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Les Perles de Jade

49. [Témoignage] Créer un business au service de ta vie: Le chemin vers l’alignement par Kevin

49. [Témoignage] Créer un business au service de ta vie: Le chemin vers l’alignement par Kevin

1h00 |24/10/2024|

48

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1h00 |24/10/2024|

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Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs 🤗


Dans cet épisode, je t’invite à découvrir le témoignage de Kevin, un entrepreneur qui, comme toi, aspirait à plus de clarté, de liberté, et d’alignement dans sa vie et son business. Kevin partage comment il a transcendé ses doutes et blocages pour finalement créer une vie en parfaite résonance avec qui il est profondément.

Ensemble, nous explorons :

  • Comment Kevin est passé d'une quête incessante de validation extérieure à la certitude intérieure grâce à l’autorité en Human Design.

  • Les étapes concrètes qui lui ont permis d'attirer ses premiers clients alignés, sans compromettre ses valeurs ou son bien-être.

  • L'importance de te reconnecter à tes désirs les plus profonds pour que ton business serve ta vie et non l’inverse.

  • Comment il a réussi à s’affranchir de la pression de réussir pour, à la place, incarner la légèreté et l’abondance dans tous les aspects de son quotidien.

Cet épisode t’offre une perspective inspirante sur ce que signifie vraiment créer un business au service de ta vie, tout en cultivant tes relations, ta liberté, et ton épanouissement personnel. Si tu rêves de trouver cet équilibre entre ambition et bien-être, c’est exactement le déclic qu’il te faut pour franchir le prochain cap.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur le podcast Les perles de Jade des conseils précieux à collectionner, partager ou tout simplement à méditer. Je m'appelle Julie, française installée aux Pays-Bas depuis quelques années, ancienne responsable d'un département achat devenu coach, j'ai décidé de changer ma vie afin de changer celle des autres. Je vous aide à trouver de nouvelles pistes de réflexion et à passer à l'action, afin d'être plus épanouie dans votre vie. Abonnez-vous sur la plateforme de votre choix pour ne manquer aucun épisode. N'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram. à julie-ugs afin d'échanger. Le lien se trouvera dans les notes de l'épisode. En attendant, je vous souhaite une excellente écoute.

  • Speaker #1

    Salut Kevin.

  • Speaker #2

    Hello Julie.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir accepté mon invitation à partager ton expérience avec moi.

  • Speaker #2

    Avec plaisir, merci à toi.

  • Speaker #1

    Est-ce que pour commencer... Tu auras envie de te présenter comme tu le souhaites, qui tu es Kevin et ensuite qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #2

    Ouais, clairement. Du coup, moi c'est Kevin, j'ai 32 ans, ça va faire 4 ans que je suis indépendant, donc je suis passé par pas mal de phases, mais j'ai commencé avec une année en tant que solopreneur, donc du coup seul, en étant juste coach certifié PNL, ensuite j'ai fait 2 ans en startup. où on apprenait aux gens à s'auto-coacher et dans laquelle j'étais associé, j'avais pas mal de casquettes, notamment dans le recrutement, dans l'appui produit, dans beaucoup de choses en fait, dans la gestion financière, etc. et aussi dans une partie gestion des coachs, management. Et suite à ces deux ans, l'entreprise a coulé du coup et je suis reparti en tant que solopreneur. Mais du coup, j'avais pas mal de challenges. à trouver une manière pour moi de faire du business qui était aligné à qui je suis et comment je fonctionne. Et du coup, c'est ce qui m'a amené à cet accompagnement avec toi.

  • Speaker #1

    OK, merci Kevin. Déjà, tu dis beaucoup ce que tu as fait et ce que tu fais, mais qui tu es en tant que personne ? Parce que moi, je sais qui tu es, mais les gens ne savent pas. Pour moi, je vois le Kevin, l'homme derrière la voix. Donc, est-ce que tu as envie de te présenter qui tu es, toi ?

  • Speaker #2

    Dans qui je suis, du coup, qu'est-ce que j'aime faire ?

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qui te définirait selon toi ? Pour moi, tu n'es pas juste Kevin, le solopreneur.

  • Speaker #2

    Ok. Je pense que ce qui me définit le plus, c'est vraiment je suis fasciné par l'humain. Ça, c'est ce qui me définit le plus. Je suis vraiment... J'aime l'humain. J'aime comprendre l'humain, je suis fasciné par essayer de comprendre l'humain à travers plein de façons différentes, que ce soit en allant connecter avec des gens, que ce soit à travers du contenu que je consomme, que ce soit à travers l'écriture, en me comprenant mieux, en me faisant coacher. C'est forcément ce qui me définit le plus, toute ma vie tourne autour de ça, je le vois, je le sens et je le vois de plus en plus. de semaines, de mois et d'années en années. C'est vraiment ce qui me touche le plus, en tout cas.

  • Speaker #1

    Moi, tu vois, si on me dit c'est quoi la particularité de Kevin, j'aurais tendance à dire il aime bien le jeu, les challenges, pour toujours évoluer et aller gratter le millimètre. Et il aime bien cuisiner et manger.

  • Speaker #2

    Il y a aussi cette partie-là, en effet. C'est pas faux. C'est vrai que, ouais, il y a aussi, on va plus au-delà, mais je vois quand même que ça part souvent de mieux se comprendre. Je le vois même dans le sport, parce que du coup, je fais du sport en salle depuis une quinzaine d'années. Et en fait, j'ai compris que c'était ma façon à moi de connecter à mon corps et de mieux comprendre mon corps, par exemple, et chaque part de mon corps. À travers l'alimentation, pareil, je me suis beaucoup intéressé à l'alimentation et qu'en fait, c'était aussi une manière pour moi de... de mieux me comprendre et de comprendre mon corps. En tout cas, il y a toujours un fond de compréhension, j'ai l'impression.

  • Speaker #1

    Préhension, mais aussi de connexion, parce que juste la compréhension sans la connexion, ça te paraît moins fun, moins plaisant, et en fait, c'est purement mental. Je pense que la connexion te permet justement de te connecter à tes ressentis. Et tu es pour moi une personne très sensible. Oui. Donc…

  • Speaker #2

    Ouais, je le vois. Et en effet, c'est très complémentaire. En effet, il y a une partie compréhension qui est très interne où je vais être en mode hibernation ou même encore une fois à travers le sport, etc. Là, je suis vraiment dans ma bulle et il y a aussi une énorme partie compréhension à travers la connexion. Je le vois avec les clients que j'ai actuellement. Ça peut être très fort des fois en séance juste de mentoring et je peux avoir les larmes aux yeux en fait en séance de mentoring parce que je suis...

  • Speaker #1

    je me sens connecté en fait aux personnes ouais en effet aux personnes c'est un souvenir qui te touche ouais la première fois ému par un souvenir ou par un déclic ouais exactement et c'est

  • Speaker #2

    marrant parce que du coup quand on parlait de de bien manger et moi c'est surtout les pâtisseries qui me ouais je suis très pâtisserie mais je me rends compte que c'est aussi souvent euh euh bien manger, que ce soit les pâtisseries ou un resto ou quoi, ça va souvent être... Je vais souvent le faire avec des gens, en fait. C'est comme si c'était une manière pour moi de connecter avec les gens.

  • Speaker #1

    À travers ce que tu apprécies. Ouais. À travers des valeurs communes, du coup.

  • Speaker #2

    Exactement. Souvent, ces gens-là ont les mêmes.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu te rappelles comment on s'est rencontrés, Kevin ?

  • Speaker #2

    Alors, oui. J'avais créé, je crois que c'était ça la première fois, j'avais créé la communauté sur WhatsApp de Lulien, où du coup, on avait ajouté tous les gens de toutes les cohortes de Mastery, parce qu'en fait, vraiment, mon souhait à ce moment-là, c'est qu'en fait, j'avais fait Mastery, j'avais connecté avec plein de gens de la cohorte 4, donc de ma cohorte, mais je me disais, putain, c'est tellement dommage qu'en fait, tous les gens de toutes les cohortes... puissent pas connecter ensemble parce qu'au final tout le monde a suivi l'école tu as des gens plus ou moins avancés mais surtout tout le monde a la valeur commune de mieux se comprendre et de la transformation humaine et je m'étais dit en fait c'est vrai c'est frustrant pour moi je me suis dit mais pourquoi il n'y a pas un truc qui existe où en fait on peut réunir tous ces gens là en fait et où ils pourraient par exemple même connecter en réel sans forcément que Julien ait besoin d'être présent etc du coup j'avais créé cette communauté Donc du coup, avec Louisa, on envoyait les invitations à chaque personne de toutes les cohortes. Et toi, vu que tu étais dans les premières cohortes, on t'avait envoyé l'invitation, tu avais rejoint. Et donc après, je crois que les premières connexions étaient au sein de cette communauté. Ensuite, je t'ai suivi sur Instagram. Et en fait, j'ai juste raisonné très fort avec ton contenu, notamment sur ta partie Human Design, auquel je commençais à m'intéresser. Et c'est de là, du coup... de fil en aiguille, que j'ai décidé de me faire accompagner par toi.

  • Speaker #1

    Yes. Et c'est marrant parce que le human design, au final, j'en parle beaucoup en story, mais très peu dans mon feed. Je fais des références, mais en général, les gens viennent pour moi parce que j'utilise le human design en plus du coaching. Donc, c'est marrant. Merci, Kevin, c'est correct. On s'est rencontrés comme ça. Et du coup, on va se rencontrer en vrai, enfin. La semaine prochaine.

  • Speaker #2

    Oui. Autour de la valeur bouffe.

  • Speaker #1

    C'est ça. Est-ce que tu te rappelles un peu, Kevin, dans quelle situation tu te trouvais avant justement de dire je vais contacter Julie ? Parce que sachant, je précise, que je m'adresse aux féminins, c'est quoi qui t'a donné l'élan de dire en fait, je veux bosser avec Julie alors qu'elle ne s'adresse qu'aux femmes ?

  • Speaker #2

    Alors déjà on avait connecté une première fois, on a fait un café visio, je me souviens. Et du coup déjà il y avait eu un gros feeling etc. Ensuite comme je disais, le Instagram, donc il y avait la partie HD mais il y avait plein d'autres choses en fait aussi, des parts que tu exprimais dans ton contenu, en fait que moi j'avais davantage envie d'exprimer dans le mien, donc sous mes formes à moi. Je ne sais pas si je t'ai... Je te vois figer, mais c'est peut-être moi.

  • Speaker #1

    Non, je suis là. Est-ce que tu me vois bouger ?

  • Speaker #2

    Oui, c'est bon. Il y avait ça, la partie design auquel je commençais à m'intéresser. Je voyais que tu utilisais ça. Il y avait la partie où tu exprimais toutes les parts de toi, l'entièreté qui tu es dans ton contenu. Ça m'inspirait beaucoup. C'est ce que j'avais envie de réussir à faire sous ma forme et que je ne m'autorisais pas forcément. Il y avait aussi la partie... Comment je pourrais appeler ça la partie un peu... Catiser ma curiosité, par exemple, je sais que tu utilisais l'hypnose, etc. Et c'est des choses que... Moi, j'étais encore très mental et j'avais envie de... commencer à expérimenter ça, comprendre ça, etc. Donc c'est quelque chose qui m'attirait aussi. Donc il y avait pas mal de choses. Et donc ça, c'était plus... Il y avait cette partie-là qui m'a fait venir à toi. Et plus au niveau de mes challenges, des challenges que je rencontrais à ce moment-là, c'était vraiment... En fait, je m'étais formé au rééquilibrage de perception. Ça m'a beaucoup aidé. Ça m'a vraiment beaucoup aidé. Je suis allé rééquilibrer beaucoup de choses, dissoudre beaucoup de traumas. Mais pour autant, j'avais des envies. Et en fait, je me sentais à l'intérieur de moi, je sentais que ce n'était pas rempli. Le fait que j'avais ces envies et j'avais beau rééquilibrer, j'étais là en mode Ok, tout est neutre, c'est bien, mais à l'intérieur, je ne me sens pas rempli et je ne me sens pas aller vers ce qui m'inspire. Et c'est pour ça que j'étais venu, comme si j'étais un plafond de verre. J'arrivais à ce plafond de verre et je ne savais plus comment faire pour aller au-delà. En termes de rééquilibrage, je m'étais fait coacher par plein de personnes qui étaient aussi formes de rééquilibrage, mais ça ne suffisait plus. Comme si en fait ça ne suffisait plus et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui m'empêchait d'aller vers ce dont j'avais envie. Et à ce moment-là, du coup, je me souviens quand j'étais venu à toi, c'était ma vision. Je t'avais dit ma vision à un an, c'est tout simplement vivre de ce qui me passionne le plus, accompagner des gens. qui m'inspirent et rencontrer une femme avec qui ça connecte, avec qui il y a un feeling et commencer à construire quelque chose. Donc ça, c'était quand je suis venu à toi, c'était ça. Et du coup, j'avais fait un gros travail sur beaucoup de choses, mais pour autant, je ne me sentais pas avancé vers ça. Et je n'arrivais pas à avancer vers ça. Donc c'est pour ça que j'étais venu à toi.

  • Speaker #1

    Et moi, il y a un truc qui m'a marqué, c'est l'une de nos premières séances. En fait, tu m'as dit...

  • Speaker #2

    j'équilibre tout mais du coup j'ai du mal à savoir ce dont j'ai vraiment envie parce que tout est neutre oui oui et c'est ça je pense que c'est ça même qui crée finalement je rééquilibrais mais comme si ça recréait une forme de souffrance en fait derrière qui était ce flou en fait de mais qu'est-ce que je veux et comment j'y vais de la manière la plus lustre pour moi donc c'est ça

  • Speaker #1

    Ouais, donc hyper intéressant. Moi, j'ai les personnes que j'accompagne qui ont été formées aux mêmes méthodes que moi. Justement, c'est ce qu'elles recherchent chez moi. C'est de la guidance sur. Mais du coup, je sais équilibrer. J'accompagne les autres à rééquilibrer. Mais je me suis perdue moi-même dans le process parce que du coup, je ne sais plus différencier ce dont j'ai envie de ce dont je n'ai plus envie. Et c'est un peu confus et c'est quelque chose que je t'ai partagé et je partage aussi avec mes autres clients. C'est que moi aussi je suis passée par là et je pense que c'est ce qui fait aussi que je sais ce que ça fait de se retrouver dans cette situation. Parce que j'ai vécu ça en fait, moi-même. Et j'en suis sortie du coup. Et c'est pour ça que j'ai la capacité de l'expliquer mais pas de vous inculquer comment vous devez faire par rapport à ce que moi j'ai fait. mais plus de dire c'est possible de sortir de ce cercle vicieux et en fait on va découvrir comment par rapport à qui vous êtes et c'est pour ça que j'utilise le human design et je sais que toi par exemple le human design tu disais que tu connaissais un petit peu est-ce que tu as des choses que tu as découvert ou que tu as approfondi qui ont fait la différence pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Bien sûr c'est marrant, avant même que tu aies fini ta question j'avais la réponse dans ma tête je me souviens de la toute première, je crois que c'était notre toute première séance où j'arrivais pas à lancer ma communauté WhatsApp. Je me rappelle, j'avais envie d'envoyer, du coup j'avais coaché pour poser un peu de contexte, j'avais coaché 110 entrepreneurs gratuitement parce que à ce moment-là, c'était trop challengeant pour moi encore de faire du contenu. Et je me suis dit, en fait, je vais juste coacher des entrepreneurs pour connecter avec eux, pour apprendre à les connaître, etc. Et du coup, j'avais coaché tous ces entrepreneurs, mais... j'arrivais pas à entretenir le lien avec en fait et du coup j'étais un peu frustré de ça et je voulais pouvoir entretenir le lien du coup je m'étais dit je vais créer une communauté sur whatsapp ce qui était le plus fluide pour moi à ce moment là et du coup j'avais en fait j'avais juste mis dans ma tout doux entre guillemets dans ce que je voulais faire c'était créer ma communauté sauf qu'en fait je me souviens c'était assez très flou en fait créer ma communauté qu'est ce que ça veut dire en fait qu'est ce que comme actuellement comment tu fais et je me souviens Je crois que c'était notre première séance où tu m'avais dit que tu as l'Agena non défini, ce qui fait que c'est difficile pour toi de conceptualiser. en étant aussi flou entre guillemets et du coup tu as peut-être besoin d'être plus spécifique dans ce dont tu as besoin du coup tu m'avais questionné sur ce dont j'avais besoin justement donc il y avait ce truc de donc on allait vraiment dans le précis finalement dans le spécifique dans le détail mais j'avais besoin de ça qui était est ce que tu as le lien whatsapp où est ce que tu le mets est ce que tu as par exemple une structure d'e-mail ou est ce que tu as déjà des choses que tu veux mettre dans ton email et tout ça et je me souviens que juste ça capter qu'en fait Il y avait vraiment une envie, il n'y avait pas de peur, mais il y avait juste un manque de clarté. Et de comprendre que parce que j'avais l'agenda non défini, j'avais besoin parfois, par moment, de découper en plus petits bouts. Je me suis rendu compte que le lendemain, j'avais lancé ma communauté et il y avait 50 personnes qui rejoignaient le WhatsApp. Sur 100 mails que j'avais envoyés, il y avait une cinquantaine de personnes qui rejoignaient. Et donc là déjà, en effet, grâce au HD... j'étais là en mode ok ça risque de me servir de savoir ça parce que sinon en effet je peux rester trop dans le flou et malgré que j'ai envie qu'il n'y ait pas de blocage, qu'il n'y ait pas de peur, qu'il n'y ait pas d'injonction en fait c'est juste un manque de clarté sur ce que j'ai à faire pour réussir à me rapprocher de ça ouais trop bien est-ce que il

  • Speaker #1

    y a quelque chose Il y a quelque chose qui t'a plus marqué que d'autres durant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Oui, très très fort. En fait, aujourd'hui, ça fait partie vraiment de ma vie et de mon quotidien, et je reviens tout le temps à ça. C'est ce truc de... Alors, c'est un peu global, il y a peut-être plusieurs choses, mais c'est vraiment ce truc de revenir à soi, que j'ai compris. Et en fait... Au début, c'était très difficile pour moi de me dire, mais ça veut dire quoi, revenir à soi ? Tout simplement parce que je n'avais pas défini ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Donc, c'est difficile de revenir à soi quand on ne sait pas ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas. Mais c'est vraiment ce qui a fait la différence. En fait, ça change tout. C'est-à-dire que ce que j'ai remarqué, c'est que la plupart des injonctions et des peurs peuvent disparaître assez rapidement quand vraiment on a défini ça en profondeur et qu'on y revient. Et j'ai tellement d'exemples. très spécifique par rapport à ça où ça m'a vraiment vraiment ça m'aurait ça m'a libéré très vite et j'ai pu repasser me remettre en mouvement rapidement parce que j'avais parce que j'avais ça donc il ya vraiment ça ce truc de revenir à soi qu'est ce que je veux qu'est ce que j'ai envie et aussi plus accès donc avait aussi la partie avec les femmes mais aussi la partie avec le business qui était vraiment quel genre de clients je veux attirer en fait du coup quand tu es vraiment au clair là-dessus, au-delà de juste les peurs, les blocages, etc. Mais en fait, c'est quoi leur mindset ? Comment ils réfléchissent ? C'est quoi leur passion même ? De quoi ils pourraient parler pendant des heures ? Généralement, c'est des personnes qui nous ressemblent beaucoup. En fait, quand tu sais ça, c'est très facile de dire est-ce que tu veux ou non travailler avec un client quand tu as défini ça. Oui. Donc, il y a...

  • Speaker #1

    Il y a très peu de personnes qui... qui accorde de la valeur à ça. Moi, j'ai encore des clientes cette semaine qui me disaient que ça les saoulait de refaire le travail du client idéal.

  • Speaker #2

    Mais en fait,

  • Speaker #1

    c'est un travail à faire régulièrement à chaque fois qu'on bouge, on évolue, à chaque fois qu'il se passe quelque chose d'important dans notre vie parce que c'est comme ça qu'on a plus de clarté. Et sachant que toi, tu es projecteur, donc tu n'as pas autant de centres définis que d'autres individus, c'est facile d'amplifier les injonctions extérieures. Et donc, c'est pour ça que je t'ai invité à revenir à toi à chaque fois, pour te permettre de mieux te reconnaître toi en tant qu'individu dans ton unicité, avant de pouvoir utiliser les choses de l'extérieur à ton service.

  • Speaker #2

    Oui, et en effet, c'est vraiment quelque chose qui est... Franchement, c'est la chose qui a tout changé. Et donc, il y a ça. Et ce qui me vient aussi, c'est aussi beaucoup l'intention, l'intentionnalité. Ce truc de... Souvent c'était encore une fois c'est reviens à toi c'est quoi ton intention qu'est ce que tu veux c'est quoi ton attention qu'est ce que tu veux est en fait aujourd'hui c'est devenu un automatisme mais c'est je me rends compte c'est tellement important de partir de manquer une fois de l'intention et du pourquoi et en général quand ça c'est clair le comment est est beaucoup plus fluide et ouais donc l'intention est aussi ouais être beaucoup plus en fait dans une intentionnalité interne qu'un résultat externe c'est à dire que du coup c'est plus c'est plus par exemple, j'ai une connerie, mais si je prends dans le business, c'est plus comment, je ne le vois plus comme ça, c'est plus comment je peux avoir plus de clients, par exemple, parce que ça, ça reste quand même très externe. Et moi, du coup, ça va être comment je peux me rendre visible davantage. Donc, en fait, je me concentre beaucoup plus sur ce qui est en mon pouvoir, en fait, qui enlève une énorme... personnellement qui m'enlève une énorme pression en fait qui fait ok qu'est ce que moi je peux faire qu'est ce qui est mon pouvoir et c'était pareil en fait et à chaque fois on revenait à ça même quand on parlait de par exemple aller aborder une femme dans la rue qu'est ce qui est mon pouvoir en effet si mon objectif c'est avoir son numéro je vais fois la pression et je vais je vais je vais commencer à mentaliser et donc qu'est ce que je dois dire etc parce qu'en fait c'est pas mon pouvoir alors que si je me dis juste, mon intention c'est juste de connecter et d'apprendre à mieux la connaître d'un coup en fait, toute la pression tombe et en fait ça devient beaucoup plus facile d'y aller et après peu importe le résultat, parce que ça, ça lui appartient c'est-à-dire que moi en fait, je suis drivé par mon envie et j'y vais avec mon envie, avec cette intention je vis l'expérience et après peu importe en fait, le reste ça lui incombe à elle Et ça lui appartient. Et du coup, que ce soit, encore une fois, dans tous les domaines, sur le relationnel, que ce soit dans le business ou dans les relations, ça m'a enlevé beaucoup de lourdeur aussi, de pouvoir reconnecter à ça.

  • Speaker #1

    Et tu disais être visible. J'ajouterais un détail, c'est être visible par les bonnes personnes. Parce que c'est ça qu'on a travaillé aussi ensemble, par rapport à l'aspect visibilité.

  • Speaker #2

    Exactement. Et ça du coup, les bonnes personnes c'est encore une fois revenir à soi et savoir qui tu as envie d'attirer, qui tu n'as pas envie d'attirer, qui est-ce que tu kiffes accompagner, etc. Et le dernier point qui est très fort, il y a ces trois gros points qui m'ont vraiment, qu'aujourd'hui je mets beaucoup d'intention là-dessus, mais ça se rejoint sur l'intentionnalité, c'est avec quel espace tu agis. C'est vraiment ce truc de tout est neutre. C'est ce que j'avais appris avec Mastery. C'est tout est neutre, très bien. Mais en fait, tout est neutre. Tu peux tout faire, tout est possible. Mais dans quelle est ton intention et dans quelle énergie tu y vas ? Est-ce que là, tu y vas dans un espace de manque et de peur de ne pas obtenir ? Ou est-ce que tu y vas dans un espace d'envie d'expérimenter et d'inspiration ? Ouais. Et ça change tellement de choses. Pareil, de revenir à ça, en fait. Et on peut reprendre exactement les mêmes exemples, parce que ça se rejoint. Tu vas aborder une femme dans la rue. Est-ce que tu y vas avec la peur du manque, de ne pas obtenir, etc. ? Donc là, tu es tourné sur le résultat, sur quelque chose qui ne t'appartient pas, sur quelque chose qui est à l'extérieur. ou est-ce que tu y vas avec l'intention, juste l'envie d'expérimenter, parce que tu es inspirée et parce que ça te fait envie ? En soi, l'action est la même, mais l'énergie et l'intention derrière sont totalement différentes.

  • Speaker #1

    Et ça vibre différemment même en interaction avec l'autre personne.

  • Speaker #2

    Oui, exactement. Et j'ai pu le voir, parce que du coup, je suis allé aborder des femmes avec les deux énergies, je suis allé parler à des personnes... que j'avais envie d'accompagner ou même du coup des personnes à coacher etc avec les deux énergies différentes et j'ai pu voir du coup la différence dans le résultat qui n'a rien à voir en fait c'est très différent.

  • Speaker #1

    Ok en quoi c'est différent ?

  • Speaker #2

    Dans la première tu as de l'amertume c'est-à-dire si tu vas avec la peur de manquer de ne pas obtenir en tout cas moi c'est ce que C'est ce que j'avais, ressentiment, amertume. Et du coup, derrière, je devais aller rééquilibrer ça à chaque fois. Et ça demandait une forme de travail. Alors qu'en fait, dans l'autre énergie, rien en fait. Je n'ai pas besoin d'y revenir.

  • Speaker #1

    C'est fluide. Et ça ne prend pas d'espace ni de charge mentale.

  • Speaker #2

    Et c'est marrant. Ça ne veut pas dire que la peur n'est pas là. La peur est toujours là, en fait. mais tu la vis très différemment en fait, et tu la vois plus comme un frein. Exactement. Elle est là parce qu'elle est là. C'est ça. Elle fait partie de toi aussi. Ouais. Mais… Mais en tout cas, tu la vis très différemment. Et ouais, je le vois, en fait. Je sais qu'on avait pas mal travaillé ça, mais c'était ça. Je vais aborder une femme dans la rue. Quand j'y allais avec la peur de manquer et tout, après l'avoir abordée, si elle me disait non, je me posais un million de questions sur pourquoi elle m'a rejetée, pourquoi machin, pourquoi truc et tout. Et je commençais à mentaliser, à me faire toutes ces histoires que je me raconte, alors que je n'aurais jamais la réponse. Et en fait, je me souviens qu'un jour, tu m'avais répondu. Mais on s'en fout, en fait. Et c'est vrai que j'étais là en mode, mais ouais c'est vrai qu'on s'en tamponne et en fait c'est pas important. Et quand après j'ai réussi à juste me détacher de ça, changer mon énergie, aller avec une intention différente, en fait elle répond qu'elle est en couple, bah c'est pas grave. Et même si c'est faux, que ce soit vrai, en fait on s'en fout. J'y suis allé, j'ai fait ce que j'avais envie, j'ai expérimenté ce que j'avais envie d'expérimenter et je passe à autre chose en fait. Et c'est rien, c'est pas grave. Donc, ouais, c'est très différent. Très différent.

  • Speaker #1

    Est-ce que le fait que je sois cash et que j'aille droit au but, ça t'a surpris ou choqué ? Parce que je sais que ça peut surprendre. C'est assez paradoxal avec la douceur que j'émane. On m'a déjà fait ce bac.

  • Speaker #2

    Non, moi, j'adore. Moi, j'adore. Et consciemment ou inconsciemment, de toute façon, je pense que consciemment ou inconsciemment, c'est ce que je venais chercher. Mais c'est les deux encore une fois. Pour moi, encore une fois, c'est ma vision des choses, mais un bon accompagnant, c'est un accompagnant qui accepte et qui assume l'entièreté de qui il est et de ses parts. Et donc il y a une part de douceur, de care, de tout ça, et une part aussi de challenge, d'assertivité, etc. Et du coup, de toute façon, c'est une danse entre les deux en fait. C'est pas l'un ou l'autre. Et du coup... Il y avait des moments où en effet, ça me piquait, ça me challengeait. Mais justement, pour moi, je savais que c'était précisément que tu étais au bon endroit. Donc non, moi, j'aimais beaucoup ça.

  • Speaker #1

    Quand j'étais salariée, mes collègues se foutaient de ma gueule. Ils disaient que j'avais une main de fer dans un gant de velours.

  • Speaker #2

    Mais c'est ça, c'est exactement ça.

  • Speaker #1

    Mais il faut être prêt. J'ai beaucoup de clientes qui me disent qu'il faut être prêt à être accompagné par toi parce que tu nous chahutes quand même pas mal. Tu nous fais sortir de notre zone de confort. On se sent dans l'inconfort à plusieurs reprises quand tu nous parles. Donc, qu'est-ce que tu en penses, toi, de ce genre de feedback ?

  • Speaker #2

    De ma perception, c'est une bonne nouvelle. Ça veut dire qu'elle progresse. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que tu viens chercher ça.

  • Speaker #2

    Oui, parce que tu ne progresses pas que dans le confort. Tu peux progresser dans les deux, mais il y a des moments où, encore une fois, tu auras besoin de care, de douceur. Il y a des moments où tu auras juste besoin de l'opposer.

  • Speaker #1

    Oui. Et tu sais, toi, tu es projecteur et la stratégie du projecteur, c'est d'attendre l'invitation. Qu'est-ce que tu en penses, toi, par rapport à comment je t'ai accompagné en tant que projecteur ? Sachant que je ne t'ai pas toujours invitée à rester et à attendre, et au contraire, à prendre plus de responsabilités, à prendre plus ta puissance, ton pouvoir, à reprendre ton pouvoir et à agir.

