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L'établi de l'EAC

Le projet Trieux, un projet éducatif et de territoire

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25min |19/06/2025
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Description

Le projet Trieux est  un projet de territoire, un projet éducatif qui s’articule autour d’un fil conducteur commun : ici, il s’agit du fleuve du Trieux. Ce projet fédère des écoles , des collèges et un lycée ainsi que des partenaires institutionnels et culturels.


C’est un projet d’ensemble, construit collectivement. Ce n’est pas simplement un partenariat traditionnel entre une école et un partenaire.

Au départ, il n’y a rien, si ce n’est la volonté de travailler ensemble autour de ce sujet commun, ce bien commun qu’est le fleuve côtier. Ensuite, au fil du temps, le projet s’est développé dans des directions inattendues. On se retrouve alors avec un réseau d’établissements scolaires allant de la maternelle à l’université, y compris l’INSEAC du CNAM, ainsi qu’un réseau de partenaires engagés dans ce parcours fluvial allant des Archives départementales au club de kayak de Guingamp.

Ce projet s’est construit sur le long terme : des temps de formation des enseignants (deux journées spécifiques), de nombreuses médiations menées par les partenaires — notamment par les étudiants de l’INSEAC — et une valorisation aujourd’hui des travaux concrétisée par un temps fort, un moment de partage entre toutes les classes autour de ce qu’elles ont fait, appris et retenu.


Nous sommes ici au cœur donc d’un véritable projet de territoire, qui répond aux objectifs d’un projet d’éducation artistique et culturelle, mais aussi à ceux d’un projet d’éducation au développement durable. C’est en cela que ce projet sur le Trieux est précieux : il participe à la construction de ce qu’on appelle les aires éducatives — qu’elles soient terrestres, fluviales ou marines —, c’est-à-dire des espaces imaginés comme étant gérés « comme des adultes » par les élèves, dans une logique de responsabilisation. Les élèves ont compris que le Trieux n’est pas un fleuve parmi d’autres : c’est un patrimoine de proximité, leur patrimoine de proximité une œuvre de la nature à préserver.


Les 9 étudiantes et l’étudiants de master 1 de l’INSEAC du CNAM, en option Patrimoine et Photographie, encadrées moi-même et Solange Reboul du centre d’art Gwin Zegal, se sont particulièrement impliquées à un moment clé du projet. À l’issue de la formation des enseignants, ils ont proposé des médiations innovantes en lien avec un projet qui avait débuté avant leur implication. Accompagnées de leurs enseignants, ils ont conçu et expérimenté des médiations s’adressant à un public allant de la petite section de maternelle à des élèves de lycée professionnel (Lycée Jules Verne).

Le spectre était donc très large, mais ces étudiants ont relevé le défi de concevoir et mettre en œuvre ces médiations dans un laps de temps très court. En tout, huit interventions ont été menées auprès d’établissements scolaires, in situ, c’est-à-dire le long du Trieux. Ce fut un véritable souffle pour le projet, à un moment où il rencontrait des difficultés, notamment budgétaires.


Pour les étudiants, ce fut un terrain d’apprentissage exceptionnel, qu’ils ont eux-mêmes reconnu comme tel. En effet, on n’apprend jamais mieux l’éducation artistique et culturelle qu’en la pratiquant. Ces étudiants, qui deviendront demain des cadres de l’action culturelle, ont ainsi eux aussi mis la main à la pâte à partir des sources des archives départementales sur le Trieux et de la focale photographique du centre d’art Gwin Zegal.


Enregistrements et montage : Mickaël Sauvage

Réalisation : Emmanuel Laot et Mickaël Sauvage


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Le projet Trieux est  un projet de territoire, un projet éducatif qui s’articule autour d’un fil conducteur commun : ici, il s’agit du fleuve du Trieux. Ce projet fédère des écoles , des collèges et un lycée ainsi que des partenaires institutionnels et culturels.


C’est un projet d’ensemble, construit collectivement. Ce n’est pas simplement un partenariat traditionnel entre une école et un partenaire.

Au départ, il n’y a rien, si ce n’est la volonté de travailler ensemble autour de ce sujet commun, ce bien commun qu’est le fleuve côtier. Ensuite, au fil du temps, le projet s’est développé dans des directions inattendues. On se retrouve alors avec un réseau d’établissements scolaires allant de la maternelle à l’université, y compris l’INSEAC du CNAM, ainsi qu’un réseau de partenaires engagés dans ce parcours fluvial allant des Archives départementales au club de kayak de Guingamp.

