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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

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15min |30/10/2024
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Description

Envie d’utiliser ton mĂ©dia pour attirer des clients et booster tes ventes ? đŸȘ„


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grùce au podcast.


Avec plus de 150 Ă©pisodes Ă  son actif, il a su transformer son mĂ©dia en machine Ă  cash pour son solo business. 💾


📌 Comment crĂ©er un mĂ©dia qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidĂšles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activitĂ© ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de mĂ©dia Ă  adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiĂ©s ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton mĂ©dia en une source de revenus rĂ©guliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu dĂ©couvriras comment allier crĂ©ation de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un Ă©pisode riche en tips pour passer Ă  l’action dĂšs aujourd'hui !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des Ă©pisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 Ă©toiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes rĂ©seaux (je rĂ©serve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indĂ©pendant souhaitant dĂ©velopper un solobusiness rentable et scalable. AnimĂ© par Flavie PrĂ©vot, chaque Ă©pisode te propose des astuces et des conseils pour rĂ©ussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en sociĂ©tĂ©, ou que tu rĂȘves de devenir digital nomad. DĂ©couvre comment entreprendre en solo, gĂ©nĂ©rer des revenus passifs, et atteindre la libertĂ© financiĂšre. Que tu sois entrepreneur solo, salariĂ© en side business, ou en quĂȘte de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invitĂ©s experts pour te proposer des mini sĂ©ries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratĂ©gies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communautĂ© de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme GĂ©nĂ©ration Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu IndĂ© (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (ThĂ©o Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien Ă  prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute libertĂ©, sans employĂ©s, et dĂ©velopper un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie PrĂ©vost, ex-dirigeante devenue solopreneur et crĂ©atrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu crĂ©er le board que j'aurais aimĂ© avoir Ă  mes cĂŽtĂ©s quand je me suis lancĂ©e en solo. Un board composĂ© des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement Ă  mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au dĂ©fi. L'Ă©pisode va commencer, je te prĂ©viens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner Ă  la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilĂ , c'est important pour pouvoir monĂ©tiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la crĂ©ation de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en mĂȘme temps, moi j'ai plein d'indĂ©pendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils Ă  nous donner sur comment crĂ©er un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un cĂŽtĂ© peut-ĂȘtre un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence Ă  crĂ©er du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-Ă -dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour oĂč, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, mĂȘme un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacitĂ© Ă  communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-ĂȘtre le mĂ©dia le plus propriĂ©taire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais mĂȘme un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc Ă  dire, Ă  vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre Ă  l'algorithme, Ă  Spotify, Ă  est-ce que vous allez cliquer sur l'Ă©pisode, est-ce que vous ĂȘtes abonnĂ©, etc., est-ce que vous allez l'Ă©couter jusqu'au bout. Rapport Ă  une newsletter, si j'ai un message Ă  envoyer, je peux la programmer Ă  un instant T, ça arrive dans votre boĂźte mail et je crois que c'est quand mĂȘme le mĂ©dia le plus consultĂ© des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez trÚs vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutÎt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprÚs de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intĂ©ressant. AprĂšs, rĂ©cemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent Ă©coute, moi, je vais dĂ©jĂ  me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes Ă  vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcĂ©ment vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce cĂŽtĂ©, si elle est bien pensĂ©e, si elle est pensĂ©e pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sĂ»r qu'ils vont vous lire. LĂ  oĂč vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, dĂ©solĂ© pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, aprĂšs, vous dites, mince, personne ne s'est intĂ©ressĂ© Ă  mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une maniÚre un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport Ă  faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme oĂč on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilĂ© au dĂ©but de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilĂ  mon calendly, et sinon vous avez mon template Ă  acheter ici. Tu vois, on oublie peut-ĂȘtre aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment Ă  copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir Ă  rĂ©server des appels dĂ©couvertes Ă  donner envie peut-ĂȘtre Ă  dĂ©cortiquer des cas clients Ă  publier des business case toutes les semaines et Ă  dire si vous voulez que je vous aide aussi Ă  obtenir ces rĂ©sultats contactez-moi aprĂšs il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-ĂȘtre pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monĂ©tisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, Ă  l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-ĂȘtre moins Ă©vident, mais il y en a qui arrivent Ă  le faire. Alors forcĂ©ment, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense Ă  Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai rĂ©ussi Ă  faire des sponsoring de newsletter de maniĂšre ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-lĂ , c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre Ă  mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils dĂ©cident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus gĂ©nĂ©reux, ça va ĂȘtre 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derriÚre sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le mĂȘme bureau. Elle a testĂ© pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-ĂȘtre sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'Ă©tait un coup d'Ă©pĂ©e dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais trĂšs pointu avec effectivement 10%. C'Ă©tait cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais mĂȘme pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mĂ©rite d'exister. Peut-ĂȘtre qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prĂȘte bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore lĂ -dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion Ă  vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout Ă  l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-ĂȘtre pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un mĂ©dia. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un mĂ©dia propriĂ©taire oĂč on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rĂȘver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidĂ©os explicatives, montrer des testimonials, des avant-aprĂšs et le rĂ©pĂ©ter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'Ă©tais intĂ©ressĂ©e. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlĂ© sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre
 Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens nĂ©gligent aussi le cĂŽtĂ© besoin de rĂ©pĂ©tition pour ancrer un truc, dĂ©jĂ  l'expliquer et ensuite motiver Ă  l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis lĂ , je suis motivĂ©e pour un truc et aprĂšs il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivĂ©e.

