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Ce que j’aurais aimé qu’on me dise à 25 ans - 3 leçons pour ne pas te perdre dans ta vie pro et perso.  (#47) cover
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Les BienvAillantes

Ce que j’aurais aimé qu’on me dise à 25 ans - 3 leçons pour ne pas te perdre dans ta vie pro et perso. (#47)

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11min |07/05/2025
Play
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Description

Tu te souviens de ce moment charnière où tout commence ?


Ce moment où tu sors des études avec plein d’élan… et où très vite, les choses deviennent floues, exigeantes, voire déstabilisantes ?

Dans cet épisode, j’ai eu envie de revenir à cette étape de vie.


Celle où j’aurais aimé recevoir ces 3 conseils essentiels, pour ne pas me perdre dans les attentes des autres, dans la quête de reconnaissance ou dans les multiples rôles qu’on enfile sans même s’en rendre compte.

🎧 Dans cet épisode, je te partage :

  • Pourquoi travailler sur soi est la base pour se sentir solide, ancrée et résiliente dans un monde professionnel parfois brutal.

  • En quoi l’engagement et l’interdépendance peuvent devenir de vraies forces (et pas des pièges).

  • Comment prendre soin de tes liens — notamment amicaux — peut nourrir profondément ton équilibre et ta joie de vivre.


Ce sont des leçons que j’ai apprises parfois dans la douleur… et que je transmets aujourd’hui avec beaucoup de tendresse à toutes les femmes en chemin.
Des conseils pour t’aider à rester alignée, à mieux vivre ta vie personnelle et professionnelle, et à ne plus t’oublier dans le tourbillon du quotidien.

👉 Si tu veux retrouver du sens, de la force et de la clarté, cet épisode est pour toi.


Et si tu l’aimes, pense à le partager autour de toi 💛

📲 Rejoins le groupe WhatsApp privé des Confidentielles pour échanger avec d’autres femmes inspirantes et recevoir mes contenus en avant-première :
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Toutes mes actualités 🌟 sont ici 👉 https://linktr.ee/rozenn_lebloa


Retrouve-moi :

📸 Sur Instagram : @rozenn_lebloa
💼 Sur LinkedIn : linkedin.com/in/rozennlebloa

🎁 Et fais LE QUIZ pour découvrir ce qui te fait VRAIMENT perdre du temps dans ta vie de maman :
👉 https://www.tryinteract.com/share/quiz/6491931019337d00149cb016

Musique : A Thoughful Journey – Irina Kakhiani – Lynne Publishing (PRS) – LynneMusic


