undefined cover
undefined cover
Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes cover
Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes cover
La gratuité de la vie en héritage

Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes

Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes

23min |02/05/2025|

1

Play
undefined cover
undefined cover
Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes cover
Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes cover
La gratuité de la vie en héritage

Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes

Grand- maman en action: souvenirs et redécouvertes

23min |02/05/2025|

1

Play

Description

Ce week-end, j’ai replongé dans l’univers des jeunes enfants en demandant a mon garcon de dormir a la maison avec sa blonde et ,ses enfants.Entre les réveils nocturnes, les bricolages explosifs et les estomacs sans fond, j’ai vite réalisé que la routine de grand-maman était bien plus calme d’habitude !  Un week-end rempli de rires, de souvenirs… et d’une grande sieste bien méritée une fois tout le monde parti ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, le titre, c'est Grand-maman en action, souvenirs et redécouvertes. Et bienvenue, bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon bagaille ! Je partage des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres, des moments de réflexion pour aider chacun de nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing. Bonne chose. Bon bagaille. Nous avons élevé les enfants à la campagne. Nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si vous avez des difficultés, que ce soit des difficultés financières ou relationnelles, c'est possible de passer à travers. Je vais vous parler de mon expérience ce week-end. que j'appelle un peu sportif en tant que grand-maman. Je vais vous parler de l'évolution du rôle de maman à grand-maman, l'accueil des enfants, les petits-enfants, la fin de semaine que j'ai eue, mouvementée un petit peu, puis les défis et les joies de grand-maman. Car ça faisait longtemps que je n'avais pas eu des petits-enfants à la maison, puis disons... que j'ai réellement été replongée dans l'univers des nuits agitées, du bricolage, j'appelle ça de la vie dans la maison, entre le rire, la fatigue, les souvenirs. Je vais vous partager cette expérience qui m'a fait réaliser à quel point le rôle de grand-maman c'est un doux mélange de plaisir et d'endurance. Comme je disais que ça faisait longtemps que je n'ai pas eu les enfants, parce que les enfants ont quitté la maison. Maintenant, ils sont rendus grands. L'âge minimum d'un de mes garçons, c'est 24 ans et ça varie dans la trentaine. Parfois, ils reviennent de temps en temps pour quelques jours à la maison, mais selon leur disponibilité. des fois selon les hauts et leurs bas de la vie. Ils ne sont plus avec leurs blondes, ils ne sont plus avec leurs chiens, ou quelle que soit leur période, leurs difficultés qu'ils ont. Ma maison est toujours ouverte pour les accueillir puisqu'il est un endroit où ils peuvent se ressourcer à la campagne, lire, se reposer. Ici, on est bien, je n'ai pas trop de voisins qui sont proches, sinon c'est très tranquille. Les enfants sont libres, ils sont autonomes. Puis maintenant, je n'ai plus besoin de courir à préparer les repas, les préparer pour l'école ou gérer les activités du quotidien. Par exemple, la seule chose que je leur demande lorsqu'ils viennent chez nous maintenant, c'est que la maison soit propre et surtout que ma vaisselle, je veux que mon comptoir soit propre et qu'il puisse faire la vaisselle. Et que ce week-end, j'ai vécu quelque chose de différent parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de jeunes enfants à la maison. La blonde de mon garçon a une petite fille de 3 ans et j'ai demandé s'il pouvait rester à dormir car j'avais... congé le lendemain et il y avait une activité aussi dans le village qui est pas loin de chez moi. J'ai même insisté pour que mon fils et sa blonde profitent de la matinée et qu'ils dorment un peu plus longtemps. Pour moi, c'était un plaisir de me retrouver seule avec les enfants. Quand les parents sont pas là, je crois que c'est une bonne chose. que la façon d'apprendre à connaître nos petits-enfants, c'est vraiment de passer du temps seul avec eux, sans les parents. Parce que moi, pour moi, je crois que les enfants, c'est très intelligent. Ils savent comment réagir. Ils savent qu'avec grand-maman, ils ne peuvent pas faire telle chose. Et avec maman, ils peuvent se permettre de faire les choses. Et ils savent aussi comment atteindre notre sensibilité. Au total, la maman, la maman de mon fils a décidé de rester. Elle avait deux jeunes enfants avec elle. Un enfant de 8 ans avec un ami, un ami, un voisin de sa fille de 8 ans. Et il y avait la petite fille de 3 ans qu'elle a eue tout récemment, 3 ans, en le mois de janvier. Et ils ont resté à la maison. C'est comme s'ils devenaient comme maman poule. Lorsqu'ils étaient couchés, j'étais un petit peu agitée. J'étais toujours alerte aux aguets. Je voulais toujours m'assurer que tout le monde allait bien, que personne ne manquait rien. La moindre bruit, je me réveillais. Même lorsque la petite se réveillait durant la nuit, je sais que les parents étaient là. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vérifier. Puis ça m'empêchait de dormir parce que je m'assurais tout le temps, est-ce qu'ils sont corrects, si je pouvais faire quelque chose pour aider la maman afin qu'elle puisse se reposer. Mais finalement, j'ai dormi. Dès le matin, j'entendais que les deux plus vieux étaient réveillés. Ça m'inquiétait moins. Mais c'est surtout quand la petite de trois ans s'est réveillée. Je n'étais pas à l'aise de la laisser découvrir les choses. En tant que maman protecteur, j'avais peur qu'elle puisse toucher à des choses. Et puis, en même temps, je voulais laisser la maman se reposer. Fait que je me suis... J'ai descendu en bas avec les enfants, j'ai préparé le petit déjeuner, j'avais du temps d'être avec eux, faire un petit peu de bricolage, qu'est-ce que les enfants avaient besoin pour jouer. J'ai sorti les crayons coloriés et faire des petites activités avec eux. J'avais un genre de petit cerceau, des petites choses à bricoler. J'ai eu le temps de faire la vaisselle et... C'est la papa pris beaucoup de temps que la maison, il y avait de la vie. La maison était sans dessous-dessous, comme on dit. Mais au moins, il y avait de la vie. Il y avait du bruit, des rires, de la joie. Puis moi, je pensais que... Ça me faisait penser des souvenirs d'autrefois, quand les enfants étaient plus jeunes, comme ça. J'ai toujours aimé être... Je suis une personne active, puis j'aime quand les enfants aussi sont actifs. Et à peine que j'ai eu le temps juste de finir la vaisselle, à peine que j'avais fini, là, puis là, j'entends grand-maman Léline, « J'ai encore faim, j'ai faim. » Là, j'étais comme « What ? » Oh là là ! Mais qu'est-ce qu'ils ont, ces enfants ? Il me semble qu'on dirait qu'il n'y a jamais de fond. Puis moi, j'ai des garçons, quatre garçons et une fille, et il me semble qu'ils avaient toujours, toujours faim. Aussitôt qu'on finissait de préparer à manger, ils mangent, et c'était toujours du plaisir en mangeant. Et ça m'a fait réaliser quelque chose. J'avais complètement oublié cette sensation. Parce que moi, en étant... J'ai eu cinq enfants, comme je l'ai dit. J'ai eu beaucoup d'enfants aussi que j'ai gardés avec moi à la maison. J'ai vécu avec tant d'années, avec une routine de maman toujours occupée. Je savais, à cette époque-là, c'est sûr que je ne savais pas le temps. C'était les activités pour les enfants, le soccer, la gymnastique, la danse, la musique. Non, même le papa et la maman, on ne chômait pas d'Alta. On était toujours très occupés. J'ai réalisé que j'avais complètement... oublier cette sensation. Parce que pour moi, dans cette période-là, Je ne savais même pas ce que c'était d'avoir du temps pour moi. Pendant des années, tout tournait autour des enfants, des activités de la vie quotidienne, l'école, les repas, les loisirs. Et même si le papa était impliqué, il travaillait beaucoup, mais dans la majorité du quotidien, il se reposait sur moi, la maman. Grâce à Dieu, j'ai eu la chance de rester à la maison pour élever les enfants. Même