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Le journal d’une agoraphobe

Les Quatre Accords Toltèques : ce livre a changé ma façon de penser

Les Quatre Accords Toltèques : ce livre a changé ma façon de penser

10min |21/07/2025
Play
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10min |21/07/2025
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Description

Et si la liberté intérieure commençait par quatre petits accords avec soi-même ?

Sujet de l’épisode
Aujourd’hui, je vous parle d’un best-seller mondial : Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz. Derrière ses 9 millions d’exemplaires vendus se cache une philosophie simple, mais terriblement puissante, qui peut transformer notre rapport à nous-mêmes et aux autres.

Pourquoi c’est important ?
Parce que nos pensées, nos mots et nos suppositions entretiennent souvent notre anxiété sans qu’on s’en rende compte. En appliquant ces accords — parole impeccable, ne rien prendre personnellement, éviter les suppositions, faire de son mieux — on ne guérit pas l’anxiété, mais on apprend à la vivre autrement : plus libre, plus légère, moins enfermante. Et croyez-moi, ça change tout.

Ressources mentionnées

  • Les quatre accords toltèques – Don Miguel Ruiz

Soutenir gratuitement ce podcast
Si cet épisode vous a inspiré, pensez à le noter, à laisser un commentaire et à vous abonner. Ça aide énormément à faire grandir ce podcast et à continuer à briser les tabous autour de l’anxiété.
Et vous, lequel des quatre accords résonne le plus avec votre vie aujourd’hui ? Dites-le-moi, j’adorerais vous lire !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du Journal d'une agoraphobe. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience peut offrir quelques pistes à certains d'entre vous et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore trop de personnes, alors mission accomplie. Le troisième livre que je vais vous présenter, dans le cadre de notre cycle de lecture estivale, est « Les quatre accords de Toltèques » de Don Miguel Ruiz. Un livre vendu à plus de 9 millions d'exemplaires dans le monde. En ce qui concerne le développement personnel, si vous écoutez des podcasts, je ne connais aucun podcast qui ne cite pas au moins une fois ce livre, si ce n'est plusieurs fois. Si vous aussi, vous écoutez des podcasts de développement personnel, n'hésitez pas à me dire si ce constat est juste. Je serai ravie de vous lire. 9 millions d'exemplaires. Vous imaginez donc bien qu'il y a des raisons à cela. Mais avant, pour les personnes qui ne font pas partie de ces 9 millions, un petit résumé : Les 4 accords de Toltèques présentent une philosophie de vie basée sur la sagesse ancestrale Toltèques visant à nous libérer des croyances limitantes qui nous font souffrir. Le concept central de Don Miguel Ruiz explique que nous vivons dans un rêve collectif fait de règles et de croyances apprises depuis l'enfance qui créent souvent de la souffrance inutile. Les Toltèques étaient des hommes et des femmes de connaissance qui cherchaient la liberté personnelle à travers la maîtrise de soi. Les quatre accords fondamentaux sont, premier accord, que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole avec intégrité. Ne dites que ce que vous pensez vraiment. Évitez de médire, de vous critiquer ou de critiquer autrui. La parole est un outil de création ou de destruction. Elle peut libérer ou empoisonner. Deuxième accord. N'en faites jamais une affaire personnelle. Ce que les autres disent ou font n'est qu'une projection de leur propre réalité. Quand vous ne prenez rien personnellement, vous devenez immunisé contre les opinions et actions d'autrui. Source majeure de souffrance. Troisième accord, ne faites pas de suppositions. Avoir le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement pour éviter les malentendus, drames et tristesses inutiles. Quatrième accord, faites toujours de votre mieux. Votre mieux varie selon les circonstances, mais en donnant toujours le meilleur de vous-même selon vos capacités du moment, vous évitez les regrets et l'auto-jugement. La mise en place de ces quatre accords vise un objectif de transformation qui est de briser les accords toxiques que nous avons inculqués consciemment acceptés depuis notre enfance et qui nous limitent. En les appliquant, nous pouvons retrouver notre liberté personnelle et créer notre propre rêve, basé sur autre chose que la peur. Le livre propose une approche pratique pour se libérer du conditionnement mental et vivre une vie plus authentique et épanouissante. Je n'ai pas choisi de vous présenter ce livre parce qu'il est vendu à plus de 9 millions d'exemplaires. je l'ai plutôt choisi pour l'impact qu'il peut avoir sur nous, anxieux. Tout d'abord, la parole impeccable. Je vais être tout à fait honnête. Au départ, c'est un véritable effort. Mais une fois ce cas passé, peut-être que je vais enfoncer une porte ouverte pour un certain nombre d'entre vous, mais ça fait un bien fou. Avant ce livre, j'avais tendance, sans m'en rendre compte, à m'embourber dans une rhétorique négative du type « ça va être chiant » . Lui, de toute façon, il n'est jamais content. Elle, elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires. Très drôle d'ailleurs, quand je pensais que elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires, parce qu'à l'époque, j'étais tellement pleine de préjugés que la première à avoir un jugement sur les autres et à m'occuper de ce qui ne me regardait pas, c'était moi. Au travers de ces jugements, de ces mots, en