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La musique notre miroir

Épisode 1: Une chanson, mille façons de l'écouter

Épisode 1: Une chanson, mille façons de l'écouter

19min |21/10/2024|

23

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19min |21/10/2024|

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Description

Dans cet épisode inaugural du podcast "La musique, notre miroir", animé par Marie-Catherine Nicole, plongez dans un univers fascinant où chaque note et chaque parole résonnent différemment selon l'auditeur. La musique, véritable reflet de nos émotions et de nos expériences, est au cœur de cette exploration. Marie-Catherine vous invite à découvrir comment une même chanson peut éveiller des sentiments variés, allant de la joie à la mélancolie, en passant par la nostalgie. À travers cet épisode, vous comprendrez que la perception musicale est un phénomène complexe, influencé par des facteurs personnels et contextuels.


Marie-Catherine aborde trois paramètres clés qui façonnent notre expérience musicale : le niveau de perception, les histoires personnelles et le niveau d'immersion. Le niveau de perception, par exemple, varie considérablement d'un individu à l'autre. Un auditeur occasionnel peut ressentir une chanson différemment d'un musicien chevronné. Cette diversité d'interprétation souligne la richesse de la musique en tant qu'art, capable de toucher chacun de nous de manière unique.


Les histoires personnelles jouent également un rôle essentiel dans notre rapport à la musique. Les souvenirs associés à certaines mélodies peuvent raviver des émotions enfouies, des instants de bonheur ou des moments de tristesse. Marie-Catherine partage des anecdotes touchantes, illustrant comment une chanson peut devenir un véritable miroir de notre passé, reflétant nos joies et nos peines. La musique a cette capacité incroyable d'évoquer des souvenirs, de nous transporter dans le temps et de nous rappeler qui nous sommes.


Enfin, le niveau d'immersion est un aspect crucial à explorer. Écoutez-vous de la musique en fond sonore lors de vos activités quotidiennes, ou prenez-vous le temps de vous plonger dans chaque note avec des écouteurs ? Le contexte d'écoute influence notre expérience et notre connexion à la musique. Dans cet épisode, vous serez invité à réfléchir à vos propres habitudes d'écoute et à la manière dont elles façonnent votre perception musicale.