  • Speaker #1

    Et aprĂšs, je pense aussi, j'ai oubliĂ© d'en parler, mais le dernier niveau de la monĂ©tisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliquĂ©. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements Ă  ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand mĂȘme lĂ -dessus. C'est que si tu commences Ă  faire payer des abonnements, il faut ĂȘtre clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de trĂšs bonne qualitĂ©. Et je n'avais pas envie d'ĂȘtre emprisonnĂ© par ça. Et aussi, tu limites aussi forcĂ©ment ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en gĂ©nĂ©ral, les statistiques disent que sur les abonnĂ©s des newsletters, Ă  peu prĂšs entre 2 et 5 sont prĂȘts Ă  payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnĂ©s, peut-ĂȘtre que 50 personnes seront prĂȘtes Ă  payer. Il faut faire un calcul quand mĂȘme. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige Ă  publier rĂ©guliĂšrement. Est-ce que vous ĂȘtes prĂȘts ? Ă  faire cet investissement de temps et d'Ă©nergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est trĂšs difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les mĂ©dias Bayer en B2B, pour une poignĂ©e de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai achetĂ© plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coĂ»te 30 balles le numĂ©ro, je l'ai achetĂ© en note de frais, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sĂ©rieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que lĂ , tu peux monĂ©tiser. AprĂšs, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci Ă  ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand mĂȘme Ă  crĂ©er un template par semaine, solopreneur, mais en mĂȘme temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas Ă©norme quoi, j'ai 5000 abonnĂ©s et ça me rapporte peut-ĂȘtre 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonnĂ© parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnĂ©s payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur Ă  la newsletter. Donc ceux qui sont abonnĂ©s, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'Ă©tait plus une stratĂ©gie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites Ă©conomies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidĂ©o et tout, toutes les semaines ça coĂ»te cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà trÚs bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derriÚre, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre premiÚre newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est trÚs simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, Ă©coute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres Ă©pisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment crĂ©er une newsletter payante, comment crĂ©er une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gĂ©rer aussi, abonnement, dĂ©sabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous rĂ©galer sur le sujet newsletter et puis quand mĂȘme, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des rĂ©seaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'Ă©pisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

