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Les invisibles

# 19 Sarah et le vaginisme

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1h09 |22/12/2022|

677

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Description

Comment aurais-je pu imaginer parler d’aspirateurs à clito et de sociétés pénétrocentrées avec une femme vaginique, élevée dans la tradition juive longtemps appelée « Sarah la vierge » ? 

 

Sarah, c’est la reine des pichenettes aux codes et aux étiquettes. 

À ses côtés, je me prends à rêver de révolutionner les cours d’éducation sexuelle. Projet auquel Sarah n’est de prime abord, pas prédestinée. Elle qui n’a jamais eu l’occasion (par ailleurs bien douteuses) de mettre une capote sur une banane.

 

Au travers du judaïsme et de son enseignement dans des établissements non-mixtes, se forme en Sarah une peur des hommes qui perdure à l’âge adulte. Elle intègre de surcroît la mission qu’on attend d’elle dans la sexualité : procréer.

En conséquence de son éducation et en filigrane de son développement, un vaginisme primaire se crée. 

 

Une agression sexuelle dont elle est victime plus tard ainsi que la médicalisation de ses parties intimes - liée à l’endométriose et l’adénomyose - développent chez Sarah un vaginisme secondaire. 

 

Dans un tourbillon de vie et de spontanéité, Sarah nous donne la vraie définition du vaginisme loin des mythes et des croyances. Puis on est embarqué.es à ses côtés lorsqu’elle aborde les décharges électriques qu’elle ressent à l’excitation, à la stimulation et à la pénétration. 

 

On peut s’en douter, les premiers rapports avec pénétration qu’elle commence à expérimenter à ses 28 ans, sont des moments peu heureux… 

 

…Mais cet été elle fait la rencontre d’un garçon à qui elle a tout de suite parlé d’endométriose et de vaginisme. C’est peut-être pour Sarah le début d’une nouvelle aventure… 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Comment aurais-je pu imaginer parler d’aspirateurs à clito et de sociétés pénétrocentrées avec une femme vaginique, élevée dans la tradition juive longtemps appelée « Sarah la vierge » ? 

 

Sarah, c’est la reine des pichenettes aux codes et aux étiquettes. 

À ses côtés, je me prends à rêver de révolutionner les cours d’éducation sexuelle. Projet auquel Sarah n’est de prime abord, pas prédestinée. Elle qui n’a jamais eu l’occasion (par ailleurs bien douteuses) de mettre une capote sur une banane.

 

Au travers du judaïsme et de son enseignement dans des établissements non-mixtes, se forme en Sarah une peur des hommes qui perdure à l’âge adulte. Elle intègre de surcroît la mission qu’on attend d’elle dans la sexualité : procréer.

En conséquence de son éducation et en filigrane de son développement, un vaginisme primaire se crée. 

 

Une agression sexuelle dont elle est victime plus tard ainsi que la médicalisation de ses parties intimes - liée à l’endométriose et l’adénomyose - développent chez Sarah un vaginisme secondaire. 

 

Dans un tourbillon de vie et de spontanéité, Sarah nous donne la vraie définition du vaginisme loin des mythes et des croyances. Puis on est embarqué.es à ses côtés lorsqu’elle aborde les décharges électriques qu’elle ressent à l’excitation, à la stimulation et à la pénétration. 

 

On peut s’en douter, les premiers rapports avec pénétration qu’elle commence à expérimenter à ses 28 ans, sont des moments peu heureux… 

 

…Mais cet été elle fait la rencontre d’un garçon à qui elle a tout de suite parlé d’endométriose et de vaginisme. C’est peut-être pour Sarah le début d’une nouvelle aventure… 


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Sarah, c’est la reine des pichenettes aux codes et aux étiquettes. 

À ses côtés, je me prends à rêver de révolutionner les cours d’éducation sexuelle. Projet auquel Sarah n’est de prime abord, pas prédestinée. Elle qui n’a jamais eu l’occasion (par ailleurs bien douteuses) de mettre une capote sur une banane.

 

Au travers du judaïsme et de son enseignement dans des établissements non-mixtes, se forme en Sarah une peur des hommes qui perdure à l’âge adulte. Elle intègre de surcroît la mission qu’on attend d’elle dans la sexualité : procréer.

En conséquence de son éducation et en filigrane de son développement, un vaginisme primaire se crée. 

 

Une agression sexuelle dont elle est victime plus tard ainsi que la médicalisation de ses parties intimes - liée à l’endométriose et l’adénomyose - développent chez Sarah un vaginisme secondaire. 

 

Dans un tourbillon de vie et de spontanéité, Sarah nous donne la vraie définition du vaginisme loin des mythes et des croyances. Puis on est embarqué.es à ses côtés lorsqu’elle aborde les décharges électriques qu’elle ressent à l’excitation, à la stimulation et à la pénétration. 

 

On peut s’en douter, les premiers rapports avec pénétration qu’elle commence à expérimenter à ses 28 ans, sont des moments peu heureux… 

 

…Mais cet été elle fait la rencontre d’un garçon à qui elle a tout de suite parlé d’endométriose et de vaginisme. C’est peut-être pour Sarah le début d’une nouvelle aventure… 


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Comment aurais-je pu imaginer parler d’aspirateurs à clito et de sociétés pénétrocentrées avec une femme vaginique, élevée dans la tradition juive longtemps appelée « Sarah la vierge » ? 

 

Sarah, c’est la reine des pichenettes aux codes et aux étiquettes. 

À ses côtés, je me prends à rêver de révolutionner les cours d’éducation sexuelle. Projet auquel Sarah n’est de prime abord, pas prédestinée. Elle qui n’a jamais eu l’occasion (par ailleurs bien douteuses) de mettre une capote sur une banane.

 

Au travers du judaïsme et de son enseignement dans des établissements non-mixtes, se forme en Sarah une peur des hommes qui perdure à l’âge adulte. Elle intègre de surcroît la mission qu’on attend d’elle dans la sexualité : procréer.

En conséquence de son éducation et en filigrane de son développement, un vaginisme primaire se crée. 

 

Une agression sexuelle dont elle est victime plus tard ainsi que la médicalisation de ses parties intimes - liée à l’endométriose et l’adénomyose - développent chez Sarah un vaginisme secondaire. 

 

Dans un tourbillon de vie et de spontanéité, Sarah nous donne la vraie définition du vaginisme loin des mythes et des croyances. Puis on est embarqué.es à ses côtés lorsqu’elle aborde les décharges électriques qu’elle ressent à l’excitation, à la stimulation et à la pénétration. 

 

On peut s’en douter, les premiers rapports avec pénétration qu’elle commence à expérimenter à ses 28 ans, sont des moments peu heureux… 

 

…Mais cet été elle fait la rencontre d’un garçon à qui elle a tout de suite parlé d’endométriose et de vaginisme. C’est peut-être pour Sarah le début d’une nouvelle aventure… 


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