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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

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09min |03/12/2024
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Description

Tu es freelance et tu veux générer des revenus passifs et scalables en parallèle de tes missions clients ? Ta compétence vaut de l’or, et pas qu’au TJM !


Dans cet épisode, je reçois Sébastien Lorber, développeur freelance et créateur de This Week In React, une newsletter tech spécialisée qui génère 100 000 € de revenus par an grâce à ses 45 000 abonnés.


Que tu sois freelance tech, data analyst ou expert dans un autre domaine de pointe, tu trouveras des clés pour lancer un média rentable et durable qui valorise ton expertise et t’apporte un complément de revenus bienvenus.


Voici ce que tu découvriras dans cet épisode :

📌 Pourquoi une newsletter est un outil puissant pour les freelances (tech et non tech)

📌 Comment choisir ton sujet, tes outils pour lancer ta newsletter en side business

📌 Les stratégies pour trouver tes premiers abonnés et engager une audience fidèle

📌 Monétiser via des sponsors, des partenariats ou des produits dérivés

📌 Scaler ta newsletter comme un Saas avec des outils, des automatisations et un pilotage au cordeau pour augmenter ton revenu mensuel récurrent


Cet épisode te donne toutes les clés pour créer une newsletter rentable, peu importe ton domaine, et atteindre des revenus récurrents grâce à ta communauté.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Newsletter, freelance, solopreneur, développeur, data analyst, tech, audience, abonnés, sponsors, revenus récurrents, business rentable, média scalable, Substack, stratégie SaaS, email marketing, product market fit, monétisation, outils pour newsletter, stratégie de croissance, freelancing tech, solo business, automatisation, création de contenu, marketing digital.


Crédits musicaux :

Ep.1 : Stronger, Kayne West

Ep.2 : Paparazzi, Lady Gaga

Ep.3 : The doors, Teddy Swims

Ep.4 : Squabble up, Kendrick Lamar

Ep.5 : Let’s dance, David Bowie


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Là, tu as ton idée, tu as ton pivot. Comment tu as fait concrètement pour t'organiser, pour créer ce gros produit newsletter en parallèle de tes missions ? Parce que si je comprends bien, à ce moment-là, tu es quoi ? Tu es développeur full-time chez Facebook ? Raconte-moi un petit peu ton quotidien.

  • Speaker #1

    En fait, j'avais déjà commencé les newsletters quand j'ai eu la mission chez Facebook, peut-être deux mois avant, et j'avais déjà commencé à poster régulièrement sur LinkedIn tous les jours pendant six mois avant.

  • Speaker #0

    Ok, donc tu étais testé niveau discipline, quoi.

  • Speaker #1

    Voilà, je m'étais déjà testé. Bon, après, je faisais ça, en fait, à une époque, j'étais très régulier sur le sport. J'y allais tous les jours, tous les matins, ce que je ne fais plus trop aujourd'hui, malheureusement. Mais du coup, en fait, j'avais pris l'habitude de me dire, ben voilà, entre deux machines, deux muscles. que je vais lire un article et puis faire un post LinkedIn. Et du coup, j'avais ma routine comme ça qui fonctionnait bien. Et c'est vrai qu'au début, en fait, l'anniversaire, c'était surtout une reprise des posts LinkedIn que j'avais déjà fait. J'avais aussi un peu une sorte de viral loop où j'incitais les gens à aller sur les posts LinkedIn que j'ai faits pour commenter, pour mettre un like ou autre. Ce qui m'assurait aussi une visibilité sur la plateforme et ensuite que je pouvais convertir en abonné. Donc ça, c'est pour les premiers abonnés. Après, il y a eu aussi quelque chose qui est assez classique au début, c'est de faire des partenariats avec d'autres newsletters à peu près de la même taille. On appelle ça du cross… comment ça s'appelle ? Cross… bon, voilà.

  • Speaker #0

    Cross-média,

  • Speaker #1

    quoi.

  • Speaker #0

    Je connais le cross-podcast pour le podcast, en newsletter, je ne sais pas comment ça s'appelle.

  • Speaker #1

    C'est du posting. En gros, chacun met une petite pub dans ses newsletters pour les newsletters de l'autre. Donc ça, ça marche pas mal aussi parce qu'en fait, généralement, il y a des gens qui souscrivent à des newsletters et d'autres qui ne souscrivent pas. C'est comme les podcasts, en fait. Je veux dire, soit tu as l'habitude d'en écouter, soit tu n'as pas l'habitude d'en écouter. Donc au final, c'est plus facile de convertir une audience qui a déjà l'habitude d'utiliser ce canal-là que d'essayer de convaincre des gens, en fait, tu devrais écouter des podcasts alors que tu n'as jamais écouté de podcast.

  • Speaker #0

    Tu sais que les podcasteurs, ils ont poussé le truc loin parce que maintenant, ça s'appelle le podcast swap. Et en fait, tu mets… un épisode d'un autre podcast que tu conseilles d'écouter dans ton feed de podcast. Donc, un peu comme le podcast.

  • Speaker #1

    Ça peut aussi être ce genre de choses. Et soit c'est fait de manière plus ou moins artisanale, soit aussi on peut ouvrir un article invité qui serait envoyé directement par un autre auteur. Je crois que Substack fait ça, mais je ne suis pas sûr. En tout cas, on peut le faire avec un logiciel, on peut aussi le faire à la main.

  • Speaker #0

    c'est pas un souci d'accord donc là t'en es à combien d'abonnés à peu près qu'on se rende compte parce que tu dis mes premiers abonnés mais je me rappelle quand je parlais avec Johan Lopez de Snowball c'était genre il a eu d'un coup

  • Speaker #1

    10 000 abonnés tu vois moi ce qui n'était pas mon cas donc déjà en fait je pense que Snowball c'est une usateur finance ça parle à beaucoup de gens Parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont envie de devenir riches, donc il y a aussi la promesse un peu très attractive. Moi, je suis développeur, je vais dire, je ne peux pas m'adresser à n'importe qui. Mon but, c'était vraiment initialement de convertir mon audience LinkedIn existante. Donc en fait, à partir du moment où j'ai créé la newsletter, le but, c'était qu'en fait, les gens qui me suivaient déjà sur LinkedIn, qui me likaient régulièrement, s'abonnent à la newsletter. Donc j'ai eu de la chance d'avoir un démarrage plutôt correct où en fait, le premier jour, j'ai eu 500 abonnés en faisant l'annonce sur LinkedIn. Donc, j'ai réussi à pas mal convertir l'audience. Et au bout d'une semaine, j'avais 1 000 abonnés. Après, la croissance était beaucoup plus lente.