si on n'avait pas beaucoup d'argent, et on ne le dit pas assez, mais élever des enfants, c'est un travail immense. C'est un travail qui est non rémunéré, mais c'est tellement précieux. Aujourd'hui, en tant que grand-maman, je mesure à quel point ce rôle est complètement différent. On n'a pas la même responsabilité à temps plein. Je crois que c'est un petit bonheur à dose temporaire. Et ça me permet de mieux comprendre aussi ce que vivent les parents aujourd'hui. Je peux les encourager, les soutenir, leur donner espoir aussi, leur dire qu'ils vont y arriver, même quand c'est difficile. Je me rappelle quand j'ai eu mon premier petit enfant, j'ai toujours été sensible pour la maman. Je sais qu'est-ce que c'est d'être fatiguée, de manquer du temps pour soi. Et dans ce temps-là, pour moi, c'était qu'est-ce que j'étais capable de faire. C'était essayer comme d'aider, faire des petites choses. à ma façon de faire un petit peu la vaisselle, de donner un petit coup de main dans le ménage, garder le bébé pour qu'elle puisse se reposer, porter un petit repas. Parce que parfois, les petits gestes font toute la différence. J'ai vraiment réalisé comment, dans tout le brouhaha, avec les petits-enfants autour de moi, le plaisir que j'avais, que j'ai réalisé que quand les parents se sont réveillés, mon garçon et sa blonde, les enfants avaient faim. Je lui ai dit de faire encore un autre repas. C'était l'heure du brunch, parce que les parents pouvaient manger. Je pouvais déjeuner et j'ai fait aussi un repas pour les enfants. J'ai réalisé que je ne me suis même pas regardée dans le miroir. Je me suis levée, je me suis habillée et j'ai réalisé que je ne savais même pas à quoi je ressemblais. Je ne me levais pas coiffée, je ne m'avais pas crémée. Comme on dit, une expression québécoise, on dit « me pouponner » . Parce que moi, j'aime mettre mes petites boucles d'oreilles. En tant que grand-maman, vu que j'ai des plus enfants, j'avais plus le temps pour moi de prendre des petits soins quotidiens. De ma beauté, les cheveux, prendre une bonne douche, mettre des petites crèmes. Mais j'ai réalisé que je n'avais même pas eu le temps de le faire et ça faisait passer des bons souvenirs. On a réussi finalement à manger et je voulais participer à une activité qu'il y avait dans le village pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Nous sommes allés participer au carnaval d'hiver et il faisait tellement beau aussi. C'était vraiment une activité agréable. C'était un événement familial qui se passait à l'extérieur. Il y avait des glissades d'eau. Pas des glissades d'eau, excuse-moi, c'est l'hiver. On avait des glissades, avec des glissades comme sur la montagne. Il y avait des petits repas chauds à l'extérieur. Il y avait de la pêche sur glace aussi. Et des petits jeux pour enfants. Et j'ai pu participer avec eux autres, ça me faisait plaisir. Parce que ça me ramenait à mes souvenirs de jeune maman. Puis j'ai juste profité. du moment présent. Puis, par la suite, j'ai eu une autre idée. J'ai proposé aux parents de rester bien au chaud dans la voiture pendant que j'amenais les plus grands à leur faire découvrir la pêche sur la glace. Et puis, je voulais faire mon petit vidéo aussi. Ça fait que les enfants, ils ont pu me suivre. Et je me considérais vraiment une grand-maman chanceuse parce que les voir émerveillés, parce qu'ils ne connaissent pas le coin de ma région et comment ils ont réalisé. Par exemple, l'appel sur la glace. Là, j'expliquais en même temps les dangers de la glace, mais c'était une place sécuritaire parce qu'on pouvait aller en voiture, il y a la vérification. Et ça m'a pu faire un petit peu l'enseignement et puis leur voir le visage s'émerveiller. Et wow ! J'ai eu vraiment du plaisir et j'ai été les reconduire après à l'auto. Et pour vous dire que... Ils sont partis qu'après, je me suis dit, oh là là, j'ai pu savourer le repos tranquille, bien mérité. Et puis, c'est ça, c'est ça le plus beau rôle dans le rôle de grand-maman, c'est de profiter, profiter des moments de bonheur. avec les petits, avec nos grands aussi. Parce que moi, ça me fait toujours plaisir de voir mes enfants et en même temps de pouvoir récupérer les quels qui sont partis. J'espère que pour vous, je ne sais pas si vous avez vécu des situations similaires en tant que grands-parents. Partagez-moi vos anecdotes, ça me fait plaisir. J'ai aimé cette expérience ce week-end parce que ça m'a fait réaliser l'évolution du rôle de maman et de grand-maman. Parce qu'avant, en tant que maman, mon rite était beaucoup plus active, plus par rapport à l'éducation, les enfants, les activités, les loisirs. Puis maintenant, en tant que grand-maman, les enfants ne sont presque plus à la maison à temps plein. Pour moi, la maison, c'est beaucoup plus calme, plus reposé. J'ai plus du temps pour moi. Et le ménage aussi, c'est plus facile à entretenir la maison parce que ça bouge moins, il y a moins de déplacements dans la maison. Cette expérience m'a permis d'accueillir les enfants, puis mes petits-enfants aussi. Vu que ma maison, c'est une maison qui est ouverte, pour moi, c'est non seulement un espace de ressourcement, mais en même temps, c'est de se retrouver, de se retrouver comme à la campagne, retrouver l'énergie, les enfants. Et puis... En même temps, la différence entre élever ses enfants, l'énergie qu'on consacre, la fatigue aussi. Et maintenant, en ayant les petits-enfants, je ne les ai pas avec moi à temps plein. Ça fait que j'ai plus de patience. J'ai plus de patience et puis je suis capable de prendre plus de temps. temps de m'émerveiller juste pour voir leur épanouissement. Puis sentir le bonheur aussi, parce que quand j'ai mes enfants qui sont en couple, c'est bien de voir comment ils réagissent entre eux. Cette expérience ce week-end m'a montré que ... Ça m'a permis de retourner à mon réflexe de maman. C'est toujours être vigilante, être éveillée. Le moindre bruit et toujours savoir ce que je dois faire avant de toujours préparer. Comme par exemple les repas, il faut que j'ai les choses. déjà préparé d'avance, qu'est-ce qui peut faciliter les enfants. Le plaisir aussi, parce que la fin de semaine, pour moi, c'était de m'adapter. Parce que mon quotidien, entre mon quotidien de grand-maman qui est devenue beaucoup plus calme à la maison. et le quotidien qui change parce qu'il y a plus d'interactions, plus de vie. On peut plus s'en bouler, mais pour moi, c'est positif. Pour moi, ce n'est pas quelque chose de négatif. Pour moi, de voir le plaisir des enfants, de jouer, c'est beau à voir. Les défis que j'ai eus, les joies d'être grand-maman, pour moi, c'est soutenir les parents, alléger leur charge mentale et leur offrir le répit, le bonheur aussi. de transmettre à cette nouvelle génération, les voir grandir, mais la façon que je suis, comment que moi j'habitais avec mes enfants, que maintenant j'ai plus de temps avec eux. L'équilibre aussi, l'équilibre entre la bienféance, le besoin de prendre. de prendre soin de soi aussi, parce qu'en tant que grand-maman, on a plus de temps libre pour nous de prendre soin de moi et de profiter. Je termine en conclusion. C'est pour dire qu'être grand-maman, si vous avez la chance de le vivre, Pour moi, être grand-maman, c'est un rôle magnifique. On profite des enfants, on retombe dans nos souvenirs, on aide les parents. Et surtout, on peut récupérer une fois que tout le monde est parti. Nous, on peut récupérer pendant que les parents continuent chacun notre rôle. Ce week-end m'a rappelé à quel point le temps passe vite et combien ces moments sont précieux. C'est une réflexion sur la rapidité du temps qui passe aussi. Je souhaite encourager aussi les parents aujourd'hui. Les grands-parents aussi, l'importance de profiter de chaque instant, chaque étape de la vie. Et vous, si vous êtes grand-maman, racontez-moi si vous avez vécu une mission comme celle-là. Ou bien, en tant que parent, comment vous allez vous imaginer que vous allez être grand-parent ? J'ai hâte de partager. que vous partagiez ces petites anecdotes avec moi. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines et profiter des belles choses de la vie. Belles choses, good things, bons bagailles. Nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et c'est ce que je vous souhaite. À la prochaine, merci.