  • Speaker #2

    Alors, après, c'est sûr, si tu te dis attendre l'invitation, c'est rien faire. Attirer à personne, j'ai encore vu personne attirer des gens juste en attendant. Pour moi, en tout cas, j'ai aussi une ligne 4 qui est d'expérimenter. Et j'ai aussi des envies qui étaient de connecter davantage avec des personnes en réel, notamment des entrepreneurs. Donc en fait, c'est tout un ensemble. Et en fait, c'est plus, ce que je vois, c'est plus... il y a quand même une mise en mouvement, il y a quand même me rendre visible. Encore une fois, sous la forme la plus juste et inspirante pour moi, qui à ce moment-là aussi, il y avait cette partie connectée en réel, où j'ai essayé plusieurs cohorts, j'ai trouvé celui qui me convenait, je suis allé connecter avec des gens, et c'était challengeant. Et après, c'est plus expérimenter, se mettre en mouvement, se rendre visible, peu importe la manière. Et après, comme tu le disais tout à l'heure...... Comment dire ? C'est là en fait, c'est après ça que je...

  • Speaker #0

    Il y a une partie susciter l'intérêt et attendre l'invitation, mais il y a quand même une partie pour moi avant qui est susciter l'intérêt en se rendant visible, en échangeant, en connectant, peu importe la manière, soit online ou... Oui,

  • Speaker #1

    parce que j'ai une vision qui n'est pas forcément commune à mes autres consœurs et confrères qui enseignent le HD. Sachant que moi, je ne l'enseigne pas. Je coache en m'appuyant sur cet outil, mais je ne l'enseigne pas. En tout cas, pas sous une forme classique. Dans le mastermind, je l'enseigne. sous plusieurs formes. Mais en fait, de ma perception, les projecteurs, vous êtes invités à vous reconnaître vous, en tant qu'individu et dans votre pleine puissance, pour que les autres puissent vous reconnaître ensuite. Et c'est aussi ce travail de visibilité, d'être à la lumière des projecteurs, apprendre à recevoir le mérite. On a aussi travaillé un petit peu ça, apprendre à recevoir, célébrer. reconnaître le parcours, etc. C'est aussi comme ça que j'accompagne les projecteurs à se reconnaître, à prendre plus de pouvoir là où ils ont envie d'en prendre et de ne pas subir les événements extérieurs et ce qui se passe autour d'eux. C'était un peu ma vision de toi, Kevin, comment tu peux être visible par les bonnes personnes, mais pas chercher leur reconnaissance que ce soit avec les femmes ou avec les clients, mais plus montrer ce que toi, Comment tu as envie d'aider les gens ? Comment tu as envie de connecter ? Qu'est-ce qui t'inspire ? Et ensuite, si ça résonne avec eux, qu'eux viennent faire le pas vers toi en disant Écoute, ce que tu as dit, ça résonne. Est-ce que c'est possible de travailler ? Donc, c'est plus sous cet aspect-là, avec beaucoup de nuances qu'on a travaillées ensemble, que ça t'a paru fluide ou c'était contre-intuitif ?

  • Speaker #0

    Non, non. Moi, je l'ai vécu de manière fluide. Oui, il y avait des challenges. Oui, j'avais des peurs. Oui, évidemment, il y a tout ça. Mais... c'était quand même très fluide.

  • Speaker #1

    Et donc toi, tu as un profil 4-6 et une autorité splénique. Il y avait aussi le challenge d'écouter ton intuition. Ça a été assez challenging au début de savoir t'écouter parce qu'il y avait beaucoup de je dois notamment si on prend par Instagram. Je dois être régulier, je dois poster, je dois faire ci, je dois faire ça. Comment ? Comment tu décrirais cette expérience justement d'autorité splénique ?

  • Speaker #0

    Je pense que c'est la plus compliquée et que j'ai encore beaucoup de chemin à faire là-dessus. Parce qu'encore une fois, en effet, j'ai été beaucoup conditionné, déjà d'une, dans vraiment le passé quand j'étais salarié et tout. Comme on l'est un peu tous, c'est-à-dire il faut travailler dur, il faut travailler tendeur, etc. Donc il y avait aussi cette partie-là. Et plus les programmes business que j'ai suivis avant Mastery, avant tout ça, où c'était très injonctionnel. Donc pareil, ça me coupait de ça. Donc ouais, c'est vraiment un vrai chemin de réussir à, je dirais, couper le mental. minimiser le bruit du mental et du bruit extérieur pour pouvoir connecter du coup au splenique. Mais le chemin que j'ai fait et qu'on a fait ensemble est vraiment énorme déjà de ce côté-là.

  • Speaker #1

    Tu dirais que c'est quoi ta plus grosse transformation ou ton plus gros déclic pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #0

    Plutôt en termes de compréhension, de manifestation, c'est-à-dire de concrétisation dans la matière, au plus de switch de mindset sur ce que j'utilise.

  • Speaker #1

    C'est plus toi, comment tu le ressens ? C'était quoi ton plus gros effet ?

  • Speaker #0

    Le plus gros effet waouh de l'accompagnement, c'est... Moi, vraiment, le plus gros effet waouh, c'est... Des fois, je prends un exemple concret, c'était vers la fin de l'accompagnement, où je m'étais dit, non mais là, il va falloir une séance entière pour faire ça, et encore, je ne sais même pas si on va libérer ça en une séance. Et on avait la séance le lendemain, je crois on avait la séance le... Bon, bref, je ne sais plus, le mercredi peut-être, et je t'envoie l'audio le mardi, en te disant, ça va nécessiter une séance entière, et on verra ça demain. mais je te pose ça là comme ça on prépare ça pour la séance et je sais plus on fait un échange de je sais pas deux messages et tu m'envoies un audio d'une minute trente et ça me débloque et en fait le lendemain on a parlé de totalement autre chose pendant la séance et en fait c'est ça la valeur ajoutée qui est énorme c'est à quel point Ouais, à quel point tu arrives à capter, à mettre de la clarté sur ce qui bloque. Et des fois, en un audio d'une minute trente, en fait, là où moi, j'étais là à me dire, il faudra au moins une séance d'une heure. En fait, tu libères.

  • Speaker #1

    Moi, je vais te partager ce qui m'a le plus touchée dans notre accompagnement. C'est la fois où on a travaillé sur... ta perception de ton corps. Ça m'a beaucoup touchée. Je n'ai pas regardé le replay, mais de te voir te libérer et où tu m'as dit, c'est bon, la photo, je la supprime. Là, j'ai fait, waouh, c'est fou. En fait, ce qui vient de se passer, c'était ouf. Ça a chiffré du tout au tout.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'on n'en a pas trop parlé. On a beaucoup plus parlé le côté... relation aux femmes et relation business, mais on a aussi fait une grosse partie sur le corps et en soit il y avait aussi un énorme lien avec la relation aux femmes etc et ouais et c'est vrai que sur le rapport au corps aussi il y a eu un sacré switch et notamment cette séance en effet c'était assez ouf et j'avais déjà beaucoup beaucoup avancé là-dessus. Je ne sais pas si c'est un travail qu'on peut vraiment finir un jour, le rapport au corps, c'est toute une question, mais ça m'avait vraiment... En fait, me dire que je le vois tellement en changement dans comment je consomme le contenu, par exemple. C'est-à-dire qu'en fait, aujourd'hui, je continue de suivre, parce qu'en fait, je trouve ça tellement... inspirant et impressionnant les bodybuilders de haut niveau parce qu'en fait ils vont dans des états avant une compétition c'est tellement dur pour le corps ce qu'ils font et du coup je trouve ça assez inspirant et tout mais du coup quand je les voyais sur les réseaux je me comparais énormément à eux j'étais vachement dans la comparaison j'aimerais bien avoir ce corps etc et après cette séance en fait c'est ouf parce qu'en fait je continue à regarder ce contenu mais je me comparais plus du tout. Et aujourd'hui en fait, il y avait du coup la Mister Olympia qui est la compète internationale la plus connue et tout dans ce domaine là il y a une ou deux semaines. En fait j'ai pu suivre cette compétition mais sans me comparer, sans quoi que ce soit en fait, j'étais juste là en mode c'est inspirant et ouais c'est juste c'est inspirant quoi. Et en fait, encore une fois, l'action était la même. Finalement, l'action est la même. C'est-à-dire que je suis ces gens, mais le ressenti, l'énergie derrière n'a rien à voir. Oui.

  • Speaker #1

    Et je ne sais pas si je te rappelle, tu m'avais dit même, je me suis désabonnée de ces personnes parce que ça n'arrêtait pas de me mettre dans les suggestions d'explorer d'autres comptes et ça commençait à me challenger, à me trigger. Et donc, je t'ai dit, en fait, allons changer cette énergie-là. Et c'est dommage que tu ne suives plus ces personnes qui t'inspirent parce que l'exploreur te soumet des recos qui viennent te challenger.

  • Speaker #0

    Oui, du coup, j'avais envie, mais parce que je me comparais, ça me créait de la souffrance, donc je me désabonnais. Mais du coup, c'est une fuite.

  • Speaker #1

    Oui, exactement.

  • Speaker #0

    Et du coup, tu ne règles pas vraiment le problème. tu mets quelque chose dessus, tu mets un torchon dessus, ou un chiffon dessus.

  • Speaker #1

    Ce que j'aime bien dire, c'est qu'on met le caca sous le tapis, on le cache, on n'a pas besoin de le traiter puisqu'on ne le voit pas.

  • Speaker #0

    Oui, mais il est toujours là.

  • Speaker #1

    Mais ça, c'était une belle libération. Et en fait, ce qui m'a touchée, ce n'est pas le fait qu'on ait shifté ça pendant une séance, c'est de voir comment ça t'avait fait shifter d'énergie. Parce que ce n'était pas la première fois qu'on parlait de ton rapport au corps. Et qu'en fait, après cette séance, tu ne m'as plus parlé du corps. Alors qu'on a passé quand même plusieurs séances dessus. Et après ça, en fait, ce n'était plus un souci pour toi. Et on a shifté sur des sujets beaucoup plus business. D'ailleurs, le dernier mois qu'on a fait d'accompagnement, tu m'as demandé à ce que je te mentore sur le business. Et on n'a plus parlé du corps. On a parfois parlé des connexions. Mais alors le corps, on n'a plus abordé le sujet.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai.

  • Speaker #1

    Alors que le début de l'accompagnement, tu es venu avec vivre de mon activité, trouver une femme avec laquelle relationner et mon problème avec ma vision du corps.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai que ça, je n'en ai pas reparlé. Et puis même aujourd'hui, ça change tout le rapport. C'est-à-dire que j'ai une valeur bouffe que je n'assumais pas. Avant même de venir à toi, j'avais un TCA que j'avais depuis 12 ans et que je n'avais même pas conscientisé, que j'avais déjà commencé à libérer. Mais là, vraiment, je le vois là où avant c'était vraiment un soir, le week-end, où je peux me faire plaisir et machin et tout. Là, maintenant, si je regarde la semaine dernière, le mardi, je vais faire une pâtisserie pour célébrer un client. Le jeudi soir, je vais au resto avec une amie coach. Et puis le samedi soir... je vais au resto pour la nif de ma grand-mère quoi. Et puis je suis pas là à culpabiliser à chaque fois.

  • Speaker #1

    Ouais et à chaque fois c'est pour célébrer, connecter avec des gens que tu apprécies, avec toi-même, que ce soit toi-même ou des personnes que tu apprécies et où tu as savouré pleinement le moment présent sans honte ni culpabilité.

  • Speaker #0

    Ouais ouais c'est ça. Là où avant je m'en serais voulu, je disais non tu déconnes Kevin, tu peux pas manger une pâtisserie en semaine, tu peux pas aller deux fois au resto. Alors que là c'est...

  • Speaker #1

    ça libère.

  • Speaker #0

    Oui, tu t'autorises un peu plus à vivre, tout simplement, dans ce qui est important pour toi.

  • Speaker #1

    Tu dirais que, comment tu décrirais les changements que tu as vécu pendant l'accompagnement, que ce soit dans ta vie ou dans ton business concrètement, c'est quoi l'avant-après, si tu devais résumer ?

  • Speaker #0

    Alors concrètement...

  • Speaker #1

    Parce que dans les ressentis, c'est hyper subtil. Et je pense que toi, tu le sais parce que tu le vis. Mais si quelqu'un qui n'a pas suivi nos séances ne voit pas trop de quoi on parle, comment tu lui résumerais ça ?

  • Speaker #0

    Donc plus concret en termes d'action et résultats dans la matière. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que les gens, c'est comme ça qu'ils comprennent. Là, tu le sais subtilement.

  • Speaker #0

    Bien sûr. C'est très simple. Alors, niveau business, J'acceptais tout le monde. C'est-à-dire que j'étais que dans la peur du manque. Et j'acceptais tout le monde et je m'adaptais à tout le monde. Et tant qu'on pouvait me donner de l'argent, tout le monde était le bienvenu. C'était littéralement ça. Et du coup, j'ai été beaucoup plus, comment dire, une forme de, encore une fois, définir ce que je veux, ce que je veux vraiment, ce dont j'ai envie, ce dont je n'ai pas envie, etc. Et aujourd'hui, j'accompagne mes premiers clients. J'ai fait un lancement à zéro vente, mais ça ne m'a rien fait émotionnellement. Parce que pareil, j'avais déjà été checker les bénéfices qu'il y ait zéro vente. Donc en fait, c'est vraiment avancer avec beaucoup moins d'émotionnel et de souffrance. Parce que tu apprends à gérer tout ça beaucoup mieux. Et en fait, je fais un premier lancement à zéro vente, mais juste derrière, je passe à la suite. Je me dis, en fait, c'est normal, c'est parce que je viens de créer une offre pour moi, mais pas pour mes clients de rêve. Donc, en fait, je me réadapte, je me réajuste. Et puis, en fait, derrière, je ne sais pas, quelques semaines plus tard, j'envoie un message tout fait, qui est bien écrit, mais c'est un message tout fait, en fait. WhatsApp à cette personne de ma communauté WhatsApp. que je voulais vraiment accompagner, c'était vraiment mes clients de cœur, je leur envoie un message en disant, voilà, je respawn, il y aura ça dedans, est-ce que ça résonne ? Et aussi simplement que ça, il y a deux personnes qui rejoignent, et aujourd'hui, j'accompagne deux de ces personnes sur six mois. Donc, je dirais que c'est mes premiers clients de cœur que je kiffe. Vraiment, quand je vais en séance avec eux, je... pressé d'avoir les séances avec eux je suis vraiment tu es dédié à eux parce qu'en fait j'adore les accompagner à un prix qui est juste pour moi donc un tarif qui était juste pour moi enfin voilà donc c'est vraiment passé de j'accepte tout le monde à je sais ce que je veux je sais qui je veux et et du coup la jambes voilà j'en suis à j'en suis là ensuite a vraiment accompagné

  • Speaker #1

    Il faut dire que quand on a commencé l'accompagnement, tu n'étais pas en joie d'accompagner certaines personnes. C'était même difficile avec certains. Et je me rappelle que tu adaptais même en fonction du budget des gens.

  • Speaker #0

    J'adaptais le budget, j'adaptais le temps, j'adaptais tout. Et en fait, c'était…

  • Speaker #1

    Quand tu repenses, c'était… Non,

  • Speaker #0

    mais c'est sûr.

  • Speaker #1

    C'était ok, quoi.

  • Speaker #0

    Je ne fais plus ça aujourd'hui. Ça, c'est sûr. Et... Donc il y a cette partie là, il y a aussi la partie évidemment connexion en présentiel, quand je suis venu à toi, donc il y a la partie création de communauté aussi, encore une fois comme on disait tout à l'heure, donc j'ai créé une communauté WhatsApp où il y a sur les 110 personnes que j'avais coachées, il y en a 50 qui l'ont rejoint, j'ai fait des coachings de groupe, j'ai commencé à créer du contenu écrit, du contenu audio pour devenir de plus en plus à l'aise à la création de contenu, ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai basculé sur Instagram, je me sentais prêt. Donc il y a cette partie là, il y a la partie client, donc ces deux clients. Il y a aussi la partie Instagram d'ailleurs, je me suis lancé il y a trois semaines. Donc là je suis encore en train d'expérimenter, mais c'est beaucoup plus fluide. Je suis en train de trouver ma patte, tester tous les types de contenus, voir ce que j'aime faire, voir ce qui est fluide, voir ce que j'aime moins, etc.

  • Speaker #1

    Sachant que quand tu as rejoint mon accompagnement, tu étais très bloqué pour poster. Je précise parce que les gens, s'ils t'entendent, ils ne connaissent pas le contexte, ils disent je ne vois pas la transformation Tu n'arrivais pas à poster du tout.

  • Speaker #0

    Ah oui, je ne postais pas. J'étais incapable de poster. Non, c'est un énorme switch. Ah, j'avais une dernière chose. Le coworking, c'est ça. En fait, le coworking, pareil, j'avais peur d'aller dans des co-works, j'avais peur de tout ça. Et en fait, j'ai testé cinq co-works différents. J'en ai vraiment trouvé un qui résonnait, où je me suis dit, c'est ce co-work. C'était vraiment intuitif, là, c'était très fort. Puis je me suis inscrit, et là, j'ai commencé à connecter avec des gens, etc. Donc, prendre des cafés, etc. Donc, vraiment, ce truc de relation humaine, en fait. que j'avais perdu en étant toute la journée devant mon écran, mon PC et tout. Et que là, j'avais besoin de reconnecter avec de l'humain, des entrepreneurs notamment, de tout type. Parce que du coup, il y a petites startups, gros startups, solopreneurs, etc. Donc, ça ouvre le champ des possibles, etc. Et puis,

  • Speaker #1

    dépasser... Il faut dire que quand tu as rejoint l'accompagnement, tu étais aussi challengé par le budget que le cohort pouvait représenter. Et que tu as rejoint un cowork qui te demandait un engagement déjà de deux mois, si je me rappelle bien.

  • Speaker #0

    Oui, oui, oui, exactement.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait aussi cette peur de manquer d'argent qui a shifté aussi de revenir à soi, son intention, avoir peur, mais pas connecté au manque dans tes actions et d'aller chercher plus grand. Et donc, tu as dépassé ta zone de confort en investissant tes ressources dans ce type de choses, dont le cowork.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. De toute façon, la peur du manque, c'était dans tous les domaines. C'était aussi avec les femmes. Elle était partout et aujourd'hui, elle n'est plus là. Ou alors, si elle est là, encore une fois, je la sens beaucoup moins et je l'adjère.

  • Speaker #1

    Tu reviens facilement dans ton alignement parce que c'est normal d'avoir le genre de pensée de toi qui aimes les pâtisseries. Ce n'est pas des pâtisseries qui sont peu chères, c'est des pâtisseries qui sont quand même haut de gamme. Et c'est aussi ça, je me rappelle, de t'autoriser. à dépenser tant de budget dans une pâtisserie alors que tu ne générais pas encore les revenus que tu voulais. C'est en fait apprendre à se faire plaisir aussi, même si tu n'es pas encore là où tu voudrais, au niveau de ton chiffre d'affaires, réintégrer la notion de plaisir quotidiennement.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et en effet, pour moi, c'est ça. C'est en fait qui j'ai envie d'incarner et qu'est-ce que je veux permettre à mes clients. Mes clients, ils s'autorisent. justement à se faire des plaisirs et à vivre aujourd'hui et pas quand ils feront x ou y récif d'affaires mais en fait si je veux que mes clients s'autorise ça c'est pas le dire et pas le faire c'est l'incarner appartement où je l'incarne dans ma vie moi là je peux je peux prétendre et je peux commencer à dire je vous permet ça mais moi je le fais c'est pas ce que je dis fait pas ce que je fais c'est je l'incarne

  • Speaker #1

    C'est très ligne 6, ça je précise, parce qu'il y a des personnes qui n'ont pas de problème à transmettre des choses qu'ils n'incarnent pas. Mais en ayant une ligne 6, c'est quelque chose qui est très important pour nous, parce que moi aussi j'ai une ligne 6, d'incarner ce qu'on transmet à nos clients. Et à ma fille, par exemple. C'est important que quand je dis quelque chose à ma fille, je l'incarne aussi. Et ça, c'est très ligne 6 en HD. Il y a d'autres personnes qui ont des lignes 5, par exemple, qui ne ressentent pas de charge. à dire aux gens ce qu'ils doivent faire et qu'eux ne l'appliquent pas dans leur propre vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Merci pour la nuance. Avec plaisir.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait ça, cette notion de plaisir dans ton quotidien, de t'autoriser. Je précise qu'on ne met pas en danger ta santé financière et ton ressenti d'insécurité, c'est juste qu'on va shifter ta perception pour que... Ces plaisirs-là viennent te nourrir et ne te mettent pas en PLS dès que tu commences à les honorer.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et il y a aussi, évidemment, une part qu'on a faite qui m'a aussi beaucoup aidé. D'une, avec les shifts, comment dire, tous les shifts qu'il y a eu, déjà, il y a je m'autorise à vivre aujourd'hui et en fait je trouverai des solutions En tout cas, aujourd'hui, je suis vraiment dans ce truc de je trouverai des solutions Oui,

  • Speaker #1

    en faisant. Et tu l'as fait. À chaque fois que tu as fait, tu as avancé, tu as trouvé des solutions, tu t'es ouvert à d'autres choses, tu as été de plus en plus audacieux dans ce que tu faisais. Et en fait, plus tu le faisais, plus ça devenait fluide.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Il y a vraiment ce shift-là qui aide aussi beaucoup. Après,

  • Speaker #1

    tu t'es jugé aussi pour aimer les jeux vidéo. Je me rappelle d'une période où tu me disais, en ce moment, je joue beaucoup aux jeux. je ne suis pas hyper alignée avec ce que je suis en train de faire. Et en fait, c'est vraiment t'apporter beaucoup plus d'amour et de compassion à toi-même.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, il y avait toute une partie que j'avais réprimée dès que je suis devenu entrepreneur. Il y a toute une partie que j'ai réprimée. Oui. Dans les jeux vidéo. C'était un peu en mode... Non, mais maintenant, il faut être sérieux. Tu es entrepreneur, tu ne peux plus être un gamin qui joue aux jeux vidéo. Et du coup, j'avais dégagé ça, en fait, tout simplement. Oui. En effet, il y a tout ça. Et ça, c'était sur la partie business, du coup, donc énorme. Le coworking, les connexions, les clients de rêve que j'ai commencé à accompagner, le lancement sur Instagram avec plein d'essais sur des types de contenus, etc. Donc, oui, beaucoup de choses. Ça, c'est la partie business. Partie rapport au corps, santé rapport au corps, on en a déjà parlé, mais c'est vraiment ce switch de... je me compare énormément, je me minimise, je me sens jamais assez, il faudrait que je sois plus comme ça, et du coup, en plus, je réprime toutes mes valeurs importantes pour moi à côté, qui est la valeur bouffe, et qui souvent est reliée en plus à la valeur connexion, donc forcément, ça crée beaucoup de souffrance, juste parce que j'ai des attentes sur un physique, et une perception plutôt biaisée, etc. Donc ça crée pas mal de... Donc il y a toute cette partie-là, toute cette partie-là, qui a changé. Encore une fois, dans la matière, qu'est-ce que ça a changé ? Juste, je continue de faire du sport, je continue de faire attention à ce que je mange, c'est toujours important pour moi, mais je ne me mets plus autant de pression et je vis beaucoup mieux les choses et je ne me juge plus, tout simplement. Donc il y a cette partie-là. Et après, sur la partie relation aux femmes, etc., je pense que ce qu'on a le... Je me dis sous en fait encore une fois cette question d'énergie où j'étais encore pas mal dans peur de manquer peur de pas avoir peur de finir ma vie seule etc il y avait beaucoup ce truc là qui aujourd'hui en fait n'est plus du fin voilà c'est plus là quoi c'est plus là et justement paradoxalement c'est ce qui me permet il ya une femme qui me plaît dans la rue je peux aller l'aborder il n'y a pas de problème Et Ouais en fait c'est juste, là le switch il s'est beaucoup joué au niveau énergétique, mais ouais si plus dans la matière en fait c'est ça. C'est qu'en fait je me mets plus la pression ou de deadline en me disant non mais là il faut que je trouve quelqu'un avant telle date, ou il faut que je sois en couple avant telle date, ou j'ai peur de finir tout seul. En fait non, j'adore mes journées, j'adore mon quotidien, je connecte déjà sur plein d'autres formes. qui, voilà, j'ai une grosse valeur famille, une grosse valeur amie. Et en fait, je ne me mets pas la pression et je prends mon temps, en fait. Et paradoxalement, parce que je ne me mets pas la pression, je ne puis pas le manque. Et donc, en fait, voilà, ça arrivera quand ça arrivera. Et je suis juste, ouais, mon flot, en fait.

  • Speaker #1

    En fait, l'enjeu a changé. Avant, il y avait beaucoup d'enjeux et c'est pour ça que tu avais beaucoup de pression. Et maintenant, l'enjeu est différent. C'est-à-dire que tu es toujours ouvert à rencontrer une femme, mais il n'y a plus cette pression qui va te mener à faire des actions complètement désalignées par rapport à qui tu es.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je parle plus d'une intention qui est, encore une fois, une intention interne et pas un objectif avec un résultat externe. Oui, ok. Donc, l'énergie est différente.

  • Speaker #1

    Et si tu devais définir... En quelques mots, l'impact que cet accompagnement a eu dans ta vie, qu'est-ce que tu dirais à quelqu'un qui te poserait la question, qui ne te connaît pas ou qui te connaît mais qui ne se rend pas compte ?

  • Speaker #0

    C'est marrant, il y a un mot qui m'est venu en fait, c'est vraiment légèreté. Avant c'était lourd, il y avait beaucoup de souffrance, c'était épuisant en fait. Et là en fait le mot qui me vient c'est légèreté. C'est en fait, c'est plus léger dans tous tes domaines de vie. Tu juges moins sur ton corps, tu te mets moins la pression dans tes relations, tu te mets moins la pression dans ton business, donc c'est plus léger en fait. Tu vis ta vie, tu ne la mentalises plus tout le temps. Tu vis en fait.

  • Speaker #1

    Ça a quelle valeur pour toi, Kevin ?

  • Speaker #0

    S'il fallait mettre un chiffre dessus, ça n'en a pas. Ça n'en a pas en fait. Pour moi, c'est juste... Pour moi, ça n'a juste pas de valeur. S'il fallait mettre un chiffre dessus, je ne pourrais pas en mettre.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu arrives à retracer ton parcours et à voir ton cheminement depuis le début jusqu'à aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Si je ferme les yeux, spécifiquement, pas forcément, mais je vois le début et le bout et c'est juste fou. C'est juste fou.

  • Speaker #1

    Si tu devais me recommander à quelqu'un qui hésite à sauter le pas, qui me connaît, qui se dit j'aimerais bien me faire accompagner par Julie, mais qui hésite un peu, qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    Je lui dirais vas-y. Genre juste, si tu hésites, je lui dirais fonce quoi. Fonce et tu verras. De toute façon, tu n'auras pas les réponses avant d'y aller, mais juste fais-toi confiance, écoute-toi et vas-y.

  • Speaker #1

    Parce que je précise que toi, tu n'avais pas l'argent qui constituait l'investissement et que ça t'a beaucoup challengé cet investissement au niveau financier.

  • Speaker #0

    Oui, en effet, mais il y avait quelque chose de plus fort. Il y avait vraiment cette peur très mentale. de j'ai peur de manquer, très machin et il y avait un truc beaucoup plus fort à l'intérieur où il y avait vraiment ce truc de je sais en fait, je sens et je sais et c'est elle et je pouvais pas l'expliquer et en plus je me souviens très bien, c'était j'en parlais à ma mère j'étais dans la cuisine avec elle, je dis putain c'est fort ce truc, et puis je lui dis mais ça fait plusieurs jours que c'est là et en fait de jour en jour c'est de plus en plus fort en fait Et du coup, c'est ça. Et donc, en effet, il y avait cette peur très mentale de manquer, mais il y avait un truc plus fort à l'intérieur.

  • Speaker #1

    Parce que tu aurais pu te faire accompagner par un autre coach formé à l'équilibrage des perceptions qui t'aurait facturé moins.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, évidemment. Mais non, je ne pense pas que ce soit quelque chose... c'est pas quelque chose vraiment... En fait, je peux dire je t'ai rejoint pour X ou Y, mais je pense qu'il y a aussi une part que je ne peux pas rationaliser. Oui. C'est-à-dire que, en fait, quand c'est venu la première fois, je ne pense pas que j'ai rationalisé en mode elle fait du HD, elle fait ci, elle fait ça. Vraiment, quand c'est venu la première fois, c'était juste un ressenti très fort. Oui. Et c'était juste une voix intérieure qui disait c'est elle.

  • Speaker #1

    Oui, et ça, c'est ce qu'on appelle l'autorité splénique. C'est la voix qui vient avant que ça vienne être filtré par le mental. Et donc, quand on entend cette voix, c'est là où on connaît la réponse. Après, on a notre libre arbitre de suivre ce qu'indique cette voix ou pas.

  • Speaker #0

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu aurais quelque chose à ajouter, Kevin ?

  • Speaker #0

    Non, juste merci. Juste merci pour tout, en fait. Je n'ai pas forcément les mots qui me viennent à part ça, mais merci.

  • Speaker #1

    Merci, Kevin, pour ta confiance. Ce n'était pas gagné d'avance, parce que je me rappelle que tu avais prévu de faire uniquement un mois.

  • Speaker #0

    finalement tu t'es laissé engrainer de moins en moins mais à la base tu m'as dit je fais juste un mois y'a pas de problème, fais juste un mois fais avec ce que tu peux, y'a pas de soucis et puis finalement on a fait un accompagnement complet donc merci pour ta confiance et puis bah je te dis de toute façon on se voit la semaine prochaine on va concrétiser ça dans la matière par une rencontre grâce, ça va être trop bien merci Kevin merci Julie

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode des Perles de Jade jusqu'à la fin. Les liens de celui-ci se trouvent dans les notes. N'oubliez pas de me rejoindre sur Instagram où mon pseudo c'est julie-ugs afin d'échanger et de me dire ce que vous en avez pensé. A bientôt pour un nouvel épisode !

Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs 🤗


Dans cet épisode, je t’invite à découvrir le témoignage de Kevin, un entrepreneur qui, comme toi, aspirait à plus de clarté, de liberté, et d’alignement dans sa vie et son business. Kevin partage comment il a transcendé ses doutes et blocages pour finalement créer une vie en parfaite résonance avec qui il est profondément.

Ensemble, nous explorons :

  • Comment Kevin est passé d'une quête incessante de validation extérieure à la certitude intérieure grâce à l’autorité en Human Design.

  • Les étapes concrètes qui lui ont permis d'attirer ses premiers clients alignés, sans compromettre ses valeurs ou son bien-être.

  • L'importance de te reconnecter à tes désirs les plus profonds pour que ton business serve ta vie et non l’inverse.

  • Comment il a réussi à s’affranchir de la pression de réussir pour, à la place, incarner la légèreté et l’abondance dans tous les aspects de son quotidien.

Cet épisode t’offre une perspective inspirante sur ce que signifie vraiment créer un business au service de ta vie, tout en cultivant tes relations, ta liberté, et ton épanouissement personnel. Si tu rêves de trouver cet équilibre entre ambition et bien-être, c’est exactement le déclic qu’il te faut pour franchir le prochain cap.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur le podcast Les perles de Jade des conseils précieux à collectionner, partager ou tout simplement à méditer. Je m'appelle Julie, française installée aux Pays-Bas depuis quelques années, ancienne responsable d'un département achat devenu coach, j'ai décidé de changer ma vie afin de changer celle des autres. Je vous aide à trouver de nouvelles pistes de réflexion et à passer à l'action, afin d'être plus épanouie dans votre vie. Abonnez-vous sur la plateforme de votre choix pour ne manquer aucun épisode. N'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram. à julie-ugs afin d'échanger. Le lien se trouvera dans les notes de l'épisode. En attendant, je vous souhaite une excellente écoute.

  • Speaker #1

    Salut Kevin.

  • Speaker #2

    Hello Julie.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir accepté mon invitation à partager ton expérience avec moi.

  • Speaker #2

    Avec plaisir, merci à toi.

  • Speaker #1

    Est-ce que pour commencer... Tu auras envie de te présenter comme tu le souhaites, qui tu es Kevin et ensuite qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #2

    Ouais, clairement. Du coup, moi c'est Kevin, j'ai 32 ans, ça va faire 4 ans que je suis indépendant, donc je suis passé par pas mal de phases, mais j'ai commencé avec une année en tant que solopreneur, donc du coup seul, en étant juste coach certifié PNL, ensuite j'ai fait 2 ans en startup. où on apprenait aux gens à s'auto-coacher et dans laquelle j'étais associé, j'avais pas mal de casquettes, notamment dans le recrutement, dans l'appui produit, dans beaucoup de choses en fait, dans la gestion financière, etc. et aussi dans une partie gestion des coachs, management. Et suite à ces deux ans, l'entreprise a coulé du coup et je suis reparti en tant que solopreneur. Mais du coup, j'avais pas mal de challenges. à trouver une manière pour moi de faire du business qui était aligné à qui je suis et comment je fonctionne. Et du coup, c'est ce qui m'a amené à cet accompagnement avec toi.

  • Speaker #1

    OK, merci Kevin. Déjà, tu dis beaucoup ce que tu as fait et ce que tu fais, mais qui tu es en tant que personne ? Parce que moi, je sais qui tu es, mais les gens ne savent pas. Pour moi, je vois le Kevin, l'homme derrière la voix. Donc, est-ce que tu as envie de te présenter qui tu es, toi ?

  • Speaker #2

    Dans qui je suis, du coup, qu'est-ce que j'aime faire ?

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qui te définirait selon toi ? Pour moi, tu n'es pas juste Kevin, le solopreneur.

  • Speaker #2

    Ok. Je pense que ce qui me définit le plus, c'est vraiment je suis fasciné par l'humain. Ça, c'est ce qui me définit le plus. Je suis vraiment... J'aime l'humain. J'aime comprendre l'humain, je suis fasciné par essayer de comprendre l'humain à travers plein de façons différentes, que ce soit en allant connecter avec des gens, que ce soit à travers du contenu que je consomme, que ce soit à travers l'écriture, en me comprenant mieux, en me faisant coacher. C'est forcément ce qui me définit le plus, toute ma vie tourne autour de ça, je le vois, je le sens et je le vois de plus en plus. de semaines, de mois et d'années en années. C'est vraiment ce qui me touche le plus, en tout cas.

  • Speaker #1

    Moi, tu vois, si on me dit c'est quoi la particularité de Kevin, j'aurais tendance à dire il aime bien le jeu, les challenges, pour toujours évoluer et aller gratter le millimètre. Et il aime bien cuisiner et manger.

  • Speaker #2

    Il y a aussi cette partie-là, en effet. C'est pas faux. C'est vrai que, ouais, il y a aussi, on va plus au-delà, mais je vois quand même que ça part souvent de mieux se comprendre. Je le vois même dans le sport, parce que du coup, je fais du sport en salle depuis une quinzaine d'années. Et en fait, j'ai compris que c'était ma façon à moi de connecter à mon corps et de mieux comprendre mon corps, par exemple, et chaque part de mon corps. À travers l'alimentation, pareil, je me suis beaucoup intéressé à l'alimentation et qu'en fait, c'était aussi une manière pour moi de... de mieux me comprendre et de comprendre mon corps. En tout cas, il y a toujours un fond de compréhension, j'ai l'impression.

  • Speaker #1

    Préhension, mais aussi de connexion, parce que juste la compréhension sans la connexion, ça te paraît moins fun, moins plaisant, et en fait, c'est purement mental. Je pense que la connexion te permet justement de te connecter à tes ressentis. Et tu es pour moi une personne très sensible. Oui. Donc…

  • Speaker #2

    Ouais, je le vois. Et en effet, c'est très complémentaire. En effet, il y a une partie compréhension qui est très interne où je vais être en mode hibernation ou même encore une fois à travers le sport, etc. Là, je suis vraiment dans ma bulle et il y a aussi une énorme partie compréhension à travers la connexion. Je le vois avec les clients que j'ai actuellement. Ça peut être très fort des fois en séance juste de mentoring et je peux avoir les larmes aux yeux en fait en séance de mentoring parce que je suis...

  • Speaker #1

    je me sens connecté en fait aux personnes ouais en effet aux personnes c'est un souvenir qui te touche ouais la première fois ému par un souvenir ou par un déclic ouais exactement et c'est

  • Speaker #2

    marrant parce que du coup quand on parlait de de bien manger et moi c'est surtout les pâtisseries qui me ouais je suis très pâtisserie mais je me rends compte que c'est aussi souvent euh euh bien manger, que ce soit les pâtisseries ou un resto ou quoi, ça va souvent être... Je vais souvent le faire avec des gens, en fait. C'est comme si c'était une manière pour moi de connecter avec les gens.

  • Speaker #1

    À travers ce que tu apprécies. Ouais. À travers des valeurs communes, du coup.

  • Speaker #2

    Exactement. Souvent, ces gens-là ont les mêmes.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu te rappelles comment on s'est rencontrés, Kevin ?

  • Speaker #2

    Alors, oui. J'avais créé, je crois que c'était ça la première fois, j'avais créé la communauté sur WhatsApp de Lulien, où du coup, on avait ajouté tous les gens de toutes les cohortes de Mastery, parce qu'en fait, vraiment, mon souhait à ce moment-là, c'est qu'en fait, j'avais fait Mastery, j'avais connecté avec plein de gens de la cohorte 4, donc de ma cohorte, mais je me disais, putain, c'est tellement dommage qu'en fait, tous les gens de toutes les cohortes... puissent pas connecter ensemble parce qu'au final tout le monde a suivi l'école tu as des gens plus ou moins avancés mais surtout tout le monde a la valeur commune de mieux se comprendre et de la transformation humaine et je m'étais dit en fait c'est vrai c'est frustrant pour moi je me suis dit mais pourquoi il n'y a pas un truc qui existe où en fait on peut réunir tous ces gens là en fait et où ils pourraient par exemple même connecter en réel sans forcément que Julien ait besoin d'être présent etc du coup j'avais créé cette communauté Donc du coup, avec Louisa, on envoyait les invitations à chaque personne de toutes les cohortes. Et toi, vu que tu étais dans les premières cohortes, on t'avait envoyé l'invitation, tu avais rejoint. Et donc après, je crois que les premières connexions étaient au sein de cette communauté. Ensuite, je t'ai suivi sur Instagram. Et en fait, j'ai juste raisonné très fort avec ton contenu, notamment sur ta partie Human Design, auquel je commençais à m'intéresser. Et c'est de là, du coup... de fil en aiguille, que j'ai décidé de me faire accompagner par toi.

  • Speaker #1

    Yes. Et c'est marrant parce que le human design, au final, j'en parle beaucoup en story, mais très peu dans mon feed. Je fais des références, mais en général, les gens viennent pour moi parce que j'utilise le human design en plus du coaching. Donc, c'est marrant. Merci, Kevin, c'est correct. On s'est rencontrés comme ça. Et du coup, on va se rencontrer en vrai, enfin. La semaine prochaine.

  • Speaker #2

    Oui. Autour de la valeur bouffe.

  • Speaker #1

    C'est ça. Est-ce que tu te rappelles un peu, Kevin, dans quelle situation tu te trouvais avant justement de dire je vais contacter Julie ? Parce que sachant, je précise, que je m'adresse aux féminins, c'est quoi qui t'a donné l'élan de dire en fait, je veux bosser avec Julie alors qu'elle ne s'adresse qu'aux femmes ?

  • Speaker #2

    Alors déjà on avait connecté une première fois, on a fait un café visio, je me souviens. Et du coup déjà il y avait eu un gros feeling etc. Ensuite comme je disais, le Instagram, donc il y avait la partie HD mais il y avait plein d'autres choses en fait aussi, des parts que tu exprimais dans ton contenu, en fait que moi j'avais davantage envie d'exprimer dans le mien, donc sous mes formes à moi. Je ne sais pas si je t'ai... Je te vois figer, mais c'est peut-être moi.

  • Speaker #1

    Non, je suis là. Est-ce que tu me vois bouger ?

  • Speaker #2

    Oui, c'est bon. Il y avait ça, la partie design auquel je commençais à m'intéresser. Je voyais que tu utilisais ça. Il y avait la partie où tu exprimais toutes les parts de toi, l'entièreté qui tu es dans ton contenu. Ça m'inspirait beaucoup. C'est ce que j'avais envie de réussir à faire sous ma forme et que je ne m'autorisais pas forcément. Il y avait aussi la partie... Comment je pourrais appeler ça la partie un peu... Catiser ma curiosité, par exemple, je sais que tu utilisais l'hypnose, etc. Et c'est des choses que... Moi, j'étais encore très mental et j'avais envie de... commencer à expérimenter ça, comprendre ça, etc. Donc c'est quelque chose qui m'attirait aussi. Donc il y avait pas mal de choses. Et donc ça, c'était plus... Il y avait cette partie-là qui m'a fait venir à toi. Et plus au niveau de mes challenges, des challenges que je rencontrais à ce moment-là, c'était vraiment... En fait, je m'étais formé au rééquilibrage de perception. Ça m'a beaucoup aidé. Ça m'a vraiment beaucoup aidé. Je suis allé rééquilibrer beaucoup de choses, dissoudre beaucoup de traumas. Mais pour autant, j'avais des envies. Et en fait, je me sentais à l'intérieur de moi, je sentais que ce n'était pas rempli. Le fait que j'avais ces envies et j'avais beau rééquilibrer, j'étais là en mode Ok, tout est neutre, c'est bien, mais à l'intérieur, je ne me sens pas rempli et je ne me sens pas aller vers ce qui m'inspire. Et c'est pour ça que j'étais venu, comme si j'étais un plafond de verre. J'arrivais à ce plafond de verre et je ne savais plus comment faire pour aller au-delà. En termes de rééquilibrage, je m'étais fait coacher par plein de personnes qui étaient aussi formes de rééquilibrage, mais ça ne suffisait plus. Comme si en fait ça ne suffisait plus et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui m'empêchait d'aller vers ce dont j'avais envie. Et à ce moment-là, du coup, je me souviens quand j'étais venu à toi, c'était ma vision. Je t'avais dit ma vision à un an, c'est tout simplement vivre de ce qui me passionne le plus, accompagner des gens. qui m'inspirent et rencontrer une femme avec qui ça connecte, avec qui il y a un feeling et commencer à construire quelque chose. Donc ça, c'était quand je suis venu à toi, c'était ça. Et du coup, j'avais fait un gros travail sur beaucoup de choses, mais pour autant, je ne me sentais pas avancé vers ça. Et je n'arrivais pas à avancer vers ça. Donc c'est pour ça que j'étais venu à toi.

  • Speaker #1

    Et moi, il y a un truc qui m'a marqué, c'est l'une de nos premières séances. En fait, tu m'as dit...

  • Speaker #2

    j'équilibre tout mais du coup j'ai du mal à savoir ce dont j'ai vraiment envie parce que tout est neutre oui oui et c'est ça je pense que c'est ça même qui crée finalement je rééquilibrais mais comme si ça recréait une forme de souffrance en fait derrière qui était ce flou en fait de mais qu'est-ce que je veux et comment j'y vais de la manière la plus lustre pour moi donc c'est ça

  • Speaker #1

    Ouais, donc hyper intéressant. Moi, j'ai les personnes que j'accompagne qui ont été formées aux mêmes méthodes que moi. Justement, c'est ce qu'elles recherchent chez moi. C'est de la guidance sur. Mais du coup, je sais équilibrer. J'accompagne les autres à rééquilibrer. Mais je me suis perdue moi-même dans le process parce que du coup, je ne sais plus différencier ce dont j'ai envie de ce dont je n'ai plus envie. Et c'est un peu confus et c'est quelque chose que je t'ai partagé et je partage aussi avec mes autres clients. C'est que moi aussi je suis passée par là et je pense que c'est ce qui fait aussi que je sais ce que ça fait de se retrouver dans cette situation. Parce que j'ai vécu ça en fait, moi-même. Et j'en suis sortie du coup. Et c'est pour ça que j'ai la capacité de l'expliquer mais pas de vous inculquer comment vous devez faire par rapport à ce que moi j'ai fait. mais plus de dire c'est possible de sortir de ce cercle vicieux et en fait on va découvrir comment par rapport à qui vous êtes et c'est pour ça que j'utilise le human design et je sais que toi par exemple le human design tu disais que tu connaissais un petit peu est-ce que tu as des choses que tu as découvert ou que tu as approfondi qui ont fait la différence pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Bien sûr c'est marrant, avant même que tu aies fini ta question j'avais la réponse dans ma tête je me souviens de la toute première, je crois que c'était notre toute première séance où j'arrivais pas à lancer ma communauté WhatsApp. Je me rappelle, j'avais envie d'envoyer, du coup j'avais coaché pour poser un peu de contexte, j'avais coaché 110 entrepreneurs gratuitement parce que à ce moment-là, c'était trop challengeant pour moi encore de faire du contenu. Et je me suis dit, en fait, je vais juste coacher des entrepreneurs pour connecter avec eux, pour apprendre à les connaître, etc. Et du coup, j'avais coaché tous ces entrepreneurs, mais... j'arrivais pas à entretenir le lien avec en fait et du coup j'étais un peu frustré de ça et je voulais pouvoir entretenir le lien du coup je m'étais dit je vais créer une communauté sur whatsapp ce qui était le plus fluide pour moi à ce moment là et du coup j'avais en fait j'avais juste mis dans ma tout doux entre guillemets dans ce que je voulais faire c'était créer ma communauté sauf qu'en fait je me souviens c'était assez très flou en fait créer ma communauté qu'est ce que ça veut dire en fait qu'est ce que comme actuellement comment tu fais et je me souviens Je crois que c'était notre première séance où tu m'avais dit que tu as l'Agena non défini, ce qui fait que c'est difficile pour toi de conceptualiser. en étant aussi flou entre guillemets et du coup tu as peut-être besoin d'être plus spécifique dans ce dont tu as besoin du coup tu m'avais questionné sur ce dont j'avais besoin justement donc il y avait ce truc de donc on allait vraiment dans le précis finalement dans le spécifique dans le détail mais j'avais besoin de ça qui était est ce que tu as le lien whatsapp où est ce que tu le mets est ce que tu as par exemple une structure d'e-mail ou est ce que tu as déjà des choses que tu veux mettre dans ton email et tout ça et je me souviens que juste ça capter qu'en fait Il y avait vraiment une envie, il n'y avait pas de peur, mais il y avait juste un manque de clarté. Et de comprendre que parce que j'avais l'agenda non défini, j'avais besoin parfois, par moment, de découper en plus petits bouts. Je me suis rendu compte que le lendemain, j'avais lancé ma communauté et il y avait 50 personnes qui rejoignaient le WhatsApp. Sur 100 mails que j'avais envoyés, il y avait une cinquantaine de personnes qui rejoignaient. Et donc là déjà, en effet, grâce au HD... j'étais là en mode ok ça risque de me servir de savoir ça parce que sinon en effet je peux rester trop dans le flou et malgré que j'ai envie qu'il n'y ait pas de blocage, qu'il n'y ait pas de peur, qu'il n'y ait pas d'injonction en fait c'est juste un manque de clarté sur ce que j'ai à faire pour réussir à me rapprocher de ça ouais trop bien est-ce que il

  • Speaker #1

    y a quelque chose Il y a quelque chose qui t'a plus marqué que d'autres durant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Oui, très très fort. En fait, aujourd'hui, ça fait partie vraiment de ma vie et de mon quotidien, et je reviens tout le temps à ça. C'est ce truc de... Alors, c'est un peu global, il y a peut-être plusieurs choses, mais c'est vraiment ce truc de revenir à soi, que j'ai compris. Et en fait... Au début, c'était très difficile pour moi de me dire, mais ça veut dire quoi, revenir à soi ? Tout simplement parce que je n'avais pas défini ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Donc, c'est difficile de revenir à soi quand on ne sait pas ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas. Mais c'est vraiment ce qui a fait la différence. En fait, ça change tout. C'est-à-dire que ce que j'ai remarqué, c'est que la plupart des injonctions et des peurs peuvent disparaître assez rapidement quand vraiment on a défini ça en profondeur et qu'on y revient. Et j'ai tellement d'exemples. très spécifique par rapport à ça où ça m'a vraiment vraiment ça m'aurait ça m'a libéré très vite et j'ai pu repasser me remettre en mouvement rapidement parce que j'avais parce que j'avais ça donc il ya vraiment ça ce truc de revenir à soi qu'est ce que je veux qu'est ce que j'ai envie et aussi plus accès donc avait aussi la partie avec les femmes mais aussi la partie avec le business qui était vraiment quel genre de clients je veux attirer en fait du coup quand tu es vraiment au clair là-dessus, au-delà de juste les peurs, les blocages, etc. Mais en fait, c'est quoi leur mindset ? Comment ils réfléchissent ? C'est quoi leur passion même ? De quoi ils pourraient parler pendant des heures ? Généralement, c'est des personnes qui nous ressemblent beaucoup. En fait, quand tu sais ça, c'est très facile de dire est-ce que tu veux ou non travailler avec un client quand tu as défini ça. Oui. Donc, il y a...

  • Speaker #1

    Il y a très peu de personnes qui... qui accorde de la valeur à ça. Moi, j'ai encore des clientes cette semaine qui me disaient que ça les saoulait de refaire le travail du client idéal.

  • Speaker #2

    Mais en fait,

  • Speaker #1

    c'est un travail à faire régulièrement à chaque fois qu'on bouge, on évolue, à chaque fois qu'il se passe quelque chose d'important dans notre vie parce que c'est comme ça qu'on a plus de clarté. Et sachant que toi, tu es projecteur, donc tu n'as pas autant de centres définis que d'autres individus, c'est facile d'amplifier les injonctions extérieures. Et donc, c'est pour ça que je t'ai invité à revenir à toi à chaque fois, pour te permettre de mieux te reconnaître toi en tant qu'individu dans ton unicité, avant de pouvoir utiliser les choses de l'extérieur à ton service.

  • Speaker #2

    Oui, et en effet, c'est vraiment quelque chose qui est... Franchement, c'est la chose qui a tout changé. Et donc, il y a ça. Et ce qui me vient aussi, c'est aussi beaucoup l'intention, l'intentionnalité. Ce truc de... Souvent c'était encore une fois c'est reviens à toi c'est quoi ton intention qu'est ce que tu veux c'est quoi ton attention qu'est ce que tu veux est en fait aujourd'hui c'est devenu un automatisme mais c'est je me rends compte c'est tellement important de partir de manquer une fois de l'intention et du pourquoi et en général quand ça c'est clair le comment est est beaucoup plus fluide et ouais donc l'intention est aussi ouais être beaucoup plus en fait dans une intentionnalité interne qu'un résultat externe c'est à dire que du coup c'est plus c'est plus par exemple, j'ai une connerie, mais si je prends dans le business, c'est plus comment, je ne le vois plus comme ça, c'est plus comment je peux avoir plus de clients, par exemple, parce que ça, ça reste quand même très externe. Et moi, du coup, ça va être comment je peux me rendre visible davantage. Donc, en fait, je me concentre beaucoup plus sur ce qui est en mon pouvoir, en fait, qui enlève une énorme... personnellement qui m'enlève une énorme pression en fait qui fait ok qu'est ce que moi je peux faire qu'est ce qui est mon pouvoir et c'était pareil en fait et à chaque fois on revenait à ça même quand on parlait de par exemple aller aborder une femme dans la rue qu'est ce qui est mon pouvoir en effet si mon objectif c'est avoir son numéro je vais fois la pression et je vais je vais je vais commencer à mentaliser et donc qu'est ce que je dois dire etc parce qu'en fait c'est pas mon pouvoir alors que si je me dis juste, mon intention c'est juste de connecter et d'apprendre à mieux la connaître d'un coup en fait, toute la pression tombe et en fait ça devient beaucoup plus facile d'y aller et après peu importe le résultat, parce que ça, ça lui appartient c'est-à-dire que moi en fait, je suis drivé par mon envie et j'y vais avec mon envie, avec cette intention je vis l'expérience et après peu importe en fait, le reste ça lui incombe à elle Et ça lui appartient. Et du coup, que ce soit, encore une fois, dans tous les domaines, sur le relationnel, que ce soit dans le business ou dans les relations, ça m'a enlevé beaucoup de lourdeur aussi, de pouvoir reconnecter à ça.

  • Speaker #1

    Et tu disais être visible. J'ajouterais un détail, c'est être visible par les bonnes personnes. Parce que c'est ça qu'on a travaillé aussi ensemble, par rapport à l'aspect visibilité.

  • Speaker #2

    Exactement. Et ça du coup, les bonnes personnes c'est encore une fois revenir à soi et savoir qui tu as envie d'attirer, qui tu n'as pas envie d'attirer, qui est-ce que tu kiffes accompagner, etc. Et le dernier point qui est très fort, il y a ces trois gros points qui m'ont vraiment, qu'aujourd'hui je mets beaucoup d'intention là-dessus, mais ça se rejoint sur l'intentionnalité, c'est avec quel espace tu agis. C'est vraiment ce truc de tout est neutre. C'est ce que j'avais appris avec Mastery. C'est tout est neutre, très bien. Mais en fait, tout est neutre. Tu peux tout faire, tout est possible. Mais dans quelle est ton intention et dans quelle énergie tu y vas ? Est-ce que là, tu y vas dans un espace de manque et de peur de ne pas obtenir ? Ou est-ce que tu y vas dans un espace d'envie d'expérimenter et d'inspiration ? Ouais. Et ça change tellement de choses. Pareil, de revenir à ça, en fait. Et on peut reprendre exactement les mêmes exemples, parce que ça se rejoint. Tu vas aborder une femme dans la rue. Est-ce que tu y vas avec la peur du manque, de ne pas obtenir, etc. ? Donc là, tu es tourné sur le résultat, sur quelque chose qui ne t'appartient pas, sur quelque chose qui est à l'extérieur. ou est-ce que tu y vas avec l'intention, juste l'envie d'expérimenter, parce que tu es inspirée et parce que ça te fait envie ? En soi, l'action est la même, mais l'énergie et l'intention derrière sont totalement différentes.

  • Speaker #1

    Et ça vibre différemment même en interaction avec l'autre personne.

  • Speaker #2

    Oui, exactement. Et j'ai pu le voir, parce que du coup, je suis allé aborder des femmes avec les deux énergies, je suis allé parler à des personnes... que j'avais envie d'accompagner ou même du coup des personnes à coacher etc avec les deux énergies différentes et j'ai pu voir du coup la différence dans le résultat qui n'a rien à voir en fait c'est très différent.

  • Speaker #1

    Ok en quoi c'est différent ?

  • Speaker #2

    Dans la première tu as de l'amertume c'est-à-dire si tu vas avec la peur de manquer de ne pas obtenir en tout cas moi c'est ce que C'est ce que j'avais, ressentiment, amertume. Et du coup, derrière, je devais aller rééquilibrer ça à chaque fois. Et ça demandait une forme de travail. Alors qu'en fait, dans l'autre énergie, rien en fait. Je n'ai pas besoin d'y revenir.

  • Speaker #1

    C'est fluide. Et ça ne prend pas d'espace ni de charge mentale.

  • Speaker #2

    Et c'est marrant. Ça ne veut pas dire que la peur n'est pas là. La peur est toujours là, en fait. mais tu la vis très différemment en fait, et tu la vois plus comme un frein. Exactement. Elle est là parce qu'elle est là. C'est ça. Elle fait partie de toi aussi. Ouais. Mais… Mais en tout cas, tu la vis très différemment. Et ouais, je le vois, en fait. Je sais qu'on avait pas mal travaillé ça, mais c'était ça. Je vais aborder une femme dans la rue. Quand j'y allais avec la peur de manquer et tout, après l'avoir abordée, si elle me disait non, je me posais un million de questions sur pourquoi elle m'a rejetée, pourquoi machin, pourquoi truc et tout. Et je commençais à mentaliser, à me faire toutes ces histoires que je me raconte, alors que je n'aurais jamais la réponse. Et en fait, je me souviens qu'un jour, tu m'avais répondu. Mais on s'en fout, en fait. Et c'est vrai que j'étais là en mode, mais ouais c'est vrai qu'on s'en tamponne et en fait c'est pas important. Et quand après j'ai réussi à juste me détacher de ça, changer mon énergie, aller avec une intention différente, en fait elle répond qu'elle est en couple, bah c'est pas grave. Et même si c'est faux, que ce soit vrai, en fait on s'en fout. J'y suis allé, j'ai fait ce que j'avais envie, j'ai expérimenté ce que j'avais envie d'expérimenter et je passe à autre chose en fait. Et c'est rien, c'est pas grave. Donc, ouais, c'est très différent. Très différent.

  • Speaker #1

    Est-ce que le fait que je sois cash et que j'aille droit au but, ça t'a surpris ou choqué ? Parce que je sais que ça peut surprendre. C'est assez paradoxal avec la douceur que j'émane. On m'a déjà fait ce bac.

  • Speaker #2

    Non, moi, j'adore. Moi, j'adore. Et consciemment ou inconsciemment, de toute façon, je pense que consciemment ou inconsciemment, c'est ce que je venais chercher. Mais c'est les deux encore une fois. Pour moi, encore une fois, c'est ma vision des choses, mais un bon accompagnant, c'est un accompagnant qui accepte et qui assume l'entièreté de qui il est et de ses parts. Et donc il y a une part de douceur, de care, de tout ça, et une part aussi de challenge, d'assertivité, etc. Et du coup, de toute façon, c'est une danse entre les deux en fait. C'est pas l'un ou l'autre. Et du coup... Il y avait des moments où en effet, ça me piquait, ça me challengeait. Mais justement, pour moi, je savais que c'était précisément que tu étais au bon endroit. Donc non, moi, j'aimais beaucoup ça.

  • Speaker #1

    Quand j'étais salariée, mes collègues se foutaient de ma gueule. Ils disaient que j'avais une main de fer dans un gant de velours.

  • Speaker #2

    Mais c'est ça, c'est exactement ça.

  • Speaker #1

    Mais il faut être prêt. J'ai beaucoup de clientes qui me disent qu'il faut être prêt à être accompagné par toi parce que tu nous chahutes quand même pas mal. Tu nous fais sortir de notre zone de confort. On se sent dans l'inconfort à plusieurs reprises quand tu nous parles. Donc, qu'est-ce que tu en penses, toi, de ce genre de feedback ?

  • Speaker #2

    De ma perception, c'est une bonne nouvelle. Ça veut dire qu'elle progresse. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que tu viens chercher ça.

  • Speaker #2

    Oui, parce que tu ne progresses pas que dans le confort. Tu peux progresser dans les deux, mais il y a des moments où, encore une fois, tu auras besoin de care, de douceur. Il y a des moments où tu auras juste besoin de l'opposer.

  • Speaker #1

    Oui. Et tu sais, toi, tu es projecteur et la stratégie du projecteur, c'est d'attendre l'invitation. Qu'est-ce que tu en penses, toi, par rapport à comment je t'ai accompagné en tant que projecteur ? Sachant que je ne t'ai pas toujours invitée à rester et à attendre, et au contraire, à prendre plus de responsabilités, à prendre plus ta puissance, ton pouvoir, à reprendre ton pouvoir et à agir.

  • Speaker #2

    Alors, après, c'est sûr, si tu te dis attendre l'invitation, c'est rien faire. Attirer à personne, j'ai encore vu personne attirer des gens juste en attendant. Pour moi, en tout cas, j'ai aussi une ligne 4 qui est d'expérimenter. Et j'ai aussi des envies qui étaient de connecter davantage avec des personnes en réel, notamment des entrepreneurs. Donc en fait, c'est tout un ensemble. Et en fait, c'est plus, ce que je vois, c'est plus... il y a quand même une mise en mouvement, il y a quand même me rendre visible. Encore une fois, sous la forme la plus juste et inspirante pour moi, qui à ce moment-là aussi, il y avait cette partie connectée en réel, où j'ai essayé plusieurs cohorts, j'ai trouvé celui qui me convenait, je suis allé connecter avec des gens, et c'était challengeant. Et après, c'est plus expérimenter, se mettre en mouvement, se rendre visible, peu importe la manière. Et après, comme tu le disais tout à l'heure...... Comment dire ? C'est là en fait, c'est après ça que je...

