Speaker #0Bienvenue dans le podcast de La Psy en ligne, un podcast pour femmes débordées et exténuées qui souhaitent alléger leur charge mentale pour mieux profiter de la vie au quotidien. Je suis Christine Pagé, docteure en psychologie et psychologue en pratique privée depuis plus de 20 ans et spécialisée sur la thématique de la charge mentale. Dans ce podcast, nous allons discuter ensemble des différentes facettes de la psychologie et découvrir comment elles peuvent s'appliquer à notre vie quotidienne tout en mettant l'accent sur une thématique chère à mon cœur dans les dernières années. La charge mentale. Nous allons explorer ensemble cette notion de plus en plus présente dans nos vies qui peut peser sur notre bien-être psychologique. À travers des réflexions, des discussions et des conseils pratiques, je vous guiderai pour mieux comprendre et gérer votre charge mentale, que ce soit à la maison, au travail ou dans vos relations familiales et personnelles. Je vous partagerai également des astuces et stratégies pour améliorer votre résilience et votre capacité à faire face aux défis du quotidien. Chaque épisode sera une opportunité d'en apprendre davantage sur vous-même et de découvrir des outils concrets pour améliorer votre bien-être mental et émotionnel. Alors installez-vous confortablement et préparez-vous à découvrir des moyens pratiques pour alléger votre charge mentale et améliorer votre qualité de vie grâce, je l'espère, à mes conseils inspirants. Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce dernier épisode du podcast. de la psy en ligne. Je suis Dr Christine Pagé, psychologue, et aujourd'hui, nous allons aborder une décision importante que j'ai prise concernant le podcast et mes activités en ligne, c'est-à-dire continuer ou s'arrêter. Après quelques semaines de vacances et de pauses estivales, j'ai beaucoup, beaucoup réfléchi à cette décision-là. Et quand j'ai lancé ce podcast de l'accent en ligne, mon objectif, c'était de créer un espace où nous pourrions discuter de nombreux aspects de la psychologie en mettant, bien sûr, un accent particulier sur la charge mentale des femmes. Et comment ça a commencé tout ça ? Alors, je vous fais un petit récapitulatif. En 2020, bien sûr, suite au bouleversement vécu par toute la société, en fait, toute la planète entière, suscité par les mesures sanitaires qui ont été imposées par la COVID-19, J'ai retrouvé à ce moment-là davantage de temps à consacrer à l'élaboration d'un programme en ligne pour les femmes. J'étais à moitié salariée comme psychologue scolaire et comme toutes les écoles étaient fermées, je me suis retrouvée à avoir beaucoup de temps pour mettre en place ce que je voulais faire depuis un bon moment, c'est-à-dire créer du contenu et des formations en ligne en psychologie, mais entre autres sur la charge mentale des femmes. Évidemment, depuis le tout début de ma carrière, ça fait plus de 22 ans maintenant que je fais de la pratique privée en psychothérapie, j'ai eu la chance d'accompagner plusieurs, des centaines de femmes, des mères, des conjointes qui essayaient tant bien que mal de concilier le travail et la famille, en plus des tâches quotidiennes à la maison. Donc souvent ces femmes se sentent épuisées, débordées, surchargées. Puis elles arrivent de moins en moins à trouver du temps pour elles, pour pratiquer des activités reposantes, plaisantes, ou pour s'organiser des projets, projets plus personnels, professionnels, ou même des activités en dehors de leur famille et de leurs emplois. Alors souvent, ces femmes-là, elles arrivent dans mon bureau en consultation parce qu'elles vivent beaucoup de stress, beaucoup d'anxiété, une grande surcharge mentale. Parfois, elles souffrent de crises, de paniques. Elles ont vraiment tenté longtemps de demeurer fortes, la tête au-dessus de l'eau, comme on dit, puis elles finissent par se retrouver en épuisement, donc en fameux burn-out ou en dépression, ce qui, bien sûr, les oblige à être parfois en arrêt de travail. Et suite à tout ce qui s'est passé, bien sûr, en 2020, c'était plus vrai que jamais tout ce que je viens de dire là, puisque non seulement les femmes se retrouvaient