  • Speaker #0

    Alors, je trouve ça chouette parce que d'un côté, ça valorise aussi ceux qui ont des audiences de niche. Et je pense que si moi, demain, je recréais une newsletter sur le soloprenariat from scratch, j'aurais beaucoup, beaucoup d'abonnés grâce à mon social, parce que je ne parle que de soloprenariat. Donc, c'est cool aussi de voir que les experts sont mis en avant sur ça, et donc avoir sa base solide de, comme on dit, c'est les mille premiers fans, en fait. C'est peut-être eux qui t'ont aidé aussi, derrière, à monétiser ton... Ok. Alors après, tu as fait quoi d'autre dans la croissance, dans la montée en plus de ta newsletter ?

  • Speaker #1

    Alors dans la croissance, il faut savoir qu'ensuite, j'ai quand même pas mal stagné. Parce que je pense qu'à l'époque, il n'y avait pas forcément… On est en 2020 là. En 2020, LinkedIn, c'était… En gros, il y avait déjà de l'activité. Il y avait déjà des gens bien établis qui postaient régulièrement. Mais côté développement, en fait, il n'y avait personne. Il y avait moi et puis deux, trois autres mecs qui postaient régulièrement. Et puis… Les développeurs n'étaient pas trop sur LinkedIn. Maintenant, aujourd'hui, ça a complètement changé, comme dans plein d'autres secteurs. Mais à l'époque, la croissance était vraiment lente. C'est-à-dire que je prenais 20 abonnés par semaine, ce qui n'est pas énorme. Et la première année n'était pas du tout monétisée. Je me suis posé la question, est-ce que ça a vraiment l'intérêt que je continue à faire ça ? Je prends quand même beaucoup de temps à faire ça. Au début, c'était peut-être les posts LinkedIn, ça me prenait un peu... une demi-heure tous les matins et puis la newsletter, ça me prenait une demi-journée que j'avais allouée sur mon planning. Donc, c'était vraiment une après-midi, je ne sais plus, le lundi après-midi, quelque chose comme ça que je déliais à la newsletter. C'était très simple au début. Ça a évolué avec le temps et j'y ai alloué de plus en plus de temps. Et donc, la croissance n'était pas trop là. 20 abonnés par semaine, pas monétisé, c'est compliqué. J'ai eu quand même quelques démarchages d'entreprises qui avaient envie de recruter des développeurs qui m'ont payé des petits tickets du genre c'était 400 euros pour diffuser des offres d'emploi pendant un mois dans la newsletter.

  • Speaker #0

    Il faut commencer quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, il faut commencer quelque part. Ça c'était en 2021 où j'ai eu ces premiers sponsoring comme ça et ça m'a au moins donné l'idée que c'était potentiellement possible d'en faire quelque chose de monétisé. de manière autonome, même si à côté, je n'ai pas de produit, je n'ai pas de modèle payant ou d'autre chose à vendre que le média en lui-même.

  • Speaker #0

    Mais tu as quand même une petite confirmation. Ok, super. Alors, merci de partager avec nous cette espèce de plateau de la mort parce qu'il existe en fait, surtout quand on crée un média spécialisé. Le podcast aussi, c'est super long au début. Vraiment, tu as l'impression de parler dans le ventre pendant presque un an, voire même plus. À ce stade-là, pour les gens qui sont en train de se lancer, est-ce que tu aurais vraiment des conseils de choses à faire, de choses à ne pas faire, avant d'arriver à l'épisode suivant où tu vas nous raconter quand est-ce que tu as commencé à sentir vraiment ton audience market fit et que ta newsletter décolle ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense qu'au début, ce qu'il faut surtout, c'est prendre l'habitude d'écrire. Et il faut comprendre qu'en fait, c'est un objectif à long terme. Si vous êtes fixé de créer un média, il faut vraiment écrire et s'accrocher. Il faut se lancer, il faut créer un compte et il faut surtout allouer du temps dans son planning. Donc là, comme ça, moi, ce que je vous conseillerais, c'est de créer un compte sur une plateforme. Il y en a plein. Il y a Substack qui est plutôt pour le côté éditorial. Si vous voulez faire un média, moi je conseillerais plutôt BeEye parce qu'ils ont des outils d'analytics qui sont beaucoup plus poussés et qu'on pourra en discuter dans les prochains épisodes justement. Mais c'est plus adapté aux médias comme le mien qu'à un créateur qui va écrire régulièrement pour son audience et potentiellement pousser ses produits. Si vous avez des produits, peut-être que ConvertKit, c'est une plateforme qui est plus adaptée pour commencer. Donc voilà, il n'y a pas de... Il n'y a pas de plateforme idéale, elles ont toutes des inconvénients et des avantages en fonction du projet.

  • Speaker #0

    Trop bien. Parfait. Sage recommandation d'allouer du temps à ses objectifs. J'en parlais il n'y a pas longtemps avec mes alumnes de bootcamp. Je veux dire, si tu veux écrire un livre, regarde combien de temps tu passes chaque semaine à écrire ton livre. Parce que c'est sûr que si vous voulez faire une newsletter à 45 000 abonnés, il faut commencer par passer un petit peu de temps à la rédaction et à la construction de ce process. Allez, c'est parti, on va passer à la suite où tu vas nous raconter. Ce que tu as fait Sébastien pour trouver ton audience market fit, c'est un peu comme pour un produit, on dit product market fit, c'est le moment où tout s'accélère, où à la fois tu as beaucoup plus de croissance mais aussi tes premiers revenus qui vont s'accélérer et on va raconter tout ça dans l'épisode suivant.

