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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

2/5 🦖- Générer des revenus passifs en créant ton micro-SaaS

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09min |15/10/2024
Play
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Description

Tu rêves de lancer ton logiciel SaaS pour générer des revenus passifs en parallèle de ton activité de freelance ou de salarié ?


Dans cet épisode, Mickael Bourgois, créateur de Scrybecast, te partage son parcours et ses conseils pour développer un micro SaaS et scaler tes revenus de solopreneur sans être développeur 🧑‍💻


Mickael Bourgois est le fondateur de Scrybecast, un SaaS qu'il a créé à côté de ses missions de freelance et de son job de salarié. Il nous livre ses astuces pour te lancer dans l'aventure SaaS, même si tu n’as pas de compétences en développement. Ensemble, on va décortiquer les outils, les compétences et les étapes pour réussir.


📌 Pourquoi créer un SaaS peut t’aider à scaler ton business de solopreneur ?

📌 Comment développer un SaaS sans savoir coder grâce aux outils no-code ?

📌 Quelles sont les erreurs à éviter quand on lance son SaaS ?

📌 Comment structurer ton projet pour le rendre rentable rapidement ?

📌 Est-il possible de revendre un micro SaaS et comment maximiser sa valeur ?


Découvre tout ce que tu dois savoir pour créer ton SaaS et booster ton activité de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - Technologic - Daft Punk
Ep.2 - I need a dollar - Aloe Black
Ep.3 - Je reviens te chercher - Gilbert Bécaud
Ep. 4 - Voilà, c’est fini - Jean-Louis Aubert
Ep. 5 - Simply the best - Tina Turner


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, tu nous parlais de la genèse. Qu'est-ce qui t'a motivé à créer un SaaS ? Comment tu as fait ensuite pour le lancer ? Parce qu'en gros, si je comprends bien, à ce stade, tu voulais d'abord créer un logiciel, mais tu n'avais pas d'idée préconçue. Tu tombes sur un besoin de marché. qui semble être dans l'univers du podcasting et tout le travail qu'il y a à faire autour d'un podcast qu'on crée, qui est vraiment un travail énorme. C'est là qu'est né Scribecast. Raconte-nous un peu comment ça s'est passé, la construction concrètement de ton SaaS.

  • Speaker #2

    Scribecast n'est pas arrivé tout de suite. Il y a encore un peu de temps qui s'est écoulé avant cela. Cette fameuse marketplace de services freelance, communauté freelance dans le podcasting que j'ai lancé, il y avait des prestations en termes de rédaction de comptes. du montage audio, du mixage, même de la vidéo, du graphisme. Et j'avais mes premiers clients qui arrivaient sur la plateforme, qui trouvaient des services, chaussures à leurs pieds. Mais c'est des services qui coûtent cher, c'est des services humains, ce qui est normal, il faut payer les gens pour qu'ils travaillent, et surtout avec du travail de qualité. Et beaucoup m'ont dit que ce serait cool qu'on puisse avoir, ne serait-ce que sur la partie création de contenu, des contenus qui soient générés automatiquement. On a entendu parler de l'IA. Alors à l'époque, il n'y avait pas de chat GPT, c'était juste GPT3, donc en mode API pour les développeurs. On a entendu parler d'une IA qui était capable de rétiger des contenus. Est-ce que tu ne pourrais pas regarder ce qui serait possible de faire pour créer des posts LinkedIn, par exemple ? On a aussi des produits qui marchent bien, mais plutôt sur des podcasts anglophones, en tout cas des audios en anglais, pour faire du speech-to-text, donc de la transcription d'audio. Est-ce que tu ne peux pas regarder quelque chose qui marche bien en français ? Parce que là, c'est bien, tu nous fais de la prise de notes quasi parfaite, mais il y a quand même des erreurs. Ce n'est pas à chaque fois les bons mots qui sont employés, et pas toujours en tout cas. essaye de pouvoir faire en sorte d'automatiser ça, la transcription, la création de contenu. Donc j'avais regardé et à l'époque n'étant pas développeur, les API je connaissais, mais c'était quand même un peu trop complexe pour moi. Finalement, comme je me suis formé au no-code, le concept d'API est devenu de plus en plus clair pour moi, j'avais créé ma marketplace puis d'autres produits pour des clients et je me suis dit tiens c'est peut-être maintenant le moment de me lancer et d'essayer de créer ce dont les gens avaient émis le besoin. durant le lancement de ma marketplace encore une fois tu vois c'est un besoin que j'avais décelé et donc je me suis dit je vais essayer de créer quelque chose et c'est là où j'ai lancé scriptcast et comment je le faisais tout simplement pendant que j'étais au bureau le midi mes collègues jouaient à rocket league sur sur sur la playstation donc un jeu tu peux jouer en ligne avec des voitures moi j'étais derrière mon ordi en train d'essayer de développer quelque chose j'apprenais je regardais des vidéos youtube je testais et le soir aussi le soir après qu'on ait fini de dîner ou de regarder une série netflix plutôt que d'aller me coucher à 22h30 je descendais au bureau là où je suis actuellement pour continuer à travailler sur cet outil là et c'est comme ça que Scribecast est né

  • Speaker #1

    J'adore, non mais tu me fais trop rire parce que c'est vraiment, tu décris le côté à la fois concentré et passionné aussi du salarié diversifié qui a son petit projet à côté et je suis sûre que pour toi c'était encore plus kiffant que jouer au jeu là avec tes collègues de développer ton truc le midi ça te prenait combien de temps par jour ? t'as mesuré, t'as dosé,

  • Speaker #2

    t'as traqué un peu ton temps tu sais combien ça t'a coûté en temps entre guillemets ce développement ouais ça me prenait 3-4 heures par jour parce que 1h le midi je pouvais pas faire plus et après c'est le soir bon au delà de la fatigue il fallait s'arrêter à un moment donné pour avoir les idées claires donc je dirais 3-4 heures par jour et je l'ai lancé je me souviens c'était en juin j'avais lancé le MVP... avec des bêta-testeurs, justement, ces fameuses personnes qui m'avaient appelé en disant Tiens, il faudrait faire ce produit-là sur mon marketplace. Je les ai recontactés. J'ai contacté des podcasteurs aussi que j'aimais bien. Et je leur ai fait tester l'outil. Bon, ce n'était pas encore très mature, donc certains étaient déçus, mais certains ont décelé le potentiel. Tout de suite, on a adhéré au projet. Même, on sortit à leur carte bleue parce que j'avais déjà, dès le début, mis un petit système de paiement, même pas très cher, pour voir s'il y avait un peu de traction.

