Speaker #0vouloir que l'autre soit heureux c'est une belle preuve d'amour oui coucou c'est maman à bonjour faire pour que l'autre soit heureux que c'est un bon bazar de temps cela peut être une intrusion que tu as 40 ans et que ça n'a ni qu'une idée mettre une note sur le bonheur de l'autre je vais te présenter jean 7 c'est notre prof de danse de salle vouloir le bonheur de l'autre pour être soulagé soi même 56 ans ? Et d'un autre côté ? Chez ses parents ? Se demander si l'on est heureux comme il faut. J'ai un écossais qui me suit avec une cornemuse maintenant. Par amour, faire semblant d'être heureux pour ne pas attrister. Oui, j'ai fait ça. Viens te chercher à la gare Saint-Lazare. Faire semblant d'être heureux comme les autres aimeraient qu'on le soit. Tu le reconnaîtras facilement, Jean-Seb joue de la cornemuse. Quoi ? Absolument. Voici un nouvel épisode. Des dessous de savon. Bienvenue en garde-lisieux. Bienvenue en garde-lisieux. Ah non, non, non, non. Sébastien, c'est moi qui vous ouvre la porte. Ah si, si, si. C'est Jean-Pierre. Bon. Ah, zut. Merci, j'ai oublié le chat. On va le mettre derrière. Et puis la tronçonneuse aussi. Ouais. Et puis on va retirer les miettes aussi. Voilà. Voilà. Voilà, c'est tout propre. Vous pouvez vous asseoir. Merci beaucoup. Bougez pas, j'arrive. C'est quoi ça ? Non, c'est rien. C'est mes poules. Il y a une vie parallèle dans cette bagnole. Allez, c'est parti mon kiki ! Pour la garden party ! Attention, je suis un pétard, faut le savoir. Vous aimez la musique Sébastien ? Oui, j'aime bien la musique. Ok. C'est quoi ça ? Vous avez su ressauter ? J'ai cru qu'un pneu avait éclaté. Mais non, c'est Dylan Farmer. Sébastien, on se tutoie ? Comme vous voudrez. Alors qu'est-ce que tu cherches comme relation toi ? Moi je cherche du sérieux, du super sérieux, pour la vie entière tu vois. Attention Jean-Seb, ça c'est pas le levier de vitesse, c'est mon genou. Tu sais je sais plus à combien on passe la troisième là. Quand la fumée sort du capot comme maintenant ça me semble bien. Choc, choc, suis libertine, aïe, ouch, aïe, ouch. Mais c'est fragile... Ah ! Ouioui ! A Paris, y'a qu'à claquer des doigts, non ? Hein ? Ça doit y aller, à Paris. Pourquoi donc ? Ça doit être un sacré festival de parties de jambon-l'air. Matin, midi et soir... Et puis jamais avec le même. Hein ? Oh, vous me pensez beaucoup plus gaillard que je ne le suis, Jean-Sébastien. Ah ! Attention, vous avez loupé la sortie. Oh non ! Oh, quel vieil salope d'idiote de conne de pauvre nouille ! Non, mais c'est pas grave. Tiens ! Tiens, c'est le bon monde ! Seb ? Quoi ? Tu trouves que je suis une pauvre fille ? Non, Jean-Sébastien, je ne trouve pas que vous soyez une pauvre fille. Par contre, je trouve très dangereux qu'on soit arrêtés sur l'autoroute. Merci, c'est gentil. On peut redémarrer peut-être ? Tu sais, je sais tout de toi. Hein ? Ta mère m'a tout dit. Hein ? Je sais que t'adores Karine Chéry. Ça m'est passé. Je sais que t'as peur de te mettre debout sur un banc. Oui, quand j'avais 4 ans. Je sais que t'as peur des pigeons. Je sais ta vie ratée parce que t'as pas eu ton bac. Ton grain de beauté sur le zizi enfin touche. Mais c'est pas grave. On peut y aller Jean-Seb s'il vous plaît ? Tiens, voilà, ça c'est pour toi. Je savais pas quand t'as donné, je trouve que c'est le bon moment là. Qu'est-ce que c'est que ça ? Quand je l'ai vu dans le manège à bijoux, j'ai tout de suite pensé à toi. De toute façon, je pense toujours à toi. Tu sais, quand j'arrive pas à m'endormir le soir, je regarde la cassette vidéo de Winnie l'ourson. T'es fabuleux là-dedans. Je connais toutes tes répliques par cœur. Oh ! Elle est où la queue de bourriquets ? Ah, c'est monsieur qui est assis dessus. Winnie, I love you forever and ever. Doucement, Jean-Sébastien. Sébastien, si je pouvais me mettre à genoux ? Je serais. Mais je ne peux pas dans la congou. Non, là, c'est pas possible. Sébastien, j'ai 56 ans. C'est ma dernière chance. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer comme on ne t'a jamais aimé. Je vais t'aimer plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer. Michel Sardou. D'accord. T'aimes Michel Sardou ? J'adore. Et Michel Sardou sur Mylène Farmer, c'est encore plus joli. Oh, je suis tellement d'accord. On vient au moment magique, Seb. Je peux réfléchir ? Pour ? Non, parce que c'est pas souvent que je me prends une grosse vague de détresse. De ? Non, je disais, allumons donc les feux de détresse. Ah oui, oui, bien sûr. Je les prends le volant. Moi, j'adore me faire conduire. On va y aller ? Oui. Non, on n'ouvre pas la porte. Ah oui. On est sur l'autoroute, ça serait dangereux. Ah oui. Voilà. Alors on va s'engender en quelque sorte. Je suis sûr. Attends. Pardon, j'en sais plus. C'est votre nom. Non, désolé. C'est votre nom. Attends. Oui. Pardon. Limites, pas limites, toujours pas ses limites toi. Georgette, vous notez 37.1 pour Sébastien. 