La main dans le sac (Partie 1) cover
La main dans le sac (Partie 1) cover
LES DESSOUS DE SAVIN - Journal intime d'un quadra gay et célibataire.

La main dans le sac (Partie 1)

La main dans le sac (Partie 1)

09min |19/01/2024
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Description

📍"La main dans le sac"(Partie 1)📍


Ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j’avais consenti Ă  Ă©crire ce scĂ©nario qu’il m’était pourtant interdit d’écrire. Ce film de NoĂ«l dont je serais l'auteur laverait ma rĂ©putation Ă  condition que je n’y raconte que la vĂ©ritĂ© sur ma vie et que je la narre de maniĂšre factuelle.

Et ça faisait plusieurs jours que je m’exĂ©cutais sans conviction.

J’avais donnĂ© mon consentement.

Consentement (Def.) : Accepter que quelque chose se fasse, acquiescer, admettre ou reconnaitre. il y a une touche de regret dans le consentement. Ne pas s’opposer, donner la permission. Une posture passive qui par extension contraint Ă  se soumettre Ă  la volontĂ© d’autrui.

Consentir c’est peut-ĂȘtre encore ĂȘtre abusĂ© mais sans se dĂ©battre?


Dans cet Ă©pisode, il est encore sujet de la vie de trouple.


Bonne Ă©coute.



Les dessous de Savin, les rĂ©flexions et tribulations d’un parisien quarantenaire, gay et cĂ©libataire


"Les dessous de Savin" ou les tribulations et réflexions de Sébastien Savin, un Parisien quarantenaire gay et célibataire qui incarne sans le savoir mais avec perfection les émois de sa génération. 

Un épisode inédit chaque vendredi. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute pour ne rater aucune diffusion. 

Pour soutenir l'émission et la faire connaßtre au plus grand nombre, mettez ⭐⭐⭐⭐⭐ (5 étoiles NDLR) ainsi qu'un avis sur Spotify, Itunes, Apple Podcasts ou votre appli de podcasts préférée.

Partagez cet épisode et parlez-en autour de vous et retrouvons-nous sur Instagram @sebastiensavin .    


Pour ĂȘtre notifiĂ© de chaque sortie d'Ă©pisode et de mon actualitĂ© bĂȘtises et autres facĂ©ties, inscrivez-vous Ă  ma NEWSLETTER.


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đŸŽ§đŸŽ¶ Retrouvez la Playlist   des sons de l'Ă©mission sur #Spotify đŸŽ¶đŸŽ§                