  • Speaker #1

    C'était pas très cher. Tu te rappelles de tes premiers prêts ?

  • Speaker #2

    Je ne sais plus si j'avais commencé. C'était en dollars que j'avais fait un site en anglais. c'était 5 ou 10 dollars pas plus TTC donc c'était vraiment pas cher aujourd'hui j'ai augmenté un peu le tarif mais ça reste relativement abordable ok super j'aime bien en plus en anglais et tout à la conquête du monde direct

  • Speaker #1

    Non, mais tu as raison. Trop intéressant. Alors, est-ce que ça t'a coûté de l'argent ou pas ? Au-delà du temps. Donc là, on en est sur la facture en termes de temps. Est-ce que tu as dû payer des trucs ? Je ne sais pas, des outils, des formations et tout. Tu te rappelles le budget que ça représentait ?

  • Speaker #2

    Au-delà des formations qui sont, on va dire, autant pour Scribecast que pour d'autres choses. Ça peut être en IA, en marketing, en growth. J'aime bien me former. Je suis peut-être trop addict aux formations. Je peux en acheter une ou deux par mois. D'ailleurs, il faut avoir le temps de les suivre après. C'est un autre défi. Au-delà de ça, c'est plutôt les outils qui servent à développer, qui servent à héberger. Moi, j'utilise une solution no code, je le disais, qui s'appelle Bubble. L'avantage, c'est que c'est un SaaS. Tu payes ton abonnement et tu as accès à la solution pour développer. L'hébergement se fait aussi. Ce SaaS, il me coûte 32 dollars par mois. Ce n'est pas le plus cher. Après, ce qui te coûte, c'est ton outil de speech-to-texte qui va, lui, être pas fixe. C'est-à-dire que plus il y a de mots qui sont transcrits, plus tu payes. Pareil pour l'IA, j'utilise OpenAI et Anthropik, donc ChatGPT et Cloud dans Scribecast. Pareil, c'est des systèmes de token, donc plus il y a de monde sur ma plateforme, plus ça me coûte. Mais au départ, on va dire que ça me coûtait quelques dizaines d'euros par mois parce qu'il n'y avait pas grand monde sur la plateforme. Maintenant, c'est plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #1

    Ok, bon bah écoute, mais ça c'est proportionnel à tes revenus aussi, on en parlera tout à l'heure quand tu nous parleras des KPIs. Super, qu'est-ce que tu conseilles à ce stade ? Donc là on a parlé de tes compétences, du temps que ça t'a coûté, de l'argent, des outils. Est-ce que tu as un conseil, un défi à nous donner si on veut se lancer concrètement dans la réalisation de notre premier SaaS ?

  • Speaker #2

    Ouais, moi le conseil que je donnerais c'est de bien séparer justement le côté salariat parce que j'étais encore salarié. le côté famille, prendre du temps pour sa famille là j'ai un petit de 2 ans donc j'étais en plein dedans c'était un bébé donc il faut aussi s'en occuper et être présent donc bien séparer les choses, être sûr qu'on ait du temps pour être concentré sur son produit pas faire 10 minutes par ci, 10 minutes par là se prendre vraiment des grosses lottes de 1h voire 2h mais d'être tranquille donc bien séparer le salariat pour être déjà pour répondre aux besoins du patron qui est là et qui t'a embauché ou alors en terme de client c'était freelance moi après je suis passé freelance mais j'ai continué à faire ça du coup à côté...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, ton employeur, il était au courant que tu faisais un SaaS ?

  • Speaker #2

    Tu lui avais dit ? Oui, et il m'encouragait. Lui-même, il est, on va dire, multipreneur. Il a sa boîte principale aujourd'hui qui est un SaaS, mais il a eu plein d'autres boîtes. Il a des investissements dans une salle de sport, par exemple. Donc, il aime bien aussi toucher un peu à tout. Donc, le fait d'avoir un salarié qui est ouvert d'esprit, qui ne reste pas à son bureau que pour faire une action définie et qui s'intéresse à d'autres choses, il a aussi vu que ça pouvait lui apporter à lui des nouvelles compétences et donc des nouveautés dans le travail du quotidien. Et... Quand je lui ai dit que j'aimerais quitter mon travail pour me lancer en freelancing parce que j'avais des missions freelance de no-code qui tombaient, je les faisais aussi le soir avec Skypecast aussi à côté. Je mélangeais tout. Je me suis dit là, il y a un truc à faire, je vais peut-être arrêter mon job et essayer de me lancer. C'est une lourde décision quant à, j'avais quoi, 37 ans je crois. 37 ans, un bébé, une maison à payer. Je me suis dit, je vais quitter un CDI, je suis cadre, j'ai fait une école d'ingénieur pour faire ce que je voulais. École d'ingénieur, j'ai fait sur le tard aussi. qu'est-ce que je fais ? Je me suis longtemps posé la question. Je me suis finalement lancé et il m'a tout de suite dit Ok, je vois où tu veux en venir. Si tu veux, on fait une rupture conventionnelle. Je vais te suivre, il n'y a pas de souci. Il m'a aidé là-dessus. Il ne m'a pas mis de frein.

  • Speaker #1

    J'adore. Bon, écoute, je peux complètement... J'ai beaucoup d'empathie pour ta situation parce que je vais te faire passer à peu près au même cas de conscience. Tu es une situation super pour te lancer un peu dans l'inconnu. C'est top. Et franchement, employé modèle, j'ai envie de dire, en même temps, ton patron... C'est un leader d'un SaaS. Toi, tu essayes de construire un SaaS. Quelle meilleure façon d'être un employé modèle que d'avoir son propre SaaS à côté et de comprendre toutes les problématiques du métier. Donc, bon, s'il y a des salariés diversifiés qui nous écoutent, ça leur fera du baume au cœur. Ils verront aussi tout le potentiel que ça peut avoir, même pour un employeur. Trop cool. Eh bien, écoute, ce que je te propose, c'est qu'on passe à l'épisode 3, puisque une fois qu'on s'est motivé, qu'on s'est formé, qu'on l'a construit, eh bien, on va rentrer dans le run un peu du SaaS. Est-ce qu'il te rapporte de l'argent ? Quels sont les KPIs qu'il faut regarder quand on lance un micro SaaS ? Comment faire en sorte que ça soit rentable après tout le temps ? Et les moments aussi un peu de sacrifice que tu as investis sur ce SaaS ? On en parle dans l'épisode 3.