Cet épisode de "La musique, notre miroir" est une invitation à redécouvrir votre relation avec la musique. Comment la musique transforme-t-elle vos émotions et votre état d'esprit ? Quelles histoires personnelles se cachent derrière vos chansons préférées ? Rejoignez Marie-Catherine Nicole pour une discussion enrichissante qui vous incitera à voir la musique sous un nouveau jour. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans un monde où la musique devient le miroir de notre âme. Écoutez dès maintenant et laissez-vous emporter par cette exploration fascinante de la perception musicale !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast La Musique, notre miroir. Je m'appelle Marc-Catherine Nicole et mon talent est de te transmettre une nouvelle vision de la musique pour mieux te comprendre et te propulser plus haut à l'aide de ce domaine au multiple potentiel. Tout au long des épisodes, tu pourras percevoir ta nature et ton histoire à l'aide de ton propre miroir musical. Bonjour tout le monde ! Donc, bienvenue au podcast La Musique, Notre Miroir, à l'épisode 1, qui s'appelle Une même chanson, mille façons de l'écouter. En fait, cet épisode-là, c'est de l'exploration, de la découverte, de différentes manières qui vont transformer ton niveau d'énergie ou tes émotions, dépendamment de quels paramètres tu utilises quand tu écoutes la musique. En fait... Pourquoi, si on met une chanson, mais on met dix personnes différentes dans une pièce, la même chanson va être perçue de dix façons différentes ? En fait, ça va dépendre de beaucoup de choses, mais de trois choses plus particulières. Un, le niveau de perception. Si jamais tu n'as jamais joué d'un instrument de musique de ta vie, tu vas avoir un niveau de perception précis, qui ressemble plus au niveau de perception général de la société. Quelqu'un qui va avoir joué un peu plus de guitare va entendre beaucoup de subtilité de cet instrument-là quand il va en entendre. Même chose pour n'importe quel musicien dans son instrument précis. Un musicien professionnel qui a exploré beaucoup d'instruments va avoir une perception très très très très très précise de toutes les fluctuations dans la mélodie. Personnellement, c'est le niveau que j'ai atteint, mais je veux vous le partager, je veux vous le faire goûter, puis peut-être même... augmenter votre niveau de perception à vous pour aller goûter les bienfaits qu'on peut aller chercher avec ce niveau de perception-là. Il y a un autre paramètre aussi dans les 10 personnes de la pièce. Ils ont 10 histoires différentes. Ils ont 10 vies différentes avec toutes les différentes situations, différentes périodes de leur vie où est-ce qu'ils ont utilisé une musique bien précise. Et que ça a activé de la nostalgie, ça a activé des émotions, ça a activé des souvenirs. Donc, nécessairement, il y a ça aussi qui va rentrer en ligne de compte quand on met une chanson précise. Et finalement, le niveau d'immersion. Donc, si la musique est en fond ou en ambiance, on va percevoir beaucoup moins de paramètres que si on l'écoute avec un casque d'écoute. Ou dans une salle de cinéma avec plein d'oparleurs partout, où est-ce qu'on est vraiment immergé dans le son ? Donc, ces trois paramètres-là vont avoir beaucoup d'influence sur à quel point vous pouvez aller chercher des bénéfices, des transformations et tout ce que la musique peut aller vous donner. Mais là, on va aller un peu de l'autre côté d'inconscient. C'est-à-dire... Il y a comme trois facettes d'écoute à une musique. Et on va aller voir différents contextes, parce que la musique fait probablement déjà partie de votre vie, donc je vais aller revoir quelques situations où est-ce que vous avez de la musique, ça fait partie de cette situation-là. Le premier, c'est qu'on écoute la musique par le corps. Eh oui ! Et normalement, notre corps, on lui dit, de manière consciente ou inconsciente, de faire telle ou telle action. Si je suis en train de travailler, de manière inconsciente, je vais prendre un crayon, je vais me mettre à écrire. Donc, c'est des mouvements automatiques, mais quand même conscients. C'est conscient et inconscient, les deux. Mais avec la musique, des fois, il y a des choses complètement inconscientes qui se démarrent par le corps. Et quelques exemples de ça, c'est si, mettons, il y a de la musique dans un gym. pour s'entraîner physiquement. La musique va être à une certaine vitesse avec certains instruments bien précis pour aller stimuler des choses dans le corps. Stimuler ce qu'on a besoin quand on s'entraîne. On a besoin d'énergie, on a besoin de motivation. On a besoin même de continuer, même si on a mal. Donc, on va aller chercher une musique qui va aller chercher ce côté-là, distorsion et dépassement de soi. Donc... il y en a qui vont aller chercher du gros métal du rap, de la musique relativement forte d'habitude, assez rythmée pour garder la cadence malgré qu'on est fatigué, la musique va nous permettre d'aller au-delà de nos capacités physiques parce qu'on va être justement propulsé par tout ça Un autre contexte où est-ce qu'on utilise le corps, c'est pour accomplir des tâches physiques. Le fameux ménage du printemps ou notre dimanche de ménage, on va aller chercher des musiques qui vont nous donner de l'engouement, de l'énergie, de la joie même, pour avoir un peu plus de cœur à l'ouvrage qu'on appelle en bon québécois ou dans le monde francophone, avoir de la joie pour faire la tâche. Donc... Donc, ça peut être aussi dans le même type de musique pour aller faire de la construction, une période de classement, de la popote, de la cuisine, des choses comme ça. Donc, ça va être de la musique pour, normalement, aller chercher un certain niveau d'énergie dans notre corps, danser, fêter et tout. Donc là, c'est vraiment le paramètre quart qui rentre en ligne de compte. À la limite, s'il n'y avait pas de paroles, ce ne serait pas grave. Les paroles vont aller même... amplifier tout ça, mais on va vraiment écouter la musique plus avec notre corps dans ces situations-là. Vous remarquerez, est-ce que quand vous faites le ménage, vraiment, vous vous portez attention aux paroles ou vous vous portez attention aux émotions que ça vous vient ? Non, pas nécessairement. C'est d'ailleurs les deux autres paramètres qu'on va aller visiter. Donc, j'avais parlé de paroles tantôt, le deuxième paramètre, c'est l'écoute par la tête. Là-dedans, c'est vraiment, quand je parlais des 10 personnes tantôt qui avaient vécu 10 vies différentes, bien là, c'est vraiment le paramètre de la tête qui va aller faire la distinction. C'est-à-dire que si, mettons, au secondaire, on a mis une certaine musique pendant mon premier slow avec le garçon que ça fait longtemps que je regardais, que je voulais bien fréquenter et tout, puis là, il y a une musique précise pendant ce moment-là qui a été déclenchée. Mon cerveau... va avoir, bien sûr, à s'émener à ce moment-là, à cette musique-là. Donc, il y a tout le côté film, nostalgie, sur certaines musiques, qui va venir déclencher ça. Ensuite, il va y avoir aussi tous les stéréotypes. Donc, si, mettons, je mets de la musique un peu plus style salsa, avec trompette, avec bongo, conga, qui est des percussions. de l'Amérique latine, l'Amérique centrale, Cuba, Mexique, nécessairement, mon cerveau va fonctionner en stéréotypes. Donc, genre des images de plages, de fêtes cubaines, de fêtes de l'Amérique latine, carrément. Donc, là, il y a le côté pensée stéréotype qui va être déclenché. Il va y avoir aussi toutes les pensées inimaginables de, mettons, Une musique douce, peu importe, quand on parle de douce, on parle de volume bas, on parle de tempo lent, on parle de moins d'instruments. Donc là, c'est vraiment toute une musique où est-ce qu'on va s'imaginer dans des endroits calmes. Donc les pensées, les images qui vont être détectées, c'est je suis sur une plage déserte, dans une forêt où est-ce qu'il y a du petit vent, je peux être carrément dans l'eau qui suit les vagues, et plus encore. Donc là, c'est le paramètre tête qui est activé. Donc, je vous ai donné plein de situations. Quand on essaie d'écouter de la musique douce, souvent, dans le monde 2024, souvent, il y a des images qui accompagnent parce qu'on écoute beaucoup de musique sur YouTube. Donc, on a une vidéo qui est accompagnée. D'ailleurs, je fais une petite parenthèse là-dessus. Faites l'expérience d'écouter de la musique sans images et avec images. Avoir le niveau, on parlait de niveau d'immersion tantôt, là. Dans mon expérience à moi et dans l'expérience de mes centaines d'élèves dans les écoles primaires et secondaires et mes clients même, je suis rendue aussi à un bon nombre, lorsqu'on prend un casque d'écoute, pas d'image, le niveau d'immersion et de possibilité de ressenti de la musique est beaucoup plus grand. Parce que quand on met une image, c'est comme si l'association se fait beaucoup plus précise. Moi, si j'avais le goût d'imaginer une plage... Mais là, on voit un film d'océan avec des poissons. Bien, mon corps va réagir à l'océan avec les poissons. Il va avoir moins de possibilités d'aller stimuler différentes choses. Donc, je vous conseille le moins souvent possible avec des images pour aller chercher le maximum d'effets. Donc, le deuxième paramètre, c'était la tête. On avait le corps tantôt. Là, on a la tête. Le dernier. Bien sûr, c'est le cœur. Le cœur. Le cœur, bien sûr, on va aller chercher une musique des fois pour aller stimuler des émotions. Soit se sortir d'une émotion pas le fun, soit aller amplifier une petite joie qu'on avait déjà et qu'on veut faire grandir, quelque chose d'agréable, ou aller connecter à une colère qu'on refoulait et qu'on veut aller chercher. Donc, tous ces sujets-là que je suis en train de développer et que je suis en train de mettre en ligne aujourd'hui, rassurez-vous, dans les autres épisodes, on va les développer. Donc, comment faire pour aller... passer plus sécuritairement et avec bienveillance une grosse, grosse émotion qu'on a tendance à vouloir refouler, mais qui serait sain d'aller vivre. C'est quelque chose qu'on va aller aborder. Nos différents besoins que j'en ai mentionnés quelques-uns tout à l'heure, on va aller les rechercher de manière beaucoup plus précise dans quelques épisodes. Aujourd'hui, on est en mode exploration, donc je parle de tout avec certaines lignes directrices. Donc, les fameuses émotions. la joie, la colère, la peur, la tristesse. Si on prend ces quatre pôles-là, qui sont les pôles plus générales, émotionnels, il y a des variantes là-dedans aussi. Donc, mettons juste la joie, si je vais de moins intense à plus intense, j'ai ravi, content, moins intense un petit peu, joyeux, emballé, enthousiaste et heureux. Vous voyez un peu comment mon visage s'illumine ? Pour ceux qui l'écoutent seulement en audio, vous avez même pu le percevoir dans ma voix, dans l'intensité. On entendait quasiment ma joie dans mon ton de voix. La colère, c'est la même chose. Donc, on a agacé, impatient, frustré, mais content, exaspéré, furieux. Voyez là aussi, mon ton de voix a changé, dépendamment de l'émotion qui a été véhiculée. La peur, au début, on est méfiant, préoccupé, inquiet, anxieux, effrayé, paniqué. On a différents niveaux, même la tristesse a ses niveaux aussi. Au début, on peut être déçu, bouleversé, blessé, nostalgique, triste, déprimé, déprimé, désespéré, puis même mélancolique. Donc, chaque émotion va avoir ses nuances. Donc, il va y avoir une merveilleuse musique pour coller à chacune de ces nuances-là. Quand je parlais de niveau de perception au début du podcast, c'est ça que je parle. C'est-à-dire que plus que votre niveau de perception de vos émotions et le niveau de perception de ce que la musique peut venir apporter va être précis, plus on va pouvoir faire les bonnes amalgames pour les bonnes émotions. Quand on parle d'amalgame aussi, je rebondis sur ce que j'ai déjà dit. Avec le corps, ce n'est pas juste des fois vouloir bouger. On peut vouloir aussi se balancer, chanter, claquer des doigts, courir, taper du pied, se relaxer, gesticuler, gambader, tourner. Toutes des choses que le corps va faire de manière complètement naturelle, sans même qu'on le veuille, avec l'écoute d'une musique très précise. Les pensées, j'en ai nommé quelques-unes tantôt. On peut penser, oui, à des situations, des histoires, mais aussi à des animaux, des fêtes, des objets, des pays, des villes, des événements, même des contes qu'on n'a jamais entendus, mais que ça fonctionne beaucoup avec cette musique-là. Bref, les possibilités sont très, très larges. Et là, j'arrive au point où est-ce que je vous dis à quoi ça sert tout ça. C'est que, normalement, pour les gens, je vais dire non habitués ou non initiés, ils vont avoir un niveau de perception d'à peu près un ou deux paramètres de ces trois-là que je vous ai présentés. Parfois, on va en avoir deux. Je prends un exemple. Si on prend la toune, la chanson, We will rock you de Queen. We will, we will rock you OK. Normalement, ça vient avec des percussions aussi. Tum-tum-pam, tum-tum-pam Donc, le premier niveau de perception de cette chanson-là, pour l'avoir expérimenté avec beaucoup de monde. C'est le corps. Le corps va automatiquement se mettre à faire le rythme, peu importe avec quel objet, avec votre corps ou avec autre chose. Parce que c'est une musique qui va générer de l'énergie, de l'engouement. Si on rajoute un deuxième paramètre, on rajoute le paramètre de la pensée. We will rock you En anglais, le we c'est nous Donc, tout le monde qui écoute cette musique-là. Donc, ça crée un sentiment d'appartenance, de ralliement, de fraternité. Si on met les pensées sur cette pièce-là, le rock c'est aussi un style qui est très identitaire. Donc, les paroles vont aller chercher encore une fois, un, tout le monde est dans le même bateau, puis on va dans la même direction. Mais là, si on pousse encore plus loin, puis qu'on va chercher le troisième paramètre, bien, indépendamment des personnes qui vont l'écouter, il y a des émotions différentes qui vont être déclenchées. Par exemple, moi, si j'entends cette musique-là, ça me déclenche automatiquement de l'enthousiasme. qui est dans la catégorie de la joie. Quelqu'un qui aurait peut-être chanté cette chanson-là au secondaire ou durant ses études va peut-être avoir aussi à être emballé. Quelqu'un qui a vécu cette chanson-là avec un ami qui est maintenant décédé ou qui n'est plus ami avec lui va peut-être avoir de la tristesse, même si la musique... De base, les grandes lignes, c'était de la joie. Pour lui, c'était de la tristesse ou de la nostalgie. Ou pour elle. Ça peut être aussi, pour différentes raisons, les autres émotions peuvent être déclenchées s'il y a des situations particulières avec lesquelles on a écouté cette musique-là. Donc, vous voyez qu'il y a énormément de choses qui se passent sans qu'on s'en rende compte quand on écoute de la musique. Mais encore une fois, ça dépend toujours du niveau d'immersion. Si on l'écoute juste en arrière, en fond, sans trop porter attention, bien là, c'est un critère qui se développe. Et plus on se met dans l'immersion, plus les trois critères viennent de manière simultanée puis viennent propulser un avec les autres. Et là, je vais faire mon analogie de bouffe. Vous allez voir, je vais faire beaucoup de parallèles avec la nourriture parce que j'ai compris que la musique, comme la nourriture, a toujours fait partie de la vie des humains et va toujours en faire partie, comme la nourriture. C'est comme un peu un besoin essentiel. Et dépendamment de ce qu'on va consommer à quel moment, ça n'aura pas le même impact. Comme un nutritionniste qui va développer un plan de... Un plan de nutrition pour un athlète ne donnera pas la même chose à manger pour quelqu'un qui vient de sortir d'une opération et qui a besoin d'un régime, pas un régime, mais un plan alimentaire différent. Bien, la musique, c'est la même chose. Puis je vous dirais même que ce podcast-ci va vous permettre, un peu comme des conseils de nutritionniste, de pouvoir choisir votre musique avec beaucoup plus de précision, ce qui va vous permettre de... optimiser tout ce que vous pouvez aller chercher de cet outil-là fantastique. Et le troisième palier de précision, c'est lorsque un thérapeute compétent vient l'utiliser pour créer des vraies transformations. Parce que, là, ce que je vous ai parlé, c'est une manière d'écoute qui va venir faire de la gestion dans votre vie. Je m'explique, ça va venir changer des paramètres, puis ça va stimuler d'autres affaires. Ça ne créera pas nécessairement des changements profonds et durables à l'intérieur de vous. Pour ça, il faut aller chercher quelqu'un, un professionnel ou un thérapeute, dont c'est mon expertise. Et je vous le dis, on peut aller vraiment transformer les gens de manière très, très, très profonde. Parce que c'est un outil que j'ai analysé et utilisé de manière très précise. Donc ! Je vous partage presque tous mes trucs pour pouvoir aller le plus loin que vous pouvez avec ce merveilleux outil qu'est la musique. Moi, je trippe. Je ne sais pas si vous autres vous trippez. Moi, je trippe. Ça doit s'entendre. Donc, c'est maintenant tout pour ce premier épisode. J'espère que vous avez apprécié. Comme prévu, le prochain épisode va sortir dans la prochaine semaine. Donc, restez à l'écoute et je vous souhaite une bonne fin de journée. Merci à tous. Au revoir.

