Speaker #0Aujourd'hui, ça fait 4 ans que j'ai lancé mon business, Le Bord. Et après avoir atteint enfin les 300 000 euros de chiffre d'affaires annuel hors taxe sans aucun salarié, j'ai décidé de partager avec toi mon plan d'action et les 49 conseils à copier-coller pour faire la même chose. 49 conseils que tu n'entendras nulle part ailleurs et que tu as juste à suivre à la lettre pour faire passer ton business d'indépendant de 100 000 euros par an à 300 000 euros par an, voire même plus. Tout ça sans avoir besoin d'embaucher un seul salarié. ni mettre de côté ta passion. Alors, ces conseils, ils ont déjà aidé un demi-million de freelances qui écoutent mon podcast, les 6 000 abonnés à ma newsletter hebdomadaire, mais aussi les 300 indépendants qui ont rejoint l'incubateur solopreneur. Alors, on va voir dans un premier temps les 11 conseils qui vont t'aider à développer le bon mindset, le bon état d'esprit, qui te permettra de tenir dans l'aventure du solopreneur et d'avoir aussi la bonne stratégie pour réussir. Ensuite, on va voir comment développer une expertise super pointue. qui va t'aider à générer facilement plus de 150 000 euros de chiffre d'affaires annuel. Ensuite, tu découvriras le levier que j'ai utilisé pour devenir une référence dans ma niche et dépasser les 200 000 euros par an. Puis je t'expliquerai comment j'ai développé ma scalabilité pour pouvoir gagner 300 000 euros par an sans me fatiguer plus. Et enfin, cerise sur le gâteau, comment j'ai construit une communauté qui m'a permis de déléguer des tâches et de transformer mes clients en apporteurs d'affaires pour atteindre et stabiliser ces 300 000 euros par an sans me cramer. Bon alors je te préviens, ça va vite parce que faut que je fasse rentrer tout ça en une mini vidéo. Alors à près de toi, à prendre des notes, c'est parti ! Allez c'est parti pour la première étape, état d'esprit ou mindset. Alors conseil numéro 1, définis ton objectif, ton goal à 5 ans. Pourquoi tu veux scaler ? Pourquoi tu veux dépasser ton plafond de verre ? Est-ce que tu veux plus de revenus ? Est-ce que tu veux plus de liberté ? Deuxième conseil qui en découle, fixe et suis ton objectif financier pour l'année. Utilise pour ça... un prévisionnel, comme par exemple mon solo business plan, qui va t'aider à décomposer cet objectif en un plan d'action pour vérifier le réalisme de ton hypothèse. Troisième étape, sors du salaire mensuel. Arrête de te dire, voilà, je veux gagner le SMIC LinkedIn tous les mois. Non, fixe-toi plutôt des objectifs trimestriels, semestriels, voire même annuels. Quatrième conseil, bloque toutes tes matinées dans ton agenda pour le consacrer à du travail profond, non facturable. Du travail que tu vas faire sur ton propre solo business. tu verras plus tard que ça ne sera pas de trop d'avoir une demi-journée par jour pour mettre en place toutes les étapes qui vont t'amener à 300 000 euros. Le matin, c'est là que tu es le plus frais, que tu as le plus d'idées, que tu as le plus d'énergie. Donc, ce n'est pas du temps que tu dois gâcher à faire des missions clients que de toute façon, tu sauras faire un peu plus tard dans la journée. C'est du temps que tu dois consacrer à développer ton business de façon très stratégique. Cinquième conseil, c'est par travail et capital. Le travail, c'est quand par exemple, tu fais des missions en client, tu factures du temps. Bon, c'est bien, ça te donne un chèque à la fin de ta mission, mais ce n'est pas un travail sur lequel tu vas pouvoir capitaliser. Alors que le capital, c'est construire tes assets, tes actifs de solopreneur qui vont t'aider à gagner de l'argent plusieurs fois derrière. Par exemple, construire un produit scalable, ce genre de choses. Donc, passe du temps à travailler, mais passe aussi du temps à construire tes actifs, à construire ton futur capital de solopreneur. Sixième conseil, fais du sport ou de la marche tous les jours. Je ne suis pas coach sportif, mais je peux juste te dire que... Les journées où je n'en fais pas, ça se sent dans mon état d'esprit, dans mon humeur, mais aussi dans la médiocrité de mes idées. Donc, notre métier de solopreneur du digital est extrêmement sédentaire. On est collé à notre Mac toute la journée. Il faut que tu sortes tailler l'esprit, bouger ton corps, justement pour être en bonne santé, pour pouvoir profiter de ta liberté, mais aussi pour que les idées fraîches arrivent et que tout ça se mette en place dans ton cerveau. Septième conseil, revois régulièrement tes workflows, c'est-à-dire ton process de travail, ta façon de travailler. En fait, là, l'idée… c'est vraiment de prendre ce concept anglo-saxon work smarter, not harder Ça veut dire qu'arrête de travailler plus, de te rajouter de la quantité de travail. Réfléchis plutôt à ton processus de travail, comment tu fais les choses. Par exemple, moi, j'ai revu tout mon workflow de création de contenu, depuis le podcast jusqu'à la publication des posts sur les réseaux sociaux. Grâce à ça, je l'ai rationalisé, j'ai mis de l'intelligence artificielle, j'ai mis de l'aide humaine aussi. Et depuis que j'ai fait ça, j'ai doublé, voire même triplé ma capacité à publier sur les réseaux sociaux en diminuant de 8 à 10 heures mon temps de travail chaque semaine sur mon podcast. Donc pour faire ça, c'est simple. Tu dessines ton process ou tu l'écris et tu regardes où est-ce que tu peux améliorer les choses. Huitième conseil, traque ton temps. Mais traque-le pas seulement pour voir ce que tu vas facturer à tes clients, non. Traque ton temps pour vérifier que tu passes suffisamment de temps sur les objectifs que tu t'es fixé. Par exemple, tu t'es fixé dans l'année l'objectif d'écrire un livre ou de lancer ta chaîne