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Les invisibles

# 20 Cécile et le trouble bipolaire de type 1

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1h13 |30/01/2023|

942

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Description

Cécile est une femme de médias. Et c’est tout naturellement que lors des funérailles de sa mère, elle souhaite inviter la télévision France 3 pour tourner un reportage. Mais en réalité, Cécile vit à ce moment là un premier épisode avec le trouble bipolaire.

Une sombre nouvelle comme la mort d’un parent peut générer une phase d’euphorie (dit hypomanie ou manie dans le langage médical). Surtout lorsque des prémices de la maladie sont déjà installés depuis quelques mois.

Dépression post-partum, décès d’une amie, licenciement par une amie proche à son retour de congé mat, chômage et burn-out maternel… Cet enchaînement d’expériences de vies douloureuses sont les déclencheurs de la maladie qui ont amené Cécile à la décompensation psychique lors du décès de sa mère.

8 ans après la pose du diagnostic et une étude minutieuse de sa personne, Cécile a appris à se connaître aux côtés de son trouble. Elle prend la maladie à bras le corps et se crée « un socle », comme elle dit : une boîte à outils indispensable, qu’elle nous partage, pour réguler son humeur.

Cécile aime ses filles de tout son cœur. Bien que la relation reste parfois complexe. Elles sont sa force comme ses perturbations. La violence a existé entre elles. Tant dans les mots que dans les gestes. Mais aujourd’hui, Cécile repère les signes d’une phase maniaque ou depressive avant d’en arriver à des débordements émotionnels et des réactions parfois inadaptées. Elle se rend ainsi d’elle-même aux urgences psychiatriques, portée par le besoin d’une prise en charge adaptée.

Cécile nous montre que l’on peut s’accompagner dans la vie, qu’importe le diagnostic qui nous suit. Que l’on peut ne pas travailler et avoir toute de même besoin d’aide dans le foyer. Que l’on peut annoncer à son nouveau chéri que l’on vit avec un trouble psy. Cécile est un exemple de courage dans une société validiste et psychophobe.

Cécile est tout ça - et bien plus encore - même en passant par bien des hauts et des bas.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Cécile est une femme de médias. Et c’est tout naturellement que lors des funérailles de sa mère, elle souhaite inviter la télévision France 3 pour tourner un reportage. Mais en réalité, Cécile vit à ce moment là un premier épisode avec le trouble bipolaire.

Une sombre nouvelle comme la mort d’un parent peut générer une phase d’euphorie (dit hypomanie ou manie dans le langage médical). Surtout lorsque des prémices de la maladie sont déjà installés depuis quelques mois.

Dépression post-partum, décès d’une amie, licenciement par une amie proche à son retour de congé mat, chômage et burn-out maternel… Cet enchaînement d’expériences de vies douloureuses sont les déclencheurs de la maladie qui ont amené Cécile à la décompensation psychique lors du décès de sa mère.

8 ans après la pose du diagnostic et une étude minutieuse de sa personne, Cécile a appris à se connaître aux côtés de son trouble. Elle prend la maladie à bras le corps et se crée « un socle », comme elle dit : une boîte à outils indispensable, qu’elle nous partage, pour réguler son humeur.

Cécile aime ses filles de tout son cœur. Bien que la relation reste parfois complexe. Elles sont sa force comme ses perturbations. La violence a existé entre elles. Tant dans les mots que dans les gestes. Mais aujourd’hui, Cécile repère les signes d’une phase maniaque ou depressive avant d’en arriver à des débordements émotionnels et des réactions parfois inadaptées. Elle se rend ainsi d’elle-même aux urgences psychiatriques, portée par le besoin d’une prise en charge adaptée.

Cécile nous montre que l’on peut s’accompagner dans la vie, qu’importe le diagnostic qui nous suit. Que l’on peut ne pas travailler et avoir toute de même besoin d’aide dans le foyer. Que l’on peut annoncer à son nouveau chéri que l’on vit avec un trouble psy. Cécile est un exemple de courage dans une société validiste et psychophobe.

