undefined cover
undefined cover
3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans cover
3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans cover
LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans

3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans

15min |30/10/2024
Play
undefined cover
undefined cover
3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans cover
3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans cover
LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans

3/5 🧙- Vendre sans prospecter grâce à ton média de solopreneur : la stratégie des 1000 fans

15min |30/10/2024
Play

Description

Envie d’utiliser ton média pour attirer des clients et booster tes ventes ? 🪄


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grâce au podcast.


Avec plus de 150 épisodes à son actif, il a su transformer son média en machine à cash pour son solo business. 💸


📌 Comment créer un média qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidèles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activité ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de média à adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiés ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton média en une source de revenus réguliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu découvriras comment allier création de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un épisode riche en tips pour passer à l’action dès aujourd'hui !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien à prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilà, c'est important pour pouvoir monétiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la création de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en même temps, moi j'ai plein d'indépendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils à nous donner sur comment créer un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un côté peut-être un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence à créer du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-à-dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour où, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, même un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacité à communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-être le média le plus propriétaire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais même un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc à dire, à vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre à l'algorithme, à Spotify, à est-ce que vous allez cliquer sur l'épisode, est-ce que vous êtes abonné, etc., est-ce que vous allez l'écouter jusqu'au bout. Rapport à une newsletter, si j'ai un message à envoyer, je peux la programmer à un instant T, ça arrive dans votre boîte mail et je crois que c'est quand même le média le plus consulté des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez très vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutôt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprès de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intéressant. Après, récemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent écoute, moi, je vais déjà me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes à vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcément vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce côté, si elle est bien pensée, si elle est pensée pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sûr qu'ils vont vous lire. Là où vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, désolé pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, après, vous dites, mince, personne ne s'est intéressé à mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une manière un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport à faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme où on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'étais abonnée à sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilé au début de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilà mon calendly, et sinon vous avez mon template à acheter ici. Tu vois, on oublie peut-être aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment à copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir à réserver des appels découvertes à donner envie peut-être à décortiquer des cas clients à publier des business case toutes les semaines et à dire si vous voulez que je vous aide aussi à obtenir ces résultats contactez-moi après il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-être pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monétisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, à l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-être moins évident, mais il y en a qui arrivent à le faire. Alors forcément, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense à Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai réussi à faire des sponsoring de newsletter de manière ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-là, c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre à mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils décident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus généreux, ça va être 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derrière sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le même bureau. Elle a testé pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-être sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'était un coup d'épée dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais très pointu avec effectivement 10%. C'était cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais même pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mérite d'exister. Peut-être qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prête bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore là-dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion à vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout à l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-être pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un média. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un média propriétaire où on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rêver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidéos explicatives, montrer des testimonials, des avant-après et le répéter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'étais intéressée. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlé sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre… Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens négligent aussi le côté besoin de répétition pour ancrer un truc, déjà l'expliquer et ensuite motiver à l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis là, je suis motivée pour un truc et après il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivée.

  • Speaker #1

    Et après, je pense aussi, j'ai oublié d'en parler, mais le dernier niveau de la monétisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliqué. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements à ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand même là-dessus. C'est que si tu commences à faire payer des abonnements, il faut être clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de très bonne qualité. Et je n'avais pas envie d'être emprisonné par ça. Et aussi, tu limites aussi forcément ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en général, les statistiques disent que sur les abonnés des newsletters, à peu près entre 2 et 5 sont prêts à payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnés, peut-être que 50 personnes seront prêtes à payer. Il faut faire un calcul quand même. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige à publier régulièrement. Est-ce que vous êtes prêts ? à faire cet investissement de temps et d'énergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est très difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les médias Bayer en B2B, pour une poignée de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai acheté plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coûte 30 balles le numéro, je l'ai acheté en note de frais, j'étais abonnée à des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sérieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que là, tu peux monétiser. Après, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci à ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand même à créer un template par semaine, solopreneur, mais en même temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas énorme quoi, j'ai 5000 abonnés et ça me rapporte peut-être 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonné parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnés payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur à la newsletter. Donc ceux qui sont abonnés, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'était plus une stratégie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites économies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidéo et tout, toutes les semaines ça coûte cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà très bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derrière, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre première newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est très simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, écoute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres épisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment créer une newsletter payante, comment créer une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gérer aussi, abonnement, désabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous régaler sur le sujet newsletter et puis quand même, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des réseaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'épisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

Description

Envie d’utiliser ton média pour attirer des clients et booster tes ventes ? 🪄


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grâce au podcast.