Ce projet s’est construit sur le long terme : des temps de formation des enseignants (deux journées spécifiques), de nombreuses médiations menées par les partenaires — notamment par les étudiants de l’INSEAC — et une valorisation aujourd’hui des travaux concrétisée par un temps fort, un moment de partage entre toutes les classes autour de ce qu’elles ont fait, appris et retenu.


Nous sommes ici au cœur donc d’un véritable projet de territoire, qui répond aux objectifs d’un projet d’éducation artistique et culturelle, mais aussi à ceux d’un projet d’éducation au développement durable. C’est en cela que ce projet sur le Trieux est précieux : il participe à la construction de ce qu’on appelle les aires éducatives — qu’elles soient terrestres, fluviales ou marines —, c’est-à-dire des espaces imaginés comme étant gérés « comme des adultes » par les élèves, dans une logique de responsabilisation. Les élèves ont compris que le Trieux n’est pas un fleuve parmi d’autres : c’est un patrimoine de proximité, leur patrimoine de proximité une œuvre de la nature à préserver.


Les 9 étudiantes et l’étudiants de master 1 de l’INSEAC du CNAM, en option Patrimoine et Photographie, encadrées moi-même et Solange Reboul du centre d’art Gwin Zegal, se sont particulièrement impliquées à un moment clé du projet. À l’issue de la formation des enseignants, ils ont proposé des médiations innovantes en lien avec un projet qui avait débuté avant leur implication. Accompagnées de leurs enseignants, ils ont conçu et expérimenté des médiations s’adressant à un public allant de la petite section de maternelle à des élèves de lycée professionnel (Lycée Jules Verne).

Le spectre était donc très large, mais ces étudiants ont relevé le défi de concevoir et mettre en œuvre ces médiations dans un laps de temps très court. En tout, huit interventions ont été menées auprès d’établissements scolaires, in situ, c’est-à-dire le long du Trieux. Ce fut un véritable souffle pour le projet, à un moment où il rencontrait des difficultés, notamment budgétaires.


Pour les étudiants, ce fut un terrain d’apprentissage exceptionnel, qu’ils ont eux-mêmes reconnu comme tel. En effet, on n’apprend jamais mieux l’éducation artistique et culturelle qu’en la pratiquant. Ces étudiants, qui deviendront demain des cadres de l’action culturelle, ont ainsi eux aussi mis la main à la pâte à partir des sources des archives départementales sur le Trieux et de la focale photographique du centre d’art Gwin Zegal.


Enregistrements et montage : Mickaël Sauvage

Réalisation : Emmanuel Laot et Mickaël Sauvage


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Le projet Trieux est  un projet de territoire, un projet éducatif qui s’articule autour d’un fil conducteur commun : ici, il s’agit du fleuve du Trieux. Ce projet fédère des écoles , des collèges et un lycée ainsi que des partenaires institutionnels et culturels.


C’est un projet d’ensemble, construit collectivement. Ce n’est pas simplement un partenariat traditionnel entre une école et un partenaire.

Au départ, il n’y a rien, si ce n’est la volonté de travailler ensemble autour de ce sujet commun, ce bien commun qu’est le fleuve côtier. Ensuite, au fil du temps, le projet s’est développé dans des directions inattendues. On se retrouve alors avec un réseau d’établissements scolaires allant de la maternelle à l’université, y compris l’INSEAC du CNAM, ainsi qu’un réseau de partenaires engagés dans ce parcours fluvial allant des Archives départementales au club de kayak de Guingamp.

Ce projet s’est construit sur le long terme : des temps de formation des enseignants (deux journées spécifiques), de nombreuses médiations menées par les partenaires — notamment par les étudiants de l’INSEAC — et une valorisation aujourd’hui des travaux concrétisée par un temps fort, un moment de partage entre toutes les classes autour de ce qu’elles ont fait, appris et retenu.


Nous sommes ici au cœur donc d’un véritable projet de territoire, qui répond aux objectifs d’un projet d’éducation artistique et culturelle, mais aussi à ceux d’un projet d’éducation au développement durable. C’est en cela que ce projet sur le Trieux est précieux : il participe à la construction de ce qu’on appelle les aires éducatives — qu’elles soient terrestres, fluviales ou marines —, c’est-à-dire des espaces imaginés comme étant gérés « comme des adultes » par les élèves, dans une logique de responsabilisation. Les élèves ont compris que le Trieux n’est pas un fleuve parmi d’autres : c’est un patrimoine de proximité, leur patrimoine de proximité une œuvre de la nature à préserver.