fait, c'est moi que je jugeais. Arrêter cela a été pour moi extrêmement libérateur, non seulement pour moi, mais également pour mon entourage. Pourquoi se mêle-t-elle de ce qui ne la regarde pas ? L'intention de base n'est pas forcément mauvaise. Régulièrement, il y a une anxiété derrière, par exemple, ou un manque de confiance en soi qui fait que critiquer nous fait exister. Quand on comprend ça, on brise des chaînes auxquelles on était enchainées depuis des années. On se sent plus libre, on respire. Cela ne supprime bien évidemment pas votre anxiété, mais vous la vivez autrement. J'ose même dire. que vous la vivez de manière plus constructive. Deuxième accord, n'en faites jamais une affaire personnelle. Alors ça aussi, c'est très puissant. On prend pour nous des choses qui ne nous appartiennent pas et on tourne en boucle. Par exemple, si votre belle-mère vous dit qu'elle trouve laxiste la manière dont vous venez de réagir avec votre fille et que vous prenez ça pour vous, ça va dans un premier temps générer de la tension avec elle. Parce que soyons honnêtes, quelles sont les probabilités pour que vous n'essayiez pas de vous justifier ? Faible, on est d'accord. Et là commence la descente aux enfers. Le sujet n'est même plus l'enfant, mais qui a raison ou qui a tort ? Tout le monde est sur la défensive, comme sur ses positions. Rien de bien constructif. Votre belle-mère a le droit de penser qu'à cet instant T, vous avez été laxiste avec votre enfant. Peut-être que vous avez été laxiste ou pas, ce n'est pas le problème. Entendez ce qu'elle vous a dit. Ne le prenez pas comme un jugement, mais comme une série de mots qu'elle vient de vous dire. Si ces mots résonnent en vous et génèrent une émotion désagréable, il faut questionner cette émotion, et non pas la belle-mère. Vous pensez qu'elle est raison que vous avez été laxiste, forte de cette information ? Même si elle a résonné comme un jugement dans un premier temps, vous ferez mieux la prochaine fois avec votre enfant. Si vous pensez que vous n'avez pas été laxiste. et que vous savez exactement pourquoi vous venez de réagir comme cela avec votre enfant, eh bien, ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire. Parce qu'il est fort probable que vous ne tombiez pas d'accord sur le sujet. Car vous avez certainement des visions de l'éducation différentes toutes les deux. Personnellement, ma belle-mère avait toujours quelque chose à dire sur mon éducation. Moi, qui vivais avec son fils, certains de ses conseils étaient précieux, mais objectivement, J'avais un peu de mal à comprendre qu'elle me donne autant de cours d'éducation. Je l'avoue, il m'est arrivé d'avoir envie de lui dire « je vis avec ton fils, et si c'est pour obtenir le même résultat, tu peux te garder tes cours d'éducation » . C'est blessant, pas très constructif, je le conçois. Et je suis bien contente de n'avoir rien dit. Après tout, le plus important dans l'histoire, c'est qu'elle adore ma fille et qu'elle s'en occupe très bien. La question n'est plus... qui a tort et qui a raison. C'est le bien de la petite qui prime et c'est très bien comme ça. Pour vous, anxieux et anxieuse, optez pour ce genre de raisonnement encore une fois, cela ne fera pas disparaître votre anxiété. Mais, une fois de plus, vous vous accordez une plus grande liberté. Le troisième accord, ne faites pas de suppositions. Le terme de supposition est utilisé mais celui qui me vient spontanément à l'esprit, c'est le procès d'intention. La moi d'avant, quand une personne m'atassait, mon premier réflexe était le procès d'intention. J'y voyais de manière automatique quelque chose de négatif. Et idem, je tournais en boucle sur un postulat de base qui n'était même pas le bon. Comment avancer de manière constructive dans ce cadre ? Et enfin, le quatrième accord. Faites toujours de votre mieux. Je me demande si celui-là n'est pas mon préféré. Il ne veut en aucun cas dire être une machine de guerre ou toujours dans la performance. Il veut simplement dire, dans une situation X, faire de son mieux. Je n'ai pas dormi la nuit d'avant, je sais donc que mon travail ne va pas être parfait parce que n'ayant pas dormi, je ne suis pas en capacité d'y mettre 100% de mon potentiel. Mais si on décide que, quelle que soit la situation, On va faire de son mieux, on va se concentrer, entrer dans un flot et faire ce qu'il y a à faire. Cela est bénéfique pour tout le monde. Ce qu'il faut se dire, c'est qui est à 100% de son potentiel 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Parfois, nous sommes moins en forme. Mais si on décide, tout en ayant intégré ce critère, de faire de son mieux, on enlève le poids de la culpabilité de ne pas être au mieux de sa forme. Et déjà, sans ce... poids, les choses sont mieux faites. Voilà pour les accords de Toltèques. Si vous souffrez d'un trouble anxieux généralisé, ils ne vont pas vous guérir, mais croyez-moi, ce sont des outils puissants qui, quelle que soit la situation, réduiront votre anxiété. Sur ces mots, je vous souhaite une bonne lecture et je vous remercie pour votre écoute. Votre avis sur ce livre m'intéresse, n'hésitez pas à me laisser un message. Vous pouvez également laisser à cet épisode de podcast un commentaire, une évaluation. Vous pouvez aussi vous abonner à ce podcast, ça m'aide énormément. à le faire connaître et ça donne vie à ce podcast. Ce podcast, c'est aussi le vôtre. Vos retours, vos messages, vos histoires me nourrissent et me donnent envie de continuer à partager avec vous. Rendez-vous lundi prochain pour un nouveau livre.