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    La semaine dernière, j'ai reçu un email de la part de la rédaction de LinkedIn qui m'invitait à écrire un poste à destination des jeunes diplômés. J'ai essayé de jeter directement ce mail à la poubelle en me disant que je n'avais pas le temps et finalement je l'ai regardé de plus près parce qu'il m'a interpellé. Il disait notamment que dans une étude récente de l'APEC, le recrutement des cadres débutants avait baissé de 19% en 2024 et baissait de nouveau de 16% cette année. Et en fait, ça m'a rappelé mon démarrage dans la vie active, puisque quand je suis sortie des études en 98, c'était... aussi la crise. Et donc, j'ai jeté un coup d'œil un peu plus attendri sur cette demande de poste et je me suis laissée tenter. Je me suis dit, mais finalement, qu'est-ce que j'ai envie d'écrire à ces jeunes femmes qui font partie d'une génération pourtant très, très, très différente. C'était même étonnant de regarder en arrière, de ne plus compter les plus de 20 ans qui me séparaient du démarrage dans la vie active et de me demander qu'est-ce que je pourrais leur dire, leur parler aujourd'hui, malgré l'écart d'âge. malgré des générations si différentes. Donc, j'écris ce post. Et j'ai tellement aimé le faire, aimé cette rétrospective, que je me suis dit que ça valait le coup aussi de faire un épisode de podcast pour toi, pour nous, pour s'offrir ce moment de regarder dans le passé. Et j'aimerais bien d'ailleurs que tu réagisses. Peut-être que tu peux m'écrire sur Instagram si on est connecté. Sinon, tu as le lien vers mon Instagram dans les notes de ce podcast où tu peux aussi interagir dans le groupe WhatsApp des confidentielles des bienveillantes. tu as aussi dans les notes le lien pour intégrer ce groupe. Voilà, donc je leur ai donné trois conseils que je voudrais te partager aujourd'hui et qu'on regarde ensemble. Le premier conseil qui m'est venu de loin, je m'adresse bien évidemment un peu plus facilement aux femmes, bien que ça puisse faire écho chez les jeunes hommes aussi. Mais comme je travaille beaucoup avec les femmes, c'est vers elles que mon intention s'est dirigée. Et mon premier conseil, c'est de travailler sur soi. Pas pour devenir parfaite, non, mais pour... ne pas se perdre, pour se renforcer et ne pas être aussi facilement déstabilisable que je n'ai pu l'être à l'époque. Quand je regarde en arrière et que j'ai commencé dans la vie active, c'était une époque où il fallait montrer, faire ses preuves et c'était comme ça. Donc on arrivait un peu jeune, un peu tendre et puis je suis rentrée complètement dans le moule. Autant plus dans le moule que j'y suis arrivée avec mon costume de la bonne élève. et la serpe. professionnelle, elle peut être absolument fascinante, pleine d'excitation face aux défis, face aux challenges, face à la reconnaissance que l'on peut avoir à la montée en grade, mais aussi, malheureusement, et c'est presque normal et inévitable, ses intrigues, ses trahisons, ses déceptions. Donc, je suis rentrée dans cette vie active avec toute cette, un peu, innocence, avide d'approbation. Et j'ai croisé des mentors super, vraiment formidable. Mais je suis aussi croisée à des comportements malsains, voire pervers, voire ce que l'on qualifierait aujourd'hui d'abus. Et je n'étais pas prête à ces coups durs. Je me suis un peu jetée dans la gueule du loup par ignorance. Et c'est pour ça que mon premier conseil à toutes ces jeunes femmes, ce serait de se construire d'abord. Ce serait de pousser la porte d'un thérapeute ou d'un psy. Et il y en a plein pour se forger, pour mieux se connaître. pas pour se blinder, mais en fait pour s'ancrer, pour ne pas attendre des autres une validation que tu peux t'offrir toi-même. Et je dis ça parce qu'aujourd'hui, je suis dans l'accompagnement. Je dis ça parce que je l'ai fait plus tard. Moi, je l'ai fait à quasiment 40 ans. Et quand je vois ce que ça m'a apporté, je me dis que c'est tellement dommage de ne pas l'avoir fait plus tôt. Parce que c'est tout un monde que cette découverte de soi, que de découvrir dans notre construction, ce que l'on a en nous, toutes ces forces et ces fragilités, toute notre vulnérabilité. Et apprendre à se construire de l'intérieur, c'est vraiment se renforcer et rentrer dans cette joie d'apprendre à se connaître. Donc, j'aurais aimé m'y consacrer beaucoup plus tôt. Et je sais qu'aujourd'hui, beaucoup de jeunes femmes ont été élevées dans un contexte, une sorte de culture du développement personnel où elles ont les citations de Lao Tzu tous les matins au réveil, etc. Peut-être qu'elles ont l'impression d'être un peu plus armées, mais moi, je crois que le travail intérieur, c'est un travail profond, c'est un vrai cheminement ... C'est une vraie aventure à vivre et qui peut apporter tellement. Donc voilà pourquoi mon premier conseil, c'est celui-là. Je suis curieuse de savoir si c'est un conseil que tu donnerais également. Mon deuxième conseil... C'est n'aie pas peur de t'engager parce que l'interdépendance est une force. Encore une fois, je ne suis pas de cette nouvelle génération, mais ce que j'observe, ce que j'entends, c'est que dans cette nouvelle génération, l'investissement dans le monde du travail, c'est un peu désuet, c'est dépassé. C'est une génération qui a l'œil rivé sur la monde pour partir à l'heure, qui a l'œil rivé sur le salaire en se demandant quelle entreprise va leur offrir une meilleure opportunité. un meilleur salaire sans regarder toutes ces autres choses qu'on regardait nous, de faire carrière, de s'investir, etc. Et je comprends parce qu'ils sont forts de quoi ? De notre expérience à nous. Et notre expérience à nous, c'est une forme d'aveuglement où on faisait ce qu'on nous demandait, parfois bêtement, j'ai envie de dire, parce que c'est comme ça, parce que la valeur du travaille. Je comprends que ça soit décrié. Et effectivement, je vois beaucoup de personnes de ma génération qui sont tombées en burn-out parce que c'est une génération qui a connu beaucoups de revirement, entre des changements de direction, entre des changements de stratégie, entre des rachats. Donc, je les comprends bien ces jeunes. Et en même temps, moi, je trouve que l'engagement, ça m'a apporté aussi énormément. Donc, je vais te partager une toute petite notion. Je vais la vulgariser très vite qui vient de l'analyse transactionnelle. Ça parle d'interdépendance. L'interdépendance, ce n'est pas la dépendance. En analyse transactionnelle, la dépendance, ce serait un moment où toi, tu serais dans le besoin. Donc, les gens autour de toi seraient plutôt dans l'apport, Tu les verrais plutôt dans un rôle positif de quelqu'un ou un projet ou une entreprise qui te nourrit. Et toi, tu serais en position de vie moins, c'est-à-dire un moment où tu te nourris et tu es épaulé, aidé. Et ça, ça fait partie nécessairement, qu'on le veuille ou non, du parcours vers l'autonome. OK, mais après la dépendance, il y a l'indépendance. L'indépendance, c'est le moment où on s'est renforcé, on prend le poil de la bête et puis on se remet nous. dans une position plus armée, consciente de nos capacités, etc. Et souvent avec cette indépendance, il y a le fait de mettre l'entreprise, les autres, dans une position de vie moins. C'est-à-dire qu'on valorise moins, on va moins s'investir, on va plutôt se forger et se construire sur notre développement. Et pourtant, dans le cycle de l'autonomie, il y a après une phase qui est l'interdépendance. et l'interdépendance C'est une forme d'harmonisation et d'équilibre. C'est le moment où on construit ensemble. Je suis moi, tu es toi. Et ensemble, on construit quelque chose. On s'appuie sur nos forces respectives. On s'appuie sur un respect pour construire et se développer. Et ça, c'est vrai avec un conjoint, des collègues, un projet, une entreprise. Et tu peux d'ailleurs tout à fait faire le parallèle avec l'enfant. L'enfant qui est dans la dépendance, puis dans... l'indépendance quand il devient ado et arrive après, quand il devient jeune adulte, cette période qu'on lui souhaite et qu'on se souhaite en tant que parent d'interdépendance, de construction ensemble. Et ce qui m'effraie parfois quand j'entends ce manque d'engagement qui paraît qualifié, cette nouvelle génération, je me dis mais waouh, ce serait tellement dommage qu'il passe à côté de cette interdépendance qui est pourtant si créatrice, si fertile. En tout cas, moi ça me donne envie aussi de dire merci à mes anciennes équipes à certains de mes anciens collègues qui se reconnaîtront avec qui on a fait un travail formidable de construction, avec qui j'ai pu grandir, ils ont pu grandir et on a pu construire des choses absolument formidables. Donc, apprends à te connaître, à poser des bases et tout ça pour rendre possible ces relations avec des entreprises, avec des projets, avec des personnes qui peuvent se faire sous le jour d'une vraie interdépendance. Mon troisième conseil, j'ai écrit dans le post, c'est ... à prendre soin de tes liens. Je me rends compte, avec le temps, qu'à ce moment de notre vie, il se passe un vrai tremblement de terre. C'est-à-dire qu'on passe une période où les amitiés sont très profondes, très présentes. Et puis, les choses ont très vite bougé. Parce qu'après les études, c'est les déménagements, les chemins qui se séparent, selon les carrières, et puis selon aussi les mariages, puis les enfants qui arrivent. Et assez naturellement, tous ces liens qui étaient si forts vont se distendre. Et c'est normal. Et quelque part, il ne faut pas lutter. Les sociologues le disent très bien, ils ont fait des études qui montrent que les amitiés peuvent être vraiment presque prédictes en fonction de la proximité physique que les personnes ont entre eux. Donc, on passe d'une période où l'amitié et tous ces liens sont très présents à une période où il va y avoir tout ce changement dans nos vies. Et si on ne fait pas gaffe, eh bien, tout ça va nous amener vers une forme de solitude. J'ai eu un grand moment de réveil. Mes enfants avaient peut-être été tout petits, ils avaient trois et un an..., j'habitais à Vinon, loin de mes amis, ma famille, j'avais passé des années, à beaucoup travailler, je m'étais mise en couple, etc. Et j'ai ressenti à ce moment-là une vraie solitude amicale. Et tes liens profonds d'amitié, ils sont irremplaçables. Le couple ne va pas les remplacer, tes enfants ne vont pas les remplacer. Ils sont ceux qui te nourrissent et qui continuent de te voir différemment, de voir différemment la vie. Alors mon conseil, ce serait, ok, sache qu'une partie de ta vie va quelque part se dépeupler, va se remplir d'autres choses. Mais en tout cas, ces liens-là d'amitié, eh bien, apprends à les renouveler. Apprends à construire, à semer des graines pour être toujours fort de lien. qui vont te faire grandir et qui vont te donner de la joie. Parce que la joie dans la vie, c'est essentiel pour toutes tes sphères de vie. Donc, ne sois pas nostalgique, ose reclanter et investis dans ces relations vraies. Je sais qu'aujourd'hui, tout le monde est très, très connecté aux réseaux sociaux, etc. Mais les vraies relations, elles nécessitent du cœur, de la présence, du temps. Et tu peux investir ça dès maintenant. Voilà en synthèse ce que j'ai proposé aux jeunes femmes qui me liront sur LinkedIn, peut-être celles qui auront été curieuses et qui écouteront ce podcast. Merci à toi de le faire. Pour toutes les autres, peut-être que ça t'a fait revisiter aussi ton histoire plus ou moins lointaine. Encore une fois, partage-moi ce que tu en penses, quels auraient été les conseils que tu donnerais toi. Je serais très, très, très heureuse de te lire si tu aimes mon travail. Tu peux faire quelque chose de formidable, qui est très important, c'est de partager autour de toi en parlant. de mon podcast pour que plus de femmes m'écoutent jour après jour. Tu peux aussi me mettre un avis, 5 étoiles. Tu peux me laisser un commentaire. Voilà, je t'embrasse bien fort et je te dis à dans 15 jours. Ciao !