Description

Ce week-end, j’ai replongé dans l’univers des jeunes enfants en demandant a mon garcon de dormir a la maison avec sa blonde et ,ses enfants.Entre les réveils nocturnes, les bricolages explosifs et les estomacs sans fond, j’ai vite réalisé que la routine de grand-maman était bien plus calme d’habitude !  Un week-end rempli de rires, de souvenirs… et d’une grande sieste bien méritée une fois tout le monde parti ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, le titre, c'est Grand-maman en action, souvenirs et redécouvertes. Et bienvenue, bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon bagaille ! Je partage des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres, des moments de réflexion pour aider chacun de nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing. Bonne chose. Bon bagaille. Nous avons élevé les enfants à la campagne. Nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si vous avez des difficultés, que ce soit des difficultés financières ou relationnelles, c'est possible de passer à travers. Je vais vous parler de mon expérience ce week-end. que j'appelle un peu sportif en tant que grand-maman. Je vais vous parler de l'évolution du rôle de maman à grand-maman, l'accueil des enfants, les petits-enfants, la fin de semaine que j'ai eue, mouvementée un petit peu, puis les défis et les joies de grand-maman. Car ça faisait longtemps que je n'avais pas eu des petits-enfants à la maison, puis disons... que j'ai réellement été replongée dans l'univers des nuits agitées, du bricolage, j'appelle ça de la vie dans la maison, entre le rire, la fatigue, les souvenirs. Je vais vous partager cette expérience qui m'a fait réaliser à quel point le rôle de grand-maman c'est un doux mélange de plaisir et d'endurance. Comme je disais que ça faisait longtemps que je n'ai pas eu les enfants, parce que les enfants ont quitté la maison. Maintenant, ils sont rendus grands. L'âge minimum d'un de mes garçons, c'est 24 ans et ça varie dans la trentaine. Parfois, ils reviennent de temps en temps pour quelques jours à la maison, mais selon leur disponibilité. des fois selon les hauts et leurs bas de la vie. Ils ne sont plus avec leurs blondes, ils ne sont plus avec leurs chiens, ou quelle que soit leur période, leurs difficultés qu'ils ont. Ma maison est toujours ouverte pour les accueillir puisqu'il est un endroit où ils peuvent se ressourcer à la campagne, lire, se reposer. Ici, on est bien, je n'ai pas trop de voisins qui sont proches, sinon c'est très tranquille. Les enfants sont libres, ils sont autonomes. Puis maintenant, je n'ai plus besoin de courir à préparer les repas, les préparer pour l'école ou gérer les activités du quotidien. Par exemple, la seule chose que je leur demande lorsqu'ils viennent chez nous maintenant, c'est que la maison soit propre et surtout que ma vaisselle, je veux que mon comptoir soit propre et qu'il puisse faire la vaisselle. Et que ce week-end, j'ai vécu quelque chose de différent parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de jeunes enfants à la maison. La blonde de mon garçon a une petite fille de 3 ans et j'ai demandé s'il pouvait rester à dormir car j'avais... congé le lendemain et il y avait une activité aussi dans le village qui est pas loin de chez moi. J'ai même insisté pour que mon fils et sa blonde profitent de la matinée et qu'ils dorment un peu plus longtemps. Pour moi, c'était un plaisir de me retrouver seule avec les enfants. Quand les parents sont pas là, je crois que c'est une bonne chose. que la façon d'apprendre à connaître nos petits-enfants, c'est vraiment de passer du temps seul avec eux, sans les parents. Parce que moi, pour moi, je crois que les enfants, c'est très intelligent. Ils savent comment réagir. Ils savent qu'avec grand-maman, ils ne peuvent pas faire telle chose. Et avec maman, ils peuvent se permettre de faire les choses. Et ils savent aussi comment atteindre notre sensibilité. Au total, la maman, la maman de mon fils a décidé de rester. Elle avait deux jeunes enfants avec elle. Un enfant de 8 ans avec un ami, un ami, un voisin de sa fille de 8 ans. Et il y avait la petite fille de 3 ans qu'elle a eue tout récemment, 3 ans, en le mois de janvier. Et ils ont resté à la maison. C'est comme s'ils devenaient comme maman poule. Lorsqu'ils étaient couchés, j'étais un petit peu agitée. J'étais toujours alerte aux aguets. Je voulais toujours m'assurer que tout le monde allait bien, que personne ne manquait rien. La moindre bruit, je me réveillais. Même lorsque la petite se réveillait durant la nuit, je sais que les parents étaient là. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vérifier. Puis ça m'empêchait de dormir parce que je m'assurais tout le temps, est-ce qu'ils sont corrects, si je pouvais faire quelque chose pour aider la maman afin qu'elle puisse se reposer. Mais finalement, j'ai dormi. Dès le matin, j'entendais que les deux plus vieux étaient réveillés. Ça m'inquiétait moins. Mais c'est surtout quand la petite de trois ans s'est réveillée. Je n'étais pas à l'aise de la laisser découvrir les choses. En tant que maman protecteur, j'avais peur qu'elle puisse toucher à des choses. Et puis, en même temps, je voulais laisser la maman se reposer. Fait que je me suis... J'ai descendu en bas avec les enfants, j'ai préparé le petit déjeuner, j'avais du temps d'être avec eux, faire un petit peu de bricolage, qu'est-ce que les enfants avaient besoin pour jouer. J'ai sorti les crayons coloriés et faire des petites activités avec eux. J'avais un genre de petit cerceau, des petites choses à bricoler. J'ai eu le temps de faire la vaisselle et... C'est la papa pris beaucoup de temps que la maison, il y avait de la vie. La maison était sans dessous-dessous, comme on dit. Mais au moins, il y avait de la vie. Il y avait du bruit, des rires, de la joie. Puis moi, je pensais que... Ça me faisait penser des souvenirs d'autrefois, quand les enfants étaient plus jeunes, comme ça. J'ai toujours aimé être... Je suis une personne active, puis j'aime quand les enfants aussi sont actifs. Et à peine que j'ai eu le temps juste de finir la vaisselle, à peine que j'avais fini, là, puis là, j'entends grand-maman Léline, « J'ai encore faim, j'ai faim. » Là, j'étais comme « What ? » Oh là là ! Mais qu'est-ce qu'ils ont, ces enfants ? Il me semble qu'on dirait qu'il n'y a jamais de fond. Puis moi, j'ai des garçons, quatre garçons et une fille, et il me semble qu'ils avaient toujours, toujours faim. Aussitôt qu'on finissait de préparer à manger, ils mangent, et c'était toujours du plaisir en mangeant. Et ça m'a fait réaliser quelque chose. J'avais complètement oublié cette sensation. Parce que moi, en étant... J'ai eu cinq enfants, comme je l'ai dit. J'ai eu beaucoup d'enfants aussi que j'ai gardés avec moi à la maison. J'ai vécu avec tant d'années, avec une routine de maman toujours occupée. Je savais, à cette époque-là, c'est sûr que je ne savais pas le temps. C'était les activités pour les enfants, le soccer, la gymnastique, la danse, la musique. Non, même le papa et la maman, on ne chômait pas d'Alta. On était toujours très occupés. J'ai réalisé que j'avais complètement... oublier cette sensation. Parce que pour moi, dans cette période-là, Je ne savais même pas ce que c'était d'avoir du temps pour moi. Pendant des années, tout tournait autour des enfants, des activités de la vie quotidienne, l'école, les repas, les loisirs. Et même si le papa était impliqué, il travaillait beaucoup, mais dans la majorité du quotidien, il se reposait sur moi, la maman. Grâce à Dieu, j'ai eu la chance de rester à la maison pour élever les enfants. Même si on n'avait pas beaucoup d'argent, et on ne le dit pas assez, mais élever des enfants, c'est un travail immense. C'est un travail qui est non rémunéré, mais c'est tellement précieux. Aujourd'hui, en tant que grand-maman, je mesure à quel point ce rôle est complètement différent. On n'a pas la même responsabilité à temps