"STATIC" composé par Stel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    PrĂ©cĂ©demment dans Les Dessous de Savin Si on veut rĂ©ussir notre projet, il faut ĂȘtre trĂšs discret, mais aussi trĂšs rapide. Cela faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j'avais consenti Ă  Ă©crire ce script. Voici les deux prononces qu'il m'Ă©tait pourtant interdit d'Ă©crire. J'Ă©cris plus que je me l'Ă©cris. Ça ne ressemble pas du tout Ă  un film de NoĂ«l. Ce scĂ©nario qui laverait ma rĂ©putation. Je vous aime tous les deux. À condition que je n'y Ă©crive que la vĂ©ritĂ© sur ma vie. Si on ne dort pas dans le mĂȘme lit, on y prend le trouble. Et que je la narre de maniĂšre factuelle. Et du coup... Je me demande bien ce que tu deviendrais. Et ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que je m'exĂ©cutais sans conviction. InsĂšre sur l'Ă©cran. Six mois avant NoĂ«l, j'avais donnĂ© mon consentement. IntĂ©rieur jour. Consentement. Qui appartient se doit accepter que quelque chose se fasse. Donc lui, tu retires ça immĂ©diatement, je te le fous dans la gueule. Admettre. Admettre. ReconnaĂźtre. Ah, bah, tu dors. Il y a toujours une touche de regret lorsqu'on parle de consentement. Ne pas s'y opposer. Bon, il est oĂč ton doigt ? Ne pas s'opposer. Donner la permission. Bon, bah, remets-le. On n'en parle plus de cette histoire. Il y a comme une posture passive, qui par extension contraint mon appart, mec, mon lit, ok, mais les slips, c'est hors de question, et qui par certains aspects peuvent nous soumettre. Oui, et ça y est, me l'encastrer entre les deux, et si finalement, consentir, c'Ă©tait toujours ĂȘtre abusĂ©, mais sans se dĂ©battre. EnlĂšve ton doigt. Les rĂ©flexions et tribulations d'un policier qui est quarantenaire et cĂ©libataire. Et voilĂ , Ă  plat ventre, comme une crĂȘpe. Épisode 8. Vraiment pas intĂ©ressant de faire un petit dĂ©jeuner lĂ -bas ? La main dans le sac. Est-ce que ça barbouille ? Et hop, me voilĂ  sur le dos, intĂ©rieur jour, mĂȘme lieu, chambre d'un grand appartement parisien. Et hop, me voilĂ  sur le ventre, vu plonger sur un grand lit dans lequel trois hommes s'affaiblent. Et voilĂ , vous voilĂ  tĂȘte blanche, c'est les jeux du cirque. A qui appartient ce gros orteil ? Le gros orteil lĂ  ? Celui lĂ  que j'ai dans la bouche ? Tentez pas. Oui pardon Romain, je sais bien vous ne pouvez pas rĂ©pondre, vous avez tous les deux la bouche pleine. Mais moi j'avais un orteil dans le gosier, je ne peux pas dire que ce soit mon kiff. Non non, c'est bon, vous ne m'occupez pas de moi. Continuez, continuez, continuez, je prends ma pause. Non continuez, vas-y, continuez Ă ... Oui, oui, oui. Qu'est-ce que tu lui fais au juste ? Michel, moi aussi ça me dĂ©sarçonne. Alors voyons voir. Roberta n'a toujours pas fini son cours de Zumba dans le salon a priori. Je ne sais pas quand est-ce qu'on va ĂȘtre libĂ©rĂ©s. T'as jamais fait de cirque, mon gars ? C'est dommage, j'ai une carriĂšre que d'enlever. Mougli, fais-moi un tirĂ©-guic par lĂ  aussi. Bah oui Mougli, il faut faire tirĂ©-guic partout. Ah bah il y a une petite variante. Ok. Oh c'est vrai ! Pardon les gars, excusez-moi mais il y a un truc dont il faut que je vous parle, parce que moi ça me turlupine. Comment on va faire pour NoĂ«l ? Mougli ! Chez tes parents Romain ? Chez ma mĂšre ? Chez les parents de Mougli ? Moi je dis ça c'est pour ton fils Romain Hein c'est pour J'oublie tout le son Il l'a tatouĂ© sur le bras Comme j'arrive Ă  trouver le bon bras C'est le bon bras lĂ  dedans VoilĂ  pour Ilohan C'est marrant ça veut pas rentrer On vient de te dire que ça rentrait pas ilohan trop original pour moi michel en revanche oh y a des gaufrettes dans la table de nuit je peux prendre une gaufrette parla mon cul lĂ  c'est aucune nuit qui parle et puis alors grosse conversation oh lĂ  lĂ  bon je prends une gaufrette Qu'est-ce que tu veux Michel ? Ils filent des prĂ©noms de chiens Ă  leurs enfants. On est obligĂ© de baptiser nos animaux avec des prĂ©noms de chiens. Attends, apparemment il y a une pause lĂ . Donc je disais, Ilohan, avec ses trois papas, ses deux mamans et ses dix grands-parents, comment on fait pour NoĂ«l ? On le fĂȘte de dĂ©cembre jusqu'Ă  la mi-mai ? Je ne suis pas certain qu'on ait la rĂ©ponse aujourd'hui Michel. Ah, Roberta ! Si, si ! Ça y est, votre cours de Zumba est terminĂ© ? Si, si, Seigneur. Les copines sont rentrĂ©es chez elles ? Mais non, ce n'est pas une catastrophe, Roberta. Regardez, M. Lavoie et M. Lapen, riquiquitent devant vous. Romain, Mougli, on n'est plus seul. Moi, je ne comprends rien. Donc, Roberta, ça fait un bail que vous n'ĂȘtes pas allĂ© chez Wall Street Institute ? Oui, dans le trio. Trio, d'accord, un trio. Oui, d'accord, comme les autres machines. Ok, un trio. Vous voulez du Zouk Machine ? Eh ben, il n'y a qu'Ă  demander. La musique, ce n'est pas simple. Et en plus, je le fais de tĂȘte. NettoyĂ©. Oui ? Oui, ok. Mais, je ne t'en rie, mon mĂšre. Qu'est-ce que c'est que ce bazar ? Rien. Mais entre, maman, je t'en prie. Je me permets d'entrer. J'Ă©tais dans le salon en train de participer Ă  un cours de Zumba et j'ai entendu comme une truie qu'on Ă©gorgeait. Ah bon ? Pas du tout. Je ne vois pas de quoi tu parles. Il y a ma mĂšre. Oh ! Alors, Michel, tu as dit bonjour Ă  ma mĂšre ? Michel, tu es lĂ  ! Tu connais ta mamie ? Bon, alors, on s'embrasse ? Mais qu'est-ce que tu fous encore en slip Ă  cette heure-lĂ  ? J'Ă©tais en train de m'habiller, justement. Oh, j'ai peur d'un slip ! Hein, Romain, on Ă©tait sur le dĂ©part. Eh ben, l'avenir appartient Ă  ceux qui se lĂšvent tĂŽt. Mais on Ă©tait Ă©levĂ©s trĂšs tĂŽt, hein, Romain. Mais bon, on n'est pas prĂȘts de vous voir couler les marches de l'ÉlysĂ©e. Bonjour, Jocelyne, je vous embrasse. Et puis, ils sont Ă  moitiĂ© Ă  poil devant la femme de mes enfants. Ok, pas de mal. Vas-y, toi. Regardez, elle prie. Elle prie toute sa race. Je vous embrasse, Jocelyne. Oui, pour ma sorrentaine. du concours du sillon interfĂ©cier 2020 ah bah elle te laisse le site impeccable ça vaut le dĂ©placement du coup on appelle ça le trou de l'ange vous devriez essayer Romain vous fouineriez pour quelque chose mais combien que vous ĂȘtes lĂ  que dans c'est le dernier je suis en train de me mettre personne Donc c'est un ami, hein Romain ? Moubli ? Oui, un ami qui s'appelle Moubli. Bravo le chauvis. Bravo la politique. Mais qu'est-ce que vous bouinez ? Les soirĂ©es Ă  Palma ? Oui, on est... Vous voyez Jocelyne ? Mais qui est amoureux ? Mais c'est parce qu'on est en trompe lĂ . Vous ĂȘtes en quoi ? Oui bah je m'en fous, c'est pas moi qui vais ramasser, c'Ă©tait pas mon idĂ©e. Sous-titrage ST'501