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Tu te souviens de ce moment charnière où tout commence ?


Ce moment où tu sors des études avec plein d’élan… et où très vite, les choses deviennent floues, exigeantes, voire déstabilisantes ?

Dans cet épisode, j’ai eu envie de revenir à cette étape de vie.


Celle où j’aurais aimé recevoir ces 3 conseils essentiels, pour ne pas me perdre dans les attentes des autres, dans la quête de reconnaissance ou dans les multiples rôles qu’on enfile sans même s’en rendre compte.

🎧 Dans cet épisode, je te partage :

  • Pourquoi travailler sur soi est la base pour se sentir solide, ancrée et résiliente dans un monde professionnel parfois brutal.

  • En quoi l’engagement et l’interdépendance peuvent devenir de vraies forces (et pas des pièges).

  • Comment prendre soin de tes liens — notamment amicaux — peut nourrir profondément ton équilibre et ta joie de vivre.


Ce sont des leçons que j’ai apprises parfois dans la douleur… et que je transmets aujourd’hui avec beaucoup de tendresse à toutes les femmes en chemin.
Des conseils pour t’aider à rester alignée, à mieux vivre ta vie personnelle et professionnelle, et à ne plus t’oublier dans le tourbillon du quotidien.

👉 Si tu veux retrouver du sens, de la force et de la clarté, cet épisode est pour toi.


Et si tu l’aimes, pense à le partager autour de toi 💛

📲 Rejoins le groupe WhatsApp privé des Confidentielles pour échanger avec d’autres femmes inspirantes et recevoir mes contenus en avant-première :
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🎁 Et fais LE QUIZ pour découvrir ce qui te fait VRAIMENT perdre du temps dans ta vie de maman :
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Musique : A Thoughful Journey – Irina Kakhiani – Lynne Publishing (PRS) – LynneMusic