YouTube. combien de temps tu passes chaque semaine à réaliser concrètement les tâches qui vont t'amener à cette publication ou à cette chaîne YouTube. Conseil numéro 9, investis suffisamment de chiffre d'affaires sur toi et sur ton business. Au début, quand tu es freelance, je sais, tu veux tout faire toi-même, tu ne veux pas dépenser un rond, tu es un peu une pinte. et c'est normal, je suis passée par là aussi, tu veux faire tout gratuit pour garder un maximum de marge et te payer. Mais au bout d'un moment, quand tu vas dépasser certains plafonds de chiffre d'affaires, tu n'as pas besoin de tout cet argent, il faut que tu en utilises une partie pour te former toi, pour devenir encore meilleur, viser l'excellence qui va t'amener à 300 000 euros et plus, mais aussi améliorer la façon dont ton business est construit, investir donc dans ton business. Moi, je conseille de consacrer à peu près 20% de ton chiffre d'affaires à ta propre formation, prendre des coachs, des consultants, des gens qui vont t'aider. et je dirais à peu près 10 à 15 de ton chiffre d'affaires pour faire fonctionner ton business avec des logiciels. Alors, je parle de logiciels payants, de publicités en ligne, de freelance qui peuvent t'aider, de coach, de consultant, tout ça. Dixième conseil, fais-toi coacher en finances personnelles. En fait, quand on est solopreneur, on pense beaucoup aux chiffres d'affaires à la trésorerie et parfois, on oublie aussi qu'il y a des optimisations à faire, fiscales ou financières, sur ton propre statut individuel. Et comme généralement les accompagnements sont très segmentés, d'un côté le comptable et de l'autre le banquier qui ne comprend rien à ta vie de solopreneur, il faut vraiment trouver quelqu'un qui peut te coacher sur l'ensemble de tout ça et qui va t'aider à générer du revenu et de la marge sur ton solo business, mais aussi à ce que ça fructifie au niveau personnel. Grâce à ça, tu vas construire un capital à la fois professionnel, mais aussi personnel que tu vas pouvoir faire fructifier et qui va t'aider à durer. Onzième conseil, construis ton écosystème business avec ma méthode des quatre piliers de la scalabilité. Une expertise de niche, un média qui va t'aider à faire monter ta valeur et à la faire connaître, t'amener des clients sur un plateau, un produit scalable et enfin une communauté qui va t'aider à dynamiser tout ça sans te cramer, sans t'épuiser. Bon, la partie mindset, stratégie, état d'esprit, c'est fait. On passe maintenant à la partie expertise pour t'aider à être dans le top 1% des experts de ta niche. Conseil numéro 12, vends de la valeur, ne vends pas ton temps. Il faut absolument que tu sors du TGM. Pour ça, il faut que tu penses livrable, output et non pas input, temps investi dans la mission. Ton client, il s'en fout du temps que tu passes. Ce qu'il veut, c'est une réponse à son problème business. Il veut un résultat. Donc, traduis le temps que tu passes en mission en un livrable intéressant et motivant pour le client et vends ça plutôt que ton TGM. Treizième conseil, hyper spécialise-toi. Pour ça, je te conseille d'avoir une triple spécialisation. Un, une spécialisation sectorielle. Dans quel domaine d'activité tu travailles ? La pétrochimie, l'agriculture ou les sas B2B, FinTech ? Très important de choisir un domaine d'activité pour devenir la référence et faciliter ta prospection. Deuxième niveau de spécialisation, spécialisation fonctionnelle. Donc ça, c'est ton métier. Mais va un petit peu plus loin qu'un intitulé de poste dans un organigramme, comme par exemple directeur marketing. C'est trop large. On ne recrute pas un freelance ou un solopreneur pour mettre dans un organigramme. On te recrute pour une spécialisation hyper technique. Donc... choisis plutôt un sous-domaine, une sous-spécialisation dans l'organigramme, comme par exemple expert de l'acquisition en ligne via les LinkedIn Ads ou encore développeur blockchain sur Solidity. Troisième niveau de spécialisation, ce que j'appelle la spécialisation idéologique. Là, il faut que tu exprimes ta façon de travailler, ta philosophie, ta façon de penser, qu'est-ce qui fonctionnait avant dans ton domaine et qui ne fonctionne plus et qu'est-ce que tu as compris que les autres n'ont pas compris. Donc là, on va vraiment... affirmer un propos, une façon de penser qui va être très clivante. Par exemple, moi, je pense qu'on peut scaler aussi fort qu'une startup, même si on est tout seul et qu'on n'a pas besoin d'embaucher des gens en tant que solopreneur. Et qu'on peut faire un solopreneur à un million, peut-être même à un milliard demain avec l'intelligence artificielle. C'est ça ma façon de voir le monde, ma philosophie. Et c'est aussi ce qui fait que les gens vont choisir mon service plutôt qu'un autre coach en freelance ou solopreneur. Conseil numéro 14, pivote vers une niche fertile. La niche fertile, c'est l'intersection entre une compétence rare, qui est donc valorisée très cher par les clients, parce qu'il y a des barrières à l'entrée. Par exemple, si tu es data scientist, ça coûte plus cher sur le marché de consolider, lire et permettre de visualiser la data que si tu es juste community manager sur Instagram. Troisièmement, qui répond à un problème douloureux des clients. regarde un petit peu ce pourquoi les gens sont prêts à payer cher et tout de suite et tout le temps même quand c'est la crise par exemple trouver des clients par exemple trouver des candidats motivés ou performants et quatrième conseil j'en ai parlé choisi un domaine où il ya le maximum de barrières à l'entrée est ce que tu as un diplôme une certification des formations à suivre ou à passer pour devenir le meilleur dans ce domaine parce que beaucoup