pour la plupart en télétravail, mais en plus, elles devaient faire l'école à la maison à leurs enfants ou tout simplement les occuper pour celles qui avaient des jeunes enfants de l'âge de la garderie. Donc, elles devenaient travailleurs, mamans, mais aussi enseignantes ou éducatrices en garderie, en plus de tout ce qu'elles avaient déjà, donc être conjointes, les repas, les tâches ménagères, tout ça, ça faisait des très, très longs chiffres. où les femmes seront trouvées même à empiéter sur leur sommeil pour arriver à travailler et à s'occuper de leurs enfants en même temps. Heureusement, de mon côté, à ce moment-là, ma fille avait déjà 11 ans, elle était en sixième année, alors elle était quand même très autonome par rapport à l'école, à la maison, puis pour s'occuper aussi. Lorsque moi-même, comme psychologue, j'avais des consultations en ligne, c'est la première fois que je faisais ça, je n'avais jamais fait ça. Donc, suite à tout ça, ma mission à travers le podcast qui est sorti en avril 2023, donc quelques années plus tard finalement, après tout ça, bien c'était vraiment à travers le podcast, à travers aussi toutes mes activités en ligne que j'ai débutées il y a un petit peu plus de deux ans. C'était d'aider un plus grand nombre de femmes à alléger leur charge mentale pour mieux profiter de la vie au quotidien. Donc bien sûr, vous allez dire entre 2020 puis 2021. En 2022, qu'est-ce qui s'est passé ? Les écoles ont réouvert, j'ai recommencé à travailler en milieu scolaire jusqu'à temps que je choisisse de me consacrer seulement à ma pratique privée pour avoir justement plus de temps libre pour mettre sur pied mon programme pour aider les femmes à alléger leur charge mentale. Donc, c'était ça l'idée et c'est ça. Donc, de 2020 à 2022, c'est ce que j'ai fait. Et en 2022, j'ai vraiment lancé mon groupe privé. qui s'appelle maintenant pour une scène de santé mentale, allégez votre charge mentale. Et j'ai, je dirais, activé mon Instagram aussi de la psy en ligne, qui à ce moment-là était seulement un Instagram personnel à mon nom avec quelques photos de voyage, mais sur lesquelles je n'allais à peu près jamais. Donc, j'ai activé ça en mettant le podcast psy en ligne. Et par la suite, en novembre 2022, J'ai commencé sur YouTube, ma chaîne YouTube aussi, Christine Pagé et la psy en ligne, à faire des vidéos avant d'en arriver aussi au podcast en avril 2023. Donc, je reviens à cette fameuse charge mentale, cette charge qui est très souvent invisible, qui est vraiment une réalité complexe, puis qu'à travers ces deux années-là, nous avons tenté d'explorer ensemble avec toutes les femmes qui se sont inscrites entre autres à mon groupe. privés sur Facebook ou qui se sont mis à me suivre sur Instagram et ensuite sur les vidéos et sur le podcast. Alors bien sûr, pour moi, ce fut un parcours extrêmement enrichissant et je suis très, très reconnaissante pour tous les moments de partage et d'apprentissage que nous avons vécu. Ça me fait vraiment plaisir. Je suis rendue à un moment dans ma vie, j'ai eu 50 ans en avril. où j'ai besoin de transmettre mes connaissances, de transmettre mon expérience et ça m'a permis de faire ça. Et moi, je suis une personne plutôt timide à la base. J'aime discuter, j'ai toujours des choses à raconter, mais à la base, je suis plutôt timide. Et de me filmer comme je le fais maintenant, ce que je fais depuis presque deux ans, c'était très difficile pour moi au départ, je peux vous le dire. On s'habitue comme à tout, bien sûr, l'être humain a une capacité d'adaptation. C'est incroyable. Alors, ça m'a permis de vous faire toutes ces vidéos et ces podcasts et tout ce que j'ai pu faire jusqu'à maintenant, des lancements de programmes, etc. Mais voilà, après mes réflexions dans les dernières semaines, dans les derniers mois, j'ai pris cette décision quand même très difficile pour moi d'arrêter le podcast puis les activités associées sur les réseaux sociaux, toutes les activités associées à la psy en ligne. Donc, cet épisode, ça va marquer la fin de cette très belle aventure que j'ai vécue avec vous, tant pour le podcast que pour mes activités de l'app en ligne sur les réseaux