Description

Et si la liberté intérieure commençait par quatre petits accords avec soi-même ?

Sujet de l’épisode
Aujourd’hui, je vous parle d’un best-seller mondial : Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz. Derrière ses 9 millions d’exemplaires vendus se cache une philosophie simple, mais terriblement puissante, qui peut transformer notre rapport à nous-mêmes et aux autres.

Pourquoi c’est important ?
Parce que nos pensées, nos mots et nos suppositions entretiennent souvent notre anxiété sans qu’on s’en rende compte. En appliquant ces accords — parole impeccable, ne rien prendre personnellement, éviter les suppositions, faire de son mieux — on ne guérit pas l’anxiété, mais on apprend à la vivre autrement : plus libre, plus légère, moins enfermante. Et croyez-moi, ça change tout.

Ressources mentionnées

  • Les quatre accords toltèques – Don Miguel Ruiz

Soutenir gratuitement ce podcast
Si cet épisode vous a inspiré, pensez à le noter, à laisser un commentaire et à vous abonner. Ça aide énormément à faire grandir ce podcast et à continuer à briser les tabous autour de l’anxiété.
Et vous, lequel des quatre accords résonne le plus avec votre vie aujourd’hui ? Dites-le-moi, j’adorerais vous lire !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du Journal d'une agoraphobe. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience peut offrir quelques pistes à certains d'entre vous et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore trop de personnes, alors mission accomplie. Le troisième livre que je vais vous présenter, dans le cadre de notre cycle de lecture estivale, est « Les quatre accords de Toltèques » de Don Miguel Ruiz. Un livre vendu à plus de 9 millions d'exemplaires dans le monde. En ce qui concerne le développement personnel, si vous écoutez des podcasts, je ne connais aucun podcast qui ne cite pas au moins une fois ce livre, si ce n'est plusieurs fois. Si vous aussi, vous écoutez des podcasts de développement personnel, n'hésitez pas à me dire si ce constat est juste. Je serai ravie de vous lire. 9 millions d'exemplaires. Vous imaginez donc bien qu'il y a des raisons à cela. Mais avant, pour les personnes qui ne font pas partie de ces 9 millions, un petit résumé : Les 4 accords de Toltèques présentent une philosophie de vie basée sur la sagesse ancestrale Toltèques visant à nous libérer des croyances limitantes qui nous font souffrir. Le concept central de Don Miguel Ruiz explique que nous vivons dans un rêve collectif fait de règles et de croyances apprises depuis l'enfance qui créent souvent de la souffrance inutile. Les Toltèques étaient des hommes et des femmes de connaissance qui cherchaient la liberté personnelle à travers la maîtrise de soi. Les quatre accords fondamentaux sont, premier accord, que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole avec intégrité. Ne dites que ce que vous pensez vraiment. Évitez de médire, de vous critiquer ou de critiquer autrui. La parole est un outil de création ou de destruction. Elle peut libérer ou empoisonner. Deuxième accord. N'en faites jamais une affaire personnelle. Ce que les autres disent ou font n'est qu'une projection de leur propre réalité. Quand vous ne prenez rien personnellement, vous devenez immunisé contre les opinions et actions d'autrui. Source majeure de souffrance. Troisième accord, ne faites pas de suppositions. Avoir le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement pour éviter les malentendus, drames et tristesses inutiles. Quatrième accord, faites toujours de votre mieux. Votre mieux varie selon les circonstances, mais en donnant toujours le meilleur de vous-même selon vos capacités du moment, vous évitez les regrets et l'auto-jugement. La mise en place de ces quatre accords vise un objectif de transformation qui est de briser les accords toxiques que nous avons inculqués consciemment acceptés depuis notre enfance et qui nous limitent. En les appliquant, nous pouvons retrouver notre liberté personnelle et créer notre propre rêve, basé sur autre chose que la peur. Le livre propose une approche pratique pour se libérer du conditionnement mental et vivre une vie plus authentique et épanouissante. Je n'ai pas choisi de vous présenter ce livre parce qu'il est vendu à plus de 9 millions d'exemplaires. je l'ai plutôt choisi pour l'impact qu'il peut avoir sur nous, anxieux. Tout d'abord, la parole impeccable. Je vais être tout à fait honnête. Au départ, c'est un véritable effort. Mais une fois ce cas passé, peut-être que je vais enfoncer une porte ouverte pour un certain nombre d'entre vous, mais ça fait un bien fou. Avant ce livre, j'avais tendance, sans m'en rendre compte, à m'embourber dans une rhétorique négative du type « ça va être chiant » . Lui, de toute façon, il n'est jamais content. Elle, elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires. Très drôle d'ailleurs, quand je pensais que elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires, parce qu'à l'époque, j'étais tellement pleine de préjugés que la première à avoir un jugement sur les autres et à m'occuper de ce qui ne me regardait pas, c'était moi. Au travers de ces jugements, de ces mots, en fait, c'est moi que je jugeais. Arrêter cela a été pour moi extrêmement libérateur, non seulement pour moi, mais également pour mon entourage. Pourquoi se mêle-t-elle de ce qui ne la regarde