de gens sont un peu flémar ils vont se contenter d'aller sur là où il n'y a pas trop de barrières à l'entrée donc Si toi, tu as déjà une espèce de muraille de Chine où tes concurrents ne peuvent pas t'attaquer parce qu'il faut passer tout un tas de certifications, ça va consolider un peu ton monopole et t'aider à être un expert plus rare sur le marché. Quinzième conseil, simplifie tes offres au maximum. Maximum, trois packages, donc trois niveaux d'offres différents avec trois prix, pas plus. Pas d'offres sur mesure, pas de TJM. Pas de sur-devis, etc. Non, simplifie. Une seule offre déclinée en trois packs, avec trois prix, avec trois niveaux de service, pour faciliter la compréhension et faciliter la décision d'achat du client. Ça, c'est capital. Seizième conseil, vise un persona premium. Je vois un nombre incalculable de freelance solopreneurs qui stagnent. Ben oui, forcément, le persona qui cible n'a pas de thune, n'a pas de profondeur de portefeuille, comme je dis, de façon moins familière, ou n'a pas de pouvoir de décision dans l'entreprise. Donc, un moment. Si tu veux scaler, il va falloir aussi monter, premiumiser ton client pour aller sur un marché où il y a quand même plus de liquidités. Exemple, moi, je ne vise pas des freelances qui viennent de se lancer et qui font moins de 10 000 euros de chiffre d'affaires par an. Mon bootcamp, il coûte 6 000 euros, mais il adresse des freelances qui font plus de 100 000 euros par an. Donc, c'est à l'aise. Ils peuvent se le payer. Ils ont ensuite les moyens d'appliquer les conseils que je vais leur donner. 17, propose exclusivement des services packagés avec un prix par livrable. Comme ça, tu arrêtes les devis de 36 pages, les présentations qui ne vont pas se concrétiser, le fait de réinventer la poudre à chaque fois, non. Une fois que tu as compris ta spécialisation, ta niche et ce que veut le client, tu proposes toujours le même service et c'est celui-là que tu vas vendre en majorité. Ça ne t'empêchera pas par ailleurs de temps en temps de facturer des petites choses en plus, mais au moins ça va simplifier 80% de ton temps de travail. 18. Monte tes prix et monte-les fort. Adapte-les à ton nouveau niveau de spécialisation. Tu t'es hyper spécialisé, tu t'es formé, tu as mis des barrières à l'entrée, tu es vraiment le meilleur de ton domaine. Pourquoi tu gardes les mêmes prix qu'il y a deux ans ou trois ans quand tu étais un freelance généraliste ? D'ailleurs, conseil numéro 19, crée-toi une offre high ticket. High ticket, en anglais, ça veut dire gros ticket d'entrée. Pourquoi tu as besoin d'une offre high ticket quand tu vas viser les 300 000 euros ? C'est parce que ça va te permettre d'avoir besoin d'aller prospecter moins de clients pour faire ce chiffre d'affaires. Qu'est-ce qui est plus facile pour faire 300 000 euros ? Avoir 300 clients à 1 000 euros ou 30 clients à 10 000 euros ? La question est vite répondue, comme dirait l'autre, c'est plus facile de prospecter moins de clients, donc c'est bien d'avoir une offre high ticket. Pour ça, il va falloir bouleverser un petit peu certaines de tes barrières mentales. Bon, après, je tiens à préciser que 10 000 euros en B2B, ce n'est pas grand chose. En high ticket, on peut aller même carrément plus loin, 30 000, 40 000, 50 000, 60 000 euros. J'ai vu aussi des contrats annuels chez des freelances ou des solopreneurs à plus de 6 chiffres. Donc là, n'hésite pas à te mettre aussi dans les chaussures de ton prospect B2B premium, qui est ton nouveau client. Merci. qui va te permettre aussi de pricer plus fort et plus haut sur des offres plus premium. Conseil numéro 20, organise ta gamme de produits selon les conseils de Daniel Priestly. Si tu veux en savoir plus, c'est dans ce livre que j'ai trouvé très bien. Alors qu'est-ce qu'il nous dit Daniel ? Il nous dit qu'il faut organiser son offre selon quatre types de produits. Premier produit, gift. Donc un produit gratuit que les gens vont télécharger en échange d'un email. C'est ce qu'on appelle aussi un lead magnet. Il doit être suffisamment quali... pour donner envie de travailler avec toi, mais pas non plus trop complet pour que ça vienne grignoter ou cannibaliser tes produits payants. Deuxième type de produit à avoir, product for prospect, c'est-à-dire le premier produit que les clients vont acheter chez toi. Donc une offre raisonnable en termes de prix, c'est pas là que tu vas mettre l'offre à 10 000 ou 30 000 euros, qui permet de goûter la collaboration avec toi et de se dire waouh, c'est vraiment génial, j'ai envie de plus Troisième niveau d'offre, ta core offer, c'est-à-dire le produit que tu vas vendre le plus. Donc ici, ça va être un produit… un peu plus cher. Par exemple, un abonnement, un retainer, ton offre iTicket. Et enfin, quatrième produit, le product for customers. C'est-à-dire le produit que tu vas vendre au client que tu as déjà signé. Donc, upsell, cross-sell, abonnement, fidélisation. Ça, c'est un produit qui n'est pas sur ta landing page, qui n'est pas sur ta page de vente, dont tu vas parler uniquement au client que tu as déjà eu. Et comme ça, tu vas faire du repeat business avec eux. Très bonne façon de sécuriser et d'augmenter ton chiffre d'affaires sur la durée. Conseil numéro 21, supprime le maximum de temps en jour homme de ta prestation de service. Alors là, c'est l'idée de productiviser tout ce qui peut l'être, c'est-à-dire faire des formulaires pour que le client travaille un petit peu lui-même et t'aide à aller plus vite dans tes prestations, faire des automatisations, créer des templates, des checklists, des process à copier-coller, mettre un peu d'IA aussi où tu peux. avec certains outils qui vont te faire des résumés, qui vont