Description

Tu rêves de lancer ton logiciel SaaS pour générer des revenus passifs en parallèle de ton activité de freelance ou de salarié ?


Dans cet épisode, Mickael Bourgois, créateur de Scrybecast, te partage son parcours et ses conseils pour développer un micro SaaS et scaler tes revenus de solopreneur sans être développeur 🧑‍💻


Mickael Bourgois est le fondateur de Scrybecast, un SaaS qu'il a créé à côté de ses missions de freelance et de son job de salarié. Il nous livre ses astuces pour te lancer dans l'aventure SaaS, même si tu n’as pas de compétences en développement. Ensemble, on va décortiquer les outils, les compétences et les étapes pour réussir.


📌 Pourquoi créer un SaaS peut t’aider à scaler ton business de solopreneur ?

📌 Comment développer un SaaS sans savoir coder grâce aux outils no-code ?

📌 Quelles sont les erreurs à éviter quand on lance son SaaS ?

📌 Comment structurer ton projet pour le rendre rentable rapidement ?

📌 Est-il possible de revendre un micro SaaS et comment maximiser sa valeur ?


Découvre tout ce que tu dois savoir pour créer ton SaaS et booster ton activité de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - Technologic - Daft Punk
Ep.2 - I need a dollar - Aloe Black
Ep.3 - Je reviens te chercher - Gilbert Bécaud
Ep. 4 - Voilà, c’est fini - Jean-Louis Aubert
Ep. 5 - Simply the best - Tina Turner


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, tu nous parlais de la genèse. Qu'est-ce qui t'a motivé à créer un SaaS ? Comment tu as fait ensuite pour le lancer ? Parce qu'en gros, si je comprends bien, à ce stade, tu voulais d'abord créer un logiciel, mais tu n'avais pas d'idée préconçue. Tu tombes sur un besoin de marché. qui semble être dans l'univers du podcasting et tout le travail qu'il y a à faire autour d'un podcast qu'on crée, qui est vraiment un travail énorme. C'est là qu'est né Scribecast. Raconte-nous un peu comment ça s'est passé, la construction concrètement de ton SaaS.

  • Speaker #2

    Scribecast n'est pas arrivé tout de suite. Il y a encore un peu de temps qui s'est écoulé avant cela. Cette fameuse marketplace de services freelance, communauté freelance dans le podcasting que j'ai lancé, il y avait des prestations en termes de rédaction de comptes. du montage audio, du mixage, même de la vidéo, du graphisme. Et j'avais mes premiers clients qui arrivaient sur la plateforme, qui trouvaient des services, chaussures à leurs pieds. Mais c'est des services qui coûtent cher, c'est des services humains, ce qui est normal, il faut payer les gens pour qu'ils travaillent, et surtout avec du travail de qualité. Et beaucoup m'ont dit que ce serait cool qu'on puisse avoir, ne serait-ce que sur la partie création de contenu, des contenus qui soient générés automatiquement. On a entendu parler de l'IA. Alors à l'époque, il n'y avait pas de chat GPT, c'était juste GPT3, donc en mode API pour les développeurs. On a entendu parler d'une IA qui était capable de rétiger des contenus. Est-ce que tu ne pourrais pas regarder ce qui serait possible de faire pour créer des posts LinkedIn, par exemple ? On a aussi des produits qui marchent bien, mais plutôt sur des podcasts anglophones, en tout cas des audios en anglais, pour faire du speech-to-text, donc de la transcription d'audio. Est-ce que tu ne peux pas regarder quelque chose qui marche bien en français ? Parce que là, c'est bien, tu nous fais de la prise de notes quasi parfaite, mais il y a quand même des erreurs. Ce n'est pas à chaque fois les bons mots qui sont employés, et pas toujours en tout cas. essaye de pouvoir faire en sorte d'automatiser ça, la transcription, la création de contenu. Donc j'avais regardé et à l'époque n'étant pas développeur, les API je connaissais, mais c'était quand même un peu trop complexe pour moi. Finalement, comme je me suis formé au no-code, le concept d'API est devenu de plus en plus clair pour moi, j'avais créé ma marketplace puis d'autres produits pour des clients et je me suis dit tiens c'est peut-être maintenant le moment de me lancer et d'essayer de créer ce dont les gens avaient émis le besoin. durant le lancement de ma marketplace encore une fois tu vois c'est un besoin que j'avais décelé et donc je me suis dit je vais essayer de créer quelque chose et c'est là où j'ai lancé scriptcast et comment je le faisais tout simplement pendant que j'étais au bureau le midi mes collègues jouaient à rocket league sur sur sur la playstation donc un jeu tu peux jouer en ligne avec des voitures moi j'étais derrière mon ordi en train d'essayer de développer quelque chose j'apprenais je regardais des vidéos youtube je testais et le soir aussi le soir après qu'on ait fini de dîner ou de regarder une série netflix plutôt que d'aller me coucher à 22h30 je descendais au bureau là où je suis actuellement pour continuer à travailler sur cet outil là et c'est comme ça que Scribecast est né

  • Speaker #1

    J'adore, non mais tu me fais trop rire parce que c'est vraiment, tu décris le côté à la fois concentré et passionné aussi du salarié diversifié qui a son petit projet à côté et je suis sûre que pour toi c'était encore plus kiffant que jouer au jeu là avec tes collègues de développer ton truc le midi ça te prenait combien de temps par jour ? t'as mesuré, t'as dosé,

  • Speaker #2

    t'as traqué un peu ton temps tu sais combien ça t'a coûté en temps entre guillemets ce développement ouais ça me prenait 3-4 heures par jour parce que 1h le midi je pouvais pas faire plus et après c'est le soir bon au delà de la fatigue il fallait s'arrêter à un moment donné pour avoir les idées claires donc je dirais 3-4 heures par jour et je l'ai lancé je me souviens c'était en juin j'avais lancé le MVP... avec des bêta-testeurs, justement, ces fameuses personnes qui m'avaient appelé en disant Tiens, il faudrait faire ce produit-là sur mon marketplace. Je les ai recontactés. J'ai contacté des podcasteurs aussi que j'aimais bien. Et je leur ai fait tester l'outil. Bon, ce n'était pas encore très mature, donc certains étaient déçus, mais certains ont décelé le potentiel. Tout de suite, on a adhéré au projet. Même, on sortit à leur carte bleue parce que j'avais déjà, dès le début, mis un petit système de paiement, même pas très cher, pour voir s'il y avait un peu de traction.