sociaux, comme le groupe privé Facebook, Instagram et même TikTok, où on mettait quelques extraits parfois de mes vidéos plus longues. Donc, bien sûr, bien que ce choix me semble définitif en ce moment, comme j'ai dit, j'y ai mûrement réfléchi. Ce n'est pas complètement exclu qu'un jour je vous revienne avec de nouveaux épisodes, peut-être sur de nouvelles thématiques associées toujours à la psychologie, mais sans lien, comme je l'ai fait quelques fois, quand même sans lien avec la charge mentale. Peut-être dans quelques semaines, quelques mois ou plus, qui sait, quelques années, je ne sais pas. Seul l'avenir nous le dira si un jour je reviens faire d'autres épisodes de podcast. Alors, je voulais quand même vous expliquer ce choix-là que j'ai fait. Pourquoi ? Donc, il y a plusieurs facteurs qui ont motivé mon choix. Tout d'abord, c'est un certain manque d'engagement de la part de ma communauté. Ça, ça a quand même joué un rôle important dans le sens que je sais, bien sûr, que la plupart des femmes qui me suivent, qui se sont inscrites dans mon groupe. ont une grande charge mentale sur leurs épaules et peut-être ne savent plus où donner de la tête. Elles en ont beaucoup à porter et le temps leur manque, donc de commenter ou même de mettre un j'aime à ce que je fais, de prendre le temps de s'inscrire à une formation, à un programme. Peut-être que pour elles, ce n'est pas possible en ce moment par manque de temps, par manque d'énergie, peut-être par manque d'argent aussi. Donc, probablement que tout ça, ça a joué un rôle dans un certain manque d'engagement, je dirais. Donc, malgré certains retours bien positifs, la participation active que j'espérais au départ, bien, malheureusement, elle n'était pas toujours, même peu souvent au rendez-vous, je vous dirais. Évidemment, en parallèle avec tout ça, la difficulté croissante avec les algorithmes des réseaux sociaux, principalement Facebook, Instagram. YouTube, je dirais aussi. Alors qu'au tout début, la plupart des gens voyaient mon contenu dans mon groupe privé. En fait, j'avais beaucoup plus de vues sur ma chaîne YouTube au tout début que maintenant. Donc, je ne sais pas, moi, je pouvais avoir un 70-100 vues dans mes premières vidéos. Puis, les dernières que j'ai sorties, c'était 8-10 vues. Donc là, j'arrive difficilement à faire un changement dans la vie des femmes. si je n'ai que quelques vues comme celle-là. Donc, tout ça, bien sûr, ça diminuait ma possibilité de visibilité de mon contenu dans les réseaux sociaux. Ces algorithmes-là, ça rend vraiment la diffusion de mes messages plus compliquée. Puis, bien sûr, ça limite les interactions et l'impact que je pouvais avoir auprès des femmes de ma communauté. Donc, ça aussi, ça a contribué. à cette décision que je prends aujourd'hui. D'autre part, il y a la gestion du contenu en ligne, la création de formations, de programmes, d'outils gratuits aussi que je vous ai offerts. Bien, ça a accentué ma propre charge mentale, évidemment. Moi aussi, je suis une professionnelle psychologue, je suis une conjointe, je suis une maman, j'ai une maison, j'ai plein de choses à m'occuper. Donc, à travers toutes mes activités personnelles et professionnelles, de trouver du temps. du temps de me libérer des heures toutes les semaines pour créer tout ce contenu-là, ça devenait de plus en plus lourd. Le travail qui est nécessaire pour produire du contenu régulier, gérer un peu les interactions en ligne, élaborer comme je disais les formations, des programmes, ça me demandait non seulement une énergie considérable, mais aussi un temps, je vous dirais, à l'infini, parce que du contenu, on pourrait en créer... Il y en a qui en font tous les jours, il y en a qui en font même plusieurs fois par jour quand on regarde sur Instagram, les stories, les reels, ça ne finit plus, c'est infini vraiment. Puis des moyens financiers quand même importants que j'ai investis en formation, en programme en ligne et en coaching pour moi-même me former à faire ce que j'ai voulu faire en ligne. Donc à travers les années, ça m'a coûté beaucoup de temps, d'énergie et d'argent. Et cette charge mentale accrue. que ça m'a ajouté, associé à la nécessité