te préparer. C'est très important. Beaucoup de solopreneurs vont chercher le produit scalable qui va les rendre millionnaires, mais ça n'existe pas, ou en tout cas c'est un très très gros boulot. Par contre, faire une prestation de service high ticket avec très peu de temps de jour homme derrière, ça c'est extrêmement rentable et je pense complètement sous-coté chez le solopreneur qui vise 300 000 euros. Conseil 22, crée une méthode signature. Et ensuite, market là. Alors qu'est-ce que c'est une méthode signature ? C'est par exemple ma méthode des 4 piliers de la scalabilité. C'est la mienne, elle est à moi, je l'ai développée depuis 4 ans, je l'ai testée sur plus de 300 alumnis de mon incubateur solopreneur. Et c'est une méthode qui fonctionne, qui fait ma spécificité, qui fait qu'on a envie d'être coachée par moi et pas par quelqu'un d'autre. Et cette méthode-là, je la documente dans mon podcast, dans mes vidéos. sur un livre aussi qui va sortir bientôt de freelance à solopreneur donc voilà trouve ta méthodologie signature et surtout parle-en autour de toi pour faire monter ton niveau d'expertise et pour faire monter ta cote. Conseil 23 crée des cas clients et des études de cas. Il y a plein de modèles qui existent pour faire des bons cas clients mais généralement on regarde, on zoom sur une transformation client qui avait un problème et que tu as aidé à obtenir le résultat rêvé grâce à ta fameuse méthode signature. Donc ça, tu peux en publier sur les réseaux sociaux, sur ton site internet, sur ton blog, dans ta newsletter. Plus tu en publies, plus ça fait monter ta cote aussi, plus ça inspire confiance avec des résultats tangibles. Et c'est ça que les clients veulent, n'oublie pas, c'est du résultat. Ils seront prêts à payer plus cher pour un expert qui obtient du résultat plus vite ou de façon plus certaine. Conseil 24, encore un truc d'américain. Under promise, over deliver. Ça, c'est très important, c'est-à-dire surprendre tes clients. avec des attentions particulières. Donc évidemment, il faut que tu aies une bonne offre, mais il ne faut pas que tu promettes la lune non plus, parce que ça, ça fait trop vendeur de tapis. Vaut mieux que tu dises, écoutez, je ne suis pas sûre qu'on arrivera à atteindre tel objectif, etc. et qu'au final, tu les exploses plutôt que l'inverse. Donc sous-promettre et délivrer au-dessus de ce que tu avais promis. Moi, j'aime bien faire des petites surprises. Par exemple, j'offre des goodies trop sympas à mes alumnis. Je fais des cadeaux aussi un peu de façon aléatoire et je fais toujours un petit truc en plus pour mes clients. Conseil 25, on en a parlé, réévalue et augmente tes prix régulièrement. Pour moi, le pricing n'est pas fixé, il est dynamique. Je viens aussi d'un univers, l'hospitality, où on faisait varier les prix selon l'offre et la demande. Donc ça, ça m'a donné beaucoup d'idées aussi en tant que solopreneur. Donc tes prix ne doivent pas être statiques. Si ton carnet de commandes explose, monte tes prix. Si tu pars en vacances et tu n'as plus qu'une place au lieu de deux places, monte tes prix. Tous les trois mois, monte tes prix aussi. Tant que ça suit niveau demande, c'est dommage de laisser de l'argent sur la table. Conseil numéro 26, pense à la récurrence et à la fidélisation. Upsell, crosssell, nouveaux produits, abonnements, retainer, c'est vraiment des sujets qu'on ne nous apprend pas du tout à faire quand on est au début de notre carrière en freelance et qui sont fondamentaux. Moi aujourd'hui avec l'incubateur solopreneur, j'ai plus de 70% de taux de réabonnement par an. Ça plus les nouveaux clients, c'est bon, je suis tranquille, j'ai sécurisé mon business pour l'avenir. Donc quand tu es déjà au-dessus des 100 000 euros, tu peux commencer à penser. à la fidélisation au lieu de penser à l'acquisition en permanence. Allez, avec tout ça, t'es déjà normalement passé à plus de 150 000 euros de chiffre d'affaires hors taxes annuel. On va regarder comment t'amener aux 200 000 euros. Alors pour t'amener aux 200 000 euros, j'ai besoin de t'embarquer dans la brique média des quatre piliers de la scalabilité. Conseil numéro 27, documente ton aventure en public. Ça s'appelle le Build in Public. Ça va te permettre de parler de cette nouvelle offre que tu vas créer, de... médiatiser les cas clients que tu as créés, de demander l'avis de tes clients aussi sur l'évolution de ton business. Et ça, ça fédère aussi tes clients autour de toi, ça donne confiance, ça donne envie aussi de t'acheter des choses. En fait, ça humanise aussi ton service et surtout, c'est très différenciant par rapport à la plupart des freelancers ou solopreneurs qui ne racontent rien parce qu'ils sont trop débordés en mission client. Et à cause de ça, ils oublient de publier régulièrement des choses qui vont monter le niveau de confiance et donc faire monter ta cote. Conseil numéro 28, gros conseil celui-là, crée ton solo média, mais pas n'importe lequel. Commence pas à me créer une chaîne YouTube pour raconter ta vie de freelance si ça n'intéresse pas tes clients. Il faut que tu crées un média spécialisé sur le problème que tu résous et spécialisé sur la cible que tu veux attirer. Pour ça, il y a la pyramide du média, ça te permet de penser au persona que tu veux viser, au problème qu'il a et de délivrer la valeur adaptée à ce persona et à ce problème. Dans les exemples de solo-médias qui fonctionnent bien, je pense à Eric Seclay, qui est copywriter pour les SaaS B2B. Il a créé un podcast qui s'appelle SaaS Club, dans lequel il interview des founders de SaaS. Et il attire du coup ainsi une audience de founders de SaaS, qui s'avèrent être les personas qui achètent ses prestations de freelance