Avec plus de 150 épisodes à son actif, il a su transformer son média en machine à cash pour son solo business. 💸


📌 Comment créer un média qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidèles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activité ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de média à adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiés ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton média en une source de revenus réguliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu découvriras comment allier création de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un épisode riche en tips pour passer à l’action dès aujourd'hui !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien à prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilà, c'est important pour pouvoir monétiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la création de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en même temps, moi j'ai plein d'indépendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils à nous donner sur comment créer un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un côté peut-être un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence à créer du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-à-dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour où, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, même un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacité à communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-être le média le plus propriétaire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais même un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc à dire, à vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre à l'algorithme, à Spotify, à est-ce que vous allez cliquer sur l'épisode, est-ce que vous êtes abonné, etc., est-ce que vous allez l'écouter jusqu'au bout. Rapport à une newsletter, si j'ai un message à envoyer, je peux la programmer à un instant T, ça arrive dans votre boîte mail et je crois que c'est quand même le média le plus consulté des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez très vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutôt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprès de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intéressant. Après, récemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent écoute, moi, je vais déjà me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes à vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcément vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce côté, si elle est bien pensée, si elle est pensée pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sûr qu'ils vont vous lire. Là où vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, désolé pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, après, vous dites, mince, personne ne s'est intéressé à mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une manière un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport à faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme où on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'étais abonnée à sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilé au début de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilà mon calendly, et sinon vous avez mon template à acheter ici. Tu vois, on oublie peut-être aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment à copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir à réserver des appels découvertes à donner envie peut-être à décortiquer des cas clients à publier des business case toutes les semaines et à dire si vous voulez que je vous aide aussi à obtenir ces résultats contactez-moi après il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-être pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monétisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, à l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-être moins évident, mais il y en a qui arrivent à le faire. Alors forcément, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense à Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai réussi à faire des sponsoring de newsletter de manière ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-là, c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre à mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils décident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus généreux, ça va être 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derrière sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le même bureau. Elle a testé pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-être sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'était un coup d'épée dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais très pointu avec effectivement 10%. C'était cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais même pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mérite d'exister. Peut-être qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prête bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore là-dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion à vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout à l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-être pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un média. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un média propriétaire où on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rêver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidéos explicatives, montrer des testimonials, des avant-après et le répéter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'étais intéressée. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlé sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre… Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens négligent aussi le côté besoin de répétition pour ancrer un truc, déjà l'expliquer et ensuite motiver à l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis là, je suis motivée pour un truc et après il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivée.

  • Speaker #1

    Et après, je pense aussi, j'ai oublié d'en parler, mais le dernier niveau de la monétisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliqué. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements à ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand même là-dessus. C'est que si tu commences à faire payer des abonnements, il faut être clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de très bonne qualité. Et je n'avais pas envie d'être emprisonné par ça. Et aussi, tu limites aussi forcément ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en général, les statistiques disent que sur les abonnés des newsletters, à peu près entre 2 et 5 sont prêts à payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnés, peut-être que 50 personnes seront prêtes à payer. Il faut faire un calcul quand même. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige à publier régulièrement. Est-ce que vous êtes prêts ? à faire cet investissement de temps et d'énergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est très difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les médias Bayer en B2B, pour une poignée de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai acheté plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coûte 30 balles le numéro, je l'ai acheté en note de frais, j'étais abonnée à des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sérieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que là, tu peux monétiser. Après, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci à ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand même à créer un template par semaine, solopreneur, mais en même temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas énorme quoi, j'ai 5000 abonnés et ça me rapporte peut-être 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonné parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnés payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur à la newsletter. Donc ceux qui sont abonnés, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'était plus une stratégie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites économies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidéo et tout, toutes les semaines ça coûte cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà très bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derrière, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre première newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est très simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, écoute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres épisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment créer une newsletter payante, comment créer une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gérer aussi, abonnement, désabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous régaler sur le sujet newsletter et puis quand même, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des réseaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'épisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

Share

Embed

You may also like

Description

Envie d’utiliser ton média pour attirer des clients et booster tes ventes ? 🪄


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grâce au podcast.