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📍"La main dans le sac"(Partie 1)📍


Ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j’avais consenti Ă  Ă©crire ce scĂ©nario qu’il m’était pourtant interdit d’écrire. Ce film de NoĂ«l dont je serais l'auteur laverait ma rĂ©putation Ă  condition que je n’y raconte que la vĂ©ritĂ© sur ma vie et que je la narre de maniĂšre factuelle.

Et ça faisait plusieurs jours que je m’exĂ©cutais sans conviction.

J’avais donnĂ© mon consentement.

Consentement (Def.) : Accepter que quelque chose se fasse, acquiescer, admettre ou reconnaitre. il y a une touche de regret dans le consentement. Ne pas s’opposer, donner la permission. Une posture passive qui par extension contraint Ă  se soumettre Ă  la volontĂ© d’autrui.

Consentir c’est peut-ĂȘtre encore ĂȘtre abusĂ© mais sans se dĂ©battre?


Dans cet Ă©pisode, il est encore sujet de la vie de trouple.


Bonne Ă©coute.



Les dessous de Savin, les rĂ©flexions et tribulations d’un parisien quarantenaire, gay et cĂ©libataire


"Les dessous de Savin" ou les tribulations et réflexions de Sébastien Savin, un Parisien quarantenaire gay et célibataire qui incarne sans le savoir mais avec perfection les émois de sa génération. 

Un épisode inédit chaque vendredi. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute pour ne rater aucune diffusion. 

