Speaker #0précédemment dans les dessous de savent pourquoi ils veulent nous voir être en odeur de sainteté vous êtes mon agent c'est estimé bien vu de quelqu'un ou avoir une haute opinion de la suite à faire faire pour le nouveau directeur des progrès l'honorer voire le vénérer mais c'est un peu plus tard après hier et demain La série juste avant Reichman. Cette expression vient de la croyance selon laquelle les saints, de par leur peau de déperflexion, on va stopper là cette collaboration qui n'est fructueuse pour personne, exhalent une sublime odeur au moment de trépasser. Tout ce qu'on vient de regarder là, c'est de la merde. Contrairement à nous, pauvres mortels, qui lors de notre dernier souffle et en guise de cadeau d'adieu, il ne suffit pas d'avoir quelques apprentissances, faisons lamentablement dans notre veine. et connaître bibliquement certaines personnes haut placées au ministère de la Culture pour faire du gras dans un job qui de toute évidence ne vaut bien pas. Ciao à tous ! Fini le piston, moi je porte à gauche. Bref, je n'étais plus en odeur de saint-Monté. Pour nos téléspectateurs, la vie est loin d'être aussi frivole, insignifiante, superficielle que vous ne la décrivez. Vous m'avez retiré l'auréole au-dessus de la tête. Les gens ont besoin de se reconnaître. Adé. je redevenais mortel l'auréole à présent je l'avais bravé au derrière sur le futal ne soyez pas dépité sébastien vous le savez mieux que personne après hier viendra d'homme les deux sauts de savin les réflexions et tribulations d'un parisien gay quarantenaire et célibataire Épisode 2 L'odeur de santé Bonjour, vous êtes bien sur la boîte vocale de Laurent Pourre. Merci de laisser votre message, je vous rappelle dès que j'en aurai pris connaissance. Ah, tu ne veux pas répondre. Jeudi 20 octobre 2023, le chaman 17h08. C'est encore mon agent, avenue de l'Opéra, Paris. C'est Sébastien Savin. T'as rendez-vous à l'extérieur ? Mais je lui laisse des messages depuis 3 jours, sans réponse. Soyez gentil, n'insistez pas. Je l'appelle au téléphone, il ne me répond pas. Alors je viens directement ici. Laurent n'est pas là. Je suis sûr qu'il est là. Non, Sébastien. Ouvrez-moi, il faut que je le voie. Non ! Oh, merde ! Mal baisé. Quoi, qu'est-ce qu'il y a ? On ne parle que de soi. Mais j'ai plus d'un tour dans mon sac. J'ai la double sim. Ha ha ! Double sim, double numéro. C'est absolument brillant, Sébastien. Dans quelques instants, il sera fait ça lui-même. Allô ? Allô ? C'est UberEat ? Pas du tout. Non ? C'est... C'est bête. Alors ne dérangez pas les gens ! Mais... Merde ! Non, c'est pas du tout brillant ça. On annule tout, on recommence. Et on est créatifs. Allô ? Allô ? Allô ? Mais c'est bien ça, alors... Allô ? Oui ? Oui ? Oui, j'ai réfléchi, c'est UberEat en fin de compte. Mais qu'est-ce que vous foutez, nom de Dieu ? Ça fait des plombs que je vous attends ! Oui, c'est parce qu'on a eu un problème avec le......le couscous. Le couscous ? Oui, le couscous, oui. J'ai commandé un McDo. Oh, merde. C'est le McCouscous. Le McCouscous ? C'est les nouveaux sandwichs de la collection au temps divin. On chia se tromper tout le temps. On a le McChoucroute et le McBlanquette aussi. Moi, j'ai commandé un Apivit. Attention. Avec un puzzle et par quoi pour le choc ? Un McFish, une petite frite. De bol à piéger. Et un Pantard. Laurent. Et ? C'est Sébastien Savin à l'appareil. Ha ha ! Dis ça. Oh, mais qu'est connard ! Sébastien Savin, l'auteur que vous êtes censé représenter et défendre ! Pardon, j'avais compris, Sapin ! Oui, c'est ça, Laurent. Considérez que c'est votre Savin de Noël. Ah, Sébastien ! J'ai bien eu vos 142 appels en absent ? Eh oui. Et vos 76 messages ? Bah oui. En trois jours ? Et donc ? Mon petit doigt me dit que vous voulez me parler. Bien joué, Sherlock. Je confonds que vous ayez besoin d'explications quant à cette éviction injuste de la série. Eh ben, tu m'étonnes. C'est bien normal. Tout allait bien, il y a encore... 