de maintenir une présence en ligne régulière, bien, c'est vraiment devenu de plus en plus pesant pour moi, sur mes épaules. Puis, en fait, il y a aussi ma pratique privée que j'ai toujours poursuivie, bien sûr, qui exige une attention de plus en plus grande de ma part. Juste pendant le mois de vacances que je viens de prendre, j'ai eu une trentaine de nouvelles demandes. C'est... Comme je dirais un exploit en plein été comme ça, ça ne m'est jamais arrivé habituellement. Il y a un ralentissement au niveau des demandes en pratique privée, en psychologie au mois d'août, mais ça n'a pas du tout été le cas. Alors, quand j'ai recommencé la semaine dernière à travailler, j'avais une trentaine soit de courriels ou d'appels à retourner de gens qui veulent un suivi psychologique, tout simplement. Donc, je vois que les gens... ont vraiment besoin, plus que jamais, je dirais, d'un espace pour se sentir écouté, entendu, dans un cadre thérapeutique bienveillant et accueillant. Et ça, je sais l'offrir déjà depuis plus de 22 ans. Et je pense aussi qu'avec tout le virtuel qui s'est inséré dans nos vies depuis plus de 4 ans, le télétravail, la téléécole, le téléenseignement, les formations, les programmes en ligne, le coaching en ligne, tout se fait en ligne aujourd'hui. Je crois que les êtres humains, ils ont besoin, eux, davantage de contacts sociaux, de relations interpersonnelles véritables, de liens affectifs et thérapeutiques réels en présence des autres. Avec les autres, les gens préfèrent venir pour la plupart dans mon bureau, à moins qu'ils habitent vraiment plus loin d'où situe mon bureau. Mais je vous dirais, même certains sont prêts à faire des 30-45 minutes. Pour venir au bureau plutôt que de le faire en ligne, alors que je l'offre, j'ai encore quand même des clients en virtuel, je l'offre aussi d'accompagner les gens en ligne, mais la plupart préfèrent venir directement au bureau pour me rencontrer. Donc, pour continuer à offrir un soutien de qualité à mes clients, ça me semble nécessaire vraiment que je ressente mon énergie, mon temps sur cette dimension-là qui est essentielle dans mon travail. Puis sur toute la formation continue aussi que je dois prendre en psychologie, en psychothérapie pour accompagner vraiment mes clients du mieux que je puisse le faire, puis continuer à demeurer professionnelle aussi. Évidemment. En libérant un peu de temps, en arrêtant les activités en ligne et le podcast, ça va me permettre aussi de prendre quelques clients de plus par semaine, donc de pouvoir aider davantage de personnes. C'est sûr que mon objectif à la base avec tout ce que j'ai fait en ligne, c'était de pouvoir aider le plus de gens possible que je ne pouvais pas voir en bureau privé, puisque mon temps est quand même limité. Je ne peux pas voir vraiment plus que peut-être 25. Clients par semaine en bureau privé avec tout ce qu'il y a d'autre à faire en dehors de ces séances-là. Et donc, je me disais qu'en partageant mon expérience, mes connaissances en ligne, je pourrais atteindre des centaines, des milliers, peut-être encore plus de personnes en ligne. Mais le temps a fait, le temps et les choses ont fait en sorte que je reviens vraiment. À la base de mon choix professionnel de mon adolescence, dès l'âge de 12 ans, moi je disais que je serais psychologue, je n'en connaissais pas, je ne l'avais jamais rencontré, mais je disais que je le serais. Alors voilà, je le suis toujours à 50 ans et je vais continuer à l'être jusqu'à la retraite finalement. Donc je vais continuer là, bien sûr en bureau privé. Alors, cette décision-là que je prends aujourd'hui, même si c'est difficile pour moi, que ça m'amène quand même une certaine tristesse, une certaine nostalgie, je vous dirais, bien, ça va quand même me permettre aussi à moi de réduire ma propre charge mentale, puis de mieux équilibrer mes priorités professionnelles et personnelles. Donc, à partir de maintenant, je choisis de mettre davantage l'accent sur ma santé, bien que je n'ai rien de grave. J'ai quand même des douleurs physiques depuis un certain temps. En termes de deux mois, ce n'est pas d'années qui persistent malgré les traitements. Je choisis de