- Speaker #0
Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.
- Speaker #1
Bonjour Sylvain !
- Speaker #0
Bonjour Jean-Christophe !
- Speaker #1
Merci de jouer le jeu de l'interview et de répondre à mes questions et de participer au podcast Rendez-vous. Tu connais certainement le principe de l'émission, trois grandes parties. Tout d'abord, on va écouter qui tu es, tu vas nous dire un petit peu ce que tu as fait aussi dans ton passé professionnel, ce qui explique un peu ce que tu fais aujourd'hui. Tu vas trouver ta carte blanche dans un second temps et puis dans une dernière partie, on parlera de... Ton entreprise actuelle, quel relationnel tu as dû créer pour la développer, qu'est-ce que tu fais avant d'en arriver là, etc. Ça te va ?
- Speaker #0
Ok, super.
- Speaker #1
Alors c'est parti juste pour commencer sans rentrer trop dans les détails parce qu'on aura toute l'occasion tout à l'heure d'y rentrer justement dans les détails. Est-ce que tu peux te présenter ton nom, ton prénom, ta profession et ton entreprise ?
- Speaker #0
Alors bonjour, moi c'est Sylvain Mante, je suis le cofondateur de Ozak, j'ai 28 ans. depuis peu, et je suis Nantais. Je suis un des trois cofondateurs de Ozak. Et Ozak qui est depuis deux ans maintenant la première plateforme de vente privilège de places de cinéma.
- Speaker #1
D'où tu viens ? Qu'est-ce que tu as fait comme études ? Quelles ont été tes premières aventures professionnelles ?
- Speaker #0
Alors d'où je viens ? Pas de très loin. Je suis Nantais. J'ai fait mes études à Nantes, dans une école qui s'appelle l'ENC. Une vieille école de commerce dans le centre-ville, donc j'ai fait un master en communication marketing. Je me suis spécialisé dans l'innovation à la fin de mes études. J'ai eu la chance de pouvoir travailler pendant mes études, j'ai fait de l'alternance. La dernière en date, c'était chez le groupe Cuisine Design, où je m'occupais de toute la partie de la stratégie digitale des deux marques de cuisine, Arthur Bonnet et Comera Cuisine. Et à côté de ça, j'étais freelance, toujours dans la communication digitale. J'accompagnais différentes marques et structures sur leur stratégie sur Instagram. Et un jour, l'idée d'Osa qui arrivait avec mes associés et on s'est lancé. Oui,
- Speaker #1
on en parlera tout à l'heure. Tu parlais d'innovation tout à l'heure. Est-ce que tu peux nous en dire plus ? En quel secteur précis tu as travaillé dans l'innovation ?
- Speaker #0
Alors, je n'avais pas de secteur prédéfini. C'était un peu mon envie. Je faisais mes études. Ça faisait quatre ans que j'étais autour de la communication, du marketing. J'avais envie d'avoir un peu de nouveaux horizons. J'ai eu la chance d'être bercé dans une famille d'entrepreneurs, que ce soit mes parents, mes grands-parents, mes cousins. Donc j'ai eu toujours cette volonté de vouloir créer, de vouloir entreprendre. Une petite fascination pour l'univers des startups et de voir tous ces entrepreneurs monter des projets, ça m'a toujours motivé. Donc je me suis dit pourquoi pas d'utiliser ma dernière année d'études pour un peu voir ce qui s'y passe en termes d'innovation à Nantes. On a une belle capitale de l'innovation. Donc c'est un peu pendant mes études que... est venue cette réflexion de vouloir innover et de vouloir entreprendre.
- Speaker #1
Surtout les leviers du web qui existent, à parler d'Instagram, quels sont tes réseaux sociaux de prédilection, tes stratégies marketing de prédilection ?
