- Speaker #0
Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonus. Comment tu as fait pour passer de tes 400 dollars de publication d'une offre d'emploi à tes 100 000 euros de revenus récurrents sur du sponsoring ? Raconte-nous un petit peu comment ça a évolué dans ta démarche et comment un développeur de métier réussit ce tour de force aussi de... prospecter des sponsors ? Parce que vraiment, on est sur deux activités qui, pour le coup, sont opposées et souvent, ce n'est pas pour faire des généralités, mais ce n'est pas forcément un truc que vous adorez faire, faire du commercial, on va dire.
- Speaker #1
Je pense que c'est de moins en moins vrai. Il y a de plus en plus de développeurs aujourd'hui qui veulent développer des produits tout seuls, des sas et des choses comme ça. Je pense qu'on a bien ingurgité le fait qu'il fallait faire du marketing et il ne suffit pas juste de créer un produit pour que ça fonctionne. Moi je suis dans le monde open source aussi et c'est pareil en fait quand on crée un produit open source même si c'est gratuit en fait. Les gens ils n'ont pas forcément envie d'utiliser un truc que tu crées gratuitement et il faut essayer de marketer même si c'est gratuit.
- Speaker #0
Intéressant.
- Speaker #1
Donc on va dire que maintenant les développeurs ils sont quand même conscients de tous ces enjeux. Et ensuite le premier truc que j'ai fait c'est déjà passer en anglais parce que ma newsletter française elle n'avait pas une croissance. fulgurante on va dire donc j'ai fait de l'acquisition organique via Twitter pour la grossir ça a pas mal marché donc à partir de maintenant comment tu fais ?
- Speaker #0
j'imagine que oui parce que ta veille c'était déjà un peu des articles en anglais ça t'a pas posé de problème d'un point de vue rédaction je veux dire ?
- Speaker #1
c'était quand même un peu compliqué dans mon workflow parce qu'il fallait que j'écrive la newsletter en anglais, que je la traduise tout de suite en français et qu'ensuite je segmente ma base email en deux pour envoyer deux emails dans deux langues différentes Aujourd'hui, je vais s'impliquer parce que c'était quand même très compliqué à gérer sur le long terme, surtout qu'en plus, j'avais des sponsors français et des sponsors anglais à un moment donné. Ça, c'était vraiment l'idée du siècle. J'ai vite compris qu'en fait, le segment qui allait raconter de l'audience, qui allait rapporter de l'argent, c'était le segment anglais. Les sponsors, ce n'était pas du tout les mêmes. C'était des grosses assises américains ou internationaux. Et en fait, tu te rends compte à un moment donné que placer des offres d'emploi pour des jobs en France par des petites entreprises, de start-up, ça ne va pas monétiser beaucoup par rapport à des Américains comme des SaaS comme Sentry ou des choses comme ça qui sont des gros outils pour développeurs et qui sont valorisés à plusieurs milliards où en fait les mecs ils ont un budget marketing et ils disent j'ai 100 000 ou 1 million pour dépenser en newsletter dans l'année ou en influenceur et en fait ils ont l'habitude de sponsoriser des newsletters, tu n'es pas le premier tu n'es pas le dernier qu'ils vont sponsoriser... Donc, ils connaissent le canal, ils ont le budget, et ensuite, ce n'est pas leur argent qu'ils dépensent. Ce n'est pas comme un fondateur de start-up qui est un peu ric-rac. Je veux dire, à un moment donné, c'est le mec, le head of marketing, qui dit, ouais, on a 100 000 euros pour sponsoriser des médias ce trimestre, et bien, ils vont les dépenser, ils vont faire des tests. Et des fois, les tests ne vont pas marcher, mais tu vas quand même gagner de l'argent parce qu'en fait, ils t'ont sélectionné dans le test.