Description

Tu es freelance et tu veux générer des revenus passifs et scalables en parallèle de tes missions clients ? Ta compétence vaut de l’or, et pas qu’au TJM !


Dans cet épisode, je reçois Sébastien Lorber, développeur freelance et créateur de This Week In React, une newsletter tech spécialisée qui génère 100 000 € de revenus par an grâce à ses 45 000 abonnés.


Que tu sois freelance tech, data analyst ou expert dans un autre domaine de pointe, tu trouveras des clés pour lancer un média rentable et durable qui valorise ton expertise et t’apporte un complément de revenus bienvenus.


Voici ce que tu découvriras dans cet épisode :

📌 Pourquoi une newsletter est un outil puissant pour les freelances (tech et non tech)

📌 Comment choisir ton sujet, tes outils pour lancer ta newsletter en side business

📌 Les stratégies pour trouver tes premiers abonnés et engager une audience fidèle

📌 Monétiser via des sponsors, des partenariats ou des produits dérivés

📌 Scaler ta newsletter comme un Saas avec des outils, des automatisations et un pilotage au cordeau pour augmenter ton revenu mensuel récurrent


Cet épisode te donne toutes les clés pour créer une newsletter rentable, peu importe ton domaine, et atteindre des revenus récurrents grâce à ta communauté.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Newsletter, freelance, solopreneur, développeur, data analyst, tech, audience, abonnés, sponsors, revenus récurrents, business rentable, média scalable, Substack, stratégie SaaS, email marketing, product market fit, monétisation, outils pour newsletter, stratégie de croissance, freelancing tech, solo business, automatisation, création de contenu, marketing digital.


Crédits musicaux :

Ep.1 : Stronger, Kayne West

Ep.2 : Paparazzi, Lady Gaga

Ep.3 : The doors, Teddy Swims

Ep.4 : Squabble up, Kendrick Lamar

Ep.5 : Let’s dance, David Bowie


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Là, tu as ton idée, tu as ton pivot. Comment tu as fait concrètement pour t'organiser, pour créer ce gros produit newsletter en parallèle de tes missions ? Parce que si je comprends bien, à ce moment-là, tu es quoi ? Tu es développeur full-time chez Facebook ? Raconte-moi un petit peu ton quotidien.

  • Speaker #1

    En fait, j'avais déjà commencé les newsletters quand j'ai eu la mission chez Facebook, peut-être deux mois avant, et j'avais déjà commencé à poster régulièrement sur LinkedIn tous les jours pendant six mois avant.

  • Speaker #0

    Ok, donc tu étais testé niveau discipline, quoi.

  • Speaker #1

    Voilà, je m'étais déjà testé. Bon, après, je faisais ça, en fait, à une époque, j'étais très régulier sur le sport. J'y allais tous les jours, tous les matins, ce que je ne fais plus trop aujourd'hui, malheureusement. Mais du coup, en fait, j'avais pris l'habitude de me dire, ben voilà, entre deux machines, deux muscles. que je vais lire un article et puis faire un post LinkedIn. Et du coup, j'avais ma routine comme ça qui fonctionnait bien. Et c'est vrai qu'au début, en fait, l'anniversaire, c'était surtout une reprise des posts LinkedIn que j'avais déjà fait. J'avais aussi un peu une sorte de viral loop où j'incitais les gens à aller sur les posts LinkedIn que j'ai faits pour commenter, pour mettre un like ou autre. Ce qui m'assurait aussi une visibilité sur la plateforme et ensuite que je pouvais convertir en abonné. Donc ça, c'est pour les premiers abonnés. Après, il y a eu aussi quelque chose qui est assez classique au début, c'est de faire des partenariats avec d'autres newsletters à peu près de la même taille. On appelle ça du cross… comment ça s'appelle ? Cross… bon, voilà.

  • Speaker #0

    Cross-média,

  • Speaker #1

    quoi.

  • Speaker #0

    Je connais le cross-podcast pour le podcast, en newsletter, je ne sais pas comment ça s'appelle.

  • Speaker #1

    C'est du posting. En gros, chacun met une petite pub dans ses newsletters pour les newsletters de l'autre. Donc ça, ça marche pas mal aussi parce qu'en fait, généralement, il y a des gens qui souscrivent à des newsletters et d'autres qui ne souscrivent pas. C'est comme les podcasts, en fait. Je veux dire, soit tu as l'habitude d'en écouter, soit tu n'as pas l'habitude d'en écouter. Donc au final, c'est plus facile de convertir une audience qui a déjà l'habitude d'utiliser ce canal-là que d'essayer de convaincre des gens, en fait, tu devrais écouter des podcasts alors que tu n'as jamais écouté de podcast.

  • Speaker #0

    Tu sais que les podcasteurs, ils ont poussé le truc loin parce que maintenant, ça s'appelle le podcast swap. Et en fait, tu mets… un épisode d'un autre podcast que tu conseilles d'écouter dans ton feed de podcast. Donc, un peu comme le podcast.

  • Speaker #1

    Ça peut aussi être ce genre de choses. Et soit c'est fait de manière plus ou moins artisanale, soit aussi on peut ouvrir un article invité qui serait envoyé directement par un autre auteur. Je crois que Substack fait ça, mais je ne suis pas sûr. En tout cas, on peut le faire avec un logiciel, on peut aussi le faire à la main.