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Dans cet épisode inaugural du podcast "La musique, notre miroir", animé par Marie-Catherine Nicole, plongez dans un univers fascinant où chaque note et chaque parole résonnent différemment selon l'auditeur. La musique, véritable reflet de nos émotions et de nos expériences, est au cœur de cette exploration. Marie-Catherine vous invite à découvrir comment une même chanson peut éveiller des sentiments variés, allant de la joie à la mélancolie, en passant par la nostalgie. À travers cet épisode, vous comprendrez que la perception musicale est un phénomène complexe, influencé par des facteurs personnels et contextuels.


Marie-Catherine aborde trois paramètres clés qui façonnent notre expérience musicale : le niveau de perception, les histoires personnelles et le niveau d'immersion. Le niveau de perception, par exemple, varie considérablement d'un individu à l'autre. Un auditeur occasionnel peut ressentir une chanson différemment d'un musicien chevronné. Cette diversité d'interprétation souligne la richesse de la musique en tant qu'art, capable de toucher chacun de nous de manière unique.


Les histoires personnelles jouent également un rôle essentiel dans notre rapport à la musique. Les souvenirs associés à certaines mélodies peuvent raviver des émotions enfouies, des instants de bonheur ou des moments de tristesse. Marie-Catherine partage des anecdotes touchantes, illustrant comment une chanson peut devenir un véritable miroir de notre passé, reflétant nos joies et nos peines. La musique a cette capacité incroyable d'évoquer des souvenirs, de nous transporter dans le temps et de nous rappeler qui nous sommes.


Enfin, le niveau d'immersion est un aspect crucial à explorer. Écoutez-vous de la musique en fond sonore lors de vos activités quotidiennes, ou prenez-vous le temps de vous plonger dans chaque note avec des écouteurs ? Le contexte d'écoute influence notre expérience et notre connexion à la musique. Dans cet épisode, vous serez invité à réfléchir à vos propres habitudes d'écoute et à la manière dont elles façonnent votre perception musicale.