plein. Je crois que c'est un petit bonheur à dose temporaire. Et ça me permet de mieux comprendre aussi ce que vivent les parents aujourd'hui. Je peux les encourager, les soutenir, leur donner espoir aussi, leur dire qu'ils vont y arriver, même quand c'est difficile. Je me rappelle quand j'ai eu mon premier petit enfant, j'ai toujours été sensible pour la maman. Je sais qu'est-ce que c'est d'être fatiguée, de manquer du temps pour soi. Et dans ce temps-là, pour moi, c'était qu'est-ce que j'étais capable de faire. C'était essayer comme d'aider, faire des petites choses. à ma façon de faire un petit peu la vaisselle, de donner un petit coup de main dans le ménage, garder le bébé pour qu'elle puisse se reposer, porter un petit repas. Parce que parfois, les petits gestes font toute la différence. J'ai vraiment réalisé comment, dans tout le brouhaha, avec les petits-enfants autour de moi, le plaisir que j'avais, que j'ai réalisé que quand les parents se sont réveillés, mon garçon et sa blonde, les enfants avaient faim. Je lui ai dit de faire encore un autre repas. C'était l'heure du brunch, parce que les parents pouvaient manger. Je pouvais déjeuner et j'ai fait aussi un repas pour les enfants. J'ai réalisé que je ne me suis même pas regardée dans le miroir. Je me suis levée, je me suis habillée et j'ai réalisé que je ne savais même pas à quoi je ressemblais. Je ne me levais pas coiffée, je ne m'avais pas crémée. Comme on dit, une expression québécoise, on dit « me pouponner » . Parce que moi, j'aime mettre mes petites boucles d'oreilles. En tant que grand-maman, vu que j'ai des plus enfants, j'avais plus le temps pour moi de prendre des petits soins quotidiens. De ma beauté, les cheveux, prendre une bonne douche, mettre des petites crèmes. Mais j'ai réalisé que je n'avais même pas eu le temps de le faire et ça faisait passer des bons souvenirs. On a réussi finalement à manger et je voulais participer à une activité qu'il y avait dans le village pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Nous sommes allés participer au carnaval d'hiver et il faisait tellement beau aussi. C'était vraiment une activité agréable. C'était un événement familial qui se passait à l'extérieur. Il y avait des glissades d'eau. Pas des glissades d'eau, excuse-moi, c'est l'hiver. On avait des glissades, avec des glissades comme sur la montagne. Il y avait des petits repas chauds à l'extérieur. Il y avait de la pêche sur glace aussi. Et des petits jeux pour enfants. Et j'ai pu participer avec eux autres, ça me faisait plaisir. Parce que ça me ramenait à mes souvenirs de jeune maman. Puis j'ai juste profité. du moment présent. Puis, par la suite, j'ai eu une autre idée. J'ai proposé aux parents de rester bien au chaud dans la voiture pendant que j'amenais les plus grands à leur faire découvrir la pêche sur la glace. Et puis, je voulais faire mon petit vidéo aussi. Ça fait que les enfants, ils ont pu me suivre. Et je me considérais vraiment une grand-maman chanceuse parce que les voir émerveillés, parce qu'ils ne connaissent pas le coin de ma région et comment ils ont réalisé. Par exemple, l'appel sur la glace. Là, j'expliquais en même temps les dangers de la glace, mais c'était une place sécuritaire parce qu'on pouvait aller en voiture, il y a la vérification. Et ça m'a pu faire un petit peu l'enseignement et puis leur voir le visage s'émerveiller. Et wow ! J'ai eu vraiment du plaisir et j'ai été les reconduire après à l'auto. Et pour vous dire que... Ils sont partis qu'après, je me suis dit, oh là là, j'ai pu savourer le repos tranquille, bien mérité. Et puis, c'est ça, c'est ça le plus beau rôle dans le rôle de grand-maman, c'est de profiter, profiter des moments de bonheur. avec les petits, avec nos grands aussi. Parce que moi, ça me fait toujours plaisir de voir mes enfants et en même temps de pouvoir récupérer les quels qui sont partis. J'espère que pour vous, je ne sais pas si vous avez vécu des situations similaires en tant que grands-parents. Partagez-moi vos anecdotes, ça me fait plaisir. J'ai aimé cette expérience ce week-end parce que ça m'a fait réaliser l'évolution du rôle de maman et de grand-maman. Parce qu'avant, en tant que maman, mon rite était beaucoup plus active, plus par rapport à l'éducation, les enfants, les activités, les loisirs. Puis maintenant, en tant que grand-maman, les enfants ne sont presque plus à la maison à temps plein. Pour moi, la maison, c'est beaucoup plus calme, plus reposé. J'ai plus du temps pour moi. Et le ménage aussi, c'est plus facile à entretenir la maison parce que ça bouge moins, il y a moins de déplacements dans la maison. Cette expérience m'a permis d'accueillir les enfants, puis mes petits-enfants aussi. Vu que ma maison, c'est une maison qui est ouverte, pour moi, c'est non seulement un espace de ressourcement, mais en même temps, c'est de se retrouver, de se retrouver comme à la campagne, retrouver l'énergie, les enfants. Et puis... En même temps, la différence entre élever ses enfants, l'énergie qu'on consacre, la fatigue aussi. Et maintenant, en ayant les petits-enfants, je ne les ai pas avec moi à temps plein. Ça fait que j'ai plus de patience. J'ai plus de patience et puis je suis capable de prendre plus de temps. temps de m'émerveiller juste pour voir leur épanouissement. Puis sentir le bonheur aussi, parce que quand j'ai mes enfants qui sont en couple, c'est bien de voir comment ils réagissent entre eux. Cette expérience ce week-end m'a montré que ... Ça m'a permis de retourner à mon réflexe de maman. C'est toujours être vigilante, être éveillée. Le moindre bruit et toujours savoir ce que je dois faire avant de toujours préparer. Comme par exemple les repas, il faut que j'ai les choses. déjà préparé d'avance, qu'est-ce qui peut faciliter les enfants. Le plaisir aussi, parce que la fin de semaine, pour moi, c'était de m'adapter. Parce que mon quotidien, entre mon quotidien de grand-maman qui est devenue beaucoup plus calme à la maison. et le quotidien qui change parce qu'il y a plus d'interactions, plus de vie. On peut plus s'en bouler, mais pour moi, c'est positif. Pour moi, ce n'est pas quelque chose de négatif. Pour moi, de voir le plaisir des enfants, de jouer, c'est beau à voir. Les défis que j'ai eus, les joies d'être grand-maman, pour moi, c'est soutenir les parents, alléger leur charge mentale et leur offrir le répit, le bonheur aussi. de transmettre à cette nouvelle génération, les voir grandir, mais la façon que je suis, comment que moi j'habitais avec mes enfants, que maintenant j'ai plus de temps avec eux. L'équilibre aussi, l'équilibre entre la bienféance, le besoin de prendre. de prendre soin de soi aussi, parce qu'en tant que grand-maman, on a plus de temps libre pour nous de prendre soin de moi et de profiter. Je termine en conclusion. C'est pour dire qu'être grand-maman, si vous avez la chance de le vivre, Pour moi, être grand-maman, c'est un rôle magnifique. On profite des enfants, on retombe dans nos souvenirs, on aide les parents. Et surtout, on peut récupérer une fois que tout le monde est parti. Nous, on peut récupérer pendant que les parents continuent chacun notre rôle. Ce week-end m'a rappelé à quel point le temps passe vite et combien ces moments sont précieux. C'est une réflexion sur la rapidité du temps qui passe aussi. Je souhaite encourager aussi les parents aujourd'hui. Les grands-parents aussi, l'importance de profiter de chaque instant, chaque étape de la vie. Et vous, si vous êtes grand-maman, racontez-moi si vous avez vécu une mission comme celle-là. Ou bien, en tant que parent, comment vous allez vous imaginer que vous allez être grand-parent ? J'ai hâte de partager. que vous partagiez ces petites anecdotes avec moi. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines et profiter des belles choses de la vie. Belles choses, good things, bons bagailles. Nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et c'est ce que je vous souhaite. À la prochaine, merci.