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    La semaine dernière, j'ai reçu un email de la part de la rédaction de LinkedIn qui m'invitait à écrire un poste à destination des jeunes diplômés. J'ai essayé de jeter directement ce mail à la poubelle en me disant que je n'avais pas le temps et finalement je l'ai regardé de plus près parce qu'il m'a interpellé. Il disait notamment que dans une étude récente de l'APEC, le recrutement des cadres débutants avait baissé de 19% en 2024 et baissait de nouveau de 16% cette année. Et en fait, ça m'a rappelé mon démarrage dans la vie active, puisque quand je suis sortie des études en 98, c'était... aussi la crise. Et donc, j'ai jeté un coup d'œil un peu plus attendri sur cette demande de poste et je me suis laissée tenter. Je me suis dit, mais finalement, qu'est-ce que j'ai envie d'écrire à ces jeunes femmes qui font partie d'une génération pourtant très, très, très différente. C'était même étonnant de regarder en arrière, de ne plus compter les plus de 20 ans qui me séparaient du démarrage dans la vie active et de me demander qu'est-ce que je pourrais leur dire, leur parler aujourd'hui, malgré l'écart d'âge. malgré des générations si différentes. Donc, j'écris ce post. Et j'ai tellement aimé le faire, aimé cette rétrospective, que je me suis dit que ça valait le coup aussi de faire un épisode de podcast pour toi, pour nous, pour s'offrir ce moment de regarder dans le passé. Et j'aimerais bien d'ailleurs que tu réagisses. Peut-être que tu peux m'écrire sur Instagram si on est connecté. Sinon, tu as le lien vers mon Instagram dans les notes de ce podcast où tu peux aussi interagir dans le groupe WhatsApp des confidentielles des bienveillantes. tu as aussi dans les notes le lien pour intégrer ce groupe. Voilà, donc je leur ai donné trois conseils que je voudrais te partager aujourd'hui et qu'on regarde ensemble. Le premier conseil qui m'est venu de loin, je m'adresse bien évidemment un peu plus facilement aux femmes, bien que ça puisse faire écho chez les jeunes hommes aussi. Mais comme je travaille beaucoup avec les femmes, c'est vers elles que mon intention s'est dirigée. Et mon premier conseil, c'est de travailler sur soi. Pas pour devenir parfaite, non, mais pour... ne pas se perdre, pour se renforcer et ne pas être aussi facilement déstabilisable que je n'ai pu l'être à l'époque. Quand je regarde en arrière et que j'ai commencé dans la vie active, c'était une époque où il fallait montrer, faire ses preuves et c'était comme ça. Donc on arrivait un peu jeune, un peu tendre et puis je suis rentrée complètement dans le moule. Autant plus dans le moule que j'y suis arrivée avec mon costume de la bonne élève. et la serpe. professionnelle, elle peut être absolument fascinante, pleine d'excitation face aux défis, face aux challenges, face à la reconnaissance que l'on peut avoir à la montée en grade, mais aussi, malheureusement, et c'est presque normal et inévitable, ses intrigues, ses trahisons, ses déceptions. Donc, je suis rentrée dans cette vie active avec toute cette, un peu, innocence, avide d'approbation. Et j'ai croisé des mentors super, vraiment formidable. Mais je suis aussi croisée à des comportements malsains, voire pervers, voire ce que l'on qualifierait aujourd'hui d'abus. Et je n'étais pas prête à ces coups durs. Je me suis un peu jetée dans la gueule du loup par ignorance. Et c'est pour ça que mon premier conseil à toutes ces jeunes femmes, ce serait de se construire d'abord. Ce serait de pousser la porte d'un thérapeute ou d'un psy. Et il y en a plein pour se forger, pour mieux se connaître. pas pour se blinder, mais en fait pour s'ancrer, pour ne pas attendre des autres une validation que tu peux t'offrir toi-même. Et je dis ça parce qu'aujourd'hui, je suis dans l'accompagnement. Je dis ça parce que je l'ai fait plus tard. Moi, je l'ai fait à quasiment 40 ans. Et quand je vois ce que ça m'a apporté, je me dis que c'est tellement dommage de ne pas l'avoir fait plus tôt. Parce que c'est tout un monde que cette découverte de soi, que de découvrir dans notre construction, ce que l'on a en nous, toutes ces forces et ces fragilités, toute notre vulnérabilité. Et apprendre à se construire de l'intérieur, c'est vraiment se renforcer et rentrer dans cette joie d'apprendre à se connaître. Donc, j'aurais aimé m'y consacrer beaucoup plus tôt. Et je sais qu'aujourd'hui, beaucoup de jeunes femmes ont été élevées dans un contexte, une sorte de culture du développement personnel où elles ont les citations de Lao Tzu tous les matins au réveil, etc. Peut-être qu'elles ont l'impression d'être un peu plus armées, mais moi, je crois que le travail intérieur, c'est un travail profond, c'est un vrai cheminement ... C'est une vraie aventure à vivre et qui peut apporter tellement. Donc voilà pourquoi mon premier conseil, c'est celui-là. Je suis curieuse de savoir si c'est un conseil que tu donnerais également. Mon deuxième conseil... C'est n'aie pas peur de t'engager parce que l'interdépendance est une force. Encore une fois, je ne suis pas de cette nouvelle génération, mais ce que j'observe, ce que j'entends, c'est que dans cette nouvelle génération, l'investissement dans le monde du travail, c'est un peu désuet, c'est dépassé. C'est une génération qui a l'œil rivé sur la monde pour partir à l'heure, qui a l'œil rivé sur le salaire en se demandant quelle entreprise va leur offrir une meilleure opportunité. un meilleur salaire sans regarder toutes ces autres choses qu'on regardait nous, de faire carrière, de s'investir, etc. Et je comprends parce qu'ils sont forts de quoi ? De notre expérience à nous. Et notre expérience à nous, c'est une forme d'aveuglement où on faisait ce qu'on nous demandait, parfois bêtement, j'ai envie de dire, parce que c'est comme ça, parce que la valeur du travaille. Je comprends que ça soit décrié. Et effectivement, je vois beaucoup de personnes de ma génération qui sont tombées en burn-out parce que c'est une génération qui a connu beaucoups de revirement, entre des changements de direction, entre des changements de stratégie, entre des rachats. Donc, je les comprends bien ces jeunes. Et en même temps, moi, je trouve que l'engagement, ça m'a apporté aussi énormément. Donc, je vais te partager une toute petite notion. Je vais la vulgariser très vite qui vient de l'analyse transactionnelle. Ça parle d'interdépendance. L'interdépendance, ce n'est pas la dépendance. En analyse transactionnelle, la dépendance, ce serait un moment où toi, tu serais dans le besoin. Donc, les gens autour de toi seraient plutôt dans l'apport, Tu les verrais plutôt dans un rôle positif de quelqu'un ou un projet ou une entreprise qui te nourrit. Et toi, tu serais en position de vie moins, c'est-à-dire un moment où tu te nourris et tu es épaulé, aidé. Et ça, ça fait partie nécessairement, qu'on le veuille ou non, du parcours vers l'autonome. OK, mais après la dépendance, il y a l'indépendance. L'indépendance, c'est le moment où on s'est renforcé, on prend le poil de la bête et puis on se remet nous. dans une position plus armée, consciente de nos capacités, etc. Et souvent avec cette indépendance, il y a le fait de mettre l'entreprise, les autres, dans une position de vie moins. C'est-à-dire qu'on valorise moins, on va moins s'investir, on va plutôt se forger et se construire sur notre développement. Et pourtant, dans le cycle de l'autonomie, il y a après une phase qui est l'interdépendance. et l'interdépendance C'est une forme d'harmonisation et d'équilibre. C'est le moment où on construit ensemble. Je suis moi, tu es toi. Et ensemble, on construit quelque chose. On s'appuie sur nos forces respectives. On s'appuie sur un respect pour construire et se développer. Et ça, c'est vrai avec un conjoint, des collègues, un projet, une entreprise. Et tu peux d'ailleurs tout à fait faire le parallèle avec l'enfant. L'enfant qui est dans la dépendance, puis dans... l'indépendance quand il devient ado et arrive après, quand il devient jeune adulte, cette période qu'on lui souhaite et qu'on se souhaite en tant que parent d'interdépendance, de construction ensemble. Et ce qui m'effraie parfois quand j'entends ce manque d'engagement qui paraît qualifié, cette nouvelle génération, je me dis mais waouh, ce serait tellement dommage qu'il passe à côté de cette interdépendance qui est pourtant si créatrice, si fertile. En tout cas, moi ça me donne envie aussi de dire merci à mes anciennes équipes à certains de mes anciens collègues qui se reconnaîtront avec qui on a fait un travail formidable de construction, avec qui j'ai pu grandir, ils ont pu grandir et on a pu construire des choses absolument formidables. Donc, apprends à te connaître, à poser des bases et tout ça pour rendre possible ces relations avec des entreprises, avec des projets, avec des personnes qui peuvent se faire sous le jour d'une vraie interdépendance. Mon troisième conseil, j'ai écrit dans le post, c'est ... à prendre soin de tes liens. Je me rends compte, avec le temps, qu'à ce moment de notre vie, il se passe un vrai tremblement de terre. C'est-à-dire qu'on passe une période où les amitiés sont très profondes, très présentes. Et puis, les choses ont très vite bougé. Parce qu'après les études, c'est les déménagements, les chemins qui se séparent, selon les carrières, et puis selon aussi les mariages, puis les enfants qui arrivent. Et assez naturellement, tous ces liens qui étaient si forts vont se distendre. Et c'est normal. Et quelque part, il ne faut pas lutter. Les sociologues le disent très bien, ils ont fait des études qui montrent que les amitiés peuvent être vraiment presque prédictes en fonction de la proximité physique que les personnes ont entre eux. Donc, on passe d'une période où l'amitié et tous ces liens sont très présents à une période où il va y avoir tout ce changement dans nos vies. Et si on ne fait pas gaffe, eh bien, tout ça va nous amener vers une forme de solitude. J'ai eu un grand moment de réveil. Mes enfants avaient peut-être été tout petits, ils avaient trois et un an..., j'habitais à Vinon, loin de mes amis, ma famille, j'avais passé des années, à beaucoup travailler, je m'étais mise en couple, etc. Et j'ai ressenti à ce moment-là une vraie solitude amicale. Et tes liens profonds d'amitié, ils sont irremplaçables. Le couple ne va pas les remplacer, tes enfants ne vont pas les remplacer. Ils sont ceux qui te nourrissent et qui continuent de te voir différemment, de voir différemment la vie. Alors mon conseil, ce serait, ok, sache qu'une partie de ta vie va quelque part se dépeupler, va se remplir d'autres choses. Mais en tout cas, ces liens-là d'amitié, eh bien, apprends à les renouveler. Apprends à construire, à semer des graines pour être toujours fort de lien. qui vont te faire grandir et qui vont te donner de la joie. Parce que la joie dans la vie, c'est essentiel pour toutes tes sphères de vie. Donc, ne sois pas nostalgique, ose reclanter et investis dans ces relations vraies. Je sais qu'aujourd'hui, tout le monde est très, très connecté aux réseaux sociaux, etc. Mais les vraies relations, elles nécessitent du cœur, de la présence, du temps. Et tu peux investir ça dès maintenant. Voilà en synthèse ce que j'ai proposé aux jeunes femmes qui me liront sur LinkedIn, peut-être celles qui auront été curieuses et qui écouteront ce podcast. Merci à toi de le faire. Pour toutes les autres, peut-être que ça t'a fait revisiter aussi ton histoire plus ou moins lointaine. Encore une fois, partage-moi ce que tu en penses, quels auraient été les conseils que tu donnerais toi. Je serais très, très, très heureuse de te lire si tu aimes mon travail. Tu peux faire quelque chose de formidable, qui est très important, c'est de partager autour de toi en parlant. de mon podcast pour que plus de femmes m'écoutent jour après jour. Tu peux aussi me mettre un avis, 5 étoiles. Tu peux me laisser un commentaire. Voilà, je t'embrasse bien fort et je te dis à dans 15 jours. Ciao !