Cet épisode de "La musique, notre miroir" est une invitation à redécouvrir votre relation avec la musique. Comment la musique transforme-t-elle vos émotions et votre état d'esprit ? Quelles histoires personnelles se cachent derrière vos chansons préférées ? Rejoignez Marie-Catherine Nicole pour une discussion enrichissante qui vous incitera à voir la musique sous un nouveau jour. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans un monde où la musique devient le miroir de notre âme. Écoutez dès maintenant et laissez-vous emporter par cette exploration fascinante de la perception musicale !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast La Musique, notre miroir. Je m'appelle Marc-Catherine Nicole et mon talent est de te transmettre une nouvelle vision de la musique pour mieux te comprendre et te propulser plus haut à l'aide de ce domaine au multiple potentiel. Tout au long des épisodes, tu pourras percevoir ta nature et ton histoire à l'aide de ton propre miroir musical. Bonjour tout le monde ! Donc, bienvenue au podcast La Musique, Notre Miroir, à l'épisode 1, qui s'appelle Une même chanson, mille façons de l'écouter. En fait, cet épisode-là, c'est de l'exploration, de la découverte, de différentes manières qui vont transformer ton niveau d'énergie ou tes émotions, dépendamment de quels paramètres tu utilises quand tu écoutes la musique. En fait... Pourquoi, si on met une chanson, mais on met dix personnes différentes dans une pièce, la même chanson va être perçue de dix façons différentes ? En fait, ça va dépendre de beaucoup de choses, mais de trois choses plus particulières. Un, le niveau de perception. Si jamais tu n'as jamais joué d'un instrument de musique de ta vie, tu vas avoir un niveau de perception précis, qui ressemble plus au niveau de perception général de la société. Quelqu'un qui va avoir joué un peu plus de guitare va entendre beaucoup de subtilité de cet instrument-là quand il va en entendre. Même chose pour n'importe quel musicien dans son instrument précis. Un musicien professionnel qui a exploré beaucoup d'instruments va avoir une perception très très très très très précise de toutes les fluctuations dans la mélodie. Personnellement, c'est le niveau que j'ai atteint, mais je veux vous le partager, je veux vous le faire goûter, puis peut-être même... augmenter votre niveau de perception à vous pour aller goûter les bienfaits qu'on peut aller chercher avec ce niveau de perception-là. Il y a un autre paramètre aussi dans les 10 personnes de la pièce. Ils ont 10 histoires différentes. Ils ont 10 vies différentes avec toutes les différentes situations, différentes périodes de leur vie où est-ce qu'ils ont utilisé une musique bien précise. Et que ça a activé de la nostalgie, ça a activé des émotions, ça a activé des souvenirs. Donc, nécessairement, il y a ça aussi qui va rentrer en ligne de compte quand on met une chanson précise. Et finalement, le niveau d'immersion. Donc, si la musique est en fond ou en ambiance, on va percevoir beaucoup moins de paramètres que si on l'écoute avec un casque d'écoute. Ou dans une salle de cinéma avec plein d'oparleurs partout, où est-ce qu'on est vraiment immergé dans le son ? Donc, ces trois paramètres-là vont avoir beaucoup d'influence sur à quel point vous pouvez aller chercher des bénéfices, des transformations et tout ce que la musique peut aller vous donner. Mais là, on va aller un peu de l'autre côté d'inconscient. C'est-à-dire... Il y a comme trois facettes d'écoute à une musique. Et on va aller voir différents contextes, parce que la musique fait probablement déjà partie de votre vie, donc je vais aller revoir quelques situations où est-ce que vous avez de la musique, ça fait partie de cette situation-là. Le premier, c'est qu'on écoute la musique par le corps. Eh oui ! Et normalement, notre corps, on lui dit, de manière consciente ou inconsciente, de faire telle ou telle action. Si je suis en train de travailler, de manière inconsciente, je vais prendre un crayon, je vais me mettre à écrire. Donc, c'est des mouvements automatiques, mais quand même conscients. C'est conscient et inconscient, les deux. Mais avec la musique, des fois, il y a des choses complètement inconscientes qui se démarrent par le corps. Et quelques exemples de ça, c'est si, mettons, il y a de la musique dans un gym. pour s'entraîner physiquement. La musique va être à une certaine vitesse avec certains instruments bien précis pour aller stimuler des choses dans le corps. Stimuler ce qu'on a besoin quand on s'entraîne. On a besoin d'énergie, on a besoin de motivation. On a besoin même de continuer, même si on a mal. Donc, on va aller chercher une musique qui va aller chercher ce côté-là, distorsion et dépassement de soi. Donc... il y en a qui vont aller chercher du gros métal du rap, de la musique relativement forte d'habitude, assez rythmée pour garder la cadence malgré qu'on est fatigué, la musique va nous permettre d'aller au-delà de nos capacités physiques parce qu'on va être justement propulsé par tout ça Un autre contexte où est-ce qu'on utilise le corps, c'est pour accomplir des tâches physiques. Le fameux ménage du printemps ou notre dimanche de ménage, on va aller chercher des musiques qui vont nous donner de l'engouement, de l'énergie, de la joie même, pour avoir un peu plus de cœur à l'ouvrage qu'on appelle en bon québécois ou dans le monde francophone, avoir de la joie pour faire la tâche. Donc... Donc, ça peut être aussi dans le même type de musique pour aller faire de la construction, une période de classement, de la popote, de la cuisine, des choses comme ça. Donc, ça va être de la musique pour, normalement, aller chercher un certain niveau d'énergie dans notre corps, danser, fêter et tout. Donc là, c'est vraiment le paramètre quart qui rentre en ligne de compte. À la limite, s'il n'y avait pas de paroles, ce ne serait pas grave. Les paroles vont aller même... amplifier tout ça, mais on va vraiment écouter la musique plus avec notre corps dans ces situations-là. Vous remarquerez, est-ce que quand vous faites le ménage, vraiment, vous vous portez attention aux paroles ou vous vous portez attention aux émotions que ça vous vient ? Non, pas nécessairement. C'est d'ailleurs les deux autres paramètres qu'on va aller visiter. Donc, j'avais parlé de paroles tantôt, le deuxième paramètre, c'est l'écoute par la tête. Là-dedans, c'est vraiment, quand je parlais des 10 personnes tantôt qui avaient vécu 10 vies différentes, bien là, c'est vraiment le paramètre de la tête qui va aller faire la distinction. C'est-à-dire que si, mettons, au secondaire, on a mis une certaine musique pendant mon premier slow avec le garçon que ça fait longtemps que je regardais, que je voulais bien fréquenter et tout, puis là, il y a une musique précise pendant ce moment-là qui a été déclenchée. Mon cerveau... va avoir, bien sûr, à s'émener à ce moment-là, à cette musique-là. Donc, il y a tout le côté film, nostalgie, sur certaines musiques, qui va venir déclencher ça. Ensuite, il va y avoir aussi tous les stéréotypes. Donc, si, mettons, je mets de la musique un peu plus style salsa, avec trompette, avec bongo, conga, qui est des percussions. de l'Amérique latine, l'Amérique centrale, Cuba, Mexique, nécessairement, mon cerveau va fonctionner en stéréotypes. Donc, genre des images de plages, de fêtes cubaines, de fêtes de l'Amérique latine, carrément. Donc, là, il y a le côté pensée stéréotype qui va être déclenché. Il va y avoir aussi toutes les pensées inimaginables de, mettons, Une musique douce, peu importe, quand on parle de douce, on parle de volume bas, on parle de tempo lent, on parle de moins d'instruments. Donc là, c'est vraiment toute une musique où est-ce qu'on va s'imaginer dans des endroits calmes. Donc les pensées, les images qui vont être détectées, c'est je suis sur une plage déserte, dans une forêt où est-ce qu'il y a du petit vent, je peux être carrément dans l'eau qui suit les vagues, et plus encore. Donc là, c'est le paramètre tête qui est activé. Donc, je vous ai donné plein de situations. Quand on essaie d'écouter de la musique douce, souvent, dans le monde 2024, souvent, il y a des images qui accompagnent parce qu'on écoute beaucoup de musique sur YouTube. Donc, on a une vidéo qui est accompagnée. D'ailleurs, je fais une petite parenthèse là-dessus. Faites l'expérience d'écouter de la musique sans images et avec images. Avoir le niveau, on parlait de niveau d'immersion tantôt, là. Dans mon expérience à moi et dans l'expérience de mes centaines d'élèves dans les écoles primaires et secondaires et mes clients même, je suis rendue aussi à un bon nombre, lorsqu'on prend un casque d'écoute, pas d'image, le niveau d'immersion et de possibilité de ressenti de la musique est beaucoup plus grand. Parce que quand on met une image, c'est comme si l'association se fait beaucoup plus précise. Moi, si j'avais le goût d'imaginer une plage... Mais là, on voit un film d'océan avec des poissons. Bien, mon corps va réagir à l'océan avec les poissons. Il va avoir moins de possibilités d'aller stimuler différentes choses. Donc, je vous conseille le moins souvent possible avec des images pour aller chercher le maximum d'effets. Donc, le deuxième paramètre, c'était la tête. On avait le corps tantôt. Là, on a la tête. Le dernier. Bien sûr, c'est le cœur. Le cœur. Le cœur, bien sûr, on va aller chercher une musique des fois pour aller stimuler des émotions. Soit se sortir d'une émotion pas le fun, soit aller amplifier une petite joie qu'on avait déjà et qu'on veut faire grandir, quelque chose d'agréable, ou aller connecter à une colère qu'on refoulait et qu'on veut aller chercher. Donc, tous ces sujets-là que je suis en train de développer et que je suis en train de mettre en ligne aujourd'hui, rassurez-vous, dans les autres épisodes, on va les développer. Donc, comment faire pour aller... passer plus sécuritairement et avec bienveillance une grosse, grosse émotion qu'on a tendance à vouloir refouler, mais qui serait sain d'aller vivre. C'est quelque chose qu'on va aller aborder. Nos différents besoins que j'en ai mentionnés quelques-uns tout à l'heure, on va aller les rechercher de manière beaucoup plus précise dans quelques épisodes. Aujourd'hui, on est en mode exploration, donc je parle de tout avec certaines lignes directrices. Donc, les fameuses émotions. la joie, la colère, la peur, la tristesse. Si on prend ces quatre pôles-là, qui sont les pôles plus générales, émotionnels, il y a des variantes là-dedans aussi. Donc, mettons juste la joie, si je vais de moins intense à plus intense, j'ai ravi, content, moins intense un petit peu, joyeux, emballé, enthousiaste et heureux. Vous voyez un peu comment mon visage s'illumine ? Pour ceux qui l'écoutent seulement en audio, vous avez même pu le percevoir dans ma voix, dans l'intensité. On entendait quasiment ma joie dans mon ton de voix. La colère, c'est la même chose. Donc, on a agacé, impatient, frustré, mais content, exaspéré, furieux. Voyez là aussi, mon ton de voix a changé, dépendamment de l'émotion qui a été véhiculée. La peur, au début, on est méfiant, préoccupé, inquiet, anxieux, effrayé, paniqué. On a différents niveaux, même la tristesse a ses niveaux aussi. Au début, on peut être déçu, bouleversé, blessé, nostalgique, triste, déprimé, déprimé, désespéré, puis même mélancolique. Donc, chaque émotion va avoir ses nuances. Donc, il va y avoir une merveilleuse musique pour coller à chacune de ces nuances-là. Quand je parlais de niveau de perception au début du podcast, c'est ça que je parle. C'est-à-dire que plus que votre niveau de perception de vos émotions et le niveau de perception de ce que la musique peut venir apporter va être précis, plus on va pouvoir faire les bonnes amalgames pour les bonnes émotions. Quand on parle d'amalgame aussi, je rebondis sur ce que j'ai déjà dit. Avec le corps, ce n'est pas juste des fois vouloir bouger. On peut vouloir aussi se balancer, chanter, claquer des doigts, courir, taper du pied, se relaxer, gesticuler, gambader, tourner. Toutes des choses que le corps va faire de manière complètement naturelle, sans même qu'on le veuille, avec l'écoute d'une musique très précise. Les pensées, j'en ai nommé quelques-unes tantôt. On peut penser, oui, à des situations, des histoires, mais aussi à des animaux, des fêtes, des objets, des pays, des villes, des événements, même des contes qu'on n'a jamais entendus, mais que ça fonctionne beaucoup avec cette musique-là. Bref, les possibilités sont très, très larges. Et là, j'arrive au point où est-ce que je vous dis à quoi ça sert tout ça. C'est que, normalement, pour les gens, je vais dire non habitués ou non initiés, ils vont avoir un niveau de perception d'à peu près un ou deux paramètres de ces trois-là que je vous ai présentés. Parfois, on va en avoir deux. Je prends un exemple. Si on prend la toune, la chanson, We will rock you de Queen. We will, we will rock you OK. Normalement, ça vient avec des percussions aussi. Tum-tum-pam, tum-tum-pam Donc, le premier niveau de perception de cette chanson-là, pour l'avoir expérimenté avec beaucoup de monde. C'est le corps. Le corps va automatiquement se mettre à faire le rythme, peu importe avec quel objet, avec votre corps ou avec autre chose. Parce que c'est une musique qui va générer de l'énergie, de l'engouement. Si on rajoute un deuxième paramètre, on rajoute le paramètre de la pensée. We will rock you En anglais, le we c'est nous Donc, tout le monde qui écoute cette musique-là. Donc, ça crée un sentiment d'appartenance, de ralliement, de fraternité. Si on met les pensées sur cette pièce-là, le rock c'est aussi un style qui est très identitaire. Donc, les paroles vont aller chercher encore une fois, un, tout le monde est dans le même bateau, puis on va dans la même direction. Mais là, si on pousse encore plus loin, puis qu'on va chercher le troisième paramètre, bien, indépendamment des personnes qui vont l'écouter, il y a des émotions différentes qui vont être déclenchées. Par exemple, moi, si j'entends cette musique-là, ça me déclenche automatiquement de l'enthousiasme. qui est dans la catégorie de la joie. Quelqu'un qui aurait peut-être chanté cette chanson-là au secondaire ou durant ses études va peut-être avoir aussi à être emballé. Quelqu'un qui a vécu cette chanson-là avec un ami qui est maintenant décédé ou qui n'est plus ami avec lui va peut-être avoir de la tristesse, même si la musique... De base, les grandes lignes, c'était de la joie. Pour lui, c'était de la tristesse ou de la nostalgie. Ou pour elle. Ça peut être aussi, pour différentes raisons, les autres émotions peuvent être déclenchées s'il y a des situations particulières avec lesquelles on a écouté cette musique-là. Donc, vous voyez qu'il y a énormément de choses qui se passent sans qu'on s'en rende compte quand on écoute de la musique. Mais encore une fois, ça dépend toujours du niveau d'immersion. Si on l'écoute juste en arrière, en fond, sans trop porter attention, bien là, c'est un critère qui se développe. Et plus on se met dans l'immersion, plus les trois critères viennent de manière simultanée puis viennent propulser un avec les autres. Et là, je vais faire mon analogie de bouffe. Vous allez voir, je vais faire beaucoup de parallèles avec la nourriture parce que j'ai compris que la musique, comme la nourriture, a toujours fait partie de la vie des humains et va toujours en faire partie, comme la nourriture. C'est comme un peu un besoin essentiel. Et dépendamment de ce qu'on va consommer à quel moment, ça n'aura pas le même impact. Comme un nutritionniste qui va développer un plan de... Un plan de nutrition pour un athlète ne donnera pas la même chose à manger pour quelqu'un qui vient de sortir d'une opération et qui a besoin d'un régime, pas un régime, mais un plan alimentaire différent. Bien, la musique, c'est la même chose. Puis je vous dirais même que ce podcast-ci va vous permettre, un peu comme des conseils de nutritionniste, de pouvoir choisir votre musique avec beaucoup plus de précision, ce qui va vous permettre de... optimiser tout ce que vous pouvez aller chercher de cet outil-là fantastique. Et le troisième palier de précision, c'est lorsque un thérapeute compétent vient l'utiliser pour créer des vraies transformations. Parce que, là, ce que je vous ai parlé, c'est une manière d'écoute qui va venir faire de la gestion dans votre vie. Je m'explique, ça va venir changer des paramètres, puis ça va stimuler d'autres affaires. Ça ne créera pas nécessairement des changements profonds et durables à l'intérieur de vous. Pour ça, il faut aller chercher quelqu'un, un professionnel ou un thérapeute, dont c'est mon expertise. Et je vous le dis, on peut aller vraiment transformer les gens de manière très, très, très profonde. Parce que c'est un outil que j'ai analysé et utilisé de manière très précise. Donc ! Je vous partage presque tous mes trucs pour pouvoir aller le plus loin que vous pouvez avec ce merveilleux outil qu'est la musique. Moi, je trippe. Je ne sais pas si vous autres vous trippez. Moi, je trippe. Ça doit s'entendre. Donc, c'est maintenant tout pour ce premier épisode. J'espère que vous avez apprécié. Comme prévu, le prochain épisode va sortir dans la prochaine semaine. Donc, restez à l'écoute et je vous souhaite une bonne fin de journée. Merci à tous. Au revoir.