- Speaker #0
J'adore ce que tu décris parce que, tu vois, on peut vite tomber dans cet écueil. Moi, j'ai de la chance parce que le marché des marques pour les freelancers, il est quand même très dynamique en France. Il y en a plein qui se lancent. Mais quand même, si on se concentre que sur les Français, on oublie, je ne sais pas, des trucs énormes, genre ConvertKit. Est-ce qu'ils ne veulent pas augmenter leur pénétration en France ? Si oui, pour moi, ce serait peut-être plus facile d'avoir un sponsor comme ConvertKit ou Kajabi, qui sont des énormes sasses américains. plutôt que peut-être la nouvelle marque qui se lance en freelance en France, tu vois. Donc, merci pour le rappel. Du coup, tu as adapté encore ton offre en anglais. Comment tu as fixé tes prix aussi ? Parce que tu en as parlé tout à l'heure. Tu es allé regarder en SU, les tarifs, les media kits des autres, qui souvent sont publics, il faut chercher un petit peu, mais on les trouve. Comment tu as pricé ? Parce qu'il y a plusieurs façons de pricer, non ? On part au coup. ou par clic, par abonné, c'est assez compliqué quand même.
- Speaker #1
Il y a pas mal de... de méthodes qu'on peut trouver en ligne. Ils disent, selon l'industrie, le coût par mille, email envoyé, en fonction du open rate, le coût par clic. Il y a plein de stratégies. Moi, je me suis un peu calé sur ce que les autres faisaient déjà.
- Speaker #0
Trop bien. D'ailleurs, tu mets dans la newsletter des exemples de kits médias. Donc, allez voir si vous avez une newsletter, ça pourra vous donner des idées.
- Speaker #1
Donc, c'est assez facile de trouver des newsletters un peu concurrents sur le même secteur. il n'y a pas forcément besoin que ce soit vraiment des concurrents directs moi par exemple je veux juste regarder c'est quoi les médiakits des autres newsletters qui font du média avec des sponsors dans le secteur du développement donc tu vois par exemple un développeur IOS qui fait des applications mobiles, c'est pas exactement un concurrent direct pour moi puisqu'on n'a pas la même audience mais par contre je pense que s'il arrive à vendre des sponsors des placements de pubs à des sponsors à un tel prix avec à peu près une audience qui a 50 000 abonnés avec 50% d'open rate, c'est à peu près peut-être les tarifs que moi je vais aussi appliquer ou au moins je vais tester ces tarifs-là pour voir si j'arrive à faire des ventes ou pas.
- Speaker #0
Carrément, regarde, moi, il n'y a pas longtemps, j'étais sponsorisée par Conto, Mathieu, Stéphanie aussi. On n'a pas du tout les mêmes audiences, mais ça marche aussi. Ce n'est juste pas les mêmes prix.
- Speaker #1
Détails d'audience différentes. Et puis, de toute façon, après, tu fais un peu une sorte de prorata. Tu dis, bon, lui, il a tant d'abonnés, il a tel open rate affiché sur son Media Kit, tu peux te dire, voilà, en fait, par ouverture, il facture tant. Donc, c'est peut-être, je ne sais pas, moi, j'avais calculé qu'en fait, un abonné, tu vois, il me rapporte, je ne sais pas, 2 centimes par newsletter ou un truc comme ça. Je ne sais plus exactement, mais j'avais calculé, en fait, c'est quoi, en fait, le... le prix que me rapporte un abonné qui ouvre la newsletter.
- Speaker #0
Un peu comme le price value pour un SaaS, mais tu le calcules.
- Speaker #1
C'est exactement ça. En fait, on est vraiment sur le même modèle qu'un SaaS. Super. Dans le sens qu'en fait, tu vois, le SaaS, ce que tu veux, c'est que le mec, il reste sur son plan monfli ou annuel, qu'il paye chaque mois ou chaque année. Moi, c'est pareil, sauf qu'en fait, à chaque fois que je fais une impression, je gagne de l'argent. Donc au final, tu peux juste te dire qu'en fait, ton abonné, c'est comme si tu étais un client de ton SaaS qui ne doit pas churner, qui ne doit pas s'en aller parce que sinon, il ne te rapporte plus. Mais tu le monétises beaucoup moins parce qu'en fait, tu le monétises avec de la pub. Il peut être un peu plus.