  • Speaker #0

    c'est pas un souci d'accord donc là t'en es à combien d'abonnés à peu près qu'on se rende compte parce que tu dis mes premiers abonnés mais je me rappelle quand je parlais avec Johan Lopez de Snowball c'était genre il a eu d'un coup

  • Speaker #1

    10 000 abonnés tu vois moi ce qui n'était pas mon cas donc déjà en fait je pense que Snowball c'est une usateur finance ça parle à beaucoup de gens Parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont envie de devenir riches, donc il y a aussi la promesse un peu très attractive. Moi, je suis développeur, je vais dire, je ne peux pas m'adresser à n'importe qui. Mon but, c'était vraiment initialement de convertir mon audience LinkedIn existante. Donc en fait, à partir du moment où j'ai créé la newsletter, le but, c'était qu'en fait, les gens qui me suivaient déjà sur LinkedIn, qui me likaient régulièrement, s'abonnent à la newsletter. Donc j'ai eu de la chance d'avoir un démarrage plutôt correct où en fait, le premier jour, j'ai eu 500 abonnés en faisant l'annonce sur LinkedIn. Donc, j'ai réussi à pas mal convertir l'audience. Et au bout d'une semaine, j'avais 1 000 abonnés. Après, la croissance était beaucoup plus lente.

  • Speaker #0

    Alors, je trouve ça chouette parce que d'un côté, ça valorise aussi ceux qui ont des audiences de niche. Et je pense que si moi, demain, je recréais une newsletter sur le soloprenariat from scratch, j'aurais beaucoup, beaucoup d'abonnés grâce à mon social, parce que je ne parle que de soloprenariat. Donc, c'est cool aussi de voir que les experts sont mis en avant sur ça, et donc avoir sa base solide de, comme on dit, c'est les mille premiers fans, en fait. C'est peut-être eux qui t'ont aidé aussi, derrière, à monétiser ton... Ok. Alors après, tu as fait quoi d'autre dans la croissance, dans la montée en plus de ta newsletter ?

  • Speaker #1

    Alors dans la croissance, il faut savoir qu'ensuite, j'ai quand même pas mal stagné. Parce que je pense qu'à l'époque, il n'y avait pas forcément… On est en 2020 là. En 2020, LinkedIn, c'était… En gros, il y avait déjà de l'activité. Il y avait déjà des gens bien établis qui postaient régulièrement. Mais côté développement, en fait, il n'y avait personne. Il y avait moi et puis deux, trois autres mecs qui postaient régulièrement. Et puis… Les développeurs n'étaient pas trop sur LinkedIn. Maintenant, aujourd'hui, ça a complètement changé, comme dans plein d'autres secteurs. Mais à l'époque, la croissance était vraiment lente. C'est-à-dire que je prenais 20 abonnés par semaine, ce qui n'est pas énorme. Et la première année n'était pas du tout monétisée. Je me suis posé la question, est-ce que ça a vraiment l'intérêt que je continue à faire ça ? Je prends quand même beaucoup de temps à faire ça. Au début, c'était peut-être les posts LinkedIn, ça me prenait un peu... une demi-heure tous les matins et puis la newsletter, ça me prenait une demi-journée que j'avais allouée sur mon planning. Donc, c'était vraiment une après-midi, je ne sais plus, le lundi après-midi, quelque chose comme ça que je déliais à la newsletter. C'était très simple au début. Ça a évolué avec le temps et j'y ai alloué de plus en plus de temps. Et donc, la croissance n'était pas trop là. 20 abonnés par semaine, pas monétisé, c'est compliqué. J'ai eu quand même quelques démarchages d'entreprises qui avaient envie de recruter des développeurs qui m'ont payé des petits tickets du genre c'était 400 euros pour diffuser des offres d'emploi pendant un mois dans la newsletter.

  • Speaker #0

    Il faut commencer quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, il faut commencer quelque part. Ça c'était en 2021 où j'ai eu ces premiers sponsoring comme ça et ça m'a au moins donné l'idée que c'était potentiellement possible d'en faire quelque chose de monétisé. de manière autonome, même si à côté, je n'ai pas de produit, je n'ai pas de modèle payant ou d'autre chose à vendre que le média en lui-même.

  • Speaker #0

    Mais tu as quand même une petite confirmation. Ok, super. Alors, merci de partager avec nous cette espèce de plateau de la mort parce qu'il existe en fait, surtout quand on crée un média spécialisé. Le podcast aussi, c'est super long au début. Vraiment, tu as l'impression de parler dans le ventre pendant presque un an, voire même plus. À ce stade-là, pour les gens qui sont en train de se lancer, est-ce que tu aurais vraiment des conseils de choses à faire, de choses à ne pas faire, avant d'arriver à l'épisode suivant où tu vas nous raconter quand est-ce que tu as commencé à sentir vraiment ton audience market fit et que ta newsletter décolle ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense qu'au début, ce qu'il faut surtout, c'est prendre l'habitude d'écrire. Et il faut comprendre qu'en fait, c'est un objectif à long terme. Si vous êtes fixé de créer un média, il faut vraiment écrire et s'accrocher. Il faut se lancer, il faut créer un compte et il faut surtout allouer du temps dans son planning. Donc là, comme ça, moi, ce que je vous conseillerais, c'est de créer un compte sur une plateforme. Il y en a plein. Il y a Substack qui est plutôt pour le côté éditorial. Si vous voulez faire un média, moi je conseillerais plutôt BeEye parce qu'ils ont des outils d'analytics qui sont beaucoup plus poussés et qu'on pourra en discuter dans les prochains épisodes justement. Mais c'est plus adapté aux médias comme le mien qu'à un créateur qui va écrire régulièrement pour son audience et potentiellement pousser ses produits. Si vous avez des produits, peut-être que ConvertKit, c'est une plateforme qui est plus adaptée pour commencer. Donc voilà, il n'y a pas de... Il n'y a pas de plateforme idéale, elles ont toutes des inconvénients et des avantages en fonction du projet.

  • Speaker #0

    Trop bien. Parfait. Sage recommandation d'allouer du temps à ses objectifs. J'en parlais il n'y a pas longtemps avec mes alumnes de bootcamp. Je veux dire, si tu veux écrire un livre, regarde combien de temps tu passes chaque semaine à écrire ton livre. Parce que c'est sûr que si vous voulez faire une newsletter à 45 000 abonnés, il faut commencer par passer un petit peu de temps à la rédaction et à la construction de ce process. Allez, c'est parti, on va passer à la suite où tu vas nous raconter. Ce que tu as fait Sébastien pour trouver ton audience market fit, c'est un peu comme pour un produit, on dit product market fit, c'est le moment où tout s'accélère, où à la fois tu as beaucoup plus de croissance mais aussi tes premiers revenus qui vont s'accélérer et on va raconter tout ça dans l'épisode suivant.