  • Speaker #0

    Il y a une partie susciter l'intérêt et attendre l'invitation, mais il y a quand même une partie pour moi avant qui est susciter l'intérêt en se rendant visible, en échangeant, en connectant, peu importe la manière, soit online ou... Oui,

  • Speaker #1

    parce que j'ai une vision qui n'est pas forcément commune à mes autres consœurs et confrères qui enseignent le HD. Sachant que moi, je ne l'enseigne pas. Je coache en m'appuyant sur cet outil, mais je ne l'enseigne pas. En tout cas, pas sous une forme classique. Dans le mastermind, je l'enseigne. sous plusieurs formes. Mais en fait, de ma perception, les projecteurs, vous êtes invités à vous reconnaître vous, en tant qu'individu et dans votre pleine puissance, pour que les autres puissent vous reconnaître ensuite. Et c'est aussi ce travail de visibilité, d'être à la lumière des projecteurs, apprendre à recevoir le mérite. On a aussi travaillé un petit peu ça, apprendre à recevoir, célébrer. reconnaître le parcours, etc. C'est aussi comme ça que j'accompagne les projecteurs à se reconnaître, à prendre plus de pouvoir là où ils ont envie d'en prendre et de ne pas subir les événements extérieurs et ce qui se passe autour d'eux. C'était un peu ma vision de toi, Kevin, comment tu peux être visible par les bonnes personnes, mais pas chercher leur reconnaissance que ce soit avec les femmes ou avec les clients, mais plus montrer ce que toi, Comment tu as envie d'aider les gens ? Comment tu as envie de connecter ? Qu'est-ce qui t'inspire ? Et ensuite, si ça résonne avec eux, qu'eux viennent faire le pas vers toi en disant Écoute, ce que tu as dit, ça résonne. Est-ce que c'est possible de travailler ? Donc, c'est plus sous cet aspect-là, avec beaucoup de nuances qu'on a travaillées ensemble, que ça t'a paru fluide ou c'était contre-intuitif ?

  • Speaker #0

    Non, non. Moi, je l'ai vécu de manière fluide. Oui, il y avait des challenges. Oui, j'avais des peurs. Oui, évidemment, il y a tout ça. Mais... c'était quand même très fluide.

  • Speaker #1

    Et donc toi, tu as un profil 4-6 et une autorité splénique. Il y avait aussi le challenge d'écouter ton intuition. Ça a été assez challenging au début de savoir t'écouter parce qu'il y avait beaucoup de je dois notamment si on prend par Instagram. Je dois être régulier, je dois poster, je dois faire ci, je dois faire ça. Comment ? Comment tu décrirais cette expérience justement d'autorité splénique ?

  • Speaker #0

    Je pense que c'est la plus compliquée et que j'ai encore beaucoup de chemin à faire là-dessus. Parce qu'encore une fois, en effet, j'ai été beaucoup conditionné, déjà d'une, dans vraiment le passé quand j'étais salarié et tout. Comme on l'est un peu tous, c'est-à-dire il faut travailler dur, il faut travailler tendeur, etc. Donc il y avait aussi cette partie-là. Et plus les programmes business que j'ai suivis avant Mastery, avant tout ça, où c'était très injonctionnel. Donc pareil, ça me coupait de ça. Donc ouais, c'est vraiment un vrai chemin de réussir à, je dirais, couper le mental. minimiser le bruit du mental et du bruit extérieur pour pouvoir connecter du coup au splenique. Mais le chemin que j'ai fait et qu'on a fait ensemble est vraiment énorme déjà de ce côté-là.

  • Speaker #1

    Tu dirais que c'est quoi ta plus grosse transformation ou ton plus gros déclic pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #0

    Plutôt en termes de compréhension, de manifestation, c'est-à-dire de concrétisation dans la matière, au plus de switch de mindset sur ce que j'utilise.

  • Speaker #1

    C'est plus toi, comment tu le ressens ? C'était quoi ton plus gros effet ?

  • Speaker #0

    Le plus gros effet waouh de l'accompagnement, c'est... Moi, vraiment, le plus gros effet waouh, c'est... Des fois, je prends un exemple concret, c'était vers la fin de l'accompagnement, où je m'étais dit, non mais là, il va falloir une séance entière pour faire ça, et encore, je ne sais même pas si on va libérer ça en une séance. Et on avait la séance le lendemain, je crois on avait la séance le... Bon, bref, je ne sais plus, le mercredi peut-être, et je t'envoie l'audio le mardi, en te disant, ça va nécessiter une séance entière, et on verra ça demain. mais je te pose ça là comme ça on prépare ça pour la séance et je sais plus on fait un échange de je sais pas deux messages et tu m'envoies un audio d'une minute trente et ça me débloque et en fait le lendemain on a parlé de totalement autre chose pendant la séance et en fait c'est ça la valeur ajoutée qui est énorme c'est à quel point Ouais, à quel point tu arrives à capter, à mettre de la clarté sur ce qui bloque. Et des fois, en un audio d'une minute trente, en fait, là où moi, j'étais là à me dire, il faudra au moins une séance d'une heure. En fait, tu libères.

  • Speaker #1

    Moi, je vais te partager ce qui m'a le plus touchée dans notre accompagnement. C'est la fois où on a travaillé sur... ta perception de ton corps. Ça m'a beaucoup touchée. Je n'ai pas regardé le replay, mais de te voir te libérer et où tu m'as dit, c'est bon, la photo, je la supprime. Là, j'ai fait, waouh, c'est fou. En fait, ce qui vient de se passer, c'était ouf. Ça a chiffré du tout au tout.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'on n'en a pas trop parlé. On a beaucoup plus parlé le côté... relation aux femmes et relation business, mais on a aussi fait une grosse partie sur le corps et en soit il y avait aussi un énorme lien avec la relation aux femmes etc et ouais et c'est vrai que sur le rapport au corps aussi il y a eu un sacré switch et notamment cette séance en effet c'était assez ouf et j'avais déjà beaucoup beaucoup avancé là-dessus. Je ne sais pas si c'est un travail qu'on peut vraiment finir un jour, le rapport au corps, c'est toute une question, mais ça m'avait vraiment... En fait, me dire que je le vois tellement en changement dans comment je consomme le contenu, par exemple. C'est-à-dire qu'en fait, aujourd'hui, je continue de suivre, parce qu'en fait, je trouve ça tellement... inspirant et impressionnant les bodybuilders de haut niveau parce qu'en fait ils vont dans des états avant une compétition c'est tellement dur pour le corps ce qu'ils font et du coup je trouve ça assez inspirant et tout mais du coup quand je les voyais sur les réseaux je me comparais énormément à eux j'étais vachement dans la comparaison j'aimerais bien avoir ce corps etc et après cette séance en fait c'est ouf parce qu'en fait je continue à regarder ce contenu mais je me comparais plus du tout. Et aujourd'hui en fait, il y avait du coup la Mister Olympia qui est la compète internationale la plus connue et tout dans ce domaine là il y a une ou deux semaines. En fait j'ai pu suivre cette compétition mais sans me comparer, sans quoi que ce soit en fait, j'étais juste là en mode c'est inspirant et ouais c'est juste c'est inspirant quoi. Et en fait, encore une fois, l'action était la même. Finalement, l'action est la même. C'est-à-dire que je suis ces gens, mais le ressenti, l'énergie derrière n'a rien à voir. Oui.

  • Speaker #1

    Et je ne sais pas si je te rappelle, tu m'avais dit même, je me suis désabonnée de ces personnes parce que ça n'arrêtait pas de me mettre dans les suggestions d'explorer d'autres comptes et ça commençait à me challenger, à me trigger. Et donc, je t'ai dit, en fait, allons changer cette énergie-là. Et c'est dommage que tu ne suives plus ces personnes qui t'inspirent parce que l'exploreur te soumet des recos qui viennent te challenger.

  • Speaker #0

    Oui, du coup, j'avais envie, mais parce que je me comparais, ça me créait de la souffrance, donc je me désabonnais. Mais du coup, c'est une fuite.

  • Speaker #1

    Oui, exactement.

  • Speaker #0

    Et du coup, tu ne règles pas vraiment le problème. tu mets quelque chose dessus, tu mets un torchon dessus, ou un chiffon dessus.

  • Speaker #1

    Ce que j'aime bien dire, c'est qu'on met le caca sous le tapis, on le cache, on n'a pas besoin de le traiter puisqu'on ne le voit pas.

  • Speaker #0

    Oui, mais il est toujours là.

  • Speaker #1

    Mais ça, c'était une belle libération. Et en fait, ce qui m'a touchée, ce n'est pas le fait qu'on ait shifté ça pendant une séance, c'est de voir comment ça t'avait fait shifter d'énergie. Parce que ce n'était pas la première fois qu'on parlait de ton rapport au corps. Et qu'en fait, après cette séance, tu ne m'as plus parlé du corps. Alors qu'on a passé quand même plusieurs séances dessus. Et après ça, en fait, ce n'était plus un souci pour toi. Et on a shifté sur des sujets beaucoup plus business. D'ailleurs, le dernier mois qu'on a fait d'accompagnement, tu m'as demandé à ce que je te mentore sur le business. Et on n'a plus parlé du corps. On a parfois parlé des connexions. Mais alors le corps, on n'a plus abordé le sujet.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai.

  • Speaker #1

    Alors que le début de l'accompagnement, tu es venu avec vivre de mon activité, trouver une femme avec laquelle relationner et mon problème avec ma vision du corps.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai que ça, je n'en ai pas reparlé. Et puis même aujourd'hui, ça change tout le rapport. C'est-à-dire que j'ai une valeur bouffe que je n'assumais pas. Avant même de venir à toi, j'avais un TCA que j'avais depuis 12 ans et que je n'avais même pas conscientisé, que j'avais déjà commencé à libérer. Mais là, vraiment, je le vois là où avant c'était vraiment un soir, le week-end, où je peux me faire plaisir et machin et tout. Là, maintenant, si je regarde la semaine dernière, le mardi, je vais faire une pâtisserie pour célébrer un client. Le jeudi soir, je vais au resto avec une amie coach. Et puis le samedi soir... je vais au resto pour la nif de ma grand-mère quoi. Et puis je suis pas là à culpabiliser à chaque fois.

  • Speaker #1

    Ouais et à chaque fois c'est pour célébrer, connecter avec des gens que tu apprécies, avec toi-même, que ce soit toi-même ou des personnes que tu apprécies et où tu as savouré pleinement le moment présent sans honte ni culpabilité.

  • Speaker #0

    Ouais ouais c'est ça. Là où avant je m'en serais voulu, je disais non tu déconnes Kevin, tu peux pas manger une pâtisserie en semaine, tu peux pas aller deux fois au resto. Alors que là c'est...

  • Speaker #1

    ça libère.

  • Speaker #0

    Oui, tu t'autorises un peu plus à vivre, tout simplement, dans ce qui est important pour toi.

  • Speaker #1

    Tu dirais que, comment tu décrirais les changements que tu as vécu pendant l'accompagnement, que ce soit dans ta vie ou dans ton business concrètement, c'est quoi l'avant-après, si tu devais résumer ?

  • Speaker #0

    Alors concrètement...

  • Speaker #1

    Parce que dans les ressentis, c'est hyper subtil. Et je pense que toi, tu le sais parce que tu le vis. Mais si quelqu'un qui n'a pas suivi nos séances ne voit pas trop de quoi on parle, comment tu lui résumerais ça ?

  • Speaker #0

    Donc plus concret en termes d'action et résultats dans la matière. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que les gens, c'est comme ça qu'ils comprennent. Là, tu le sais subtilement.

  • Speaker #0

    Bien sûr. C'est très simple. Alors, niveau business, J'acceptais tout le monde. C'est-à-dire que j'étais que dans la peur du manque. Et j'acceptais tout le monde et je m'adaptais à tout le monde. Et tant qu'on pouvait me donner de l'argent, tout le monde était le bienvenu. C'était littéralement ça. Et du coup, j'ai été beaucoup plus, comment dire, une forme de, encore une fois, définir ce que je veux, ce que je veux vraiment, ce dont j'ai envie, ce dont je n'ai pas envie, etc. Et aujourd'hui, j'accompagne mes premiers clients. J'ai fait un lancement à zéro vente, mais ça ne m'a rien fait émotionnellement. Parce que pareil, j'avais déjà été checker les bénéfices qu'il y ait zéro vente. Donc en fait, c'est vraiment avancer avec beaucoup moins d'émotionnel et de souffrance. Parce que tu apprends à gérer tout ça beaucoup mieux. Et en fait, je fais un premier lancement à zéro vente, mais juste derrière, je passe à la suite. Je me dis, en fait, c'est normal, c'est parce que je viens de créer une offre pour moi, mais pas pour mes clients de rêve. Donc, en fait, je me réadapte, je me réajuste. Et puis, en fait, derrière, je ne sais pas, quelques semaines plus tard, j'envoie un message tout fait, qui est bien écrit, mais c'est un message tout fait, en fait. WhatsApp à cette personne de ma communauté WhatsApp. que je voulais vraiment accompagner, c'était vraiment mes clients de cœur, je leur envoie un message en disant, voilà, je respawn, il y aura ça dedans, est-ce que ça résonne ? Et aussi simplement que ça, il y a deux personnes qui rejoignent, et aujourd'hui, j'accompagne deux de ces personnes sur six mois. Donc, je dirais que c'est mes premiers clients de cœur que je kiffe. Vraiment, quand je vais en séance avec eux, je... pressé d'avoir les séances avec eux je suis vraiment tu es dédié à eux parce qu'en fait j'adore les accompagner à un prix qui est juste pour moi donc un tarif qui était juste pour moi enfin voilà donc c'est vraiment passé de j'accepte tout le monde à je sais ce que je veux je sais qui je veux et et du coup la jambes voilà j'en suis à j'en suis là ensuite a vraiment accompagné

  • Speaker #1

    Il faut dire que quand on a commencé l'accompagnement, tu n'étais pas en joie d'accompagner certaines personnes. C'était même difficile avec certains. Et je me rappelle que tu adaptais même en fonction du budget des gens.

  • Speaker #0

    J'adaptais le budget, j'adaptais le temps, j'adaptais tout. Et en fait, c'était…

  • Speaker #1

    Quand tu repenses, c'était… Non,

  • Speaker #0

    mais c'est sûr.

  • Speaker #1

    C'était ok, quoi.

  • Speaker #0

    Je ne fais plus ça aujourd'hui. Ça, c'est sûr. Et... Donc il y a cette partie là, il y a aussi la partie évidemment connexion en présentiel, quand je suis venu à toi, donc il y a la partie création de communauté aussi, encore une fois comme on disait tout à l'heure, donc j'ai créé une communauté WhatsApp où il y a sur les 110 personnes que j'avais coachées, il y en a 50 qui l'ont rejoint, j'ai fait des coachings de groupe, j'ai commencé à créer du contenu écrit, du contenu audio pour devenir de plus en plus à l'aise à la création de contenu, ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai basculé sur Instagram, je me sentais prêt. Donc il y a cette partie là, il y a la partie client, donc ces deux clients. Il y a aussi la partie Instagram d'ailleurs, je me suis lancé il y a trois semaines. Donc là je suis encore en train d'expérimenter, mais c'est beaucoup plus fluide. Je suis en train de trouver ma patte, tester tous les types de contenus, voir ce que j'aime faire, voir ce qui est fluide, voir ce que j'aime moins, etc.

  • Speaker #1

    Sachant que quand tu as rejoint mon accompagnement, tu étais très bloqué pour poster. Je précise parce que les gens, s'ils t'entendent, ils ne connaissent pas le contexte, ils disent je ne vois pas la transformation Tu n'arrivais pas à poster du tout.

  • Speaker #0

    Ah oui, je ne postais pas. J'étais incapable de poster. Non, c'est un énorme switch. Ah, j'avais une dernière chose. Le coworking, c'est ça. En fait, le coworking, pareil, j'avais peur d'aller dans des co-works, j'avais peur de tout ça. Et en fait, j'ai testé cinq co-works différents. J'en ai vraiment trouvé un qui résonnait, où je me suis dit, c'est ce co-work. C'était vraiment intuitif, là, c'était très fort. Puis je me suis inscrit, et là, j'ai commencé à connecter avec des gens, etc. Donc, prendre des cafés, etc. Donc, vraiment, ce truc de relation humaine, en fait. que j'avais perdu en étant toute la journée devant mon écran, mon PC et tout. Et que là, j'avais besoin de reconnecter avec de l'humain, des entrepreneurs notamment, de tout type. Parce que du coup, il y a petites startups, gros startups, solopreneurs, etc. Donc, ça ouvre le champ des possibles, etc. Et puis,

  • Speaker #1

    dépasser... Il faut dire que quand tu as rejoint l'accompagnement, tu étais aussi challengé par le budget que le cohort pouvait représenter. Et que tu as rejoint un cowork qui te demandait un engagement déjà de deux mois, si je me rappelle bien.

  • Speaker #0

    Oui, oui, oui, exactement.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait aussi cette peur de manquer d'argent qui a shifté aussi de revenir à soi, son intention, avoir peur, mais pas connecté au manque dans tes actions et d'aller chercher plus grand. Et donc, tu as dépassé ta zone de confort en investissant tes ressources dans ce type de choses, dont le cowork.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. De toute façon, la peur du manque, c'était dans tous les domaines. C'était aussi avec les femmes. Elle était partout et aujourd'hui, elle n'est plus là. Ou alors, si elle est là, encore une fois, je la sens beaucoup moins et je l'adjère.

  • Speaker #1

    Tu reviens facilement dans ton alignement parce que c'est normal d'avoir le genre de pensée de toi qui aimes les pâtisseries. Ce n'est pas des pâtisseries qui sont peu chères, c'est des pâtisseries qui sont quand même haut de gamme. Et c'est aussi ça, je me rappelle, de t'autoriser. à dépenser tant de budget dans une pâtisserie alors que tu ne générais pas encore les revenus que tu voulais. C'est en fait apprendre à se faire plaisir aussi, même si tu n'es pas encore là où tu voudrais, au niveau de ton chiffre d'affaires, réintégrer la notion de plaisir quotidiennement.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et en effet, pour moi, c'est ça. C'est en fait qui j'ai envie d'incarner et qu'est-ce que je veux permettre à mes clients. Mes clients, ils s'autorisent. justement à se faire des plaisirs et à vivre aujourd'hui et pas quand ils feront x ou y récif d'affaires mais en fait si je veux que mes clients s'autorise ça c'est pas le dire et pas le faire c'est l'incarner appartement où je l'incarne dans ma vie moi là je peux je peux prétendre et je peux commencer à dire je vous permet ça mais moi je le fais c'est pas ce que je dis fait pas ce que je fais c'est je l'incarne

  • Speaker #1

    C'est très ligne 6, ça je précise, parce qu'il y a des personnes qui n'ont pas de problème à transmettre des choses qu'ils n'incarnent pas. Mais en ayant une ligne 6, c'est quelque chose qui est très important pour nous, parce que moi aussi j'ai une ligne 6, d'incarner ce qu'on transmet à nos clients. Et à ma fille, par exemple. C'est important que quand je dis quelque chose à ma fille, je l'incarne aussi. Et ça, c'est très ligne 6 en HD. Il y a d'autres personnes qui ont des lignes 5, par exemple, qui ne ressentent pas de charge. à dire aux gens ce qu'ils doivent faire et qu'eux ne l'appliquent pas dans leur propre vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Merci pour la nuance. Avec plaisir.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait ça, cette notion de plaisir dans ton quotidien, de t'autoriser. Je précise qu'on ne met pas en danger ta santé financière et ton ressenti d'insécurité, c'est juste qu'on va shifter ta perception pour que... Ces plaisirs-là viennent te nourrir et ne te mettent pas en PLS dès que tu commences à les honorer.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et il y a aussi, évidemment, une part qu'on a faite qui m'a aussi beaucoup aidé. D'une, avec les shifts, comment dire, tous les shifts qu'il y a eu, déjà, il y a je m'autorise à vivre aujourd'hui et en fait je trouverai des solutions En tout cas, aujourd'hui, je suis vraiment dans ce truc de je trouverai des solutions Oui,

  • Speaker #1

    en faisant. Et tu l'as fait. À chaque fois que tu as fait, tu as avancé, tu as trouvé des solutions, tu t'es ouvert à d'autres choses, tu as été de plus en plus audacieux dans ce que tu faisais. Et en fait, plus tu le faisais, plus ça devenait fluide.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Il y a vraiment ce shift-là qui aide aussi beaucoup. Après,

  • Speaker #1

    tu t'es jugé aussi pour aimer les jeux vidéo. Je me rappelle d'une période où tu me disais, en ce moment, je joue beaucoup aux jeux. je ne suis pas hyper alignée avec ce que je suis en train de faire. Et en fait, c'est vraiment t'apporter beaucoup plus d'amour et de compassion à toi-même.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, il y avait toute une partie que j'avais réprimée dès que je suis devenu entrepreneur. Il y a toute une partie que j'ai réprimée. Oui. Dans les jeux vidéo. C'était un peu en mode... Non, mais maintenant, il faut être sérieux. Tu es entrepreneur, tu ne peux plus être un gamin qui joue aux jeux vidéo. Et du coup, j'avais dégagé ça, en fait, tout simplement. Oui. En effet, il y a tout ça. Et ça, c'était sur la partie business, du coup, donc énorme. Le coworking, les connexions, les clients de rêve que j'ai commencé à accompagner, le lancement sur Instagram avec plein d'essais sur des types de contenus, etc. Donc, oui, beaucoup de choses. Ça, c'est la partie business. Partie rapport au corps, santé rapport au corps, on en a déjà parlé, mais c'est vraiment ce switch de... je me compare énormément, je me minimise, je me sens jamais assez, il faudrait que je sois plus comme ça, et du coup, en plus, je réprime toutes mes valeurs importantes pour moi à côté, qui est la valeur bouffe, et qui souvent est reliée en plus à la valeur connexion, donc forcément, ça crée beaucoup de souffrance, juste parce que j'ai des attentes sur un physique, et une perception plutôt biaisée, etc. Donc ça crée pas mal de... Donc il y a toute cette partie-là, toute cette partie-là, qui a changé. Encore une fois, dans la matière, qu'est-ce que ça a changé ? Juste, je continue de faire du sport, je continue de faire attention à ce que je mange, c'est toujours important pour moi, mais je ne me mets plus autant de pression et je vis beaucoup mieux les choses et je ne me juge plus, tout simplement. Donc il y a cette partie-là. Et après, sur la partie relation aux femmes, etc., je pense que ce qu'on a le... Je me dis sous en fait encore une fois cette question d'énergie où j'étais encore pas mal dans peur de manquer peur de pas avoir peur de finir ma vie seule etc il y avait beaucoup ce truc là qui aujourd'hui en fait n'est plus du fin voilà c'est plus là quoi c'est plus là et justement paradoxalement c'est ce qui me permet il ya une femme qui me plaît dans la rue je peux aller l'aborder il n'y a pas de problème Et Ouais en fait c'est juste, là le switch il s'est beaucoup joué au niveau énergétique, mais ouais si plus dans la matière en fait c'est ça. C'est qu'en fait je me mets plus la pression ou de deadline en me disant non mais là il faut que je trouve quelqu'un avant telle date, ou il faut que je sois en couple avant telle date, ou j'ai peur de finir tout seul. En fait non, j'adore mes journées, j'adore mon quotidien, je connecte déjà sur plein d'autres formes. qui, voilà, j'ai une grosse valeur famille, une grosse valeur amie. Et en fait, je ne me mets pas la pression et je prends mon temps, en fait. Et paradoxalement, parce que je ne me mets pas la pression, je ne puis pas le manque. Et donc, en fait, voilà, ça arrivera quand ça arrivera. Et je suis juste, ouais, mon flot, en fait.

  • Speaker #1

    En fait, l'enjeu a changé. Avant, il y avait beaucoup d'enjeux et c'est pour ça que tu avais beaucoup de pression. Et maintenant, l'enjeu est différent. C'est-à-dire que tu es toujours ouvert à rencontrer une femme, mais il n'y a plus cette pression qui va te mener à faire des actions complètement désalignées par rapport à qui tu es.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je parle plus d'une intention qui est, encore une fois, une intention interne et pas un objectif avec un résultat externe. Oui, ok. Donc, l'énergie est différente.

  • Speaker #1

    Et si tu devais définir... En quelques mots, l'impact que cet accompagnement a eu dans ta vie, qu'est-ce que tu dirais à quelqu'un qui te poserait la question, qui ne te connaît pas ou qui te connaît mais qui ne se rend pas compte ?

  • Speaker #0

    C'est marrant, il y a un mot qui m'est venu en fait, c'est vraiment légèreté. Avant c'était lourd, il y avait beaucoup de souffrance, c'était épuisant en fait. Et là en fait le mot qui me vient c'est légèreté. C'est en fait, c'est plus léger dans tous tes domaines de vie. Tu juges moins sur ton corps, tu te mets moins la pression dans tes relations, tu te mets moins la pression dans ton business, donc c'est plus léger en fait. Tu vis ta vie, tu ne la mentalises plus tout le temps. Tu vis en fait.

  • Speaker #1

    Ça a quelle valeur pour toi, Kevin ?

  • Speaker #0

    S'il fallait mettre un chiffre dessus, ça n'en a pas. Ça n'en a pas en fait. Pour moi, c'est juste... Pour moi, ça n'a juste pas de valeur. S'il fallait mettre un chiffre dessus, je ne pourrais pas en mettre.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu arrives à retracer ton parcours et à voir ton cheminement depuis le début jusqu'à aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Si je ferme les yeux, spécifiquement, pas forcément, mais je vois le début et le bout et c'est juste fou. C'est juste fou.

  • Speaker #1

    Si tu devais me recommander à quelqu'un qui hésite à sauter le pas, qui me connaît, qui se dit j'aimerais bien me faire accompagner par Julie, mais qui hésite un peu, qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    Je lui dirais vas-y. Genre juste, si tu hésites, je lui dirais fonce quoi. Fonce et tu verras. De toute façon, tu n'auras pas les réponses avant d'y aller, mais juste fais-toi confiance, écoute-toi et vas-y.

  • Speaker #1

    Parce que je précise que toi, tu n'avais pas l'argent qui constituait l'investissement et que ça t'a beaucoup challengé cet investissement au niveau financier.

  • Speaker #0

    Oui, en effet, mais il y avait quelque chose de plus fort. Il y avait vraiment cette peur très mentale. de j'ai peur de manquer, très machin et il y avait un truc beaucoup plus fort à l'intérieur où il y avait vraiment ce truc de je sais en fait, je sens et je sais et c'est elle et je pouvais pas l'expliquer et en plus je me souviens très bien, c'était j'en parlais à ma mère j'étais dans la cuisine avec elle, je dis putain c'est fort ce truc, et puis je lui dis mais ça fait plusieurs jours que c'est là et en fait de jour en jour c'est de plus en plus fort en fait Et du coup, c'est ça. Et donc, en effet, il y avait cette peur très mentale de manquer, mais il y avait un truc plus fort à l'intérieur.

  • Speaker #1

    Parce que tu aurais pu te faire accompagner par un autre coach formé à l'équilibrage des perceptions qui t'aurait facturé moins.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, évidemment. Mais non, je ne pense pas que ce soit quelque chose... c'est pas quelque chose vraiment... En fait, je peux dire je t'ai rejoint pour X ou Y, mais je pense qu'il y a aussi une part que je ne peux pas rationaliser. Oui. C'est-à-dire que, en fait, quand c'est venu la première fois, je ne pense pas que j'ai rationalisé en mode elle fait du HD, elle fait ci, elle fait ça. Vraiment, quand c'est venu la première fois, c'était juste un ressenti très fort. Oui. Et c'était juste une voix intérieure qui disait c'est elle.

  • Speaker #1

    Oui, et ça, c'est ce qu'on appelle l'autorité splénique. C'est la voix qui vient avant que ça vienne être filtré par le mental. Et donc, quand on entend cette voix, c'est là où on connaît la réponse. Après, on a notre libre arbitre de suivre ce qu'indique cette voix ou pas.

  • Speaker #0

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu aurais quelque chose à ajouter, Kevin ?

  • Speaker #0

    Non, juste merci. Juste merci pour tout, en fait. Je n'ai pas forcément les mots qui me viennent à part ça, mais merci.

  • Speaker #1

    Merci, Kevin, pour ta confiance. Ce n'était pas gagné d'avance, parce que je me rappelle que tu avais prévu de faire uniquement un mois.

  • Speaker #0

    finalement tu t'es laissé engrainer de moins en moins mais à la base tu m'as dit je fais juste un mois y'a pas de problème, fais juste un mois fais avec ce que tu peux, y'a pas de soucis et puis finalement on a fait un accompagnement complet donc merci pour ta confiance et puis bah je te dis de toute façon on se voit la semaine prochaine on va concrétiser ça dans la matière par une rencontre grâce, ça va être trop bien merci Kevin merci Julie

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode des Perles de Jade jusqu'à la fin. Les liens de celui-ci se trouvent dans les notes. N'oubliez pas de me rejoindre sur Instagram où mon pseudo c'est julie-ugs afin d'échanger et de me dire ce que vous en avez pensé. A bientôt pour un nouvel épisode !

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Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs 🤗


Dans cet épisode, je t’invite à découvrir le témoignage de Kevin, un entrepreneur qui, comme toi, aspirait à plus de clarté, de liberté, et d’alignement dans sa vie et son business. Kevin partage comment il a transcendé ses doutes et blocages pour finalement créer une vie en parfaite résonance avec qui il est profondément.