pas ? L'intention de base n'est pas forcément mauvaise. Régulièrement, il y a une anxiété derrière, par exemple, ou un manque de confiance en soi qui fait que critiquer nous fait exister. Quand on comprend ça, on brise des chaînes auxquelles on était enchainées depuis des années. On se sent plus libre, on respire. Cela ne supprime bien évidemment pas votre anxiété, mais vous la vivez autrement. J'ose même dire. que vous la vivez de manière plus constructive. Deuxième accord, n'en faites jamais une affaire personnelle. Alors ça aussi, c'est très puissant. On prend pour nous des choses qui ne nous appartiennent pas et on tourne en boucle. Par exemple, si votre belle-mère vous dit qu'elle trouve laxiste la manière dont vous venez de réagir avec votre fille et que vous prenez ça pour vous, ça va dans un premier temps générer de la tension avec elle. Parce que soyons honnêtes, quelles sont les probabilités pour que vous n'essayiez pas de vous justifier ? Faible, on est d'accord. Et là commence la descente aux enfers. Le sujet n'est même plus l'enfant, mais qui a raison ou qui a tort ? Tout le monde est sur la défensive, comme sur ses positions. Rien de bien constructif. Votre belle-mère a le droit de penser qu'à cet instant T, vous avez été laxiste avec votre enfant. Peut-être que vous avez été laxiste ou pas, ce n'est pas le problème. Entendez ce qu'elle vous a dit. Ne le prenez pas comme un jugement, mais comme une série de mots qu'elle vient de vous dire. Si ces mots résonnent en vous et génèrent une émotion désagréable, il faut questionner cette émotion, et non pas la belle-mère. Vous pensez qu'elle est raison que vous avez été laxiste, forte de cette information ? Même si elle a résonné comme un jugement dans un premier temps, vous ferez mieux la prochaine fois avec votre enfant. Si vous pensez que vous n'avez pas été laxiste. et que vous savez exactement pourquoi vous venez de réagir comme cela avec votre enfant, eh bien, ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire. Parce qu'il est fort probable que vous ne tombiez pas d'accord sur le sujet. Car vous avez certainement des visions de l'éducation différentes toutes les deux. Personnellement, ma belle-mère avait toujours quelque chose à dire sur mon éducation. Moi, qui vivais avec son fils, certains de ses conseils étaient précieux, mais objectivement, J'avais un peu de mal à comprendre qu'elle me donne autant de cours d'éducation. Je l'avoue, il m'est arrivé d'avoir envie de lui dire « je vis avec ton fils, et si c'est pour obtenir le même résultat, tu peux te garder tes cours d'éducation » . C'est blessant, pas très constructif, je le conçois. Et je suis bien contente de n'avoir rien dit. Après tout, le plus important dans l'histoire, c'est qu'elle adore ma fille et qu'elle s'en occupe très bien. La question n'est plus... qui a tort et qui a raison. C'est le bien de la petite qui prime et c'est très bien comme ça. Pour vous, anxieux et anxieuse, optez pour ce genre de raisonnement encore une fois, cela ne fera pas disparaître votre anxiété. Mais, une fois de plus, vous vous accordez une plus grande liberté. Le troisième accord, ne faites pas de suppositions. Le terme de supposition est utilisé mais celui qui me vient spontanément à l'esprit, c'est le procès d'intention. La moi d'avant, quand une personne m'atassait, mon premier réflexe était le procès d'intention. J'y voyais de manière automatique quelque chose de négatif. Et idem, je tournais en boucle sur un postulat de base qui n'était même pas le bon. Comment avancer de manière constructive dans ce cadre ? Et enfin, le quatrième accord. Faites toujours de votre mieux. Je me demande si celui-là n'est pas mon préféré. Il ne veut en aucun cas dire être une machine de guerre ou toujours dans la performance. Il veut simplement dire, dans une situation X, faire de son mieux. Je n'ai pas dormi la nuit d'avant, je sais donc que mon travail ne va pas être parfait parce que n'ayant pas dormi, je ne suis pas en capacité d'y mettre 100% de mon potentiel. Mais si on décide que, quelle que soit la situation, On va faire de son mieux, on va se concentrer, entrer dans un flot et faire ce qu'il y a à faire. Cela est bénéfique pour tout le monde. Ce qu'il faut se dire, c'est qui est à 100% de son potentiel 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Parfois, nous sommes moins en forme. Mais si on décide, tout en ayant intégré ce critère, de faire de son mieux, on enlève le poids de la culpabilité de ne pas être au mieux de sa forme. Et déjà, sans ce... poids, les choses sont mieux faites. Voilà pour les accords de Toltèques. Si vous souffrez d'un trouble anxieux généralisé, ils ne vont pas vous guérir, mais croyez-moi, ce sont des outils puissants qui, quelle que soit la situation, réduiront votre anxiété. Sur ces mots, je vous souhaite une bonne lecture et je vous remercie pour votre écoute. Votre avis sur ce livre m'intéresse, n'hésitez pas à me laisser un message. Vous pouvez également laisser à cet épisode de podcast un commentaire, une évaluation. Vous pouvez aussi vous abonner à ce podcast, ça m'aide énormément. à le faire connaître et ça donne vie à ce podcast. Ce podcast, c'est aussi le vôtre. Vos retours, vos messages, vos histoires me nourrissent et me donnent envie de continuer à partager avec vous. Rendez-vous lundi prochain pour un nouveau livre.