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    PrĂ©cĂ©demment dans Les Dessous de Savin Si on veut rĂ©ussir notre projet, il faut ĂȘtre trĂšs discret, mais aussi trĂšs rapide. Cela faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j'avais consenti Ă  Ă©crire ce script. Voici les deux prononces qu'il m'Ă©tait pourtant interdit d'Ă©crire. J'Ă©cris plus que je me l'Ă©cris. Ça ne ressemble pas du tout Ă  un film de NoĂ«l. Ce scĂ©nario qui laverait ma rĂ©putation. Je vous aime tous les deux. À condition que je n'y Ă©crive que la vĂ©ritĂ© sur ma vie. Si on ne dort pas dans le mĂȘme lit, on y prend le trouble. Et que je la narre de maniĂšre factuelle. Et du coup... Je me demande bien ce que tu deviendrais. Et ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que je m'exĂ©cutais sans conviction. InsĂšre sur l'Ă©cran. Six mois avant NoĂ«l, j'avais donnĂ© mon consentement. IntĂ©rieur jour. Consentement. Qui appartient se doit accepter que quelque chose se fasse. Donc lui, tu retires ça immĂ©diatement, je te le fous dans la gueule. Admettre. Admettre. ReconnaĂźtre. Ah, bah, tu dors. Il y a toujours une touche de regret lorsqu'on parle de consentement. Ne pas s'y opposer. Bon, il est oĂč ton doigt ? Ne pas s'opposer. Donner la permission. Bon, bah, remets-le. On n'en parle plus de cette histoire. Il y a comme une posture passive, qui par extension contraint mon appart, mec, mon lit, ok, mais les slips, c'est hors de question, et qui par certains aspects peuvent nous soumettre. Oui, et ça y est, me l'encastrer entre les deux, et si finalement, consentir, c'Ă©tait toujours ĂȘtre abusĂ©, mais sans se dĂ©battre. EnlĂšve ton doigt. Les rĂ©flexions et tribulations d'un policier qui est quarantenaire et cĂ©libataire. Et voilĂ , Ă  plat ventre, comme une crĂȘpe. Épisode 8. Vraiment pas intĂ©ressant de faire un petit dĂ©jeuner lĂ -bas ? La main dans le sac. Est-ce que ça barbouille ? Et hop, me voilĂ  sur le dos, intĂ©rieur jour, mĂȘme lieu, chambre d'un grand appartement parisien. Et hop, me voilĂ  sur le ventre, vu plonger sur un grand lit dans lequel trois hommes s'affaiblent. Et voilĂ , vous voilĂ  tĂȘte blanche, c'est les jeux du cirque. A qui appartient ce gros orteil ? Le gros orteil lĂ  ? Celui lĂ  que j'ai dans la bouche ? Tentez pas. Oui pardon Romain, je sais bien vous ne pouvez pas rĂ©pondre, vous avez tous les deux la bouche pleine. Mais moi j'avais un orteil dans le gosier, je ne peux pas dire que ce soit mon kiff. Non non, c'est bon, vous ne m'occupez pas de moi. Continuez, continuez, continuez, je prends ma pause. Non continuez, vas-y, continuez Ă ... Oui, oui, oui. Qu'est-ce que tu lui fais au juste ? Michel, moi aussi ça me dĂ©sarçonne. Alors voyons voir. Roberta n'a toujours pas fini son cours de Zumba dans le salon a priori. Je ne sais pas quand est-ce qu'on va ĂȘtre libĂ©rĂ©s. T'as jamais fait de cirque, mon gars ? C'est dommage, j'ai une carriĂšre que d'enlever. Mougli, fais-moi un tirĂ©-guic par lĂ  aussi. Bah oui Mougli, il faut faire tirĂ©-guic partout. Ah bah il y a une petite variante. Ok. Oh c'est vrai ! Pardon les gars, excusez-moi mais il y a un truc dont il faut que je vous parle, parce que moi ça me turlupine. Comment on va faire pour NoĂ«l ? Mougli ! Chez tes parents Romain ? Chez ma mĂšre ? Chez les parents de Mougli ? Moi je dis ça c'est pour ton fils Romain Hein c'est pour J'oublie tout le son Il l'a tatouĂ© sur le bras Comme j'arrive Ă  trouver le bon bras C'est le bon bras lĂ  dedans VoilĂ  pour Ilohan C'est marrant ça veut pas rentrer On vient de te dire que ça rentrait pas ilohan trop original pour moi michel en revanche oh y a des gaufrettes dans la table de nuit je peux prendre une gaufrette parla mon cul lĂ  c'est aucune nuit qui parle et puis alors grosse conversation oh lĂ  lĂ  bon je prends une gaufrette Qu'est-ce que tu veux Michel ? Ils filent des prĂ©noms de chiens Ă  leurs enfants. On est obligĂ© de baptiser nos animaux avec des prĂ©noms de chiens. Attends, apparemment il y a une pause lĂ . Donc je disais, Ilohan, avec ses trois papas, ses deux mamans et ses dix grands-parents, comment on fait pour NoĂ«l ? On le fĂȘte de dĂ©cembre jusqu'Ă  la mi-mai ? Je ne suis pas certain qu'on ait la rĂ©ponse aujourd'hui Michel. Ah, Roberta ! Si, si ! Ça y est, votre cours de Zumba est terminĂ© ? Si, si, Seigneur. Les copines sont rentrĂ©es chez elles ? Mais non, ce n'est pas une catastrophe, Roberta. Regardez, M. Lavoie et M. Lapen, riquiquitent devant vous. Romain, Mougli, on n'est plus seul. Moi, je ne comprends rien. Donc, Roberta, ça fait un bail que vous n'ĂȘtes pas allĂ© chez Wall Street Institute ? Oui, dans le trio. Trio, d'accord, un trio. Oui, d'accord, comme les autres machines. Ok, un trio. Vous voulez du Zouk Machine ? Eh ben, il n'y a qu'Ă  demander. La musique, ce n'est pas simple. Et en plus, je le fais de tĂȘte. NettoyĂ©. Oui ? Oui, ok. Mais, je ne t'en rie, mon mĂšre. Qu'est-ce que c'est que ce bazar ? Rien. Mais entre, maman, je t'en prie. Je me permets d'entrer. J'Ă©tais dans le salon en train de participer Ă  un cours de Zumba et j'ai entendu comme une truie qu'on Ă©gorgeait. Ah bon ? Pas du tout. Je ne vois pas de quoi tu parles. Il y a ma mĂšre. Oh ! Alors, Michel, tu as dit bonjour Ă  ma mĂšre ? Michel, tu es lĂ  ! Tu connais ta mamie ? Bon, alors, on s'embrasse ? Mais qu'est-ce que tu fous encore en slip Ă  cette heure-lĂ  ? J'Ă©tais en train de m'habiller, justement. Oh, j'ai peur d'un slip ! Hein, Romain, on Ă©tait sur le dĂ©part. Eh ben, l'avenir appartient Ă  ceux qui se lĂšvent tĂŽt. Mais on Ă©tait Ă©levĂ©s trĂšs tĂŽt, hein, Romain. Mais bon, on n'est pas prĂȘts de vous voir couler les marches de l'ÉlysĂ©e. Bonjour, Jocelyne, je vous embrasse. Et puis, ils sont Ă  moitiĂ© Ă  poil devant la femme de mes enfants. Ok, pas de mal. Vas-y, toi. Regardez, elle prie. Elle prie toute sa race. Je vous embrasse, Jocelyne. Oui, pour ma sorrentaine. du concours du sillon interfĂ©cier 2020 ah bah elle te laisse le site impeccable ça vaut le dĂ©placement du coup on appelle ça le trou de l'ange vous devriez essayer Romain vous fouineriez pour quelque chose mais combien que vous ĂȘtes lĂ  que dans c'est le dernier je suis en train de me mettre personne Donc c'est un ami, hein Romain ? Moubli ? Oui, un ami qui s'appelle Moubli. Bravo le chauvis. Bravo la politique. Mais qu'est-ce que vous bouinez ? Les soirĂ©es Ă  Palma ? Oui, on est... Vous voyez Jocelyne ? Mais qui est amoureux ? Mais c'est parce qu'on est en trompe lĂ . Vous ĂȘtes en quoi ? Oui bah je m'en fous, c'est pas moi qui vais ramasser, c'Ă©tait pas mon idĂ©e. Sous-titrage ST'501