Avec plus de 150 épisodes à son actif, il a su transformer son média en machine à cash pour son solo business. 💸


📌 Comment créer un média qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidèles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activité ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de média à adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiés ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton média en une source de revenus réguliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu découvriras comment allier création de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un épisode riche en tips pour passer à l’action dès aujourd'hui !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien à prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilà, c'est important pour pouvoir monétiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la création de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en même temps, moi j'ai plein d'indépendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils à nous donner sur comment créer un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un côté peut-être un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence à créer du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-à-dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour où, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, même un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacité à communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-être le média le plus propriétaire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais même un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc à dire, à vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre à l'algorithme, à Spotify, à est-ce que vous allez cliquer sur l'épisode, est-ce que vous êtes abonné, etc., est-ce que vous allez l'écouter jusqu'au bout. Rapport à une newsletter, si j'ai un message à envoyer, je peux la programmer à un instant T, ça arrive dans votre boîte mail et je crois que c'est quand même le média le plus consulté des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez très vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutôt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprès de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intéressant. Après, récemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent écoute, moi, je vais déjà me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes à vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcément vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce côté, si elle est bien pensée, si elle est pensée pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sûr qu'ils vont vous lire. Là où vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, désolé pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, après, vous dites, mince, personne ne s'est intéressé à mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une manière un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport à faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme où on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'étais abonnée à sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilé au début de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilà mon calendly, et sinon vous avez mon template à acheter ici. Tu vois, on oublie peut-être aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment à copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir à réserver des appels découvertes à donner envie peut-être à décortiquer des cas clients à publier des business case toutes les semaines et à dire si vous voulez que je vous aide aussi à obtenir ces résultats contactez-moi après il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-être pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monétisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, à l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-être moins évident, mais il y en a qui arrivent à le faire. Alors forcément, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense à Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai réussi à faire des sponsoring de newsletter de manière ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-là, c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre à mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils décident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus généreux, ça va être 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derrière sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le même bureau. Elle a testé pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-être sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'était un coup d'épée dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais très pointu avec effectivement 10%. C'était cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais même pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mérite d'exister. Peut-être qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prête bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore là-dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion à vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout à l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-être pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un média. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un média propriétaire où on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rêver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidéos explicatives, montrer des testimonials, des avant-après et le répéter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'étais intéressée. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlé sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre… Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens négligent aussi le côté besoin de répétition pour ancrer un truc, déjà l'expliquer et ensuite motiver à l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis là, je suis motivée pour un truc et après il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivée.

  • Speaker #1

    Et après, je pense aussi, j'ai oublié d'en parler, mais le dernier niveau de la monétisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliqué. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements à ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand même là-dessus. C'est que si tu commences à faire payer des abonnements, il faut être clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de très bonne qualité. Et je n'avais pas envie d'être emprisonné par ça. Et aussi, tu limites aussi forcément ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en général, les statistiques disent que sur les abonnés des newsletters, à peu près entre 2 et 5 sont prêts à payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnés, peut-être que 50 personnes seront prêtes à payer. Il faut faire un calcul quand même. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige à publier régulièrement. Est-ce que vous êtes prêts ? à faire cet investissement de temps et d'énergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est très difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les médias Bayer en B2B, pour une poignée de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai acheté plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coûte 30 balles le numéro, je l'ai acheté en note de frais, j'étais abonnée à des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sérieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que là, tu peux monétiser. Après, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci à ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand même à créer un template par semaine, solopreneur, mais en même temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas énorme quoi, j'ai 5000 abonnés et ça me rapporte peut-être 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonné parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnés payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur à la newsletter. Donc ceux qui sont abonnés, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'était plus une stratégie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites économies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidéo et tout, toutes les semaines ça coûte cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà très bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derrière, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre première newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est très simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, écoute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres épisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment créer une newsletter payante, comment créer une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gérer aussi, abonnement, désabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous régaler sur le sujet newsletter et puis quand même, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des réseaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'épisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