Share

Embed

You may also like

Description

Ce week-end, j’ai replongé dans l’univers des jeunes enfants en demandant a mon garcon de dormir a la maison avec sa blonde et ,ses enfants.Entre les réveils nocturnes, les bricolages explosifs et les estomacs sans fond, j’ai vite réalisé que la routine de grand-maman était bien plus calme d’habitude !  Un week-end rempli de rires, de souvenirs… et d’une grande sieste bien méritée une fois tout le monde parti ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, le titre, c'est Grand-maman en action, souvenirs et redécouvertes. Et bienvenue, bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon bagaille ! Je partage des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres, des moments de réflexion pour aider chacun de nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing. Bonne chose. Bon bagaille. Nous avons élevé les enfants à la campagne. Nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si vous avez des difficultés, que ce soit des difficultés financières ou relationnelles, c'est possible de passer à travers. Je vais vous parler de mon expérience ce week-end. que j'appelle un peu sportif en tant que grand-maman. Je vais vous parler de l'évolution du rôle de maman à grand-maman, l'accueil des enfants, les petits-enfants, la fin de semaine que j'ai eue, mouvementée un petit peu, puis les défis et les joies de grand-maman. Car ça faisait longtemps que je n'avais pas eu des petits-enfants à la maison, puis disons... que j'ai réellement été replongée dans l'univers des nuits agitées, du bricolage, j'appelle ça de la vie dans la maison, entre le rire, la fatigue, les souvenirs. Je vais vous partager cette expérience qui m'a fait réaliser à quel point le rôle de grand-maman c'est un doux mélange de plaisir et d'endurance. Comme je disais que ça faisait longtemps que je n'ai pas eu les enfants, parce que les enfants ont quitté la maison. Maintenant, ils sont rendus grands. L'âge minimum d'un de mes garçons, c'est 24 ans et ça varie dans la trentaine. Parfois, ils reviennent de temps en temps pour quelques jours à la maison, mais selon leur disponibilité. des fois selon les hauts et leurs bas de la vie. Ils ne sont plus avec leurs blondes, ils ne sont plus avec leurs chiens, ou quelle que soit leur période, leurs difficultés qu'ils ont. Ma maison est toujours ouverte pour les accueillir puisqu'il est un endroit où ils peuvent se ressourcer à la campagne, lire, se reposer. Ici, on est bien, je n'ai pas trop de voisins qui sont proches, sinon c'est très tranquille. Les enfants sont libres, ils sont autonomes. Puis maintenant, je n'ai plus besoin de courir à préparer les repas, les préparer pour l'école ou gérer les activités du quotidien. Par exemple, la seule chose que je leur demande lorsqu'ils viennent chez nous maintenant, c'est que la maison soit propre et surtout que ma vaisselle, je veux que mon comptoir soit propre et qu'il puisse faire la vaisselle. Et que ce week-end, j'ai vécu quelque chose de différent parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de jeunes enfants à la maison. La blonde de mon garçon a une petite fille de 3 ans et j'ai demandé s'il pouvait rester à dormir car j'avais... congé le lendemain et il y avait une activité aussi dans le village qui est pas loin de chez moi. J'ai même insisté pour que mon fils et sa blonde profitent de la matinée et qu'ils dorment un peu plus longtemps. Pour moi, c'était un plaisir de me retrouver seule avec les enfants. Quand les parents sont pas là, je crois que c'est une bonne chose. que la façon d'apprendre à connaître nos petits-enfants, c'est vraiment de passer du temps seul avec eux, sans les parents. Parce que moi, pour moi, je crois que les enfants, c'est très intelligent. Ils savent comment réagir. Ils savent qu'avec grand-maman, ils ne peuvent pas faire telle chose. Et avec maman, ils peuvent se permettre de faire les choses. Et ils savent aussi comment atteindre notre sensibilité. Au total, la maman, la maman de mon fils a décidé de rester. Elle avait deux jeunes enfants avec elle. Un enfant de 8 ans avec un ami, un ami, un voisin de sa fille de 8 ans. Et il y avait la petite fille de 3 ans qu'elle a eue tout récemment, 3 ans, en le mois de janvier. Et ils ont resté à la maison. C'est comme s'ils devenaient comme maman poule. Lorsqu'ils étaient couchés, j'étais un petit peu agitée. J'étais toujours alerte aux aguets. Je voulais toujours m'assurer que tout le monde allait bien, que personne ne manquait rien. La moindre bruit, je me réveillais. Même lorsque la petite se réveillait durant la nuit, je sais que les parents étaient là. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vérifier. Puis ça m'empêchait de dormir parce que je m'assurais tout le temps, est-ce qu'ils sont corrects, si je pouvais faire quelque chose pour aider la maman afin qu'elle puisse se reposer. Mais finalement, j'ai dormi. Dès le matin, j'entendais que les deux plus vieux étaient réveillés. Ça m'inquiétait moins. Mais c'est surtout quand la petite de trois ans s'est réveillée. Je n'étais pas à l'aise de la laisser découvrir les choses. En tant que maman protecteur, j'avais peur qu'elle puisse toucher à des choses. Et puis, en même temps, je voulais laisser la maman se reposer. Fait que je me suis... J'ai descendu en bas avec les enfants, j'ai préparé le petit déjeuner, j'avais du temps d'être avec eux, faire un petit peu de bricolage, qu'est-ce que les enfants avaient besoin pour jouer. J'ai sorti les crayons coloriés et faire des petites activités avec eux. J'avais un genre de petit cerceau, des petites choses à bricoler. J'ai eu le temps de faire la vaisselle et... C'est la papa pris beaucoup de temps que la maison, il y avait de la vie. La maison était sans dessous-dessous, comme on dit. Mais au moins, il y avait de la vie. Il y avait du bruit, des rires, de la joie. Puis moi, je pensais que... Ça me faisait penser des souvenirs d'autrefois, quand les enfants étaient plus jeunes, comme ça. J'ai toujours aimé être... Je suis une personne active, puis j'aime quand les enfants aussi sont actifs. Et à peine que j'ai eu le temps juste de finir la vaisselle, à peine que j'avais fini, là, puis là, j'entends grand-maman Léline, « J'ai encore faim, j'ai faim. » Là, j'étais comme « What ? » Oh là là ! Mais qu'est-ce qu'ils ont, ces enfants ? Il me semble qu'on dirait qu'il n'y a jamais de fond. Puis moi, j'ai des garçons, quatre garçons et une fille, et il me semble qu'ils avaient toujours, toujours faim. Aussitôt qu'on finissait de préparer à manger, ils mangent, et c'était toujours du plaisir en mangeant. Et ça m'a fait réaliser quelque chose. J'avais complètement oublié cette sensation. Parce que moi, en étant... J'ai eu cinq enfants, comme je l'ai dit. J'ai eu beaucoup d'enfants aussi que j'ai gardés avec moi à la maison. J'ai vécu avec tant d'années, avec une routine de maman toujours occupée. Je savais, à cette époque-là, c'est sûr que je ne savais pas le temps. C'était les activités pour les enfants, le soccer, la gymnastique, la danse, la musique. Non, même le papa et la maman, on ne chômait pas d'Alta. On était toujours très occupés. J'ai réalisé que j'avais complètement... oublier cette sensation. Parce que pour moi, dans cette période-là, Je ne savais même pas ce que c'était d'avoir du temps pour moi. Pendant des années, tout tournait autour des enfants, des activités de la vie quotidienne, l'école, les repas, les loisirs. Et même si le papa était impliqué, il travaillait beaucoup, mais dans la majorité du quotidien, il se reposait sur moi, la maman. Grâce à Dieu, j'ai eu la chance de rester à la maison pour élever les enfants. Même si on n'avait pas beaucoup d'argent, et on ne le dit pas assez, mais élever des enfants, c'est un travail immense. C'est un travail qui est non rémunéré, mais c'est tellement précieux. Aujourd'hui, en tant que grand-maman, je mesure à quel point ce rôle est complètement différent. On n'a pas la même responsabilité