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LE BOARD - Incubateur de solopreneurs !

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14min |06/02/2025
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Description

Comment passer de 0 à 10 000 abonnés avec ta newsletter freelance et en faire une source de revenus récurrents ?


Si tu galères à faire décoller ta newsletter ou que tu te demandes comment la monétiser, cet épisode est fait pour toi !


Aujourd’hui, je reçois Pierre Guilbaud, freelance et créateur de newsletters à succès, dont la dernière génère 2000€/mois tout en attirant 80% de ses clients.


Il partage avec toi son parcours, ses galères et surtout ses stratégies pour que ta newsletter passe de centre de coûts à centre de profits !


Au programme :

📌 Pourquoi lancer une newsletter quand on est freelance ?

📌 Comment choisir le bon concept et l’outil adapté ?

📌 Quels sont les secrets pour un lancement réussi ?

📌 Comment faire grossir ta liste email grâce au bouche-à-oreille et aux réseaux sociaux ?

📌 Et surtout : comment monétiser efficacement ta newsletter ?


Un épisode plein de conseils concrets pour booster ta visibilité et tes revenus de freelance ou solopreneur.

💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Le Board est le podcast pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs, prévisibles et créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat. Découvre comment entreprendre en solo, lancer ton solobusiness et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification freelance, Flavie Prévot t’accompagne avec des invités pour te proposer des épisodes dignes de formations pour solopreneur ou formation pour indépendant, pour que tu apprennes les meilleures stratégies pour créer une entreprise rentable et scalable, ou lancer ton side business. Tu apprendras aussi les meilleures astuces de productivité solopreneur. Le Board, c’est un peu la bible du freelancing, le meilleur coach business si tu es freelance, solopreneur ou indépendant.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.4 - Hustlin' - Rick Ross


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Alors, Pierre, on a vu comment faire croître ta newsletter. Donc, c'est trop bien. C'est bien pour la notoriété, l'expertise et tout ça, mais finalement, tu avais déjà un peu atteint tout ça. Tu arrivais à vivre bien ta vie en freelance. Je ne sais pas combien de chiffres d'affaires tu faisais déjà à l'époque.

  • Speaker #1

    C'est simple, l'année dernière j'ai fait 104 CA avec mon activité de freelance. En gros les 250 cas c'était avant de lancer la newsletter.

  • Speaker #0

    Voilà donc finalement tu n'as pas fait ça trop pour le statut et tout ça parce que tu avais déjà du chiffre d'affaires. Mais tu t'es dit je peux quand même monétiser. Monétiser une newsletter ça apporte des revenus complémentaires qui ne dépendent pas de la vente de son temps. Donc là on est complètement dans les problématiques du solopreneur. À quel moment tu as pensé à faire de l'argent avec ta newsletter ? Est-ce que c'était dès le début ? Combien ça t'a rapporté ? Est-ce que tu peux nous raconter un peu quelle a été ta stratégie monétisation sur ce sujet ?

  • Speaker #1

    Carrément. Moi, j'ai monétisé la newsletter avant de la lancer. Donc, j'ai vendu à Shine un package à 6K avant de lancer la news. En gros, en août. donc moi j'ai lancé la news le 8 septembre en août j'étais en mode ok j'ai pris la décision tu vois août mois à chaque fois c'est des temps calmes business temps de cerveau disponible donc là en fait c'est là les moments où je crée à fond et tout du coup là je me dis ok c'est parti je lance le truc et il faut que je trouve un sponsor avant donc en gros j'ai trouvé le sponsor en deux semaines pareil un classique j'ai listé toutes les boîtes c'est qu'il reste au partenariat et tout j'envoyais des messages plein de gens qui répondent pas c'est août plein de gens qui répondent qui disent non et juliette qui était hyper intéressé et du coup elle m'a fait confiance mais encore une fois pas parce que juste je lançais ma newsletter parce que j'avais aussi une présence LinkedIn tu vois on revient toujours à ce truc là c'est à dire que on te prête qu'au riche ouais voilà un peu dans cette idée là mais oui en fait il y avait ce côté je lui ai dit j'aurais 1000 abonnés le jour J quand je vais envoyer un premier newsletter avec Shine en sponsor je vais envoyer une newsletter par semaine Et je vais être à 2000 abonnés à la fin du premier mois, 3000, etc. Et donc, on a fait un truc sur trois mois, 2000 euros par mois. Et elle a dit go.

  • Speaker #0

    Tu avais une audience, mais tu avais aussi un plan précis. Et ça, je pense que ça rassure énormément le sponsor, quoi, par rapport à, tu vois, un peu, je vois la couleur. Ben ouais, est-ce que tu es intéressé ? Et là, tu avais vraiment un plan de bataille, quoi.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement. Sachant que Juliette, elle est vraiment trop cool. Et tu vois, elle, elle s'était créé une matrice un peu influence et tout sur Spreadsheet. Et donc, du coup, moi, je pense que j'avais... J'avais dû y aller un peu au culot en mode 2500 balles par mois. Elle m'avait dit, moi, en vrai, quand je mets les stats que tu me dis, je pense que le truc faire serait 2000. J'étais en mode bago, je te fais confiance, tu vois, c'est parti. Donc voilà, c'était trop cool. Donc ça, ça a été le premier sponsor. Ça s'est terminé fin novembre. Et donc là, j'ai fait une petite traversée du désert dans ma tête en mode, c'est bon, je roule sur la vie. Trop bien, trop facile, les sponsors et tout le machin. Ha ha, que des nids ! Que nenni, les sponsors, si tu ne vas pas les chercher par la peau des fesses, franchement, ils ne voient pas la lumière.

  • Speaker #0

    Je me pose la question, on me dit, et donc toi, les sponsors sont venus te voir. Mais je dis,

  • Speaker #1

    mais tu rigoles ou quoi ?

  • Speaker #0

    Avec des chèques, quand vous cherchez des missions en freelance, est-ce qu'on sonne à votre porte pour vous donner un chèque hausse ? Ben non, il faut aller les chercher, tu vois.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc, mois de décembre, pire moment. pour choper des sponsors, j'ai trouvé parce que beaucoup étaient en mode Ah, on est en train de caler le budget marketing, on sait pas encore, nan nan nan. Donc j'étais en mode Merde ! Chier. Donc pas grave en fait. J'ai continué à envoyer des newsletters et j'en ai profité pour mettre en avant mes propres projets, marketing flow, etc. Donc tu vois, ça sert aussi à ça en termes de ROI. Et puis après en fait, je suis arrivé à 4000 abonnés je pense début janvier. Et là, j'ai signé un premier sponsor autre que du coup Shine avec qui j'avais fait un truc long terme pour un one shot. Je me suis rendu compte aussi que c'est dur de vendre un truc hyper long terme. Les gens, ils veulent tester, etc. Et donc là, c'était Hectarea qui permet d'investir dans des terres éco-responsables. Donc moi, c'est cool parce que je dirais que 90% des boîtes qui sponsorisent, c'est des boîtes qui ont un impact positif. Donc, il y a une espèce de cohérence aussi dans ma ligne édito. Et en plus, c'est génial parce que cette newsletter, ça leur a généré plusieurs milliers d'euros d'investissement dans les terres agricoles. Donc, c'était incroyable, trop cool. J'essaie toujours de demander c'est quoi l'impact. Moi, j'essaie de faire un truc hyper gagnant-gagnant en mode, il faut qu'il y ait un héroï parce que, encore une fois, si tu penses long terme, Si la personne juste, elle met un encart, ça ne marche pas. Jamais, elle ne remettra un encart et jamais elle ne paiera. C'est vraiment ce truc de soit tu fais l'autruche et tu es en mode, tant pis, c'est peut-être leur offre, ce n'est pas moi. En fait, on ne bossera plus ensemble. Soit tu te dis, non, attends, qu'est-ce qui n'a pas marché ? On essaie de s'améliorer. Ou peut-être, je vous refais un post-sync-edit non plus. Exactement,

  • Speaker #0

    moi, j'ai toujours un post-mortem avec mes sponsors après les OP pour en savoir plus aussi. Parce que parfois, tu crois que ça n'a pas trop marché. Et puis, en fait, ils sont contents aussi d'autres trucs que tu as faits. Et je pense que c'est important parce qu'aussi, les sponsors demandent, vous avez fait une opération similaire avec un tel ou bidule, comment ça s'est passé ? Donc, tu as l'air con quand même si tu dis, je ne sais pas si ça a été rentabilisé par le sponsor. Ok, cool. Et comment tu fixes tes prix ? Alors, ça, c'est la question qu'on me pose tout le temps.