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Ce moment où tu sors des études avec plein d’élan… et où très vite, les choses deviennent floues, exigeantes, voire déstabilisantes ?

Dans cet épisode, j’ai eu envie de revenir à cette étape de vie.


Celle où j’aurais aimé recevoir ces 3 conseils essentiels, pour ne pas me perdre dans les attentes des autres, dans la quête de reconnaissance ou dans les multiples rôles qu’on enfile sans même s’en rendre compte.

🎧 Dans cet épisode, je te partage :

  • Pourquoi travailler sur soi est la base pour se sentir solide, ancrée et résiliente dans un monde professionnel parfois brutal.

  • En quoi l’engagement et l’interdépendance peuvent devenir de vraies forces (et pas des pièges).

  • Comment prendre soin de tes liens — notamment amicaux — peut nourrir profondément ton équilibre et ta joie de vivre.


Ce sont des leçons que j’ai apprises parfois dans la douleur… et que je transmets aujourd’hui avec beaucoup de tendresse à toutes les femmes en chemin.
Des conseils pour t’aider à rester alignée, à mieux vivre ta vie personnelle et professionnelle, et à ne plus t’oublier dans le tourbillon du quotidien.

👉 Si tu veux retrouver du sens, de la force et de la clarté, cet épisode est pour toi.