B2B. Un média, ça peut être une newsletter, un podcast, une chaîne YouTube, poster des trucs sur LinkedIn, ce que tu veux. J'y consacre un chapitre. entier dans ma formation d'incubateur solopreneur. Donc voilà, tu sais où trouver plus d'informations si le sujet média t'intéresse. Conseil numéro 29, donc, intègre la création de médias dans ton agenda comme un nom négociable. C'est pas, si j'ai le temps après ma mission client, je ferai un poste LinkedIn. Non, parce que si tu fais ça, tu retombes dans tes travers de freelance à moins de 100 000 euros. Donc, si à chaque fois que tu es en mission, tu prends plus le temps de publier, personne ne va te voir. Ça ne fera pas monter le niveau de confiance. Donc, attention, l'activité médiatique, elle est prioritaire. parce que c'est elle qui va te permettre de trouver des clients plus premium, de monter tes prix et de travailler moins en gagnant plus. Donc soyons sérieux maintenant, on consacre minimum, je ne sais pas moi, 30 minutes par jour à son activité média, écrire un post LinkedIn ou écrire sa newsletter. Trentième conseil, donc, crée un workflow. Alors attention, je vais utiliser plein d'anglicismes, désolée, mais en français c'est hyper moche. Crée un workflow pour re-purposer... contenu, c'est-à-dire créer un process qui fait qu'une fois que tu as publié ton média principal, épisode de podcast par exemple ou épisode de newsletter, tu vas mettre ce contenu dans une petite machine constituée en partie d'intelligence artificielle qui va décliner et recycler ce contenu pour différents réseaux sociaux. Comme ça, tu arrêtes de passer mille ans à poster sur Instagram, TikTok, YouTube, etc. Non ! Tu consacres du temps à ton média principal et ensuite tu le cascades grâce aux intelligences artificielles sur les autres réseaux sociaux. C'est ce qu'on appelle la cascade de contenu et ça c'est possible si tu passes du temps à avoir ton solo média bien pensé au départ. Conseil numéro 31, trouve des partenaires et crée des collabs autour de ton média. Alors pour que ton média soit lu, vu, entendu, écouté, généralement il faut passer dans d'autres médias qui ont les mêmes cibles que toi. Par exemple, moi, je vais me faire inviter dans d'autres podcasts qui parlent de freelancing. Il y a des freelances qui vont m'écouter, qui vont dire Ah, le board, c'est cool, je ne connaissais pas, moi, je vais l'écouter. C'est peut-être comme ça que tu m'as découverte aussi. Donc, toi, c'est pareil. Si tu as un média sur une industrie particulière, regarde les autres médias dans cette industrie ou pour ces personas et essaye de passer chez eux, de te faire interviewer, d'aller animer un webinar dans un club, entreprise qui parle de ce sujet, etc. Avoir un partenaire, ça va te rendre aussi encore plus crédible. Imagine-moi quand j'ai des sponsors qui sont parmi les... plus gros nom du freelancing en France, les gens se disent Ah ouais, ok, le board, c'est pas n'importe quoi, c'est pas que des conneries, c'est quand même, ça pèse. Voilà, donc ça sert à ça aussi, le partenariat, à augmenter la jauge de confiance que tes clients vont mettre en toi. Conseil numéro 32. Attention, philosophie. Avec ton activité dite médiatique, c'est-à-dire comment tu prends la parole en ligne, n'essaye pas de vendre tes produits. Essaye plutôt de créer un mouvement. Par exemple, moi, j'essaye pas de vendre... l'incubateur solopreneur. Ce que j'essaye de créer, c'est un mouvement de liberté au travail, qu'on se sente vraiment libre, qu'on puisse quitter son job, faire ce qu'on veut, avoir le temps pour aller surfer et quand même gagner de l'argent pour ne pas être précaire. Et parce que les gens vont adhérer à ce mouvement, alors bien sûr, l'incubateur solopreneur va être une des solutions pour eux, parmi d'autres, d'accord ? Donc j'en reviens à ta philosophie du début dans ta spécialisation. Quel est le message principal que tu as envie de faire passer à tes clients ? Qu'est-ce qui va changer dans leur vie s'ils bossent avec toi ? C'est peut-être comme ça que tu vas trouver ton idée de mouvement. Et en faisant ça, tu vas engager encore beaucoup plus de monde que si tu donnes juste des conseils pratiques sur ton domaine d'activité. Conseil numéro 33, fais ta starlette. Alors, c'est quoi ça la starlette ? C'est comme les gens qui sortent un film ou un bouquin. Ils ne vont pas créer une chaîne de télé pour en parler. Ils vont passer sur tous les plateaux TV pour faire la promo de leur bouquin ou de leur film. C'est pareil pour toi. Si tu n'as pas le temps de créer un média, même si tu en as un d'ailleurs, tu peux faire ça. essaye d'intervenir sur ton domaine de spécialisation, sur ta niche fertile, dans d'autres médias qui parlent de ça à tes personnages. Comme ça, tu vas faire ta starlette, tu vas passer de tapis rouge en tapis rouge, les gens vont te connaître, ça va faire augmenter encore ta jauge de notoriété et d'expertise. Bon, avec tout ça, normalement, on a dépassé largement les 200 000 euros de chiffre d'affaires par an. Il est temps que je te donne les deux dernières briques pour passer de 200 à 300 000 euros. C'est parti ! Allez, on attaque la brique produit, donc le troisième pilier de la scalabilité et le conseil numéro 34. Conseil numéro 34, crée un produit scalable pour tes clients. Alors qu'est-ce que c'est un produit scalable ? Eh bien, c'est tout simplement un produit, tu vas passer un peu de temps à le construire, mais après, plus tu vas le vendre, moins tu vas travailler. Donc, il y a différents niveaux de scalabilité. Je ne te demande pas tout de suite de penser à créer un SaaS, un logiciel. Ça, c'est le niveau maximal de scalabilité, on n'y arrivera pas tous. Ça peut être une