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Description

Dans cet épisode inaugural du podcast "La musique, notre miroir", animé par Marie-Catherine Nicole, plongez dans un univers fascinant où chaque note et chaque parole résonnent différemment selon l'auditeur. La musique, véritable reflet de nos émotions et de nos expériences, est au cœur de cette exploration. Marie-Catherine vous invite à découvrir comment une même chanson peut éveiller des sentiments variés, allant de la joie à la mélancolie, en passant par la nostalgie. À travers cet épisode, vous comprendrez que la perception musicale est un phénomène complexe, influencé par des facteurs personnels et contextuels.


Marie-Catherine aborde trois paramètres clés qui façonnent notre expérience musicale : le niveau de perception, les histoires personnelles et le niveau d'immersion. Le niveau de perception, par exemple, varie considérablement d'un individu à l'autre. Un auditeur occasionnel peut ressentir une chanson différemment d'un musicien chevronné. Cette diversité d'interprétation souligne la richesse de la musique en tant qu'art, capable de toucher chacun de nous de manière unique.


Les histoires personnelles jouent également un rôle essentiel dans notre rapport à la musique. Les souvenirs associés à certaines mélodies peuvent raviver des émotions enfouies, des instants de bonheur ou des moments de tristesse. Marie-Catherine partage des anecdotes touchantes, illustrant comment une chanson peut devenir un véritable miroir de notre passé, reflétant nos joies et nos peines. La musique a cette capacité incroyable d'évoquer des souvenirs, de nous transporter dans le temps et de nous rappeler qui nous sommes.


Enfin, le niveau d'immersion est un aspect crucial à explorer. Écoutez-vous de la musique en fond sonore lors de vos activités quotidiennes, ou prenez-vous le temps de vous plonger dans chaque note avec des écouteurs ? Le contexte d'écoute influence notre expérience et notre connexion à la musique. Dans cet épisode, vous serez invité à réfléchir à vos propres habitudes d'écoute et à la manière dont elles façonnent votre perception musicale.