à temps plein. Je crois que c'est un petit bonheur à dose temporaire. Et ça me permet de mieux comprendre aussi ce que vivent les parents aujourd'hui. Je peux les encourager, les soutenir, leur donner espoir aussi, leur dire qu'ils vont y arriver, même quand c'est difficile. Je me rappelle quand j'ai eu mon premier petit enfant, j'ai toujours été sensible pour la maman. Je sais qu'est-ce que c'est d'être fatiguée, de manquer du temps pour soi. Et dans ce temps-là, pour moi, c'était qu'est-ce que j'étais capable de faire. C'était essayer comme d'aider, faire des petites choses. à ma façon de faire un petit peu la vaisselle, de donner un petit coup de main dans le ménage, garder le bébé pour qu'elle puisse se reposer, porter un petit repas. Parce que parfois, les petits gestes font toute la différence. J'ai vraiment réalisé comment, dans tout le brouhaha, avec les petits-enfants autour de moi, le plaisir que j'avais, que j'ai réalisé que quand les parents se sont réveillés, mon garçon et sa blonde, les enfants avaient faim. Je lui ai dit de faire encore un autre repas. C'était l'heure du brunch, parce que les parents pouvaient manger. Je pouvais déjeuner et j'ai fait aussi un repas pour les enfants. J'ai réalisé que je ne me suis même pas regardée dans le miroir. Je me suis levée, je me suis habillée et j'ai réalisé que je ne savais même pas à quoi je ressemblais. Je ne me levais pas coiffée, je ne m'avais pas crémée. Comme on dit, une expression québécoise, on dit « me pouponner » . Parce que moi, j'aime mettre mes petites boucles d'oreilles. En tant que grand-maman, vu que j'ai des plus enfants, j'avais plus le temps pour moi de prendre des petits soins quotidiens. De ma beauté, les cheveux, prendre une bonne douche, mettre des petites crèmes. Mais j'ai réalisé que je n'avais même pas eu le temps de le faire et ça faisait passer des bons souvenirs. On a réussi finalement à manger et je voulais participer à une activité qu'il y avait dans le village pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Nous sommes allés participer au carnaval d'hiver et il faisait tellement beau aussi. C'était vraiment une activité agréable. C'était un événement familial qui se passait à l'extérieur. Il y avait des glissades d'eau. Pas des glissades d'eau, excuse-moi, c'est l'hiver. On avait des glissades, avec des glissades comme sur la montagne. Il y avait des petits repas chauds à l'extérieur. Il y avait de la pêche sur glace aussi. Et des petits jeux pour enfants. Et j'ai pu participer avec eux autres, ça me faisait plaisir. Parce que ça me ramenait à mes souvenirs de jeune maman. Puis j'ai juste profité. du moment présent. Puis, par la suite, j'ai eu une autre idée. J'ai proposé aux parents de rester bien au chaud dans la voiture pendant que j'amenais les plus grands à leur faire découvrir la pêche sur la glace. Et puis, je voulais faire mon petit vidéo aussi. Ça fait que les enfants, ils ont pu me suivre. Et je me considérais vraiment une grand-maman chanceuse parce que les voir émerveillés, parce qu'ils ne connaissent pas le coin de ma région et comment ils ont réalisé. Par exemple, l'appel sur la glace. Là, j'expliquais en même temps les dangers de la glace, mais c'était une place sécuritaire parce qu'on pouvait aller en voiture, il y a la vérification. Et ça m'a pu faire un petit peu l'enseignement et puis leur voir le visage s'émerveiller. Et wow ! J'ai eu vraiment du plaisir et j'ai été les reconduire après à l'auto. Et pour vous dire que... Ils sont partis qu'après, je me suis dit, oh là là, j'ai pu savourer le repos tranquille, bien mérité. Et puis, c'est ça, c'est ça le plus beau rôle dans le rôle de grand-maman, c'est de profiter, profiter des moments de bonheur. avec les petits, avec nos grands aussi. Parce que moi, ça me fait toujours plaisir de voir mes enfants et en même temps de pouvoir récupérer les quels qui sont partis. J'espère que pour vous, je ne sais pas si vous avez vécu des situations similaires en tant que grands-parents. Partagez-moi vos anecdotes, ça me fait plaisir. J'ai aimé cette expérience ce week-end parce que ça m'a fait réaliser l'évolution du rôle de maman et de grand-maman. Parce qu'avant, en tant que maman, mon rite était beaucoup plus active, plus par rapport à l'éducation, les enfants, les activités, les loisirs. Puis maintenant, en tant que grand-maman, les enfants ne sont presque plus à la maison à temps plein. Pour moi, la maison, c'est beaucoup plus calme, plus reposé. J'ai plus du temps pour moi. Et le ménage aussi, c'est plus facile à entretenir la maison parce que ça bouge moins, il y a moins de déplacements dans la maison. Cette expérience m'a permis d'accueillir les enfants, puis mes petits-enfants aussi. Vu que ma maison, c'est une maison qui est ouverte, pour moi, c'est non seulement un espace de ressourcement, mais en même temps, c'est de se retrouver, de se retrouver comme à la campagne, retrouver l'énergie, les enfants. Et puis... En même temps, la différence entre élever ses enfants, l'énergie qu'on consacre, la fatigue aussi. Et maintenant, en ayant les petits-enfants, je ne les ai pas avec moi à temps plein. Ça fait que j'ai plus de patience. J'ai plus de patience et puis je suis capable de prendre plus de temps. temps de m'émerveiller juste pour voir leur épanouissement. Puis sentir le bonheur aussi, parce que quand j'ai mes enfants qui sont en couple, c'est bien de voir comment ils réagissent entre eux. Cette expérience ce week-end m'a montré que ... Ça m'a permis de retourner à mon réflexe de maman. C'est toujours être vigilante, être éveillée. Le moindre bruit et toujours savoir ce que je dois faire avant de toujours préparer. Comme par exemple les repas, il faut que j'ai les choses. déjà préparé d'avance, qu'est-ce qui peut faciliter les enfants. Le plaisir aussi, parce que la fin de semaine, pour moi, c'était de m'adapter. Parce que mon quotidien, entre mon quotidien de grand-maman qui est devenue beaucoup plus calme à la maison. et le quotidien qui change parce qu'il y a plus d'interactions, plus de vie. On peut plus s'en bouler, mais pour moi, c'est positif. Pour moi, ce n'est pas quelque chose de négatif. Pour moi, de voir le plaisir des enfants, de jouer, c'est beau à voir. Les défis que j'ai eus, les joies d'être grand-maman, pour moi, c'est soutenir les parents, alléger leur charge mentale et leur offrir le répit, le bonheur aussi. de transmettre à cette nouvelle génération, les voir grandir, mais la façon que je suis, comment que moi j'habitais avec mes enfants, que maintenant j'ai plus de temps avec eux. L'équilibre aussi, l'équilibre entre la bienféance, le besoin de prendre. de prendre soin de soi aussi, parce qu'en tant que grand-maman, on a plus de temps libre pour nous de prendre soin de moi et de profiter. Je termine en conclusion. C'est pour dire qu'être grand-maman, si vous avez la chance de le vivre, Pour moi, être grand-maman, c'est un rôle magnifique. On profite des enfants, on retombe dans nos souvenirs, on aide les parents. Et surtout, on peut récupérer une fois que tout le monde est parti. Nous, on peut récupérer pendant que les parents continuent chacun notre rôle. Ce week-end m'a rappelé à quel point le temps passe vite et combien ces moments sont précieux. C'est une réflexion sur la rapidité du temps qui passe aussi. Je souhaite encourager aussi les parents aujourd'hui. Les grands-parents aussi, l'importance de profiter de chaque instant, chaque étape de la vie. Et vous, si vous êtes grand-maman, racontez-moi si vous avez vécu une mission comme celle-là. Ou bien, en tant que parent, comment vous allez vous imaginer que vous allez être grand-parent ? J'ai hâte de partager. que vous partagiez ces petites anecdotes avec moi. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines et profiter des belles choses de la vie. Belles choses, good things, bons bagailles. Nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et c'est ce que je vous souhaite. À la prochaine, merci.