- Speaker #0
Tout dépend de ce qu'on recherche et ce qu'on veut faire. À titre perso, j'utilise beaucoup LinkedIn, bien sûr, parce que ça va être le réseau social où on va pouvoir retrouver tout l'environnement d'innovation, de start-up, d'entrepreneuriat. À titre perso, j'utilise beaucoup Instagram. J'ai beaucoup travaillé sur Instagram tout au long de ma carrière. Tout début du marketing d'influence sur Instagram. Donc j'ai moi-même pu tester la casquette d'influenceur pendant de nombreuses années. Donc j'ai eu la chance d'avoir le côté annonceur de comment utiliser les réseaux sociaux pour se faire connaître et intégrer les réseaux sociaux dans une stratégie marketing. Mais j'ai eu aussi l'autre casquette, la casquette d'influenceur, et justement de comment en tant que... que créateurs de contenu sur les réseaux sociaux, on arrive à accompagner des entreprises, accompagner des marques dans leur stratégie pour aller chercher du coup une nouvelle cible.
- Speaker #1
Et en tant qu'influenceur, quel type de message que tu véhiculais ?
- Speaker #0
Je n'avais pas de message en particulier. Mon activité d'influenceur, si on peut l'appeler comme ça, elle arrivait au tout début du marketing d'influence. À cette époque-là, on ne parlait même pas de métier. C'était vraiment les débuts où les marques commençaient à contacter des créateurs sur les réseaux sociaux pour utiliser leur audience. pour communiquer et toucher une nouvelle cible. Aujourd'hui, on voit bien que le métier s'est professionnalisé. Les marques ne contactent plus uniquement les créateurs de contenu, les influenceurs pour leur communauté, mais aussi pour le contenu qu'ils sont capables de créer et toute la créativité qu'il y a autour de ces talents. Donc moi, j'ai accompagné des marques sur différents sujets, sur du voyage, sur de la food, sur la mode masculine. Donc ça a été très varié.
- Speaker #1
Comment toute cette expérience, tu la fais transpirer, tu la mets en application dans Ozak ?
- Speaker #0
Aujourd'hui, au sein d'Ozak, j'ai pu prendre en charge la partie communication, marketing, recherche de spectateurs. Donc forcément, mes expériences passées ont aujourd'hui un impact sur Ozak et me permettent justement de mettre en place des stratégies de communication qui vont être pertinentes, d'avoir aussi un regard extérieur sur... Le marketing d'influence, les stratégies digitales, de trouver les meilleurs moyens, les meilleurs canaux pour aller toucher les spectateurs et leur donner envie d'aller au cinéma. Donc c'est une compétence qui aujourd'hui me sert beaucoup dans mon activité d'entrepreneur.
- Speaker #1
Allez, on y est, c'est l'heure de ta carte blanche. C'est à toi de jouer, t'as une minute.
- Speaker #0
Alors aujourd'hui, ça fait deux ans maintenant qu'on a lancé Ozak et au tout début de notre aventure. On nous répétait souvent que les plateformes de streaming étaient arrivées, que les plateformes de streaming allaient faire disparaître le cinéma, que d'autant plus grâce à cause de la crise sanitaire, les Français avaient pris l'habitude de regarder des films sur Internet et plus du tout de sortir au cinéma. Nous, on se bat depuis le début de Ozak pour prouver l'inverse, pour prouver que le cinéma et le streaming sont deux aspects qui peuvent avancer ensemble, deux moyens de regarder des films, deux moyens de... d'accéder au cinéma qui sont complètement différents. Et on est fiers aujourd'hui, ça fait deux ans, de voir que les plateformes de streaming sont toujours aussi nombreuses, mais les cinémas sont toujours aussi nombreux. Quand on voit les records d'audience sur certains films, comme le mois dernier, avec un petit truc en plus au cinéma, où on voit que les spectateurs ont toujours cette envie de venir dans les salles, toujours cette envie de sortir de chez eux, et que les plateformes de streaming ne sont pas là uniquement pour desservir nos salles de cinéma. On est contents. On est fiers aujourd'hui de pouvoir entreprendre dans un secteur qui est la culture, qui n'est pas un secteur facile, qui a été un secteur qui a été en difficulté pendant de nombreuses années, qui a subi de nombreux changements. Nous, on pense qu'on n'est pas encore assez de startups à tenter l'aventure d'entreprendre dans la culture, mais on espère pouvoir insuffler un nouveau souffle et donner de nouvelles idées à de futurs entrepreneurs et de montrer que la culture, c'est... un aspect économique important pour tous et qu'on a vraiment besoin d'aujourd'hui innover et d'entreprendre dans ce secteur.