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Que tu sois freelance tech, data analyst ou expert dans un autre domaine de pointe, tu trouveras des clés pour lancer un média rentable et durable qui valorise ton expertise et t’apporte un complément de revenus bienvenus.


Voici ce que tu découvriras dans cet épisode :

📌 Pourquoi une newsletter est un outil puissant pour les freelances (tech et non tech)

📌 Comment choisir ton sujet, tes outils pour lancer ta newsletter en side business

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📌 Scaler ta newsletter comme un Saas avec des outils, des automatisations et un pilotage au cordeau pour augmenter ton revenu mensuel récurrent


Cet épisode te donne toutes les clés pour créer une newsletter rentable, peu importe ton domaine, et atteindre des revenus récurrents grâce à ta communauté.


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💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Newsletter, freelance, solopreneur, développeur, data analyst, tech, audience, abonnés, sponsors, revenus récurrents, business rentable, média scalable, Substack, stratégie SaaS, email marketing, product market fit, monétisation, outils pour newsletter, stratégie de croissance, freelancing tech, solo business, automatisation, création de contenu, marketing digital.


Crédits musicaux :

Ep.1 : Stronger, Kayne West

Ep.2 : Paparazzi, Lady Gaga

Ep.3 : The doors, Teddy Swims

Ep.4 : Squabble up, Kendrick Lamar

Ep.5 : Let’s dance, David Bowie


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Là, tu as ton idée, tu as ton pivot. Comment tu as fait concrètement pour t'organiser, pour créer ce gros produit newsletter en parallèle de tes missions ? Parce que si je comprends bien, à ce moment-là, tu es quoi ? Tu es développeur full-time chez Facebook ? Raconte-moi un petit peu ton quotidien.

  • Speaker #1

    En fait, j'avais déjà commencé les newsletters quand j'ai eu la mission chez Facebook, peut-être deux mois avant, et j'avais déjà commencé à poster régulièrement sur LinkedIn tous les jours pendant six mois avant.

  • Speaker #0

    Ok, donc tu étais testé niveau discipline, quoi.

  • Speaker #1

    Voilà, je m'étais déjà testé. Bon, après, je faisais ça, en fait, à une époque, j'étais très régulier sur le sport. J'y allais tous les jours, tous les matins, ce que je ne fais plus trop aujourd'hui, malheureusement. Mais du coup, en fait, j'avais pris l'habitude de me dire, ben voilà, entre deux machines, deux muscles. que je vais lire un article et puis faire un post LinkedIn. Et du coup, j'avais ma routine comme ça qui fonctionnait bien. Et c'est vrai qu'au début, en fait, l'anniversaire, c'était surtout une reprise des posts LinkedIn que j'avais déjà fait. J'avais aussi un peu une sorte de viral loop où j'incitais les gens à aller sur les posts LinkedIn que j'ai faits pour commenter, pour mettre un like ou autre. Ce qui m'assurait aussi une visibilité sur la plateforme et ensuite que je pouvais convertir en abonné. Donc ça, c'est pour les premiers abonnés. Après, il y a eu aussi quelque chose qui est assez classique au début, c'est de faire des partenariats avec d'autres newsletters à peu près de la même taille. On appelle ça du cross… comment ça s'appelle ? Cross… bon, voilà.

  • Speaker #0

    Cross-média,

  • Speaker #1

    quoi.

  • Speaker #0

    Je connais le cross-podcast pour le podcast, en newsletter, je ne sais pas comment ça s'appelle.

  • Speaker #1

    C'est du posting. En gros, chacun met une petite pub dans ses newsletters pour les newsletters de l'autre. Donc ça, ça marche pas mal aussi parce qu'en fait, généralement, il y a des gens qui souscrivent à des newsletters et d'autres qui ne souscrivent pas. C'est comme les podcasts, en fait. Je veux dire, soit tu as l'habitude d'en écouter, soit tu n'as pas l'habitude d'en écouter. Donc au final, c'est plus facile de convertir une audience qui a déjà l'habitude d'utiliser ce canal-là que d'essayer de convaincre des gens, en fait, tu devrais écouter des podcasts alors que tu n'as jamais écouté de podcast.

  • Speaker #0

    Tu sais que les podcasteurs, ils ont poussé le truc loin parce que maintenant, ça s'appelle le podcast swap. Et en fait, tu mets… un épisode d'un autre podcast que tu conseilles d'écouter dans ton feed de podcast. Donc, un peu comme le podcast.

  • Speaker #1

    Ça peut aussi être ce genre de choses. Et soit c'est fait de manière plus ou moins artisanale, soit aussi on peut ouvrir un article invité qui serait envoyé directement par un autre auteur. Je crois que Substack fait ça, mais je ne suis pas sûr. En tout cas, on peut le faire avec un logiciel, on peut aussi le faire à la main.

  • Speaker #0

    c'est pas un souci d'accord donc là t'en es à combien d'abonnés à peu près qu'on se rende compte parce que tu dis mes premiers abonnés mais je me rappelle quand je parlais avec Johan Lopez de Snowball c'était genre il a eu d'un coup

  • Speaker #1

    10 000 abonnés tu vois moi ce qui n'était pas mon cas donc déjà en fait je pense que Snowball c'est une usateur finance ça parle à beaucoup de gens Parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont envie de devenir riches, donc il y a aussi la promesse un peu très attractive. Moi, je suis développeur, je vais dire, je ne peux pas m'adresser à n'importe qui. Mon but, c'était vraiment initialement de convertir mon audience LinkedIn existante. Donc en fait, à partir du moment où j'ai créé la newsletter, le but, c'était qu'en fait, les gens qui me suivaient déjà sur LinkedIn, qui me likaient régulièrement, s'abonnent à la newsletter. Donc j'ai eu de la chance d'avoir un démarrage plutôt correct où en fait, le premier jour, j'ai eu 500 abonnés en faisant l'annonce sur LinkedIn. Donc, j'ai réussi à pas mal convertir l'audience. Et au bout d'une semaine, j'avais 1 000 abonnés. Après, la croissance était beaucoup plus lente.