Description

Envie d’utiliser ton média pour attirer des clients et booster tes ventes ? 🪄


Dans cet épisode du Board, je reçois Alexandre Waquier, solopreneur et créateur du podcast "Les Héros de la Vente", pour te partager ses meilleurs secrets de prospection et de monétisation grâce au podcast.


Avec plus de 150 épisodes à son actif, il a su transformer son média en machine à cash pour son solo business. 💸


📌 Comment créer un média qui attire tes clients cibles et augmente ton chiffre d’affaires ?

📌 Pourquoi 1000 fans fidèles peuvent suffire pour vivre confortablement de ton activité ?

📌 Quels sont les meilleurs formats de média à adopter pour trouver des clients pour ton business ?

📌 Comment utiliser un podcast pour enclencher des conversations avec des prospects qualifiés ? (et les closer)

📌 Comment transformer ton média en une source de revenus réguliers via le sponsoring et les partenariats ?


Avec les conseils d'Alexandre, tu découvriras comment allier création de contenus et business pour vendre plus sans te transformer en marchand de tapis. Un épisode riche en tips pour passer à l’action dès aujourd'hui !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Et n'oublie pas de soutenir gratuitement le podcast s'il t'a plu, en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou sur Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Le Board est le podcast incontournable pour tout solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable. Animé par Flavie Prévot, chaque épisode te propose des astuces et des conseils pour réussir dans le freelancing, que tu sois en micro-entreprise, en société, ou que tu rêves de devenir digital nomad. Découvre comment entreprendre en solo, générer des revenus passifs, et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification en freelance, je t’accompagne avec mes invités experts pour te proposer des mini séries dignes de mini formations solopreneur, pour que tu apprennent les meilleures stratégies pour un business performant, rentable et scalable. Rejoins ma communauté de solopreneurs pour les meilleurs conseils et astuces en solopreneuriat.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), My marketing podcast (Sandie et Laurie Giacobi), le podcast Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.1 - I am somebody - Diam’s
Ep.2 - Texas Hold’em - Beyonce
Ep.3 - Rien à prouver - Yseult
Ep.4 - Bad guy - Billie Eilish
Ep.5 - Radio Gaga - Queen


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Alors la newsletter, tu disais, voilà, c'est important pour pouvoir monétiser en tant que solopreneur. Qu'est-ce que, quelle est la place de la newsletter en fait dans la création de contenu quand on est freelance ou solopreneur ? Parce qu'on a l'impression que c'est un must, mais en même temps, moi j'ai plein d'indépendants qui me disent Ça prend trop de temps, je ne sais pas quoi raconter. Est-ce que tu as des conseils à nous donner sur comment créer un bon concept de newsletter aussi ?

  • Speaker #1

    Oui, alors la newsletter, c'est vrai que ça a un côté peut-être un peu boomer. On pense aux newsletters un peu vieillottes qu'on reçoit et qu'on met dans les spams. Mais en fait, quand on commence à créer du contenu, on se rend compte que les gens qui vont nous suivre, les contacts, etc., ne nous appartiennent pas. C'est-à-dire qu'ils appartiennent aux plateformes sur lesquelles vous allez... poster votre contenu. Et ça, le jour où, par exemple, vous avez un TikTok, un Instagram, même un LinkedIn, qui vous fait sauter votre compte, et ça arrive plus souvent qu'on ne le croit, en fait, vous n'aurez aucune capacité à communiquer avec les gens qui vous suivent. Et donc, la newsletter, il faut vraiment l'envisager comme un moyen d'avoir un lien direct avec les gens qui vous suivent.