Description

Ce week-end, j’ai replongé dans l’univers des jeunes enfants en demandant a mon garcon de dormir a la maison avec sa blonde et ,ses enfants.Entre les réveils nocturnes, les bricolages explosifs et les estomacs sans fond, j’ai vite réalisé que la routine de grand-maman était bien plus calme d’habitude !  Un week-end rempli de rires, de souvenirs… et d’une grande sieste bien méritée une fois tout le monde parti ! 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour ! Aujourd'hui, le titre, c'est Grand-maman en action, souvenirs et redécouvertes. Et bienvenue, bienvenue sur la Gratuité de la vie en héritage, où nous découvrons ensemble les cadeaux inestimables qui nous habitent. Good thing, bonne chose, bon bagaille ! Je partage des leçons de vie tirées de mes expériences, de mes lectures, mes rencontres, des moments de réflexion pour aider chacun de nous à mieux comprendre et à embrasser les défis et les cadeaux de la vie. Good thing. Bonne chose. Bon bagaille. Nous avons élevé les enfants à la campagne. Nous avons donné aux enfants des valeurs qui restent de la vie. Peu n'importe si vous avez des difficultés, que ce soit des difficultés financières ou relationnelles, c'est possible de passer à travers. Je vais vous parler de mon expérience ce week-end. que j'appelle un peu sportif en tant que grand-maman. Je vais vous parler de l'évolution du rôle de maman à grand-maman, l'accueil des enfants, les petits-enfants, la fin de semaine que j'ai eue, mouvementée un petit peu, puis les défis et les joies de grand-maman. Car ça faisait longtemps que je n'avais pas eu des petits-enfants à la maison, puis disons... que j'ai réellement été replongée dans l'univers des nuits agitées, du bricolage, j'appelle ça de la vie dans la maison, entre le rire, la fatigue, les souvenirs. Je vais vous partager cette expérience qui m'a fait réaliser à quel point le rôle de grand-maman c'est un doux mélange de plaisir et d'endurance. Comme je disais que ça faisait longtemps que je n'ai pas eu les enfants, parce que les enfants ont quitté la maison. Maintenant, ils sont rendus grands. L'âge minimum d'un de mes garçons, c'est 24 ans et ça varie dans la trentaine. Parfois, ils reviennent de temps en temps pour quelques jours à la maison, mais selon leur disponibilité. des fois selon les hauts et leurs bas de la vie. Ils ne sont plus avec leurs blondes, ils ne sont plus avec leurs chiens, ou quelle que soit leur période, leurs difficultés qu'ils ont. Ma maison est toujours ouverte pour les accueillir puisqu'il est un endroit où ils peuvent se ressourcer à la campagne, lire, se reposer. Ici, on est bien, je n'ai pas trop de voisins qui sont proches, sinon c'est très tranquille. Les enfants sont libres, ils sont autonomes. Puis maintenant, je n'ai plus besoin de courir à préparer les repas, les préparer pour l'école ou gérer les activités du quotidien. Par exemple, la seule chose que je leur demande lorsqu'ils viennent chez nous maintenant, c'est que la maison soit propre et surtout que ma vaisselle, je veux que mon comptoir soit propre et qu'il puisse faire la vaisselle. Et que ce week-end, j'ai vécu quelque chose de différent parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de jeunes enfants à la maison. La blonde de mon garçon a une petite fille de 3 ans et j'ai demandé s'il pouvait rester à dormir car j'avais... congé le lendemain et il y avait une activité aussi dans le village qui est pas loin de chez moi. J'ai même insisté pour que mon fils et sa blonde profitent de la matinée et qu'ils dorment un peu plus longtemps. Pour moi, c'était un plaisir de me retrouver seule avec les enfants. Quand les parents sont pas là, je crois que c'est une bonne chose. que la façon d'apprendre à connaître nos petits-enfants, c'est vraiment de passer du temps seul avec eux, sans les parents. Parce que moi, pour moi, je crois que les enfants, c'est très intelligent. Ils savent comment réagir. Ils savent qu'avec grand-maman, ils ne peuvent pas faire telle chose. Et avec maman, ils peuvent se permettre de faire les choses. Et ils savent aussi comment atteindre notre sensibilité. Au total, la maman, la maman de mon fils a décidé de rester. Elle avait deux jeunes enfants avec elle. Un enfant de 8 ans avec un ami, un ami, un voisin de sa fille de 8 ans. Et il y avait la petite fille de 3 ans qu'elle a eue tout récemment, 3 ans, en le mois de janvier. Et ils ont resté à la maison. C'est comme s'ils devenaient comme maman poule. Lorsqu'ils étaient couchés, j'étais un petit peu agitée. J'étais toujours alerte aux aguets. Je voulais toujours m'assurer que tout le monde allait bien, que personne ne manquait rien. La moindre bruit, je me réveillais. Même lorsque la petite se réveillait durant la nuit, je sais que les parents étaient là. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vérifier. Puis ça m'empêchait de dormir parce que je m'assurais tout le temps, est-ce qu'ils sont corrects, si je pouvais faire quelque chose pour aider la maman afin qu'elle puisse se reposer. Mais finalement, j'ai dormi. Dès le matin, j'entendais que les deux plus vieux étaient réveillés. Ça m'inquiétait moins. Mais c'est surtout quand la petite de trois ans s'est réveillée. Je n'étais pas à l'aise de la laisser découvrir les choses. En tant que maman protecteur, j'avais peur qu'elle puisse toucher à des choses. Et puis, en même temps, je voulais laisser la maman se reposer. Fait que je me suis... J'ai descendu en bas avec les enfants, j'ai préparé le petit déjeuner, j'avais du temps d'être avec eux, faire un petit peu de bricolage, qu'est-ce que les enfants avaient besoin pour jouer. J'ai sorti les crayons coloriés et faire des petites activités avec eux. J'avais un genre de petit cerceau, des petites choses à bricoler. J'ai eu le temps de faire la vaisselle et... C'est la papa pris beaucoup de temps que la maison, il y avait de la vie. La maison était sans dessous-dessous, comme on dit. Mais au moins, il y avait de la vie. Il y avait du bruit, des rires, de la joie. Puis moi, je pensais que... Ça me faisait penser des souvenirs d'autrefois, quand les enfants étaient plus jeunes, comme ça. J'ai toujours aimé être... Je suis une personne active, puis j'aime quand les enfants aussi sont actifs. Et à peine que j'ai eu le temps juste de finir la vaisselle, à peine que j'avais fini, là, puis là, j'entends grand-maman Léline, « J'ai encore faim, j'ai faim. » Là, j'étais comme « What ? » Oh là là ! Mais qu'est-ce qu'ils ont, ces enfants ? Il me semble qu'on dirait qu'il n'y a jamais de fond. Puis moi, j'ai des garçons, quatre garçons et une fille, et il me semble qu'ils avaient toujours, toujours faim. Aussitôt qu'on finissait de préparer à manger, ils mangent, et c'était toujours du plaisir en mangeant. Et ça m'a fait réaliser quelque chose. J'avais complètement oublié cette sensation. Parce que moi, en étant... J'ai eu cinq enfants, comme je l'ai dit. J'ai eu beaucoup d'enfants aussi que j'ai gardés avec moi à la maison. J'ai vécu avec tant d'années, avec une routine de maman toujours occupée. Je savais, à cette époque-là, c'est sûr que je ne savais pas le temps. C'était les activités pour les enfants, le soccer, la gymnastique, la danse, la musique. Non, même le papa et la maman, on ne chômait pas d'Alta. On était toujours très occupés. J'ai réalisé que j'avais complètement... oublier cette sensation. Parce que pour moi, dans cette période-là, Je ne savais même pas ce que c'était d'avoir du temps pour moi. Pendant des années, tout tournait autour des enfants, des activités de la vie quotidienne, l'école, les repas, les loisirs. Et même si le papa était impliqué, il travaillait beaucoup, mais dans la majorité du quotidien, il se reposait sur moi, la maman. Grâce à Dieu, j'ai eu la chance de rester à la maison pour élever les enfants. Même si on n'avait pas beaucoup d'argent, et on ne le dit pas assez, mais élever des enfants, c'est un travail immense. C'est un travail qui est non rémunéré, mais c'est tellement précieux. Aujourd'hui, en tant que grand-maman, je mesure à quel point ce rôle