  • Speaker #0

    Alors, je trouve ça chouette parce que d'un côté, ça valorise aussi ceux qui ont des audiences de niche. Et je pense que si moi, demain, je recréais une newsletter sur le soloprenariat from scratch, j'aurais beaucoup, beaucoup d'abonnés grâce à mon social, parce que je ne parle que de soloprenariat. Donc, c'est cool aussi de voir que les experts sont mis en avant sur ça, et donc avoir sa base solide de, comme on dit, c'est les mille premiers fans, en fait. C'est peut-être eux qui t'ont aidé aussi, derrière, à monétiser ton... Ok. Alors après, tu as fait quoi d'autre dans la croissance, dans la montée en plus de ta newsletter ?

  • Speaker #1

    Alors dans la croissance, il faut savoir qu'ensuite, j'ai quand même pas mal stagné. Parce que je pense qu'à l'époque, il n'y avait pas forcément… On est en 2020 là. En 2020, LinkedIn, c'était… En gros, il y avait déjà de l'activité. Il y avait déjà des gens bien établis qui postaient régulièrement. Mais côté développement, en fait, il n'y avait personne. Il y avait moi et puis deux, trois autres mecs qui postaient régulièrement. Et puis… Les développeurs n'étaient pas trop sur LinkedIn. Maintenant, aujourd'hui, ça a complètement changé, comme dans plein d'autres secteurs. Mais à l'époque, la croissance était vraiment lente. C'est-à-dire que je prenais 20 abonnés par semaine, ce qui n'est pas énorme. Et la première année n'était pas du tout monétisée. Je me suis posé la question, est-ce que ça a vraiment l'intérêt que je continue à faire ça ? Je prends quand même beaucoup de temps à faire ça. Au début, c'était peut-être les posts LinkedIn, ça me prenait un peu... une demi-heure tous les matins et puis la newsletter, ça me prenait une demi-journée que j'avais allouée sur mon planning. Donc, c'était vraiment une après-midi, je ne sais plus, le lundi après-midi, quelque chose comme ça que je déliais à la newsletter. C'était très simple au début. Ça a évolué avec le temps et j'y ai alloué de plus en plus de temps. Et donc, la croissance n'était pas trop là. 20 abonnés par semaine, pas monétisé, c'est compliqué. J'ai eu quand même quelques démarchages d'entreprises qui avaient envie de recruter des développeurs qui m'ont payé des petits tickets du genre c'était 400 euros pour diffuser des offres d'emploi pendant un mois dans la newsletter.

  • Speaker #0

    Il faut commencer quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, il faut commencer quelque part. Ça c'était en 2021 où j'ai eu ces premiers sponsoring comme ça et ça m'a au moins donné l'idée que c'était potentiellement possible d'en faire quelque chose de monétisé. de manière autonome, même si à côté, je n'ai pas de produit, je n'ai pas de modèle payant ou d'autre chose à vendre que le média en lui-même.

  • Speaker #0

    Mais tu as quand même une petite confirmation. Ok, super. Alors, merci de partager avec nous cette espèce de plateau de la mort parce qu'il existe en fait, surtout quand on crée un média spécialisé. Le podcast aussi, c'est super long au début. Vraiment, tu as l'impression de parler dans le ventre pendant presque un an, voire même plus. À ce stade-là, pour les gens qui sont en train de se lancer, est-ce que tu aurais vraiment des conseils de choses à faire, de choses à ne pas faire, avant d'arriver à l'épisode suivant où tu vas nous raconter quand est-ce que tu as commencé à sentir vraiment ton audience market fit et que ta newsletter décolle ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense qu'au début, ce qu'il faut surtout, c'est prendre l'habitude d'écrire. Et il faut comprendre qu'en fait, c'est un objectif à long terme. Si vous êtes fixé de créer un média, il faut vraiment écrire et s'accrocher. Il faut se lancer, il faut créer un compte et il faut surtout allouer du temps dans son planning. Donc là, comme ça, moi, ce que je vous conseillerais, c'est de créer un compte sur une plateforme. Il y en a plein. Il y a Substack qui est plutôt pour le côté éditorial. Si vous voulez faire un média, moi je conseillerais plutôt BeEye parce qu'ils ont des outils d'analytics qui sont beaucoup plus poussés et qu'on pourra en discuter dans les prochains épisodes justement. Mais c'est plus adapté aux médias comme le mien qu'à un créateur qui va écrire régulièrement pour son audience et potentiellement pousser ses produits. Si vous avez des produits, peut-être que ConvertKit, c'est une plateforme qui est plus adaptée pour commencer. Donc voilà, il n'y a pas de... Il n'y a pas de plateforme idéale, elles ont toutes des inconvénients et des avantages en fonction du projet.

  • Speaker #0

    Trop bien. Parfait. Sage recommandation d'allouer du temps à ses objectifs. J'en parlais il n'y a pas longtemps avec mes alumnes de bootcamp. Je veux dire, si tu veux écrire un livre, regarde combien de temps tu passes chaque semaine à écrire ton livre. Parce que c'est sûr que si vous voulez faire une newsletter à 45 000 abonnés, il faut commencer par passer un petit peu de temps à la rédaction et à la construction de ce process. Allez, c'est parti, on va passer à la suite où tu vas nous raconter. Ce que tu as fait Sébastien pour trouver ton audience market fit, c'est un peu comme pour un produit, on dit product market fit, c'est le moment où tout s'accélère, où à la fois tu as beaucoup plus de croissance mais aussi tes premiers revenus qui vont s'accélérer et on va raconter tout ça dans l'épisode suivant.

Description

Tu es freelance et tu veux générer des revenus passifs et scalables en parallèle de tes missions clients ? Ta compétence vaut de l’or, et pas qu’au TJM !