  • Speaker #0

    J'avoue, c'est peut-être le média le plus propriétaire parce que tu vois, toi et moi, on a un podcast. Mais même un podcast, en fait, je sais, j'ai aucune garantie de savoir. Si j'ai un truc à dire, à vous dire, vous, les auditeurs, je ne peux pas vous le dire, en fait. Je dois me remettre à l'algorithme, à Spotify, à est-ce que vous allez cliquer sur l'épisode, est-ce que vous êtes abonné, etc., est-ce que vous allez l'écouter jusqu'au bout. Rapport à une newsletter, si j'ai un message à envoyer, je peux la programmer à un instant T, ça arrive dans votre boîte mail et je crois que c'est quand même le média le plus consulté des gens, quoi, mail et SMS, quoi.

  • Speaker #1

    C'est ça, vous allez pouvoir leur envoyer un mail. Et ce qui est important aussi, c'est quand vous allez démarcher des sponsors, ces derniers vont vous demander un peu une analyse de qui vous écoute, quels sont les personnages qui vous écoutent. Et en fait, la newsletter, ça permet de voir simplement dans les adresses e-mail, les entreprises qui vous suivent, les gens qui vous suivent. Vous faites une petite analyse et vous allez très vite vous rendre compte. Est-ce que c'est plutôt des freelances, des patrons de PME, des groupes, etc. qui suivent votre newsletter ? important aussi pour communiquer auprès de vos partenaires.

  • Speaker #0

    Ok, donc hyper intéressant. Après, récemment aussi, on s'est rendu compte de la baisse de reach, par exemple sur LinkedIn. Donc c'est vrai que moi, j'ai beaucoup de freelances qui me disent écoute, moi, je vais déjà me contenter de poster sur LinkedIn. Et je leur dis, c'est bien, mais il n'y aura qu'une partie infime de ton audience qui va te suivre. Et en plus, parfois sur LinkedIn, vous n'avez pas la bonne audience parce que vous avez des potes à vous, des potes freelance, mais ce n'est pas forcément vos clients B2B. Alors que je trouve que dans la newsletter, il y a vraiment ce côté, si elle est bien pensée, si elle est pensée pour attirer exactement vos clients cibles, vous serez sûr qu'ils vont vous lire. Là où vous pouvez toujours faire un post LinkedIn, ça se trouve, désolé pour l'expression, mais des fois, vous pissez un peu dans un violon parce que vous ne publiez pas au bon moment, vos prospects ne le voient pas. Et en fait, après, vous dites, mince, personne ne s'est intéressé à mon offre ou personne n'a pris de rendez-vous sur mon calendrier.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Alors, il y a un bon exemple sur un tunnel de vente. Post LinkedIn, newsletter, je vends mes offres et mes services. C'est un peu le roi sur LinkedIn, c'est Justin Welch. Et lui, il explique ça. Il explique que moi, je fais des posts LinkedIn, donc je travaille vraiment mes posts LinkedIn, etc. Donc, ils font beaucoup de reach. Dans ce post LinkedIn, je redirige les gens qui veulent en savoir plus sur ma newsletter. Sa newsletter, en général, ça reprend son post LinkedIn, mais d'une manière un peu plus travaillée. Et à la fin de sa newsletter et au début, il y a... des liens vers ses offres d'accompagnement, ses formations, son coaching un sur un. Et puis c'est ça son tunnel de vente.

  • Speaker #0

    C'est hyper simple, c'est organique, donc c'est gratuit. Parce qu'aussi, par rapport à faire de la pub, vous vous mettez sur une plateforme où on vous sucre 10% ou je ne sais pas combien de pourcents de votre TGM. Et en plus, moi j'aime bien, j'étais abonnée à sa newsletter et je crois qu'il y a un truc qui fait bien aussi que plein de gens oublient freelance solopreneur. Il a un petit entrefilé au début de la newsletter qui dit Bon bah bonjour, bienvenue nanain. Pour travailler avec moi, vous pouvez faire ça, ça ou ça. Et en fait c'est truc con hein, mais je vois peu de freelance dire Ah au fait, pour mes services de copywriter machin, il me reste une place, voilà mon calendly, et sinon vous avez mon template à acheter ici. Tu vois, on oublie peut-être aussi un peu de vendre aussi dans cette newsletter, non ?