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Sujet de l’épisode
Aujourd’hui, je vous parle d’un best-seller mondial : Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz. Derrière ses 9 millions d’exemplaires vendus se cache une philosophie simple, mais terriblement puissante, qui peut transformer notre rapport à nous-mêmes et aux autres.

Pourquoi c’est important ?
Parce que nos pensées, nos mots et nos suppositions entretiennent souvent notre anxiété sans qu’on s’en rende compte. En appliquant ces accords — parole impeccable, ne rien prendre personnellement, éviter les suppositions, faire de son mieux — on ne guérit pas l’anxiété, mais on apprend à la vivre autrement : plus libre, plus légère, moins enfermante. Et croyez-moi, ça change tout.

Ressources mentionnées

  • Les quatre accords toltèques – Don Miguel Ruiz

Soutenir gratuitement ce podcast
Si cet épisode vous a inspiré, pensez à le noter, à laisser un commentaire et à vous abonner. Ça aide énormément à faire grandir ce podcast et à continuer à briser les tabous autour de l’anxiété.
Et vous, lequel des quatre accords résonne le plus avec votre vie aujourd’hui ? Dites-le-moi, j’adorerais vous lire !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du Journal d'une agoraphobe. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience peut offrir quelques pistes à certains d'entre vous et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore trop de personnes, alors mission accomplie. Le troisième livre que je vais vous présenter, dans le cadre de notre cycle de lecture estivale, est « Les quatre accords de Toltèques » de Don Miguel Ruiz. Un livre vendu à plus de 9 millions d'exemplaires dans le monde. En ce qui concerne le développement personnel, si vous écoutez des podcasts, je ne connais aucun podcast qui ne cite pas au moins une fois ce livre, si ce n'est plusieurs fois. Si vous aussi, vous écoutez des podcasts de développement personnel, n'hésitez pas à me dire si ce constat est juste. Je serai ravie de vous lire. 9 millions d'exemplaires. Vous imaginez donc bien qu'il y a des raisons à cela. Mais avant, pour les personnes qui ne font pas partie de ces 9 millions, un petit résumé : Les 4 accords de Toltèques présentent une philosophie de vie basée sur la sagesse ancestrale Toltèques visant à nous libérer des croyances limitantes qui nous font souffrir. Le concept central de Don Miguel Ruiz explique que nous vivons dans un rêve collectif fait de règles et de croyances apprises depuis l'enfance qui créent souvent de la souffrance inutile. Les Toltèques étaient des hommes et des femmes de connaissance qui cherchaient la liberté personnelle à travers la maîtrise de soi. Les quatre accords fondamentaux sont, premier accord, que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole avec intégrité. Ne dites que ce que vous pensez vraiment. Évitez de médire, de vous critiquer ou de critiquer autrui. La parole est un outil de création ou de destruction. Elle peut libérer ou empoisonner. Deuxième accord. N'en faites jamais une affaire personnelle. Ce que les autres disent ou font n'est qu'une projection de leur propre réalité. Quand vous ne prenez rien personnellement, vous devenez immunisé contre les opinions et actions d'autrui. Source majeure de souffrance. Troisième accord, ne faites pas de suppositions. Avoir le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement pour éviter les malentendus, drames et tristesses inutiles. Quatrième accord, faites toujours de votre mieux. Votre mieux varie selon les circonstances, mais en donnant toujours le meilleur de vous-même selon vos capacités du moment, vous évitez les regrets et l'auto-jugement. La mise en place de ces quatre accords vise un objectif de transformation qui est de briser les accords toxiques que nous avons inculqués consciemment acceptés depuis notre enfance et qui nous limitent. En les appliquant, nous pouvons retrouver notre liberté personnelle et créer notre propre rêve, basé sur autre chose que la peur. Le livre propose une approche pratique pour se libérer du conditionnement mental et vivre une vie plus authentique et épanouissante. Je n'ai pas choisi de vous présenter ce livre parce qu'il est vendu à plus de 9 millions d'exemplaires. je l'ai plutôt choisi pour l'impact qu'il peut avoir sur nous, anxieux. Tout d'abord, la parole impeccable. Je vais être tout à fait honnête. Au départ, c'est un véritable effort. Mais une fois ce cas passé, peut-être que je vais enfoncer une porte ouverte pour un certain nombre d'entre vous, mais ça fait un bien fou. Avant ce livre, j'avais tendance, sans m'en rendre compte, à m'embourber dans une rhétorique négative du type « ça va être chiant » . Lui, de toute façon, il n'est jamais content. Elle, elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires. Très drôle d'ailleurs, quand je pensais que elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires, parce qu'à l'époque, j'étais tellement pleine de préjugés que la première à avoir un jugement sur les autres et à m'occuper de ce qui ne me regardait pas, c'était moi. Au travers de ces jugements, de ces mots, en fait, c'est moi que je jugeais. Arrêter cela a été pour moi extrêmement libérateur, non seulement pour moi, mais également pour mon entourage. Pourquoi se mêle-t-elle de ce qui ne la regarde pas ? L'intention