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📍"La main dans le sac"(Partie 1)📍


Ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j’avais consenti Ă  Ă©crire ce scĂ©nario qu’il m’était pourtant interdit d’écrire. Ce film de NoĂ«l dont je serais l'auteur laverait ma rĂ©putation Ă  condition que je n’y raconte que la vĂ©ritĂ© sur ma vie et que je la narre de maniĂšre factuelle.

Et ça faisait plusieurs jours que je m’exĂ©cutais sans conviction.

J’avais donnĂ© mon consentement.

Consentement (Def.) : Accepter que quelque chose se fasse, acquiescer, admettre ou reconnaitre. il y a une touche de regret dans le consentement. Ne pas s’opposer, donner la permission. Une posture passive qui par extension contraint Ă  se soumettre Ă  la volontĂ© d’autrui.

Consentir c’est peut-ĂȘtre encore ĂȘtre abusĂ© mais sans se dĂ©battre?


Dans cet Ă©pisode, il est encore sujet de la vie de trouple.


Bonne Ă©coute.



Les dessous de Savin, les rĂ©flexions et tribulations d’un parisien quarantenaire, gay et cĂ©libataire


"Les dessous de Savin" ou les tribulations et réflexions de Sébastien Savin, un Parisien quarantenaire gay et célibataire qui incarne sans le savoir mais avec perfection les émois de sa génération. 

Un épisode inédit chaque vendredi. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute pour ne rater aucune diffusion. 

Pour soutenir l'émission et la faire connaßtre au plus grand nombre, mettez ⭐⭐⭐⭐⭐ (5 étoiles NDLR) ainsi qu'un avis sur Spotify, Itunes, Apple Podcasts ou votre appli de podcasts préférée.