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Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme GĂ©nĂ©ration Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu IndĂ© (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (ThĂ©o Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
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  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute libertĂ©, sans employĂ©s, et dĂ©velopper un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie PrĂ©vost, ex-dirigeante devenue solopreneur et crĂ©atrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu crĂ©er le board que j'aurais aimĂ© avoir Ă  mes cĂŽtĂ©s quand je me suis lancĂ©e en solo. Un board composĂ© des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement Ă  mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au dĂ©fi. L'Ă©pisode va commencer, je te prĂ©viens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner Ă  la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilĂ , c'est important pour pouvoir monĂ©tiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la crĂ©ation de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en mĂȘme temps, moi j'ai plein d'indĂ©pendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils Ă  nous donner sur comment crĂ©er un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un cĂŽtĂ© peut-ĂȘtre un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence Ă  crĂ©er du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-Ă -dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour oĂč, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, mĂȘme un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacitĂ© Ă  communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-ĂȘtre le mĂ©dia le plus propriĂ©taire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais mĂȘme un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc Ă  dire, Ă  vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre Ă  l'algorithme, Ă  Spotify, Ă  est-ce que vous allez cliquer sur l'Ă©pisode, est-ce que vous ĂȘtes abonnĂ©, etc., est-ce que vous allez l'Ă©couter jusqu'au bout. Rapport Ă  une newsletter, si j'ai un message Ă  envoyer, je peux la programmer Ă  un instant T, ça arrive dans votre boĂźte mail et je crois que c'est quand mĂȘme le mĂ©dia le plus consultĂ© des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez trÚs vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutÎt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprÚs de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intĂ©ressant. AprĂšs, rĂ©cemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent Ă©coute, moi, je vais dĂ©jĂ  me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes Ă  vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcĂ©ment vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce cĂŽtĂ©, si elle est bien pensĂ©e, si elle est pensĂ©e pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sĂ»r qu'ils vont vous lire. LĂ  oĂč vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, dĂ©solĂ© pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, aprĂšs, vous dites, mince, personne ne s'est intĂ©ressĂ© Ă  mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une maniÚre un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport Ă  faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme oĂč on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilĂ© au dĂ©but de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilĂ  mon calendly, et sinon vous avez mon template Ă  acheter ici. Tu vois, on oublie peut-ĂȘtre aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment Ă  copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir Ă  rĂ©server des appels dĂ©couvertes Ă  donner envie peut-ĂȘtre Ă  dĂ©cortiquer des cas clients Ă  publier des business case toutes les semaines et Ă  dire si vous voulez que je vous aide aussi Ă  obtenir ces rĂ©sultats contactez-moi aprĂšs il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-ĂȘtre pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monĂ©tisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, Ă  l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-ĂȘtre moins Ă©vident, mais il y en a qui arrivent Ă  le faire. Alors forcĂ©ment, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense Ă  Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai rĂ©ussi Ă  faire des sponsoring de newsletter de maniĂšre ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-lĂ , c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre Ă  mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils dĂ©cident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus gĂ©nĂ©reux, ça va ĂȘtre 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derriÚre sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le mĂȘme bureau. Elle a testĂ© pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-ĂȘtre sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'Ă©tait un coup d'Ă©pĂ©e dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais trĂšs pointu avec effectivement 10%. C'Ă©tait cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais mĂȘme pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mĂ©rite d'exister. Peut-ĂȘtre qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prĂȘte bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore lĂ -dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion Ă  vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout Ă  l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-ĂȘtre pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un mĂ©dia. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un mĂ©dia propriĂ©taire oĂč on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rĂȘver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidĂ©os explicatives, montrer des testimonials, des avant-aprĂšs et le rĂ©pĂ©ter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'Ă©tais intĂ©ressĂ©e. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlĂ© sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre
 Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens nĂ©gligent aussi le cĂŽtĂ© besoin de rĂ©pĂ©tition pour ancrer un truc, dĂ©jĂ  l'expliquer et ensuite motiver Ă  l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis lĂ , je suis motivĂ©e pour un truc et aprĂšs il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivĂ©e.