de base n'est pas forcément mauvaise. Régulièrement, il y a une anxiété derrière, par exemple, ou un manque de confiance en soi qui fait que critiquer nous fait exister. Quand on comprend ça, on brise des chaînes auxquelles on était enchainées depuis des années. On se sent plus libre, on respire. Cela ne supprime bien évidemment pas votre anxiété, mais vous la vivez autrement. J'ose même dire. que vous la vivez de manière plus constructive. Deuxième accord, n'en faites jamais une affaire personnelle. Alors ça aussi, c'est très puissant. On prend pour nous des choses qui ne nous appartiennent pas et on tourne en boucle. Par exemple, si votre belle-mère vous dit qu'elle trouve laxiste la manière dont vous venez de réagir avec votre fille et que vous prenez ça pour vous, ça va dans un premier temps générer de la tension avec elle. Parce que soyons honnêtes, quelles sont les probabilités pour que vous n'essayiez pas de vous justifier ? Faible, on est d'accord. Et là commence la descente aux enfers. Le sujet n'est même plus l'enfant, mais qui a raison ou qui a tort ? Tout le monde est sur la défensive, comme sur ses positions. Rien de bien constructif. Votre belle-mère a le droit de penser qu'à cet instant T, vous avez été laxiste avec votre enfant. Peut-être que vous avez été laxiste ou pas, ce n'est pas le problème. Entendez ce qu'elle vous a dit. Ne le prenez pas comme un jugement, mais comme une série de mots qu'elle vient de vous dire. Si ces mots résonnent en vous et génèrent une émotion désagréable, il faut questionner cette émotion, et non pas la belle-mère. Vous pensez qu'elle est raison que vous avez été laxiste, forte de cette information ? Même si elle a résonné comme un jugement dans un premier temps, vous ferez mieux la prochaine fois avec votre enfant. Si vous pensez que vous n'avez pas été laxiste. et que vous savez exactement pourquoi vous venez de réagir comme cela avec votre enfant, eh bien, ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire. Parce qu'il est fort probable que vous ne tombiez pas d'accord sur le sujet. Car vous avez certainement des visions de l'éducation différentes toutes les deux. Personnellement, ma belle-mère avait toujours quelque chose à dire sur mon éducation. Moi, qui vivais avec son fils, certains de ses conseils étaient précieux, mais objectivement, J'avais un peu de mal à comprendre qu'elle me donne autant de cours d'éducation. Je l'avoue, il m'est arrivé d'avoir envie de lui dire « je vis avec ton fils, et si c'est pour obtenir le même résultat, tu peux te garder tes cours d'éducation » . C'est blessant, pas très constructif, je le conçois. Et je suis bien contente de n'avoir rien dit. Après tout, le plus important dans l'histoire, c'est qu'elle adore ma fille et qu'elle s'en occupe très bien. La question n'est plus... qui a tort et qui a raison. C'est le bien de la petite qui prime et c'est très bien comme ça. Pour vous, anxieux et anxieuse, optez pour ce genre de raisonnement encore une fois, cela ne fera pas disparaître votre anxiété. Mais, une fois de plus, vous vous accordez une plus grande liberté. Le troisième accord, ne faites pas de suppositions. Le terme de supposition est utilisé mais celui qui me vient spontanément à l'esprit, c'est le procès d'intention. La moi d'avant, quand une personne m'atassait, mon premier réflexe était le procès d'intention. J'y voyais de manière automatique quelque chose de négatif. Et idem, je tournais en boucle sur un postulat de base qui n'était même pas le bon. Comment avancer de manière constructive dans ce cadre ? Et enfin, le quatrième accord. Faites toujours de votre mieux. Je me demande si celui-là n'est pas mon préféré. Il ne veut en aucun cas dire être une machine de guerre ou toujours dans la performance. Il veut simplement dire, dans une situation X, faire de son mieux. Je n'ai pas dormi la nuit d'avant, je sais donc que mon travail ne va pas être parfait parce que n'ayant pas dormi, je ne suis pas en capacité d'y mettre 100% de mon potentiel. Mais si on décide que, quelle que soit la situation, On va faire de son mieux, on va se concentrer, entrer dans un flot et faire ce qu'il y a à faire. Cela est bénéfique pour tout le monde. Ce qu'il faut se dire, c'est qui est à 100% de son potentiel 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Parfois, nous sommes moins en forme. Mais si on décide, tout en ayant intégré ce critère, de faire de son mieux, on enlève le poids de la culpabilité de ne pas être au mieux de sa forme. Et déjà, sans ce... poids, les choses sont mieux faites. Voilà pour les accords de Toltèques. Si vous souffrez d'un trouble anxieux généralisé, ils ne vont pas vous guérir, mais croyez-moi, ce sont des outils puissants qui, quelle que soit la situation, réduiront votre anxiété. Sur ces mots, je vous souhaite une bonne lecture et je vous remercie pour votre écoute. Votre avis sur ce livre m'intéresse, n'hésitez pas à me laisser un message. Vous pouvez également laisser à cet épisode de podcast un commentaire, une évaluation. Vous pouvez aussi vous abonner à ce podcast, ça m'aide énormément. à le faire connaître et ça donne vie à ce podcast. Ce podcast, c'est aussi le vôtre. Vos retours, vos messages, vos histoires me nourrissent et me donnent envie de continuer à partager avec vous. Rendez-vous lundi prochain pour un nouveau livre.