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  • Speaker #0

    PrĂ©cĂ©demment dans Les Dessous de Savin Si on veut rĂ©ussir notre projet, il faut ĂȘtre trĂšs discret, mais aussi trĂšs rapide. Cela faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j'avais consenti Ă  Ă©crire ce script. Voici les deux prononces qu'il m'Ă©tait pourtant interdit d'Ă©crire. J'Ă©cris plus que je me l'Ă©cris. Ça ne ressemble pas du tout Ă  un film de NoĂ«l. Ce scĂ©nario qui laverait ma rĂ©putation. Je vous aime tous les deux. À condition que je n'y Ă©crive que la vĂ©ritĂ© sur ma vie. Si on ne dort pas dans le mĂȘme lit, on y prend le trouble. Et que je la narre de maniĂšre factuelle. Et du coup... Je me demande bien ce que tu deviendrais. Et ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que je m'exĂ©cutais sans conviction. InsĂšre sur l'Ă©cran. Six mois avant NoĂ«l, j'avais donnĂ© mon consentement. IntĂ©rieur jour. Consentement. Qui appartient se doit accepter que quelque chose se fasse. Donc lui, tu retires ça immĂ©diatement, je te le fous dans la gueule. Admettre. Admettre. ReconnaĂźtre. Ah, bah, tu dors. Il y a toujours une touche de regret lorsqu'on parle de consentement. Ne pas s'y opposer. Bon, il est oĂč ton doigt ? Ne pas s'opposer. Donner la permission. Bon, bah, remets-le. On n'en parle plus de cette histoire. Il y a comme une posture passive, qui par extension contraint mon appart, mec, mon lit, ok, mais les slips, c'est hors de question, et qui par certains aspects peuvent nous soumettre. Oui, et ça y est, me l'encastrer entre les deux, et si finalement, consentir, c'Ă©tait toujours ĂȘtre abusĂ©, mais sans se dĂ©battre. EnlĂšve ton doigt. Les rĂ©flexions et tribulations d'un policier qui est quarantenaire et cĂ©libataire. Et voilĂ , Ă  plat ventre, comme une crĂȘpe. Épisode 8. Vraiment pas intĂ©ressant de faire un petit dĂ©jeuner lĂ -bas ? La main dans le sac. Est-ce que ça barbouille ? Et hop, me voilĂ  sur le dos, intĂ©rieur jour, mĂȘme lieu, chambre d'un grand appartement parisien. Et hop, me voilĂ  sur le ventre, vu plonger sur un grand lit dans lequel trois hommes s'affaiblent. Et voilĂ , vous voilĂ  tĂȘte blanche, c'est les jeux du cirque. A qui appartient ce gros orteil ? Le gros orteil lĂ  ? Celui lĂ  que j'ai dans la bouche ? Tentez pas. Oui pardon Romain, je sais bien vous ne pouvez pas rĂ©pondre, vous avez tous les deux la bouche pleine. Mais moi j'avais un orteil dans le gosier, je ne peux pas dire que ce soit mon kiff. Non non, c'est bon, vous ne m'occupez pas de moi. Continuez, continuez, continuez, je prends ma pause. Non continuez, vas-y, continuez Ă ... Oui, oui, oui. Qu'est-ce que tu lui fais au juste ? Michel, moi aussi ça me dĂ©sarçonne. Alors voyons voir. Roberta n'a toujours pas fini son cours de Zumba dans le salon a priori. Je ne sais pas quand est-ce qu'on va ĂȘtre libĂ©rĂ©s. T'as jamais fait de cirque, mon gars ? C'est dommage, j'ai une carriĂšre que d'enlever. Mougli, fais-moi un tirĂ©-guic par lĂ  aussi. Bah oui Mougli, il faut faire tirĂ©-guic partout. Ah bah il y a une petite variante. Ok. Oh c'est vrai ! Pardon les gars, excusez-moi mais il y a un truc dont il faut que je vous parle, parce que moi ça me turlupine. Comment on va faire pour NoĂ«l ? Mougli ! Chez tes parents Romain ? Chez ma mĂšre ? Chez les parents de Mougli ? Moi je dis ça c'est pour ton fils Romain Hein c'est pour J'oublie tout le son Il l'a tatouĂ© sur le bras Comme j'arrive Ă  trouver le bon bras C'est le bon bras lĂ  dedans VoilĂ  pour Ilohan C'est marrant ça veut pas rentrer On vient de te dire que ça rentrait pas ilohan trop original pour moi michel en revanche oh y a des gaufrettes dans la table de nuit je peux prendre une gaufrette parla mon cul lĂ  c'est aucune nuit qui parle et puis alors grosse conversation oh lĂ  lĂ  bon je prends une gaufrette Qu'est-ce que tu veux Michel ? Ils filent des prĂ©noms de chiens Ă  leurs enfants. On est obligĂ© de baptiser nos animaux avec des prĂ©noms de chiens. Attends, apparemment il y a une pause lĂ . Donc je disais, Ilohan, avec ses trois papas, ses deux mamans et ses dix grands-parents, comment on fait pour NoĂ«l ? On le fĂȘte de dĂ©cembre jusqu'Ă  la mi-mai ? Je ne suis pas certain qu'on ait la rĂ©ponse aujourd'hui Michel. Ah, Roberta ! Si, si ! Ça y est, votre cours de Zumba est terminĂ© ? Si, si, Seigneur. Les copines sont rentrĂ©es chez elles ? Mais non, ce n'est pas une catastrophe, Roberta. Regardez, M. Lavoie et M. Lapen, riquiquitent devant vous. Romain, Mougli, on n'est plus seul. Moi, je ne comprends rien. Donc, Roberta, ça fait un bail que vous n'ĂȘtes pas allĂ© chez Wall Street Institute ? Oui, dans le trio. Trio, d'accord, un trio. Oui, d'accord, comme les autres machines. Ok, un trio. Vous voulez du Zouk Machine ? Eh ben, il n'y a qu'Ă  demander. La musique, ce n'est pas simple. Et en plus, je le fais de tĂȘte. NettoyĂ©. Oui ? Oui, ok. Mais, je ne t'en rie, mon mĂšre. Qu'est-ce que c'est que ce bazar ? Rien. Mais entre, maman, je t'en prie. Je me permets d'entrer. J'Ă©tais dans le salon en train de participer Ă  un cours de Zumba et j'ai entendu comme une truie qu'on Ă©gorgeait. Ah bon ? Pas du tout. Je ne vois pas de quoi tu parles. Il y a ma mĂšre. Oh ! Alors, Michel, tu as dit bonjour Ă  ma mĂšre ? Michel, tu es lĂ  ! Tu connais ta mamie ? Bon, alors, on s'embrasse ? Mais qu'est-ce que tu fous encore en slip Ă  cette heure-lĂ  ? J'Ă©tais en train de m'habiller, justement. Oh, j'ai peur d'un slip ! Hein, Romain, on Ă©tait sur le dĂ©part. Eh ben, l'avenir appartient Ă  ceux qui se lĂšvent tĂŽt. Mais on Ă©tait Ă©levĂ©s trĂšs tĂŽt, hein, Romain. Mais bon, on n'est pas prĂȘts de vous voir couler les marches de l'ÉlysĂ©e. Bonjour, Jocelyne, je vous embrasse. Et puis, ils sont Ă  moitiĂ© Ă  poil devant la femme de mes enfants. Ok, pas de mal. Vas-y, toi. Regardez, elle prie. Elle prie toute sa race. Je vous embrasse, Jocelyne. Oui, pour ma sorrentaine. du concours du sillon interfĂ©cier 2020 ah bah elle te laisse le site impeccable ça vaut le dĂ©placement du coup on appelle ça le trou de l'ange vous devriez essayer Romain vous fouineriez pour quelque chose mais combien que vous ĂȘtes lĂ  que dans c'est le dernier je suis en train de me mettre personne Donc c'est un ami, hein Romain ? Moubli ? Oui, un ami qui s'appelle Moubli. Bravo le chauvis. Bravo la politique. Mais qu'est-ce que vous bouinez ? Les soirĂ©es Ă  Palma ? Oui, on est... Vous voyez Jocelyne ? Mais qui est amoureux ? Mais c'est parce qu'on est en trompe lĂ . Vous ĂȘtes en quoi ? Oui bah je m'en fous, c'est pas moi qui vais ramasser, c'Ă©tait pas mon idĂ©e. Sous-titrage ST'501

Description

📍"La main dans le sac"(Partie 1)📍


Ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j’avais consenti Ă  Ă©crire ce scĂ©nario qu’il m’était pourtant interdit d’écrire. Ce film de NoĂ«l dont je serais l'auteur laverait ma rĂ©putation Ă  condition que je n’y raconte que la vĂ©ritĂ© sur ma vie et que je la narre de maniĂšre factuelle.