- Speaker #1
Yes, le message est passé.
- Speaker #0
Rendez-vous, le podcast.
- Speaker #1
Dans une deuxième partie maintenant, on va vraiment parler de Ozak, comprendre un petit peu ce que c'est et les origines en fait. Alors on va commencer par les associés, vous êtes combien sur le projet ?
- Speaker #0
On est trois associés chez Ozak, donc il y a Mélanie Canivet qui s'occupe de la partie relations avec les cinémas, Cédric Merouani qui est le tech de la bande, qui a développé toute la plateforme, et moi-même du coup Sylvain Mante.
- Speaker #1
Et vous vous êtes dit un jour, c'est venu comment ? C'était autour d'un café ?
- Speaker #0
Non, ce n'était pas autour d'un café, ça peut paraître banal, mais c'était dans une salle de cinéma. L'idée de Ozak est née en 2019, donc ça remonte à il y a quelques années maintenant, c'était même avant la crise sanitaire. On est amis avant d'être associés et on était allés tous les trois au cinéma. Un samedi soir, on était partis voir un des derniers Marvel qui sortait en salle. Et ce soir-là, on s'est retrouvés dans une salle qui était quasiment vide. Donc effectivement, ce n'était pas la première fois que ça nous arrivait. Ça nous est tous déjà arrivé d'aller au cinéma et qu'il y ait très peu de personnes dans la salle. Mais ce soir-là, on a commencé à se poser des questions. Avec Mélanie, on était tous les deux aussi en changement de vie. On passait d'étudiants à jeunes actifs. Donc forcément, la place de cinéma qui passe du simple au double, mais derrière, pas forcément le pouvoir d'achat qui suit. Donc je pense que c'est ça qui nous a un peu titillés. Et face à l'immensité des sièges vides devant nous, on s'est posé la question s'il n'y avait pas un moyen aujourd'hui de permettre au cinéma de conquérir de nouveaux spectateurs ou du moins de faire venir les spectateurs plus souvent au cinéma pour remplir les salles. et en face avoir des spectateurs qui ont cette volonté d'aller au cinéma de façon plus spontanée aussi.
- Speaker #1
Alors quel est le modèle économique ? Qu'est-ce que vous faites concrètement ?
- Speaker #0
Alors Ozak, comme on le dit, c'est la première plateforme de vente privilège de places de cinéma. C'est un outil tech qui est relié au système de billetterie des cinémas qui permet à un exploitant de pouvoir proposer un nombre de sièges limité à tarif réduit sur des séances qu'il a envie de booster. Donc ça peut très bien être des films qui sont en fin de diffusion. Des créneaux plus faibles, mais ça peut aussi être des films en avant-première, des événements sur lesquels l'exploitant a l'envie de communiquer pour booster le bouche-à-oreille. Et derrière, Ozak, ça se concrétise avec une application et un site internet où les spectateurs, simplement en indiquant leur ville, donc par exemple Nantes ou Paris, vont pouvoir découvrir toutes les séances qui sont disponibles par les cinémas partenaires. Si une séance vous intéresse, vous réservez votre place sur Ozak et vous allez simplement aller au cinéma pour accéder à la séance.
- Speaker #1
Donc il y a une communauté aux AC, j'imagine, autour du produit, pour diffuser l'information, les différentes films, les nouveautés, les sorties, les avant-premières...
- Speaker #0
Exactement, aux AC, c'est une plateforme de réservation de billets de cinéma, mais c'est aussi un média d'actualité autour du cinéma qu'on développe sur notre plateforme et sur les réseaux sociaux, autour duquel on fédère forcément une communauté qui n'est pas forcément une communauté de cinéphiles, mais une communauté de Français qui ont envie... d'aller au cinéma et d'en connaître un peu plus sur les films qui sortent en salles. Donc c'est tout l'avantage avec Ozak, c'est que vous avez simplement soit à télécharger l'application ou à vous inscrire par mail et vous recevez toutes les semaines les actualités des cinémas partenaires autour de vous pour vous donner envie de passer la porte des salles de cinéma.