  • Speaker #1

    C'était pas très cher. Tu te rappelles de tes premiers prêts ?

  • Speaker #2

    Je ne sais plus si j'avais commencé. C'était en dollars que j'avais fait un site en anglais. c'était 5 ou 10 dollars pas plus TTC donc c'était vraiment pas cher aujourd'hui j'ai augmenté un peu le tarif mais ça reste relativement abordable ok super j'aime bien en plus en anglais et tout à la conquête du monde direct

  • Speaker #1

    Non, mais tu as raison. Trop intéressant. Alors, est-ce que ça t'a coûté de l'argent ou pas ? Au-delà du temps. Donc là, on en est sur la facture en termes de temps. Est-ce que tu as dû payer des trucs ? Je ne sais pas, des outils, des formations et tout. Tu te rappelles le budget que ça représentait ?

  • Speaker #2

    Au-delà des formations qui sont, on va dire, autant pour Scribecast que pour d'autres choses. Ça peut être en IA, en marketing, en growth. J'aime bien me former. Je suis peut-être trop addict aux formations. Je peux en acheter une ou deux par mois. D'ailleurs, il faut avoir le temps de les suivre après. C'est un autre défi. Au-delà de ça, c'est plutôt les outils qui servent à développer, qui servent à héberger. Moi, j'utilise une solution no code, je le disais, qui s'appelle Bubble. L'avantage, c'est que c'est un SaaS. Tu payes ton abonnement et tu as accès à la solution pour développer. L'hébergement se fait aussi. Ce SaaS, il me coûte 32 dollars par mois. Ce n'est pas le plus cher. Après, ce qui te coûte, c'est ton outil de speech-to-texte qui va, lui, être pas fixe. C'est-à-dire que plus il y a de mots qui sont transcrits, plus tu payes. Pareil pour l'IA, j'utilise OpenAI et Anthropik, donc ChatGPT et Cloud dans Scribecast. Pareil, c'est des systèmes de token, donc plus il y a de monde sur ma plateforme, plus ça me coûte. Mais au départ, on va dire que ça me coûtait quelques dizaines d'euros par mois parce qu'il n'y avait pas grand monde sur la plateforme. Maintenant, c'est plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #1

    Ok, bon bah écoute, mais ça c'est proportionnel à tes revenus aussi, on en parlera tout à l'heure quand tu nous parleras des KPIs. Super, qu'est-ce que tu conseilles à ce stade ? Donc là on a parlé de tes compétences, du temps que ça t'a coûté, de l'argent, des outils. Est-ce que tu as un conseil, un défi à nous donner si on veut se lancer concrètement dans la réalisation de notre premier SaaS ?

  • Speaker #2

    Ouais, moi le conseil que je donnerais c'est de bien séparer justement le côté salariat parce que j'étais encore salarié. le côté famille, prendre du temps pour sa famille là j'ai un petit de 2 ans donc j'étais en plein dedans c'était un bébé donc il faut aussi s'en occuper et être présent donc bien séparer les choses, être sûr qu'on ait du temps pour être concentré sur son produit pas faire 10 minutes par ci, 10 minutes par là se prendre vraiment des grosses lottes de 1h voire 2h mais d'être tranquille donc bien séparer le salariat pour être déjà pour répondre aux besoins du patron qui est là et qui t'a embauché ou alors en terme de client c'était freelance moi après je suis passé freelance mais j'ai continué à faire ça du coup à côté...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, ton employeur, il était au courant que tu faisais un SaaS ?

  • Speaker #2

    Tu lui avais dit ? Oui, et il m'encouragait. Lui-même, il est, on va dire, multipreneur. Il a sa boîte principale aujourd'hui qui est un SaaS, mais il a eu plein d'autres boîtes. Il a des investissements dans une salle de sport, par exemple. Donc, il aime bien aussi toucher un peu à tout. Donc, le fait d'avoir un salarié qui est ouvert d'esprit, qui ne reste pas à son bureau que pour faire une action définie et qui s'intéresse à d'autres choses, il a aussi vu que ça pouvait lui apporter à lui des nouvelles compétences et donc des nouveautés dans le travail du quotidien. Et... Quand je lui ai dit que j'aimerais quitter mon travail pour me lancer en freelancing parce que j'avais des missions freelance de no-code qui tombaient, je les faisais aussi le soir avec Skypecast aussi à côté. Je mélangeais tout. Je me suis dit là, il y a un truc à faire, je vais peut-être arrêter mon job et essayer de me lancer. C'est une lourde décision quant à, j'avais quoi, 37 ans je crois. 37 ans, un bébé, une maison à payer. Je me suis dit, je vais quitter un CDI, je suis cadre, j'ai fait une école d'ingénieur pour faire ce que je voulais. École d'ingénieur, j'ai fait sur le tard aussi. qu'est-ce que je fais ? Je me suis longtemps posé la question. Je me suis finalement lancé et il m'a tout de suite dit Ok, je vois où tu veux en venir. Si tu veux, on fait une rupture conventionnelle. Je vais te suivre, il n'y a pas de souci. Il m'a aidé là-dessus. Il ne m'a pas mis de frein.

  • Speaker #1

    J'adore. Bon, écoute, je peux complètement... J'ai beaucoup d'empathie pour ta situation parce que je vais te faire passer à peu près au même cas de conscience. Tu es une situation super pour te lancer un peu dans l'inconnu. C'est top. Et franchement, employé modèle, j'ai envie de dire, en même temps, ton patron... C'est un leader d'un SaaS. Toi, tu essayes de construire un SaaS. Quelle meilleure façon d'être un employé modèle que d'avoir son propre SaaS à côté et de comprendre toutes les problématiques du métier. Donc, bon, s'il y a des salariés diversifiés qui nous écoutent, ça leur fera du baume au cœur. Ils verront aussi tout le potentiel que ça peut avoir, même pour un employeur. Trop cool. Eh bien, écoute, ce que je te propose, c'est qu'on passe à l'épisode 3, puisque une fois qu'on s'est motivé, qu'on s'est formé, qu'on l'a construit, eh bien, on va rentrer dans le run un peu du SaaS. Est-ce qu'il te rapporte de l'argent ? Quels sont les KPIs qu'il faut regarder quand on lance un micro SaaS ? Comment faire en sorte que ça soit rentable après tout le temps ? Et les moments aussi un peu de sacrifice que tu as investis sur ce SaaS ? On en parle dans l'épisode 3.