Description

Et si la liberté intérieure commençait par quatre petits accords avec soi-même ?

Sujet de l’épisode
Aujourd’hui, je vous parle d’un best-seller mondial : Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz. Derrière ses 9 millions d’exemplaires vendus se cache une philosophie simple, mais terriblement puissante, qui peut transformer notre rapport à nous-mêmes et aux autres.

Pourquoi c’est important ?
Parce que nos pensées, nos mots et nos suppositions entretiennent souvent notre anxiété sans qu’on s’en rende compte. En appliquant ces accords — parole impeccable, ne rien prendre personnellement, éviter les suppositions, faire de son mieux — on ne guérit pas l’anxiété, mais on apprend à la vivre autrement : plus libre, plus légère, moins enfermante. Et croyez-moi, ça change tout.

Ressources mentionnées

  • Les quatre accords toltèques – Don Miguel Ruiz

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Et vous, lequel des quatre accords résonne le plus avec votre vie aujourd’hui ? Dites-le-moi, j’adorerais vous lire !


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode du Journal d'une agoraphobe. Dans ce podcast, je partage mon parcours d'ancienne agoraphobe. Je ne suis ni médecin ni thérapeute, mais si mon humble expérience peut offrir quelques pistes à certains d'entre vous et contribuer à libérer la parole sur un sujet qui stigmatise encore trop de personnes, alors mission accomplie. Le troisième livre que je vais vous présenter, dans le cadre de notre cycle de lecture estivale, est « Les quatre accords de Toltèques » de Don Miguel Ruiz. Un livre vendu à plus de 9 millions d'exemplaires dans le monde. En ce qui concerne le développement personnel, si vous écoutez des podcasts, je ne connais aucun podcast qui ne cite pas au moins une fois ce livre, si ce n'est plusieurs fois. Si vous aussi, vous écoutez des podcasts de développement personnel, n'hésitez pas à me dire si ce constat est juste. Je serai ravie de vous lire. 9 millions d'exemplaires. Vous imaginez donc bien qu'il y a des raisons à cela. Mais avant, pour les personnes qui ne font pas partie de ces 9 millions, un petit résumé : Les 4 accords de Toltèques présentent une philosophie de vie basée sur la sagesse ancestrale Toltèques visant à nous libérer des croyances limitantes qui nous font souffrir. Le concept central de Don Miguel Ruiz explique que nous vivons dans un rêve collectif fait de règles et de croyances apprises depuis l'enfance qui créent souvent de la souffrance inutile. Les Toltèques étaient des hommes et des femmes de connaissance qui cherchaient la liberté personnelle à travers la maîtrise de soi. Les quatre accords fondamentaux sont, premier accord, que votre parole soit impeccable. Utilisez votre parole avec intégrité. Ne dites que ce que vous pensez vraiment. Évitez de médire, de vous critiquer ou de critiquer autrui. La parole est un outil de création ou de destruction. Elle peut libérer ou empoisonner. Deuxième accord. N'en faites jamais une affaire personnelle. Ce que les autres disent ou font n'est qu'une projection de leur propre réalité. Quand vous ne prenez rien personnellement, vous devenez immunisé contre les opinions et actions d'autrui. Source majeure de souffrance. Troisième accord, ne faites pas de suppositions. Avoir le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement pour éviter les malentendus, drames et tristesses inutiles. Quatrième accord, faites toujours de votre mieux. Votre mieux varie selon les circonstances, mais en donnant toujours le meilleur de vous-même selon vos capacités du moment, vous évitez les regrets et l'auto-jugement. La mise en place de ces quatre accords vise un objectif de transformation qui est de briser les accords toxiques que nous avons inculqués consciemment acceptés depuis notre enfance et qui nous limitent. En les appliquant, nous pouvons retrouver notre liberté personnelle et créer notre propre rêve, basé sur autre chose que la peur. Le livre propose une approche pratique pour se libérer du conditionnement mental et vivre une vie plus authentique et épanouissante. Je n'ai pas choisi de vous présenter ce livre parce qu'il est vendu à plus de 9 millions d'exemplaires. je l'ai plutôt choisi pour l'impact qu'il peut avoir sur nous, anxieux. Tout d'abord, la parole impeccable. Je vais être tout à fait honnête. Au départ, c'est un véritable effort. Mais une fois ce cas passé, peut-être que je vais enfoncer une porte ouverte pour un certain nombre d'entre vous, mais ça fait un bien fou. Avant ce livre, j'avais tendance, sans m'en rendre compte, à m'embourber dans une rhétorique négative du type « ça va être chiant » . Lui, de toute façon, il n'est jamais content. Elle, elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires. Très drôle d'ailleurs, quand je pensais que elle ferait mieux de s'occuper de ses affaires, parce qu'à l'époque, j'étais tellement pleine de préjugés que la première à avoir un jugement sur les autres et à m'occuper de ce qui ne me regardait pas, c'était moi. Au travers de ces jugements, de ces mots, en fait, c'est moi que je jugeais. Arrêter cela a été pour moi extrêmement libérateur, non seulement pour moi, mais également pour mon entourage. Pourquoi se mêle-t-elle de ce qui ne la regarde pas ? L'intention de base n'est pas forcément mauvaise. Régulièrement, il