est complètement différent. On n'a pas la même responsabilité à temps plein. Je crois que c'est un petit bonheur à dose temporaire. Et ça me permet de mieux comprendre aussi ce que vivent les parents aujourd'hui. Je peux les encourager, les soutenir, leur donner espoir aussi, leur dire qu'ils vont y arriver, même quand c'est difficile. Je me rappelle quand j'ai eu mon premier petit enfant, j'ai toujours été sensible pour la maman. Je sais qu'est-ce que c'est d'être fatiguée, de manquer du temps pour soi. Et dans ce temps-là, pour moi, c'était qu'est-ce que j'étais capable de faire. C'était essayer comme d'aider, faire des petites choses. à ma façon de faire un petit peu la vaisselle, de donner un petit coup de main dans le ménage, garder le bébé pour qu'elle puisse se reposer, porter un petit repas. Parce que parfois, les petits gestes font toute la différence. J'ai vraiment réalisé comment, dans tout le brouhaha, avec les petits-enfants autour de moi, le plaisir que j'avais, que j'ai réalisé que quand les parents se sont réveillés, mon garçon et sa blonde, les enfants avaient faim. Je lui ai dit de faire encore un autre repas. C'était l'heure du brunch, parce que les parents pouvaient manger. Je pouvais déjeuner et j'ai fait aussi un repas pour les enfants. J'ai réalisé que je ne me suis même pas regardée dans le miroir. Je me suis levée, je me suis habillée et j'ai réalisé que je ne savais même pas à quoi je ressemblais. Je ne me levais pas coiffée, je ne m'avais pas crémée. Comme on dit, une expression québécoise, on dit « me pouponner » . Parce que moi, j'aime mettre mes petites boucles d'oreilles. En tant que grand-maman, vu que j'ai des plus enfants, j'avais plus le temps pour moi de prendre des petits soins quotidiens. De ma beauté, les cheveux, prendre une bonne douche, mettre des petites crèmes. Mais j'ai réalisé que je n'avais même pas eu le temps de le faire et ça faisait passer des bons souvenirs. On a réussi finalement à manger et je voulais participer à une activité qu'il y avait dans le village pas loin de chez moi, qu'on appelle Venise en Québec. Nous sommes allés participer au carnaval d'hiver et il faisait tellement beau aussi. C'était vraiment une activité agréable. C'était un événement familial qui se passait à l'extérieur. Il y avait des glissades d'eau. Pas des glissades d'eau, excuse-moi, c'est l'hiver. On avait des glissades, avec des glissades comme sur la montagne. Il y avait des petits repas chauds à l'extérieur. Il y avait de la pêche sur glace aussi. Et des petits jeux pour enfants. Et j'ai pu participer avec eux autres, ça me faisait plaisir. Parce que ça me ramenait à mes souvenirs de jeune maman. Puis j'ai juste profité. du moment présent. Puis, par la suite, j'ai eu une autre idée. J'ai proposé aux parents de rester bien au chaud dans la voiture pendant que j'amenais les plus grands à leur faire découvrir la pêche sur la glace. Et puis, je voulais faire mon petit vidéo aussi. Ça fait que les enfants, ils ont pu me suivre. Et je me considérais vraiment une grand-maman chanceuse parce que les voir émerveillés, parce qu'ils ne connaissent pas le coin de ma région et comment ils ont réalisé. Par exemple, l'appel sur la glace. Là, j'expliquais en même temps les dangers de la glace, mais c'était une place sécuritaire parce qu'on pouvait aller en voiture, il y a la vérification. Et ça m'a pu faire un petit peu l'enseignement et puis leur voir le visage s'émerveiller. Et wow ! J'ai eu vraiment du plaisir et j'ai été les reconduire après à l'auto. Et pour vous dire que... Ils sont partis qu'après, je me suis dit, oh là là, j'ai pu savourer le repos tranquille, bien mérité. Et puis, c'est ça, c'est ça le plus beau rôle dans le rôle de grand-maman, c'est de profiter, profiter des moments de bonheur. avec les petits, avec nos grands aussi. Parce que moi, ça me fait toujours plaisir de voir mes enfants et en même temps de pouvoir récupérer les quels qui sont partis. J'espère que pour vous, je ne sais pas si vous avez vécu des situations similaires en tant que grands-parents. Partagez-moi vos anecdotes, ça me fait plaisir. J'ai aimé cette expérience ce week-end parce que ça m'a fait réaliser l'évolution du rôle de maman et de grand-maman. Parce qu'avant, en tant que maman, mon rite était beaucoup plus active, plus par rapport à l'éducation, les enfants, les activités, les loisirs. Puis maintenant, en tant que grand-maman, les enfants ne sont presque plus à la maison à temps plein. Pour moi, la maison, c'est beaucoup plus calme, plus reposé. J'ai plus du temps pour moi. Et le ménage aussi, c'est plus facile à entretenir la maison parce que ça bouge moins, il y a moins de déplacements dans la maison. Cette expérience m'a permis d'accueillir les enfants, puis mes petits-enfants aussi. Vu que ma maison, c'est une maison qui est ouverte, pour moi, c'est non seulement un espace de ressourcement, mais en même temps, c'est de se retrouver, de se retrouver comme à la campagne, retrouver l'énergie, les enfants. Et puis... En même temps, la différence entre élever ses enfants, l'énergie qu'on consacre, la fatigue aussi. Et maintenant, en ayant les petits-enfants, je ne les ai pas avec moi à temps plein. Ça fait que j'ai plus de patience. J'ai plus de patience et puis je suis capable de prendre plus de temps. temps de m'émerveiller juste pour voir leur épanouissement. Puis sentir le bonheur aussi, parce que quand j'ai mes enfants qui sont en couple, c'est bien de voir comment ils réagissent entre eux. Cette expérience ce week-end m'a montré que ... Ça m'a permis de retourner à mon réflexe de maman. C'est toujours être vigilante, être éveillée. Le moindre bruit et toujours savoir ce que je dois faire avant de toujours préparer. Comme par exemple les repas, il faut que j'ai les choses. déjà préparé d'avance, qu'est-ce qui peut faciliter les enfants. Le plaisir aussi, parce que la fin de semaine, pour moi, c'était de m'adapter. Parce que mon quotidien, entre mon quotidien de grand-maman qui est devenue beaucoup plus calme à la maison. et le quotidien qui change parce qu'il y a plus d'interactions, plus de vie. On peut plus s'en bouler, mais pour moi, c'est positif. Pour moi, ce n'est pas quelque chose de négatif. Pour moi, de voir le plaisir des enfants, de jouer, c'est beau à voir. Les défis que j'ai eus, les joies d'être grand-maman, pour moi, c'est soutenir les parents, alléger leur charge mentale et leur offrir le répit, le bonheur aussi. de transmettre à cette nouvelle génération, les voir grandir, mais la façon que je suis, comment que moi j'habitais avec mes enfants, que maintenant j'ai plus de temps avec eux. L'équilibre aussi, l'équilibre entre la bienféance, le besoin de prendre. de prendre soin de soi aussi, parce qu'en tant que grand-maman, on a plus de temps libre pour nous de prendre soin de moi et de profiter. Je termine en conclusion. C'est pour dire qu'être grand-maman, si vous avez la chance de le vivre, Pour moi, être grand-maman, c'est un rôle magnifique. On profite des enfants, on retombe dans nos souvenirs, on aide les parents. Et surtout, on peut récupérer une fois que tout le monde est parti. Nous, on peut récupérer pendant que les parents continuent chacun notre rôle. Ce week-end m'a rappelé à quel point le temps passe vite et combien ces moments sont précieux. C'est une réflexion sur la rapidité du temps qui passe aussi. Je souhaite encourager aussi les parents aujourd'hui. Les grands-parents aussi, l'importance de profiter de chaque instant, chaque étape de la vie. Et vous, si vous êtes grand-maman, racontez-moi si vous avez vécu une mission comme celle-là. Ou bien, en tant que parent, comment vous allez vous imaginer que vous allez être grand-parent ? J'ai hâte de partager. que vous partagiez ces petites anecdotes avec moi. Oui, nous pouvons vivre selon nos valeurs humaines et profiter des belles choses de la vie. Belles choses, good things, bons bagailles. Nous pouvons vivre selon nos valeurs pour une vie extraordinaire et c'est ce que je vous souhaite. À la prochaine, merci.

Share

Embed

You may also like