- Speaker #1
Qui sont vos interlocuteurs ? Vous avez deux types de clients, à la fois ceux qui vont au cinéma et les cinémas ? C'est les deux ? C'est l'un ? C'est l'autre ?
- Speaker #0
Oui, nos interlocuteurs... principaux sont les cinémas, forcément. Nous, on traite avec les cinémas pour leur donner envie de rejoindre notre service, de rejoindre la plateforme pour bénéficier des spectateurs qui sont inscrits chez nous. Mais notre business model est créé autour de la valeur qu'on va générer pour les cinémas. Donc c'est tout simplement un modèle de marketplace qu'on a. On est rémunéré à la réussite de notre plateforme pour nos cinémas clients. Donc plus on vend de places de cinéma, plus on réussit à conquérir de nouveaux spectateurs, plus derrière on arrive à générer du chiffre d'affaires pour aux acquis.
- Speaker #1
Donc c'est aussi des partenariats à gérer, parce que tu as parlé tout à l'heure d'un média pour alimenter en contenu les différentes communautés qu'il peut y avoir à travers la France entière. C'est un relationnel, par exemple, pour parler des films, les sociétés de production, les choses comme ça ?
- Speaker #0
Oui, on essaye de plus en plus d'être 360 dans notre activité. On traite autant avec les cinémas que les spectateurs, mais aussi de plus en plus avec toute l'industrie cinématographique plus large, avec les distributeurs de films, avec les producteurs directement, ou certains talents qui travaillent sur les productions, tout simplement pour créer du contenu autour de leurs films et donner envie aux spectateurs de réserver leur place.
- Speaker #1
Vous diversifiez aussi vos activités avec un jeu de société, j'ai vu.
- Speaker #0
Oui, tout à fait. On a lancé James Dean, D-I-N-E. C'est un petit jeu de mots entre l'acteur et le verbe dîner, qui est un jeu d'humour et d'ambiance autour du cinéma, qu'on a lancé à la rentrée 2023, donc fin d'année 2023, et qui a connu un grand succès car il a été élu jeu de l'année par France Inter au mois de décembre. Et depuis, on a vendu quasiment 3000 exemplaires. Il est disponible sur notre site internet, sur Amazon, et au sein de nombreux magasins de jeux et espaces culturels en France.
- Speaker #1
Donc ça permet de faire connaître aux actes, c'est ça ?
- Speaker #0
Oui, il y a deux enjeux avec James Dean. Le premier, forcément, de développer la notoriété de Ozak et de conquérir de nouveaux spectateurs. Mais le deuxième enjeu, c'est surtout de remettre le cinéma au cœur des conversations, au cœur des habitudes des Français. On remarquait que dans les jeux de société, on avait des thèmes différents qu'on pouvait retrouver dans les jeux, mais pas forcément le cinéma, qui est un sujet qui est souvent orienté vers un public de cinéphiles où on va retrouver des quiz. pour retrouver quel réalisateur ou quel acteur a joué dans tel film. Nous, on voulait un jeu de cinéma qui parle à tous, qui soit léger et jouable par tout le monde.
- Speaker #1
C'est vous qui l'avez créé de A à Z, ce jeu ? Vous vous êtes fait accompagner ? Vous avez fait ça en partenariat avec quelqu'un ?
- Speaker #0
Alors, on a tout créé de A à Z. Effectivement, en interne, tout le jeu a été créé avec l'équipe. On est cinq aujourd'hui chez Ozak. Donc, ça a été un travail collaboratif. Et on a eu la chance d'être accompagnés par Denis, qui est un illustrateur nantais, qui a créé tout l'univers graphique de James Dean que vous pouvez retrouver sur la boîte et sur les cartes.
- Speaker #1
Une mission forte quand même chez Ozak, on a l'impression, qui peut être partagée par toute l'équipe. C'est la culture, c'est un combat, c'est un engagement.