Et ça faisait plusieurs jours que je m’exĂ©cutais sans conviction.

J’avais donnĂ© mon consentement.

Consentement (Def.) : Accepter que quelque chose se fasse, acquiescer, admettre ou reconnaitre. il y a une touche de regret dans le consentement. Ne pas s’opposer, donner la permission. Une posture passive qui par extension contraint Ă  se soumettre Ă  la volontĂ© d’autrui.

Consentir c’est peut-ĂȘtre encore ĂȘtre abusĂ© mais sans se dĂ©battre?


Dans cet Ă©pisode, il est encore sujet de la vie de trouple.


Bonne Ă©coute.



Les dessous de Savin, les rĂ©flexions et tribulations d’un parisien quarantenaire, gay et cĂ©libataire


"Les dessous de Savin" ou les tribulations et réflexions de Sébastien Savin, un Parisien quarantenaire gay et célibataire qui incarne sans le savoir mais avec perfection les émois de sa génération. 

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Transcription

  • Speaker #0

    PrĂ©cĂ©demment dans Les Dessous de Savin Si on veut rĂ©ussir notre projet, il faut ĂȘtre trĂšs discret, mais aussi trĂšs rapide. Cela faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que j'avais consenti Ă  Ă©crire ce script. Voici les deux prononces qu'il m'Ă©tait pourtant interdit d'Ă©crire. J'Ă©cris plus que je me l'Ă©cris. Ça ne ressemble pas du tout Ă  un film de NoĂ«l. Ce scĂ©nario qui laverait ma rĂ©putation. Je vous aime tous les deux. À condition que je n'y Ă©crive que la vĂ©ritĂ© sur ma vie. Si on ne dort pas dans le mĂȘme lit, on y prend le trouble. Et que je la narre de maniĂšre factuelle. Et du coup... Je me demande bien ce que tu deviendrais. Et ça faisait dĂ©jĂ  plusieurs jours que je m'exĂ©cutais sans conviction. InsĂšre sur l'Ă©cran. Six mois avant NoĂ«l, j'avais donnĂ© mon consentement. IntĂ©rieur jour. Consentement. Qui appartient se doit accepter que quelque chose se fasse. Donc lui, tu retires ça immĂ©diatement, je te le fous dans la gueule. Admettre. Admettre. ReconnaĂźtre. Ah, bah, tu dors. Il y a toujours une touche de regret lorsqu'on parle de consentement. Ne pas s'y opposer. Bon, il est oĂč ton doigt ? Ne pas s'opposer. Donner la permission. Bon, bah, remets-le. On n'en parle plus de cette histoire. Il y a comme une posture passive, qui par extension contraint mon appart, mec, mon lit, ok, mais les slips, c'est hors de question, et qui par certains aspects peuvent nous soumettre. Oui, et ça y est, me l'encastrer entre les deux, et si finalement, consentir, c'Ă©tait toujours ĂȘtre abusĂ©, mais sans se dĂ©battre. EnlĂšve ton doigt. Les rĂ©flexions et tribulations d'un policier qui est quarantenaire et cĂ©libataire. Et voilĂ , Ă  plat ventre, comme une crĂȘpe. Épisode 8. Vraiment pas intĂ©ressant de faire un petit dĂ©jeuner lĂ -bas ? La main dans le sac. Est-ce que ça barbouille ? Et hop, me voilĂ  sur le dos, intĂ©rieur jour, mĂȘme lieu, chambre d'un grand appartement parisien. Et hop, me voilĂ  sur le ventre, vu plonger sur un grand lit dans lequel trois hommes s'affaiblent. Et voilĂ , vous voilĂ  tĂȘte blanche, c'est les jeux du cirque. A qui appartient ce gros orteil ? Le gros orteil lĂ  ? Celui lĂ  que j'ai dans la bouche ? Tentez pas. Oui pardon Romain, je sais bien vous ne pouvez pas rĂ©pondre, vous avez tous les deux la bouche pleine. Mais moi j'avais un orteil dans le gosier, je ne peux pas dire que ce soit mon kiff. Non non, c'est bon, vous ne m'occupez pas de moi. Continuez, continuez, continuez, je prends ma pause. Non continuez, vas-y, continuez Ă ... Oui, oui, oui. Qu'est-ce que tu lui fais au juste ? Michel, moi aussi ça me dĂ©sarçonne. Alors voyons voir. Roberta n'a toujours pas fini son cours de Zumba dans le salon a priori. Je ne sais pas quand est-ce qu'on va ĂȘtre libĂ©rĂ©s. T'as jamais fait de cirque, mon gars ? C'est dommage, j'ai