mettre l'accent plus sur ma santé, peut-être davantage faire d'exercices physiques entre autres, aussi sur mes relations avec mes proches, bien sûr, ma fille, mon conjoint, mes amis, ma famille, mes parents et tout ça. Mais aussi de retrouver du temps libre pour moi. pour mes loisirs que j'ai souvent dû négliger au cours des dernières années. Je ne sais pas combien de dimanches après-midi j'ai passé à créer du contenu, de soirées aussi après mon bureau privé que je terminais en fin de journée, bien, de continuer à travailler sur le contenu, sur les programmes en ligne et tout ça, j'en ai passé des heures, je peux vous le dire. Donc, ça faisait en sorte que j'avais moins de temps libre. Pour lire un bon roman, par exemple, ou pour prendre une marche, faire plus d'exercices, peu ou peu importe, peu importe ce que c'est. Donc, voilà, j'ai choisi de retrouver ce temps-là dans ma vie. Alors, je souhaite avant tout exprimer ma profonde, vraiment, gratitude pour votre soutien, votre écoute tout au long de cette aventure. Vos retours, bien sûr, vos encouragements de la part de certaines et vos partages ont été, pour moi, une source d'inspiration et de motivation. Merci. également. Donc, même si le podcast et les activités de la psy en ligne sur les réseaux sociaux se terminent ici, je vous encourage à poursuivre votre réflexion sur la charge mentale et les autres sujets que nous avons abordés ensemble concernant la psychologie et les relations amoureuses, parents-enfants, les relations interpersonnelles en général. De même, tout le contenu qui a été créé jusqu'à maintenant. Les épisodes de podcast, les outils gratuits et aussi les formations payantes pour alléger votre charge mentale, ça va demeurer accessible sur votre plateforme préférée de podcast par exemple, sur ma chaîne YouTube, sur mon groupe privé pour une saine santé mentale Alléger votre charge mentale ainsi que sur mon site web christinepage.ca que je vous invite tout de même à aller visiter si vous souhaitez voir ce que j'offre. par rapport à tout ce qui a été fait en ligne depuis deux ans. Donc, évidemment, ces thèmes vont demeurer chers à mon cœur, bien sûr la psychologie, mais aussi la charge mentale, chers à mon cœur de psychologue, mais aussi de femme et de maman. Et je sais que ça mérite d'être exploré encore et davantage. Si vous souhaitez rester en contact, si vous avez besoin de soutien, et bien sûr que vous êtes au Québec, je vous invite à ce moment-là à me rejoindre dans le cadre de ma pratique privée. J'ai évidemment très, très peu de disponibilité, mais pour les gens qui sont au Québec, puisque je suis membre de l'Ordre des psychologues du Québec, je peux toujours vous recevoir. Vous pouvez aussi être sur ma liste d'attente si vous le souhaitez, que ce soit au bureau. ou en virtuel pour les gens qui habitent à l'extérieur le plus loin de chez moi. Donc, je demeure disponible pour vous accompagner dans votre cheminement psychologique, relationnel et personnel. Alors, encore une fois, merci infiniment pour tout ce que vous m'avez apporté dans cette aventure. Je vous souhaite à toutes et à tous de continuer à avancer avec sérénité et paix intérieure. Alors, comme toujours et pour une dernière fois, prenez bien soin de vous et de votre charge mentale avec bienveillance. Au revoir. Merci d'avoir écouté cet épisode. J'espère que cela vous inspire autant que cela me fait plaisir de partager mes connaissances avec vous. Vous pouvez vous abonner au podcast pour être avisé des nouveaux épisodes. Je vous invite aussi. à télécharger mes fiches pratiques, les neuf outils allègementales que vous trouverez dans la description en dessous, ainsi que toutes les façons de me rejoindre par les réseaux sociaux. Donc, prenez note que le contenu de ce podcast est de nature éducative, vulgarisée et générale. Il ne doit pas être confondu avec une psychothérapie, un relevé exhaustif du champ de la connaissance ou une intervention personnalisée. Si vous vivez de la détresse ou pour plus d'assistance, veuillez contacter un professionnel de la santé ou appeler au 811. Alors, je vous dis au revoir et surtout, prenez bien soin de vous, avec bienveillance.