Ensemble, nous explorons :

  • Comment Kevin est passé d'une quête incessante de validation extérieure à la certitude intérieure grâce à l’autorité en Human Design.

  • Les étapes concrètes qui lui ont permis d'attirer ses premiers clients alignés, sans compromettre ses valeurs ou son bien-être.

  • L'importance de te reconnecter à tes désirs les plus profonds pour que ton business serve ta vie et non l’inverse.

  • Comment il a réussi à s’affranchir de la pression de réussir pour, à la place, incarner la légèreté et l’abondance dans tous les aspects de son quotidien.

Cet épisode t’offre une perspective inspirante sur ce que signifie vraiment créer un business au service de ta vie, tout en cultivant tes relations, ta liberté, et ton épanouissement personnel. Si tu rêves de trouver cet équilibre entre ambition et bien-être, c’est exactement le déclic qu’il te faut pour franchir le prochain cap.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur le podcast Les perles de Jade des conseils précieux à collectionner, partager ou tout simplement à méditer. Je m'appelle Julie, française installée aux Pays-Bas depuis quelques années, ancienne responsable d'un département achat devenu coach, j'ai décidé de changer ma vie afin de changer celle des autres. Je vous aide à trouver de nouvelles pistes de réflexion et à passer à l'action, afin d'être plus épanouie dans votre vie. Abonnez-vous sur la plateforme de votre choix pour ne manquer aucun épisode. N'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram. à julie-ugs afin d'échanger. Le lien se trouvera dans les notes de l'épisode. En attendant, je vous souhaite une excellente écoute.

  • Speaker #1

    Salut Kevin.

  • Speaker #2

    Hello Julie.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir accepté mon invitation à partager ton expérience avec moi.

  • Speaker #2

    Avec plaisir, merci à toi.

  • Speaker #1

    Est-ce que pour commencer... Tu auras envie de te présenter comme tu le souhaites, qui tu es Kevin et ensuite qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #2

    Ouais, clairement. Du coup, moi c'est Kevin, j'ai 32 ans, ça va faire 4 ans que je suis indépendant, donc je suis passé par pas mal de phases, mais j'ai commencé avec une année en tant que solopreneur, donc du coup seul, en étant juste coach certifié PNL, ensuite j'ai fait 2 ans en startup. où on apprenait aux gens à s'auto-coacher et dans laquelle j'étais associé, j'avais pas mal de casquettes, notamment dans le recrutement, dans l'appui produit, dans beaucoup de choses en fait, dans la gestion financière, etc. et aussi dans une partie gestion des coachs, management. Et suite à ces deux ans, l'entreprise a coulé du coup et je suis reparti en tant que solopreneur. Mais du coup, j'avais pas mal de challenges. à trouver une manière pour moi de faire du business qui était aligné à qui je suis et comment je fonctionne. Et du coup, c'est ce qui m'a amené à cet accompagnement avec toi.

  • Speaker #1

    OK, merci Kevin. Déjà, tu dis beaucoup ce que tu as fait et ce que tu fais, mais qui tu es en tant que personne ? Parce que moi, je sais qui tu es, mais les gens ne savent pas. Pour moi, je vois le Kevin, l'homme derrière la voix. Donc, est-ce que tu as envie de te présenter qui tu es, toi ?

  • Speaker #2

    Dans qui je suis, du coup, qu'est-ce que j'aime faire ?

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qui te définirait selon toi ? Pour moi, tu n'es pas juste Kevin, le solopreneur.

  • Speaker #2

    Ok. Je pense que ce qui me définit le plus, c'est vraiment je suis fasciné par l'humain. Ça, c'est ce qui me définit le plus. Je suis vraiment... J'aime l'humain. J'aime comprendre l'humain, je suis fasciné par essayer de comprendre l'humain à travers plein de façons différentes, que ce soit en allant connecter avec des gens, que ce soit à travers du contenu que je consomme, que ce soit à travers l'écriture, en me comprenant mieux, en me faisant coacher. C'est forcément ce qui me définit le plus, toute ma vie tourne autour de ça, je le vois, je le sens et je le vois de plus en plus. de semaines, de mois et d'années en années. C'est vraiment ce qui me touche le plus, en tout cas.

  • Speaker #1

    Moi, tu vois, si on me dit c'est quoi la particularité de Kevin, j'aurais tendance à dire il aime bien le jeu, les challenges, pour toujours évoluer et aller gratter le millimètre. Et il aime bien cuisiner et manger.

  • Speaker #2

    Il y a aussi cette partie-là, en effet. C'est pas faux. C'est vrai que, ouais, il y a aussi, on va plus au-delà, mais je vois quand même que ça part souvent de mieux se comprendre. Je le vois même dans le sport, parce que du coup, je fais du sport en salle depuis une quinzaine d'années. Et en fait, j'ai compris que c'était ma façon à moi de connecter à mon corps et de mieux comprendre mon corps, par exemple, et chaque part de mon corps. À travers l'alimentation, pareil, je me suis beaucoup intéressé à l'alimentation et qu'en fait, c'était aussi une manière pour moi de... de mieux me comprendre et de comprendre mon corps. En tout cas, il y a toujours un fond de compréhension, j'ai l'impression.

  • Speaker #1

    Préhension, mais aussi de connexion, parce que juste la compréhension sans la connexion, ça te paraît moins fun, moins plaisant, et en fait, c'est purement mental. Je pense que la connexion te permet justement de te connecter à tes ressentis. Et tu es pour moi une personne très sensible. Oui. Donc…

  • Speaker #2

    Ouais, je le vois. Et en effet, c'est très complémentaire. En effet, il y a une partie compréhension qui est très interne où je vais être en mode hibernation ou même encore une fois à travers le sport, etc. Là, je suis vraiment dans ma bulle et il y a aussi une énorme partie compréhension à travers la connexion. Je le vois avec les clients que j'ai actuellement. Ça peut être très fort des fois en séance juste de mentoring et je peux avoir les larmes aux yeux en fait en séance de mentoring parce que je suis...

  • Speaker #1

    je me sens connecté en fait aux personnes ouais en effet aux personnes c'est un souvenir qui te touche ouais la première fois ému par un souvenir ou par un déclic ouais exactement et c'est

  • Speaker #2

    marrant parce que du coup quand on parlait de de bien manger et moi c'est surtout les pâtisseries qui me ouais je suis très pâtisserie mais je me rends compte que c'est aussi souvent euh euh bien manger, que ce soit les pâtisseries ou un resto ou quoi, ça va souvent être... Je vais souvent le faire avec des gens, en fait. C'est comme si c'était une manière pour moi de connecter avec les gens.

  • Speaker #1

    À travers ce que tu apprécies. Ouais. À travers des valeurs communes, du coup.

  • Speaker #2

    Exactement. Souvent, ces gens-là ont les mêmes.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu te rappelles comment on s'est rencontrés, Kevin ?

  • Speaker #2

    Alors, oui. J'avais créé, je crois que c'était ça la première fois, j'avais créé la communauté sur WhatsApp de Lulien, où du coup, on avait ajouté tous les gens de toutes les cohortes de Mastery, parce qu'en fait, vraiment, mon souhait à ce moment-là, c'est qu'en fait, j'avais fait Mastery, j'avais connecté avec plein de gens de la cohorte 4, donc de ma cohorte, mais je me disais, putain, c'est tellement dommage qu'en fait, tous les gens de toutes les cohortes... puissent pas connecter ensemble parce qu'au final tout le monde a suivi l'école tu as des gens plus ou moins avancés mais surtout tout le monde a la valeur commune de mieux se comprendre et de la transformation humaine et je m'étais dit en fait c'est vrai c'est frustrant pour moi je me suis dit mais pourquoi il n'y a pas un truc qui existe où en fait on peut réunir tous ces gens là en fait et où ils pourraient par exemple même connecter en réel sans forcément que Julien ait besoin d'être présent etc du coup j'avais créé cette communauté Donc du coup, avec Louisa, on envoyait les invitations à chaque personne de toutes les cohortes. Et toi, vu que tu étais dans les premières cohortes, on t'avait envoyé l'invitation, tu avais rejoint. Et donc après, je crois que les premières connexions étaient au sein de cette communauté. Ensuite, je t'ai suivi sur Instagram. Et en fait, j'ai juste raisonné très fort avec ton contenu, notamment sur ta partie Human Design, auquel je commençais à m'intéresser. Et c'est de là, du coup... de fil en aiguille, que j'ai décidé de me faire accompagner par toi.

  • Speaker #1

    Yes. Et c'est marrant parce que le human design, au final, j'en parle beaucoup en story, mais très peu dans mon feed. Je fais des références, mais en général, les gens viennent pour moi parce que j'utilise le human design en plus du coaching. Donc, c'est marrant. Merci, Kevin, c'est correct. On s'est rencontrés comme ça. Et du coup, on va se rencontrer en vrai, enfin. La semaine prochaine.

  • Speaker #2

    Oui. Autour de la valeur bouffe.

  • Speaker #1

    C'est ça. Est-ce que tu te rappelles un peu, Kevin, dans quelle situation tu te trouvais avant justement de dire je vais contacter Julie ? Parce que sachant, je précise, que je m'adresse aux féminins, c'est quoi qui t'a donné l'élan de dire en fait, je veux bosser avec Julie alors qu'elle ne s'adresse qu'aux femmes ?

  • Speaker #2

    Alors déjà on avait connecté une première fois, on a fait un café visio, je me souviens. Et du coup déjà il y avait eu un gros feeling etc. Ensuite comme je disais, le Instagram, donc il y avait la partie HD mais il y avait plein d'autres choses en fait aussi, des parts que tu exprimais dans ton contenu, en fait que moi j'avais davantage envie d'exprimer dans le mien, donc sous mes formes à moi. Je ne sais pas si je t'ai... Je te vois figer, mais c'est peut-être moi.

  • Speaker #1

    Non, je suis là. Est-ce que tu me vois bouger ?

  • Speaker #2

    Oui, c'est bon. Il y avait ça, la partie design auquel je commençais à m'intéresser. Je voyais que tu utilisais ça. Il y avait la partie où tu exprimais toutes les parts de toi, l'entièreté qui tu es dans ton contenu. Ça m'inspirait beaucoup. C'est ce que j'avais envie de réussir à faire sous ma forme et que je ne m'autorisais pas forcément. Il y avait aussi la partie... Comment je pourrais appeler ça la partie un peu... Catiser ma curiosité, par exemple, je sais que tu utilisais l'hypnose, etc. Et c'est des choses que... Moi, j'étais encore très mental et j'avais envie de... commencer à expérimenter ça, comprendre ça, etc. Donc c'est quelque chose qui m'attirait aussi. Donc il y avait pas mal de choses. Et donc ça, c'était plus... Il y avait cette partie-là qui m'a fait venir à toi. Et plus au niveau de mes challenges, des challenges que je rencontrais à ce moment-là, c'était vraiment... En fait, je m'étais formé au rééquilibrage de perception. Ça m'a beaucoup aidé. Ça m'a vraiment beaucoup aidé. Je suis allé rééquilibrer beaucoup de choses, dissoudre beaucoup de traumas. Mais pour autant, j'avais des envies. Et en fait, je me sentais à l'intérieur de moi, je sentais que ce n'était pas rempli. Le fait que j'avais ces envies et j'avais beau rééquilibrer, j'étais là en mode Ok, tout est neutre, c'est bien, mais à l'intérieur, je ne me sens pas rempli et je ne me sens pas aller vers ce qui m'inspire. Et c'est pour ça que j'étais venu, comme si j'étais un plafond de verre. J'arrivais à ce plafond de verre et je ne savais plus comment faire pour aller au-delà. En termes de rééquilibrage, je m'étais fait coacher par plein de personnes qui étaient aussi formes de rééquilibrage, mais ça ne suffisait plus. Comme si en fait ça ne suffisait plus et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui m'empêchait d'aller vers ce dont j'avais envie. Et à ce moment-là, du coup, je me souviens quand j'étais venu à toi, c'était ma vision. Je t'avais dit ma vision à un an, c'est tout simplement vivre de ce qui me passionne le plus, accompagner des gens. qui m'inspirent et rencontrer une femme avec qui ça connecte, avec qui il y a un feeling et commencer à construire quelque chose. Donc ça, c'était quand je suis venu à toi, c'était ça. Et du coup, j'avais fait un gros travail sur beaucoup de choses, mais pour autant, je ne me sentais pas avancé vers ça. Et je n'arrivais pas à avancer vers ça. Donc c'est pour ça que j'étais venu à toi.

  • Speaker #1

    Et moi, il y a un truc qui m'a marqué, c'est l'une de nos premières séances. En fait, tu m'as dit...

  • Speaker #2

    j'équilibre tout mais du coup j'ai du mal à savoir ce dont j'ai vraiment envie parce que tout est neutre oui oui et c'est ça je pense que c'est ça même qui crée finalement je rééquilibrais mais comme si ça recréait une forme de souffrance en fait derrière qui était ce flou en fait de mais qu'est-ce que je veux et comment j'y vais de la manière la plus lustre pour moi donc c'est ça

  • Speaker #1

    Ouais, donc hyper intéressant. Moi, j'ai les personnes que j'accompagne qui ont été formées aux mêmes méthodes que moi. Justement, c'est ce qu'elles recherchent chez moi. C'est de la guidance sur. Mais du coup, je sais équilibrer. J'accompagne les autres à rééquilibrer. Mais je me suis perdue moi-même dans le process parce que du coup, je ne sais plus différencier ce dont j'ai envie de ce dont je n'ai plus envie. Et c'est un peu confus et c'est quelque chose que je t'ai partagé et je partage aussi avec mes autres clients. C'est que moi aussi je suis passée par là et je pense que c'est ce qui fait aussi que je sais ce que ça fait de se retrouver dans cette situation. Parce que j'ai vécu ça en fait, moi-même. Et j'en suis sortie du coup. Et c'est pour ça que j'ai la capacité de l'expliquer mais pas de vous inculquer comment vous devez faire par rapport à ce que moi j'ai fait. mais plus de dire c'est possible de sortir de ce cercle vicieux et en fait on va découvrir comment par rapport à qui vous êtes et c'est pour ça que j'utilise le human design et je sais que toi par exemple le human design tu disais que tu connaissais un petit peu est-ce que tu as des choses que tu as découvert ou que tu as approfondi qui ont fait la différence pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Bien sûr c'est marrant, avant même que tu aies fini ta question j'avais la réponse dans ma tête je me souviens de la toute première, je crois que c'était notre toute première séance où j'arrivais pas à lancer ma communauté WhatsApp. Je me rappelle, j'avais envie d'envoyer, du coup j'avais coaché pour poser un peu de contexte, j'avais coaché 110 entrepreneurs gratuitement parce que à ce moment-là, c'était trop challengeant pour moi encore de faire du contenu. Et je me suis dit, en fait, je vais juste coacher des entrepreneurs pour connecter avec eux, pour apprendre à les connaître, etc. Et du coup, j'avais coaché tous ces entrepreneurs, mais... j'arrivais pas à entretenir le lien avec en fait et du coup j'étais un peu frustré de ça et je voulais pouvoir entretenir le lien du coup je m'étais dit je vais créer une communauté sur whatsapp ce qui était le plus fluide pour moi à ce moment là et du coup j'avais en fait j'avais juste mis dans ma tout doux entre guillemets dans ce que je voulais faire c'était créer ma communauté sauf qu'en fait je me souviens c'était assez très flou en fait créer ma communauté qu'est ce que ça veut dire en fait qu'est ce que comme actuellement comment tu fais et je me souviens Je crois que c'était notre première séance où tu m'avais dit que tu as l'Agena non défini, ce qui fait que c'est difficile pour toi de conceptualiser. en étant aussi flou entre guillemets et du coup tu as peut-être besoin d'être plus spécifique dans ce dont tu as besoin du coup tu m'avais questionné sur ce dont j'avais besoin justement donc il y avait ce truc de donc on allait vraiment dans le précis finalement dans le spécifique dans le détail mais j'avais besoin de ça qui était est ce que tu as le lien whatsapp où est ce que tu le mets est ce que tu as par exemple une structure d'e-mail ou est ce que tu as déjà des choses que tu veux mettre dans ton email et tout ça et je me souviens que juste ça capter qu'en fait Il y avait vraiment une envie, il n'y avait pas de peur, mais il y avait juste un manque de clarté. Et de comprendre que parce que j'avais l'agenda non défini, j'avais besoin parfois, par moment, de découper en plus petits bouts. Je me suis rendu compte que le lendemain, j'avais lancé ma communauté et il y avait 50 personnes qui rejoignaient le WhatsApp. Sur 100 mails que j'avais envoyés, il y avait une cinquantaine de personnes qui rejoignaient. Et donc là déjà, en effet, grâce au HD... j'étais là en mode ok ça risque de me servir de savoir ça parce que sinon en effet je peux rester trop dans le flou et malgré que j'ai envie qu'il n'y ait pas de blocage, qu'il n'y ait pas de peur, qu'il n'y ait pas d'injonction en fait c'est juste un manque de clarté sur ce que j'ai à faire pour réussir à me rapprocher de ça ouais trop bien est-ce que il

  • Speaker #1

    y a quelque chose Il y a quelque chose qui t'a plus marqué que d'autres durant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Oui, très très fort. En fait, aujourd'hui, ça fait partie vraiment de ma vie et de mon quotidien, et je reviens tout le temps à ça. C'est ce truc de... Alors, c'est un peu global, il y a peut-être plusieurs choses, mais c'est vraiment ce truc de revenir à soi, que j'ai compris. Et en fait... Au début, c'était très difficile pour moi de me dire, mais ça veut dire quoi, revenir à soi ? Tout simplement parce que je n'avais pas défini ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Donc, c'est difficile de revenir à soi quand on ne sait pas ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas. Mais c'est vraiment ce qui a fait la différence. En fait, ça change tout. C'est-à-dire que ce que j'ai remarqué, c'est que la plupart des injonctions et des peurs peuvent disparaître assez rapidement quand vraiment on a défini ça en profondeur et qu'on y revient. Et j'ai tellement d'exemples. très spécifique par rapport à ça où ça m'a vraiment vraiment ça m'aurait ça m'a libéré très vite et j'ai pu repasser me remettre en mouvement rapidement parce que j'avais parce que j'avais ça donc il ya vraiment ça ce truc de revenir à soi qu'est ce que je veux qu'est ce que j'ai envie et aussi plus accès donc avait aussi la partie avec les femmes mais aussi la partie avec le business qui était vraiment quel genre de clients je veux attirer en fait du coup quand tu es vraiment au clair là-dessus, au-delà de juste les peurs, les blocages, etc. Mais en fait, c'est quoi leur mindset ? Comment ils réfléchissent ? C'est quoi leur passion même ? De quoi ils pourraient parler pendant des heures ? Généralement, c'est des personnes qui nous ressemblent beaucoup. En fait, quand tu sais ça, c'est très facile de dire est-ce que tu veux ou non travailler avec un client quand tu as défini ça. Oui. Donc, il y a...

  • Speaker #1

    Il y a très peu de personnes qui... qui accorde de la valeur à ça. Moi, j'ai encore des clientes cette semaine qui me disaient que ça les saoulait de refaire le travail du client idéal.

  • Speaker #2

    Mais en fait,

  • Speaker #1

    c'est un travail à faire régulièrement à chaque fois qu'on bouge, on évolue, à chaque fois qu'il se passe quelque chose d'important dans notre vie parce que c'est comme ça qu'on a plus de clarté. Et sachant que toi, tu es projecteur, donc tu n'as pas autant de centres définis que d'autres individus, c'est facile d'amplifier les injonctions extérieures. Et donc, c'est pour ça que je t'ai invité à revenir à toi à chaque fois, pour te permettre de mieux te reconnaître toi en tant qu'individu dans ton unicité, avant de pouvoir utiliser les choses de l'extérieur à ton service.

  • Speaker #2

    Oui, et en effet, c'est vraiment quelque chose qui est... Franchement, c'est la chose qui a tout changé. Et donc, il y a ça. Et ce qui me vient aussi, c'est aussi beaucoup l'intention, l'intentionnalité. Ce truc de... Souvent c'était encore une fois c'est reviens à toi c'est quoi ton intention qu'est ce que tu veux c'est quoi ton attention qu'est ce que tu veux est en fait aujourd'hui c'est devenu un automatisme mais c'est je me rends compte c'est tellement important de partir de manquer une fois de l'intention et du pourquoi et en général quand ça c'est clair le comment est est beaucoup plus fluide et ouais donc l'intention est aussi ouais être beaucoup plus en fait dans une intentionnalité interne qu'un résultat externe c'est à dire que du coup c'est plus c'est plus par exemple, j'ai une connerie, mais si je prends dans le business, c'est plus comment, je ne le vois plus comme ça, c'est plus comment je peux avoir plus de clients, par exemple, parce que ça, ça reste quand même très externe. Et moi, du coup, ça va être comment je peux me rendre visible davantage. Donc, en fait, je me concentre beaucoup plus sur ce qui est en mon pouvoir, en fait, qui enlève une énorme... personnellement qui m'enlève une énorme pression en fait qui fait ok qu'est ce que moi je peux faire qu'est ce qui est mon pouvoir et c'était pareil en fait et à chaque fois on revenait à ça même quand on parlait de par exemple aller aborder une femme dans la rue qu'est ce qui est mon pouvoir en effet si mon objectif c'est avoir son numéro je vais fois la pression et je vais je vais je vais commencer à mentaliser et donc qu'est ce que je dois dire etc parce qu'en fait c'est pas mon pouvoir alors que si je me dis juste, mon intention c'est juste de connecter et d'apprendre à mieux la connaître d'un coup en fait, toute la pression tombe et en fait ça devient beaucoup plus facile d'y aller et après peu importe le résultat, parce que ça, ça lui appartient c'est-à-dire que moi en fait, je suis drivé par mon envie et j'y vais avec mon envie, avec cette intention je vis l'expérience et après peu importe en fait, le reste ça lui incombe à elle Et ça lui appartient. Et du coup, que ce soit, encore une fois, dans tous les domaines, sur le relationnel, que ce soit dans le business ou dans les relations, ça m'a enlevé beaucoup de lourdeur aussi, de pouvoir reconnecter à ça.

  • Speaker #1

    Et tu disais être visible. J'ajouterais un détail, c'est être visible par les bonnes personnes. Parce que c'est ça qu'on a travaillé aussi ensemble, par rapport à l'aspect visibilité.

  • Speaker #2

    Exactement. Et ça du coup, les bonnes personnes c'est encore une fois revenir à soi et savoir qui tu as envie d'attirer, qui tu n'as pas envie d'attirer, qui est-ce que tu kiffes accompagner, etc. Et le dernier point qui est très fort, il y a ces trois gros points qui m'ont vraiment, qu'aujourd'hui je mets beaucoup d'intention là-dessus, mais ça se rejoint sur l'intentionnalité, c'est avec quel espace tu agis. C'est vraiment ce truc de tout est neutre. C'est ce que j'avais appris avec Mastery. C'est tout est neutre, très bien. Mais en fait, tout est neutre. Tu peux tout faire, tout est possible. Mais dans quelle est ton intention et dans quelle énergie tu y vas ? Est-ce que là, tu y vas dans un espace de manque et de peur de ne pas obtenir ? Ou est-ce que tu y vas dans un espace d'envie d'expérimenter et d'inspiration ? Ouais. Et ça change tellement de choses. Pareil, de revenir à ça, en fait. Et on peut reprendre exactement les mêmes exemples, parce que ça se rejoint. Tu vas aborder une femme dans la rue. Est-ce que tu y vas avec la peur du manque, de ne pas obtenir, etc. ? Donc là, tu es tourné sur le résultat, sur quelque chose qui ne t'appartient pas, sur quelque chose qui est à l'extérieur. ou est-ce que tu y vas avec l'intention, juste l'envie d'expérimenter, parce que tu es inspirée et parce que ça te fait envie ? En soi, l'action est la même, mais l'énergie et l'intention derrière sont totalement différentes.

  • Speaker #1

    Et ça vibre différemment même en interaction avec l'autre personne.

  • Speaker #2

    Oui, exactement. Et j'ai pu le voir, parce que du coup, je suis allé aborder des femmes avec les deux énergies, je suis allé parler à des personnes... que j'avais envie d'accompagner ou même du coup des personnes à coacher etc avec les deux énergies différentes et j'ai pu voir du coup la différence dans le résultat qui n'a rien à voir en fait c'est très différent.

  • Speaker #1

    Ok en quoi c'est différent ?

  • Speaker #2

    Dans la première tu as de l'amertume c'est-à-dire si tu vas avec la peur de manquer de ne pas obtenir en tout cas moi c'est ce que C'est ce que j'avais, ressentiment, amertume. Et du coup, derrière, je devais aller rééquilibrer ça à chaque fois. Et ça demandait une forme de travail. Alors qu'en fait, dans l'autre énergie, rien en fait. Je n'ai pas besoin d'y revenir.

  • Speaker #1

    C'est fluide. Et ça ne prend pas d'espace ni de charge mentale.

  • Speaker #2

    Et c'est marrant. Ça ne veut pas dire que la peur n'est pas là. La peur est toujours là, en fait. mais tu la vis très différemment en fait, et tu la vois plus comme un frein. Exactement. Elle est là parce qu'elle est là. C'est ça. Elle fait partie de toi aussi. Ouais. Mais… Mais en tout cas, tu la vis très différemment. Et ouais, je le vois, en fait. Je sais qu'on avait pas mal travaillé ça, mais c'était ça. Je vais aborder une femme dans la rue. Quand j'y allais avec la peur de manquer et tout, après l'avoir abordée, si elle me disait non, je me posais un million de questions sur pourquoi elle m'a rejetée, pourquoi machin, pourquoi truc et tout. Et je commençais à mentaliser, à me faire toutes ces histoires que je me raconte, alors que je n'aurais jamais la réponse. Et en fait, je me souviens qu'un jour, tu m'avais répondu. Mais on s'en fout, en fait. Et c'est vrai que j'étais là en mode, mais ouais c'est vrai qu'on s'en tamponne et en fait c'est pas important. Et quand après j'ai réussi à juste me détacher de ça, changer mon énergie, aller avec une intention différente, en fait elle répond qu'elle est en couple, bah c'est pas grave. Et même si c'est faux, que ce soit vrai, en fait on s'en fout. J'y suis allé, j'ai fait ce que j'avais envie, j'ai expérimenté ce que j'avais envie d'expérimenter et je passe à autre chose en fait. Et c'est rien, c'est pas grave. Donc, ouais, c'est très différent. Très différent.

  • Speaker #1

    Est-ce que le fait que je sois cash et que j'aille droit au but, ça t'a surpris ou choqué ? Parce que je sais que ça peut surprendre. C'est assez paradoxal avec la douceur que j'émane. On m'a déjà fait ce bac.

  • Speaker #2

    Non, moi, j'adore. Moi, j'adore. Et consciemment ou inconsciemment, de toute façon, je pense que consciemment ou inconsciemment, c'est ce que je venais chercher. Mais c'est les deux encore une fois. Pour moi, encore une fois, c'est ma vision des choses, mais un bon accompagnant, c'est un accompagnant qui accepte et qui assume l'entièreté de qui il est et de ses parts. Et donc il y a une part de douceur, de care, de tout ça, et une part aussi de challenge, d'assertivité, etc. Et du coup, de toute façon, c'est une danse entre les deux en fait. C'est pas l'un ou l'autre. Et du coup... Il y avait des moments où en effet, ça me piquait, ça me challengeait. Mais justement, pour moi, je savais que c'était précisément que tu étais au bon endroit. Donc non, moi, j'aimais beaucoup ça.

  • Speaker #1

    Quand j'étais salariée, mes collègues se foutaient de ma gueule. Ils disaient que j'avais une main de fer dans un gant de velours.

  • Speaker #2

    Mais c'est ça, c'est exactement ça.

  • Speaker #1

    Mais il faut être prêt. J'ai beaucoup de clientes qui me disent qu'il faut être prêt à être accompagné par toi parce que tu nous chahutes quand même pas mal. Tu nous fais sortir de notre zone de confort. On se sent dans l'inconfort à plusieurs reprises quand tu nous parles. Donc, qu'est-ce que tu en penses, toi, de ce genre de feedback ?

  • Speaker #2

    De ma perception, c'est une bonne nouvelle. Ça veut dire qu'elle progresse. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que tu viens chercher ça.

  • Speaker #2

    Oui, parce que tu ne progresses pas que dans le confort. Tu peux progresser dans les deux, mais il y a des moments où, encore une fois, tu auras besoin de care, de douceur. Il y a des moments où tu auras juste besoin de l'opposer.

  • Speaker #1

    Oui. Et tu sais, toi, tu es projecteur et la stratégie du projecteur, c'est d'attendre l'invitation. Qu'est-ce que tu en penses, toi, par rapport à comment je t'ai accompagné en tant que projecteur ? Sachant que je ne t'ai pas toujours invitée à rester et à attendre, et au contraire, à prendre plus de responsabilités, à prendre plus ta puissance, ton pouvoir, à reprendre ton pouvoir et à agir.

  • Speaker #2

    Alors, après, c'est sûr, si tu te dis attendre l'invitation, c'est rien faire. Attirer à personne, j'ai encore vu personne attirer des gens juste en attendant. Pour moi, en tout cas, j'ai aussi une ligne 4 qui est d'expérimenter. Et j'ai aussi des envies qui étaient de connecter davantage avec des personnes en réel, notamment des entrepreneurs. Donc en fait, c'est tout un ensemble. Et en fait, c'est plus, ce que je vois, c'est plus... il y a quand même une mise en mouvement, il y a quand même me rendre visible. Encore une fois, sous la forme la plus juste et inspirante pour moi, qui à ce moment-là aussi, il y avait cette partie connectée en réel, où j'ai essayé plusieurs cohorts, j'ai trouvé celui qui me convenait, je suis allé connecter avec des gens, et c'était challengeant. Et après, c'est plus expérimenter, se mettre en mouvement, se rendre visible, peu importe la manière. Et après, comme tu le disais tout à l'heure...... Comment dire ? C'est là en fait, c'est après ça que je...