une carriĂšre que d'enlever. Mougli, fais-moi un tirĂ©-guic par lĂ  aussi. Bah oui Mougli, il faut faire tirĂ©-guic partout. Ah bah il y a une petite variante. Ok. Oh c'est vrai ! Pardon les gars, excusez-moi mais il y a un truc dont il faut que je vous parle, parce que moi ça me turlupine. Comment on va faire pour NoĂ«l ? Mougli ! Chez tes parents Romain ? Chez ma mĂšre ? Chez les parents de Mougli ? Moi je dis ça c'est pour ton fils Romain Hein c'est pour J'oublie tout le son Il l'a tatouĂ© sur le bras Comme j'arrive Ă  trouver le bon bras C'est le bon bras lĂ  dedans VoilĂ  pour Ilohan C'est marrant ça veut pas rentrer On vient de te dire que ça rentrait pas ilohan trop original pour moi michel en revanche oh y a des gaufrettes dans la table de nuit je peux prendre une gaufrette parla mon cul lĂ  c'est aucune nuit qui parle et puis alors grosse conversation oh lĂ  lĂ  bon je prends une gaufrette Qu'est-ce que tu veux Michel ? Ils filent des prĂ©noms de chiens Ă  leurs enfants. On est obligĂ© de baptiser nos animaux avec des prĂ©noms de chiens. Attends, apparemment il y a une pause lĂ . Donc je disais, Ilohan, avec ses trois papas, ses deux mamans et ses dix grands-parents, comment on fait pour NoĂ«l ? On le fĂȘte de dĂ©cembre jusqu'Ă  la mi-mai ? Je ne suis pas certain qu'on ait la rĂ©ponse aujourd'hui Michel. Ah, Roberta ! Si, si ! Ça y est, votre cours de Zumba est terminĂ© ? Si, si, Seigneur. Les copines sont rentrĂ©es chez elles ? Mais non, ce n'est pas une catastrophe, Roberta. Regardez, M. Lavoie et M. Lapen, riquiquitent devant vous. Romain, Mougli, on n'est plus seul. Moi, je ne comprends rien. Donc, Roberta, ça fait un bail que vous n'ĂȘtes pas allĂ© chez Wall Street Institute ? Oui, dans le trio. Trio, d'accord, un trio. Oui, d'accord, comme les autres machines. Ok, un trio. Vous voulez du Zouk Machine ? Eh ben, il n'y a qu'Ă  demander. La musique, ce n'est pas simple. Et en plus, je le fais de tĂȘte. NettoyĂ©. Oui ? Oui, ok. Mais, je ne t'en rie, mon mĂšre. Qu'est-ce que c'est que ce bazar ? Rien. Mais entre, maman, je t'en prie. Je me permets d'entrer. J'Ă©tais dans le salon en train de participer Ă  un cours de Zumba et j'ai entendu comme une truie qu'on Ă©gorgeait. Ah bon ? Pas du tout. Je ne vois pas de quoi tu parles. Il y a ma mĂšre. Oh ! Alors, Michel, tu as dit bonjour Ă  ma mĂšre ? Michel, tu es lĂ  ! Tu connais ta mamie ? Bon, alors, on s'embrasse ? Mais qu'est-ce que tu fous encore en slip Ă  cette heure-lĂ  ? J'Ă©tais en train de m'habiller, justement. Oh, j'ai peur d'un slip ! Hein, Romain, on Ă©tait sur le dĂ©part. Eh ben, l'avenir appartient Ă  ceux qui se lĂšvent tĂŽt. Mais on Ă©tait Ă©levĂ©s trĂšs tĂŽt, hein, Romain. Mais bon, on n'est pas prĂȘts de vous voir couler les marches de l'ÉlysĂ©e. Bonjour, Jocelyne, je vous embrasse. Et puis, ils sont Ă  moitiĂ© Ă  poil devant la femme de mes enfants. Ok, pas de mal. Vas-y, toi. Regardez, elle prie. Elle prie toute sa race. Je vous embrasse, Jocelyne. Oui, pour ma sorrentaine. du concours du sillon interfĂ©cier 2020 ah bah elle te laisse le site impeccable ça vaut le dĂ©placement du coup on appelle ça le trou de l'ange vous devriez essayer Romain vous fouineriez pour quelque chose mais combien que vous ĂȘtes lĂ  que dans c'est le dernier je suis en train de me mettre personne Donc c'est un ami, hein Romain ? Moubli ? Oui, un ami qui s'appelle Moubli. Bravo le chauvis. Bravo la politique. Mais qu'est-ce que vous bouinez ? Les soirĂ©es Ă  Palma ? Oui, on est... Vous voyez Jocelyne ? Mais qui est amoureux ? Mais c'est parce qu'on est en trompe lĂ . Vous ĂȘtes en quoi ? Oui bah je m'en fous, c'est pas moi qui vais ramasser, c'Ă©tait pas mon idĂ©e. Sous-titrage ST'501

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