  • Speaker #1

    Et aprĂšs, je pense aussi, j'ai oubliĂ© d'en parler, mais le dernier niveau de la monĂ©tisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliquĂ©. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements Ă  ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand mĂȘme lĂ -dessus. C'est que si tu commences Ă  faire payer des abonnements, il faut ĂȘtre clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de trĂšs bonne qualitĂ©. Et je n'avais pas envie d'ĂȘtre emprisonnĂ© par ça. Et aussi, tu limites aussi forcĂ©ment ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en gĂ©nĂ©ral, les statistiques disent que sur les abonnĂ©s des newsletters, Ă  peu prĂšs entre 2 et 5 sont prĂȘts Ă  payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnĂ©s, peut-ĂȘtre que 50 personnes seront prĂȘtes Ă  payer. Il faut faire un calcul quand mĂȘme. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige Ă  publier rĂ©guliĂšrement. Est-ce que vous ĂȘtes prĂȘts ? Ă  faire cet investissement de temps et d'Ă©nergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est trĂšs difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les mĂ©dias Bayer en B2B, pour une poignĂ©e de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai achetĂ© plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coĂ»te 30 balles le numĂ©ro, je l'ai achetĂ© en note de frais, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sĂ©rieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que lĂ , tu peux monĂ©tiser. AprĂšs, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci Ă  ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand mĂȘme Ă  crĂ©er un template par semaine, solopreneur, mais en mĂȘme temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas Ă©norme quoi, j'ai 5000 abonnĂ©s et ça me rapporte peut-ĂȘtre 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonnĂ© parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnĂ©s payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur Ă  la newsletter. Donc ceux qui sont abonnĂ©s, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'Ă©tait plus une stratĂ©gie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites Ă©conomies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidĂ©o et tout, toutes les semaines ça coĂ»te cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà trÚs bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derriÚre, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre premiÚre newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est trÚs simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, Ă©coute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres Ă©pisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment crĂ©er une newsletter payante, comment crĂ©er une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gĂ©rer aussi, abonnement, dĂ©sabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous rĂ©galer sur le sujet newsletter et puis quand mĂȘme, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des rĂ©seaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'Ă©pisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

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Envie d’utiliser ton mĂ©dia pour attirer des clients et booster tes ventes ? đŸȘ„


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grùce au podcast.


Avec plus de 150 Ă©pisodes Ă  son actif, il a su transformer son mĂ©dia en machine Ă  cash pour son solo business. 💾