Cet épisode de "La musique, notre miroir" est une invitation à redécouvrir votre relation avec la musique. Comment la musique transforme-t-elle vos émotions et votre état d'esprit ? Quelles histoires personnelles se cachent derrière vos chansons préférées ? Rejoignez Marie-Catherine Nicole pour une discussion enrichissante qui vous incitera à voir la musique sous un nouveau jour. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans un monde où la musique devient le miroir de notre âme. Écoutez dès maintenant et laissez-vous emporter par cette exploration fascinante de la perception musicale !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast La Musique, notre miroir. Je m'appelle Marc-Catherine Nicole et mon talent est de te transmettre une nouvelle vision de la musique pour mieux te comprendre et te propulser plus haut à l'aide de ce domaine au multiple potentiel. Tout au long des épisodes, tu pourras percevoir ta nature et ton histoire à l'aide de ton propre miroir musical. Bonjour tout le monde ! Donc, bienvenue au podcast La Musique, Notre Miroir, à l'épisode 1, qui s'appelle Une même chanson, mille façons de l'écouter. En fait, cet épisode-là, c'est de l'exploration, de la découverte, de différentes manières qui vont transformer ton niveau d'énergie ou tes émotions, dépendamment de quels paramètres tu utilises quand tu écoutes la musique. En fait... Pourquoi, si on met une chanson, mais on met dix personnes différentes dans une pièce, la même chanson va être perçue de dix façons différentes ? En fait, ça va dépendre de beaucoup de choses, mais de trois choses plus particulières. Un, le niveau de perception. Si jamais tu n'as jamais joué d'un instrument de musique de ta vie, tu vas avoir un niveau de perception précis, qui ressemble plus au niveau de perception général de la société. Quelqu'un qui va avoir joué un peu plus de guitare va entendre beaucoup de subtilité de cet instrument-là quand il va en entendre. Même chose pour n'importe quel musicien dans son instrument précis. Un musicien professionnel qui a exploré beaucoup d'instruments va avoir une perception très très très très très précise de toutes les fluctuations dans la mélodie. Personnellement, c'est le niveau que j'ai atteint, mais je veux vous le partager, je veux vous le faire goûter, puis peut-être même... augmenter votre niveau de perception à vous pour aller goûter les bienfaits qu'on peut aller chercher avec ce niveau de perception-là. Il y a un autre paramètre aussi dans les 10 personnes de la pièce. Ils ont 10 histoires différentes. Ils ont 10 vies différentes avec toutes les différentes situations, différentes périodes de leur vie où est-ce qu'ils ont utilisé une musique bien précise. Et que ça a activé de la nostalgie, ça a activé des émotions, ça a activé des souvenirs. Donc, nécessairement, il y a ça aussi qui va rentrer en ligne de compte quand on met une chanson précise. Et finalement, le niveau d'immersion. Donc, si la musique est en fond ou en ambiance, on va percevoir beaucoup moins de paramètres que si on l'écoute avec un casque d'écoute. Ou dans une salle de cinéma avec plein d'oparleurs partout, où est-ce qu'on est vraiment immergé dans le son ? Donc, ces trois paramètres-là vont avoir beaucoup d'influence sur à quel point vous pouvez aller chercher des bénéfices, des transformations et tout ce que la musique peut aller vous donner. Mais là, on va aller un peu de l'autre côté d'inconscient. C'est-à-dire... Il y a comme trois facettes d'écoute à une musique. Et on va aller voir différents contextes, parce que la musique fait probablement déjà partie de votre vie, donc je vais aller revoir quelques situations où est-ce que vous avez de la musique, ça fait partie de cette situation-là. Le premier, c'est qu'on écoute la musique par le corps. Eh oui ! Et normalement, notre corps, on lui dit, de manière consciente ou inconsciente, de faire telle ou telle action. Si je suis en train de travailler, de manière inconsciente, je vais prendre un crayon, je vais me mettre à écrire. Donc, c'est des mouvements automatiques, mais quand même conscients. C'est conscient et inconscient, les deux. Mais avec la musique, des fois, il y a des choses complètement inconscientes qui se démarrent par le corps. Et quelques exemples de ça, c'est si, mettons, il y a de la musique dans un gym. pour s'entraîner physiquement. La musique va être à une certaine vitesse avec certains instruments bien précis pour aller stimuler des choses dans le corps. Stimuler ce qu'on a besoin quand on s'entraîne. On a besoin d'énergie, on a besoin de motivation. On a besoin même de continuer, même si on a mal. Donc, on va aller chercher une musique qui va aller chercher ce côté-là, distorsion et dépassement de soi. Donc... il y en a qui vont aller chercher du gros métal du rap, de la musique relativement forte d'habitude, assez rythmée pour garder la cadence malgré qu'on est fatigué, la musique va nous permettre d'aller au-delà de nos capacités physiques parce qu'on va être justement propulsé par tout ça Un autre contexte où est-ce qu'on utilise le corps, c'est pour accomplir des tâches physiques. Le fameux ménage du printemps ou notre dimanche de ménage, on va aller chercher des musiques qui vont nous donner de l'engouement, de l'énergie, de la joie même, pour avoir un peu plus de cœur à l'ouvrage qu'on appelle en bon québécois ou dans le monde francophone, avoir de la joie pour faire la tâche. Donc... Donc, ça peut être aussi dans le même type de musique pour aller faire de la construction, une période de classement, de la popote, de la cuisine, des choses comme ça. Donc, ça va être de la musique pour, normalement, aller chercher un certain niveau d'énergie dans notre corps, danser, fêter et tout. Donc là, c'est vraiment le paramètre quart qui rentre en ligne de compte. À la limite, s'il n'y avait pas de paroles, ce ne serait pas grave. Les paroles vont aller même... amplifier tout ça, mais on va vraiment écouter la musique plus avec notre corps dans ces situations-là. Vous remarquerez, est-ce que quand vous faites le ménage, vraiment, vous vous portez attention aux paroles ou vous vous portez attention aux émotions que ça vous vient ? Non, pas nécessairement. C'est d'ailleurs les deux autres paramètres qu'on va aller visiter. Donc, j'avais parlé de paroles tantôt, le deuxième paramètre, c'est l'écoute par la tête. Là-dedans, c'est vraiment, quand je parlais des 10 personnes tantôt qui avaient vécu 10 vies différentes, bien là, c'est vraiment le paramètre de la tête qui va aller faire la distinction. C'est-à-dire que si, mettons, au secondaire, on a mis une certaine musique pendant mon premier slow avec le garçon que ça fait longtemps que je regardais, que je voulais bien fréquenter et tout, puis là, il y a une musique précise pendant ce moment-là qui a été déclenchée. Mon cerveau... va avoir, bien sûr, à s'émener à ce moment-là, à cette musique-là. Donc, il y a tout le côté film, nostalgie, sur certaines musiques, qui va venir déclencher ça. Ensuite, il va y avoir aussi tous les stéréotypes. Donc, si, mettons, je mets de la musique un peu plus style salsa, avec trompette, avec bongo, conga, qui est des percussions. de l'Amérique latine, l'Amérique centrale, Cuba, Mexique, nécessairement, mon cerveau va fonctionner en stéréotypes. Donc, genre des images de plages, de fêtes cubaines, de fêtes de l'Amérique latine, carrément. Donc, là, il y a le côté pensée stéréotype qui va être déclenché. Il va y avoir aussi toutes les pensées inimaginables de, mettons, Une musique douce, peu importe, quand on parle de douce, on parle de volume bas, on parle de tempo lent, on parle de moins d'instruments. Donc là, c'est vraiment toute une musique où est-ce qu'on va s'imaginer dans des endroits calmes. Donc les pensées, les images qui vont être détectées, c'est je suis sur une plage déserte, dans une forêt où est-ce qu'il y a du petit vent, je peux être carrément dans l'eau qui suit les vagues, et plus encore. Donc là, c'est le paramètre tête qui est activé. Donc, je vous ai donné plein de situations. Quand on essaie d'écouter de la musique douce, souvent, dans le monde 2024, souvent, il y a des images qui accompagnent parce qu'on écoute beaucoup de musique sur YouTube. Donc, on a une vidéo qui est accompagnée. D'ailleurs, je fais une petite parenthèse là-dessus. Faites l'expérience d'écouter de la musique sans images et avec images. Avoir le niveau, on parlait de niveau d'immersion tantôt, là. Dans mon expérience à moi et dans l'expérience de mes centaines d'élèves dans les écoles primaires et secondaires et mes clients même, je suis rendue aussi à un bon nombre, lorsqu'on prend un casque d'écoute, pas d'image, le niveau d'immersion et de possibilité de ressenti de la musique est beaucoup plus grand. Parce que quand on met une image, c'est comme si l'association se fait beaucoup plus précise. Moi, si j'avais le goût d'imaginer une plage... Mais là, on voit un film d'océan avec des poissons. Bien, mon corps va réagir à l'océan avec les poissons. Il va avoir moins de possibilités d'aller stimuler différentes choses. Donc, je vous conseille le moins souvent possible avec des images pour aller chercher le maximum d'effets. Donc, le deuxième paramètre, c'était la tête. On avait le corps tantôt. Là, on a la tête. Le dernier. Bien sûr, c'est le cœur. Le cœur. Le cœur, bien sûr, on va aller chercher une musique des fois pour aller stimuler des émotions. Soit se sortir d'une émotion pas le fun, soit aller amplifier une petite joie qu'on avait déjà et qu'on veut faire grandir, quelque chose d'agréable, ou aller connecter à une colère qu'on refoulait et qu'on veut aller chercher. Donc, tous ces sujets-là que je suis en train de développer et que je suis en train de mettre en ligne aujourd'hui, rassurez-vous, dans les autres épisodes, on va les développer. Donc, comment faire pour aller... passer plus sécuritairement et avec bienveillance une grosse, grosse émotion qu'on a tendance à vouloir refouler, mais qui serait sain d'aller vivre. C'est quelque chose qu'on va aller aborder. Nos différents besoins que j'en ai mentionnés quelques-uns tout à l'heure, on va aller les rechercher de manière beaucoup plus précise dans quelques épisodes. Aujourd'hui, on est en mode exploration, donc je parle de tout avec certaines lignes directrices. Donc, les fameuses émotions. la joie, la colère, la peur, la tristesse. Si on prend ces quatre pôles-là, qui sont les pôles plus générales, émotionnels, il y a des variantes là-dedans aussi. Donc, mettons juste la joie, si je vais de moins intense à plus intense, j'ai ravi, content, moins intense un petit peu, joyeux, emballé, enthousiaste et heureux. Vous voyez un peu comment mon visage s'illumine ? Pour ceux qui l'écoutent seulement en audio, vous avez même pu le percevoir dans ma voix, dans l'intensité. On entendait quasiment ma joie dans mon ton de voix. La colère, c'est la même chose. Donc, on a agacé, impatient, frustré, mais content, exaspéré, furieux. Voyez là aussi, mon ton de voix a changé, dépendamment de l'émotion qui a été véhiculée. La peur, au début, on est méfiant, préoccupé, inquiet, anxieux, effrayé, paniqué. On a différents niveaux, même la tristesse a ses niveaux aussi. Au début, on peut être déçu, bouleversé, blessé, nostalgique, triste, déprimé, déprimé, désespéré, puis même mélancolique. Donc, chaque émotion va avoir ses nuances. Donc, il va y avoir une merveilleuse musique pour coller à chacune de ces nuances-là. Quand je parlais de niveau de perception au début du podcast, c'est ça que je parle. C'est-à-dire que plus que votre niveau de perception de vos émotions et le niveau de perception de ce que la musique peut venir apporter va être précis, plus on va pouvoir faire les bonnes amalgames pour les bonnes émotions. Quand on parle d'amalgame aussi, je rebondis sur ce que j'ai déjà dit. Avec le corps, ce n'est pas juste des fois vouloir bouger. On peut vouloir aussi se balancer, chanter, claquer des doigts, courir, taper du pied, se relaxer, gesticuler, gambader, tourner. Toutes des choses que le corps va faire de manière complètement naturelle, sans même qu'on le veuille, avec l'écoute d'une musique très précise. Les pensées, j'en ai nommé quelques-unes tantôt. On peut penser, oui, à des situations, des histoires, mais aussi à des animaux, des fêtes, des objets, des pays, des villes, des événements, même des contes qu'on n'a jamais entendus, mais que ça fonctionne beaucoup avec cette musique-là. Bref, les possibilités sont très, très larges. Et là, j'arrive au point où est-ce que je vous dis à quoi ça sert tout ça. C'est que, normalement, pour les gens, je vais dire non habitués ou non initiés, ils vont avoir un niveau de perception d'à peu près un ou deux paramètres de ces trois-là que je vous ai présentés. Parfois, on va en avoir deux. Je prends un exemple. Si on prend la toune, la chanson, We will rock you de Queen. We will, we will rock you OK. Normalement, ça vient avec des percussions aussi. Tum-tum-pam, tum-tum-pam Donc, le premier niveau de perception de cette chanson-là, pour l'avoir expérimenté avec beaucoup de monde. C'est le corps. Le corps va automatiquement se mettre à faire le rythme, peu importe avec quel objet, avec votre corps ou avec autre chose. Parce que c'est une musique qui va générer de l'énergie, de l'engouement. Si on rajoute un deuxième paramètre, on rajoute le paramètre de la pensée. We will rock you En anglais, le we c'est nous Donc, tout le monde qui écoute cette musique-là. Donc, ça crée un sentiment d'appartenance, de ralliement, de fraternité. Si on met les pensées sur cette pièce-là, le rock c'est aussi un style qui est très identitaire. Donc, les paroles vont aller chercher encore une fois, un, tout le monde est dans le même bateau, puis on va dans la même direction. Mais là, si on pousse encore plus loin, puis qu'on va chercher le troisième paramètre, bien, indépendamment des personnes qui vont l'écouter, il y a des émotions différentes qui vont être déclenchées. Par exemple, moi, si j'entends cette musique-là, ça me déclenche automatiquement de l'enthousiasme. qui est dans la catégorie de la joie. Quelqu'un qui aurait peut-être chanté cette chanson-là au secondaire ou durant ses études va peut-être avoir aussi à être emballé. Quelqu'un qui a vécu cette chanson-là avec un ami qui est maintenant décédé ou qui n'est plus ami avec lui va peut-être avoir de la tristesse, même si la musique... De base, les grandes lignes, c'était de la joie. Pour lui, c'était de la tristesse ou de la nostalgie. Ou pour elle. Ça peut être aussi, pour différentes raisons, les autres émotions peuvent être déclenchées s'il y a des situations particulières avec lesquelles on a écouté cette musique-là. Donc, vous voyez qu'il y a énormément de choses qui se passent sans qu'on s'en rende compte quand on écoute de la musique. Mais encore une fois, ça dépend toujours du niveau d'immersion. Si on l'écoute juste en arrière, en fond, sans trop porter attention, bien là, c'est un critère qui se développe. Et plus on se met dans l'immersion, plus les trois critères viennent de manière simultanée puis viennent propulser un avec les autres. Et là, je vais faire mon analogie de bouffe. Vous allez voir, je vais faire beaucoup de parallèles avec la nourriture parce que j'ai compris que la musique, comme la nourriture, a toujours fait partie de la vie des humains et va toujours en faire partie, comme la nourriture. C'est comme un peu un besoin essentiel. Et dépendamment de ce qu'on va consommer à quel moment, ça n'aura pas le même impact. Comme un nutritionniste qui va développer un plan de... Un plan de nutrition pour un athlète ne donnera pas la même chose à manger pour quelqu'un qui vient de sortir d'une opération et qui a besoin d'un régime, pas un régime, mais un plan alimentaire différent. Bien, la musique, c'est la même chose. Puis je vous dirais même que ce podcast-ci va vous permettre, un peu comme des conseils de nutritionniste, de pouvoir choisir votre musique avec beaucoup plus de précision, ce qui va vous permettre de... optimiser tout ce que vous pouvez aller chercher de cet outil-là fantastique. Et le troisième palier de précision, c'est lorsque un thérapeute compétent vient l'utiliser pour créer des vraies transformations. Parce que, là, ce que je vous ai parlé, c'est une manière d'écoute qui va venir faire de la gestion dans votre vie. Je m'explique, ça va venir changer des paramètres, puis ça va stimuler d'autres affaires. Ça ne créera pas nécessairement des changements profonds et durables à l'intérieur de vous. Pour ça, il faut aller chercher quelqu'un, un professionnel ou un thérapeute, dont c'est mon expertise. Et je vous le dis, on peut aller vraiment transformer les gens de manière très, très, très profonde. Parce que c'est un outil que j'ai analysé et utilisé de manière très précise. Donc ! Je vous partage presque tous mes trucs pour pouvoir aller le plus loin que vous pouvez avec ce merveilleux outil qu'est la musique. Moi, je trippe. Je ne sais pas si vous autres vous trippez. Moi, je trippe. Ça doit s'entendre. Donc, c'est maintenant tout pour ce premier épisode. J'espère que vous avez apprécié. Comme prévu, le prochain épisode va sortir dans la prochaine semaine. Donc, restez à l'écoute et je vous souhaite une bonne fin de journée. Merci à tous. Au revoir.