  • Speaker #1

    Ouais, et il fait ça au début, et à la fin de sa newsletter, il remet un call to action en disant Quand vous aurez le temps ou le besoin, Donc en fait, tu vois, il presse pas... Il ne presse pas ses followers à dire achetez-moi maintenant tout de suite. Il dit quand vous aurez le temps, voici de nouveau mes services qui peuvent vous aider à... Donc, il vend la transformation qu'il peut donner à ses followers. Et donc, ça, c'est des bonnes pratiques, je pense. Ne pas oublier les call to action dans ces newsletters. Au début, à la fin, l'idéal, c'est de faire les deux, au début et à la fin.

  • Speaker #0

    OK.

  • Speaker #1

    Et effectivement, tu as raison, c'est vraiment à copier.

  • Speaker #0

    Oui, moi, j'ai l'impression que pour un freelance... vraiment la newsletter va servir à réserver des appels découvertes à donner envie peut-être à décortiquer des cas clients à publier des business case toutes les semaines et à dire si vous voulez que je vous aide aussi à obtenir ces résultats contactez-moi après il y a un autre cas d'usage il y a le solopreneur comme moi qui va avoir besoin d'une newsletter peut-être pour pour vendre ses produits, pour la faire en payant ? Qu'est-ce que tu vois comme forme de monétisation possible de newsletter qui pourrait inspirer nos auditeurs et auditrices ?

  • Speaker #1

    Alors, je pense que tu peux aussi, à l'instar d'un podcast, avoir des sponsors pour des newsletters.

  • Speaker #0

    Ah oui, exact.

  • Speaker #1

    C'est peut-être moins évident, mais il y en a qui arrivent à le faire. Alors forcément, le must, c'est Yohann Lopez sur les finances personnelles et Snowball, mais tu en as d'autres qui sont moins connus. Je pense à Momentum, tu vois, qui est aussi sur les finances personnelles, qui a ses sponsors. Moi, j'ai réussi à faire des sponsoring de newsletter de manière ponctuelle, mais 500 euros par-ci, 1000 euros par-là, c'est toujours ça de prix.

  • Speaker #0

    Oui, et si ça te prend 3-4 heures à écrire ta newsletter, si tu prends 500 euros, je veux dire, c'est largement rentabilisé au TGM moyen des freelances.

  • Speaker #1

    Oui, exactement. Une autre chose que moi, je fais pas mal, mais c'est propre à mon domaine, c'est des liens d'affiliation sur des logiciels pour les commerciaux. Donc, en fait, les gens testent un logiciel dont je parle dans ma newsletter. S'ils décident de l'acheter, j'ai une commission entre 10 et 30 Pour les plus généreux, ça va être 30 Trop bien.

  • Speaker #0

    On peut le redire, c'est facile aussi à acheter, enfin à paramétrer. Tu le fais en ligne, enfin parfois, tu dois négocier avec les équipes. et tu peux le faire en ligne pour la plupart. Moi, j'en fais pas assez la pub, mais moi, j'ai une stack Solopreneur avec tous les outils que j'aime bien. Du coup, un jour, je me suis un peu fait chier à aller faire les liens affiliés et tout parce que souvent, ça donne une promo à celui qui clique et puis moi, ça me finance un peu.

  • Speaker #1

    Oui, et puis des fois, c'est tout simple. C'est par exemple votre banque en ligne. En fait, il y a un lien que vous pouvez pousser. Vous pouvez avoir 200 euros si quelqu'un souscrit. Donc, 200 euros fois 10 en un mois, ça vous fait un petit salaire.

  • Speaker #0

    et parfois c'est des choses un peu improbable j'ai vu un bon exemple c'est Isabelle Cugnot elle est plus je ne suis pas créatrice de contenu sur l'entrepreneuriat, et elle a fait une vidéo YouTube sur son setup de bureau assis debout et tout ça. Et en fait, il y a eu des milliers de vues. Et en fait, elle a sa liste derrière sur Amazon. Tout est affilié.