  • Speaker #1

    bah en gros je pense qu'il y avait du coup guillaume du plan joie qui lui il est lui les full time sur le projet donc en fait il a pu faire une croissance plus grande que moi sur sa newsletter et du coup il allait un peu en éclairant là dessus donc c'est ça qui est cool aussi dans le délire un peu newsletter c'est de se créer un peu des collectifs avec des gens et qui t'échangent les bonnes pratiques lui il avait déjà vendu à 500 balles tu vois des dés des encarts un encart donc moi j'ai commencé à ce prix là à 500 hors taxes avec hectare et à et puis après en fait je me suis rendu compte que je pouvais upsell avec un post-inked in dédié tu vois et ça c'est l'outil que je me suis en fait le truc qui prend du temps c'est pas tant de faire un encart et de créer un post-inked in alors sachant que c'est beaucoup plus rapide de créer un encart parce qu'en gros l'attention des gens tu les as déjà donc il faut présenter l'offre un post-inked in, il faut un hook il faut un angle, il faut un concept intéressant il faut mettre en valeur la personne de manière intéressante et il faut pas être un gros home sandwich parce que sinon les gens ils vont discuter post-inked in donc ça prend plus de temps... mais le truc qui prend le plus de temps c'est de créer la relation de confiance avec le tu vois avec le sponsor et de signer le deal et tout donc en fait quand tu l'as autant essayer de lui vendre plusieurs trucs tu vois et donc le truc qui a été game changer pour moi c'est de freiner l'offre et donc c'est là où tu te rends compte l'importance du marketing et où nous quand je dis ça c'est en fait après je suis passé à 700 euros le posting que dean 700 euros lancard newsletter j'ai dit si vous prenez les deux c'est mille et du coup ça devient irrésistible tueur et un peu un côté à bah oui on prend les deux et du coup je passais de 500 euros à 1000 euros de panier moyen tout le temps. Et donc ça, c'est cool. Et donc là, pour 2025, j'augmente à 750, 750, ça fait 1500 et je mets à 1200 le package des deux, tu vois. Parce que l'audience, elle grossit au fur et à mesure. J'avais 5000, 7000, 8000 abonnés. Là, j'en ai 12000 et puis ça grossit bien. Pareil pour mon profil LinkedIn, tu vois. Donc, c'est comme ça que j'ai monétisé sur la partie sponsoring. Sachant que là, ça devient vraiment ouf les effets cumulés de la putain de prise de parole en ligne. C'est que... Il y a une semaine, je dis, je cherche un sponsor pour décembre. Deux heures plus tard, j'en ai signé deux. Genre deux heures plus tard, ma facture, elle est envoyée. Boum, tu vois. Genre c'est vraiment, c'est assez hallucinant, le côté trot the process, petit à petit et tout machin. Et après, tout se déclenche.

  • Speaker #0

    Ah bah de toute façon, le plus dur, j'allais dire que c'est le premier. Bon, toi, dans ton cas, peut-être que vous aviez déjà bossé ensemble. Ça a été peut-être le deuxième le plus dur. Là, tu as traversé du désert. Mais après, ça se cumule et je suis assez d'accord avec toi. C'est la répétition aussi. C'est pour ça que moi, j'essaye de créer souvent des nouveaux formats de sponsoring ou de brand content pour que des gens avec qui on avait déjà travaillé sur un format me fassent confiance une deuxième fois. Et c'est comme ça que moi, je fais du repeat sponsoring avec des sponsors avec qui je bosse depuis longtemps. Et ça fonctionne très bien. Tu ne t'es pas arrêté au sponsoring, ceci dit, pour monétiser. Tu as donné d'autres idées pour encore plus rajouter à ton chiffre d'affaires. Lesquelles ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense qu'aujourd'hui, j'ai bien conscience que 80% des clients, des membres qui rejoignent Marketing Flow la communauté, c'est des personnes qui sont passées par ma newsletter et je le vois parce que c'est Laura qui organise des démos et souvent ils sont en mode, ah ça fait longtemps que je suis Pierre etc sur LinkedIn, sur sa newsletter donc c'est quand même assez ouf et oui et du coup en fait là je me suis fait une grosse réflexion août, septembre en mode ok je suis Head of Growth Part-Time en freelance depuis 5 ans, je bosse un jour par semaine pour mes clients, je les aide dans leur strata de croissance, je mets en place 5, 6, 7 leviers marketing et si j'en faisais qu'un seul pour plusieurs clients Et du coup, je me suis dit, mais c'est quoi le truc où je m'éclate, j'adore écrire, c'est quoi le truc où il y a de l'impact, c'est remarquable et tout. Et en fait, il y a 4-5 clients que j'ai accompagnés sur les deux dernières années en prise de parole LinkedIn où je les ai fait vraiment exploser des millions de vues, des fois deux sur le CA, des trucs vraiment canons et où moi, je me suis bien marré. Du coup, je me suis dit, vas-y, je vais lancer ça en racontant tout mon processus de réflexion dans la newsletter et je vais mettre un Calendly à la fin. Sachant que le Calendly, c'est en mode, si tu veux bosser avec moi, du coup, tu dois précocher. j'ai un budget de minimum 3000 euros hors taxe et je suis fondateur d'une boîte à impact l'impact positif est au coeur de ma proposition de valeur de mon offre etc donc tu vois très qualifié et je lance le truc et j'ai généré genre 15 calls oh purée c'est énorme mais tu vois en fait ça ça rappelle toujours le truc que j'ai envie de répéter à tous les débuts d'entrepreneurs parce que mais moi aussi j'étais débutant entrepreneur et j'ai fait cette merde c'est arrêter d'essayer de vendre tout de suite créer une putain d'audience apporter de la valeur montrer votre expertise et une fois que vous avez fait ça... parmi ces gens avec qui vous avez créé une relation de confiance etc il ya des gens qui vont avoir des besoins et délais et faites vous rémunérer mais dans ce sens là pas l'inverse sinon tu rames tu rames genre en gros j'ai passé un an tu vois arriver là avec ma newsletter est en fait en un an c'est le côté genre tu réussis du jour au lendemain en mode la boum 15 col en 24 heures mais c'est parce que c'est un an d'avant et puis c'est même pas un an c'est cinq ans et c'est dix ans tu vois mais il faut juste l'avoir en tête pour les gens

  • Speaker #0

    C'est hyper bien de le rappeler. Et c'est bien aussi de rappeler construire ses offres en public. avant de les graver dans le marbre. Parce qu'en fait, c'est ce que tu as fait. En toute transparence, tu as dit, ben voilà, j'ai vu ça, j'ai vu ça comme problème, je pense à ça, donc si vous êtes chaud, go. Et je pense que si tu n'avais pas eu ces résultats-là, tu aurais pu refaire une newsletter après en disant, bon ben voilà, ça n'a pas marché pour x ou y raison, maintenant je pense plutôt à ça et ça aurait marché. Donc c'est hyper intéressant, ta boucle de rétroaction sur tes histoires, enfin sur tes expériences de freelance, elle fonctionne bien aussi pour trouver des clients, donc c'est trop bien. qu'est-ce que tu aurais comme conseil à nous donner si on veut rajouter du revenu parce que du coup ça représente quelle proportion de tes revenus ce qui est issu de la newsletter de la monétisation en fait aujourd'hui je pense que moi j'ai envie d'être

  • Speaker #1

    sur un rythme de deux newsletters par mois minimum et presque maximum c'est à dire qu'en fait si on est à trois c'est cool mais en fait je veux en avoir deux et donc du coup si tu fais le calcul environ 1000-1200 euros par newsletter, moi l'objectif c'est que ce soit toujours plein tu vois ça fait entre 2 et 3 000 par mois et donc sur 12 mois on est entre 20 et 30K donc ouais c'est 30% de mon CA en micro-entreprise du coup là je vais sûrement passer en URL à la fin de l'année prochaine là je frôle le plafond et après écoute c'est top parfait,

  • Speaker #0

    t'as un petit conseil à nous donner sur la monétisation avant qu'on passe au bouquet final à l'épisode final qui va parler justement des side projects que ça a fait naître Ouais,

  • Speaker #1

    et bah ne pas être greedy, tu vois, en gros genre, encore une fois, avant de demander, avant de demander des trucs donnés, et donc en fait, et surtout montrer l'exemple, et donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire je contacte quelqu'un, je lui dis, tu sais quoi, je te mets gratos dans la news, viens on fait un encart. En fait comme ça, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es capable d'avoir des stats de temps d'ouverture, temps de clic, temps de machin, ça ressemble à ça un encart, derrière quand tu vas voir un sponsor, bah en fait tu peux aller voir, tu vois, tu peux avoir des vrais chiffres, puis tu peux aussi adapter ton... ton pricing, dire voilà, c'est 50 euros, 100 euros au début, ce n'est pas très grave, tu vois, mais juste, en fait, tu vas crescendo. Mais toujours, moi, je ne comprends pas les gens qui n'ont pas fait et qui n'ont pas fait et qui vendent, etc. Je trouve ça vraiment cool de se dire, en fait, d'abord, tu as des résultats cools et après, tu vends, quoi.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord avec toi et on a aussi enregistré un épisode hyper complet avec Sébastien Lorbet sur... C'est un dev qui a fait une newsletter qui lui rapporte 150 000 euros par an. et du coup il nous parle aussi de ça comment il va courtiser les bons sponsors, quitte à leur faire pas cher voire même gratos pour avoir des cas clients et pour ensuite attirer tous les autres sponsors parfait alignement stratégique entre vous et je suis tout à fait d'accord parce que ça vous donne de l'expérience aussi et quand on est free on a l'habitude de travailler un petit peu pas complètement gratuitement mais quand on se lance dans un nouveau domaine pour apprendre être payé pour apprendre même si c'est pas payé cher c'est déjà pas mal donc trop cool merci Et ce que je te propose, Pierre, c'est qu'on finisse Cerise sur le gâteau par la notion d'avoir des side projects en freelance. Et la newsletter en fait partie. Tu en as d'autres aussi en cours qui te rapportent de l'argent, de l'apprentissage, plein de choses intéressantes. On en parle dans la fin de l'épisode.

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Aujourd’hui, je reçois Pierre Guilbaud, freelance et créateur de newsletters à succès, dont la dernière génère 2000€/mois tout en attirant 80% de ses clients.