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Dans cet épisode, Mickael Bourgois, créateur de Scrybecast, te partage son parcours et ses conseils pour développer un micro SaaS et scaler tes revenus de solopreneur sans être développeur 🧑‍💻


Mickael Bourgois est le fondateur de Scrybecast, un SaaS qu'il a créé à côté de ses missions de freelance et de son job de salarié. Il nous livre ses astuces pour te lancer dans l'aventure SaaS, même si tu n’as pas de compétences en développement. Ensemble, on va décortiquer les outils, les compétences et les étapes pour réussir.


📌 Pourquoi créer un SaaS peut t’aider à scaler ton business de solopreneur ?

📌 Comment développer un SaaS sans savoir coder grâce aux outils no-code ?

📌 Quelles sont les erreurs à éviter quand on lance son SaaS ?

📌 Comment structurer ton projet pour le rendre rentable rapidement ?

📌 Est-il possible de revendre un micro SaaS et comment maximiser sa valeur ?


Découvre tout ce que tu dois savoir pour créer ton SaaS et booster ton activité de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - Technologic - Daft Punk
Ep.2 - I need a dollar - Aloe Black
Ep.3 - Je reviens te chercher - Gilbert Bécaud
Ep. 4 - Voilà, c’est fini - Jean-Louis Aubert
Ep. 5 - Simply the best - Tina Turner


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, tu nous parlais de la genèse. Qu'est-ce qui t'a motivé à créer un SaaS ? Comment tu as fait ensuite pour le lancer ? Parce qu'en gros, si je comprends bien, à ce stade, tu voulais d'abord créer un logiciel, mais tu n'avais pas d'idée préconçue. Tu tombes sur un besoin de marché. qui semble être dans l'univers du podcasting et tout le travail qu'il y a à faire autour d'un podcast qu'on crée, qui est vraiment un travail énorme. C'est là qu'est né Scribecast. Raconte-nous un peu comment ça s'est passé, la construction concrètement de ton SaaS.

  • Speaker #2

    Scribecast n'est pas arrivé tout de suite. Il y a encore un peu de temps qui s'est écoulé avant cela. Cette fameuse marketplace de services freelance, communauté freelance dans le podcasting que j'ai lancé, il y avait des prestations en termes de rédaction de comptes. du montage audio, du mixage, même de la vidéo, du graphisme. Et j'avais mes premiers clients qui arrivaient sur la plateforme, qui trouvaient des services, chaussures à leurs pieds. Mais c'est des services qui coûtent cher, c'est des services humains, ce qui est normal, il faut payer les gens pour qu'ils travaillent, et surtout avec du travail de qualité. Et beaucoup m'ont dit que ce serait cool qu'on puisse avoir, ne serait-ce que sur la partie création de contenu, des contenus qui soient générés automatiquement. On a entendu parler de l'IA. Alors à l'époque, il n'y avait pas de chat GPT, c'était juste GPT3, donc en mode API pour les développeurs. On a entendu parler d'une IA qui était capable de rétiger des contenus. Est-ce que tu ne pourrais pas regarder ce qui serait possible de faire pour créer des posts LinkedIn, par exemple ? On a aussi des produits qui marchent bien, mais plutôt sur des podcasts anglophones, en tout cas des audios en anglais, pour faire du speech-to-text, donc de la transcription d'audio. Est-ce que tu ne peux pas regarder quelque chose qui marche bien en français ? Parce que là, c'est bien, tu nous fais de la prise de notes quasi parfaite, mais il y a quand même des erreurs. Ce n'est pas à chaque fois les bons mots qui sont employés, et pas toujours en tout cas. essaye de pouvoir faire en sorte d'automatiser ça, la transcription, la création de contenu. Donc j'avais regardé et à l'époque n'étant pas développeur, les API je connaissais, mais c'était quand même un peu trop complexe pour moi. Finalement, comme je me suis formé au no-code, le concept d'API est devenu de plus en plus clair pour moi, j'avais créé ma marketplace puis d'autres produits pour des clients et je me suis dit tiens c'est peut-être maintenant le moment de me lancer et d'essayer de créer ce dont les gens avaient émis le besoin. durant le lancement de ma marketplace encore une fois tu vois c'est un besoin que j'avais décelé et donc je me suis dit je vais essayer de créer quelque chose et c'est là où j'ai lancé scriptcast et comment je le faisais tout simplement pendant que j'étais au bureau le midi mes collègues jouaient à rocket league sur sur sur la playstation donc un jeu tu peux jouer en ligne avec des voitures moi j'étais derrière mon ordi en train d'essayer de développer quelque chose j'apprenais je regardais des vidéos youtube je testais et le soir aussi le soir après qu'on ait fini de dîner ou de regarder une série netflix plutôt que d'aller me coucher à 22h30 je descendais au bureau là où je suis actuellement pour continuer à travailler sur cet outil là et c'est comme ça que Scribecast est né

  • Speaker #1

    J'adore, non mais tu me fais trop rire parce que c'est vraiment, tu décris le côté à la fois concentré et passionné aussi du salarié diversifié qui a son petit projet à côté et je suis sûre que pour toi c'était encore plus kiffant que jouer au jeu là avec tes collègues de développer ton truc le midi ça te prenait combien de temps par jour ? t'as mesuré, t'as dosé,

  • Speaker #2

    t'as traqué un peu ton temps tu sais combien ça t'a coûté en temps entre guillemets ce développement ouais ça me prenait 3-4 heures par jour parce que 1h le midi je pouvais pas faire plus et après c'est le soir bon au delà de la fatigue il fallait s'arrêter à un moment donné pour avoir les idées claires donc je dirais 3-4 heures par jour et je l'ai lancé je me souviens c'était en juin j'avais lancé le MVP... avec des bêta-testeurs, justement, ces fameuses personnes qui m'avaient appelé en disant Tiens, il faudrait faire ce produit-là sur mon marketplace. Je les ai recontactés. J'ai contacté des podcasteurs aussi que j'aimais bien. Et je leur ai fait tester l'outil. Bon, ce n'était pas encore très mature, donc certains étaient déçus, mais certains ont décelé le potentiel. Tout de suite, on a adhéré au projet. Même, on sortit à leur carte bleue parce que j'avais déjà, dès le début, mis un petit système de paiement, même pas très cher, pour voir s'il y avait un peu de traction.

  • Speaker #1

    C'était pas très cher. Tu te rappelles de tes premiers prêts ?