  • Speaker #1

    Ah oui. Donc,

  • Speaker #0

    tu veux le même bureau. Elle a testé pour toi. Elle a dit son tapis de marche, son machin, son truc, et tu peux l'acheter. Et j'imagine que du coup, si tu prends, je ne sais pas combien c'est, Amazon, 10%, peut-être sur un tapis de marche ou un bureau assis debout, ce n'est pas mal, quoi.

  • Speaker #1

    Oui. Alors, moi, je l'avais fait sur des bouquins. Mais je crois que... C'était un coup d'épée dans l'eau parce que je partageais des bouquins sur la vente en anglais très pointu avec effectivement 10%. C'était cher. Personne ne voulait acheter ces bouquins et se les farcir en anglais. Et en plus, si quelqu'un achetait ces bouquins, j'avais 1 euro. Je ne sais même pas si j'avais 1 euro. Donc bon, des fois, il faut bien.

  • Speaker #0

    Donc, choisissez bien vos trucs d'affiliation, soit des logiciels un peu chers, mais pas des trucs pourris parce que vous allez perdre plus de temps pour 1 euro.

  • Speaker #1

    C'est ça. Mais bon, ça a le mérite d'exister. Peut-être qu'un jour, je ferai une affiliation sur du matos. Pourquoi pas ? Mais oui, les logiciels, ça s'y prête bien.

  • Speaker #0

    Qu'est-ce qu'il y a d'autre façon, comme façon de monétiser ?

  • Speaker #1

    Alors, moi, je ne suis pas encore là-dedans. Toi, tu le fais bien, Flavie, c'est les infoproduits. Ce que toi, tu produis en tant que formation, en tant que notion à vendre, etc., le meilleur moyen de le pousser, c'est via votre newsletter. C'est ce qu'on disait tout à l'heure.

  • Speaker #0

    Oui, ça, c'est clair. Quand tu es freelance, tu n'as peut-être pas un besoin imparable, mais toutes les personnes que j'accompagne dans mon bootcamp et pourquoi je fais les quatre piliers, c'est parce que pour moi, on ne peut pas vendre un produit si on n'a pas un média. et notamment une newsletter parce qu'en fait, c'est un média propriétaire où on peut de temps en temps faire de la pub pour son produit parce que les gens, il ne faut pas rêver, ils ne vont pas l'acheter votre produit parce que vous en parlez une fois sur LinkedIn. Il va falloir l'expliquer, faire des vidéos explicatives, montrer des testimonials, des avant-après et le répéter parce que moi, combien de fois il y a des gens qui disent Ah bah merde, c'est fini le bootcamp, j'étais intéressée. En fait, excuse-moi, mais j'en ai parlé sept fois dans le truc, dans la newsletter, mais tu vois, entre… Le taux d'ouverture, celui qui ne va pas lire, celui qui va lire en diagonale, etc. Je pense que les gens négligent aussi le côté besoin de répétition pour ancrer un truc, déjà l'expliquer et ensuite motiver à l'achat aussi. Parce que tu vois, les gens, ils ont leur vie. C'est comme moi, moi je suis là, je suis motivée pour un truc et après il se passe six mois et j'ai fait d'autres choses et je ne me suis pas motivée.

  • Speaker #1

    Et après, je pense aussi, j'ai oublié d'en parler, mais le dernier niveau de la monétisation d'un usateur, je pense que c'est le plus compliqué. je ne l'ai pas fait pour ma part, c'est de faire payer des abonnements à ta newsletter. Donc ça, on reparle du roi de ça, c'est Yohann Lopez en France. Mais ça, je ne l'ai pas fait parce que tu as des effets contraignants quand même là-dessus. C'est que si tu commences à faire payer des abonnements, il faut être clair qu'il va falloir publier souvent du contenu de très bonne qualité. Et je n'avais pas envie d'être emprisonné par ça. Et aussi, tu limites aussi forcément ton...

  • Speaker #0

    Ton sponsoring.