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  • Speaker #0

    La semaine dernière, j'ai reçu un email de la part de la rédaction de LinkedIn qui m'invitait à écrire un poste à destination des jeunes diplômés. J'ai essayé de jeter directement ce mail à la poubelle en me disant que je n'avais pas le temps et finalement je l'ai regardé de plus près parce qu'il m'a interpellé. Il disait notamment que dans une étude récente de l'APEC, le recrutement des cadres débutants avait baissé de 19% en 2024 et baissait de nouveau de 16% cette année. Et en fait, ça m'a rappelé mon démarrage dans la vie active, puisque quand je suis sortie des études en 98, c'était... aussi la crise. Et donc, j'ai jeté un coup d'œil un peu plus attendri sur cette demande de poste et je me suis laissée tenter. Je me suis dit, mais finalement, qu'est-ce que j'ai envie d'écrire à ces jeunes femmes qui font partie d'une génération pourtant très, très, très différente. C'était même étonnant de regarder en arrière, de ne plus compter les plus de 20 ans qui me séparaient du démarrage dans la vie active et de me demander qu'est-ce que je pourrais leur dire, leur parler aujourd'hui, malgré l'écart d'âge. malgré des générations si différentes. Donc, j'écris ce post. Et j'ai tellement aimé le faire, aimé cette rétrospective, que je me suis dit que ça valait le coup aussi de faire un épisode de podcast pour toi, pour nous, pour s'offrir ce moment de regarder dans le passé. Et j'aimerais bien d'ailleurs que tu réagisses. Peut-être que tu peux m'écrire sur Instagram si on est connecté. Sinon, tu as le lien vers mon Instagram dans les notes de ce podcast où tu peux aussi interagir dans le groupe WhatsApp des confidentielles des bienveillantes. tu as aussi dans les notes le lien pour intégrer ce groupe. Voilà, donc je leur ai donné trois conseils que je voudrais te partager aujourd'hui et qu'on regarde ensemble. Le premier conseil qui m'est venu de loin, je m'adresse bien évidemment un peu plus facilement aux femmes, bien que ça puisse faire écho chez les jeunes hommes aussi. Mais comme je travaille beaucoup avec les femmes, c'est vers elles que mon intention s'est dirigée. Et mon premier conseil, c'est de travailler sur soi. Pas pour devenir parfaite, non, mais pour... ne pas se perdre, pour se renforcer et ne pas être aussi facilement déstabilisable que je n'ai pu l'être à l'époque. Quand je regarde en arrière et que j'ai commencé dans la vie active, c'était une époque où il fallait montrer, faire ses preuves et c'était comme ça. Donc on arrivait un peu jeune, un peu tendre et puis je suis rentrée complètement dans le moule. Autant plus dans le moule que j'y suis arrivée avec mon costume de la bonne élève. et la serpe. professionnelle, elle peut être absolument fascinante, pleine d'excitation face aux défis, face aux challenges, face à la reconnaissance que l'on peut avoir à la montée en grade, mais aussi, malheureusement, et c'est presque normal et inévitable, ses intrigues, ses trahisons, ses déceptions. Donc, je suis rentrée dans cette vie active avec toute cette, un peu, innocence, avide d'approbation. Et j'ai croisé des mentors super, vraiment formidable. Mais je suis aussi croisée à des comportements malsains, voire pervers, voire ce que l'on qualifierait aujourd'hui d'abus. Et je n'étais pas prête à ces coups durs. Je me suis un peu jetée dans la gueule du loup par ignorance. Et c'est pour ça que mon premier conseil à toutes ces jeunes femmes, ce serait de se construire d'abord. Ce serait de pousser la porte d'un thérapeute ou d'un psy. Et il y en a plein pour se forger, pour mieux se connaître. pas pour se blinder, mais en fait pour s'ancrer, pour ne pas attendre des autres une validation que tu peux t'offrir toi-même. Et je dis ça parce qu'aujourd'hui, je suis dans l'accompagnement. Je dis ça parce que je l'ai fait plus tard. Moi, je l'ai fait à quasiment 40 ans. Et quand je vois ce que ça m'a apporté, je me dis que c'est tellement dommage de ne pas l'avoir fait plus tôt. Parce que c'est tout un monde que cette découverte de soi, que de découvrir dans notre construction, ce que l'on a en nous, toutes ces forces et ces fragilités, toute notre vulnérabilité. Et apprendre à se construire de l'intérieur, c'est vraiment se renforcer et rentrer dans cette joie d'apprendre à se connaître. Donc, j'aurais aimé m'y consacrer beaucoup plus tôt. Et je sais qu'aujourd'hui, beaucoup de jeunes femmes ont été élevées dans un contexte, une sorte de culture du développement personnel où elles ont les citations de Lao Tzu tous les matins au réveil, etc. Peut-être qu'elles ont l'impression d'être un peu plus armées, mais moi, je crois que le travail intérieur, c'est un travail profond, c'est un vrai cheminement ... C'est une vraie aventure à vivre et qui peut apporter tellement. Donc voilà pourquoi mon premier conseil, c'est celui-là. Je suis curieuse de savoir si c'est un conseil que tu donnerais également. Mon deuxième conseil... C'est n'aie pas peur de t'engager parce que l'interdépendance est une force. Encore une fois, je ne suis pas de cette nouvelle génération, mais ce que j'observe, ce que j'entends, c'est que dans cette nouvelle génération, l'investissement dans le monde du travail, c'est un peu désuet, c'est dépassé. C'est une génération qui a l'œil rivé sur la monde pour partir à l'heure, qui a l'œil rivé sur le salaire en se demandant quelle entreprise va leur offrir une meilleure opportunité. un meilleur salaire sans regarder toutes ces autres choses qu'on regardait nous, de faire carrière, de s'investir, etc. Et je comprends parce qu'ils sont forts de quoi ? De notre expérience à nous. Et notre expérience à nous, c'est une forme d'aveuglement où on faisait ce qu'on nous demandait, parfois bêtement, j'ai envie de dire, parce que c'est comme ça, parce que la valeur du travaille. Je comprends que ça soit décrié. Et effectivement, je vois beaucoup de personnes de ma génération qui sont tombées en burn-out parce que c'est une génération qui a connu beaucoups de revirement, entre des changements de direction, entre des changements de stratégie, entre des rachats. Donc, je les comprends bien ces jeunes. Et en même temps, moi, je trouve que l'engagement, ça m'a apporté aussi énormément. Donc, je vais te partager une toute petite notion. Je vais la vulgariser très vite qui vient de l'analyse transactionnelle. Ça parle d'interdépendance. L'interdépendance, ce n'est pas la dépendance. En analyse transactionnelle, la dépendance, ce serait un moment où toi, tu serais dans le besoin. Donc, les gens autour de toi seraient plutôt dans l'apport, Tu les verrais plutôt dans un rôle positif de quelqu'un ou un projet ou une entreprise qui te nourrit. Et toi, tu serais en position de vie moins, c'est-à-dire un moment où tu te nourris et tu es épaulé, aidé. Et ça, ça fait partie nécessairement, qu'on le veuille ou non, du parcours vers l'autonome. OK, mais après la dépendance, il y a l'indépendance. L'indépendance, c'est le moment où on s'est renforcé, on prend le poil de la bête et puis on se remet nous. dans une position plus armée, consciente de nos capacités, etc. Et souvent avec cette indépendance, il y a le fait de mettre l'entreprise, les autres, dans une position de vie moins. C'est-à-dire qu'on valorise moins, on va moins s'investir, on va plutôt se forger et se construire sur notre développement. Et pourtant, dans le cycle de l'autonomie, il y a après une phase qui est l'interdépendance. et l'interdépendance C'est une forme d'harmonisation et d'équilibre. C'est le moment où on construit ensemble. Je suis moi, tu es toi. Et ensemble, on construit quelque chose. On s'appuie sur nos forces respectives. On s'appuie sur un respect pour construire et se développer. Et ça, c'est vrai avec un conjoint, des collègues, un projet, une entreprise. Et tu peux d'ailleurs tout à fait faire le parallèle avec l'enfant. L'enfant qui est dans la dépendance, puis dans... l'indépendance quand il devient ado et arrive après, quand il devient jeune adulte, cette période qu'on lui souhaite et qu'on se souhaite en tant que parent d'interdépendance, de construction ensemble. Et ce qui m'effraie parfois quand j'entends ce manque d'engagement qui paraît qualifié, cette nouvelle génération, je me dis mais waouh, ce serait tellement dommage qu'il passe à côté de cette interdépendance qui est pourtant si créatrice, si fertile. En tout cas, moi ça me donne envie aussi de dire merci à mes anciennes équipes à certains de mes anciens collègues qui se reconnaîtront avec qui on a fait un travail formidable de construction, avec qui j'ai pu grandir, ils ont pu grandir et on a pu construire des choses absolument formidables. Donc, apprends à te connaître, à poser des bases et tout ça pour rendre possible ces relations avec des entreprises, avec des projets, avec des personnes qui peuvent se faire sous le jour d'une vraie interdépendance. Mon troisième conseil, j'ai écrit dans le post, c'est ... à prendre soin de tes liens. Je me rends compte, avec le temps, qu'à ce moment de notre vie, il se passe un vrai tremblement de terre. C'est-à-dire qu'on passe une période où les amitiés sont très profondes, très présentes. Et puis, les choses ont très vite bougé. Parce qu'après les études, c'est les déménagements, les chemins qui se séparent, selon les carrières, et puis selon aussi les mariages, puis les enfants qui arrivent. Et assez naturellement, tous ces liens qui étaient si forts vont se distendre. Et c'est normal. Et quelque part, il ne faut pas lutter. Les sociologues le disent très bien, ils ont fait des études qui montrent que les amitiés peuvent être vraiment presque prédictes en fonction de la proximité physique que les personnes ont entre eux. Donc, on passe d'une période où l'amitié et tous ces liens sont très présents à une période où il va y avoir tout ce changement dans nos vies. Et si on ne fait pas gaffe, eh bien, tout ça va nous amener vers une forme de solitude. J'ai eu un grand moment de réveil. Mes enfants avaient peut-être été tout petits, ils avaient trois et un an..., j'habitais à Vinon, loin de mes amis, ma famille, j'avais passé des années, à beaucoup travailler, je m'étais mise en couple, etc. Et j'ai ressenti à ce moment-là une vraie solitude amicale. Et tes liens profonds d'amitié, ils sont irremplaçables. Le couple ne va pas les remplacer, tes enfants ne vont pas les remplacer. Ils sont ceux qui te nourrissent et qui continuent de te voir différemment, de voir différemment la vie. Alors mon conseil, ce serait, ok, sache qu'une partie de ta vie va quelque part se dépeupler, va se remplir d'autres choses. Mais en tout cas, ces liens-là d'amitié, eh bien, apprends à les renouveler. Apprends à construire, à semer des graines pour être toujours fort de lien. qui vont te faire grandir et qui vont te donner de la joie. Parce que la joie dans la vie, c'est essentiel pour toutes tes sphères de vie. Donc, ne sois pas nostalgique, ose reclanter et investis dans ces relations vraies. Je sais qu'aujourd'hui, tout le monde est très, très connecté aux réseaux sociaux, etc. Mais les vraies relations, elles nécessitent du cœur, de la présence, du temps. Et tu peux investir ça dès maintenant. Voilà en synthèse ce que j'ai proposé aux jeunes femmes qui me liront sur LinkedIn, peut-être celles qui auront été curieuses et qui écouteront ce podcast. Merci à toi de le faire. Pour toutes les autres, peut-être que ça t'a fait revisiter aussi ton histoire plus ou moins lointaine. Encore une fois, partage-moi ce que tu en penses, quels auraient été les conseils que tu donnerais toi. Je serais très, très, très heureuse de te lire si tu aimes mon travail. Tu peux faire quelque chose de formidable, qui est très important, c'est de partager autour de toi en parlant. de mon podcast pour que plus de femmes m'écoutent jour après jour. Tu peux aussi me mettre un avis, 5 étoiles. Tu peux me laisser un commentaire. Voilà, je t'embrasse bien fort et je te dis à dans 15 jours. Ciao !