  • Speaker #2

    Je ne sais plus si j'avais commencé. C'était en dollars que j'avais fait un site en anglais. c'était 5 ou 10 dollars pas plus TTC donc c'était vraiment pas cher aujourd'hui j'ai augmenté un peu le tarif mais ça reste relativement abordable ok super j'aime bien en plus en anglais et tout à la conquête du monde direct

  • Speaker #1

    Non, mais tu as raison. Trop intéressant. Alors, est-ce que ça t'a coûté de l'argent ou pas ? Au-delà du temps. Donc là, on en est sur la facture en termes de temps. Est-ce que tu as dû payer des trucs ? Je ne sais pas, des outils, des formations et tout. Tu te rappelles le budget que ça représentait ?

  • Speaker #2

    Au-delà des formations qui sont, on va dire, autant pour Scribecast que pour d'autres choses. Ça peut être en IA, en marketing, en growth. J'aime bien me former. Je suis peut-être trop addict aux formations. Je peux en acheter une ou deux par mois. D'ailleurs, il faut avoir le temps de les suivre après. C'est un autre défi. Au-delà de ça, c'est plutôt les outils qui servent à développer, qui servent à héberger. Moi, j'utilise une solution no code, je le disais, qui s'appelle Bubble. L'avantage, c'est que c'est un SaaS. Tu payes ton abonnement et tu as accès à la solution pour développer. L'hébergement se fait aussi. Ce SaaS, il me coûte 32 dollars par mois. Ce n'est pas le plus cher. Après, ce qui te coûte, c'est ton outil de speech-to-texte qui va, lui, être pas fixe. C'est-à-dire que plus il y a de mots qui sont transcrits, plus tu payes. Pareil pour l'IA, j'utilise OpenAI et Anthropik, donc ChatGPT et Cloud dans Scribecast. Pareil, c'est des systèmes de token, donc plus il y a de monde sur ma plateforme, plus ça me coûte. Mais au départ, on va dire que ça me coûtait quelques dizaines d'euros par mois parce qu'il n'y avait pas grand monde sur la plateforme. Maintenant, c'est plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #1

    Ok, bon bah écoute, mais ça c'est proportionnel à tes revenus aussi, on en parlera tout à l'heure quand tu nous parleras des KPIs. Super, qu'est-ce que tu conseilles à ce stade ? Donc là on a parlé de tes compétences, du temps que ça t'a coûté, de l'argent, des outils. Est-ce que tu as un conseil, un défi à nous donner si on veut se lancer concrètement dans la réalisation de notre premier SaaS ?

  • Speaker #2

    Ouais, moi le conseil que je donnerais c'est de bien séparer justement le côté salariat parce que j'étais encore salarié. le côté famille, prendre du temps pour sa famille là j'ai un petit de 2 ans donc j'étais en plein dedans c'était un bébé donc il faut aussi s'en occuper et être présent donc bien séparer les choses, être sûr qu'on ait du temps pour être concentré sur son produit pas faire 10 minutes par ci, 10 minutes par là se prendre vraiment des grosses lottes de 1h voire 2h mais d'être tranquille donc bien séparer le salariat pour être déjà pour répondre aux besoins du patron qui est là et qui t'a embauché ou alors en terme de client c'était freelance moi après je suis passé freelance mais j'ai continué à faire ça du coup à côté...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, ton employeur, il était au courant que tu faisais un SaaS ?

  • Speaker #2

    Tu lui avais dit ? Oui, et il m'encouragait. Lui-même, il est, on va dire, multipreneur. Il a sa boîte principale aujourd'hui qui est un SaaS, mais il a eu plein d'autres boîtes. Il a des investissements dans une salle de sport, par exemple. Donc, il aime bien aussi toucher un peu à tout. Donc, le fait d'avoir un salarié qui est ouvert d'esprit, qui ne reste pas à son bureau que pour faire une action définie et qui s'intéresse à d'autres choses, il a aussi vu que ça pouvait lui apporter à lui des nouvelles compétences et donc des nouveautés dans le travail du quotidien. Et... Quand je lui ai dit que j'aimerais quitter mon travail pour me lancer en freelancing parce que j'avais des missions freelance de no-code qui tombaient, je les faisais aussi le soir avec Skypecast aussi à côté. Je mélangeais tout. Je me suis dit là, il y a un truc à faire, je vais peut-être arrêter mon job et essayer de me lancer. C'est une lourde décision quant à, j'avais quoi, 37 ans je crois. 37 ans, un bébé, une maison à payer. Je me suis dit, je vais quitter un CDI, je suis cadre, j'ai fait une école d'ingénieur pour faire ce que je voulais. École d'ingénieur, j'ai fait sur le tard aussi. qu'est-ce que je fais ? Je me suis longtemps posé la question. Je me suis finalement lancé et il m'a tout de suite dit Ok, je vois où tu veux en venir. Si tu veux, on fait une rupture conventionnelle. Je vais te suivre, il n'y a pas de souci. Il m'a aidé là-dessus. Il ne m'a pas mis de frein.

  • Speaker #1

    J'adore. Bon, écoute, je peux complètement... J'ai beaucoup d'empathie pour ta situation parce que je vais te faire passer à peu près au même cas de conscience. Tu es une situation super pour te lancer un peu dans l'inconnu. C'est top. Et franchement, employé modèle, j'ai envie de dire, en même temps, ton patron... C'est un leader d'un SaaS. Toi, tu essayes de construire un SaaS. Quelle meilleure façon d'être un employé modèle que d'avoir son propre SaaS à côté et de comprendre toutes les problématiques du métier. Donc, bon, s'il y a des salariés diversifiés qui nous écoutent, ça leur fera du baume au cœur. Ils verront aussi tout le potentiel que ça peut avoir, même pour un employeur. Trop cool. Eh bien, écoute, ce que je te propose, c'est qu'on passe à l'épisode 3, puisque une fois qu'on s'est motivé, qu'on s'est formé, qu'on l'a construit, eh bien, on va rentrer dans le run un peu du SaaS. Est-ce qu'il te rapporte de l'argent ? Quels sont les KPIs qu'il faut regarder quand on lance un micro SaaS ? Comment faire en sorte que ça soit rentable après tout le temps ? Et les moments aussi un peu de sacrifice que tu as investis sur ce SaaS ? On en parle dans l'épisode 3.

Description

Tu rêves de lancer ton logiciel SaaS pour générer des revenus passifs en parallèle de ton activité de freelance ou de salarié ?