- Speaker #0
Une question subsidiaire que j'ai pour toi en termes de monétisation, comme tu parles de logiciel, de SaaS et tout, tu fais de l'affiliation ou tu fais du sponsoring ? Les gens, ils payent une fois pour être... paru pour la parution dans ta newsletter ou est-ce qu'en plus tu prends du fizz s'il y a des clics etc ?
- Speaker #1
Il y a plusieurs modèles, j'ai essayé l'affiliation une ou deux fois, franchement ça ne m'a pas trop convaincu parce qu'en fait l'affiliation il faut vraiment croire aux produits affiliés que tu vends et que ce soit un bon fit pour l'audience. Moi je n'ai pas vraiment trouvé de produit que j'avais vraiment envie de promouvoir avec mes propres mots et puis en plus je n'aime pas le côté non prédictible du revenu que tu vas avoir. Donc, en fait, ça te fait porter le risque de ton côté. Alors qu'en fait, moi, aujourd'hui, je n'ai plus besoin de prendre le risque de mon côté puisqu'il y a des sponsors, en fait, ils ont envie de… Enfin, ils sont capables de payer un prix fixe et de dire, en fait, on prend le risque de notre côté. Et puis surtout, en fait, il y a un gros problème, c'est que quand tu fais de l'affiliation, pour moi, ce qu'on ne voit pas, c'est qu'en fait, même si tu ne fais aucune vente et que tu ne rapportes rien, tu fais de l'awareness pour le produit. affiliés. Donc en fait, tu leur fais de la pub gratos et ça, c'est pas monétisé.
- Speaker #0
S'il y a déjà de l'argent sur la table, s'il y a déjà de l'argent sur la table pour faire du brand content, du sponsoring et tout, autant le prendre. Je suis complètement d'accord.
- Speaker #1
Voilà, en fait, moi, ce que je veux, c'est avoir un MRR pour ma newsletter qui soit régulier, que je sache à peu près combien je vais gagner chaque mois.
- Speaker #0
Et alors, dis-moi, parce que ce qui est impressionnant, tu m'as montré l'autre fois ton dashboard avec tous tes sponsors et franchement, t'en as beaucoup. Tu en as beaucoup calé à l'avance, donc c'est vraiment le rêve du média, parce que ce qui est plus chiant, c'est de prospecter, d'être en dash, d'avoir des trous dans la raquette et du coup de ne plus avoir de revenus récurrents. Donc toi, tu as réussi à transformer du one-shot en recurring. Comment tu as fait, à la fois peut-être pour les prospecter avec assez d'avance ? C'est quoi ton organisation derrière ? Parce qu'il y a quand même un truc.
- Speaker #1
Déjà, je fais une plateforme sur laquelle je vais mettre, on va dire déjà, bien détaillé l'offre. Alors moi, aujourd'hui, au début, j'avais qu'un seul placement. en deux langues donc c'est un peu compliqué à gérer je suis passé sur une seule langue donc on peut sponsoriser qu'un seul segment et le newsletter est plus qu'en anglais Et j'ai mis des testimonials de lecteurs et aussi d'anciens sponsors qui ont déjà sponsorisé. Et aussi, j'ai proposé des bundles où tu vends pas juste le slot à l'unité, parce qu'en fait, c'est un peu compliqué. Il faut toujours faire des échanges d'email et tout ça. C'est plus simple de vendre pour tout un mois, par exemple, plutôt que de vendre... une semaine après une semaine surtout que moi j'ai 4 placements maintenant donc il faut vraiment qu'on vende plusieurs placements d'un coup et puis surtout des tarifs dégressifs qui incitent les sponsors à dire en fait j'aurai un meilleur tarif si j'en prends 4 d'un coup plutôt que 1
- Speaker #0
Mais ouais, j'allais dire comme ça, tu amortis tout ce temps de relations clients. Je vous mets dans la newsletter ta page de vente parce que c'est masterclass. Alors, c'est un peu style dev quand même. On comprend bien que tu t'es adapté au code de ton univers parce que je ne sais pas avec quoi tu l'as fait, mais ça ressemble à GitHub, ce genre de truc. Il n'y a pas de problème.