Description

Tu te souviens de ce moment charnière où tout commence ?


Ce moment où tu sors des études avec plein d’élan… et où très vite, les choses deviennent floues, exigeantes, voire déstabilisantes ?

Dans cet épisode, j’ai eu envie de revenir à cette étape de vie.


Celle où j’aurais aimé recevoir ces 3 conseils essentiels, pour ne pas me perdre dans les attentes des autres, dans la quête de reconnaissance ou dans les multiples rôles qu’on enfile sans même s’en rendre compte.

🎧 Dans cet épisode, je te partage :

  • Pourquoi travailler sur soi est la base pour se sentir solide, ancrée et résiliente dans un monde professionnel parfois brutal.

  • En quoi l’engagement et l’interdépendance peuvent devenir de vraies forces (et pas des pièges).

  • Comment prendre soin de tes liens — notamment amicaux — peut nourrir profondément ton équilibre et ta joie de vivre.


Ce sont des leçons que j’ai apprises parfois dans la douleur… et que je transmets aujourd’hui avec beaucoup de tendresse à toutes les femmes en chemin.
Des conseils pour t’aider à rester alignée, à mieux vivre ta vie personnelle et professionnelle, et à ne plus t’oublier dans le tourbillon du quotidien.

👉 Si tu veux retrouver du sens, de la force et de la clarté, cet épisode est pour toi.