Il partage avec toi son parcours, ses galères et surtout ses stratégies pour que ta newsletter passe de centre de coûts à centre de profits !


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📌 Pourquoi lancer une newsletter quand on est freelance ?

📌 Comment choisir le bon concept et l’outil adapté ?

📌 Quels sont les secrets pour un lancement réussi ?

📌 Comment faire grossir ta liste email grâce au bouche-à-oreille et aux réseaux sociaux ?

📌 Et surtout : comment monétiser efficacement ta newsletter ?


Un épisode plein de conseils concrets pour booster ta visibilité et tes revenus de freelance ou solopreneur.

💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Soutiens gratuitement Le Board en laissant un avis sympa et 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ou en le partageant sur tes réseaux. Chaque retour me booste (et une petite surprise t’attend pour chaque avis).


Le Board est le podcast pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs, prévisibles et créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat. Découvre comment entreprendre en solo, lancer ton solobusiness et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification freelance, Flavie Prévot t’accompagne avec des invités pour te proposer des épisodes dignes de formations pour solopreneur ou formation pour indépendant, pour que tu apprennes les meilleures stratégies pour créer une entreprise rentable et scalable, ou lancer ton side business. Tu apprendras aussi les meilleures astuces de productivité solopreneur. Le Board, c’est un peu la bible du freelancing, le meilleur coach business si tu es freelance, solopreneur ou indépendant.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.4 - Hustlin' - Rick Ross


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Alors, Pierre, on a vu comment faire croître ta newsletter. Donc, c'est trop bien. C'est bien pour la notoriété, l'expertise et tout ça, mais finalement, tu avais déjà un peu atteint tout ça. Tu arrivais à vivre bien ta vie en freelance. Je ne sais pas combien de chiffres d'affaires tu faisais déjà à l'époque.

  • Speaker #1

    C'est simple, l'année dernière j'ai fait 104 CA avec mon activité de freelance. En gros les 250 cas c'était avant de lancer la newsletter.

  • Speaker #0

    Voilà donc finalement tu n'as pas fait ça trop pour le statut et tout ça parce que tu avais déjà du chiffre d'affaires. Mais tu t'es dit je peux quand même monétiser. Monétiser une newsletter ça apporte des revenus complémentaires qui ne dépendent pas de la vente de son temps. Donc là on est complètement dans les problématiques du solopreneur. À quel moment tu as pensé à faire de l'argent avec ta newsletter ? Est-ce que c'était dès le début ? Combien ça t'a rapporté ? Est-ce que tu peux nous raconter un peu quelle a été ta stratégie monétisation sur ce sujet ?

  • Speaker #1

    Carrément. Moi, j'ai monétisé la newsletter avant de la lancer. Donc, j'ai vendu à Shine un package à 6K avant de lancer la news. En gros, en août. donc moi j'ai lancé la news le 8 septembre en août j'étais en mode ok j'ai pris la décision tu vois août mois à chaque fois c'est des temps calmes business temps de cerveau disponible donc là en fait c'est là les moments où je crée à fond et tout du coup là je me dis ok c'est parti je lance le truc et il faut que je trouve un sponsor avant donc en gros j'ai trouvé le sponsor en deux semaines pareil un classique j'ai listé toutes les boîtes c'est qu'il reste au partenariat et tout j'envoyais des messages plein de gens qui répondent pas c'est août plein de gens qui répondent qui disent non et juliette qui était hyper intéressé et du coup elle m'a fait confiance mais encore une fois pas parce que juste je lançais ma newsletter parce que j'avais aussi une présence LinkedIn tu vois on revient toujours à ce truc là c'est à dire que on te prête qu'au riche ouais voilà un peu dans cette idée là mais oui en fait il y avait ce côté je lui ai dit j'aurais 1000 abonnés le jour J quand je vais envoyer un premier newsletter avec Shine en sponsor je vais envoyer une newsletter par semaine Et je vais être à 2000 abonnés à la fin du premier mois, 3000, etc. Et donc, on a fait un truc sur trois mois, 2000 euros par mois. Et elle a dit go.

  • Speaker #0

    Tu avais une audience, mais tu avais aussi un plan précis. Et ça, je pense que ça rassure énormément le sponsor, quoi, par rapport à, tu vois, un peu, je vois la couleur. Ben ouais, est-ce que tu es intéressé ? Et là, tu avais vraiment un plan de bataille, quoi.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement. Sachant que Juliette, elle est vraiment trop cool. Et tu vois, elle, elle s'était créé une matrice un peu influence et tout sur Spreadsheet. Et donc, du coup, moi, je pense que j'avais... J'avais dû y aller un peu au culot en mode 2500 balles par mois. Elle m'avait dit, moi, en vrai, quand je mets les stats que tu me dis, je pense que le truc faire serait 2000. J'étais en mode bago, je te fais confiance, tu vois, c'est parti. Donc voilà, c'était trop cool. Donc ça, ça a été le premier sponsor. Ça s'est terminé fin novembre. Et donc là, j'ai fait une petite traversée du désert dans ma tête en mode, c'est bon, je roule sur la vie. Trop bien, trop facile, les sponsors et tout le machin. Ha ha, que des nids ! Que nenni, les sponsors, si tu ne vas pas les chercher par la peau des fesses, franchement, ils ne voient pas la lumière.

  • Speaker #0

    Je me pose la question, on me dit, et donc toi, les sponsors sont venus te voir. Mais je dis,

  • Speaker #1

    mais tu rigoles ou quoi ?

  • Speaker #0

    Avec des chèques, quand vous cherchez des missions en freelance, est-ce qu'on sonne à votre porte pour vous donner un chèque hausse ? Ben non, il faut aller les chercher, tu vois.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc, mois de décembre, pire moment. pour choper des sponsors, j'ai trouvé parce que beaucoup étaient en mode Ah, on est en train de caler le budget marketing, on sait pas encore, nan nan nan. Donc j'étais en mode Merde ! Chier. Donc pas grave en fait. J'ai continué à envoyer des newsletters et j'en ai profité pour mettre en avant mes propres projets, marketing flow, etc. Donc tu vois, ça sert aussi à ça en termes de ROI. Et puis après en fait, je suis arrivé à 4000 abonnés je pense début janvier. Et là, j'ai signé un premier sponsor autre que du coup Shine avec qui j'avais fait un truc long terme pour un one shot. Je me suis rendu compte aussi que c'est dur de vendre un truc hyper long terme. Les gens, ils veulent tester, etc. Et donc là, c'était Hectarea qui permet d'investir dans des terres éco-responsables. Donc moi, c'est cool parce que je dirais que 90% des boîtes qui sponsorisent, c'est des boîtes qui ont un impact positif. Donc, il y a une espèce de cohérence aussi dans ma ligne édito. Et en plus, c'est génial parce que cette newsletter, ça leur a généré plusieurs milliers d'euros d'investissement dans les terres agricoles. Donc, c'était incroyable, trop cool. J'essaie toujours de demander c'est quoi l'impact. Moi, j'essaie de faire un truc hyper gagnant-gagnant en mode, il faut qu'il y ait un héroï parce que, encore une fois, si tu penses long terme, Si la personne juste, elle met un encart, ça ne marche pas. Jamais, elle ne remettra un encart et jamais elle ne paiera. C'est vraiment ce truc de soit tu fais l'autruche et tu es en mode, tant pis, c'est peut-être leur offre, ce n'est pas moi. En fait, on ne bossera plus ensemble. Soit tu te dis, non, attends, qu'est-ce qui n'a pas marché ? On essaie de s'améliorer. Ou peut-être, je vous refais un post-sync-edit non plus. Exactement,

  • Speaker #0

    moi, j'ai toujours un post-mortem avec mes sponsors après les OP pour en savoir plus aussi. Parce que parfois, tu crois que ça n'a pas trop marché. Et puis, en fait, ils sont contents aussi d'autres trucs que tu as faits. Et je pense que c'est important parce qu'aussi, les sponsors demandent, vous avez fait une opération similaire avec un tel ou bidule, comment ça s'est passé ? Donc, tu as l'air con quand même si tu dis, je ne sais pas si ça a été rentabilisé par le sponsor. Ok, cool. Et comment tu fixes tes prix ? Alors, ça, c'est la question qu'on me pose tout le temps.