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Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indĂ©pendant souhaitant dĂ©velopper un solobusiness rentable et scalable. AnimĂ© par Flavie PrĂ©vot, chaque Ă©pisode te propose des astuces et des conseils pour rĂ©ussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en sociĂ©tĂ©, ou que tu rĂȘves de devenir digital nomad. DĂ©couvre comment entreprendre en solo, gĂ©nĂ©rer des revenus passifs, et atteindre la libertĂ© financiĂšre. Que tu sois entrepreneur solo, salariĂ© en side business, ou en quĂȘte de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invitĂ©s experts pour te proposer des mini sĂ©ries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratĂ©gies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communautĂ© de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme GĂ©nĂ©ration Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu IndĂ© (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (ThĂ©o Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien Ă  prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute libertĂ©, sans employĂ©s, et dĂ©velopper un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie PrĂ©vost, ex-dirigeante devenue solopreneur et crĂ©atrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu crĂ©er le board que j'aurais aimĂ© avoir Ă  mes cĂŽtĂ©s quand je me suis lancĂ©e en solo. Un board composĂ© des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement Ă  mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au dĂ©fi. L'Ă©pisode va commencer, je te prĂ©viens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner Ă  la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilĂ , c'est important pour pouvoir monĂ©tiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la crĂ©ation de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en mĂȘme temps, moi j'ai plein d'indĂ©pendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils Ă  nous donner sur comment crĂ©er un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un cĂŽtĂ© peut-ĂȘtre un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence Ă  crĂ©er du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-Ă -dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour oĂč, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, mĂȘme un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacitĂ© Ă  communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-ĂȘtre le mĂ©dia le plus propriĂ©taire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais mĂȘme un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc Ă  dire, Ă  vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre Ă  l'algorithme, Ă  Spotify, Ă  est-ce que vous allez cliquer sur l'Ă©pisode, est-ce que vous ĂȘtes abonnĂ©, etc., est-ce que vous allez l'Ă©couter jusqu'au bout. Rapport Ă  une newsletter, si j'ai un message Ă  envoyer, je peux la programmer Ă  un instant T, ça arrive dans votre boĂźte mail et je crois que c'est quand mĂȘme le mĂ©dia le plus consultĂ© des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez trÚs vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutÎt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprÚs de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intĂ©ressant. AprĂšs, rĂ©cemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent Ă©coute, moi, je vais dĂ©jĂ  me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes Ă  vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcĂ©ment vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce cĂŽtĂ©, si elle est bien pensĂ©e, si elle est pensĂ©e pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sĂ»r qu'ils vont vous lire. LĂ  oĂč vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, dĂ©solĂ© pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, aprĂšs, vous dites, mince, personne ne s'est intĂ©ressĂ© Ă  mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une maniÚre un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport Ă  faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme oĂč on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilĂ© au dĂ©but de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilĂ  mon calendly, et sinon vous avez mon template Ă  acheter ici. Tu vois, on oublie peut-ĂȘtre aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment Ă  copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir Ă  rĂ©server des appels dĂ©couvertes Ă  donner envie peut-ĂȘtre Ă  dĂ©cortiquer des cas clients Ă  publier des business case toutes les semaines et Ă  dire si vous voulez que je vous aide aussi Ă  obtenir ces rĂ©sultats contactez-moi aprĂšs il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-ĂȘtre pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monĂ©tisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, Ă  l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-ĂȘtre moins Ă©vident, mais il y en a qui arrivent Ă  le faire. Alors forcĂ©ment, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense Ă  Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai rĂ©ussi Ă  faire des sponsoring de newsletter de maniĂšre ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-lĂ , c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre Ă  mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils dĂ©cident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus gĂ©nĂ©reux, ça va ĂȘtre 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derriÚre sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le mĂȘme bureau. Elle a testĂ© pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-ĂȘtre sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'Ă©tait un coup d'Ă©pĂ©e dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais trĂšs pointu avec effectivement 10%. C'Ă©tait cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais mĂȘme pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mĂ©rite d'exister. Peut-ĂȘtre qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prĂȘte bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore lĂ -dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion Ă  vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout Ă  l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-ĂȘtre pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un mĂ©dia. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un mĂ©dia propriĂ©taire oĂč on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rĂȘver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidĂ©os explicatives, montrer des testimonials, des avant-aprĂšs et le rĂ©pĂ©ter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'Ă©tais intĂ©ressĂ©e. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlĂ© sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre
 Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens nĂ©gligent aussi le cĂŽtĂ© besoin de rĂ©pĂ©tition pour ancrer un truc, dĂ©jĂ  l'expliquer et ensuite motiver Ă  l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis lĂ , je suis motivĂ©e pour un truc et aprĂšs il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivĂ©e.

  • Speaker #1

    Et aprĂšs, je pense aussi, j'ai oubliĂ© d'en parler, mais le dernier niveau de la monĂ©tisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliquĂ©. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements Ă  ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand mĂȘme lĂ -dessus. C'est que si tu commences Ă  faire payer des abonnements, il faut ĂȘtre clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de trĂšs bonne qualitĂ©. Et je n'avais pas envie d'ĂȘtre emprisonnĂ© par ça. Et aussi, tu limites aussi forcĂ©ment ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en gĂ©nĂ©ral, les statistiques disent que sur les abonnĂ©s des newsletters, Ă  peu prĂšs entre 2 et 5 sont prĂȘts Ă  payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnĂ©s, peut-ĂȘtre que 50 personnes seront prĂȘtes Ă  payer. Il faut faire un calcul quand mĂȘme. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige Ă  publier rĂ©guliĂšrement. Est-ce que vous ĂȘtes prĂȘts ? Ă  faire cet investissement de temps et d'Ă©nergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est trĂšs difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les mĂ©dias Bayer en B2B, pour une poignĂ©e de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai achetĂ© plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coĂ»te 30 balles le numĂ©ro, je l'ai achetĂ© en note de frais, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sĂ©rieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que lĂ , tu peux monĂ©tiser. AprĂšs, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci Ă  ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand mĂȘme Ă  crĂ©er un template par semaine, solopreneur, mais en mĂȘme temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas Ă©norme quoi, j'ai 5000 abonnĂ©s et ça me rapporte peut-ĂȘtre 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonnĂ© parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnĂ©s payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur Ă  la newsletter. Donc ceux qui sont abonnĂ©s, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'Ă©tait plus une stratĂ©gie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites Ă©conomies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidĂ©o et tout, toutes les semaines ça coĂ»te cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà trÚs bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derriÚre, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre premiÚre newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est trÚs simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, Ă©coute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres Ă©pisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment crĂ©er une newsletter payante, comment crĂ©er une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gĂ©rer aussi, abonnement, dĂ©sabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous rĂ©galer sur le sujet newsletter et puis quand mĂȘme, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des rĂ©seaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'Ă©pisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