Cécile est tout ça - et bien plus encore - même en passant par bien des hauts et des bas.


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Une sombre nouvelle comme la mort d’un parent peut générer une phase d’euphorie (dit hypomanie ou manie dans le langage médical). Surtout lorsque des prémices de la maladie sont déjà installés depuis quelques mois.

Dépression post-partum, décès d’une amie, licenciement par une amie proche à son retour de congé mat, chômage et burn-out maternel… Cet enchaînement d’expériences de vies douloureuses sont les déclencheurs de la maladie qui ont amené Cécile à la décompensation psychique lors du décès de sa mère.

8 ans après la pose du diagnostic et une étude minutieuse de sa personne, Cécile a appris à se connaître aux côtés de son trouble. Elle prend la maladie à bras le corps et se crée « un socle », comme elle dit : une boîte à outils indispensable, qu’elle nous partage, pour réguler son humeur.

Cécile aime ses filles de tout son cœur. Bien que la relation reste parfois complexe. Elles sont sa force comme ses perturbations. La violence a existé entre elles. Tant dans les mots que dans les gestes. Mais aujourd’hui, Cécile repère les signes d’une phase maniaque ou depressive avant d’en arriver à des débordements émotionnels et des réactions parfois inadaptées. Elle se rend ainsi d’elle-même aux urgences psychiatriques, portée par le besoin d’une prise en charge adaptée.

Cécile nous montre que l’on peut s’accompagner dans la vie, qu’importe le diagnostic qui nous suit. Que l’on peut ne pas travailler et avoir toute de même besoin d’aide dans le foyer. Que l’on peut annoncer à son nouveau chéri que l’on vit avec un trouble psy. Cécile est un exemple de courage dans une société validiste et psychophobe.

Cécile est tout ça - et bien plus encore - même en passant par bien des hauts et des bas.


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Cécile est une femme de médias. Et c’est tout naturellement que lors des funérailles de sa mère, elle souhaite inviter la télévision France 3 pour tourner un reportage. Mais en réalité, Cécile vit à ce moment là un premier épisode avec le trouble bipolaire.

Une sombre nouvelle comme la mort d’un parent peut générer une phase d’euphorie (dit hypomanie ou manie dans le langage médical). Surtout lorsque des prémices de la maladie sont déjà installés depuis quelques mois.

Dépression post-partum, décès d’une amie, licenciement par une amie proche à son retour de congé mat, chômage et burn-out maternel… Cet enchaînement d’expériences de vies douloureuses sont les déclencheurs de la maladie qui ont amené Cécile à la décompensation psychique lors du décès de sa mère.

8 ans après la pose du diagnostic et une étude minutieuse de sa personne, Cécile a appris à se connaître aux côtés de son trouble. Elle prend la maladie à bras le corps et se crée « un socle », comme elle dit : une boîte à outils indispensable, qu’elle nous partage, pour réguler son humeur.

Cécile aime ses filles de tout son cœur. Bien que la relation reste parfois complexe. Elles sont sa force comme ses perturbations. La violence a existé entre elles. Tant dans les mots que dans les gestes. Mais aujourd’hui, Cécile repère les signes d’une phase maniaque ou depressive avant d’en arriver à des débordements émotionnels et des réactions parfois inadaptées. Elle se rend ainsi d’elle-même aux urgences psychiatriques, portée par le besoin d’une prise en charge adaptée.

Cécile nous montre que l’on peut s’accompagner dans la vie, qu’importe le diagnostic qui nous suit. Que l’on peut ne pas travailler et avoir toute de même besoin d’aide dans le foyer. Que l’on peut annoncer à son nouveau chéri que l’on vit avec un trouble psy. Cécile est un exemple de courage dans une société validiste et psychophobe.

Cécile est tout ça - et bien plus encore - même en passant par bien des hauts et des bas.


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