  • Speaker #1

    bah en gros je pense qu'il y avait du coup guillaume du plan joie qui lui il est lui les full time sur le projet donc en fait il a pu faire une croissance plus grande que moi sur sa newsletter et du coup il allait un peu en éclairant là dessus donc c'est ça qui est cool aussi dans le délire un peu newsletter c'est de se créer un peu des collectifs avec des gens et qui t'échangent les bonnes pratiques lui il avait déjà vendu à 500 balles tu vois des dés des encarts un encart donc moi j'ai commencé à ce prix là à 500 hors taxes avec hectare et à et puis après en fait je me suis rendu compte que je pouvais upsell avec un post-inked in dédié tu vois et ça c'est l'outil que je me suis en fait le truc qui prend du temps c'est pas tant de faire un encart et de créer un post-inked in alors sachant que c'est beaucoup plus rapide de créer un encart parce qu'en gros l'attention des gens tu les as déjà donc il faut présenter l'offre un post-inked in, il faut un hook il faut un angle, il faut un concept intéressant il faut mettre en valeur la personne de manière intéressante et il faut pas être un gros home sandwich parce que sinon les gens ils vont discuter post-inked in donc ça prend plus de temps... mais le truc qui prend le plus de temps c'est de créer la relation de confiance avec le tu vois avec le sponsor et de signer le deal et tout donc en fait quand tu l'as autant essayer de lui vendre plusieurs trucs tu vois et donc le truc qui a été game changer pour moi c'est de freiner l'offre et donc c'est là où tu te rends compte l'importance du marketing et où nous quand je dis ça c'est en fait après je suis passé à 700 euros le posting que dean 700 euros lancard newsletter j'ai dit si vous prenez les deux c'est mille et du coup ça devient irrésistible tueur et un peu un côté à bah oui on prend les deux et du coup je passais de 500 euros à 1000 euros de panier moyen tout le temps. Et donc ça, c'est cool. Et donc là, pour 2025, j'augmente à 750, 750, ça fait 1500 et je mets à 1200 le package des deux, tu vois. Parce que l'audience, elle grossit au fur et à mesure. J'avais 5000, 7000, 8000 abonnés. Là, j'en ai 12000 et puis ça grossit bien. Pareil pour mon profil LinkedIn, tu vois. Donc, c'est comme ça que j'ai monétisé sur la partie sponsoring. Sachant que là, ça devient vraiment ouf les effets cumulés de la putain de prise de parole en ligne. C'est que... Il y a une semaine, je dis, je cherche un sponsor pour décembre. Deux heures plus tard, j'en ai signé deux. Genre deux heures plus tard, ma facture, elle est envoyée. Boum, tu vois. Genre c'est vraiment, c'est assez hallucinant, le côté trot the process, petit à petit et tout machin. Et après, tout se déclenche.

  • Speaker #0

    Ah bah de toute façon, le plus dur, j'allais dire que c'est le premier. Bon, toi, dans ton cas, peut-être que vous aviez déjà bossé ensemble. Ça a été peut-être le deuxième le plus dur. Là, tu as traversé du désert. Mais après, ça se cumule et je suis assez d'accord avec toi. C'est la répétition aussi. C'est pour ça que moi, j'essaye de créer souvent des nouveaux formats de sponsoring ou de brand content pour que des gens avec qui on avait déjà travaillé sur un format me fassent confiance une deuxième fois. Et c'est comme ça que moi, je fais du repeat sponsoring avec des sponsors avec qui je bosse depuis longtemps. Et ça fonctionne très bien. Tu ne t'es pas arrêté au sponsoring, ceci dit, pour monétiser. Tu as donné d'autres idées pour encore plus rajouter à ton chiffre d'affaires. Lesquelles ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense qu'aujourd'hui, j'ai bien conscience que 80% des clients, des membres qui rejoignent Marketing Flow la communauté, c'est des personnes qui sont passées par ma newsletter et je le vois parce que c'est Laura qui organise des démos et souvent ils sont en mode, ah ça fait longtemps que je suis Pierre etc sur LinkedIn, sur sa newsletter donc c'est quand même assez ouf et oui et du coup en fait là je me suis fait une grosse réflexion août, septembre en mode ok je suis Head of Growth Part-Time en freelance depuis 5 ans, je bosse un jour par semaine pour mes clients, je les aide dans leur strata de croissance, je mets en place 5, 6, 7 leviers marketing et si j'en faisais qu'un seul pour plusieurs clients Et du coup, je me suis dit, mais c'est quoi le truc où je m'éclate, j'adore écrire, c'est quoi le truc où il y a de l'impact, c'est remarquable et tout. Et en fait, il y a 4-5 clients que j'ai accompagnés sur les deux dernières années en prise de parole LinkedIn où je les ai fait vraiment exploser des millions de vues, des fois deux sur le CA, des trucs vraiment canons et où moi, je me suis bien marré. Du coup, je me suis dit, vas-y, je vais lancer ça en racontant tout mon processus de réflexion dans la newsletter et je vais mettre un Calendly à la fin. Sachant que le Calendly, c'est en mode, si tu veux bosser avec moi, du coup, tu dois précocher. j'ai un budget de minimum 3000 euros hors taxe et je suis fondateur d'une boîte à impact l'impact positif est au coeur de ma proposition de valeur de mon offre etc donc tu vois très qualifié et je lance le truc et j'ai généré genre 15 calls oh purée c'est énorme mais tu vois en fait ça ça rappelle toujours le truc que j'ai envie de répéter à tous les débuts d'entrepreneurs parce que mais moi aussi j'étais débutant entrepreneur et j'ai fait cette merde c'est arrêter d'essayer de vendre tout de suite créer une putain d'audience apporter de la valeur montrer votre expertise et une fois que vous avez fait ça... parmi ces gens avec qui vous avez créé une relation de confiance etc il ya des gens qui vont avoir des besoins et délais et faites vous rémunérer mais dans ce sens là pas l'inverse sinon tu rames tu rames genre en gros j'ai passé un an tu vois arriver là avec ma newsletter est en fait en un an c'est le côté genre tu réussis du jour au lendemain en mode la boum 15 col en 24 heures mais c'est parce que c'est un an d'avant et puis c'est même pas un an c'est cinq ans et c'est dix ans tu vois mais il faut juste l'avoir en tête pour les gens

  • Speaker #0

    C'est hyper bien de le rappeler. Et c'est bien aussi de rappeler construire ses offres en public. avant de les graver dans le marbre. Parce qu'en fait, c'est ce que tu as fait. En toute transparence, tu as dit, ben voilà, j'ai vu ça, j'ai vu ça comme problème, je pense à ça, donc si vous êtes chaud, go. Et je pense que si tu n'avais pas eu ces résultats-là, tu aurais pu refaire une newsletter après en disant, bon ben voilà, ça n'a pas marché pour x ou y raison, maintenant je pense plutôt à ça et ça aurait marché. Donc c'est hyper intéressant, ta boucle de rétroaction sur tes histoires, enfin sur tes expériences de freelance, elle fonctionne bien aussi pour trouver des clients, donc c'est trop bien. qu'est-ce que tu aurais comme conseil à nous donner si on veut rajouter du revenu parce que du coup ça représente quelle proportion de tes revenus ce qui est issu de la newsletter de la monétisation en fait aujourd'hui je pense que moi j'ai envie d'être

  • Speaker #1

    sur un rythme de deux newsletters par mois minimum et presque maximum c'est à dire qu'en fait si on est à trois c'est cool mais en fait je veux en avoir deux et donc du coup si tu fais le calcul environ 1000-1200 euros par newsletter, moi l'objectif c'est que ce soit toujours plein tu vois ça fait entre 2 et 3 000 par mois et donc sur 12 mois on est entre 20 et 30K donc ouais c'est 30% de mon CA en micro-entreprise du coup là je vais sûrement passer en URL à la fin de l'année prochaine là je frôle le plafond et après écoute c'est top parfait,

  • Speaker #0

    t'as un petit conseil à nous donner sur la monétisation avant qu'on passe au bouquet final à l'épisode final qui va parler justement des side projects que ça a fait naître Ouais,

  • Speaker #1

    et bah ne pas être greedy, tu vois, en gros genre, encore une fois, avant de demander, avant de demander des trucs donnés, et donc en fait, et surtout montrer l'exemple, et donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire je contacte quelqu'un, je lui dis, tu sais quoi, je te mets gratos dans la news, viens on fait un encart. En fait comme ça, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es capable d'avoir des stats de temps d'ouverture, temps de clic, temps de machin, ça ressemble à ça un encart, derrière quand tu vas voir un sponsor, bah en fait tu peux aller voir, tu vois, tu peux avoir des vrais chiffres, puis tu peux aussi adapter ton... ton pricing, dire voilà, c'est 50 euros, 100 euros au début, ce n'est pas très grave, tu vois, mais juste, en fait, tu vas crescendo. Mais toujours, moi, je ne comprends pas les gens qui n'ont pas fait et qui n'ont pas fait et qui vendent, etc. Je trouve ça vraiment cool de se dire, en fait, d'abord, tu as des résultats cools et après, tu vends, quoi.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord avec toi et on a aussi enregistré un épisode hyper complet avec Sébastien Lorbet sur... C'est un dev qui a fait une newsletter qui lui rapporte 150 000 euros par an. et du coup il nous parle aussi de ça comment il va courtiser les bons sponsors, quitte à leur faire pas cher voire même gratos pour avoir des cas clients et pour ensuite attirer tous les autres sponsors parfait alignement stratégique entre vous et je suis tout à fait d'accord parce que ça vous donne de l'expérience aussi et quand on est free on a l'habitude de travailler un petit peu pas complètement gratuitement mais quand on se lance dans un nouveau domaine pour apprendre être payé pour apprendre même si c'est pas payé cher c'est déjà pas mal donc trop cool merci Et ce que je te propose, Pierre, c'est qu'on finisse Cerise sur le gâteau par la notion d'avoir des side projects en freelance. Et la newsletter en fait partie. Tu en as d'autres aussi en cours qui te rapportent de l'argent, de l'apprentissage, plein de choses intéressantes. On en parle dans la fin de l'épisode.

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Comment passer de 0 à 10 000 abonnés avec ta newsletter freelance et en faire une source de revenus récurrents ?


Si tu galères à faire décoller ta newsletter ou que tu te demandes comment la monétiser, cet épisode est fait pour toi !


Aujourd’hui, je reçois Pierre Guilbaud, freelance et créateur de newsletters à succès, dont la dernière génère 2000€/mois tout en attirant 80% de ses clients.


Il partage avec toi son parcours, ses galères et surtout ses stratégies pour que ta newsletter passe de centre de coûts à centre de profits !