conférence où tu vends ton temps beaucoup plus cher. Tu vends ta conférence 5 000 euros au lieu de vendre ta journée à 1 000 euros. Donc, c'est un début de produit scalable parce que tu as passé quelques jours à créer ta conférence. Et ce temps-là, tu n'as plus besoin de repasser du temps à chaque fois que tu animes ta conférence. Après, c'est du par cœur et tu as juste le temps horaire de quand tu vas l'animer. Mais tu vois, en fait, tu gagnes du temps par rapport à recréer une conférence ou une formation from scratch en partant de zéro pour des clients à chaque fois. Donc, voilà. Commence par quelque chose de semi-scalable et après tu vas voir, on va améliorer le degré de scalabilité de ton produit. D'ailleurs, c'est mon conseil numéro 35. Choisis un business model scalable pour ton solo business. Et ça, tu peux y penser dès maintenant. C'est-à-dire par exemple, je vends mon temps à la journée en tant que consultant stratégique sur mesure. Ce n'est pas scalable. Si je veux gagner plus, il faut que je travaille plus. Moi, j'ai choisi le business model de l'infoprenariat digital. C'est-à-dire que mes compétences, je vais les transformer en formation, en ligne, en bootcamp et en une communauté en ligne payante. Et ça, c'est très scalable parce que le temps que j'ai passé à mettre mes compétences en vidéo, ça me prend plusieurs journées, plusieurs semaines. Mais après, c'est fait. Et après, je n'ai plus qu'à faire un effort commercial pour qu'il y ait plus de personnes qui rejoignent la formation ou le membership. Et là, ça scale. Conseil numéro 30. Et ça, ce n'est pas évident quand tu ne viens pas de cet univers du business en ligne. Construis un funnel de vente pour vendre tes produits digitaux. En fait, il y a des techniques bien spécifiques pour vendre une formation en ligne, pour vendre un logiciel ou pour vendre des conférences. Et donc, ce funnel, cet entonnoir de vente, il va falloir que tu le construises. Tu vas voir que ça sous-entend de créer plusieurs outils qui vont t'aider étape par étape à transformer tes prospects en prospects chauds, puis en clients potentiels, puis en clients, puis en clients répétés, selon, du coup... l'entonnoir de vente ou le funnel de vente. Et ce capital va t'aider à vendre tes produits et donc à augmenter ton chiffre d'affaires. Alors justement, une des étapes clés dans ton funnel de vente, conseil 37, c'est le lead magnet, l'aimant à lead, l'aimant à client, ou plutôt à prospect. C'est un document, une vidéo, une ressource gratuite que tu vas offrir à ton client cible en échange de son email. Donc ça, ça va te permettre de collecter des emails hyper qualifiés de clients. que tu voudrais avoir en échange d'un document qui aura de la valeur pour eux. Et après, avec ces adresses e-mail, tu vas pouvoir faire des choses. Ils vont rentrer dans ton funnel justement et tu vas pouvoir les travailler au corps jusqu'à ce qu'ils aient envie d'acheter ta solution. Conseil numéro 38, organise un webinar pour vendre ton produit. Alors oui, je sais, le webinar, ça ne fait pas rêver. Il y a beaucoup de monde qui trouve ça chiant, mais pourtant... Pourtant, moi qui suis une ancienne directrice commerciale B2B, j'ai tout testé pour vendre tout un tas de trucs. Le webinar, le live ou appelle ça comme tu veux la masterclass, c'est vraiment la façon la plus puissante de vendre un produit à quelqu'un parce que c'est en direct, parce que c'est incarné et parce que c'est scripté pour donner aussi envie aux gens d'acheter. Donc, je sais que ça te fait peur, mais si tu veux passer de 100 000 à 300 000 euros, ça va faire partie des choses qui vont t'aider aussi à trouver rapidement ton marché, notamment pour tes premiers lancements de produits. Car avant que ça soit complètement automatisé, evergreen et passif, est-ce que ça existe déjà ça ? Je ne suis pas sûre. Au début, il va falloir donner de ta personne pour que ton produit Scalab se vende. Conseil numéro 39, avoir un bon CRM. Ah ouais, je sais, le CRM, ça fait chier. On dirait un truc d'entreprise classique, B2B. Et pendant longtemps, moi, je n'en ai pas eu parce que, je ne sais pas, je me remettais un peu au lead qui tombait comme ça pour mon activité de freelance. Mais tu es d'accord que si tu veux appliquer les techniques qu'on a vues précédemment, notamment la fidélisation. Tu as besoin de garder une trace des clients qui sont passés par toi et que tu pourrais upseller ou crossseller. Et bien sûr, si tu vends des produits digitaux, selon les quatre gammes de produits qu'on a vus tout à l'heure, tu vas aussi avoir besoin de leur envoyer des mails pour leur donner envie d'acheter tel ou tel produit. Donc pour ça, je te conseille d'avoir soit un CRM, soit un outil d'email marketing en béton. Et pour ça, fais vraiment attention à faire une bonne segmentation, c'est-à-dire étiqueter tes clients. en fonction de leur comportement d'achat, du contenu qu'ils ont consommé. Voilà, donc c'est pareil, c'est un peu pénible de mettre ça en place, mais une fois que tu l'auras, ça va énormément t'accélérer tes ventes. Conseil numéro 40, pour finir, automatise tout ce que tu peux. Donc un peu pareil qu'avec la prestation de service, tu vas lancer une première version de ton produit qui est semi-scalable, et à partir du moment où ça trouve son marché, où tu es sûr que tu as le bon produit, avec la bonne offre, le bon prix, le bon persona, ben là, go pour automatiser, pour productiviser. Donc... Voilà, moi, maintenant que j'ai fait plusieurs lancements de bootcamp ou d'incubateur, tout ça, j'ai des process, j'ai des checklists, j'ai plus qu'à copier-coller les choses que j'ai faites avant qui ont marché, et ça va remarcher. Voilà, donc ça aussi, ça