Les 9 étudiantes et l’étudiants de master 1 de l’INSEAC du CNAM, en option Patrimoine et Photographie, encadrées moi-même et Solange Reboul du centre d’art Gwin Zegal, se sont particulièrement impliquées à un moment clé du projet. À l’issue de la formation des enseignants, ils ont proposé des médiations innovantes en lien avec un projet qui avait débuté avant leur implication. Accompagnées de leurs enseignants, ils ont conçu et expérimenté des médiations s’adressant à un public allant de la petite section de maternelle à des élèves de lycée professionnel (Lycée Jules Verne).

Le spectre était donc très large, mais ces étudiants ont relevé le défi de concevoir et mettre en œuvre ces médiations dans un laps de temps très court. En tout, huit interventions ont été menées auprès d’établissements scolaires, in situ, c’est-à-dire le long du Trieux. Ce fut un véritable souffle pour le projet, à un moment où il rencontrait des difficultés, notamment budgétaires.


Pour les étudiants, ce fut un terrain d’apprentissage exceptionnel, qu’ils ont eux-mêmes reconnu comme tel. En effet, on n’apprend jamais mieux l’éducation artistique et culturelle qu’en la pratiquant. Ces étudiants, qui deviendront demain des cadres de l’action culturelle, ont ainsi eux aussi mis la main à la pâte à partir des sources des archives départementales sur le Trieux et de la focale photographique du centre d’art Gwin Zegal.


Enregistrements et montage : Mickaël Sauvage

Réalisation : Emmanuel Laot et Mickaël Sauvage


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Le projet Trieux est  un projet de territoire, un projet éducatif qui s’articule autour d’un fil conducteur commun : ici, il s’agit du fleuve du Trieux. Ce projet fédère des écoles , des collèges et un lycée ainsi que des partenaires institutionnels et culturels.


C’est un projet d’ensemble, construit collectivement. Ce n’est pas simplement un partenariat traditionnel entre une école et un partenaire.

Au départ, il n’y a rien, si ce n’est la volonté de travailler ensemble autour de ce sujet commun, ce bien commun qu’est le fleuve côtier. Ensuite, au fil du temps, le projet s’est développé dans des directions inattendues. On se retrouve alors avec un réseau d’établissements scolaires allant de la maternelle à l’université, y compris l’INSEAC du CNAM, ainsi qu’un réseau de partenaires engagés dans ce parcours fluvial allant des Archives départementales au club de kayak de Guingamp.

Ce projet s’est construit sur le long terme : des temps de formation des enseignants (deux journées spécifiques), de nombreuses médiations menées par les partenaires — notamment par les étudiants de l’INSEAC — et une valorisation aujourd’hui des travaux concrétisée par un temps fort, un moment de partage entre toutes les classes autour de ce qu’elles ont fait, appris et retenu.


Nous sommes ici au cœur donc d’un véritable projet de territoire, qui répond aux objectifs d’un projet d’éducation artistique et culturelle, mais aussi à ceux d’un projet d’éducation au développement durable. C’est en cela que ce projet sur le Trieux est précieux : il participe à la construction de ce qu’on appelle les aires éducatives — qu’elles soient terrestres, fluviales ou marines —, c’est-à-dire des espaces imaginés comme étant gérés « comme des adultes » par les élèves, dans une logique de responsabilisation. Les élèves ont compris que le Trieux n’est pas un fleuve parmi d’autres : c’est un patrimoine de proximité, leur patrimoine de proximité une œuvre de la nature à préserver.


Les 9 étudiantes et l’étudiants de master 1 de l’INSEAC du CNAM, en option Patrimoine et Photographie, encadrées moi-même et Solange Reboul du centre d’art Gwin Zegal, se sont particulièrement impliquées à un moment clé du projet. À l’issue de la formation des enseignants, ils ont proposé des médiations innovantes en lien avec un projet qui avait débuté avant leur implication. Accompagnées de leurs enseignants, ils ont conçu et expérimenté des médiations s’adressant à un public allant de la petite section de maternelle à des élèves de lycée professionnel (Lycée Jules Verne).

Le spectre était donc très large, mais ces étudiants ont relevé le défi de concevoir et mettre en œuvre ces médiations dans un laps de temps très court. En tout, huit interventions ont été menées auprès d’établissements scolaires, in situ, c’est-à-dire le long du Trieux. Ce fut un véritable souffle pour le projet, à un moment où il rencontrait des difficultés, notamment budgétaires.


Pour les étudiants, ce fut un terrain d’apprentissage exceptionnel, qu’ils ont eux-mêmes reconnu comme tel. En effet, on n’apprend jamais mieux l’éducation artistique et culturelle qu’en la pratiquant. Ces étudiants, qui deviendront demain des cadres de l’action culturelle, ont ainsi eux aussi mis la main à la pâte à partir des sources des archives départementales sur le Trieux et de la focale photographique du centre d’art Gwin Zegal.


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