Description

Envie d’utiliser ton mĂ©dia pour attirer des clients et booster tes ventes ? đŸȘ„


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grùce au podcast.


Avec plus de 150 Ă©pisodes Ă  son actif, il a su transformer son mĂ©dia en machine Ă  cash pour son solo business. 💾


📌 Comment crĂ©er un mĂ©dia qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidĂšles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activitĂ© ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de mĂ©dia Ă  adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiĂ©s ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton mĂ©dia en une source de revenus rĂ©guliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu dĂ©couvriras comment allier crĂ©ation de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un Ă©pisode riche en tips pour passer Ă  l’action dĂšs aujourd'hui !


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Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indĂ©pendant souhaitant dĂ©velopper un solobusiness rentable et scalable. AnimĂ© par Flavie PrĂ©vot, chaque Ă©pisode te propose des astuces et des conseils pour rĂ©ussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en sociĂ©tĂ©, ou que tu rĂȘves de devenir digital nomad. DĂ©couvre comment entreprendre en solo, gĂ©nĂ©rer des revenus passifs, et atteindre la libertĂ© financiĂšre. Que tu sois entrepreneur solo, salariĂ© en side business, ou en quĂȘte de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invitĂ©s experts pour te proposer des mini sĂ©ries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratĂ©gies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communautĂ© de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme GĂ©nĂ©ration Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu IndĂ© (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (ThĂ©o Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien Ă  prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute libertĂ©, sans employĂ©s, et dĂ©velopper un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie PrĂ©vost, ex-dirigeante devenue solopreneur et crĂ©atrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu crĂ©er le board que j'aurais aimĂ© avoir Ă  mes cĂŽtĂ©s quand je me suis lancĂ©e en solo. Un board composĂ© des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement Ă  mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au dĂ©fi. L'Ă©pisode va commencer, je te prĂ©viens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner Ă  la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilĂ , c'est important pour pouvoir monĂ©tiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la crĂ©ation de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en mĂȘme temps, moi j'ai plein d'indĂ©pendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils Ă  nous donner sur comment crĂ©er un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un cĂŽtĂ© peut-ĂȘtre un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence Ă  crĂ©er du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-Ă -dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour oĂč, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, mĂȘme un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacitĂ© Ă  communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-ĂȘtre le mĂ©dia le plus propriĂ©taire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais mĂȘme un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc Ă  dire, Ă  vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre Ă  l'algorithme, Ă  Spotify, Ă  est-ce que vous allez cliquer sur l'Ă©pisode, est-ce que vous ĂȘtes abonnĂ©, etc., est-ce que vous allez l'Ă©couter jusqu'au bout. Rapport Ă  une newsletter, si j'ai un message Ă  envoyer, je peux la programmer Ă  un instant T, ça arrive dans votre boĂźte mail et je crois que c'est quand mĂȘme le mĂ©dia le plus consultĂ© des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez trÚs vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutÎt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprÚs de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intĂ©ressant. AprĂšs, rĂ©cemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent Ă©coute, moi, je vais dĂ©jĂ  me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes Ă  vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcĂ©ment vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce cĂŽtĂ©, si elle est bien pensĂ©e, si elle est pensĂ©e pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sĂ»r qu'ils vont vous lire. LĂ  oĂč vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, dĂ©solĂ© pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, aprĂšs, vous dites, mince, personne ne s'est intĂ©ressĂ© Ă  mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une maniÚre un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport Ă  faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme oĂč on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilĂ© au dĂ©but de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilĂ  mon calendly, et sinon vous avez mon template Ă  acheter ici. Tu vois, on oublie peut-ĂȘtre aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment Ă  copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir Ă  rĂ©server des appels dĂ©couvertes Ă  donner envie peut-ĂȘtre Ă  dĂ©cortiquer des cas clients Ă  publier des business case toutes les semaines et Ă  dire si vous voulez que je vous aide aussi Ă  obtenir ces rĂ©sultats contactez-moi aprĂšs il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-ĂȘtre pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monĂ©tisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, Ă  l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-ĂȘtre moins Ă©vident, mais il y en a qui arrivent Ă  le faire. Alors forcĂ©ment, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense Ă  Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai rĂ©ussi Ă  faire des sponsoring de newsletter de maniĂšre ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-lĂ , c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre Ă  mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils dĂ©cident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus gĂ©nĂ©reux, ça va ĂȘtre 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derriÚre sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le mĂȘme bureau. Elle a testĂ© pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-ĂȘtre sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'Ă©tait un coup d'Ă©pĂ©e dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais trĂšs pointu avec effectivement 10%. C'Ă©tait cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais mĂȘme pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mĂ©rite d'exister. Peut-ĂȘtre qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prĂȘte bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore lĂ -dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion Ă  vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout Ă  l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-ĂȘtre pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un mĂ©dia. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un mĂ©dia propriĂ©taire oĂč on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rĂȘver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidĂ©os explicatives, montrer des testimonials, des avant-aprĂšs et le rĂ©pĂ©ter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'Ă©tais intĂ©ressĂ©e. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlĂ© sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre
 Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens nĂ©gligent aussi le cĂŽtĂ© besoin de rĂ©pĂ©tition pour ancrer un truc, dĂ©jĂ  l'expliquer et ensuite motiver Ă  l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis lĂ , je suis motivĂ©e pour un truc et aprĂšs il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivĂ©e.