Dans cet épisode, Mickael Bourgois, créateur de Scrybecast, te partage son parcours et ses conseils pour développer un micro SaaS et scaler tes revenus de solopreneur sans être développeur 🧑‍💻


Mickael Bourgois est le fondateur de Scrybecast, un SaaS qu'il a créé à côté de ses missions de freelance et de son job de salarié. Il nous livre ses astuces pour te lancer dans l'aventure SaaS, même si tu n’as pas de compétences en développement. Ensemble, on va décortiquer les outils, les compétences et les étapes pour réussir.


📌 Pourquoi créer un SaaS peut t’aider à scaler ton business de solopreneur ?

📌 Comment développer un SaaS sans savoir coder grâce aux outils no-code ?

📌 Quelles sont les erreurs à éviter quand on lance son SaaS ?

📌 Comment structurer ton projet pour le rendre rentable rapidement ?

📌 Est-il possible de revendre un micro SaaS et comment maximiser sa valeur ?


Découvre tout ce que tu dois savoir pour créer ton SaaS et booster ton activité de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - Technologic - Daft Punk
Ep.2 - I need a dollar - Aloe Black
Ep.3 - Je reviens te chercher - Gilbert Bécaud
Ep. 4 - Voilà, c’est fini - Jean-Louis Aubert
Ep. 5 - Simply the best - Tina Turner


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus.

  • Speaker #1

    Alors, tu nous parlais de la genèse. Qu'est-ce qui t'a motivé à créer un SaaS ? Comment tu as fait ensuite pour le lancer ? Parce qu'en gros, si je comprends bien, à ce stade, tu voulais d'abord créer un logiciel, mais tu n'avais pas d'idée préconçue. Tu tombes sur un besoin de marché. qui semble être dans l'univers du podcasting et tout le travail qu'il y a à faire autour d'un podcast qu'on crée, qui est vraiment un travail énorme. C'est là qu'est né Scribecast. Raconte-nous un peu comment ça s'est passé, la construction concrètement de ton SaaS.

  • Speaker #2

    Scribecast n'est pas arrivé tout de suite. Il y a encore un peu de temps qui s'est écoulé avant cela. Cette fameuse marketplace de services freelance, communauté freelance dans le podcasting que j'ai lancé, il y avait des prestations en termes de rédaction de comptes. du montage audio, du mixage, même de la vidéo, du graphisme. Et j'avais mes premiers clients qui arrivaient sur la plateforme, qui trouvaient des services, chaussures à leurs pieds. Mais c'est des services qui coûtent cher, c'est des services humains, ce qui est normal, il faut payer les gens pour qu'ils travaillent, et surtout avec du travail de qualité. Et beaucoup m'ont dit que ce serait cool qu'on puisse avoir, ne serait-ce que sur la partie création de contenu, des contenus qui soient générés automatiquement. On a entendu parler de l'IA. Alors à l'époque, il n'y avait pas de chat GPT, c'était juste GPT3, donc en mode API pour les développeurs. On a entendu parler d'une IA qui était capable de rétiger des contenus. Est-ce que tu ne pourrais pas regarder ce qui serait possible de faire pour créer des posts LinkedIn, par exemple ? On a aussi des produits qui marchent bien, mais plutôt sur des podcasts anglophones, en tout cas des audios en anglais, pour faire du speech-to-text, donc de la transcription d'audio. Est-ce que tu ne peux pas regarder quelque chose qui marche bien en français ? Parce que là, c'est bien, tu nous fais de la prise de notes quasi parfaite, mais il y a quand même des erreurs. Ce n'est pas à chaque fois les bons mots qui sont employés, et pas toujours en tout cas. essaye de pouvoir faire en sorte d'automatiser ça, la transcription, la création de contenu. Donc j'avais regardé et à l'époque n'étant pas développeur, les API je connaissais, mais c'était quand même un peu trop complexe pour moi. Finalement, comme je me suis formé au no-code, le concept d'API est devenu de plus en plus clair pour moi, j'avais créé ma marketplace puis d'autres produits pour des clients et je me suis dit tiens c'est peut-être maintenant le moment de me lancer et d'essayer de créer ce dont les gens avaient émis le besoin. durant le lancement de ma marketplace encore une fois tu vois c'est un besoin que j'avais décelé et donc je me suis dit je vais essayer de créer quelque chose et c'est là où j'ai lancé scriptcast et comment je le faisais tout simplement pendant que j'étais au bureau le midi mes collègues jouaient à rocket league sur sur sur la playstation donc un jeu tu peux jouer en ligne avec des voitures moi j'étais derrière mon ordi en train d'essayer de développer quelque chose j'apprenais je regardais des vidéos youtube je testais et le soir aussi le soir après qu'on ait fini de dîner ou de regarder une série netflix plutôt que d'aller me coucher à 22h30 je descendais au bureau là où je suis actuellement pour continuer à travailler sur cet outil là et c'est comme ça que Scribecast est né

  • Speaker #1

    J'adore, non mais tu me fais trop rire parce que c'est vraiment, tu décris le côté à la fois concentré et passionné aussi du salarié diversifié qui a son petit projet à côté et je suis sûre que pour toi c'était encore plus kiffant que jouer au jeu là avec tes collègues de développer ton truc le midi ça te prenait combien de temps par jour ? t'as mesuré, t'as dosé,

  • Speaker #2

    t'as traqué un peu ton temps tu sais combien ça t'a coûté en temps entre guillemets ce développement ouais ça me prenait 3-4 heures par jour parce que 1h le midi je pouvais pas faire plus et après c'est le soir bon au delà de la fatigue il fallait s'arrêter à un moment donné pour avoir les idées claires donc je dirais 3-4 heures par jour et je l'ai lancé je me souviens c'était en juin j'avais lancé le MVP... avec des bêta-testeurs, justement, ces fameuses personnes qui m'avaient appelé en disant Tiens, il faudrait faire ce produit-là sur mon marketplace. Je les ai recontactés. J'ai contacté des podcasteurs aussi que j'aimais bien. Et je leur ai fait tester l'outil. Bon, ce n'était pas encore très mature, donc certains étaient déçus, mais certains ont décelé le potentiel. Tout de suite, on a adhéré au projet. Même, on sortit à leur carte bleue parce que j'avais déjà, dès le début, mis un petit système de paiement, même pas très cher, pour voir s'il y avait un peu de traction.

  • Speaker #1

    C'était pas très cher. Tu te rappelles de tes premiers prêts ?