- Speaker #0
Je ne sais pas si je dirais que c'est un combat. En tout cas, c'est un engagement et surtout une passion, passionnée de cinéma, avec des cinéphilies différentes. On a tous des sujets et des passions envers des films qui sont différents. Et c'est ça qui nous complète assez bien dans l'équipe. En tout cas, nous, notre volonté, c'était que... La sortie cinéma qu'on a connue avec nos parents quand on était petits se perdure encore des générations. On n'avait pas envie qu'elle se traduise dans quelques années par un film, une tradition de cinéma dans son canapé ou dans son lit. C'est très bien, nous aussi on est les premiers clients des plateformes de VOD et on trouve ça génial aujourd'hui de pouvoir avoir un accès à la culture encore plus facile directement chez nous. Mais on avait quand même cette volonté que la salle de cinéma reste la salle de cinéma. et que les Français aient toujours cette envie et ce bonheur de pouvoir découvrir des films sur grand écran.
- Speaker #1
comment vous sélectionnez les films que vous rentrez sur votre appli il y a un comité de décision on ne fait aucune sélection des films qui sont disponibles sur Ozag justement c'est notre volonté,
- Speaker #0
c'est d'être neutre et de proposer à nos spectateurs au même niveau un blockbuster américain qu'un cinéma d'auteur français qui a forcément moins de budget en termes de marketing et de visibilité on a cette volonté d'être neutre de ne pas faire de différence entre les films et justement apporter via ce tarif un peu moins cher, plus de spontanéité dans le choix de films des spectateurs, et que justement, on a remarqué de nos études en échange avec des spectateurs, des fois, quand on voit que le prix de la place est un peu élevé, il y a des spectateurs qui se disent, ce film-là, il me tentait, mais finalement, je vais plus m'orienter vers un film sur lequel je suis sûr. parce que je connais le réalisateur, parce que c'est la suite d'un film que j'aime bien, et du coup de laisser de côté l'autre film sur lequel on s'était retourné. Justement, nous avec Ozak, on va faire tout l'inverse. C'est que vous veniez profiter de tous les films que vous ayez envie de voir, sans vous freiner et sans condition.
- Speaker #1
La suite pour Ozak, c'est des levées de fonds, quelles sont les prochaines étapes du développement ?
- Speaker #0
Alors la suite pour OSAC, c'est de continuer tout simplement à augmenter le parc de cinéma partenaire en France, d'envisager un début de développement européen dans les mois à venir. Et après nos deux gros enjeux cette année, ça va être la sortie de la nouvelle version de la plateforme avec de nombreuses nouvelles fonctionnalités et un nouveau design de OSAC qu'on aura hâte de vous présenter. Et oui, on parlait de levée de fonds. On a fait une première levée de fonds en précide. l'année dernière, l'été dernier. Et là, effectivement, on va rentrer dans une nouvelle levée de fonds pour pouvoir continuer le chemin et de conquérir de nouveaux cinémas en France.
- Speaker #1
Comment on peut aider Ozak ? Est-ce qu'il y a des choses, une actu chaude ? On en parle autour de nous, bien sûr, mais à qui ?
- Speaker #0
Eh bien, comment aider Ozak ? Déjà, en allant au cinéma, même sans passer par Ozak. Juste, j'espère que... que mon message vous motivera à passer la porte des cinémas et découvrir l'incroyable programmation qu'on a toute l'année dans nos cinémas et la diversité des films qui sont proposés. Ça, c'est ce qui nous rendrait le plus heureux, c'est d'avoir toujours une courbe croissante de spectateurs qui se rendent au cinéma. Comment nous aider ? Venez faire une partie de James Dean avec nous. Si ça vous tente, avec plaisir que James Dean se retrouve sur votre table, entre amis ou en famille. Et n'hésitez pas à diffuser le message de Ozak. A vos proches, à vos amis, à vos familles, on a une soixantaine maintenant de cinémas partenaires partout en France, et pas uniquement dans les grandes villes. On est disponible dans des petites villes, en Dromard-et-Eche, en Bretagne, dans le centre de la France. Donc n'hésitez pas à jeter un œil à la carte des cinémas partenaires sur osac.fr.
- Speaker #1
Merci Sylvain, et puis bonne continuation, longue vie à Osac.
- Speaker #0
Merci Jean-Christophe, à très vite. C'était Rendez-vous, le podcast qui fabrique et consolide votre réseau d'apporteurs d'affaires.