- Speaker #1
C'est le logiciel que je développe pour Facebook en freelance en fait. Donc, j'ai vraiment utilisé le truc que je connaissais bien. Et honnêtement, je ne sais pas forcément adapter pour ça. Je pense qu'il y a moyen de faire mieux.
- Speaker #0
la page de podcast est bien aussi ça respecte tous les trucs les testimonials la FAQ le comment on va faire pour travailler ensemble comment commander un sponsoring franchement t'es allé très très loin c'est hyper propre et en fait déjà je fais même une petite aparté mais en fait il y a plein de gens qui me disent ouais je voudrais sponsoriser mais ils ont même pas de truc ça raconte rien on sait même pas quelle audience il touche combien ça coûte et comment on fait pour sponsor la prochaine newsletter et comment ça va apparaître dans la newsletter donc tout ça c'est le truc à faire donc go sur la page de Sébastien si vous voulez construire la vote quoi Ok. Et après, sur le recurring, donc c'était package, est-ce que tu as d'autres tips sur la prospection ?
- Speaker #1
Je pense qu'une fois que tu as la page de vente, il faut qu'il y ait des gens qui aillent dessus. Donc, moi, j'ai la chance et qu'en fait, au début, je faisais ça un peu, c'était plus de l'inbound où en fait, il y avait des boîtes françaises qui voulaient me sponsoriser. Elles venaient toutes seules. et je faisais je gênais tout par mail c'est vrai que après quand j'écris la page de vente en fait tu mets un lien vers la page de vente dans la newsletter donc déjà si tu as des entreprises qui te lisent donc moi c'est bien c'est qu'en fait tu vois il y a des les sponsors potentiels aussi sont aussi des lecteurs potentiels donc ça fait de l'inbound de manière un peu automatique et il y a aussi un truc qui est important à comprendre c'est qu'en fait les entreprises qui sponsorisent une newsletter c'est des entreprises qui sponsorisent d'autres newsletters aussi Donc, il ne faut pas hésiter à démarcher sa concurrence pour leur piquer des sponsors, parce qu'en fait, les sponsors, ils ont des budgets. Et des fois, en fait, ils ne te connaissent pas. Et c'est la seule raison pour laquelle ils n'ont pas sponsorisé ta newsletter, c'est parce qu'en fait, ils n'ont pas entendu parler de toi avant. Donc, il faut rentrer dans la même stratégie.
- Speaker #0
Mais ça, c'est hyper important. Je pense qu'il faut accepter, quand tu es un média, que tes clients soient naturellement butineurs. Et c'est normal. En fait, un client B2B, il faut qu'il sponsorise plusieurs podcasts et plusieurs newsletters pour être connu partout. Il ne va pas avoir de l'exclusivité. Il faut partager un peu. C'est un peu du polyamour avec les sponsors.
- Speaker #1
Je pense aussi que tous les gens qui font du marketing, ils ont des budgets de test. Ou en fait, tu vois, même ceux qui font du Google Ads ou des trucs comme ça, ils lancent des campagnes de test. Ils disent, on a 5 000 euros de budget pour faire un nouveau test avec des nouvelles créatives, avec tel ou tel truc. On a une nouvelle landing page. On veut savoir quel est le taux de conversion. On a envie d'avoir un... une réponse rapide à cette question. Tu vois, il y a des trucs, des fois, tu ne comprends pas trop. Les gens, en fait, ils veulent juste avoir du trafic sur leur site pour ensuite mettre des trackers, pour ensuite faire du retargeting ou des choses comme ça. Et en fait, tu vois, ils ne cherchent pas forcément toujours de la conversion immédiate. Ils cherchent des fois de l'awareness, des fois du trafic. Tu n'es pas forcément au courant de ce qu'ils cherchent et surtout, ils ont un budget de test, ils ont envie de tester. Et tu peux faire partie de ce test-là. Le test sera peut-être... à concluant et peut-être qu'ils ne vont pas renouveler, mais en attendant, tu as toujours été payé. Donc au final, si ça marche, c'est possible qu'en fait, de leur test, tu sois la newsletter la plus performante et qu'après, pendant les deux prochaines années, ils vont te sponsoriser régulièrement.