fait partie du scale. Une fois que tu as quelque chose qui marche, tu essayes de diminuer le nombre d'heures travaillées dessus. Là, ça ne te fera pas gagner plus d'argent, ça te fera juste économiser du temps, donc ça va rendre ton produit encore plus rentable. Bon, avec tout ça, normalement, tu peux déjà arriver aux 300 000 euros en solo par an. C'est ce que j'ai fait en tout cas cette année. Et tu es prêt donc pour la dernière étape, qui est celle qui va te permettre d'atteindre ces 300 000 euros, et même plus, mais surtout de ne pas finir en burn-out. Parce qu'avec tous les conseils que je t'ai donnés, si tu les appliques tout seul dans ton coin, c'est l'autoroute vers le burn-out assuré. Moi, je ne veux pas que tu finisses complètement cramé, je veux que tu profites aussi de ta liberté. C'est à ça que ça sert d'être solopreneur. Donc c'est parti pour les derniers conseils qui concernent la communauté, le quatrième pilier de la scalabilité. Alors ce quatrième pilier est complètement sous-coté par les solopreneurs. Solopreneur, ça veut dire ne pas avoir d'employé pour ne pas devenir un manager, passer sa vie en réunion de performance, en entretien de performance ou en entretien annuel d'appréciation. Mais ça ne veut pas dire faire tout tout seul. Alors conseil numéro 41. Si tu veux te faire aider par les autres, t'entourer avec des freelances qui vont t'aider, il faut que tu documentes tous tes process de façon écrite. ou avec des vidéos Loom, par exemple. Moi, j'utilise Notion. Et ça s'appelle des SOP, Standard Operation Procedures. Donc, ça veut dire que pour chaque truc que tu fais toi-même, tu vas écrire le process pour que quelqu'un d'autre puisse le faire à ta place. Par exemple, comment je monte un podcast, le board ? Je vais dire étape 1, je fais ça. Étape 2, je fais ça, etc. Donc, ça prend du temps au début, mais derrière, ça va te faire gagner des journées, voire même des mois entiers de travail. Conseil 42, recrute un assistant virtuel. Un ou une d'ailleurs. C'est vraiment un poste génial parce que c'est un poste qui va t'aider à faire tout le back office. En fait, ce que tu veux, c'est toi qui va définir en fait les missions que tu lui donnes. Moi, mon conseil, c'est commence petit pour voir si vous travaillez bien ensemble avant ensuite d'augmenter la cadence. Par exemple, cette année, pour atteindre les 300 000 euros, j'avais 10 heures d'assistance virtuelle par mois. J'ai travaillé avec Ambre, on a super bien bossé ensemble. Je suis hyper contente de notre collaboration. Mais tu vois, 10 heures, ce n'est pas non plus énorme. Et pourtant, 10 heures... Ça a été hyper précieux. Ça m'a permis, moi, de consacrer du temps à d'autres projets. Conseil 43, crée un espace pour que tes clients se rencontrent. Ça, c'est ce qu'on appelle la communauté. On a déjà ton audience sur les réseaux sociaux, donc toi qui parles à tes clients, mais ils ne peuvent pas se parler entre eux. La communauté, c'est un niveau supérieur encore. C'est quelque chose qui va donner envie aux clients de rester aussi dans ton écosystème business et de produits parce qu'ils vont rencontrer des pairs, ils vont rencontrer des potes potentiellement. Par exemple, tu peux organiser des dîners ou des déjeuners avec des décideurs dans ta nuit. Moi, j'ai organisé des séjours surf, solopreneur, et c'était génial. On a rencontré des potes pour la vie. Et l'incubateur solopreneur, c'est un peu ça aussi. C'est le café du vendredi avec des copains qui sont comme nous, qui ont les mêmes problèmes que nous. Donc, c'est hyper puissant. Et la communauté, elle va te permettre de fidéliser, mais aussi, parfois, elle va répondre aux questions de tes clients sans que tu aies besoin d'intervenir. Donc, c'est une part. C'est une façon de scaler un tout petit peu, c'est-à-dire que c'est tes clients qui répondent aux questions des autres clients. Je sais qu'il y a des boîtes qui ont systématisé ça, comme par exemple des SaaS, des logiciels qui organisent des webinars animés par des clients qui montrent comment ils utilisent des logiciels. Conseil 44, transforme tes clients en ambassadeurs, voire même en apporteurs d'affaires. Ça c'est très important, c'est la fin du cycle AARRR, donc la partie référale. C'est-à-dire, une fois que les clients ont acheté ton produit, est-ce qu'ils pourraient te recommander ? Et si oui, comment ? Il y a des façons aussi d'encourager ça. Déjà en demandant aux gens des recommandations, de poster sur les réseaux sociaux ou quoi. Mais tu peux aussi leur offrir des cadeaux, comme par exemple de l'affiliation. Moi, dans le bord, j'offre des goodies, des casquettes, des trucs un peu cools que tu peux avoir que si t'es client et que si tu m'as recommandé un autre solopreneur ou freelance. Conseil 45, puisqu'on parle de l'affiliation, négocie des tarifs ou des codes affiliés, justement. avec les outils que tu utilises au quotidien. Parce que si tu fais 300 000 euros de chiffre d'affaires par an, je pense que tu as une grosse facture déjà en logiciel en tout genre. En tout cas, moi, c'est mon cas. Donc, tu peux faire des partenariats avec ces gens-là. Tu peux, par exemple, générer des revenus passifs en installant ces logiciels chez tes clients. C'est le cas, par exemple, si tu fais du B2B et que tu bosses sur des gros sujets comme des CRM ou des logiciels comptables. Donc voilà, une façon de gagner de l'argent passivement ou d'économiser sur tes factures. Conseil 46. collecte et médiatise des avis clients. C'est ce qu'on appelle la preuve sociale. Je vois beaucoup trop de freelances qui oublient ça complètement d'obtenir des recommandations écrites de la preuve sociale que leur méthode signature fonctionne. Et ça, il faut