une maison, ce ne sont pas les fondations. c'est toute la stratégie qui a été mise en place par l'architecte, par les décorateurs, et qui fait que quand on est dedans, on s'y sent bien. Donc cette stratégie, cette technique en coaching, elle doit être intégrée pour laisser place à la qualité de présence du coach, pour laisser place à sa singularité. Une stratégie, elle, ne peut être efficace que si elle s'appuie sur un objectif clair. Alors, choisissez la présence, l'intention et la stratégie, plutôt que la performance qui serait basée sur la mise en application d'une technique. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, je vais organiser des ateliers. Je pense que j'en ferai à minima deux par an, notamment sur les stratégies et les intentions dans les objectifs, mais j'en ferai d'autres. Vous pouvez consulter aussi notre site web sur l'école du coaching inclusif.com pour plus d'informations sur tous nos événements. Il y aura d'autres sujets qui sont abordés en atelier. Un atelier, c'est une session de formation plutôt courte. Donc, ceux du midi, c'est deux heures d'atelier avec un sujet très précis. Vous avez aussi des ateliers sur les demi-journées. Je vous invite vraiment à vous inscrire parce que ça va vous permettre de passer à un autre stade sur des sujets vraiment très précis qui seront vos préoccupations à vous. Vous trouverez toutes les informations aussi concernant l'objectif dans mon livre « Repérer et coacher les profils atypiques » qui a été publié aux éditions Erol. Là-dessus, vous avez tout un chapitre qui est consacré à l'objectif avec une démo de coaching, avec la mise en application de la stratégie, des commentaires. Je vous explique à chaque fois pourquoi j'ai posé telle question, dans quel but, avec quelle intention. Ce sont à chaque fois dans le livre que des vrais coachings que j'ai réalisés. Donc, c'est toujours des moments émouvants quand vous me dites que ça vous a touché ou quand vous me dites que vous avez pu vous appuyer dessus. Voilà, je vous remercie beaucoup d'avoir écouté cet épisode. J'aime passer ces temps avec vous. Et ce que j'aime le plus, c'est avoir vos retours. Donc, n'hésitez pas à commenter sur les réseaux sociaux, à commenter ce podcast, à nous faire un retour par mail pour nous dire ce que cet épisode vous a apporté. Ceux qui ont mes coordonnées, n'hésitez pas à m'envoyer un petit message. Je suis vraiment très preneuse de ce type d'échange. Vous pourriez aussi vous poster... pas vous postez vous, on n'allait pas vous envoyer à la poste, mais faire un poste avec le podcast et votre avis dessus, ça va élargir notre communauté, ça va permettre d'élargir cette communauté humaine de personnes qui veulent faire un pas de côté, sortir des certitudes pour construire un autre milieu. Prenez plaisir à accompagner vos clients, et ne vous stressez pas avec la technique, intégrez-la pour vraiment prendre plaisir et contribuer à ce monde plus inclus. A bientôt. Donc, c'était Patricia, votre coach, votre superviseur, votre formatrice. N'hésitez pas à aller écouter également les podcasts de Marianne sur sa chaîne M3 qui vous parle beaucoup d'écologie d'entrepreneur, qui vous donne des conseils. De Claudia sur sa chaîne Odyssée Intérieure, où vous avez des récits métaphoriques absolument incroyables, incroyables pour pouvoir réaliser des auto-introspections. Et Christelle Cassier sur sa chaîne de Coeur à Coeur, qui vous partage. comme ce moment-là, de cœur à cœur, des tranches de vie pour vous faire réfléchir sur vos tranches de vie. À nous quatre, on a vraiment envie de contribuer à un monde plus inclusif, plus humain, beaucoup plus simple. Alors, à très bientôt !

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