Dans cet épisode, je reçois Sébastien Lorber, développeur freelance et créateur de This Week In React, une newsletter tech spécialisée qui génère 100 000 € de revenus par an grâce à ses 45 000 abonnés.


Que tu sois freelance tech, data analyst ou expert dans un autre domaine de pointe, tu trouveras des clés pour lancer un média rentable et durable qui valorise ton expertise et t’apporte un complément de revenus bienvenus.


Voici ce que tu découvriras dans cet épisode :

📌 Pourquoi une newsletter est un outil puissant pour les freelances (tech et non tech)

📌 Comment choisir ton sujet, tes outils pour lancer ta newsletter en side business

📌 Les stratégies pour trouver tes premiers abonnés et engager une audience fidèle

📌 Monétiser via des sponsors, des partenariats ou des produits dérivés

📌 Scaler ta newsletter comme un Saas avec des outils, des automatisations et un pilotage au cordeau pour augmenter ton revenu mensuel récurrent


Cet épisode te donne toutes les clés pour créer une newsletter rentable, peu importe ton domaine, et atteindre des revenus récurrents grâce à ta communauté.


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Newsletter, freelance, solopreneur, développeur, data analyst, tech, audience, abonnés, sponsors, revenus récurrents, business rentable, média scalable, Substack, stratégie SaaS, email marketing, product market fit, monétisation, outils pour newsletter, stratégie de croissance, freelancing tech, solo business, automatisation, création de contenu, marketing digital.


Crédits musicaux :

Ep.1 : Stronger, Kayne West

Ep.2 : Paparazzi, Lady Gaga

Ep.3 : The doors, Teddy Swims

Ep.4 : Squabble up, Kendrick Lamar

Ep.5 : Let’s dance, David Bowie


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Là, tu as ton idée, tu as ton pivot. Comment tu as fait concrètement pour t'organiser, pour créer ce gros produit newsletter en parallèle de tes missions ? Parce que si je comprends bien, à ce moment-là, tu es quoi ? Tu es développeur full-time chez Facebook ? Raconte-moi un petit peu ton quotidien.

  • Speaker #1

    En fait, j'avais déjà commencé les newsletters quand j'ai eu la mission chez Facebook, peut-être deux mois avant, et j'avais déjà commencé à poster régulièrement sur LinkedIn tous les jours pendant six mois avant.

  • Speaker #0

    Ok, donc tu étais testé niveau discipline, quoi.

  • Speaker #1

    Voilà, je m'étais déjà testé. Bon, après, je faisais ça, en fait, à une époque, j'étais très régulier sur le sport. J'y allais tous les jours, tous les matins, ce que je ne fais plus trop aujourd'hui, malheureusement. Mais du coup, en fait, j'avais pris l'habitude de me dire, ben voilà, entre deux machines, deux muscles. que je vais lire un article et puis faire un post LinkedIn. Et du coup, j'avais ma routine comme ça qui fonctionnait bien. Et c'est vrai qu'au début, en fait, l'anniversaire, c'était surtout une reprise des posts LinkedIn que j'avais déjà fait. J'avais aussi un peu une sorte de viral loop où j'incitais les gens à aller sur les posts LinkedIn que j'ai faits pour commenter, pour mettre un like ou autre. Ce qui m'assurait aussi une visibilité sur la plateforme et ensuite que je pouvais convertir en abonné. Donc ça, c'est pour les premiers abonnés. Après, il y a eu aussi quelque chose qui est assez classique au début, c'est de faire des partenariats avec d'autres newsletters à peu près de la même taille. On appelle ça du cross… comment ça s'appelle ? Cross… bon, voilà.

  • Speaker #0

    Cross-média,

  • Speaker #1

    quoi.

  • Speaker #0

    Je connais le cross-podcast pour le podcast, en newsletter, je ne sais pas comment ça s'appelle.

  • Speaker #1

    C'est du posting. En gros, chacun met une petite pub dans ses newsletters pour les newsletters de l'autre. Donc ça, ça marche pas mal aussi parce qu'en fait, généralement, il y a des gens qui souscrivent à des newsletters et d'autres qui ne souscrivent pas. C'est comme les podcasts, en fait. Je veux dire, soit tu as l'habitude d'en écouter, soit tu n'as pas l'habitude d'en écouter. Donc au final, c'est plus facile de convertir une audience qui a déjà l'habitude d'utiliser ce canal-là que d'essayer de convaincre des gens, en fait, tu devrais écouter des podcasts alors que tu n'as jamais écouté de podcast.

  • Speaker #0

    Tu sais que les podcasteurs, ils ont poussé le truc loin parce que maintenant, ça s'appelle le podcast swap. Et en fait, tu mets… un épisode d'un autre podcast que tu conseilles d'écouter dans ton feed de podcast. Donc, un peu comme le podcast.

  • Speaker #1

    Ça peut aussi être ce genre de choses. Et soit c'est fait de manière plus ou moins artisanale, soit aussi on peut ouvrir un article invité qui serait envoyé directement par un autre auteur. Je crois que Substack fait ça, mais je ne suis pas sûr. En tout cas, on peut le faire avec un logiciel, on peut aussi le faire à la main.

  • Speaker #0

    c'est pas un souci d'accord donc là t'en es à combien d'abonnés à peu près qu'on se rende compte parce que tu dis mes premiers abonnés mais je me rappelle quand je parlais avec Johan Lopez de Snowball c'était genre il a eu d'un coup

  • Speaker #1

    10 000 abonnés tu vois moi ce qui n'était pas mon cas donc déjà en fait je pense que Snowball c'est une usateur finance ça parle à beaucoup de gens Parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont envie de devenir riches, donc il y a aussi la promesse un peu très attractive. Moi, je suis développeur, je vais dire, je ne peux pas m'adresser à n'importe qui. Mon but, c'était vraiment initialement de convertir mon audience LinkedIn existante. Donc en fait, à partir du moment où j'ai créé la newsletter, le but, c'était qu'en fait, les gens qui me suivaient déjà sur LinkedIn, qui me likaient régulièrement, s'abonnent à la newsletter. Donc j'ai eu de la chance d'avoir un démarrage plutôt correct où en fait, le premier jour, j'ai eu 500 abonnés en faisant l'annonce sur LinkedIn. Donc, j'ai réussi à pas mal convertir l'audience. Et au bout d'une semaine, j'avais 1 000 abonnés. Après, la croissance était beaucoup plus lente.