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Le Board est le podcast pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs, prévisibles et créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat. Découvre comment entreprendre en solo, lancer ton solobusiness et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification freelance, Flavie Prévot t’accompagne avec des invités pour te proposer des épisodes dignes de formations pour solopreneur ou formation pour indépendant, pour que tu apprennes les meilleures stratégies pour créer une entreprise rentable et scalable, ou lancer ton side business. Tu apprendras aussi les meilleures astuces de productivité solopreneur. Le Board, c’est un peu la bible du freelancing, le meilleur coach business si tu es freelance, solopreneur ou indépendant.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.4 - Hustlin' - Rick Ross


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Alors, Pierre, on a vu comment faire croître ta newsletter. Donc, c'est trop bien. C'est bien pour la notoriété, l'expertise et tout ça, mais finalement, tu avais déjà un peu atteint tout ça. Tu arrivais à vivre bien ta vie en freelance. Je ne sais pas combien de chiffres d'affaires tu faisais déjà à l'époque.

  • Speaker #1

    C'est simple, l'année dernière j'ai fait 104 CA avec mon activité de freelance. En gros les 250 cas c'était avant de lancer la newsletter.

  • Speaker #0

    Voilà donc finalement tu n'as pas fait ça trop pour le statut et tout ça parce que tu avais déjà du chiffre d'affaires. Mais tu t'es dit je peux quand même monétiser. Monétiser une newsletter ça apporte des revenus complémentaires qui ne dépendent pas de la vente de son temps. Donc là on est complètement dans les problématiques du solopreneur. À quel moment tu as pensé à faire de l'argent avec ta newsletter ? Est-ce que c'était dès le début ? Combien ça t'a rapporté ? Est-ce que tu peux nous raconter un peu quelle a été ta stratégie monétisation sur ce sujet ?

  • Speaker #1

    Carrément. Moi, j'ai monétisé la newsletter avant de la lancer. Donc, j'ai vendu à Shine un package à 6K avant de lancer la news. En gros, en août. donc moi j'ai lancé la news le 8 septembre en août j'étais en mode ok j'ai pris la décision tu vois août mois à chaque fois c'est des temps calmes business temps de cerveau disponible donc là en fait c'est là les moments où je crée à fond et tout du coup là je me dis ok c'est parti je lance le truc et il faut que je trouve un sponsor avant donc en gros j'ai trouvé le sponsor en deux semaines pareil un classique j'ai listé toutes les boîtes c'est qu'il reste au partenariat et tout j'envoyais des messages plein de gens qui répondent pas c'est août plein de gens qui répondent qui disent non et juliette qui était hyper intéressé et du coup elle m'a fait confiance mais encore une fois pas parce que juste je lançais ma newsletter parce que j'avais aussi une présence LinkedIn tu vois on revient toujours à ce truc là c'est à dire que on te prête qu'au riche ouais voilà un peu dans cette idée là mais oui en fait il y avait ce côté je lui ai dit j'aurais 1000 abonnés le jour J quand je vais envoyer un premier newsletter avec Shine en sponsor je vais envoyer une newsletter par semaine Et je vais être à 2000 abonnés à la fin du premier mois, 3000, etc. Et donc, on a fait un truc sur trois mois, 2000 euros par mois. Et elle a dit go.

  • Speaker #0

    Tu avais une audience, mais tu avais aussi un plan précis. Et ça, je pense que ça rassure énormément le sponsor, quoi, par rapport à, tu vois, un peu, je vois la couleur. Ben ouais, est-ce que tu es intéressé ? Et là, tu avais vraiment un plan de bataille, quoi.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement. Sachant que Juliette, elle est vraiment trop cool. Et tu vois, elle, elle s'était créé une matrice un peu influence et tout sur Spreadsheet. Et donc, du coup, moi, je pense que j'avais... J'avais dû y aller un peu au culot en mode 2500 balles par mois. Elle m'avait dit, moi, en vrai, quand je mets les stats que tu me dis, je pense que le truc faire serait 2000. J'étais en mode bago, je te fais confiance, tu vois, c'est parti. Donc voilà, c'était trop cool. Donc ça, ça a été le premier sponsor. Ça s'est terminé fin novembre. Et donc là, j'ai fait une petite traversée du désert dans ma tête en mode, c'est bon, je roule sur la vie. Trop bien, trop facile, les sponsors et tout le machin. Ha ha, que des nids ! Que nenni, les sponsors, si tu ne vas pas les chercher par la peau des fesses, franchement, ils ne voient pas la lumière.

  • Speaker #0

    Je me pose la question, on me dit, et donc toi, les sponsors sont venus te voir. Mais je dis,

  • Speaker #1

    mais tu rigoles ou quoi ?

  • Speaker #0

    Avec des chèques, quand vous cherchez des missions en freelance, est-ce qu'on sonne à votre porte pour vous donner un chèque hausse ? Ben non, il faut aller les chercher, tu vois.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc, mois de décembre, pire moment. pour choper des sponsors, j'ai trouvé parce que beaucoup étaient en mode Ah, on est en train de caler le budget marketing, on sait pas encore, nan nan nan. Donc j'étais en mode Merde ! Chier. Donc pas grave en fait. J'ai continué à envoyer des newsletters et j'en ai profité pour mettre en avant mes propres projets, marketing flow, etc. Donc tu vois, ça sert aussi à ça en termes de ROI. Et puis après en fait, je suis arrivé à 4000 abonnés je pense début janvier. Et là, j'ai signé un premier sponsor autre que du coup Shine avec qui j'avais fait un truc long terme pour un one shot. Je me suis rendu compte aussi que c'est dur de vendre un truc hyper long terme. Les gens, ils veulent tester, etc. Et donc là, c'était Hectarea qui permet d'investir dans des terres éco-responsables. Donc moi, c'est cool parce que je dirais que 90% des boîtes qui sponsorisent, c'est des boîtes qui ont un impact positif. Donc, il y a une espèce de cohérence aussi dans ma ligne édito. Et en plus, c'est génial parce que cette newsletter, ça leur a généré plusieurs milliers d'euros d'investissement dans les terres agricoles. Donc, c'était incroyable, trop cool. J'essaie toujours de demander c'est quoi l'impact. Moi, j'essaie de faire un truc hyper gagnant-gagnant en mode, il faut qu'il y ait un héroï parce que, encore une fois, si tu penses long terme, Si la personne juste, elle met un encart, ça ne marche pas. Jamais, elle ne remettra un encart et jamais elle ne paiera. C'est vraiment ce truc de soit tu fais l'autruche et tu es en mode, tant pis, c'est peut-être leur offre, ce n'est pas moi. En fait, on ne bossera plus ensemble. Soit tu te dis, non, attends, qu'est-ce qui n'a pas marché ? On essaie de s'améliorer. Ou peut-être, je vous refais un post-sync-edit non plus. Exactement,

  • Speaker #0

    moi, j'ai toujours un post-mortem avec mes sponsors après les OP pour en savoir plus aussi. Parce que parfois, tu crois que ça n'a pas trop marché. Et puis, en fait, ils sont contents aussi d'autres trucs que tu as faits. Et je pense que c'est important parce qu'aussi, les sponsors demandent, vous avez fait une opération similaire avec un tel ou bidule, comment ça s'est passé ? Donc, tu as l'air con quand même si tu dis, je ne sais pas si ça a été rentabilisé par le sponsor. Ok, cool. Et comment tu fixes tes prix ? Alors, ça, c'est la question qu'on me pose tout le temps.

  • Speaker #1

    bah en gros je pense qu'il y avait du coup guillaume du plan joie qui lui il est lui les full time sur le projet donc en fait il a pu faire une croissance plus grande que moi sur sa newsletter et du coup il allait un peu en éclairant là dessus donc c'est ça qui est cool aussi dans le délire un peu newsletter c'est de se créer un peu des collectifs avec des gens et qui t'échangent les bonnes pratiques lui il avait déjà vendu à 500 balles tu vois des dés des encarts un encart donc moi j'ai commencé à ce prix là à 500 hors taxes avec hectare et à et puis après en fait je me suis rendu compte que je pouvais upsell avec un post-inked in dédié tu vois et ça c'est l'outil que je me suis en fait le truc qui prend du temps c'est pas tant de faire un encart et de créer un post-inked in alors sachant que c'est beaucoup plus rapide de créer un encart parce qu'en gros l'attention des gens tu les as déjà donc il faut présenter l'offre un post-inked in, il faut un hook il faut un angle, il faut un concept intéressant il faut mettre en valeur la personne de manière intéressante et il faut pas être un gros home sandwich parce que sinon les gens ils vont discuter post-inked in donc ça prend plus de temps... mais le truc qui prend le plus de temps c'est de créer la relation de confiance avec le tu vois avec le sponsor et de signer le deal et tout donc en fait quand tu l'as autant essayer de lui vendre plusieurs trucs tu vois et donc le truc qui a été game changer pour moi c'est de freiner l'offre et donc c'est là où tu te rends compte l'importance du marketing et où nous quand je dis ça c'est en fait après je suis passé à 700 euros le posting que dean 700 euros lancard newsletter j'ai dit si vous prenez les deux c'est mille et du coup ça devient irrésistible tueur et un peu un côté à bah oui on prend les deux et du coup je passais de 500 euros à 1000 euros de panier moyen tout le temps. Et donc ça, c'est cool. Et donc là, pour 2025, j'augmente à 750, 750, ça fait 1500 et je mets à 1200 le package des deux, tu vois. Parce que l'audience, elle grossit au fur et à mesure. J'avais 5000, 7000, 8000 abonnés. Là, j'en ai 12000 et puis ça grossit bien. Pareil pour mon profil LinkedIn, tu vois. Donc, c'est comme ça que j'ai monétisé sur la partie sponsoring. Sachant que là, ça devient vraiment ouf les effets cumulés de la putain de prise de parole en ligne. C'est que... Il y a une semaine, je dis, je cherche un sponsor pour décembre. Deux heures plus tard, j'en ai signé deux. Genre deux heures plus tard, ma facture, elle est envoyée. Boum, tu vois. Genre c'est vraiment, c'est assez hallucinant, le côté trot the process, petit à petit et tout machin. Et après, tout se déclenche.