Et si tu l’aimes, pense à le partager autour de toi 💛

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  • Speaker #0

    La semaine dernière, j'ai reçu un email de la part de la rédaction de LinkedIn qui m'invitait à écrire un poste à destination des jeunes diplômés. J'ai essayé de jeter directement ce mail à la poubelle en me disant que je n'avais pas le temps et finalement je l'ai regardé de plus près parce qu'il m'a interpellé. Il disait notamment que dans une étude récente de l'APEC, le recrutement des cadres débutants avait baissé de 19% en 2024 et baissait de nouveau de 16% cette année. Et en fait, ça m'a rappelé mon démarrage dans la vie active, puisque quand je suis sortie des études en 98, c'était... aussi la crise. Et donc, j'ai jeté un coup d'œil un peu plus attendri sur cette demande de poste et je me suis laissée tenter. Je me suis dit, mais finalement, qu'est-ce que j'ai envie d'écrire à ces jeunes femmes qui font partie d'une génération pourtant très, très, très différente. C'était même étonnant de regarder en arrière, de ne plus compter les plus de 20 ans qui me séparaient du démarrage dans la vie active et de me demander qu'est-ce que je pourrais leur dire, leur parler aujourd'hui, malgré l'écart d'âge. malgré des générations si différentes. Donc, j'écris ce post. Et j'ai tellement aimé le faire, aimé cette rétrospective, que je me suis dit que ça valait le coup aussi de faire un épisode de podcast pour toi, pour nous, pour s'offrir ce moment de regarder dans le passé. Et j'aimerais bien d'ailleurs que tu réagisses. Peut-être que tu peux m'écrire sur Instagram si on est connecté. Sinon, tu as le lien vers mon Instagram dans les notes de ce podcast où tu peux aussi interagir dans le groupe WhatsApp des confidentielles des bienveillantes. tu as aussi dans les notes le lien pour intégrer ce groupe. Voilà, donc je leur ai donné trois conseils que je voudrais te partager aujourd'hui et qu'on regarde ensemble. Le premier conseil qui m'est venu de loin, je m'adresse bien évidemment un peu plus facilement aux femmes, bien que ça puisse faire écho chez les jeunes hommes aussi. Mais comme je travaille beaucoup avec les femmes, c'est vers elles que mon intention s'est dirigée. Et mon premier conseil, c'est de travailler sur soi. Pas pour devenir parfaite, non, mais pour... ne pas se perdre, pour se renforcer et ne pas être aussi facilement déstabilisable que je n'ai pu l'être à l'époque. Quand je regarde en arrière et que j'ai commencé dans la vie active, c'était une époque où il fallait montrer, faire ses preuves et c'était comme ça. Donc on arrivait un peu jeune, un peu tendre et puis je suis rentrée complètement dans le moule. Autant plus dans le moule que j'y suis arrivée avec mon costume de la bonne élève. et la serpe. professionnelle, elle peut être absolument fascinante, pleine d'excitation face aux défis, face aux challenges, face à la reconnaissance que l'on peut avoir à la montée en grade, mais aussi, malheureusement, et c'est presque normal et inévitable, ses intrigues, ses trahisons, ses déceptions. Donc, je suis rentrée dans cette vie active avec toute cette, un peu, innocence, avide d'approbation. Et j'ai croisé des mentors super, vraiment formidable. Mais je suis aussi croisée à des comportements malsains, voire pervers, voire ce que l'on qualifierait aujourd'hui d'abus. Et je n'étais pas prête à ces coups durs. Je me suis un peu jetée dans la gueule du loup par ignorance. Et c'est pour ça que mon premier conseil à toutes ces jeunes femmes, ce serait de se construire d'abord. Ce serait de pousser la porte d'un thérapeute ou d'un psy. Et il y en a plein pour se forger, pour mieux se connaître. pas pour se blinder, mais en fait pour s'ancrer, pour ne pas attendre des autres une validation que tu peux t'offrir toi-même. Et je dis ça parce qu'aujourd'hui, je suis dans l'accompagnement. Je dis ça parce que je l'ai fait plus tard. Moi, je l'ai fait à quasiment 40 ans. Et quand je vois ce que ça m'a apporté, je me dis que c'est tellement dommage de ne pas l'avoir fait plus tôt. Parce que c'est tout un monde que cette découverte de soi, que de découvrir dans notre construction, ce que l'on a en nous, toutes ces forces et ces fragilités, toute notre vulnérabilité. Et apprendre à se construire de l'intérieur, c'est vraiment se renforcer et rentrer dans cette joie d'apprendre à se connaître. Donc, j'aurais aimé m'y consacrer beaucoup plus tôt. Et je sais qu'aujourd'hui, beaucoup de jeunes femmes ont été élevées dans un contexte, une sorte de culture du développement personnel où elles ont les citations de Lao Tzu tous les matins au réveil, etc. Peut-être qu'elles ont l'impression d'être un peu plus armées, mais moi, je crois que le travail intérieur, c'est un travail profond, c'est un vrai cheminement ... C'est une vraie aventure à vivre et qui peut apporter tellement. Donc voilà pourquoi mon premier conseil, c'est celui-là. Je suis curieuse de savoir si c'est un conseil que tu donnerais également. Mon deuxième conseil... C'est n'aie pas peur de t'engager parce que l'interdépendance est une force. Encore une fois, je ne suis pas de cette nouvelle génération, mais ce que j'observe, ce que j'entends, c'est que dans cette nouvelle génération, l'investissement dans le monde du travail, c'est un peu désuet, c'est dépassé. C'est une génération qui a l'œil rivé sur la monde pour partir à l'heure, qui a l'œil rivé sur le salaire en se demandant quelle entreprise va leur offrir une meilleure opportunité. un meilleur salaire sans regarder toutes ces autres choses qu'on regardait nous, de faire carrière, de s'investir, etc. Et je comprends parce qu'ils sont forts de quoi ? De notre expérience à nous. Et notre expérience à nous, c'est une forme d'aveuglement où on faisait ce qu'on nous demandait, parfois bêtement, j'ai envie de dire, parce que c'est comme ça, parce que la valeur du travaille. Je comprends que ça soit décrié. Et effectivement, je vois beaucoup de personnes de ma génération qui sont tombées en burn-out parce que c'est une génération qui a connu beaucoups de revirement, entre des changements de direction, entre des changements de stratégie, entre des rachats. Donc, je les comprends bien ces jeunes. Et en même temps, moi, je trouve que l'engagement, ça m'a apporté aussi énormément. Donc, je vais te partager une toute petite notion. Je vais la vulgariser très vite qui vient de l'analyse transactionnelle. Ça parle d'interdépendance. L'interdépendance, ce n'est pas la dépendance. En analyse transactionnelle, la dépendance, ce serait un moment où toi, tu serais dans le besoin. Donc, les gens autour de toi seraient plutôt dans l'apport, Tu les verrais plutôt dans un rôle positif de quelqu'un ou un projet ou une entreprise qui te nourrit. Et toi, tu serais en position de vie moins, c'est-à-dire un moment où tu te nourris et tu es épaulé, aidé. Et ça, ça fait partie nécessairement, qu'on le veuille ou non, du parcours vers l'autonome. OK, mais après la dépendance, il y a l'indépendance. L'indépendance, c'est le moment où on s'est renforcé, on prend le poil de la bête et puis on se remet nous. dans une position plus armée, consciente de nos capacités, etc. Et souvent avec cette indépendance, il y a le fait de mettre l'entreprise, les autres, dans une position de vie moins. C'est-à-dire qu'on valorise moins, on va moins s'investir, on va plutôt se forger et se construire sur notre développement. Et pourtant, dans le cycle de l'autonomie, il y a après une phase qui est l'interdépendance. et l'interdépendance C'est une forme d'harmonisation et d'équilibre. C'est le moment où on construit ensemble. Je suis moi, tu es toi. Et ensemble, on construit quelque chose. On s'appuie sur nos forces respectives. On s'appuie sur un respect pour construire et se développer. Et ça, c'est vrai avec un conjoint, des collègues, un projet, une entreprise. Et tu peux d'ailleurs tout à fait faire le parallèle avec l'enfant. L'enfant qui est dans la dépendance, puis dans... l'indépendance quand il devient ado et arrive après, quand il devient jeune adulte, cette période qu'on lui souhaite et qu'on se souhaite en tant que parent d'interdépendance, de construction ensemble. Et ce qui m'effraie parfois quand j'entends ce manque d'engagement qui paraît qualifié, cette nouvelle génération, je me dis mais waouh, ce serait tellement dommage qu'il passe à côté de cette interdépendance qui est pourtant si créatrice, si fertile. En tout cas, moi ça me donne envie aussi de dire merci à mes anciennes équipes à certains de mes anciens collègues qui se reconnaîtront avec qui on a fait un travail formidable de construction, avec qui j'ai pu grandir, ils ont pu grandir et on a pu construire des choses absolument formidables. Donc, apprends à te connaître, à poser des bases et tout ça pour rendre possible ces relations avec des entreprises, avec des projets, avec des personnes qui peuvent se faire sous le jour d'une vraie interdépendance. Mon troisième conseil, j'ai écrit dans le post, c'est ... à prendre soin de tes liens. Je me rends compte, avec le temps, qu'à ce moment de notre vie, il se passe un vrai tremblement de terre. C'est-à-dire qu'on passe une période où les amitiés sont très profondes, très présentes. Et puis, les choses ont très vite bougé. Parce qu'après les études, c'est les déménagements, les chemins qui se séparent, selon les carrières, et puis selon aussi les mariages, puis les enfants qui arrivent. Et assez naturellement, tous ces liens qui étaient si forts vont se distendre. Et c'est normal. Et quelque part, il ne faut pas lutter. Les sociologues le disent très bien, ils ont fait des études qui montrent que les amitiés peuvent être vraiment presque prédictes en fonction de la proximité physique que les personnes ont entre eux. Donc, on passe d'une période où l'amitié et tous ces liens sont très présents à une période où il va y avoir tout ce changement dans nos vies. Et si on ne fait pas gaffe, eh bien, tout ça va nous amener vers une forme de solitude. J'ai eu un grand moment de réveil. Mes enfants avaient peut-être été tout petits, ils avaient trois et un an..., j'habitais à Vinon, loin de mes amis, ma famille, j'avais passé des années, à beaucoup travailler, je m'étais mise en couple, etc. Et j'ai ressenti à ce moment-là une vraie solitude amicale. Et tes liens profonds d'amitié, ils sont irremplaçables. Le couple ne va pas les remplacer, tes enfants ne vont pas les remplacer. Ils sont ceux qui te nourrissent et qui continuent de te voir différemment, de voir différemment la vie. Alors mon conseil, ce serait, ok, sache qu'une partie de ta vie va quelque part se dépeupler, va se remplir d'autres choses. Mais en tout cas, ces liens-là d'amitié, eh bien, apprends à les renouveler. Apprends à construire, à semer des graines pour être toujours fort de lien. qui vont te faire grandir et qui vont te donner de la joie. Parce que la joie dans la vie, c'est essentiel pour toutes tes sphères de vie. Donc, ne sois pas nostalgique, ose reclanter et investis dans ces relations vraies. Je sais qu'aujourd'hui, tout le monde est très, très connecté aux réseaux sociaux, etc. Mais les vraies relations, elles nécessitent du cœur, de la présence, du temps. Et tu peux investir ça dès maintenant. Voilà en synthèse ce que j'ai proposé aux jeunes femmes qui me liront sur LinkedIn, peut-être celles qui auront été curieuses et qui écouteront ce podcast. Merci à toi de le faire. Pour toutes les autres, peut-être que ça t'a fait revisiter aussi ton histoire plus ou moins lointaine. Encore une fois, partage-moi ce que tu en penses, quels auraient été les conseils que tu donnerais toi. Je serais très, très, très heureuse de te lire si tu aimes mon travail. Tu peux faire quelque chose de formidable, qui est très important, c'est de partager autour de toi en parlant. de mon podcast pour que plus de femmes m'écoutent jour après jour. Tu peux aussi me mettre un avis, 5 étoiles. Tu peux me laisser un commentaire. Voilà, je t'embrasse bien fort et je te dis à dans 15 jours. Ciao !

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