  • Speaker #0

    Il y a une partie susciter l'intérêt et attendre l'invitation, mais il y a quand même une partie pour moi avant qui est susciter l'intérêt en se rendant visible, en échangeant, en connectant, peu importe la manière, soit online ou... Oui,

  • Speaker #1

    parce que j'ai une vision qui n'est pas forcément commune à mes autres consœurs et confrères qui enseignent le HD. Sachant que moi, je ne l'enseigne pas. Je coache en m'appuyant sur cet outil, mais je ne l'enseigne pas. En tout cas, pas sous une forme classique. Dans le mastermind, je l'enseigne. sous plusieurs formes. Mais en fait, de ma perception, les projecteurs, vous êtes invités à vous reconnaître vous, en tant qu'individu et dans votre pleine puissance, pour que les autres puissent vous reconnaître ensuite. Et c'est aussi ce travail de visibilité, d'être à la lumière des projecteurs, apprendre à recevoir le mérite. On a aussi travaillé un petit peu ça, apprendre à recevoir, célébrer. reconnaître le parcours, etc. C'est aussi comme ça que j'accompagne les projecteurs à se reconnaître, à prendre plus de pouvoir là où ils ont envie d'en prendre et de ne pas subir les événements extérieurs et ce qui se passe autour d'eux. C'était un peu ma vision de toi, Kevin, comment tu peux être visible par les bonnes personnes, mais pas chercher leur reconnaissance que ce soit avec les femmes ou avec les clients, mais plus montrer ce que toi, Comment tu as envie d'aider les gens ? Comment tu as envie de connecter ? Qu'est-ce qui t'inspire ? Et ensuite, si ça résonne avec eux, qu'eux viennent faire le pas vers toi en disant Écoute, ce que tu as dit, ça résonne. Est-ce que c'est possible de travailler ? Donc, c'est plus sous cet aspect-là, avec beaucoup de nuances qu'on a travaillées ensemble, que ça t'a paru fluide ou c'était contre-intuitif ?

  • Speaker #0

    Non, non. Moi, je l'ai vécu de manière fluide. Oui, il y avait des challenges. Oui, j'avais des peurs. Oui, évidemment, il y a tout ça. Mais... c'était quand même très fluide.

  • Speaker #1

    Et donc toi, tu as un profil 4-6 et une autorité splénique. Il y avait aussi le challenge d'écouter ton intuition. Ça a été assez challenging au début de savoir t'écouter parce qu'il y avait beaucoup de je dois notamment si on prend par Instagram. Je dois être régulier, je dois poster, je dois faire ci, je dois faire ça. Comment ? Comment tu décrirais cette expérience justement d'autorité splénique ?

  • Speaker #0

    Je pense que c'est la plus compliquée et que j'ai encore beaucoup de chemin à faire là-dessus. Parce qu'encore une fois, en effet, j'ai été beaucoup conditionné, déjà d'une, dans vraiment le passé quand j'étais salarié et tout. Comme on l'est un peu tous, c'est-à-dire il faut travailler dur, il faut travailler tendeur, etc. Donc il y avait aussi cette partie-là. Et plus les programmes business que j'ai suivis avant Mastery, avant tout ça, où c'était très injonctionnel. Donc pareil, ça me coupait de ça. Donc ouais, c'est vraiment un vrai chemin de réussir à, je dirais, couper le mental. minimiser le bruit du mental et du bruit extérieur pour pouvoir connecter du coup au splenique. Mais le chemin que j'ai fait et qu'on a fait ensemble est vraiment énorme déjà de ce côté-là.

  • Speaker #1

    Tu dirais que c'est quoi ta plus grosse transformation ou ton plus gros déclic pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #0

    Plutôt en termes de compréhension, de manifestation, c'est-à-dire de concrétisation dans la matière, au plus de switch de mindset sur ce que j'utilise.

  • Speaker #1

    C'est plus toi, comment tu le ressens ? C'était quoi ton plus gros effet ?

  • Speaker #0

    Le plus gros effet waouh de l'accompagnement, c'est... Moi, vraiment, le plus gros effet waouh, c'est... Des fois, je prends un exemple concret, c'était vers la fin de l'accompagnement, où je m'étais dit, non mais là, il va falloir une séance entière pour faire ça, et encore, je ne sais même pas si on va libérer ça en une séance. Et on avait la séance le lendemain, je crois on avait la séance le... Bon, bref, je ne sais plus, le mercredi peut-être, et je t'envoie l'audio le mardi, en te disant, ça va nécessiter une séance entière, et on verra ça demain. mais je te pose ça là comme ça on prépare ça pour la séance et je sais plus on fait un échange de je sais pas deux messages et tu m'envoies un audio d'une minute trente et ça me débloque et en fait le lendemain on a parlé de totalement autre chose pendant la séance et en fait c'est ça la valeur ajoutée qui est énorme c'est à quel point Ouais, à quel point tu arrives à capter, à mettre de la clarté sur ce qui bloque. Et des fois, en un audio d'une minute trente, en fait, là où moi, j'étais là à me dire, il faudra au moins une séance d'une heure. En fait, tu libères.

  • Speaker #1

    Moi, je vais te partager ce qui m'a le plus touchée dans notre accompagnement. C'est la fois où on a travaillé sur... ta perception de ton corps. Ça m'a beaucoup touchée. Je n'ai pas regardé le replay, mais de te voir te libérer et où tu m'as dit, c'est bon, la photo, je la supprime. Là, j'ai fait, waouh, c'est fou. En fait, ce qui vient de se passer, c'était ouf. Ça a chiffré du tout au tout.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'on n'en a pas trop parlé. On a beaucoup plus parlé le côté... relation aux femmes et relation business, mais on a aussi fait une grosse partie sur le corps et en soit il y avait aussi un énorme lien avec la relation aux femmes etc et ouais et c'est vrai que sur le rapport au corps aussi il y a eu un sacré switch et notamment cette séance en effet c'était assez ouf et j'avais déjà beaucoup beaucoup avancé là-dessus. Je ne sais pas si c'est un travail qu'on peut vraiment finir un jour, le rapport au corps, c'est toute une question, mais ça m'avait vraiment... En fait, me dire que je le vois tellement en changement dans comment je consomme le contenu, par exemple. C'est-à-dire qu'en fait, aujourd'hui, je continue de suivre, parce qu'en fait, je trouve ça tellement... inspirant et impressionnant les bodybuilders de haut niveau parce qu'en fait ils vont dans des états avant une compétition c'est tellement dur pour le corps ce qu'ils font et du coup je trouve ça assez inspirant et tout mais du coup quand je les voyais sur les réseaux je me comparais énormément à eux j'étais vachement dans la comparaison j'aimerais bien avoir ce corps etc et après cette séance en fait c'est ouf parce qu'en fait je continue à regarder ce contenu mais je me comparais plus du tout. Et aujourd'hui en fait, il y avait du coup la Mister Olympia qui est la compète internationale la plus connue et tout dans ce domaine là il y a une ou deux semaines. En fait j'ai pu suivre cette compétition mais sans me comparer, sans quoi que ce soit en fait, j'étais juste là en mode c'est inspirant et ouais c'est juste c'est inspirant quoi. Et en fait, encore une fois, l'action était la même. Finalement, l'action est la même. C'est-à-dire que je suis ces gens, mais le ressenti, l'énergie derrière n'a rien à voir. Oui.

  • Speaker #1

    Et je ne sais pas si je te rappelle, tu m'avais dit même, je me suis désabonnée de ces personnes parce que ça n'arrêtait pas de me mettre dans les suggestions d'explorer d'autres comptes et ça commençait à me challenger, à me trigger. Et donc, je t'ai dit, en fait, allons changer cette énergie-là. Et c'est dommage que tu ne suives plus ces personnes qui t'inspirent parce que l'exploreur te soumet des recos qui viennent te challenger.

  • Speaker #0

    Oui, du coup, j'avais envie, mais parce que je me comparais, ça me créait de la souffrance, donc je me désabonnais. Mais du coup, c'est une fuite.

  • Speaker #1

    Oui, exactement.

  • Speaker #0

    Et du coup, tu ne règles pas vraiment le problème. tu mets quelque chose dessus, tu mets un torchon dessus, ou un chiffon dessus.

  • Speaker #1

    Ce que j'aime bien dire, c'est qu'on met le caca sous le tapis, on le cache, on n'a pas besoin de le traiter puisqu'on ne le voit pas.

  • Speaker #0

    Oui, mais il est toujours là.

  • Speaker #1

    Mais ça, c'était une belle libération. Et en fait, ce qui m'a touchée, ce n'est pas le fait qu'on ait shifté ça pendant une séance, c'est de voir comment ça t'avait fait shifter d'énergie. Parce que ce n'était pas la première fois qu'on parlait de ton rapport au corps. Et qu'en fait, après cette séance, tu ne m'as plus parlé du corps. Alors qu'on a passé quand même plusieurs séances dessus. Et après ça, en fait, ce n'était plus un souci pour toi. Et on a shifté sur des sujets beaucoup plus business. D'ailleurs, le dernier mois qu'on a fait d'accompagnement, tu m'as demandé à ce que je te mentore sur le business. Et on n'a plus parlé du corps. On a parfois parlé des connexions. Mais alors le corps, on n'a plus abordé le sujet.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai.

  • Speaker #1

    Alors que le début de l'accompagnement, tu es venu avec vivre de mon activité, trouver une femme avec laquelle relationner et mon problème avec ma vision du corps.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai que ça, je n'en ai pas reparlé. Et puis même aujourd'hui, ça change tout le rapport. C'est-à-dire que j'ai une valeur bouffe que je n'assumais pas. Avant même de venir à toi, j'avais un TCA que j'avais depuis 12 ans et que je n'avais même pas conscientisé, que j'avais déjà commencé à libérer. Mais là, vraiment, je le vois là où avant c'était vraiment un soir, le week-end, où je peux me faire plaisir et machin et tout. Là, maintenant, si je regarde la semaine dernière, le mardi, je vais faire une pâtisserie pour célébrer un client. Le jeudi soir, je vais au resto avec une amie coach. Et puis le samedi soir... je vais au resto pour la nif de ma grand-mère quoi. Et puis je suis pas là à culpabiliser à chaque fois.

  • Speaker #1

    Ouais et à chaque fois c'est pour célébrer, connecter avec des gens que tu apprécies, avec toi-même, que ce soit toi-même ou des personnes que tu apprécies et où tu as savouré pleinement le moment présent sans honte ni culpabilité.

  • Speaker #0

    Ouais ouais c'est ça. Là où avant je m'en serais voulu, je disais non tu déconnes Kevin, tu peux pas manger une pâtisserie en semaine, tu peux pas aller deux fois au resto. Alors que là c'est...

  • Speaker #1

    ça libère.

  • Speaker #0

    Oui, tu t'autorises un peu plus à vivre, tout simplement, dans ce qui est important pour toi.

  • Speaker #1

    Tu dirais que, comment tu décrirais les changements que tu as vécu pendant l'accompagnement, que ce soit dans ta vie ou dans ton business concrètement, c'est quoi l'avant-après, si tu devais résumer ?

  • Speaker #0

    Alors concrètement...

  • Speaker #1

    Parce que dans les ressentis, c'est hyper subtil. Et je pense que toi, tu le sais parce que tu le vis. Mais si quelqu'un qui n'a pas suivi nos séances ne voit pas trop de quoi on parle, comment tu lui résumerais ça ?

  • Speaker #0

    Donc plus concret en termes d'action et résultats dans la matière. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que les gens, c'est comme ça qu'ils comprennent. Là, tu le sais subtilement.

  • Speaker #0

    Bien sûr. C'est très simple. Alors, niveau business, J'acceptais tout le monde. C'est-à-dire que j'étais que dans la peur du manque. Et j'acceptais tout le monde et je m'adaptais à tout le monde. Et tant qu'on pouvait me donner de l'argent, tout le monde était le bienvenu. C'était littéralement ça. Et du coup, j'ai été beaucoup plus, comment dire, une forme de, encore une fois, définir ce que je veux, ce que je veux vraiment, ce dont j'ai envie, ce dont je n'ai pas envie, etc. Et aujourd'hui, j'accompagne mes premiers clients. J'ai fait un lancement à zéro vente, mais ça ne m'a rien fait émotionnellement. Parce que pareil, j'avais déjà été checker les bénéfices qu'il y ait zéro vente. Donc en fait, c'est vraiment avancer avec beaucoup moins d'émotionnel et de souffrance. Parce que tu apprends à gérer tout ça beaucoup mieux. Et en fait, je fais un premier lancement à zéro vente, mais juste derrière, je passe à la suite. Je me dis, en fait, c'est normal, c'est parce que je viens de créer une offre pour moi, mais pas pour mes clients de rêve. Donc, en fait, je me réadapte, je me réajuste. Et puis, en fait, derrière, je ne sais pas, quelques semaines plus tard, j'envoie un message tout fait, qui est bien écrit, mais c'est un message tout fait, en fait. WhatsApp à cette personne de ma communauté WhatsApp. que je voulais vraiment accompagner, c'était vraiment mes clients de cœur, je leur envoie un message en disant, voilà, je respawn, il y aura ça dedans, est-ce que ça résonne ? Et aussi simplement que ça, il y a deux personnes qui rejoignent, et aujourd'hui, j'accompagne deux de ces personnes sur six mois. Donc, je dirais que c'est mes premiers clients de cœur que je kiffe. Vraiment, quand je vais en séance avec eux, je... pressé d'avoir les séances avec eux je suis vraiment tu es dédié à eux parce qu'en fait j'adore les accompagner à un prix qui est juste pour moi donc un tarif qui était juste pour moi enfin voilà donc c'est vraiment passé de j'accepte tout le monde à je sais ce que je veux je sais qui je veux et et du coup la jambes voilà j'en suis à j'en suis là ensuite a vraiment accompagné

  • Speaker #1

    Il faut dire que quand on a commencé l'accompagnement, tu n'étais pas en joie d'accompagner certaines personnes. C'était même difficile avec certains. Et je me rappelle que tu adaptais même en fonction du budget des gens.

  • Speaker #0

    J'adaptais le budget, j'adaptais le temps, j'adaptais tout. Et en fait, c'était…

  • Speaker #1

    Quand tu repenses, c'était… Non,

  • Speaker #0

    mais c'est sûr.

  • Speaker #1

    C'était ok, quoi.

  • Speaker #0

    Je ne fais plus ça aujourd'hui. Ça, c'est sûr. Et... Donc il y a cette partie là, il y a aussi la partie évidemment connexion en présentiel, quand je suis venu à toi, donc il y a la partie création de communauté aussi, encore une fois comme on disait tout à l'heure, donc j'ai créé une communauté WhatsApp où il y a sur les 110 personnes que j'avais coachées, il y en a 50 qui l'ont rejoint, j'ai fait des coachings de groupe, j'ai commencé à créer du contenu écrit, du contenu audio pour devenir de plus en plus à l'aise à la création de contenu, ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai basculé sur Instagram, je me sentais prêt. Donc il y a cette partie là, il y a la partie client, donc ces deux clients. Il y a aussi la partie Instagram d'ailleurs, je me suis lancé il y a trois semaines. Donc là je suis encore en train d'expérimenter, mais c'est beaucoup plus fluide. Je suis en train de trouver ma patte, tester tous les types de contenus, voir ce que j'aime faire, voir ce qui est fluide, voir ce que j'aime moins, etc.

  • Speaker #1

    Sachant que quand tu as rejoint mon accompagnement, tu étais très bloqué pour poster. Je précise parce que les gens, s'ils t'entendent, ils ne connaissent pas le contexte, ils disent je ne vois pas la transformation Tu n'arrivais pas à poster du tout.

  • Speaker #0

    Ah oui, je ne postais pas. J'étais incapable de poster. Non, c'est un énorme switch. Ah, j'avais une dernière chose. Le coworking, c'est ça. En fait, le coworking, pareil, j'avais peur d'aller dans des co-works, j'avais peur de tout ça. Et en fait, j'ai testé cinq co-works différents. J'en ai vraiment trouvé un qui résonnait, où je me suis dit, c'est ce co-work. C'était vraiment intuitif, là, c'était très fort. Puis je me suis inscrit, et là, j'ai commencé à connecter avec des gens, etc. Donc, prendre des cafés, etc. Donc, vraiment, ce truc de relation humaine, en fait. que j'avais perdu en étant toute la journée devant mon écran, mon PC et tout. Et que là, j'avais besoin de reconnecter avec de l'humain, des entrepreneurs notamment, de tout type. Parce que du coup, il y a petites startups, gros startups, solopreneurs, etc. Donc, ça ouvre le champ des possibles, etc. Et puis,

  • Speaker #1

    dépasser... Il faut dire que quand tu as rejoint l'accompagnement, tu étais aussi challengé par le budget que le cohort pouvait représenter. Et que tu as rejoint un cowork qui te demandait un engagement déjà de deux mois, si je me rappelle bien.

  • Speaker #0

    Oui, oui, oui, exactement.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait aussi cette peur de manquer d'argent qui a shifté aussi de revenir à soi, son intention, avoir peur, mais pas connecté au manque dans tes actions et d'aller chercher plus grand. Et donc, tu as dépassé ta zone de confort en investissant tes ressources dans ce type de choses, dont le cowork.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. De toute façon, la peur du manque, c'était dans tous les domaines. C'était aussi avec les femmes. Elle était partout et aujourd'hui, elle n'est plus là. Ou alors, si elle est là, encore une fois, je la sens beaucoup moins et je l'adjère.

  • Speaker #1

    Tu reviens facilement dans ton alignement parce que c'est normal d'avoir le genre de pensée de toi qui aimes les pâtisseries. Ce n'est pas des pâtisseries qui sont peu chères, c'est des pâtisseries qui sont quand même haut de gamme. Et c'est aussi ça, je me rappelle, de t'autoriser. à dépenser tant de budget dans une pâtisserie alors que tu ne générais pas encore les revenus que tu voulais. C'est en fait apprendre à se faire plaisir aussi, même si tu n'es pas encore là où tu voudrais, au niveau de ton chiffre d'affaires, réintégrer la notion de plaisir quotidiennement.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et en effet, pour moi, c'est ça. C'est en fait qui j'ai envie d'incarner et qu'est-ce que je veux permettre à mes clients. Mes clients, ils s'autorisent. justement à se faire des plaisirs et à vivre aujourd'hui et pas quand ils feront x ou y récif d'affaires mais en fait si je veux que mes clients s'autorise ça c'est pas le dire et pas le faire c'est l'incarner appartement où je l'incarne dans ma vie moi là je peux je peux prétendre et je peux commencer à dire je vous permet ça mais moi je le fais c'est pas ce que je dis fait pas ce que je fais c'est je l'incarne

  • Speaker #1

    C'est très ligne 6, ça je précise, parce qu'il y a des personnes qui n'ont pas de problème à transmettre des choses qu'ils n'incarnent pas. Mais en ayant une ligne 6, c'est quelque chose qui est très important pour nous, parce que moi aussi j'ai une ligne 6, d'incarner ce qu'on transmet à nos clients. Et à ma fille, par exemple. C'est important que quand je dis quelque chose à ma fille, je l'incarne aussi. Et ça, c'est très ligne 6 en HD. Il y a d'autres personnes qui ont des lignes 5, par exemple, qui ne ressentent pas de charge. à dire aux gens ce qu'ils doivent faire et qu'eux ne l'appliquent pas dans leur propre vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Merci pour la nuance. Avec plaisir.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait ça, cette notion de plaisir dans ton quotidien, de t'autoriser. Je précise qu'on ne met pas en danger ta santé financière et ton ressenti d'insécurité, c'est juste qu'on va shifter ta perception pour que... Ces plaisirs-là viennent te nourrir et ne te mettent pas en PLS dès que tu commences à les honorer.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et il y a aussi, évidemment, une part qu'on a faite qui m'a aussi beaucoup aidé. D'une, avec les shifts, comment dire, tous les shifts qu'il y a eu, déjà, il y a je m'autorise à vivre aujourd'hui et en fait je trouverai des solutions En tout cas, aujourd'hui, je suis vraiment dans ce truc de je trouverai des solutions Oui,

  • Speaker #1

    en faisant. Et tu l'as fait. À chaque fois que tu as fait, tu as avancé, tu as trouvé des solutions, tu t'es ouvert à d'autres choses, tu as été de plus en plus audacieux dans ce que tu faisais. Et en fait, plus tu le faisais, plus ça devenait fluide.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Il y a vraiment ce shift-là qui aide aussi beaucoup. Après,

  • Speaker #1

    tu t'es jugé aussi pour aimer les jeux vidéo. Je me rappelle d'une période où tu me disais, en ce moment, je joue beaucoup aux jeux. je ne suis pas hyper alignée avec ce que je suis en train de faire. Et en fait, c'est vraiment t'apporter beaucoup plus d'amour et de compassion à toi-même.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, il y avait toute une partie que j'avais réprimée dès que je suis devenu entrepreneur. Il y a toute une partie que j'ai réprimée. Oui. Dans les jeux vidéo. C'était un peu en mode... Non, mais maintenant, il faut être sérieux. Tu es entrepreneur, tu ne peux plus être un gamin qui joue aux jeux vidéo. Et du coup, j'avais dégagé ça, en fait, tout simplement. Oui. En effet, il y a tout ça. Et ça, c'était sur la partie business, du coup, donc énorme. Le coworking, les connexions, les clients de rêve que j'ai commencé à accompagner, le lancement sur Instagram avec plein d'essais sur des types de contenus, etc. Donc, oui, beaucoup de choses. Ça, c'est la partie business. Partie rapport au corps, santé rapport au corps, on en a déjà parlé, mais c'est vraiment ce switch de... je me compare énormément, je me minimise, je me sens jamais assez, il faudrait que je sois plus comme ça, et du coup, en plus, je réprime toutes mes valeurs importantes pour moi à côté, qui est la valeur bouffe, et qui souvent est reliée en plus à la valeur connexion, donc forcément, ça crée beaucoup de souffrance, juste parce que j'ai des attentes sur un physique, et une perception plutôt biaisée, etc. Donc ça crée pas mal de... Donc il y a toute cette partie-là, toute cette partie-là, qui a changé. Encore une fois, dans la matière, qu'est-ce que ça a changé ? Juste, je continue de faire du sport, je continue de faire attention à ce que je mange, c'est toujours important pour moi, mais je ne me mets plus autant de pression et je vis beaucoup mieux les choses et je ne me juge plus, tout simplement. Donc il y a cette partie-là. Et après, sur la partie relation aux femmes, etc., je pense que ce qu'on a le... Je me dis sous en fait encore une fois cette question d'énergie où j'étais encore pas mal dans peur de manquer peur de pas avoir peur de finir ma vie seule etc il y avait beaucoup ce truc là qui aujourd'hui en fait n'est plus du fin voilà c'est plus là quoi c'est plus là et justement paradoxalement c'est ce qui me permet il ya une femme qui me plaît dans la rue je peux aller l'aborder il n'y a pas de problème Et Ouais en fait c'est juste, là le switch il s'est beaucoup joué au niveau énergétique, mais ouais si plus dans la matière en fait c'est ça. C'est qu'en fait je me mets plus la pression ou de deadline en me disant non mais là il faut que je trouve quelqu'un avant telle date, ou il faut que je sois en couple avant telle date, ou j'ai peur de finir tout seul. En fait non, j'adore mes journées, j'adore mon quotidien, je connecte déjà sur plein d'autres formes. qui, voilà, j'ai une grosse valeur famille, une grosse valeur amie. Et en fait, je ne me mets pas la pression et je prends mon temps, en fait. Et paradoxalement, parce que je ne me mets pas la pression, je ne puis pas le manque. Et donc, en fait, voilà, ça arrivera quand ça arrivera. Et je suis juste, ouais, mon flot, en fait.

  • Speaker #1

    En fait, l'enjeu a changé. Avant, il y avait beaucoup d'enjeux et c'est pour ça que tu avais beaucoup de pression. Et maintenant, l'enjeu est différent. C'est-à-dire que tu es toujours ouvert à rencontrer une femme, mais il n'y a plus cette pression qui va te mener à faire des actions complètement désalignées par rapport à qui tu es.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je parle plus d'une intention qui est, encore une fois, une intention interne et pas un objectif avec un résultat externe. Oui, ok. Donc, l'énergie est différente.

  • Speaker #1

    Et si tu devais définir... En quelques mots, l'impact que cet accompagnement a eu dans ta vie, qu'est-ce que tu dirais à quelqu'un qui te poserait la question, qui ne te connaît pas ou qui te connaît mais qui ne se rend pas compte ?

  • Speaker #0

    C'est marrant, il y a un mot qui m'est venu en fait, c'est vraiment légèreté. Avant c'était lourd, il y avait beaucoup de souffrance, c'était épuisant en fait. Et là en fait le mot qui me vient c'est légèreté. C'est en fait, c'est plus léger dans tous tes domaines de vie. Tu juges moins sur ton corps, tu te mets moins la pression dans tes relations, tu te mets moins la pression dans ton business, donc c'est plus léger en fait. Tu vis ta vie, tu ne la mentalises plus tout le temps. Tu vis en fait.

  • Speaker #1

    Ça a quelle valeur pour toi, Kevin ?

  • Speaker #0

    S'il fallait mettre un chiffre dessus, ça n'en a pas. Ça n'en a pas en fait. Pour moi, c'est juste... Pour moi, ça n'a juste pas de valeur. S'il fallait mettre un chiffre dessus, je ne pourrais pas en mettre.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu arrives à retracer ton parcours et à voir ton cheminement depuis le début jusqu'à aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Si je ferme les yeux, spécifiquement, pas forcément, mais je vois le début et le bout et c'est juste fou. C'est juste fou.

  • Speaker #1

    Si tu devais me recommander à quelqu'un qui hésite à sauter le pas, qui me connaît, qui se dit j'aimerais bien me faire accompagner par Julie, mais qui hésite un peu, qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    Je lui dirais vas-y. Genre juste, si tu hésites, je lui dirais fonce quoi. Fonce et tu verras. De toute façon, tu n'auras pas les réponses avant d'y aller, mais juste fais-toi confiance, écoute-toi et vas-y.

  • Speaker #1

    Parce que je précise que toi, tu n'avais pas l'argent qui constituait l'investissement et que ça t'a beaucoup challengé cet investissement au niveau financier.

  • Speaker #0

    Oui, en effet, mais il y avait quelque chose de plus fort. Il y avait vraiment cette peur très mentale. de j'ai peur de manquer, très machin et il y avait un truc beaucoup plus fort à l'intérieur où il y avait vraiment ce truc de je sais en fait, je sens et je sais et c'est elle et je pouvais pas l'expliquer et en plus je me souviens très bien, c'était j'en parlais à ma mère j'étais dans la cuisine avec elle, je dis putain c'est fort ce truc, et puis je lui dis mais ça fait plusieurs jours que c'est là et en fait de jour en jour c'est de plus en plus fort en fait Et du coup, c'est ça. Et donc, en effet, il y avait cette peur très mentale de manquer, mais il y avait un truc plus fort à l'intérieur.

  • Speaker #1

    Parce que tu aurais pu te faire accompagner par un autre coach formé à l'équilibrage des perceptions qui t'aurait facturé moins.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, évidemment. Mais non, je ne pense pas que ce soit quelque chose... c'est pas quelque chose vraiment... En fait, je peux dire je t'ai rejoint pour X ou Y, mais je pense qu'il y a aussi une part que je ne peux pas rationaliser. Oui. C'est-à-dire que, en fait, quand c'est venu la première fois, je ne pense pas que j'ai rationalisé en mode elle fait du HD, elle fait ci, elle fait ça. Vraiment, quand c'est venu la première fois, c'était juste un ressenti très fort. Oui. Et c'était juste une voix intérieure qui disait c'est elle.

  • Speaker #1

    Oui, et ça, c'est ce qu'on appelle l'autorité splénique. C'est la voix qui vient avant que ça vienne être filtré par le mental. Et donc, quand on entend cette voix, c'est là où on connaît la réponse. Après, on a notre libre arbitre de suivre ce qu'indique cette voix ou pas.

  • Speaker #0

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu aurais quelque chose à ajouter, Kevin ?

  • Speaker #0

    Non, juste merci. Juste merci pour tout, en fait. Je n'ai pas forcément les mots qui me viennent à part ça, mais merci.

  • Speaker #1

    Merci, Kevin, pour ta confiance. Ce n'était pas gagné d'avance, parce que je me rappelle que tu avais prévu de faire uniquement un mois.

  • Speaker #0

    finalement tu t'es laissé engrainer de moins en moins mais à la base tu m'as dit je fais juste un mois y'a pas de problème, fais juste un mois fais avec ce que tu peux, y'a pas de soucis et puis finalement on a fait un accompagnement complet donc merci pour ta confiance et puis bah je te dis de toute façon on se voit la semaine prochaine on va concrétiser ça dans la matière par une rencontre grâce, ça va être trop bien merci Kevin merci Julie

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode des Perles de Jade jusqu'à la fin. Les liens de celui-ci se trouvent dans les notes. N'oubliez pas de me rejoindre sur Instagram où mon pseudo c'est julie-ugs afin d'échanger et de me dire ce que vous en avez pensé. A bientôt pour un nouvel épisode !

Description

Retrouve-moi sur Instagram @julie_ugs 🤗


Dans cet épisode, je t’invite à découvrir le témoignage de Kevin, un entrepreneur qui, comme toi, aspirait à plus de clarté, de liberté, et d’alignement dans sa vie et son business. Kevin partage comment il a transcendé ses doutes et blocages pour finalement créer une vie en parfaite résonance avec qui il est profondément.

Ensemble, nous explorons :

  • Comment Kevin est passé d'une quête incessante de validation extérieure à la certitude intérieure grâce à l’autorité en Human Design.