  • Speaker #0

    Ah bah de toute façon, le plus dur, j'allais dire que c'est le premier. Bon, toi, dans ton cas, peut-être que vous aviez déjà bossé ensemble. Ça a été peut-être le deuxième le plus dur. Là, tu as traversé du désert. Mais après, ça se cumule et je suis assez d'accord avec toi. C'est la répétition aussi. C'est pour ça que moi, j'essaye de créer souvent des nouveaux formats de sponsoring ou de brand content pour que des gens avec qui on avait déjà travaillé sur un format me fassent confiance une deuxième fois. Et c'est comme ça que moi, je fais du repeat sponsoring avec des sponsors avec qui je bosse depuis longtemps. Et ça fonctionne très bien. Tu ne t'es pas arrêté au sponsoring, ceci dit, pour monétiser. Tu as donné d'autres idées pour encore plus rajouter à ton chiffre d'affaires. Lesquelles ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense qu'aujourd'hui, j'ai bien conscience que 80% des clients, des membres qui rejoignent Marketing Flow la communauté, c'est des personnes qui sont passées par ma newsletter et je le vois parce que c'est Laura qui organise des démos et souvent ils sont en mode, ah ça fait longtemps que je suis Pierre etc sur LinkedIn, sur sa newsletter donc c'est quand même assez ouf et oui et du coup en fait là je me suis fait une grosse réflexion août, septembre en mode ok je suis Head of Growth Part-Time en freelance depuis 5 ans, je bosse un jour par semaine pour mes clients, je les aide dans leur strata de croissance, je mets en place 5, 6, 7 leviers marketing et si j'en faisais qu'un seul pour plusieurs clients Et du coup, je me suis dit, mais c'est quoi le truc où je m'éclate, j'adore écrire, c'est quoi le truc où il y a de l'impact, c'est remarquable et tout. Et en fait, il y a 4-5 clients que j'ai accompagnés sur les deux dernières années en prise de parole LinkedIn où je les ai fait vraiment exploser des millions de vues, des fois deux sur le CA, des trucs vraiment canons et où moi, je me suis bien marré. Du coup, je me suis dit, vas-y, je vais lancer ça en racontant tout mon processus de réflexion dans la newsletter et je vais mettre un Calendly à la fin. Sachant que le Calendly, c'est en mode, si tu veux bosser avec moi, du coup, tu dois précocher. j'ai un budget de minimum 3000 euros hors taxe et je suis fondateur d'une boîte à impact l'impact positif est au coeur de ma proposition de valeur de mon offre etc donc tu vois très qualifié et je lance le truc et j'ai généré genre 15 calls oh purée c'est énorme mais tu vois en fait ça ça rappelle toujours le truc que j'ai envie de répéter à tous les débuts d'entrepreneurs parce que mais moi aussi j'étais débutant entrepreneur et j'ai fait cette merde c'est arrêter d'essayer de vendre tout de suite créer une putain d'audience apporter de la valeur montrer votre expertise et une fois que vous avez fait ça... parmi ces gens avec qui vous avez créé une relation de confiance etc il ya des gens qui vont avoir des besoins et délais et faites vous rémunérer mais dans ce sens là pas l'inverse sinon tu rames tu rames genre en gros j'ai passé un an tu vois arriver là avec ma newsletter est en fait en un an c'est le côté genre tu réussis du jour au lendemain en mode la boum 15 col en 24 heures mais c'est parce que c'est un an d'avant et puis c'est même pas un an c'est cinq ans et c'est dix ans tu vois mais il faut juste l'avoir en tête pour les gens

  • Speaker #0

    C'est hyper bien de le rappeler. Et c'est bien aussi de rappeler construire ses offres en public. avant de les graver dans le marbre. Parce qu'en fait, c'est ce que tu as fait. En toute transparence, tu as dit, ben voilà, j'ai vu ça, j'ai vu ça comme problème, je pense à ça, donc si vous êtes chaud, go. Et je pense que si tu n'avais pas eu ces résultats-là, tu aurais pu refaire une newsletter après en disant, bon ben voilà, ça n'a pas marché pour x ou y raison, maintenant je pense plutôt à ça et ça aurait marché. Donc c'est hyper intéressant, ta boucle de rétroaction sur tes histoires, enfin sur tes expériences de freelance, elle fonctionne bien aussi pour trouver des clients, donc c'est trop bien. qu'est-ce que tu aurais comme conseil à nous donner si on veut rajouter du revenu parce que du coup ça représente quelle proportion de tes revenus ce qui est issu de la newsletter de la monétisation en fait aujourd'hui je pense que moi j'ai envie d'être

  • Speaker #1

    sur un rythme de deux newsletters par mois minimum et presque maximum c'est à dire qu'en fait si on est à trois c'est cool mais en fait je veux en avoir deux et donc du coup si tu fais le calcul environ 1000-1200 euros par newsletter, moi l'objectif c'est que ce soit toujours plein tu vois ça fait entre 2 et 3 000 par mois et donc sur 12 mois on est entre 20 et 30K donc ouais c'est 30% de mon CA en micro-entreprise du coup là je vais sûrement passer en URL à la fin de l'année prochaine là je frôle le plafond et après écoute c'est top parfait,

  • Speaker #0

    t'as un petit conseil à nous donner sur la monétisation avant qu'on passe au bouquet final à l'épisode final qui va parler justement des side projects que ça a fait naître Ouais,

  • Speaker #1

    et bah ne pas être greedy, tu vois, en gros genre, encore une fois, avant de demander, avant de demander des trucs donnés, et donc en fait, et surtout montrer l'exemple, et donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire je contacte quelqu'un, je lui dis, tu sais quoi, je te mets gratos dans la news, viens on fait un encart. En fait comme ça, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es capable d'avoir des stats de temps d'ouverture, temps de clic, temps de machin, ça ressemble à ça un encart, derrière quand tu vas voir un sponsor, bah en fait tu peux aller voir, tu vois, tu peux avoir des vrais chiffres, puis tu peux aussi adapter ton... ton pricing, dire voilà, c'est 50 euros, 100 euros au début, ce n'est pas très grave, tu vois, mais juste, en fait, tu vas crescendo. Mais toujours, moi, je ne comprends pas les gens qui n'ont pas fait et qui n'ont pas fait et qui vendent, etc. Je trouve ça vraiment cool de se dire, en fait, d'abord, tu as des résultats cools et après, tu vends, quoi.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord avec toi et on a aussi enregistré un épisode hyper complet avec Sébastien Lorbet sur... C'est un dev qui a fait une newsletter qui lui rapporte 150 000 euros par an. et du coup il nous parle aussi de ça comment il va courtiser les bons sponsors, quitte à leur faire pas cher voire même gratos pour avoir des cas clients et pour ensuite attirer tous les autres sponsors parfait alignement stratégique entre vous et je suis tout à fait d'accord parce que ça vous donne de l'expérience aussi et quand on est free on a l'habitude de travailler un petit peu pas complètement gratuitement mais quand on se lance dans un nouveau domaine pour apprendre être payé pour apprendre même si c'est pas payé cher c'est déjà pas mal donc trop cool merci Et ce que je te propose, Pierre, c'est qu'on finisse Cerise sur le gâteau par la notion d'avoir des side projects en freelance. Et la newsletter en fait partie. Tu en as d'autres aussi en cours qui te rapportent de l'argent, de l'apprentissage, plein de choses intéressantes. On en parle dans la fin de l'épisode.

Description

Comment passer de 0 à 10 000 abonnés avec ta newsletter freelance et en faire une source de revenus récurrents ?


Si tu galères à faire décoller ta newsletter ou que tu te demandes comment la monétiser, cet épisode est fait pour toi !


Aujourd’hui, je reçois Pierre Guilbaud, freelance et créateur de newsletters à succès, dont la dernière génère 2000€/mois tout en attirant 80% de ses clients.


Il partage avec toi son parcours, ses galères et surtout ses stratégies pour que ta newsletter passe de centre de coûts à centre de profits !


Au programme :

📌 Pourquoi lancer une newsletter quand on est freelance ?

📌 Comment choisir le bon concept et l’outil adapté ?

📌 Quels sont les secrets pour un lancement réussi ?

📌 Comment faire grossir ta liste email grâce au bouche-à-oreille et aux réseaux sociaux ?

📌 Et surtout : comment monétiser efficacement ta newsletter ?


Un épisode plein de conseils concrets pour booster ta visibilité et tes revenus de freelance ou solopreneur.