  • Speaker #1

    Et aprĂšs, je pense aussi, j'ai oubliĂ© d'en parler, mais le dernier niveau de la monĂ©tisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliquĂ©. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements Ă  ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand mĂȘme lĂ -dessus. C'est que si tu commences Ă  faire payer des abonnements, il faut ĂȘtre clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de trĂšs bonne qualitĂ©. Et je n'avais pas envie d'ĂȘtre emprisonnĂ© par ça. Et aussi, tu limites aussi forcĂ©ment ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en gĂ©nĂ©ral, les statistiques disent que sur les abonnĂ©s des newsletters, Ă  peu prĂšs entre 2 et 5 sont prĂȘts Ă  payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnĂ©s, peut-ĂȘtre que 50 personnes seront prĂȘtes Ă  payer. Il faut faire un calcul quand mĂȘme. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige Ă  publier rĂ©guliĂšrement. Est-ce que vous ĂȘtes prĂȘts ? Ă  faire cet investissement de temps et d'Ă©nergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est trĂšs difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les mĂ©dias Bayer en B2B, pour une poignĂ©e de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai achetĂ© plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coĂ»te 30 balles le numĂ©ro, je l'ai achetĂ© en note de frais, j'Ă©tais abonnĂ©e Ă  des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sĂ©rieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que lĂ , tu peux monĂ©tiser. AprĂšs, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci Ă  ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand mĂȘme Ă  crĂ©er un template par semaine, solopreneur, mais en mĂȘme temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas Ă©norme quoi, j'ai 5000 abonnĂ©s et ça me rapporte peut-ĂȘtre 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonnĂ© parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnĂ©s payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur Ă  la newsletter. Donc ceux qui sont abonnĂ©s, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'Ă©tait plus une stratĂ©gie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites Ă©conomies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidĂ©o et tout, toutes les semaines ça coĂ»te cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà trÚs bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derriÚre, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre premiÚre newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est trÚs simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, Ă©coute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres Ă©pisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment crĂ©er une newsletter payante, comment crĂ©er une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gĂ©rer aussi, abonnement, dĂ©sabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous rĂ©galer sur le sujet newsletter et puis quand mĂȘme, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des rĂ©seaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'Ă©pisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

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