vraiment le faire rapidement. Ouvre un Trustpilot, un Google My Business, ce que tu veux. Mets tes testimonials, donc tes témoignages clients à un endroit proche de l'appel à l'action pour faire appel à tes services. Et surtout, faisant la publicité sur ton Instagram, sur ton LinkedIn, etc.... pour montrer que les clients apprécient de travailler avec toi. Donc là, tu vois, on utilise aussi la force de la communauté pour qu'au lieu que ce soit toi qui ait besoin de dire Regardez comme je suis génial ou Comme mes produits sont géniaux ben non, pouf, pouf, pouf, on affiche des avis clients qui ont beaucoup plus de valeur en plus que si c'est le mec qui a créé le produit qui dit que son produit est génial. Conseil 47, connecte-toi avec des pairs influents dans ton domaine d'activité, dans ton secteur. Rejoins une communauté ou rejoins un mastermind, un peu comme finalement l'incubateur solopreneur, mais... Tu vois, il y en a plein. Peut-être qu'il y en a des spécialisés dans ton domaine d'activité. Je ne sais pas si tu es développeur, si tu es data analyst ou que sais-je. Parce qu'en gros, grâce à tes pairs, grâce à tes buddies, tu vas énormément développer tes compétences, tes idées, ta créativité. Ils vont te donner des idées incroyables pour accélérer ton business. Moi, par exemple, j'ai créé l'incubateur solopreneur pour ça. Mais je suis aussi dans un mastermind de créateur de contenu américain. où tu vois je paye 4000 dollars pour deux séances d'une demi-heure et l'abonnement à une communauté, mais ça a tellement de valeur, chaque poste que je vais lire, chaque conseil que je vais avoir va me faire gagner un, deux, trois ans dans mon business si ça se trouve. Bon voilà, avec tout ça, tu as de quoi scaler, mais surtout en t'économisant finalement, en utilisant les autres aussi pour t'aider et pas finir complètement cramé. Mais il nous reste deux conseils pour finir et pour aller encore plus loin sur la route de la scalabilité. Bon, ces deux conseils, tu t'en doutes peut-être. Conseil numéro 48, écoute le board tous les jours. Ce podcast, cette chaîne YouTube, je l'anime depuis 4 ans avec des conseils pour t'aider à scaler. Donc voilà, je n'ai pas le temps en une vidéo de te donner tous les conseils qu'on m'a donné ou que j'ai donné depuis 4 ans, mais vraiment, je t'assure, c'est de l'or en barre pour toi si tu cherches à scaler ton activité de freelance. Donc n'hésite pas, c'est gratuit. Il y en a tous les jours sur YouTube ou en podcast ou même en newsletter tous les vendredis. Et conseil numéro 49, rejoins mon bootcamp de l'incubateur solopreneur. parce que si tu as tenu jusqu'à la fin de cette vidéo, c'est que tu as exactement le profil des gens que je recherche pour constituer ma future promo pour l'incubateur solopreneur version bootcamp. Donc ça, c'est un programme de coaching intensif et illimité avec moi pendant trois mois pour t'aider à passer du freelance qui vend son temps au solopreneur scalable. C'est réservé aux freelances qui font plus de 100 000 euros chiffre d'affaires et ça se passe tous les trimestres. Je ne prends que 12 personnes pour pouvoir m'en occuper personnellement. Bon voilà, donc tu as découvert les 49 conseils qui, si tu les appliques à la lettre, vont te permettre de passer de 100 000 à 300 000 euros de chiffre d'affaires annuel, voire même plus. Bon malheureusement, si tu appliques ça tout seul dans ton coin, tu risques de limiter tes chances d'y arriver. Pourquoi ? Parce que tu manqueras de feedback, parce que parfois tu ne prendras peut-être pas les bonnes décisions, parce que tu manqueras d'entourage aussi, de gens comme toi, au même niveau que toi, voire même au-dessus pour te tirer vers le haut, et surtout parce que tu risques de t'épuiser à... appliquer les 49 conseils, alors que si ça se trouve, il y en a 3, 4, 5 qui sont hyper pertinents pour toi et ce serait ceux-là sur lesquels il faudrait accélérer. C'est justement pour t'éviter cette frustration que j'ai créé le bootcamp de l'incubateur solopreneur. C'est un bootcamp de 3 mois qui va t'aider à passer du freelance qui vend son temps et qui s'épuise ou qui s'ennuie au solopreneur scalable, qui génère des revenus réguliers, prévisibles, voire même automatiques. Et tout ça sans t'épuiser. Au cours de ces 3 mois, tu vas avoir accès à un coaching illimité avec moi pendant... 90 jours. Deux séances de coaching privé avec moi en visio pour me poser toutes tes questions. Six lives de deux heures complètement privées avec la promo que j'organise personnellement. Un groupe WhatsApp de Mastermind avec les autres participants de la promo. Quatre office hours à choisir parmi les 50 experts que j'ai sélectionnés pour t'aider dans ta croissance en tant que solopreneur. Et là, tu verras, il y a des thématiques ultra pointues. Par exemple, je ne sais pas, sur le marketing, les finances ou encore comment lancer sa chaîne YouTube ou poster sur LinkedIn, comment construire son funnel de vente, tout ce dont tu as besoin, tu le trouveras dans les experts du board. Et en bonus, tu auras accès 365 jours à l'incubateur solopreneur avec les lives, la communauté, les formations, etc. Mais attention, pour obtenir de tels résultats pour mes membres, je suis obligée de limiter la taille des promos parce que je m'occupe individuellement de chacun d'entre vous, c'est-à-dire qu'il n'y a pas plus de 12 personnes par temps. trimestre qui peuvent suivre ce Bootcamp. Et oui, ça fait 36 places par an seulement, pas une de plus. Donc j'espère qu'à l'heure où tu regardes cette vidéo, les places ne sont pas déjà prises. Sinon, je t'invite vraiment à déposer ta candidature pour le prochain Bootcamp. Je te mets le lien dans la description de la vidéo.