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Dans cet épisode inaugural du podcast "La musique, notre miroir", animé par Marie-Catherine Nicole, plongez dans un univers fascinant où chaque note et chaque parole résonnent différemment selon l'auditeur. La musique, véritable reflet de nos émotions et de nos expériences, est au cœur de cette exploration. Marie-Catherine vous invite à découvrir comment une même chanson peut éveiller des sentiments variés, allant de la joie à la mélancolie, en passant par la nostalgie. À travers cet épisode, vous comprendrez que la perception musicale est un phénomène complexe, influencé par des facteurs personnels et contextuels.


Marie-Catherine aborde trois paramètres clés qui façonnent notre expérience musicale : le niveau de perception, les histoires personnelles et le niveau d'immersion. Le niveau de perception, par exemple, varie considérablement d'un individu à l'autre. Un auditeur occasionnel peut ressentir une chanson différemment d'un musicien chevronné. Cette diversité d'interprétation souligne la richesse de la musique en tant qu'art, capable de toucher chacun de nous de manière unique.


Les histoires personnelles jouent également un rôle essentiel dans notre rapport à la musique. Les souvenirs associés à certaines mélodies peuvent raviver des émotions enfouies, des instants de bonheur ou des moments de tristesse. Marie-Catherine partage des anecdotes touchantes, illustrant comment une chanson peut devenir un véritable miroir de notre passé, reflétant nos joies et nos peines. La musique a cette capacité incroyable d'évoquer des souvenirs, de nous transporter dans le temps et de nous rappeler qui nous sommes.


Enfin, le niveau d'immersion est un aspect crucial à explorer. Écoutez-vous de la musique en fond sonore lors de vos activités quotidiennes, ou prenez-vous le temps de vous plonger dans chaque note avec des écouteurs ? Le contexte d'écoute influence notre expérience et notre connexion à la musique. Dans cet épisode, vous serez invité à réfléchir à vos propres habitudes d'écoute et à la manière dont elles façonnent votre perception musicale.