- Speaker #0
Hyper cool. Je n'avais pas pensé à l'idée des trackers. Là, tu me donnes une idée. Et après, je voulais dire aussi, je pense que c'est comme ça que tu as mis tes prix. C'est peut-être qu'aussi tu as mis un prix relativement accessible pour faire des tests. Parce que peut-être que moi, au début, je suis partie sur des prix trop élevés et je n'avais pas pris en compte ce côté. On a d'abord envie de tester la collab avec toi pour voir si ça se passe bien. Et maintenant que j'ai fait ça, généralement, tous les sponsors avec qui j'ai bossé, ils veulent rebosser avec moi. Parce que tu vois, la première OP s'est bien passée, ils m'ont kiffé. Donc, voilà. OK. Est-ce que tu as...
- Speaker #1
C'est pas forcément. J'ai forcément des prix si bas que ça, je suis vraiment aligné sur mes concurrents. Limite un peu premium parce que je pense que mon audience est de meilleure qualité. Mais par contre, il y a un ou deux sponsors, je voulais vraiment les avoir. Parce qu'en fait, j'ai aussi une base de données avec 300 sponsors que j'ai notées. et que mon assistante virtuelle va démarcher de manière régulière dès que le calendrier se vide un peu.
- Speaker #0
Ah ben voilà, petit type secret où il faut écouter le podcast jusqu'à la fin, Sébastien.
- Speaker #1
Voilà. Donc, c'est d'autres choses à dire, mais c'est difficile de tout raconter en si peu de temps. Donc voilà, il y a pas mal de choses à faire. Il faut vraiment démarcher les sponsors des concurrents. Il y en a certains qu'en fait, je n'avais pas réussi à avoir ou en fait, j'ai essayé de les contacter un peu. de manière régulière pendant un ou deux ans et en fait à chaque fois ça donnait rien. Et en fait je me suis dit je vais leur donner un slot le moins cher que j'ai dans ma newsletter qui n'a pas été vendu et ça va leur donner un peu une idée de la performance qu'ils peuvent avoir. Et depuis un sponsor comme ça où j'ai signé 5000 euros de sponsoring dans les six derniers mois parce qu'en fait je leur ai offert un slot à 100 euros six mois avant.
- Speaker #0
Hyper bien ! bon bah écoute la technique de l'échantillon écoute c'est super donc tu vas nous donner le défi et parce qu'après on va voir comment t'es allé jusqu'à industrialiser toute ta recherche de sponsors etc c'est hyper bien processé pour justement gagner du temps oh mais finalement tu gères ta newsletter un peu comme un sas ça sera l'objet du dernier épisode est-ce qu'on fait un truc là-dessus sur ce côté sponsors si tu devais nous dire allez il y a un truc à faire là-dessus pour qu'on trouve nos prochains sponsors ce serait quoi ?
- Speaker #1
C'est de regarder l'offre de la concurrence, aller trouver deux ou trois newsletters concurrentes. Ils ont sûrement une page de sponsoring soit qui est partagée dans la newsletter, soit qui est sur leur site web. Alors il y en a certains qui cachent volontairement leur prix. C'est aussi une stratégie qui est intéressante parce que ça permet d'avoir des emails et puis de partager l'offre ensuite une fois qu'on a le lead. Donc c'est deux stratégies différentes. Mais en tout cas, il y aura sûrement des sponsors qui ont des pages publiques avec leur offre visible.
- Speaker #0
Merci beaucoup. Pour ces tips, et puis comme ça, vous pouvez vous construire votre base aussi de pricing et votre base de concurrents, enfin, votre base de sponsors idéaux. Commencez à la mapper. Moi, c'est ce que j'avais fait aussi pour me donner des idées. Allez, c'est parti pour le dernier épisode. La partie où tu vas nous raconter comment tu as fait pour vraiment scaler ta newsletter. Et qui dit scaler, dit mettre en place des bons process, automatiser, enlever du temps homme et tout ce temps que tu ne peux pas passer parce que tu as quand même tes missions freelance à côté et accessoirement une vie. Donc on va en parler dans l'épisode suivant.