37.1 pour Sébastien. Qu'est-ce que t'as brûlé ? Ben euh... Ça y est, tu l'as pris en main le Jean-Seb là ? Ben justement maman, je voulais t'en parler, complètement flingué ce type. Oh, putain rien à craindre, pute, il est increvable. Georgette, dis-moi, rappelle-moi, combien de fois il s'est fait péter la cervelle le Jean-Seb ? Dix-vingt fois. Au moins six fois. C'est pas rassurant. Eh ben il s'est pas envisé. Oh oh, oh oh... Monsieur Fourchaud, au lémin. 37 9, on arrondit à 37 2, hein, Georgette ? Non, mais on va pas gâcher la fête parce qu'on a des bouffées de chaleur. Sébastien, je te présente M. Fourchaud et sa roupette. Bonjour, monsieur. Bonjour, roupette. Elle est magnifique, hein, bien plus grosse que l'an dernier. Et puis elle est en forme, hein, votre roupette, monsieur. C'est ta paire. Bon, expliquez les règles du loto-gooze à mon fils, c'est lui qui va animer la partie. Jean-Seb, les mains. Ah ! Ça marche à tous les coups. 37,8, t'as eu un coup de chaud mon Jean-Seb. C'est l'amour. Jean-Seb, 36,4 pour Jean-Seb. Ah oui, c'est pas le Covid, c'est les émotions. C'est l'amour, c'est un coup de foudre, vraiment, vraiment, j'ai un coup. Alors, Monsieur Fourchon, ça fait longtemps que Roupette est la star du L'Autoboose ? Ah, d'accord. Et c'est quoi les règles alors ? Ok, ok, merci beaucoup. Bonjour monsieur, bonjour. Monsieur Camus, retraité de la marée chaussée. Enchanté, Sébastien Savin. Est-ce que vous pourriez aller discrètement glisser aux oreilles de Roupette, qu'elle aille bouser sur le numéro 28 ? Bah, je suis pas sûr que... Ben, le vin me tient absolument à gagner ce gros jambon. Monsieur Camus, ô les mains ! 36,8, parfait, vous pouvez circuler. Sébastien, ô les mains ! Oh, encore ? Tu veux qu'on me foute en tôle pour cause de clusters ? Clusters ? Clusters. Chut, 37,2, bon, ça va. Tu viens de voir Jean-Seb ? Ouais. Il me dit qu'il te trouve extrêmement distant. Il m'étonne, j'en ai rien à foutre, moi. Et moi, en le regardant, là, je me suis mis à penser... Je ne sais pas bien si j'ai envie de l'avoir pour genre. Ah ben... Tu comprends ? Oui, bah oui. Je sais pas moi si j'ai envie de le voir tous les dimanches en quitte à ma table. Mais enfin maman, c'est toi qui a tout fait pour qu'il me coure après. Oupé ! Oui, oui, oui, oui, oui. C'est pas le cas. Oui, oui, bah justement. Je sais prendre mes responsabilités. Je lui ai dit que tu étais avec quelqu'un... Quoi ? Que je me trompais et que j'avais mal compris. Mais, mais, ah, mais enfin, mais qu'est-ce que t'as à te dire ? Oh, j'en suis... Je suis extrêmement déçu. Je suis désolé. T'aurais pu me le dire avant. Oui, j'aurais pu, mais je viens de l'apprendre. En plus, avec Philippe Fourchaud. Oui, ma langue a fourché, j'ai dit Fourchaud. Philippe Fourchaud ? Oui. Le papa de Roupette ? Oui, le papa de Roupette. Roupette ? Mais vivez votre amour tous les deux. Oui, de Pogno. J'étais pas au courant pour vous, monsieur Fourchaud. Mais, allez-y. Maintenant que tout le monde est au courant, allez-y, embrassez-vous. Embrasse-le. Brouhaha Embrassez-vous ! Oui, vas-y Sébastien ! Ah bah ça t'es moins farouche pour aller embrasser les Ausha aux eaux de Thoiry ! Ah bah ceux-là ils se sont fait galocher ! Tu me fatigues ! Brouhaha Brouhaha Eh ben voilà une bonne chose de faite, maintenant c'est l'autobus et Tartoprun ! Qu'est-ce que c'est ? Ah bah ils ont ouvert la chasse beaucoup plus tôt cette année ! Et voilà, je me suis encore raté. Mais quel con de vie de merde, mon père ! C'était votre épisode des Dessous de Savin. On se retrouve vendredi prochain dès 7h pour un épisode inédit de la troisième saison. En attendant, abonnez-vous à ce podcast, vous serez notifiés de sa sortie. Mettez un avis et partagez cet épisode avec les gens que vous aimez. C'est le meilleur moyen de soutenir l'émission. Retrouvons-nous sur Instagram, Facebook, Ausha Sébastien Savin en un seul mot. Passez une très belle journée, une magnifique semaine. A la semaine prochaine.