Description
Des disparues de l’Yonne à l’épilogue de l’affaire Bonfanti, les juridictions pénales ont construit une jurisprudence retardant l’acquisition de la prescription de l’action publique des crimes contre les personnes. Avec une limite : la dissimulation d’un corps ne s’assimile pas à celle de l’infraction. Explications dans ce troisième épisode, avec Jean-Baptiste Thierry, professeur à l’université de Lorraine.
Invité : Jean-Baptiste THIERRY, professeur à l'université de Lorraine
Préparé et animé par : Maud LENA, Rédactrice en chef de l'AJ Pénal, Lefebvre Dalloz
Réalisé par : Angeline DOUDOUX & Jérémy Martin, Journalistes, Lefebvre Dalloz
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.


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