  • Les étapes concrètes qui lui ont permis d'attirer ses premiers clients alignés, sans compromettre ses valeurs ou son bien-être.

  • L'importance de te reconnecter à tes désirs les plus profonds pour que ton business serve ta vie et non l’inverse.

  • Comment il a réussi à s’affranchir de la pression de réussir pour, à la place, incarner la légèreté et l’abondance dans tous les aspects de son quotidien.

Cet épisode t’offre une perspective inspirante sur ce que signifie vraiment créer un business au service de ta vie, tout en cultivant tes relations, ta liberté, et ton épanouissement personnel. Si tu rêves de trouver cet équilibre entre ambition et bien-être, c’est exactement le déclic qu’il te faut pour franchir le prochain cap.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue sur le podcast Les perles de Jade des conseils précieux à collectionner, partager ou tout simplement à méditer. Je m'appelle Julie, française installée aux Pays-Bas depuis quelques années, ancienne responsable d'un département achat devenu coach, j'ai décidé de changer ma vie afin de changer celle des autres. Je vous aide à trouver de nouvelles pistes de réflexion et à passer à l'action, afin d'être plus épanouie dans votre vie. Abonnez-vous sur la plateforme de votre choix pour ne manquer aucun épisode. N'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram. à julie-ugs afin d'échanger. Le lien se trouvera dans les notes de l'épisode. En attendant, je vous souhaite une excellente écoute.

  • Speaker #1

    Salut Kevin.

  • Speaker #2

    Hello Julie.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir accepté mon invitation à partager ton expérience avec moi.

  • Speaker #2

    Avec plaisir, merci à toi.

  • Speaker #1

    Est-ce que pour commencer... Tu auras envie de te présenter comme tu le souhaites, qui tu es Kevin et ensuite qu'est-ce que tu fais ?

  • Speaker #2

    Ouais, clairement. Du coup, moi c'est Kevin, j'ai 32 ans, ça va faire 4 ans que je suis indépendant, donc je suis passé par pas mal de phases, mais j'ai commencé avec une année en tant que solopreneur, donc du coup seul, en étant juste coach certifié PNL, ensuite j'ai fait 2 ans en startup. où on apprenait aux gens à s'auto-coacher et dans laquelle j'étais associé, j'avais pas mal de casquettes, notamment dans le recrutement, dans l'appui produit, dans beaucoup de choses en fait, dans la gestion financière, etc. et aussi dans une partie gestion des coachs, management. Et suite à ces deux ans, l'entreprise a coulé du coup et je suis reparti en tant que solopreneur. Mais du coup, j'avais pas mal de challenges. à trouver une manière pour moi de faire du business qui était aligné à qui je suis et comment je fonctionne. Et du coup, c'est ce qui m'a amené à cet accompagnement avec toi.

  • Speaker #1

    OK, merci Kevin. Déjà, tu dis beaucoup ce que tu as fait et ce que tu fais, mais qui tu es en tant que personne ? Parce que moi, je sais qui tu es, mais les gens ne savent pas. Pour moi, je vois le Kevin, l'homme derrière la voix. Donc, est-ce que tu as envie de te présenter qui tu es, toi ?

  • Speaker #2

    Dans qui je suis, du coup, qu'est-ce que j'aime faire ?

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qui te définirait selon toi ? Pour moi, tu n'es pas juste Kevin, le solopreneur.

  • Speaker #2

    Ok. Je pense que ce qui me définit le plus, c'est vraiment je suis fasciné par l'humain. Ça, c'est ce qui me définit le plus. Je suis vraiment... J'aime l'humain. J'aime comprendre l'humain, je suis fasciné par essayer de comprendre l'humain à travers plein de façons différentes, que ce soit en allant connecter avec des gens, que ce soit à travers du contenu que je consomme, que ce soit à travers l'écriture, en me comprenant mieux, en me faisant coacher. C'est forcément ce qui me définit le plus, toute ma vie tourne autour de ça, je le vois, je le sens et je le vois de plus en plus. de semaines, de mois et d'années en années. C'est vraiment ce qui me touche le plus, en tout cas.

  • Speaker #1

    Moi, tu vois, si on me dit c'est quoi la particularité de Kevin, j'aurais tendance à dire il aime bien le jeu, les challenges, pour toujours évoluer et aller gratter le millimètre. Et il aime bien cuisiner et manger.

  • Speaker #2

    Il y a aussi cette partie-là, en effet. C'est pas faux. C'est vrai que, ouais, il y a aussi, on va plus au-delà, mais je vois quand même que ça part souvent de mieux se comprendre. Je le vois même dans le sport, parce que du coup, je fais du sport en salle depuis une quinzaine d'années. Et en fait, j'ai compris que c'était ma façon à moi de connecter à mon corps et de mieux comprendre mon corps, par exemple, et chaque part de mon corps. À travers l'alimentation, pareil, je me suis beaucoup intéressé à l'alimentation et qu'en fait, c'était aussi une manière pour moi de... de mieux me comprendre et de comprendre mon corps. En tout cas, il y a toujours un fond de compréhension, j'ai l'impression.

  • Speaker #1

    Préhension, mais aussi de connexion, parce que juste la compréhension sans la connexion, ça te paraît moins fun, moins plaisant, et en fait, c'est purement mental. Je pense que la connexion te permet justement de te connecter à tes ressentis. Et tu es pour moi une personne très sensible. Oui. Donc…

  • Speaker #2

    Ouais, je le vois. Et en effet, c'est très complémentaire. En effet, il y a une partie compréhension qui est très interne où je vais être en mode hibernation ou même encore une fois à travers le sport, etc. Là, je suis vraiment dans ma bulle et il y a aussi une énorme partie compréhension à travers la connexion. Je le vois avec les clients que j'ai actuellement. Ça peut être très fort des fois en séance juste de mentoring et je peux avoir les larmes aux yeux en fait en séance de mentoring parce que je suis...

  • Speaker #1

    je me sens connecté en fait aux personnes ouais en effet aux personnes c'est un souvenir qui te touche ouais la première fois ému par un souvenir ou par un déclic ouais exactement et c'est

  • Speaker #2

    marrant parce que du coup quand on parlait de de bien manger et moi c'est surtout les pâtisseries qui me ouais je suis très pâtisserie mais je me rends compte que c'est aussi souvent euh euh bien manger, que ce soit les pâtisseries ou un resto ou quoi, ça va souvent être... Je vais souvent le faire avec des gens, en fait. C'est comme si c'était une manière pour moi de connecter avec les gens.

  • Speaker #1

    À travers ce que tu apprécies. Ouais. À travers des valeurs communes, du coup.

  • Speaker #2

    Exactement. Souvent, ces gens-là ont les mêmes.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu te rappelles comment on s'est rencontrés, Kevin ?

  • Speaker #2

    Alors, oui. J'avais créé, je crois que c'était ça la première fois, j'avais créé la communauté sur WhatsApp de Lulien, où du coup, on avait ajouté tous les gens de toutes les cohortes de Mastery, parce qu'en fait, vraiment, mon souhait à ce moment-là, c'est qu'en fait, j'avais fait Mastery, j'avais connecté avec plein de gens de la cohorte 4, donc de ma cohorte, mais je me disais, putain, c'est tellement dommage qu'en fait, tous les gens de toutes les cohortes... puissent pas connecter ensemble parce qu'au final tout le monde a suivi l'école tu as des gens plus ou moins avancés mais surtout tout le monde a la valeur commune de mieux se comprendre et de la transformation humaine et je m'étais dit en fait c'est vrai c'est frustrant pour moi je me suis dit mais pourquoi il n'y a pas un truc qui existe où en fait on peut réunir tous ces gens là en fait et où ils pourraient par exemple même connecter en réel sans forcément que Julien ait besoin d'être présent etc du coup j'avais créé cette communauté Donc du coup, avec Louisa, on envoyait les invitations à chaque personne de toutes les cohortes. Et toi, vu que tu étais dans les premières cohortes, on t'avait envoyé l'invitation, tu avais rejoint. Et donc après, je crois que les premières connexions étaient au sein de cette communauté. Ensuite, je t'ai suivi sur Instagram. Et en fait, j'ai juste raisonné très fort avec ton contenu, notamment sur ta partie Human Design, auquel je commençais à m'intéresser. Et c'est de là, du coup... de fil en aiguille, que j'ai décidé de me faire accompagner par toi.

  • Speaker #1

    Yes. Et c'est marrant parce que le human design, au final, j'en parle beaucoup en story, mais très peu dans mon feed. Je fais des références, mais en général, les gens viennent pour moi parce que j'utilise le human design en plus du coaching. Donc, c'est marrant. Merci, Kevin, c'est correct. On s'est rencontrés comme ça. Et du coup, on va se rencontrer en vrai, enfin. La semaine prochaine.

  • Speaker #2

    Oui. Autour de la valeur bouffe.

  • Speaker #1

    C'est ça. Est-ce que tu te rappelles un peu, Kevin, dans quelle situation tu te trouvais avant justement de dire je vais contacter Julie ? Parce que sachant, je précise, que je m'adresse aux féminins, c'est quoi qui t'a donné l'élan de dire en fait, je veux bosser avec Julie alors qu'elle ne s'adresse qu'aux femmes ?

  • Speaker #2

    Alors déjà on avait connecté une première fois, on a fait un café visio, je me souviens. Et du coup déjà il y avait eu un gros feeling etc. Ensuite comme je disais, le Instagram, donc il y avait la partie HD mais il y avait plein d'autres choses en fait aussi, des parts que tu exprimais dans ton contenu, en fait que moi j'avais davantage envie d'exprimer dans le mien, donc sous mes formes à moi. Je ne sais pas si je t'ai... Je te vois figer, mais c'est peut-être moi.

  • Speaker #1

    Non, je suis là. Est-ce que tu me vois bouger ?

  • Speaker #2

    Oui, c'est bon. Il y avait ça, la partie design auquel je commençais à m'intéresser. Je voyais que tu utilisais ça. Il y avait la partie où tu exprimais toutes les parts de toi, l'entièreté qui tu es dans ton contenu. Ça m'inspirait beaucoup. C'est ce que j'avais envie de réussir à faire sous ma forme et que je ne m'autorisais pas forcément. Il y avait aussi la partie... Comment je pourrais appeler ça la partie un peu... Catiser ma curiosité, par exemple, je sais que tu utilisais l'hypnose, etc. Et c'est des choses que... Moi, j'étais encore très mental et j'avais envie de... commencer à expérimenter ça, comprendre ça, etc. Donc c'est quelque chose qui m'attirait aussi. Donc il y avait pas mal de choses. Et donc ça, c'était plus... Il y avait cette partie-là qui m'a fait venir à toi. Et plus au niveau de mes challenges, des challenges que je rencontrais à ce moment-là, c'était vraiment... En fait, je m'étais formé au rééquilibrage de perception. Ça m'a beaucoup aidé. Ça m'a vraiment beaucoup aidé. Je suis allé rééquilibrer beaucoup de choses, dissoudre beaucoup de traumas. Mais pour autant, j'avais des envies. Et en fait, je me sentais à l'intérieur de moi, je sentais que ce n'était pas rempli. Le fait que j'avais ces envies et j'avais beau rééquilibrer, j'étais là en mode Ok, tout est neutre, c'est bien, mais à l'intérieur, je ne me sens pas rempli et je ne me sens pas aller vers ce qui m'inspire. Et c'est pour ça que j'étais venu, comme si j'étais un plafond de verre. J'arrivais à ce plafond de verre et je ne savais plus comment faire pour aller au-delà. En termes de rééquilibrage, je m'étais fait coacher par plein de personnes qui étaient aussi formes de rééquilibrage, mais ça ne suffisait plus. Comme si en fait ça ne suffisait plus et je n'arrivais pas à mettre le doigt sur ce qui m'empêchait d'aller vers ce dont j'avais envie. Et à ce moment-là, du coup, je me souviens quand j'étais venu à toi, c'était ma vision. Je t'avais dit ma vision à un an, c'est tout simplement vivre de ce qui me passionne le plus, accompagner des gens. qui m'inspirent et rencontrer une femme avec qui ça connecte, avec qui il y a un feeling et commencer à construire quelque chose. Donc ça, c'était quand je suis venu à toi, c'était ça. Et du coup, j'avais fait un gros travail sur beaucoup de choses, mais pour autant, je ne me sentais pas avancé vers ça. Et je n'arrivais pas à avancer vers ça. Donc c'est pour ça que j'étais venu à toi.

  • Speaker #1

    Et moi, il y a un truc qui m'a marqué, c'est l'une de nos premières séances. En fait, tu m'as dit...

  • Speaker #2

    j'équilibre tout mais du coup j'ai du mal à savoir ce dont j'ai vraiment envie parce que tout est neutre oui oui et c'est ça je pense que c'est ça même qui crée finalement je rééquilibrais mais comme si ça recréait une forme de souffrance en fait derrière qui était ce flou en fait de mais qu'est-ce que je veux et comment j'y vais de la manière la plus lustre pour moi donc c'est ça

  • Speaker #1

    Ouais, donc hyper intéressant. Moi, j'ai les personnes que j'accompagne qui ont été formées aux mêmes méthodes que moi. Justement, c'est ce qu'elles recherchent chez moi. C'est de la guidance sur. Mais du coup, je sais équilibrer. J'accompagne les autres à rééquilibrer. Mais je me suis perdue moi-même dans le process parce que du coup, je ne sais plus différencier ce dont j'ai envie de ce dont je n'ai plus envie. Et c'est un peu confus et c'est quelque chose que je t'ai partagé et je partage aussi avec mes autres clients. C'est que moi aussi je suis passée par là et je pense que c'est ce qui fait aussi que je sais ce que ça fait de se retrouver dans cette situation. Parce que j'ai vécu ça en fait, moi-même. Et j'en suis sortie du coup. Et c'est pour ça que j'ai la capacité de l'expliquer mais pas de vous inculquer comment vous devez faire par rapport à ce que moi j'ai fait. mais plus de dire c'est possible de sortir de ce cercle vicieux et en fait on va découvrir comment par rapport à qui vous êtes et c'est pour ça que j'utilise le human design et je sais que toi par exemple le human design tu disais que tu connaissais un petit peu est-ce que tu as des choses que tu as découvert ou que tu as approfondi qui ont fait la différence pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Bien sûr c'est marrant, avant même que tu aies fini ta question j'avais la réponse dans ma tête je me souviens de la toute première, je crois que c'était notre toute première séance où j'arrivais pas à lancer ma communauté WhatsApp. Je me rappelle, j'avais envie d'envoyer, du coup j'avais coaché pour poser un peu de contexte, j'avais coaché 110 entrepreneurs gratuitement parce que à ce moment-là, c'était trop challengeant pour moi encore de faire du contenu. Et je me suis dit, en fait, je vais juste coacher des entrepreneurs pour connecter avec eux, pour apprendre à les connaître, etc. Et du coup, j'avais coaché tous ces entrepreneurs, mais... j'arrivais pas à entretenir le lien avec en fait et du coup j'étais un peu frustré de ça et je voulais pouvoir entretenir le lien du coup je m'étais dit je vais créer une communauté sur whatsapp ce qui était le plus fluide pour moi à ce moment là et du coup j'avais en fait j'avais juste mis dans ma tout doux entre guillemets dans ce que je voulais faire c'était créer ma communauté sauf qu'en fait je me souviens c'était assez très flou en fait créer ma communauté qu'est ce que ça veut dire en fait qu'est ce que comme actuellement comment tu fais et je me souviens Je crois que c'était notre première séance où tu m'avais dit que tu as l'Agena non défini, ce qui fait que c'est difficile pour toi de conceptualiser. en étant aussi flou entre guillemets et du coup tu as peut-être besoin d'être plus spécifique dans ce dont tu as besoin du coup tu m'avais questionné sur ce dont j'avais besoin justement donc il y avait ce truc de donc on allait vraiment dans le précis finalement dans le spécifique dans le détail mais j'avais besoin de ça qui était est ce que tu as le lien whatsapp où est ce que tu le mets est ce que tu as par exemple une structure d'e-mail ou est ce que tu as déjà des choses que tu veux mettre dans ton email et tout ça et je me souviens que juste ça capter qu'en fait Il y avait vraiment une envie, il n'y avait pas de peur, mais il y avait juste un manque de clarté. Et de comprendre que parce que j'avais l'agenda non défini, j'avais besoin parfois, par moment, de découper en plus petits bouts. Je me suis rendu compte que le lendemain, j'avais lancé ma communauté et il y avait 50 personnes qui rejoignaient le WhatsApp. Sur 100 mails que j'avais envoyés, il y avait une cinquantaine de personnes qui rejoignaient. Et donc là déjà, en effet, grâce au HD... j'étais là en mode ok ça risque de me servir de savoir ça parce que sinon en effet je peux rester trop dans le flou et malgré que j'ai envie qu'il n'y ait pas de blocage, qu'il n'y ait pas de peur, qu'il n'y ait pas d'injonction en fait c'est juste un manque de clarté sur ce que j'ai à faire pour réussir à me rapprocher de ça ouais trop bien est-ce que il

  • Speaker #1

    y a quelque chose Il y a quelque chose qui t'a plus marqué que d'autres durant notre accompagnement ?

  • Speaker #2

    Oui, très très fort. En fait, aujourd'hui, ça fait partie vraiment de ma vie et de mon quotidien, et je reviens tout le temps à ça. C'est ce truc de... Alors, c'est un peu global, il y a peut-être plusieurs choses, mais c'est vraiment ce truc de revenir à soi, que j'ai compris. Et en fait... Au début, c'était très difficile pour moi de me dire, mais ça veut dire quoi, revenir à soi ? Tout simplement parce que je n'avais pas défini ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. Donc, c'est difficile de revenir à soi quand on ne sait pas ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas. Mais c'est vraiment ce qui a fait la différence. En fait, ça change tout. C'est-à-dire que ce que j'ai remarqué, c'est que la plupart des injonctions et des peurs peuvent disparaître assez rapidement quand vraiment on a défini ça en profondeur et qu'on y revient. Et j'ai tellement d'exemples. très spécifique par rapport à ça où ça m'a vraiment vraiment ça m'aurait ça m'a libéré très vite et j'ai pu repasser me remettre en mouvement rapidement parce que j'avais parce que j'avais ça donc il ya vraiment ça ce truc de revenir à soi qu'est ce que je veux qu'est ce que j'ai envie et aussi plus accès donc avait aussi la partie avec les femmes mais aussi la partie avec le business qui était vraiment quel genre de clients je veux attirer en fait du coup quand tu es vraiment au clair là-dessus, au-delà de juste les peurs, les blocages, etc. Mais en fait, c'est quoi leur mindset ? Comment ils réfléchissent ? C'est quoi leur passion même ? De quoi ils pourraient parler pendant des heures ? Généralement, c'est des personnes qui nous ressemblent beaucoup. En fait, quand tu sais ça, c'est très facile de dire est-ce que tu veux ou non travailler avec un client quand tu as défini ça. Oui. Donc, il y a...

  • Speaker #1

    Il y a très peu de personnes qui... qui accorde de la valeur à ça. Moi, j'ai encore des clientes cette semaine qui me disaient que ça les saoulait de refaire le travail du client idéal.

  • Speaker #2

    Mais en fait,

  • Speaker #1

    c'est un travail à faire régulièrement à chaque fois qu'on bouge, on évolue, à chaque fois qu'il se passe quelque chose d'important dans notre vie parce que c'est comme ça qu'on a plus de clarté. Et sachant que toi, tu es projecteur, donc tu n'as pas autant de centres définis que d'autres individus, c'est facile d'amplifier les injonctions extérieures. Et donc, c'est pour ça que je t'ai invité à revenir à toi à chaque fois, pour te permettre de mieux te reconnaître toi en tant qu'individu dans ton unicité, avant de pouvoir utiliser les choses de l'extérieur à ton service.

  • Speaker #2

    Oui, et en effet, c'est vraiment quelque chose qui est... Franchement, c'est la chose qui a tout changé. Et donc, il y a ça. Et ce qui me vient aussi, c'est aussi beaucoup l'intention, l'intentionnalité. Ce truc de... Souvent c'était encore une fois c'est reviens à toi c'est quoi ton intention qu'est ce que tu veux c'est quoi ton attention qu'est ce que tu veux est en fait aujourd'hui c'est devenu un automatisme mais c'est je me rends compte c'est tellement important de partir de manquer une fois de l'intention et du pourquoi et en général quand ça c'est clair le comment est est beaucoup plus fluide et ouais donc l'intention est aussi ouais être beaucoup plus en fait dans une intentionnalité interne qu'un résultat externe c'est à dire que du coup c'est plus c'est plus par exemple, j'ai une connerie, mais si je prends dans le business, c'est plus comment, je ne le vois plus comme ça, c'est plus comment je peux avoir plus de clients, par exemple, parce que ça, ça reste quand même très externe. Et moi, du coup, ça va être comment je peux me rendre visible davantage. Donc, en fait, je me concentre beaucoup plus sur ce qui est en mon pouvoir, en fait, qui enlève une énorme... personnellement qui m'enlève une énorme pression en fait qui fait ok qu'est ce que moi je peux faire qu'est ce qui est mon pouvoir et c'était pareil en fait et à chaque fois on revenait à ça même quand on parlait de par exemple aller aborder une femme dans la rue qu'est ce qui est mon pouvoir en effet si mon objectif c'est avoir son numéro je vais fois la pression et je vais je vais je vais commencer à mentaliser et donc qu'est ce que je dois dire etc parce qu'en fait c'est pas mon pouvoir alors que si je me dis juste, mon intention c'est juste de connecter et d'apprendre à mieux la connaître d'un coup en fait, toute la pression tombe et en fait ça devient beaucoup plus facile d'y aller et après peu importe le résultat, parce que ça, ça lui appartient c'est-à-dire que moi en fait, je suis drivé par mon envie et j'y vais avec mon envie, avec cette intention je vis l'expérience et après peu importe en fait, le reste ça lui incombe à elle Et ça lui appartient. Et du coup, que ce soit, encore une fois, dans tous les domaines, sur le relationnel, que ce soit dans le business ou dans les relations, ça m'a enlevé beaucoup de lourdeur aussi, de pouvoir reconnecter à ça.

  • Speaker #1

    Et tu disais être visible. J'ajouterais un détail, c'est être visible par les bonnes personnes. Parce que c'est ça qu'on a travaillé aussi ensemble, par rapport à l'aspect visibilité.

  • Speaker #2

    Exactement. Et ça du coup, les bonnes personnes c'est encore une fois revenir à soi et savoir qui tu as envie d'attirer, qui tu n'as pas envie d'attirer, qui est-ce que tu kiffes accompagner, etc. Et le dernier point qui est très fort, il y a ces trois gros points qui m'ont vraiment, qu'aujourd'hui je mets beaucoup d'intention là-dessus, mais ça se rejoint sur l'intentionnalité, c'est avec quel espace tu agis. C'est vraiment ce truc de tout est neutre. C'est ce que j'avais appris avec Mastery. C'est tout est neutre, très bien. Mais en fait, tout est neutre. Tu peux tout faire, tout est possible. Mais dans quelle est ton intention et dans quelle énergie tu y vas ? Est-ce que là, tu y vas dans un espace de manque et de peur de ne pas obtenir ? Ou est-ce que tu y vas dans un espace d'envie d'expérimenter et d'inspiration ? Ouais. Et ça change tellement de choses. Pareil, de revenir à ça, en fait. Et on peut reprendre exactement les mêmes exemples, parce que ça se rejoint. Tu vas aborder une femme dans la rue. Est-ce que tu y vas avec la peur du manque, de ne pas obtenir, etc. ? Donc là, tu es tourné sur le résultat, sur quelque chose qui ne t'appartient pas, sur quelque chose qui est à l'extérieur. ou est-ce que tu y vas avec l'intention, juste l'envie d'expérimenter, parce que tu es inspirée et parce que ça te fait envie ? En soi, l'action est la même, mais l'énergie et l'intention derrière sont totalement différentes.

  • Speaker #1

    Et ça vibre différemment même en interaction avec l'autre personne.

  • Speaker #2

    Oui, exactement. Et j'ai pu le voir, parce que du coup, je suis allé aborder des femmes avec les deux énergies, je suis allé parler à des personnes... que j'avais envie d'accompagner ou même du coup des personnes à coacher etc avec les deux énergies différentes et j'ai pu voir du coup la différence dans le résultat qui n'a rien à voir en fait c'est très différent.

  • Speaker #1

    Ok en quoi c'est différent ?

  • Speaker #2

    Dans la première tu as de l'amertume c'est-à-dire si tu vas avec la peur de manquer de ne pas obtenir en tout cas moi c'est ce que C'est ce que j'avais, ressentiment, amertume. Et du coup, derrière, je devais aller rééquilibrer ça à chaque fois. Et ça demandait une forme de travail. Alors qu'en fait, dans l'autre énergie, rien en fait. Je n'ai pas besoin d'y revenir.

  • Speaker #1

    C'est fluide. Et ça ne prend pas d'espace ni de charge mentale.

  • Speaker #2

    Et c'est marrant. Ça ne veut pas dire que la peur n'est pas là. La peur est toujours là, en fait. mais tu la vis très différemment en fait, et tu la vois plus comme un frein. Exactement. Elle est là parce qu'elle est là. C'est ça. Elle fait partie de toi aussi. Ouais. Mais… Mais en tout cas, tu la vis très différemment. Et ouais, je le vois, en fait. Je sais qu'on avait pas mal travaillé ça, mais c'était ça. Je vais aborder une femme dans la rue. Quand j'y allais avec la peur de manquer et tout, après l'avoir abordée, si elle me disait non, je me posais un million de questions sur pourquoi elle m'a rejetée, pourquoi machin, pourquoi truc et tout. Et je commençais à mentaliser, à me faire toutes ces histoires que je me raconte, alors que je n'aurais jamais la réponse. Et en fait, je me souviens qu'un jour, tu m'avais répondu. Mais on s'en fout, en fait. Et c'est vrai que j'étais là en mode, mais ouais c'est vrai qu'on s'en tamponne et en fait c'est pas important. Et quand après j'ai réussi à juste me détacher de ça, changer mon énergie, aller avec une intention différente, en fait elle répond qu'elle est en couple, bah c'est pas grave. Et même si c'est faux, que ce soit vrai, en fait on s'en fout. J'y suis allé, j'ai fait ce que j'avais envie, j'ai expérimenté ce que j'avais envie d'expérimenter et je passe à autre chose en fait. Et c'est rien, c'est pas grave. Donc, ouais, c'est très différent. Très différent.

  • Speaker #1

    Est-ce que le fait que je sois cash et que j'aille droit au but, ça t'a surpris ou choqué ? Parce que je sais que ça peut surprendre. C'est assez paradoxal avec la douceur que j'émane. On m'a déjà fait ce bac.

  • Speaker #2

    Non, moi, j'adore. Moi, j'adore. Et consciemment ou inconsciemment, de toute façon, je pense que consciemment ou inconsciemment, c'est ce que je venais chercher. Mais c'est les deux encore une fois. Pour moi, encore une fois, c'est ma vision des choses, mais un bon accompagnant, c'est un accompagnant qui accepte et qui assume l'entièreté de qui il est et de ses parts. Et donc il y a une part de douceur, de care, de tout ça, et une part aussi de challenge, d'assertivité, etc. Et du coup, de toute façon, c'est une danse entre les deux en fait. C'est pas l'un ou l'autre. Et du coup... Il y avait des moments où en effet, ça me piquait, ça me challengeait. Mais justement, pour moi, je savais que c'était précisément que tu étais au bon endroit. Donc non, moi, j'aimais beaucoup ça.

  • Speaker #1

    Quand j'étais salariée, mes collègues se foutaient de ma gueule. Ils disaient que j'avais une main de fer dans un gant de velours.

  • Speaker #2

    Mais c'est ça, c'est exactement ça.

  • Speaker #1

    Mais il faut être prêt. J'ai beaucoup de clientes qui me disent qu'il faut être prêt à être accompagné par toi parce que tu nous chahutes quand même pas mal. Tu nous fais sortir de notre zone de confort. On se sent dans l'inconfort à plusieurs reprises quand tu nous parles. Donc, qu'est-ce que tu en penses, toi, de ce genre de feedback ?

  • Speaker #2

    De ma perception, c'est une bonne nouvelle. Ça veut dire qu'elle progresse. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que tu viens chercher ça.

  • Speaker #2

    Oui, parce que tu ne progresses pas que dans le confort. Tu peux progresser dans les deux, mais il y a des moments où, encore une fois, tu auras besoin de care, de douceur. Il y a des moments où tu auras juste besoin de l'opposer.

  • Speaker #1

    Oui. Et tu sais, toi, tu es projecteur et la stratégie du projecteur, c'est d'attendre l'invitation. Qu'est-ce que tu en penses, toi, par rapport à comment je t'ai accompagné en tant que projecteur ? Sachant que je ne t'ai pas toujours invitée à rester et à attendre, et au contraire, à prendre plus de responsabilités, à prendre plus ta puissance, ton pouvoir, à reprendre ton pouvoir et à agir.

  • Speaker #2

    Alors, après, c'est sûr, si tu te dis attendre l'invitation, c'est rien faire. Attirer à personne, j'ai encore vu personne attirer des gens juste en attendant. Pour moi, en tout cas, j'ai aussi une ligne 4 qui est d'expérimenter. Et j'ai aussi des envies qui étaient de connecter davantage avec des personnes en réel, notamment des entrepreneurs. Donc en fait, c'est tout un ensemble. Et en fait, c'est plus, ce que je vois, c'est plus... il y a quand même une mise en mouvement, il y a quand même me rendre visible. Encore une fois, sous la forme la plus juste et inspirante pour moi, qui à ce moment-là aussi, il y avait cette partie connectée en réel, où j'ai essayé plusieurs cohorts, j'ai trouvé celui qui me convenait, je suis allé connecter avec des gens, et c'était challengeant. Et après, c'est plus expérimenter, se mettre en mouvement, se rendre visible, peu importe la manière. Et après, comme tu le disais tout à l'heure...... Comment dire ? C'est là en fait, c'est après ça que je...