Cet épisode de "La musique, notre miroir" est une invitation à redécouvrir votre relation avec la musique. Comment la musique transforme-t-elle vos émotions et votre état d'esprit ? Quelles histoires personnelles se cachent derrière vos chansons préférées ? Rejoignez Marie-Catherine Nicole pour une discussion enrichissante qui vous incitera à voir la musique sous un nouveau jour. Ne manquez pas cette occasion de plonger dans un monde où la musique devient le miroir de notre âme. Écoutez dès maintenant et laissez-vous emporter par cette exploration fascinante de la perception musicale !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast La Musique, notre miroir. Je m'appelle Marc-Catherine Nicole et mon talent est de te transmettre une nouvelle vision de la musique pour mieux te comprendre et te propulser plus haut à l'aide de ce domaine au multiple potentiel. Tout au long des épisodes, tu pourras percevoir ta nature et ton histoire à l'aide de ton propre miroir musical. Bonjour tout le monde ! Donc, bienvenue au podcast La Musique, Notre Miroir, à l'épisode 1, qui s'appelle Une même chanson, mille façons de l'écouter. En fait, cet épisode-là, c'est de l'exploration, de la découverte, de différentes manières qui vont transformer ton niveau d'énergie ou tes émotions, dépendamment de quels paramètres tu utilises quand tu écoutes la musique. En fait... Pourquoi, si on met une chanson, mais on met dix personnes différentes dans une pièce, la même chanson va être perçue de dix façons différentes ? En fait, ça va dépendre de beaucoup de choses, mais de trois choses plus particulières. Un, le niveau de perception. Si jamais tu n'as jamais joué d'un instrument de musique de ta vie, tu vas avoir un niveau de perception précis, qui ressemble plus au niveau de perception général de la société. Quelqu'un qui va avoir joué un peu plus de guitare va entendre beaucoup de subtilité de cet instrument-là quand il va en entendre. Même chose pour n'importe quel musicien dans son instrument précis. Un musicien professionnel qui a exploré beaucoup d'instruments va avoir une perception très très très très très précise de toutes les fluctuations dans la mélodie. Personnellement, c'est le niveau que j'ai atteint, mais je veux vous le partager, je veux vous le faire goûter, puis peut-être même... augmenter votre niveau de perception à vous pour aller goûter les bienfaits qu'on peut aller chercher avec ce niveau de perception-là. Il y a un autre paramètre aussi dans les 10 personnes de la pièce. Ils ont 10 histoires différentes. Ils ont 10 vies différentes avec toutes les différentes situations, différentes périodes de leur vie où est-ce qu'ils ont utilisé une musique bien précise. Et que ça a activé de la nostalgie, ça a activé des émotions, ça a activé des souvenirs. Donc, nécessairement, il y a ça aussi qui va rentrer en ligne de compte quand on met une chanson précise. Et finalement, le niveau d'immersion. Donc, si la musique est en fond ou en ambiance, on va percevoir beaucoup moins de paramètres que si on l'écoute avec un casque d'écoute. Ou dans une salle de cinéma avec plein d'oparleurs partout, où est-ce qu'on est vraiment immergé dans le son ? Donc, ces trois paramètres-là vont avoir beaucoup d'influence sur à quel point vous pouvez aller chercher des bénéfices, des transformations et tout ce que la musique peut aller vous donner. Mais là, on va aller un peu de l'autre côté d'inconscient. C'est-à-dire... Il y a comme trois facettes d'écoute à une musique. Et on va aller voir différents contextes, parce que la musique fait probablement déjà partie de votre vie, donc je vais aller revoir quelques situations où est-ce que vous avez de la musique, ça fait partie de cette situation-là. Le premier, c'est qu'on écoute la musique par le corps. Eh oui ! Et normalement, notre corps, on lui dit, de manière consciente ou inconsciente, de faire telle ou telle action. Si je suis en train de travailler, de manière inconsciente, je vais prendre un crayon, je vais me mettre à écrire. Donc, c'est des mouvements automatiques, mais quand même conscients. C'est conscient et inconscient, les deux. Mais avec la musique, des fois, il y a des choses complètement inconscientes qui se démarrent par le corps. Et quelques exemples de ça, c'est si, mettons, il y a de la musique dans un gym. pour s'entraîner physiquement. La musique va être à une certaine vitesse avec certains instruments bien précis pour aller stimuler des choses dans le corps. Stimuler ce qu'on a besoin quand on s'entraîne. On a besoin d'énergie, on a besoin de motivation. On a besoin même de continuer, même si on a mal. Donc, on va aller chercher une musique qui va aller chercher ce côté-là, distorsion et dépassement de soi. Donc... il y en a qui vont aller chercher du gros métal du rap, de la musique relativement forte d'habitude, assez rythmée pour garder la cadence malgré qu'on est fatigué, la musique va nous permettre d'aller au-delà de nos capacités physiques parce qu'on va être justement propulsé par tout ça Un autre contexte où est-ce qu'on utilise le corps, c'est pour accomplir des tâches physiques. Le fameux ménage du printemps ou notre dimanche de ménage, on va aller chercher des musiques qui vont nous donner de l'engouement, de l'énergie, de la joie même, pour avoir un peu plus de cœur à l'ouvrage qu'on appelle en bon québécois ou dans le monde francophone, avoir de la joie pour faire la tâche. Donc... Donc, ça peut être aussi dans le même type de musique pour aller faire de la construction, une période de classement, de la popote, de la cuisine, des choses comme ça. Donc, ça va être de la musique pour, normalement, aller chercher un certain niveau d'énergie dans notre corps, danser, fêter et tout. Donc là, c'est vraiment le paramètre quart qui rentre en ligne de compte. À la limite, s'il n'y avait pas de paroles, ce ne serait pas grave. Les paroles vont aller même... amplifier tout ça, mais on va vraiment écouter la musique plus avec notre corps dans ces situations-là. Vous remarquerez, est-ce que quand vous faites le ménage, vraiment, vous vous portez attention aux paroles ou vous vous portez attention aux émotions que ça vous vient ? Non, pas nécessairement. C'est d'ailleurs les deux autres paramètres qu'on va aller visiter. Donc, j'avais parlé de paroles tantôt, le deuxième paramètre, c'est l'écoute par la tête. Là-dedans, c'est vraiment, quand je parlais des 10 personnes tantôt qui avaient vécu 10 vies différentes, bien là, c'est vraiment le paramètre de la tête qui va aller faire la distinction. C'est-à-dire que si, mettons, au secondaire, on a mis une certaine musique pendant mon premier slow avec le garçon que ça fait longtemps que je regardais, que je voulais bien fréquenter et tout, puis là, il y a une musique précise pendant ce moment-là qui a été déclenchée. Mon cerveau... va avoir, bien sûr, à s'émener à ce moment-là, à cette musique-là. Donc, il y a tout le côté film, nostalgie, sur certaines musiques, qui va venir déclencher ça. Ensuite, il va y avoir aussi tous les stéréotypes. Donc, si, mettons, je mets de la musique un peu plus style salsa, avec trompette, avec bongo, conga, qui est des percussions. de l'Amérique latine, l'Amérique centrale, Cuba, Mexique, nécessairement, mon cerveau va fonctionner en stéréotypes. Donc, genre des images de plages, de fêtes cubaines, de fêtes de l'Amérique latine, carrément. Donc, là, il y a le côté pensée stéréotype qui va être déclenché. Il va y avoir aussi toutes les pensées inimaginables de, mettons, Une musique douce, peu importe, quand on parle de douce, on parle de volume bas, on parle de tempo lent, on parle de moins d'instruments. Donc là, c'est vraiment toute une musique où est-ce qu'on va s'imaginer dans des endroits calmes. Donc les pensées, les images qui vont être détectées, c'est je suis sur une plage déserte, dans une forêt où est-ce qu'il y a du petit vent, je peux être carrément dans l'eau qui suit les vagues, et plus encore. Donc là, c'est le paramètre tête qui est activé. Donc, je vous ai donné plein de situations. Quand on essaie d'écouter de la musique douce, souvent, dans le monde 2024, souvent, il y a des images qui accompagnent parce qu'on écoute beaucoup de musique sur YouTube. Donc, on a une vidéo qui est accompagnée. D'ailleurs, je fais une petite parenthèse là-dessus. Faites l'expérience d'écouter de la musique sans images et avec images. Avoir le niveau, on parlait de niveau d'immersion tantôt, là. Dans mon expérience à moi et dans l'expérience de mes centaines d'élèves dans les écoles primaires et secondaires et mes clients même, je suis rendue aussi à un bon nombre, lorsqu'on prend un casque d'écoute, pas d'image, le niveau d'immersion et de possibilité de ressenti de la musique est beaucoup plus grand. Parce que quand on met une image, c'est comme si l'association se fait beaucoup plus précise. Moi, si j'avais le goût d'imaginer une plage... Mais là, on voit un film d'océan avec des poissons. Bien, mon corps va réagir à l'océan avec les poissons. Il va avoir moins de possibilités d'aller stimuler différentes choses. Donc, je vous conseille le moins souvent possible avec des images pour aller chercher le maximum d'effets. Donc, le deuxième paramètre, c'était la tête. On avait le corps tantôt. Là, on a la tête. Le dernier. Bien sûr, c'est le cœur. Le cœur. Le cœur, bien sûr, on va aller chercher une musique des fois pour aller stimuler des émotions. Soit se sortir d'une émotion pas le fun, soit aller amplifier une petite joie qu'on avait déjà et qu'on veut faire grandir, quelque chose d'agréable, ou aller connecter à une colère qu'on refoulait et qu'on veut aller chercher. Donc, tous ces sujets-là que je suis en train de développer et que je suis en train de mettre en ligne aujourd'hui, rassurez-vous, dans les autres épisodes, on va les développer. Donc, comment faire pour aller... passer plus sécuritairement et avec bienveillance une grosse, grosse émotion qu'on a tendance à vouloir refouler, mais qui serait sain d'aller vivre. C'est quelque chose qu'on va aller aborder. Nos différents besoins que j'en ai mentionnés quelques-uns tout à l'heure, on va aller les rechercher de manière beaucoup plus précise dans quelques épisodes. Aujourd'hui, on est en mode exploration, donc je parle de tout avec certaines lignes directrices. Donc, les fameuses émotions. la joie, la colère, la peur, la tristesse. Si on prend ces quatre pôles-là, qui sont les pôles plus générales, émotionnels, il y a des variantes là-dedans aussi. Donc, mettons juste la joie, si je vais de moins intense à plus intense, j'ai ravi, content, moins intense un petit peu, joyeux, emballé, enthousiaste et heureux. Vous voyez un peu comment mon visage s'illumine ? Pour ceux qui l'écoutent seulement en audio, vous avez même pu le percevoir dans ma voix, dans l'intensité. On entendait quasiment ma joie dans mon ton de voix. La colère, c'est la même chose. Donc, on a agacé, impatient, frustré, mais content, exaspéré, furieux. Voyez là aussi, mon ton de voix a changé, dépendamment de l'émotion qui a été véhiculée. La peur, au début, on est méfiant, préoccupé, inquiet, anxieux, effrayé, paniqué. On a différents niveaux, même la tristesse a ses niveaux aussi. Au début, on peut être déçu, bouleversé, blessé, nostalgique, triste, déprimé, déprimé, désespéré, puis même mélancolique. Donc, chaque émotion va avoir ses nuances. Donc, il va y avoir une merveilleuse musique pour coller à chacune de ces nuances-là. Quand je parlais de niveau de perception au début du podcast, c'est ça que je parle. C'est-à-dire que plus que votre niveau de perception de vos émotions et le niveau de perception de ce que la musique peut venir apporter va être précis, plus on va pouvoir faire les bonnes amalgames pour les bonnes émotions. Quand on parle d'amalgame aussi, je rebondis sur ce que j'ai déjà dit. Avec le corps, ce n'est pas juste des fois vouloir bouger. On peut vouloir aussi se balancer, chanter, claquer des doigts, courir, taper du pied, se relaxer, gesticuler, gambader, tourner. Toutes des choses que le corps va faire de manière complètement naturelle, sans même qu'on le veuille, avec l'écoute d'une musique très précise. Les pensées, j'en ai nommé quelques-unes tantôt. On peut penser, oui, à des situations, des histoires, mais aussi à des animaux, des fêtes, des objets, des pays, des villes, des événements, même des contes qu'on n'a jamais entendus, mais que ça fonctionne beaucoup avec cette musique-là. Bref, les possibilités sont très, très larges. Et là, j'arrive au point où est-ce que je vous dis à quoi ça sert tout ça. C'est que, normalement, pour les gens, je vais dire non habitués ou non initiés, ils vont avoir un niveau de perception d'à peu près un ou deux paramètres de ces trois-là que je vous ai présentés. Parfois, on va en avoir deux. Je prends un exemple. Si on prend la toune, la chanson, We will rock you de Queen. We will, we will rock you OK. Normalement, ça vient avec des percussions aussi. Tum-tum-pam, tum-tum-pam Donc, le premier niveau de perception de cette chanson-là, pour l'avoir expérimenté avec beaucoup de monde. C'est le corps. Le corps va automatiquement se mettre à faire le rythme, peu importe avec quel objet, avec votre corps ou avec autre chose. Parce que c'est une musique qui va générer de l'énergie, de l'engouement. Si on rajoute un deuxième paramètre, on rajoute le paramètre de la pensée. We will rock you En anglais, le we c'est nous Donc, tout le monde qui écoute cette musique-là. Donc, ça crée un sentiment d'appartenance, de ralliement, de fraternité. Si on met les pensées sur cette pièce-là, le rock c'est aussi un style qui est très identitaire. Donc, les paroles vont aller chercher encore une fois, un, tout le monde est dans le même bateau, puis on va dans la même direction. Mais là, si on pousse encore plus loin, puis qu'on va chercher le troisième paramètre, bien, indépendamment des personnes qui vont l'écouter, il y a des émotions différentes qui vont être déclenchées. Par exemple, moi, si j'entends cette musique-là, ça me déclenche automatiquement de l'enthousiasme. qui est dans la catégorie de la joie. Quelqu'un qui aurait peut-être chanté cette chanson-là au secondaire ou durant ses études va peut-être avoir aussi à être emballé. Quelqu'un qui a vécu cette chanson-là avec un ami qui est maintenant décédé ou qui n'est plus ami avec lui va peut-être avoir de la tristesse, même si la musique... De base, les grandes lignes, c'était de la joie. Pour lui, c'était de la tristesse ou de la nostalgie. Ou pour elle. Ça peut être aussi, pour différentes raisons, les autres émotions peuvent être déclenchées s'il y a des situations particulières avec lesquelles on a écouté cette musique-là. Donc, vous voyez qu'il y a énormément de choses qui se passent sans qu'on s'en rende compte quand on écoute de la musique. Mais encore une fois, ça dépend toujours du niveau d'immersion. Si on l'écoute juste en arrière, en fond, sans trop porter attention, bien là, c'est un critère qui se développe. Et plus on se met dans l'immersion, plus les trois critères viennent de manière simultanée puis viennent propulser un avec les autres. Et là, je vais faire mon analogie de bouffe. Vous allez voir, je vais faire beaucoup de parallèles avec la nourriture parce que j'ai compris que la musique, comme la nourriture, a toujours fait partie de la vie des humains et va toujours en faire partie, comme la nourriture. C'est comme un peu un besoin essentiel. Et dépendamment de ce qu'on va consommer à quel moment, ça n'aura pas le même impact. Comme un nutritionniste qui va développer un plan de... Un plan de nutrition pour un athlète ne donnera pas la même chose à manger pour quelqu'un qui vient de sortir d'une opération et qui a besoin d'un régime, pas un régime, mais un plan alimentaire différent. Bien, la musique, c'est la même chose. Puis je vous dirais même que ce podcast-ci va vous permettre, un peu comme des conseils de nutritionniste, de pouvoir choisir votre musique avec beaucoup plus de précision, ce qui va vous permettre de... optimiser tout ce que vous pouvez aller chercher de cet outil-là fantastique. Et le troisième palier de précision, c'est lorsque un thérapeute compétent vient l'utiliser pour créer des vraies transformations. Parce que, là, ce que je vous ai parlé, c'est une manière d'écoute qui va venir faire de la gestion dans votre vie. Je m'explique, ça va venir changer des paramètres, puis ça va stimuler d'autres affaires. Ça ne créera pas nécessairement des changements profonds et durables à l'intérieur de vous. Pour ça, il faut aller chercher quelqu'un, un professionnel ou un thérapeute, dont c'est mon expertise. Et je vous le dis, on peut aller vraiment transformer les gens de manière très, très, très profonde. Parce que c'est un outil que j'ai analysé et utilisé de manière très précise. Donc ! Je vous partage presque tous mes trucs pour pouvoir aller le plus loin que vous pouvez avec ce merveilleux outil qu'est la musique. Moi, je trippe. Je ne sais pas si vous autres vous trippez. Moi, je trippe. Ça doit s'entendre. Donc, c'est maintenant tout pour ce premier épisode. J'espère que vous avez apprécié. Comme prévu, le prochain épisode va sortir dans la prochaine semaine. Donc, restez à l'écoute et je vous souhaite une bonne fin de journée. Merci à tous. Au revoir.

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