💌 Retrouve tous mes conseils solopreneur, mes astuces solopreneur, et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


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Le Board est le podcast pour tout entrepreneur solo, solopreneur, freelance ou indépendant souhaitant développer un solobusiness rentable et scalable et générer des revenus passifs, prévisibles et créer un business en ligne. Le podcast de référence aussi pour les salariés qui veulent lancer un side-business ou démissionner pour se lancer à leur compte. Animé par Flavie Prévot, dirigeante devenue entrepreneur (d’abord en side business puis en solopreneure), chaque épisode te propose des astuces freelance et des conseils business, que tu sois en micro-entreprise, en société, en portage, side entrepreneur ou que tu rêves de devenir digital nomad ou de te lancer dans l’entrepreneuriat. Découvre comment entreprendre en solo, lancer ton solobusiness et atteindre la liberté financière. Que tu sois entrepreneur solo, salarié en side business, ou en quête de diversification freelance, Flavie Prévot t’accompagne avec des invités pour te proposer des épisodes dignes de formations pour solopreneur ou formation pour indépendant, pour que tu apprennes les meilleures stratégies pour créer une entreprise rentable et scalable, ou lancer ton side business. Tu apprendras aussi les meilleures astuces de productivité solopreneur. Le Board, c’est un peu la bible du freelancing, le meilleur coach business si tu es freelance, solopreneur ou indépendant.


Si tu aimes les podcasts business, d’entrepreneuriat ou marketing comme Génération Do it Yourself (Mathieu Stefani), Les rois du scale (Thibaut Louis), J’peux pas j’ai business (Aline Bartoli), Sans permission (Oussama Amar et Yomi Denzel), Tribu Indé (Alexis Minchella), Young Willd and Freelance (Thomas Burbidge), Scalezia, Road to scale (Théo Lion), Marketing Square (Caroline Mignaux), Sans permission (Yomi Denzel et Oussama Amar), Le Board devrait te plaire aussi !


Crédits musicaux :

Ep.4 - Hustlin' - Rick Ross


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement à mon micro pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors n'oublie pas de t'abonner à la newsletter. pour recevoir les bonnes news. Alors, Pierre, on a vu comment faire croître ta newsletter. Donc, c'est trop bien. C'est bien pour la notoriété, l'expertise et tout ça, mais finalement, tu avais déjà un peu atteint tout ça. Tu arrivais à vivre bien ta vie en freelance. Je ne sais pas combien de chiffres d'affaires tu faisais déjà à l'époque.

  • Speaker #1

    C'est simple, l'année dernière j'ai fait 104 CA avec mon activité de freelance. En gros les 250 cas c'était avant de lancer la newsletter.

  • Speaker #0

    Voilà donc finalement tu n'as pas fait ça trop pour le statut et tout ça parce que tu avais déjà du chiffre d'affaires. Mais tu t'es dit je peux quand même monétiser. Monétiser une newsletter ça apporte des revenus complémentaires qui ne dépendent pas de la vente de son temps. Donc là on est complètement dans les problématiques du solopreneur. À quel moment tu as pensé à faire de l'argent avec ta newsletter ? Est-ce que c'était dès le début ? Combien ça t'a rapporté ? Est-ce que tu peux nous raconter un peu quelle a été ta stratégie monétisation sur ce sujet ?

  • Speaker #1

    Carrément. Moi, j'ai monétisé la newsletter avant de la lancer. Donc, j'ai vendu à Shine un package à 6K avant de lancer la news. En gros, en août. donc moi j'ai lancé la news le 8 septembre en août j'étais en mode ok j'ai pris la décision tu vois août mois à chaque fois c'est des temps calmes business temps de cerveau disponible donc là en fait c'est là les moments où je crée à fond et tout du coup là je me dis ok c'est parti je lance le truc et il faut que je trouve un sponsor avant donc en gros j'ai trouvé le sponsor en deux semaines pareil un classique j'ai listé toutes les boîtes c'est qu'il reste au partenariat et tout j'envoyais des messages plein de gens qui répondent pas c'est août plein de gens qui répondent qui disent non et juliette qui était hyper intéressé et du coup elle m'a fait confiance mais encore une fois pas parce que juste je lançais ma newsletter parce que j'avais aussi une présence LinkedIn tu vois on revient toujours à ce truc là c'est à dire que on te prête qu'au riche ouais voilà un peu dans cette idée là mais oui en fait il y avait ce côté je lui ai dit j'aurais 1000 abonnés le jour J quand je vais envoyer un premier newsletter avec Shine en sponsor je vais envoyer une newsletter par semaine Et je vais être à 2000 abonnés à la fin du premier mois, 3000, etc. Et donc, on a fait un truc sur trois mois, 2000 euros par mois. Et elle a dit go.

  • Speaker #0

    Tu avais une audience, mais tu avais aussi un plan précis. Et ça, je pense que ça rassure énormément le sponsor, quoi, par rapport à, tu vois, un peu, je vois la couleur. Ben ouais, est-ce que tu es intéressé ? Et là, tu avais vraiment un plan de bataille, quoi.

  • Speaker #1

    Exactement, exactement. Sachant que Juliette, elle est vraiment trop cool. Et tu vois, elle, elle s'était créé une matrice un peu influence et tout sur Spreadsheet. Et donc, du coup, moi, je pense que j'avais... J'avais dû y aller un peu au culot en mode 2500 balles par mois. Elle m'avait dit, moi, en vrai, quand je mets les stats que tu me dis, je pense que le truc faire serait 2000. J'étais en mode bago, je te fais confiance, tu vois, c'est parti. Donc voilà, c'était trop cool. Donc ça, ça a été le premier sponsor. Ça s'est terminé fin novembre. Et donc là, j'ai fait une petite traversée du désert dans ma tête en mode, c'est bon, je roule sur la vie. Trop bien, trop facile, les sponsors et tout le machin. Ha ha, que des nids ! Que nenni, les sponsors, si tu ne vas pas les chercher par la peau des fesses, franchement, ils ne voient pas la lumière.

  • Speaker #0

    Je me pose la question, on me dit, et donc toi, les sponsors sont venus te voir. Mais je dis,

  • Speaker #1

    mais tu rigoles ou quoi ?

  • Speaker #0

    Avec des chèques, quand vous cherchez des missions en freelance, est-ce qu'on sonne à votre porte pour vous donner un chèque hausse ? Ben non, il faut aller les chercher, tu vois.

  • Speaker #1

    Exactement. Donc, mois de décembre, pire moment. pour choper des sponsors, j'ai trouvé parce que beaucoup étaient en mode Ah, on est en train de caler le budget marketing, on sait pas encore, nan nan nan. Donc j'étais en mode Merde ! Chier. Donc pas grave en fait. J'ai continué à envoyer des newsletters et j'en ai profité pour mettre en avant mes propres projets, marketing flow, etc. Donc tu vois, ça sert aussi à ça en termes de ROI. Et puis après en fait, je suis arrivé à 4000 abonnés je pense début janvier. Et là, j'ai signé un premier sponsor autre que du coup Shine avec qui j'avais fait un truc long terme pour un one shot. Je me suis rendu compte aussi que c'est dur de vendre un truc hyper long terme. Les gens, ils veulent tester, etc. Et donc là, c'était Hectarea qui permet d'investir dans des terres éco-responsables. Donc moi, c'est cool parce que je dirais que 90% des boîtes qui sponsorisent, c'est des boîtes qui ont un impact positif. Donc, il y a une espèce de cohérence aussi dans ma ligne édito. Et en plus, c'est génial parce que cette newsletter, ça leur a généré plusieurs milliers d'euros d'investissement dans les terres agricoles. Donc, c'était incroyable, trop cool. J'essaie toujours de demander c'est quoi l'impact. Moi, j'essaie de faire un truc hyper gagnant-gagnant en mode, il faut qu'il y ait un héroï parce que, encore une fois, si tu penses long terme, Si la personne juste, elle met un encart, ça ne marche pas. Jamais, elle ne remettra un encart et jamais elle ne paiera. C'est vraiment ce truc de soit tu fais l'autruche et tu es en mode, tant pis, c'est peut-être leur offre, ce n'est pas moi. En fait, on ne bossera plus ensemble. Soit tu te dis, non, attends, qu'est-ce qui n'a pas marché ? On essaie de s'améliorer. Ou peut-être, je vous refais un post-sync-edit non plus. Exactement,

  • Speaker #0

    moi, j'ai toujours un post-mortem avec mes sponsors après les OP pour en savoir plus aussi. Parce que parfois, tu crois que ça n'a pas trop marché. Et puis, en fait, ils sont contents aussi d'autres trucs que tu as faits. Et je pense que c'est important parce qu'aussi, les sponsors demandent, vous avez fait une opération similaire avec un tel ou bidule, comment ça s'est passé ? Donc, tu as l'air con quand même si tu dis, je ne sais pas si ça a été rentabilisé par le sponsor. Ok, cool. Et comment tu fixes tes prix ? Alors, ça, c'est la question qu'on me pose tout le temps.