  • Speaker #0

    Il y a une partie susciter l'intérêt et attendre l'invitation, mais il y a quand même une partie pour moi avant qui est susciter l'intérêt en se rendant visible, en échangeant, en connectant, peu importe la manière, soit online ou... Oui,

  • Speaker #1

    parce que j'ai une vision qui n'est pas forcément commune à mes autres consœurs et confrères qui enseignent le HD. Sachant que moi, je ne l'enseigne pas. Je coache en m'appuyant sur cet outil, mais je ne l'enseigne pas. En tout cas, pas sous une forme classique. Dans le mastermind, je l'enseigne. sous plusieurs formes. Mais en fait, de ma perception, les projecteurs, vous êtes invités à vous reconnaître vous, en tant qu'individu et dans votre pleine puissance, pour que les autres puissent vous reconnaître ensuite. Et c'est aussi ce travail de visibilité, d'être à la lumière des projecteurs, apprendre à recevoir le mérite. On a aussi travaillé un petit peu ça, apprendre à recevoir, célébrer. reconnaître le parcours, etc. C'est aussi comme ça que j'accompagne les projecteurs à se reconnaître, à prendre plus de pouvoir là où ils ont envie d'en prendre et de ne pas subir les événements extérieurs et ce qui se passe autour d'eux. C'était un peu ma vision de toi, Kevin, comment tu peux être visible par les bonnes personnes, mais pas chercher leur reconnaissance que ce soit avec les femmes ou avec les clients, mais plus montrer ce que toi, Comment tu as envie d'aider les gens ? Comment tu as envie de connecter ? Qu'est-ce qui t'inspire ? Et ensuite, si ça résonne avec eux, qu'eux viennent faire le pas vers toi en disant Écoute, ce que tu as dit, ça résonne. Est-ce que c'est possible de travailler ? Donc, c'est plus sous cet aspect-là, avec beaucoup de nuances qu'on a travaillées ensemble, que ça t'a paru fluide ou c'était contre-intuitif ?

  • Speaker #0

    Non, non. Moi, je l'ai vécu de manière fluide. Oui, il y avait des challenges. Oui, j'avais des peurs. Oui, évidemment, il y a tout ça. Mais... c'était quand même très fluide.

  • Speaker #1

    Et donc toi, tu as un profil 4-6 et une autorité splénique. Il y avait aussi le challenge d'écouter ton intuition. Ça a été assez challenging au début de savoir t'écouter parce qu'il y avait beaucoup de je dois notamment si on prend par Instagram. Je dois être régulier, je dois poster, je dois faire ci, je dois faire ça. Comment ? Comment tu décrirais cette expérience justement d'autorité splénique ?

  • Speaker #0

    Je pense que c'est la plus compliquée et que j'ai encore beaucoup de chemin à faire là-dessus. Parce qu'encore une fois, en effet, j'ai été beaucoup conditionné, déjà d'une, dans vraiment le passé quand j'étais salarié et tout. Comme on l'est un peu tous, c'est-à-dire il faut travailler dur, il faut travailler tendeur, etc. Donc il y avait aussi cette partie-là. Et plus les programmes business que j'ai suivis avant Mastery, avant tout ça, où c'était très injonctionnel. Donc pareil, ça me coupait de ça. Donc ouais, c'est vraiment un vrai chemin de réussir à, je dirais, couper le mental. minimiser le bruit du mental et du bruit extérieur pour pouvoir connecter du coup au splenique. Mais le chemin que j'ai fait et qu'on a fait ensemble est vraiment énorme déjà de ce côté-là.

  • Speaker #1

    Tu dirais que c'est quoi ta plus grosse transformation ou ton plus gros déclic pendant notre accompagnement ?

  • Speaker #0

    Plutôt en termes de compréhension, de manifestation, c'est-à-dire de concrétisation dans la matière, au plus de switch de mindset sur ce que j'utilise.

  • Speaker #1

    C'est plus toi, comment tu le ressens ? C'était quoi ton plus gros effet ?

  • Speaker #0

    Le plus gros effet waouh de l'accompagnement, c'est... Moi, vraiment, le plus gros effet waouh, c'est... Des fois, je prends un exemple concret, c'était vers la fin de l'accompagnement, où je m'étais dit, non mais là, il va falloir une séance entière pour faire ça, et encore, je ne sais même pas si on va libérer ça en une séance. Et on avait la séance le lendemain, je crois on avait la séance le... Bon, bref, je ne sais plus, le mercredi peut-être, et je t'envoie l'audio le mardi, en te disant, ça va nécessiter une séance entière, et on verra ça demain. mais je te pose ça là comme ça on prépare ça pour la séance et je sais plus on fait un échange de je sais pas deux messages et tu m'envoies un audio d'une minute trente et ça me débloque et en fait le lendemain on a parlé de totalement autre chose pendant la séance et en fait c'est ça la valeur ajoutée qui est énorme c'est à quel point Ouais, à quel point tu arrives à capter, à mettre de la clarté sur ce qui bloque. Et des fois, en un audio d'une minute trente, en fait, là où moi, j'étais là à me dire, il faudra au moins une séance d'une heure. En fait, tu libères.

  • Speaker #1

    Moi, je vais te partager ce qui m'a le plus touchée dans notre accompagnement. C'est la fois où on a travaillé sur... ta perception de ton corps. Ça m'a beaucoup touchée. Je n'ai pas regardé le replay, mais de te voir te libérer et où tu m'as dit, c'est bon, la photo, je la supprime. Là, j'ai fait, waouh, c'est fou. En fait, ce qui vient de se passer, c'était ouf. Ça a chiffré du tout au tout.

  • Speaker #0

    C'est vrai qu'on n'en a pas trop parlé. On a beaucoup plus parlé le côté... relation aux femmes et relation business, mais on a aussi fait une grosse partie sur le corps et en soit il y avait aussi un énorme lien avec la relation aux femmes etc et ouais et c'est vrai que sur le rapport au corps aussi il y a eu un sacré switch et notamment cette séance en effet c'était assez ouf et j'avais déjà beaucoup beaucoup avancé là-dessus. Je ne sais pas si c'est un travail qu'on peut vraiment finir un jour, le rapport au corps, c'est toute une question, mais ça m'avait vraiment... En fait, me dire que je le vois tellement en changement dans comment je consomme le contenu, par exemple. C'est-à-dire qu'en fait, aujourd'hui, je continue de suivre, parce qu'en fait, je trouve ça tellement... inspirant et impressionnant les bodybuilders de haut niveau parce qu'en fait ils vont dans des états avant une compétition c'est tellement dur pour le corps ce qu'ils font et du coup je trouve ça assez inspirant et tout mais du coup quand je les voyais sur les réseaux je me comparais énormément à eux j'étais vachement dans la comparaison j'aimerais bien avoir ce corps etc et après cette séance en fait c'est ouf parce qu'en fait je continue à regarder ce contenu mais je me comparais plus du tout. Et aujourd'hui en fait, il y avait du coup la Mister Olympia qui est la compète internationale la plus connue et tout dans ce domaine là il y a une ou deux semaines. En fait j'ai pu suivre cette compétition mais sans me comparer, sans quoi que ce soit en fait, j'étais juste là en mode c'est inspirant et ouais c'est juste c'est inspirant quoi. Et en fait, encore une fois, l'action était la même. Finalement, l'action est la même. C'est-à-dire que je suis ces gens, mais le ressenti, l'énergie derrière n'a rien à voir. Oui.

  • Speaker #1

    Et je ne sais pas si je te rappelle, tu m'avais dit même, je me suis désabonnée de ces personnes parce que ça n'arrêtait pas de me mettre dans les suggestions d'explorer d'autres comptes et ça commençait à me challenger, à me trigger. Et donc, je t'ai dit, en fait, allons changer cette énergie-là. Et c'est dommage que tu ne suives plus ces personnes qui t'inspirent parce que l'exploreur te soumet des recos qui viennent te challenger.

  • Speaker #0

    Oui, du coup, j'avais envie, mais parce que je me comparais, ça me créait de la souffrance, donc je me désabonnais. Mais du coup, c'est une fuite.

  • Speaker #1

    Oui, exactement.

  • Speaker #0

    Et du coup, tu ne règles pas vraiment le problème. tu mets quelque chose dessus, tu mets un torchon dessus, ou un chiffon dessus.

  • Speaker #1

    Ce que j'aime bien dire, c'est qu'on met le caca sous le tapis, on le cache, on n'a pas besoin de le traiter puisqu'on ne le voit pas.

  • Speaker #0

    Oui, mais il est toujours là.

  • Speaker #1

    Mais ça, c'était une belle libération. Et en fait, ce qui m'a touchée, ce n'est pas le fait qu'on ait shifté ça pendant une séance, c'est de voir comment ça t'avait fait shifter d'énergie. Parce que ce n'était pas la première fois qu'on parlait de ton rapport au corps. Et qu'en fait, après cette séance, tu ne m'as plus parlé du corps. Alors qu'on a passé quand même plusieurs séances dessus. Et après ça, en fait, ce n'était plus un souci pour toi. Et on a shifté sur des sujets beaucoup plus business. D'ailleurs, le dernier mois qu'on a fait d'accompagnement, tu m'as demandé à ce que je te mentore sur le business. Et on n'a plus parlé du corps. On a parfois parlé des connexions. Mais alors le corps, on n'a plus abordé le sujet.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai.

  • Speaker #1

    Alors que le début de l'accompagnement, tu es venu avec vivre de mon activité, trouver une femme avec laquelle relationner et mon problème avec ma vision du corps.

  • Speaker #0

    Oui, c'est vrai que ça, je n'en ai pas reparlé. Et puis même aujourd'hui, ça change tout le rapport. C'est-à-dire que j'ai une valeur bouffe que je n'assumais pas. Avant même de venir à toi, j'avais un TCA que j'avais depuis 12 ans et que je n'avais même pas conscientisé, que j'avais déjà commencé à libérer. Mais là, vraiment, je le vois là où avant c'était vraiment un soir, le week-end, où je peux me faire plaisir et machin et tout. Là, maintenant, si je regarde la semaine dernière, le mardi, je vais faire une pâtisserie pour célébrer un client. Le jeudi soir, je vais au resto avec une amie coach. Et puis le samedi soir... je vais au resto pour la nif de ma grand-mère quoi. Et puis je suis pas là à culpabiliser à chaque fois.

  • Speaker #1

    Ouais et à chaque fois c'est pour célébrer, connecter avec des gens que tu apprécies, avec toi-même, que ce soit toi-même ou des personnes que tu apprécies et où tu as savouré pleinement le moment présent sans honte ni culpabilité.

  • Speaker #0

    Ouais ouais c'est ça. Là où avant je m'en serais voulu, je disais non tu déconnes Kevin, tu peux pas manger une pâtisserie en semaine, tu peux pas aller deux fois au resto. Alors que là c'est...

  • Speaker #1

    ça libère.

  • Speaker #0

    Oui, tu t'autorises un peu plus à vivre, tout simplement, dans ce qui est important pour toi.

  • Speaker #1

    Tu dirais que, comment tu décrirais les changements que tu as vécu pendant l'accompagnement, que ce soit dans ta vie ou dans ton business concrètement, c'est quoi l'avant-après, si tu devais résumer ?

  • Speaker #0

    Alors concrètement...

  • Speaker #1

    Parce que dans les ressentis, c'est hyper subtil. Et je pense que toi, tu le sais parce que tu le vis. Mais si quelqu'un qui n'a pas suivi nos séances ne voit pas trop de quoi on parle, comment tu lui résumerais ça ?

  • Speaker #0

    Donc plus concret en termes d'action et résultats dans la matière. Oui.

  • Speaker #1

    Parce que les gens, c'est comme ça qu'ils comprennent. Là, tu le sais subtilement.

  • Speaker #0

    Bien sûr. C'est très simple. Alors, niveau business, J'acceptais tout le monde. C'est-à-dire que j'étais que dans la peur du manque. Et j'acceptais tout le monde et je m'adaptais à tout le monde. Et tant qu'on pouvait me donner de l'argent, tout le monde était le bienvenu. C'était littéralement ça. Et du coup, j'ai été beaucoup plus, comment dire, une forme de, encore une fois, définir ce que je veux, ce que je veux vraiment, ce dont j'ai envie, ce dont je n'ai pas envie, etc. Et aujourd'hui, j'accompagne mes premiers clients. J'ai fait un lancement à zéro vente, mais ça ne m'a rien fait émotionnellement. Parce que pareil, j'avais déjà été checker les bénéfices qu'il y ait zéro vente. Donc en fait, c'est vraiment avancer avec beaucoup moins d'émotionnel et de souffrance. Parce que tu apprends à gérer tout ça beaucoup mieux. Et en fait, je fais un premier lancement à zéro vente, mais juste derrière, je passe à la suite. Je me dis, en fait, c'est normal, c'est parce que je viens de créer une offre pour moi, mais pas pour mes clients de rêve. Donc, en fait, je me réadapte, je me réajuste. Et puis, en fait, derrière, je ne sais pas, quelques semaines plus tard, j'envoie un message tout fait, qui est bien écrit, mais c'est un message tout fait, en fait. WhatsApp à cette personne de ma communauté WhatsApp. que je voulais vraiment accompagner, c'était vraiment mes clients de cœur, je leur envoie un message en disant, voilà, je respawn, il y aura ça dedans, est-ce que ça résonne ? Et aussi simplement que ça, il y a deux personnes qui rejoignent, et aujourd'hui, j'accompagne deux de ces personnes sur six mois. Donc, je dirais que c'est mes premiers clients de cœur que je kiffe. Vraiment, quand je vais en séance avec eux, je... pressé d'avoir les séances avec eux je suis vraiment tu es dédié à eux parce qu'en fait j'adore les accompagner à un prix qui est juste pour moi donc un tarif qui était juste pour moi enfin voilà donc c'est vraiment passé de j'accepte tout le monde à je sais ce que je veux je sais qui je veux et et du coup la jambes voilà j'en suis à j'en suis là ensuite a vraiment accompagné

  • Speaker #1

    Il faut dire que quand on a commencé l'accompagnement, tu n'étais pas en joie d'accompagner certaines personnes. C'était même difficile avec certains. Et je me rappelle que tu adaptais même en fonction du budget des gens.

  • Speaker #0

    J'adaptais le budget, j'adaptais le temps, j'adaptais tout. Et en fait, c'était…

  • Speaker #1

    Quand tu repenses, c'était… Non,

  • Speaker #0

    mais c'est sûr.

  • Speaker #1

    C'était ok, quoi.

  • Speaker #0

    Je ne fais plus ça aujourd'hui. Ça, c'est sûr. Et... Donc il y a cette partie là, il y a aussi la partie évidemment connexion en présentiel, quand je suis venu à toi, donc il y a la partie création de communauté aussi, encore une fois comme on disait tout à l'heure, donc j'ai créé une communauté WhatsApp où il y a sur les 110 personnes que j'avais coachées, il y en a 50 qui l'ont rejoint, j'ai fait des coachings de groupe, j'ai commencé à créer du contenu écrit, du contenu audio pour devenir de plus en plus à l'aise à la création de contenu, ce qui fait qu'aujourd'hui j'ai basculé sur Instagram, je me sentais prêt. Donc il y a cette partie là, il y a la partie client, donc ces deux clients. Il y a aussi la partie Instagram d'ailleurs, je me suis lancé il y a trois semaines. Donc là je suis encore en train d'expérimenter, mais c'est beaucoup plus fluide. Je suis en train de trouver ma patte, tester tous les types de contenus, voir ce que j'aime faire, voir ce qui est fluide, voir ce que j'aime moins, etc.

  • Speaker #1

    Sachant que quand tu as rejoint mon accompagnement, tu étais très bloqué pour poster. Je précise parce que les gens, s'ils t'entendent, ils ne connaissent pas le contexte, ils disent je ne vois pas la transformation Tu n'arrivais pas à poster du tout.

  • Speaker #0

    Ah oui, je ne postais pas. J'étais incapable de poster. Non, c'est un énorme switch. Ah, j'avais une dernière chose. Le coworking, c'est ça. En fait, le coworking, pareil, j'avais peur d'aller dans des co-works, j'avais peur de tout ça. Et en fait, j'ai testé cinq co-works différents. J'en ai vraiment trouvé un qui résonnait, où je me suis dit, c'est ce co-work. C'était vraiment intuitif, là, c'était très fort. Puis je me suis inscrit, et là, j'ai commencé à connecter avec des gens, etc. Donc, prendre des cafés, etc. Donc, vraiment, ce truc de relation humaine, en fait. que j'avais perdu en étant toute la journée devant mon écran, mon PC et tout. Et que là, j'avais besoin de reconnecter avec de l'humain, des entrepreneurs notamment, de tout type. Parce que du coup, il y a petites startups, gros startups, solopreneurs, etc. Donc, ça ouvre le champ des possibles, etc. Et puis,

  • Speaker #1

    dépasser... Il faut dire que quand tu as rejoint l'accompagnement, tu étais aussi challengé par le budget que le cohort pouvait représenter. Et que tu as rejoint un cowork qui te demandait un engagement déjà de deux mois, si je me rappelle bien.

  • Speaker #0

    Oui, oui, oui, exactement.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait aussi cette peur de manquer d'argent qui a shifté aussi de revenir à soi, son intention, avoir peur, mais pas connecté au manque dans tes actions et d'aller chercher plus grand. Et donc, tu as dépassé ta zone de confort en investissant tes ressources dans ce type de choses, dont le cowork.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. De toute façon, la peur du manque, c'était dans tous les domaines. C'était aussi avec les femmes. Elle était partout et aujourd'hui, elle n'est plus là. Ou alors, si elle est là, encore une fois, je la sens beaucoup moins et je l'adjère.

  • Speaker #1

    Tu reviens facilement dans ton alignement parce que c'est normal d'avoir le genre de pensée de toi qui aimes les pâtisseries. Ce n'est pas des pâtisseries qui sont peu chères, c'est des pâtisseries qui sont quand même haut de gamme. Et c'est aussi ça, je me rappelle, de t'autoriser. à dépenser tant de budget dans une pâtisserie alors que tu ne générais pas encore les revenus que tu voulais. C'est en fait apprendre à se faire plaisir aussi, même si tu n'es pas encore là où tu voudrais, au niveau de ton chiffre d'affaires, réintégrer la notion de plaisir quotidiennement.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et en effet, pour moi, c'est ça. C'est en fait qui j'ai envie d'incarner et qu'est-ce que je veux permettre à mes clients. Mes clients, ils s'autorisent. justement à se faire des plaisirs et à vivre aujourd'hui et pas quand ils feront x ou y récif d'affaires mais en fait si je veux que mes clients s'autorise ça c'est pas le dire et pas le faire c'est l'incarner appartement où je l'incarne dans ma vie moi là je peux je peux prétendre et je peux commencer à dire je vous permet ça mais moi je le fais c'est pas ce que je dis fait pas ce que je fais c'est je l'incarne

  • Speaker #1

    C'est très ligne 6, ça je précise, parce qu'il y a des personnes qui n'ont pas de problème à transmettre des choses qu'ils n'incarnent pas. Mais en ayant une ligne 6, c'est quelque chose qui est très important pour nous, parce que moi aussi j'ai une ligne 6, d'incarner ce qu'on transmet à nos clients. Et à ma fille, par exemple. C'est important que quand je dis quelque chose à ma fille, je l'incarne aussi. Et ça, c'est très ligne 6 en HD. Il y a d'autres personnes qui ont des lignes 5, par exemple, qui ne ressentent pas de charge. à dire aux gens ce qu'ils doivent faire et qu'eux ne l'appliquent pas dans leur propre vie, par exemple.

  • Speaker #0

    Ok, intéressant. Merci pour la nuance. Avec plaisir.

  • Speaker #1

    Donc, il y avait ça, cette notion de plaisir dans ton quotidien, de t'autoriser. Je précise qu'on ne met pas en danger ta santé financière et ton ressenti d'insécurité, c'est juste qu'on va shifter ta perception pour que... Ces plaisirs-là viennent te nourrir et ne te mettent pas en PLS dès que tu commences à les honorer.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Et il y a aussi, évidemment, une part qu'on a faite qui m'a aussi beaucoup aidé. D'une, avec les shifts, comment dire, tous les shifts qu'il y a eu, déjà, il y a je m'autorise à vivre aujourd'hui et en fait je trouverai des solutions En tout cas, aujourd'hui, je suis vraiment dans ce truc de je trouverai des solutions Oui,

  • Speaker #1

    en faisant. Et tu l'as fait. À chaque fois que tu as fait, tu as avancé, tu as trouvé des solutions, tu t'es ouvert à d'autres choses, tu as été de plus en plus audacieux dans ce que tu faisais. Et en fait, plus tu le faisais, plus ça devenait fluide.

  • Speaker #0

    Oui, c'est ça. Il y a vraiment ce shift-là qui aide aussi beaucoup. Après,

  • Speaker #1

    tu t'es jugé aussi pour aimer les jeux vidéo. Je me rappelle d'une période où tu me disais, en ce moment, je joue beaucoup aux jeux. je ne suis pas hyper alignée avec ce que je suis en train de faire. Et en fait, c'est vraiment t'apporter beaucoup plus d'amour et de compassion à toi-même.

  • Speaker #0

    Oui, en fait, il y avait toute une partie que j'avais réprimée dès que je suis devenu entrepreneur. Il y a toute une partie que j'ai réprimée. Oui. Dans les jeux vidéo. C'était un peu en mode... Non, mais maintenant, il faut être sérieux. Tu es entrepreneur, tu ne peux plus être un gamin qui joue aux jeux vidéo. Et du coup, j'avais dégagé ça, en fait, tout simplement. Oui. En effet, il y a tout ça. Et ça, c'était sur la partie business, du coup, donc énorme. Le coworking, les connexions, les clients de rêve que j'ai commencé à accompagner, le lancement sur Instagram avec plein d'essais sur des types de contenus, etc. Donc, oui, beaucoup de choses. Ça, c'est la partie business. Partie rapport au corps, santé rapport au corps, on en a déjà parlé, mais c'est vraiment ce switch de... je me compare énormément, je me minimise, je me sens jamais assez, il faudrait que je sois plus comme ça, et du coup, en plus, je réprime toutes mes valeurs importantes pour moi à côté, qui est la valeur bouffe, et qui souvent est reliée en plus à la valeur connexion, donc forcément, ça crée beaucoup de souffrance, juste parce que j'ai des attentes sur un physique, et une perception plutôt biaisée, etc. Donc ça crée pas mal de... Donc il y a toute cette partie-là, toute cette partie-là, qui a changé. Encore une fois, dans la matière, qu'est-ce que ça a changé ? Juste, je continue de faire du sport, je continue de faire attention à ce que je mange, c'est toujours important pour moi, mais je ne me mets plus autant de pression et je vis beaucoup mieux les choses et je ne me juge plus, tout simplement. Donc il y a cette partie-là. Et après, sur la partie relation aux femmes, etc., je pense que ce qu'on a le... Je me dis sous en fait encore une fois cette question d'énergie où j'étais encore pas mal dans peur de manquer peur de pas avoir peur de finir ma vie seule etc il y avait beaucoup ce truc là qui aujourd'hui en fait n'est plus du fin voilà c'est plus là quoi c'est plus là et justement paradoxalement c'est ce qui me permet il ya une femme qui me plaît dans la rue je peux aller l'aborder il n'y a pas de problème Et Ouais en fait c'est juste, là le switch il s'est beaucoup joué au niveau énergétique, mais ouais si plus dans la matière en fait c'est ça. C'est qu'en fait je me mets plus la pression ou de deadline en me disant non mais là il faut que je trouve quelqu'un avant telle date, ou il faut que je sois en couple avant telle date, ou j'ai peur de finir tout seul. En fait non, j'adore mes journées, j'adore mon quotidien, je connecte déjà sur plein d'autres formes. qui, voilà, j'ai une grosse valeur famille, une grosse valeur amie. Et en fait, je ne me mets pas la pression et je prends mon temps, en fait. Et paradoxalement, parce que je ne me mets pas la pression, je ne puis pas le manque. Et donc, en fait, voilà, ça arrivera quand ça arrivera. Et je suis juste, ouais, mon flot, en fait.

  • Speaker #1

    En fait, l'enjeu a changé. Avant, il y avait beaucoup d'enjeux et c'est pour ça que tu avais beaucoup de pression. Et maintenant, l'enjeu est différent. C'est-à-dire que tu es toujours ouvert à rencontrer une femme, mais il n'y a plus cette pression qui va te mener à faire des actions complètement désalignées par rapport à qui tu es.

  • Speaker #0

    Oui, exactement. Je parle plus d'une intention qui est, encore une fois, une intention interne et pas un objectif avec un résultat externe. Oui, ok. Donc, l'énergie est différente.

  • Speaker #1

    Et si tu devais définir... En quelques mots, l'impact que cet accompagnement a eu dans ta vie, qu'est-ce que tu dirais à quelqu'un qui te poserait la question, qui ne te connaît pas ou qui te connaît mais qui ne se rend pas compte ?

  • Speaker #0

    C'est marrant, il y a un mot qui m'est venu en fait, c'est vraiment légèreté. Avant c'était lourd, il y avait beaucoup de souffrance, c'était épuisant en fait. Et là en fait le mot qui me vient c'est légèreté. C'est en fait, c'est plus léger dans tous tes domaines de vie. Tu juges moins sur ton corps, tu te mets moins la pression dans tes relations, tu te mets moins la pression dans ton business, donc c'est plus léger en fait. Tu vis ta vie, tu ne la mentalises plus tout le temps. Tu vis en fait.

  • Speaker #1

    Ça a quelle valeur pour toi, Kevin ?

  • Speaker #0

    S'il fallait mettre un chiffre dessus, ça n'en a pas. Ça n'en a pas en fait. Pour moi, c'est juste... Pour moi, ça n'a juste pas de valeur. S'il fallait mettre un chiffre dessus, je ne pourrais pas en mettre.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu arrives à retracer ton parcours et à voir ton cheminement depuis le début jusqu'à aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    Si je ferme les yeux, spécifiquement, pas forcément, mais je vois le début et le bout et c'est juste fou. C'est juste fou.

  • Speaker #1

    Si tu devais me recommander à quelqu'un qui hésite à sauter le pas, qui me connaît, qui se dit j'aimerais bien me faire accompagner par Julie, mais qui hésite un peu, qu'est-ce que tu lui dirais ?

  • Speaker #0

    Je lui dirais vas-y. Genre juste, si tu hésites, je lui dirais fonce quoi. Fonce et tu verras. De toute façon, tu n'auras pas les réponses avant d'y aller, mais juste fais-toi confiance, écoute-toi et vas-y.

  • Speaker #1

    Parce que je précise que toi, tu n'avais pas l'argent qui constituait l'investissement et que ça t'a beaucoup challengé cet investissement au niveau financier.

  • Speaker #0

    Oui, en effet, mais il y avait quelque chose de plus fort. Il y avait vraiment cette peur très mentale. de j'ai peur de manquer, très machin et il y avait un truc beaucoup plus fort à l'intérieur où il y avait vraiment ce truc de je sais en fait, je sens et je sais et c'est elle et je pouvais pas l'expliquer et en plus je me souviens très bien, c'était j'en parlais à ma mère j'étais dans la cuisine avec elle, je dis putain c'est fort ce truc, et puis je lui dis mais ça fait plusieurs jours que c'est là et en fait de jour en jour c'est de plus en plus fort en fait Et du coup, c'est ça. Et donc, en effet, il y avait cette peur très mentale de manquer, mais il y avait un truc plus fort à l'intérieur.

  • Speaker #1

    Parce que tu aurais pu te faire accompagner par un autre coach formé à l'équilibrage des perceptions qui t'aurait facturé moins.

  • Speaker #0

    Bien sûr, oui, évidemment. Mais non, je ne pense pas que ce soit quelque chose... c'est pas quelque chose vraiment... En fait, je peux dire je t'ai rejoint pour X ou Y, mais je pense qu'il y a aussi une part que je ne peux pas rationaliser. Oui. C'est-à-dire que, en fait, quand c'est venu la première fois, je ne pense pas que j'ai rationalisé en mode elle fait du HD, elle fait ci, elle fait ça. Vraiment, quand c'est venu la première fois, c'était juste un ressenti très fort. Oui. Et c'était juste une voix intérieure qui disait c'est elle.

  • Speaker #1

    Oui, et ça, c'est ce qu'on appelle l'autorité splénique. C'est la voix qui vient avant que ça vienne être filtré par le mental. Et donc, quand on entend cette voix, c'est là où on connaît la réponse. Après, on a notre libre arbitre de suivre ce qu'indique cette voix ou pas.

  • Speaker #0

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu aurais quelque chose à ajouter, Kevin ?

  • Speaker #0

    Non, juste merci. Juste merci pour tout, en fait. Je n'ai pas forcément les mots qui me viennent à part ça, mais merci.

  • Speaker #1

    Merci, Kevin, pour ta confiance. Ce n'était pas gagné d'avance, parce que je me rappelle que tu avais prévu de faire uniquement un mois.

  • Speaker #0

    finalement tu t'es laissé engrainer de moins en moins mais à la base tu m'as dit je fais juste un mois y'a pas de problème, fais juste un mois fais avec ce que tu peux, y'a pas de soucis et puis finalement on a fait un accompagnement complet donc merci pour ta confiance et puis bah je te dis de toute façon on se voit la semaine prochaine on va concrétiser ça dans la matière par une rencontre grâce, ça va être trop bien merci Kevin merci Julie

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode des Perles de Jade jusqu'à la fin. Les liens de celui-ci se trouvent dans les notes. N'oubliez pas de me rejoindre sur Instagram où mon pseudo c'est julie-ugs afin d'échanger et de me dire ce que vous en avez pensé. A bientôt pour un nouvel épisode !

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