  • Speaker #1

    Ouais. Et il faut savoir qu'en général, les statistiques disent que sur les abonnés des newsletters, à peu près entre 2 et 5 sont prêts à payer. Donc, si vous avez 1 000 abonnés, peut-être que 50 personnes seront prêtes à payer. Il faut faire un calcul quand même. Si vous faites payer, je ne sais pas, 10 euros l'abonnement, ça vous fait 500 euros par mois. Ça vous oblige à publier régulièrement. Est-ce que vous êtes prêts ? à faire cet investissement de temps et d'énergie pour 500 euros. Bon, c'est des calculs.

  • Speaker #0

    Moi, je trouve que c'est très difficile, surtout en France. Par contre, il y a un sujet sur lequel c'est bien, c'est si vous faites une newsletter B2B de niche. Par exemple, pour les médias Bayer en B2B, pour une poignée de jobs comme ça, hyper premium. Moi, j'ai acheté plein de trucs chez Sixt, Harvard Business Review, ça coûte 30 balles le numéro, je l'ai acheté en note de frais, j'étais abonnée à des newsletters un peu select. Donc, si tu fais un vrai truc sérieux pour une fonction dans l'entreprise, je ne sais pas, les DAF, les directeurs des achats, je pense que là, tu peux monétiser. Après, en B2C, je n'y crois pas trop. Moi, je le fais pour le board et d'ailleurs, merci à ceux qui me font confiance et ça m'oblige quand même à créer un template par semaine, solopreneur, mais en même temps, de toute façon, j'aimais bien parce que je m'en fais pour moi. Et ça me finance, c'est pas énorme quoi, j'ai 5000 abonnés et ça me rapporte peut-être 6 ou 7000 euros par an. Donc tu vois finalement ça fait presque 1 euro par abonné parce qu'il n'y a que 150 ou 200 abonnés payants. Mais ça me permet par contre de donner un peu plus de valeur à la newsletter. Donc ceux qui sont abonnés, ils vont vraiment la lire. Donc pour moi c'était plus une stratégie aussi comme ça et puis ça me permet de payer mes frais de montage. Donc il n'y a pas de petites économies quand on est podcasteur, surtout maintenant, il faut faire des montages vidéo et tout, toutes les semaines ça coûte cher.

  • Speaker #1

    Non, mais c'est déjà très bien. Je pense qu'il n'y en a pas beaucoup des newsletters aujourd'hui qui arrivent à monétiser leurs abonnés.

  • Speaker #0

    Bon, en tout cas, vous pouvez tester, mais on l'a compris. J'allais dire tout est bon dans le cochon, mais en tout cas, dans la newsletter, tout est bon parce que ça vous permet déjà de recycler vos posts, d'avoir une relation directe, propriétaire et du coup, une forme de fidélité aussi dans votre audience. Et puis derrière, de pousser vos offres, que ce soit votre agenda de freelance, vos offres ou vos infoproduits de solopreneurs. Est-ce que tu as un défi ? pour nous lancer dans la newsletter ?

  • Speaker #1

    Là, c'est assez simple, ce défi. C'est de faire votre première newsletter. Alors, je vous conseille, dans les ressources, je vous mettrai des exemples de newsletters et aussi un épisode de podcast que j'ai enregistré justement avec Yohann Lopez. Et je vous conseille l'outil Substack, qui est l'outil phare des newsletters business. C'est très simple. Donc, vous allez pouvoir créer votre newsletter numéro 1. en défi.

  • Speaker #0

    Bon, écoute, parfait, je mettrai aussi le lien vers d'autres épisodes du BORN, on en parle souvent de la newsletter, comment créer une newsletter payante, comment créer une bonne newsletter quand on est solopreneur et bien la gérer aussi, abonnement, désabonnement, croissance et tout, donc allez-y, vous avez quoi vous régaler sur le sujet newsletter et puis quand même, je te propose qu'on parle maintenant aussi d'un des réseaux sociaux rois pour la prospection, la vente quand on est freelance solopreneur, c'est LinkedIn et dans l'épisode 4, tu vas nous raconter pourquoi LinkedIn est indispensable dans son funnel de vente en tant que solopreneur ou freelance. C'est parti !

Share

Embed

You may also like