  • Speaker #2

    Je ne sais plus si j'avais commencé. C'était en dollars que j'avais fait un site en anglais. c'était 5 ou 10 dollars pas plus TTC donc c'était vraiment pas cher aujourd'hui j'ai augmenté un peu le tarif mais ça reste relativement abordable ok super j'aime bien en plus en anglais et tout à la conquête du monde direct

  • Speaker #1

    Non, mais tu as raison. Trop intéressant. Alors, est-ce que ça t'a coûté de l'argent ou pas ? Au-delà du temps. Donc là, on en est sur la facture en termes de temps. Est-ce que tu as dû payer des trucs ? Je ne sais pas, des outils, des formations et tout. Tu te rappelles le budget que ça représentait ?

  • Speaker #2

    Au-delà des formations qui sont, on va dire, autant pour Scribecast que pour d'autres choses. Ça peut être en IA, en marketing, en growth. J'aime bien me former. Je suis peut-être trop addict aux formations. Je peux en acheter une ou deux par mois. D'ailleurs, il faut avoir le temps de les suivre après. C'est un autre défi. Au-delà de ça, c'est plutôt les outils qui servent à développer, qui servent à héberger. Moi, j'utilise une solution no code, je le disais, qui s'appelle Bubble. L'avantage, c'est que c'est un SaaS. Tu payes ton abonnement et tu as accès à la solution pour développer. L'hébergement se fait aussi. Ce SaaS, il me coûte 32 dollars par mois. Ce n'est pas le plus cher. Après, ce qui te coûte, c'est ton outil de speech-to-texte qui va, lui, être pas fixe. C'est-à-dire que plus il y a de mots qui sont transcrits, plus tu payes. Pareil pour l'IA, j'utilise OpenAI et Anthropik, donc ChatGPT et Cloud dans Scribecast. Pareil, c'est des systèmes de token, donc plus il y a de monde sur ma plateforme, plus ça me coûte. Mais au départ, on va dire que ça me coûtait quelques dizaines d'euros par mois parce qu'il n'y avait pas grand monde sur la plateforme. Maintenant, c'est plusieurs centaines d'euros.

  • Speaker #1

    Ok, bon bah écoute, mais ça c'est proportionnel à tes revenus aussi, on en parlera tout à l'heure quand tu nous parleras des KPIs. Super, qu'est-ce que tu conseilles à ce stade ? Donc là on a parlé de tes compétences, du temps que ça t'a coûté, de l'argent, des outils. Est-ce que tu as un conseil, un défi à nous donner si on veut se lancer concrètement dans la réalisation de notre premier SaaS ?

  • Speaker #2

    Ouais, moi le conseil que je donnerais c'est de bien séparer justement le côté salariat parce que j'étais encore salarié. le côté famille, prendre du temps pour sa famille là j'ai un petit de 2 ans donc j'étais en plein dedans c'était un bébé donc il faut aussi s'en occuper et être présent donc bien séparer les choses, être sûr qu'on ait du temps pour être concentré sur son produit pas faire 10 minutes par ci, 10 minutes par là se prendre vraiment des grosses lottes de 1h voire 2h mais d'être tranquille donc bien séparer le salariat pour être déjà pour répondre aux besoins du patron qui est là et qui t'a embauché ou alors en terme de client c'était freelance moi après je suis passé freelance mais j'ai continué à faire ça du coup à côté...

  • Speaker #1

    D'ailleurs, ton employeur, il était au courant que tu faisais un SaaS ?

  • Speaker #2

    Tu lui avais dit ? Oui, et il m'encouragait. Lui-même, il est, on va dire, multipreneur. Il a sa boîte principale aujourd'hui qui est un SaaS, mais il a eu plein d'autres boîtes. Il a des investissements dans une salle de sport, par exemple. Donc, il aime bien aussi toucher un peu à tout. Donc, le fait d'avoir un salarié qui est ouvert d'esprit, qui ne reste pas à son bureau que pour faire une action définie et qui s'intéresse à d'autres choses, il a aussi vu que ça pouvait lui apporter à lui des nouvelles compétences et donc des nouveautés dans le travail du quotidien. Et... Quand je lui ai dit que j'aimerais quitter mon travail pour me lancer en freelancing parce que j'avais des missions freelance de no-code qui tombaient, je les faisais aussi le soir avec Skypecast aussi à côté. Je mélangeais tout. Je me suis dit là, il y a un truc à faire, je vais peut-être arrêter mon job et essayer de me lancer. C'est une lourde décision quant à, j'avais quoi, 37 ans je crois. 37 ans, un bébé, une maison à payer. Je me suis dit, je vais quitter un CDI, je suis cadre, j'ai fait une école d'ingénieur pour faire ce que je voulais. École d'ingénieur, j'ai fait sur le tard aussi. qu'est-ce que je fais ? Je me suis longtemps posé la question. Je me suis finalement lancé et il m'a tout de suite dit Ok, je vois où tu veux en venir. Si tu veux, on fait une rupture conventionnelle. Je vais te suivre, il n'y a pas de souci. Il m'a aidé là-dessus. Il ne m'a pas mis de frein.

  • Speaker #1

    J'adore. Bon, écoute, je peux complètement... J'ai beaucoup d'empathie pour ta situation parce que je vais te faire passer à peu près au même cas de conscience. Tu es une situation super pour te lancer un peu dans l'inconnu. C'est top. Et franchement, employé modèle, j'ai envie de dire, en même temps, ton patron... C'est un leader d'un SaaS. Toi, tu essayes de construire un SaaS. Quelle meilleure façon d'être un employé modèle que d'avoir son propre SaaS à côté et de comprendre toutes les problématiques du métier. Donc, bon, s'il y a des salariés diversifiés qui nous écoutent, ça leur fera du baume au cœur. Ils verront aussi tout le potentiel que ça peut avoir, même pour un employeur. Trop cool. Eh bien, écoute, ce que je te propose, c'est qu'on passe à l'épisode 3, puisque une fois qu'on s'est motivé, qu'on s'est formé, qu'on l'a construit, eh bien, on va rentrer dans le run un peu du SaaS. Est-ce qu'il te rapporte de l'argent ? Quels sont les KPIs qu'il faut regarder quand on lance un micro SaaS ? Comment faire en sorte que ça soit rentable après tout le temps ? Et les moments aussi un peu de sacrifice que tu as investis sur ce SaaS ? On en parle dans l'épisode 3.

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