15 jours dégueulasse moi je comprends pas tout c'est pas tout c'est pas tout pas tout pas tout pas tout ma nouvelle servante secrétaire oui je vire Martine elle m'emmerde bon vous voyez vous n'êtes pas le seul toi oui enfin c'est pas Laurent je suis dans la rue en bas de votre immeuble ah oui Ah oui, je suis pas là. Laurent, arrêtez, je vous vois en train de regarder derrière le rideau à la fenêtre. Ah oui, je vous vois, coucou, ah ah ah ah ! Oh ben Sébastien, fallait pas vous déplacer ? Je veux monter, je veux qu'on parle. Alors j'aurai un créneau pour vous recevoir ce soir... Très bien. Dans cette nuit à 1h37. Je m'en fous, j'attendrai. Ah oui, bah du coup je peux pas, je dois aller chercher le petit à la crèche. Du coup j'avance notre rendez-vous à aujourd'hui 16h. Il est 17h15. Eh ben vous êtes en retard mon vieux. Oh ça doit être le livreur ça. J'ai pas que ça à faire que d'attendre... Pardon monsieur, j'ai oublié mes comptes. Alors je fais l'heure, y'en a qui bossent hein. Merci monsieur. Notre rendez-vous est annulé. Pardon je passe devant, je suis pressé. Découvrez pas que vous êtes toujours en retard. Non Laurent c'est faux, je suis toujours à l'heure, parfois même très en avance. Vous aussi, vous allez voir. Joyeux Noël et bonne année Sébastien. Je suis sur mon vélo. Oh, Sébastien ! Bonjour Martine ! Non Sébastien ! Vous faites vos cartons ? Je vous en prie, Laurent ne veut plus vous recevoir ! Arrêtez de faire du zèle Martine ! Sébastien, je vous en supplie ! Laurent vous vire ! Quoi ? Eh oui, je suis désolé, c'est ce qu'il vient de me dire à l'instant au téléphone. Mais... Il m'a dit, elle m'emmerde, je la vire ! Il va recruter une certaine Patou. Eh oui, c'est dur. Alors, je peux rentrer dans son bureau maintenant ? Oui. Tac, tac, tac, il frappe à ma porte. C'est ses... Une mille pattes. Qui veut passer ? C'est quoi ce truc ? Le mot de passe pour entrer Tac, tac, tac, qui frappe à ma porte ? C'est le mille pattes qui est pressé L'art du suspense, si tu veux faire un coup d'éclat ici, bah tu repasses Pas fini Martin Qui veut cirer ses vile souillés pour s'en aller au bal dans les prés ? C'est bon, c'est fini ? On va voir ! C'est bon Martine, vous pouvez entrer. Voilà. Ah, ah ! Coucou, c'est le mille-pattes. Merde Martine, pardon, je suis désolé. Ça va Martine ? Oh Sébastien ! Oh Martine, quelle joie de vous voir ! Ne vous donnez pas ce mal, ça sonne faux. Et qu'est-ce qui vous amène ? Alors comme ça vous me virez. Pardon, Martin. Non, c'est moi. Non, non, je vous en prie. Non, allez-y, allez-y. C'est intéressant, c'est de la stéréo, quoi. Tout ça parce que je liche avec Romain Labroix. Pardon ? Hein ? Non, rien. Mais je le regrette. Oui, je suis contrôlé. On m'a forcé la main. Martine. Et les promesses que vous m'avez faites. Bon, écoutez Martine, allez-y, terminez parce que... Mais je veux surtout pas qu'apparaissent... Non, non, je vous en prie, je vous en prie. Je m'exprimerai après. Les mains au derrière. Charmant. Les effleurements dégueulasses. Connard. Vos insinuations obscènes. Gros porc. Et toutes les diptyques que vous m'avez envoyées. Les quoi ? Diptyques. Diptyques. Dip... Ah, dick pics. Diptyques, c'est des bougies parfumées. Oui, bah là, l'odeur est loin d'être enivrante. Allez-y, Martine, défoncez-le. J'ai pensé comme une conne qu'en souriant, qu'en ricanant et qu'en voulait s'en faire, j'allais être à l'abri. A priori, non. Fini, Martine. Bienvenue, Patou. Mais, Martine... Pauvre cul. Mon petit roudoudou. De quoi vous parlez ? Quittez pas... Laurent, vous revenez. Parce que moi aussi, j'ai des trucs à vous dire. C'est quand même incroyable que mes problèmes à moi soient toujours relégués au second plan. Bel bordel sur son bureau à lui. Je regarde pas, moi je suis pas dans les affaires des gens. Les deux valeurs. Projet de scénario urgent. Ne rien dire à Sébastien Savo. Deadline 30 minutes. Le sac au taire, le chocolat dans la baisasse. Oui, c'est pour rigoler. Vous êtes pas viré. En quelle époque, en quelle époque. Ça va Sébastien ? Euh oui, oui, très bien. On peut plus mettre de mon au cul. On a une gentille de mon au cul. Ça détend tout le monde. Allo, c'est le futur, c'est une nouvelle challenge. Moi, je suis un peu plus tard, mais je vais y aller. Je suis là, je vais faire un stage.