  • Speaker #0

    Alors, je trouve ça chouette parce que d'un côté, ça valorise aussi ceux qui ont des audiences de niche. Et je pense que si moi, demain, je recréais une newsletter sur le soloprenariat from scratch, j'aurais beaucoup, beaucoup d'abonnés grâce à mon social, parce que je ne parle que de soloprenariat. Donc, c'est cool aussi de voir que les experts sont mis en avant sur ça, et donc avoir sa base solide de, comme on dit, c'est les mille premiers fans, en fait. C'est peut-être eux qui t'ont aidé aussi, derrière, à monétiser ton... Ok. Alors après, tu as fait quoi d'autre dans la croissance, dans la montée en plus de ta newsletter ?

  • Speaker #1

    Alors dans la croissance, il faut savoir qu'ensuite, j'ai quand même pas mal stagné. Parce que je pense qu'à l'époque, il n'y avait pas forcément… On est en 2020 là. En 2020, LinkedIn, c'était… En gros, il y avait déjà de l'activité. Il y avait déjà des gens bien établis qui postaient régulièrement. Mais côté développement, en fait, il n'y avait personne. Il y avait moi et puis deux, trois autres mecs qui postaient régulièrement. Et puis… Les développeurs n'étaient pas trop sur LinkedIn. Maintenant, aujourd'hui, ça a complètement changé, comme dans plein d'autres secteurs. Mais à l'époque, la croissance était vraiment lente. C'est-à-dire que je prenais 20 abonnés par semaine, ce qui n'est pas énorme. Et la première année n'était pas du tout monétisée. Je me suis posé la question, est-ce que ça a vraiment l'intérêt que je continue à faire ça ? Je prends quand même beaucoup de temps à faire ça. Au début, c'était peut-être les posts LinkedIn, ça me prenait un peu... une demi-heure tous les matins et puis la newsletter, ça me prenait une demi-journée que j'avais allouée sur mon planning. Donc, c'était vraiment une après-midi, je ne sais plus, le lundi après-midi, quelque chose comme ça que je déliais à la newsletter. C'était très simple au début. Ça a évolué avec le temps et j'y ai alloué de plus en plus de temps. Et donc, la croissance n'était pas trop là. 20 abonnés par semaine, pas monétisé, c'est compliqué. J'ai eu quand même quelques démarchages d'entreprises qui avaient envie de recruter des développeurs qui m'ont payé des petits tickets du genre c'était 400 euros pour diffuser des offres d'emploi pendant un mois dans la newsletter.

  • Speaker #0

    Il faut commencer quelque part.

  • Speaker #1

    Voilà, il faut commencer quelque part. Ça c'était en 2021 où j'ai eu ces premiers sponsoring comme ça et ça m'a au moins donné l'idée que c'était potentiellement possible d'en faire quelque chose de monétisé. de manière autonome, même si à côté, je n'ai pas de produit, je n'ai pas de modèle payant ou d'autre chose à vendre que le média en lui-même.

  • Speaker #0

    Mais tu as quand même une petite confirmation. Ok, super. Alors, merci de partager avec nous cette espèce de plateau de la mort parce qu'il existe en fait, surtout quand on crée un média spécialisé. Le podcast aussi, c'est super long au début. Vraiment, tu as l'impression de parler dans le ventre pendant presque un an, voire même plus. À ce stade-là, pour les gens qui sont en train de se lancer, est-ce que tu aurais vraiment des conseils de choses à faire, de choses à ne pas faire, avant d'arriver à l'épisode suivant où tu vas nous raconter quand est-ce que tu as commencé à sentir vraiment ton audience market fit et que ta newsletter décolle ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense qu'au début, ce qu'il faut surtout, c'est prendre l'habitude d'écrire. Et il faut comprendre qu'en fait, c'est un objectif à long terme. Si vous êtes fixé de créer un média, il faut vraiment écrire et s'accrocher. Il faut se lancer, il faut créer un compte et il faut surtout allouer du temps dans son planning. Donc là, comme ça, moi, ce que je vous conseillerais, c'est de créer un compte sur une plateforme. Il y en a plein. Il y a Substack qui est plutôt pour le côté éditorial. Si vous voulez faire un média, moi je conseillerais plutôt BeEye parce qu'ils ont des outils d'analytics qui sont beaucoup plus poussés et qu'on pourra en discuter dans les prochains épisodes justement. Mais c'est plus adapté aux médias comme le mien qu'à un créateur qui va écrire régulièrement pour son audience et potentiellement pousser ses produits. Si vous avez des produits, peut-être que ConvertKit, c'est une plateforme qui est plus adaptée pour commencer. Donc voilà, il n'y a pas de... Il n'y a pas de plateforme idéale, elles ont toutes des inconvénients et des avantages en fonction du projet.

  • Speaker #0

    Trop bien. Parfait. Sage recommandation d'allouer du temps à ses objectifs. J'en parlais il n'y a pas longtemps avec mes alumnes de bootcamp. Je veux dire, si tu veux écrire un livre, regarde combien de temps tu passes chaque semaine à écrire ton livre. Parce que c'est sûr que si vous voulez faire une newsletter à 45 000 abonnés, il faut commencer par passer un petit peu de temps à la rédaction et à la construction de ce process. Allez, c'est parti, on va passer à la suite où tu vas nous raconter. Ce que tu as fait Sébastien pour trouver ton audience market fit, c'est un peu comme pour un produit, on dit product market fit, c'est le moment où tout s'accélère, où à la fois tu as beaucoup plus de croissance mais aussi tes premiers revenus qui vont s'accélérer et on va raconter tout ça dans l'épisode suivant.

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