  • Speaker #1

    bah en gros je pense qu'il y avait du coup guillaume du plan joie qui lui il est lui les full time sur le projet donc en fait il a pu faire une croissance plus grande que moi sur sa newsletter et du coup il allait un peu en éclairant là dessus donc c'est ça qui est cool aussi dans le délire un peu newsletter c'est de se créer un peu des collectifs avec des gens et qui t'échangent les bonnes pratiques lui il avait déjà vendu à 500 balles tu vois des dés des encarts un encart donc moi j'ai commencé à ce prix là à 500 hors taxes avec hectare et à et puis après en fait je me suis rendu compte que je pouvais upsell avec un post-inked in dédié tu vois et ça c'est l'outil que je me suis en fait le truc qui prend du temps c'est pas tant de faire un encart et de créer un post-inked in alors sachant que c'est beaucoup plus rapide de créer un encart parce qu'en gros l'attention des gens tu les as déjà donc il faut présenter l'offre un post-inked in, il faut un hook il faut un angle, il faut un concept intéressant il faut mettre en valeur la personne de manière intéressante et il faut pas être un gros home sandwich parce que sinon les gens ils vont discuter post-inked in donc ça prend plus de temps... mais le truc qui prend le plus de temps c'est de créer la relation de confiance avec le tu vois avec le sponsor et de signer le deal et tout donc en fait quand tu l'as autant essayer de lui vendre plusieurs trucs tu vois et donc le truc qui a été game changer pour moi c'est de freiner l'offre et donc c'est là où tu te rends compte l'importance du marketing et où nous quand je dis ça c'est en fait après je suis passé à 700 euros le posting que dean 700 euros lancard newsletter j'ai dit si vous prenez les deux c'est mille et du coup ça devient irrésistible tueur et un peu un côté à bah oui on prend les deux et du coup je passais de 500 euros à 1000 euros de panier moyen tout le temps. Et donc ça, c'est cool. Et donc là, pour 2025, j'augmente à 750, 750, ça fait 1500 et je mets à 1200 le package des deux, tu vois. Parce que l'audience, elle grossit au fur et à mesure. J'avais 5000, 7000, 8000 abonnés. Là, j'en ai 12000 et puis ça grossit bien. Pareil pour mon profil LinkedIn, tu vois. Donc, c'est comme ça que j'ai monétisé sur la partie sponsoring. Sachant que là, ça devient vraiment ouf les effets cumulés de la putain de prise de parole en ligne. C'est que... Il y a une semaine, je dis, je cherche un sponsor pour décembre. Deux heures plus tard, j'en ai signé deux. Genre deux heures plus tard, ma facture, elle est envoyée. Boum, tu vois. Genre c'est vraiment, c'est assez hallucinant, le côté trot the process, petit à petit et tout machin. Et après, tout se déclenche.

  • Speaker #0

    Ah bah de toute façon, le plus dur, j'allais dire que c'est le premier. Bon, toi, dans ton cas, peut-être que vous aviez déjà bossé ensemble. Ça a été peut-être le deuxième le plus dur. Là, tu as traversé du désert. Mais après, ça se cumule et je suis assez d'accord avec toi. C'est la répétition aussi. C'est pour ça que moi, j'essaye de créer souvent des nouveaux formats de sponsoring ou de brand content pour que des gens avec qui on avait déjà travaillé sur un format me fassent confiance une deuxième fois. Et c'est comme ça que moi, je fais du repeat sponsoring avec des sponsors avec qui je bosse depuis longtemps. Et ça fonctionne très bien. Tu ne t'es pas arrêté au sponsoring, ceci dit, pour monétiser. Tu as donné d'autres idées pour encore plus rajouter à ton chiffre d'affaires. Lesquelles ?

  • Speaker #1

    Déjà, je pense qu'aujourd'hui, j'ai bien conscience que 80% des clients, des membres qui rejoignent Marketing Flow la communauté, c'est des personnes qui sont passées par ma newsletter et je le vois parce que c'est Laura qui organise des démos et souvent ils sont en mode, ah ça fait longtemps que je suis Pierre etc sur LinkedIn, sur sa newsletter donc c'est quand même assez ouf et oui et du coup en fait là je me suis fait une grosse réflexion août, septembre en mode ok je suis Head of Growth Part-Time en freelance depuis 5 ans, je bosse un jour par semaine pour mes clients, je les aide dans leur strata de croissance, je mets en place 5, 6, 7 leviers marketing et si j'en faisais qu'un seul pour plusieurs clients Et du coup, je me suis dit, mais c'est quoi le truc où je m'éclate, j'adore écrire, c'est quoi le truc où il y a de l'impact, c'est remarquable et tout. Et en fait, il y a 4-5 clients que j'ai accompagnés sur les deux dernières années en prise de parole LinkedIn où je les ai fait vraiment exploser des millions de vues, des fois deux sur le CA, des trucs vraiment canons et où moi, je me suis bien marré. Du coup, je me suis dit, vas-y, je vais lancer ça en racontant tout mon processus de réflexion dans la newsletter et je vais mettre un Calendly à la fin. Sachant que le Calendly, c'est en mode, si tu veux bosser avec moi, du coup, tu dois précocher. j'ai un budget de minimum 3000 euros hors taxe et je suis fondateur d'une boîte à impact l'impact positif est au coeur de ma proposition de valeur de mon offre etc donc tu vois très qualifié et je lance le truc et j'ai généré genre 15 calls oh purée c'est énorme mais tu vois en fait ça ça rappelle toujours le truc que j'ai envie de répéter à tous les débuts d'entrepreneurs parce que mais moi aussi j'étais débutant entrepreneur et j'ai fait cette merde c'est arrêter d'essayer de vendre tout de suite créer une putain d'audience apporter de la valeur montrer votre expertise et une fois que vous avez fait ça... parmi ces gens avec qui vous avez créé une relation de confiance etc il ya des gens qui vont avoir des besoins et délais et faites vous rémunérer mais dans ce sens là pas l'inverse sinon tu rames tu rames genre en gros j'ai passé un an tu vois arriver là avec ma newsletter est en fait en un an c'est le côté genre tu réussis du jour au lendemain en mode la boum 15 col en 24 heures mais c'est parce que c'est un an d'avant et puis c'est même pas un an c'est cinq ans et c'est dix ans tu vois mais il faut juste l'avoir en tête pour les gens

  • Speaker #0

    C'est hyper bien de le rappeler. Et c'est bien aussi de rappeler construire ses offres en public. avant de les graver dans le marbre. Parce qu'en fait, c'est ce que tu as fait. En toute transparence, tu as dit, ben voilà, j'ai vu ça, j'ai vu ça comme problème, je pense à ça, donc si vous êtes chaud, go. Et je pense que si tu n'avais pas eu ces résultats-là, tu aurais pu refaire une newsletter après en disant, bon ben voilà, ça n'a pas marché pour x ou y raison, maintenant je pense plutôt à ça et ça aurait marché. Donc c'est hyper intéressant, ta boucle de rétroaction sur tes histoires, enfin sur tes expériences de freelance, elle fonctionne bien aussi pour trouver des clients, donc c'est trop bien. qu'est-ce que tu aurais comme conseil à nous donner si on veut rajouter du revenu parce que du coup ça représente quelle proportion de tes revenus ce qui est issu de la newsletter de la monétisation en fait aujourd'hui je pense que moi j'ai envie d'être

  • Speaker #1

    sur un rythme de deux newsletters par mois minimum et presque maximum c'est à dire qu'en fait si on est à trois c'est cool mais en fait je veux en avoir deux et donc du coup si tu fais le calcul environ 1000-1200 euros par newsletter, moi l'objectif c'est que ce soit toujours plein tu vois ça fait entre 2 et 3 000 par mois et donc sur 12 mois on est entre 20 et 30K donc ouais c'est 30% de mon CA en micro-entreprise du coup là je vais sûrement passer en URL à la fin de l'année prochaine là je frôle le plafond et après écoute c'est top parfait,

  • Speaker #0

    t'as un petit conseil à nous donner sur la monétisation avant qu'on passe au bouquet final à l'épisode final qui va parler justement des side projects que ça a fait naître Ouais,

  • Speaker #1

    et bah ne pas être greedy, tu vois, en gros genre, encore une fois, avant de demander, avant de demander des trucs donnés, et donc en fait, et surtout montrer l'exemple, et donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire je contacte quelqu'un, je lui dis, tu sais quoi, je te mets gratos dans la news, viens on fait un encart. En fait comme ça, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es capable d'avoir des stats de temps d'ouverture, temps de clic, temps de machin, ça ressemble à ça un encart, derrière quand tu vas voir un sponsor, bah en fait tu peux aller voir, tu vois, tu peux avoir des vrais chiffres, puis tu peux aussi adapter ton... ton pricing, dire voilà, c'est 50 euros, 100 euros au début, ce n'est pas très grave, tu vois, mais juste, en fait, tu vas crescendo. Mais toujours, moi, je ne comprends pas les gens qui n'ont pas fait et qui n'ont pas fait et qui vendent, etc. Je trouve ça vraiment cool de se dire, en fait, d'abord, tu as des résultats cools et après, tu vends, quoi.

  • Speaker #0

    Je suis d'accord avec toi et on a aussi enregistré un épisode hyper complet avec Sébastien Lorbet sur... C'est un dev qui a fait une newsletter qui lui rapporte 150 000 euros par an. et du coup il nous parle aussi de ça comment il va courtiser les bons sponsors, quitte à leur faire pas cher voire même gratos pour avoir des cas clients et pour ensuite attirer tous les autres sponsors parfait alignement stratégique entre vous et je suis tout à fait d'accord parce que ça vous donne de l'expérience aussi et quand on est free on a l'habitude de travailler un petit peu pas complètement gratuitement mais quand on se lance dans un nouveau domaine pour apprendre être payé pour apprendre même si c'est pas payé cher c'est déjà pas mal donc trop cool merci Et ce que je te propose, Pierre, c'est qu'on finisse Cerise sur le gâteau par la notion d'avoir des side projects en freelance. Et la newsletter en fait partie. Tu en as d'autres aussi en cours qui te rapportent de l'argent, de l'apprentissage, plein de choses intéressantes. On en parle dans la fin de l'épisode.

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