y a une anxiété derrière, par exemple, ou un manque de confiance en soi qui fait que critiquer nous fait exister. Quand on comprend ça, on brise des chaînes auxquelles on était enchainées depuis des années. On se sent plus libre, on respire. Cela ne supprime bien évidemment pas votre anxiété, mais vous la vivez autrement. J'ose même dire. que vous la vivez de manière plus constructive. Deuxième accord, n'en faites jamais une affaire personnelle. Alors ça aussi, c'est très puissant. On prend pour nous des choses qui ne nous appartiennent pas et on tourne en boucle. Par exemple, si votre belle-mère vous dit qu'elle trouve laxiste la manière dont vous venez de réagir avec votre fille et que vous prenez ça pour vous, ça va dans un premier temps générer de la tension avec elle. Parce que soyons honnêtes, quelles sont les probabilités pour que vous n'essayiez pas de vous justifier ? Faible, on est d'accord. Et là commence la descente aux enfers. Le sujet n'est même plus l'enfant, mais qui a raison ou qui a tort ? Tout le monde est sur la défensive, comme sur ses positions. Rien de bien constructif. Votre belle-mère a le droit de penser qu'à cet instant T, vous avez été laxiste avec votre enfant. Peut-être que vous avez été laxiste ou pas, ce n'est pas le problème. Entendez ce qu'elle vous a dit. Ne le prenez pas comme un jugement, mais comme une série de mots qu'elle vient de vous dire. Si ces mots résonnent en vous et génèrent une émotion désagréable, il faut questionner cette émotion, et non pas la belle-mère. Vous pensez qu'elle est raison que vous avez été laxiste, forte de cette information ? Même si elle a résonné comme un jugement dans un premier temps, vous ferez mieux la prochaine fois avec votre enfant. Si vous pensez que vous n'avez pas été laxiste. et que vous savez exactement pourquoi vous venez de réagir comme cela avec votre enfant, eh bien, ce n'est pas la peine d'en faire toute une histoire. Parce qu'il est fort probable que vous ne tombiez pas d'accord sur le sujet. Car vous avez certainement des visions de l'éducation différentes toutes les deux. Personnellement, ma belle-mère avait toujours quelque chose à dire sur mon éducation. Moi, qui vivais avec son fils, certains de ses conseils étaient précieux, mais objectivement, J'avais un peu de mal à comprendre qu'elle me donne autant de cours d'éducation. Je l'avoue, il m'est arrivé d'avoir envie de lui dire « je vis avec ton fils, et si c'est pour obtenir le même résultat, tu peux te garder tes cours d'éducation » . C'est blessant, pas très constructif, je le conçois. Et je suis bien contente de n'avoir rien dit. Après tout, le plus important dans l'histoire, c'est qu'elle adore ma fille et qu'elle s'en occupe très bien. La question n'est plus... qui a tort et qui a raison. C'est le bien de la petite qui prime et c'est très bien comme ça. Pour vous, anxieux et anxieuse, optez pour ce genre de raisonnement encore une fois, cela ne fera pas disparaître votre anxiété. Mais, une fois de plus, vous vous accordez une plus grande liberté. Le troisième accord, ne faites pas de suppositions. Le terme de supposition est utilisé mais celui qui me vient spontanément à l'esprit, c'est le procès d'intention. La moi d'avant, quand une personne m'atassait, mon premier réflexe était le procès d'intention. J'y voyais de manière automatique quelque chose de négatif. Et idem, je tournais en boucle sur un postulat de base qui n'était même pas le bon. Comment avancer de manière constructive dans ce cadre ? Et enfin, le quatrième accord. Faites toujours de votre mieux. Je me demande si celui-là n'est pas mon préféré. Il ne veut en aucun cas dire être une machine de guerre ou toujours dans la performance. Il veut simplement dire, dans une situation X, faire de son mieux. Je n'ai pas dormi la nuit d'avant, je sais donc que mon travail ne va pas être parfait parce que n'ayant pas dormi, je ne suis pas en capacité d'y mettre 100% de mon potentiel. Mais si on décide que, quelle que soit la situation, On va faire de son mieux, on va se concentrer, entrer dans un flot et faire ce qu'il y a à faire. Cela est bénéfique pour tout le monde. Ce qu'il faut se dire, c'est qui est à 100% de son potentiel 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Parfois, nous sommes moins en forme. Mais si on décide, tout en ayant intégré ce critère, de faire de son mieux, on enlève le poids de la culpabilité de ne pas être au mieux de sa forme. Et déjà, sans ce... poids, les choses sont mieux faites. Voilà pour les accords de Toltèques. Si vous souffrez d'un trouble anxieux généralisé, ils ne vont pas vous guérir, mais croyez-moi, ce sont des outils puissants qui, quelle que soit la situation, réduiront votre anxiété. Sur ces mots, je vous souhaite une bonne lecture et je vous remercie pour votre écoute. Votre avis sur ce livre m'intéresse, n'hésitez pas à me laisser un message. Vous pouvez également laisser à cet épisode de podcast un commentaire, une évaluation. Vous pouvez aussi vous abonner à ce podcast, ça m'aide énormément. à le faire connaître et ça donne vie à ce podcast. Ce podcast, c'est aussi le vôtre. Vos retours, vos messages, vos histoires me nourrissent et me donnent envie de continuer à partager avec vous. Rendez-vous lundi prochain pour un nouveau livre.

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