Speaker #0Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu chiffres ton utilité ? Autrement dit, te crois-tu unique, indispensable et ayant à ton actif un bagage impressionnant de connaissances ? Ou plutôt, tu penses être une personne bien ordinaire qui ne fait rien d'exceptionnel, juste ce qu'il faut pour exister ? La plupart des artistes ne l'admettent pas, mais ils font une différence sans même s'en rendre compte. Et si toi aussi, tu participais au bonheur des gens sans le savoir ? Faire œuvre utile, ce n'est pas réservé aux grands artistes et aux célébrités. Non, non, non. C'est à la portée de tout le monde. Dans cet épisode, je te raconte une des fois où j'ai fait une différence. Je te jase de synchronicité et je te donne les raisons pour lesquelles tu dois partager tes dons, tes talents, tes compétences aux autres. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en animation d'événements ou à titre de maître de cérémonie en tout genre, mon objectif, partager mes dons, mes talents, mes compétences pour améliorer ta vie positivement. En assistant à mon podcast, je te fais sauver du temps. Je t'aide à trouver ta voie et à réaliser tes rêves. Tu n'as qu'une vie à vivre. Autant vivre la bonne et la vivre pleinement. Cette semaine, j'ai regardé en rafale la série « Faire œuvre utile » . Ça passe à Radio-Canada, donc aussi à ICI.TV. C'est l'histoire d'artistes, au pluriel, qui sont jumelés à des gens et des événements tragiques qui sont arrivés dans la vie de ces gens-là. Et les artistes ont fait une différence sans même s'en rendre compte, soit par une chanson, un livre, une œuvre d'art, peu importe. Mais même sans s'en rendre compte, ces artistes-là ont fait du bien avec leur art. Donc, ils étaient là au bon moment, c'est-à-dire dans la synchronicité. Et moi, je vais te raconter une histoire où, effectivement, moi aussi, c'est une histoire de synchronicité. J'étais là au bon moment et je n'avais aucune idée à ce moment-là que je vivrais ça. Je suis allée dans un bar au 5 à 7 et moi, je ne buvais pas à l'époque et puis j'étais très jeune. J'avais peut-être 25 ans et j'allais le plus là pour voir les amis. Je buvais de l'eau minérale, c'était pas autant. Il n'y avait rien là. Et donc, je m'en vais m'asseoir à la même place que d'habitude, en avant du cache, au bar. Bon, puis là, j'attends que les autres amis arrivent. Et il y a un gars qui est là, que je n'ai jamais vu de ma vie, un jeune, un petit peu plus jeune que moi. Puis tu vois qu'il a braillé, puis tu vois qu'il est en tabarnak, puis je m'excuse, je dis des gros mots. Tu vois qu'il n'est pas bien. Puis moi, avec mon hypersensibilité, puis oui, je suis une jeune notaire, mais bref, j'ai la compassion, l'empathie, tout ce que tu voudras. Comme bagage. Puis ma petite voix, ma petite Georgette, elle me dit de l'écouter puis de lui demander qu'est-ce qui ne va pas. Donc, je commence. Je dis, excuse-moi, je ne te connais pas. On ne se connaît pas. Mais je vois bien que tu ne vas pas. Fait que, si tu veux jaser, je suis là. Fait qu'il me raconte. Il dit, parle-moi-en pas. Il dit, mon chum, mon colocataire, il s'est suicidé. Puis là, je suis comme, ah, oui, comment ça ? Mais moi, je suis habituée d'avoir ce genre de discussion-là dans mon bureau. Ils me racontent que la veille, ils ont soupé ensemble parce qu'ils sont co-locataires. Donc, ils ont soupé, beau repas, toute la patente. Ils se sont mis à jouer à un jeu vidéo. Je ne me souviens plus de quel dans ce temps-là. Ils ont eu beaucoup de plaisir durant la soirée. Puis, à la fin de la soirée, ils se disent bye. Puis, ils s'en vont se coucher chacun dans leur chambre. Jusque-là, histoire assez banale. Et le lendemain, il se rend compte que son Mario, son colocataire, il ne se lève pas. Il cogne, puis il cogne, puis pas de réponse. Il rouvre la porte, puis il voit bien que son chum Mario, il a pris toutes les pilules qu'il avait à prendre, puis il est parti. Et là, Jean, qui s'appelait le gars avec qui je parle, lui, il n'en revient pas. Là, il capote sa vie. Il appelle l'ambulance, la patente, puis bon, il fait ce qu'il a à faire. Et ça, ça se passe le matin, puis là, on est rendu en fin de journée. Et là, il est triste, mais il est aussi enragé parce qu'il dit, « Voyons, pourquoi moi, je n'ai rien vu ? Pourquoi je n'ai jamais vu que Mario avait besoin d'aide ? Pourquoi il a fait ça dans notre appartement ? » Il y avait plein de pourquoi, puis pourquoi, puis pourquoi, puis ça ne finissait plus. Bref, c'était tout négatif. Oui, il était triste, etc. Il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas le geste de son chum. Il ne comprenait pas qu'il aurait pu jaser avec. peut-être pu faire une différente, j'aurais peut-être pu faire quelque chose, mais bon. Mais... Moi, je suis plus du genre vert à moitié plein dans la vie. Fait que j'analyse tout ce qu'il me dit, puis ma Georgette, elle me parle, puis ma Georgette, c'est mon intuition, pour ceux qui ne savent pas. Et là, moi, dans ma tête, moi, j'ai toujours tendance à avoir le vert à moitié plein, même dans des événements hyper tragiques comme celui-là. Fait que je dis, écoute, Jean, es-tu prêt à écouter ce que j'ai à te dire ? Il dit oui. Je dis, je comprends, là. Je comprends que tu es triste, je comprends. Je comprends que t'es en maudit. Je comprends tout ça. Mais, imagine, Mario, avant de partir, parce qu'il le savait, avant de partir, il a décidé de passer la soirée avec toi. Il a décidé de passer les 5, 6, 7, 8 heures, les dernières heures de sa vie avec toi. Ce gars-là, il a une famille. Il a d'autres amis. Il y a plein de monde autour de lui. Il dit oui, mais il a choisi de passer ses derniers moments sur la Terre. avec toi. Tu trouves pas que c'est un beau cadeau, ça ? » Écoute, mon jeune, il me regarde, puis il a les yeux pleins d'eau, puis il fait comme « Wow, OK. Je n'avais pas pensé à ça. » Bien, j'ai dit « C'est ça. » Il dit « Moi, c'est de même que je le vois. C'est pour t'aider à passer au travers cet événement triste-là. » Il dit « Merci tellement. » Il dit « Mon Dieu Seigneur. » Il dit « Je ne vois plus ça de la même manière à cette heure. » Il dit « Wow. » Il était vraiment comme flabbergasté, un bon Québécois. Puis moi, j'ai fait comme « Ben, coudonc. » Quand je me suis retournée chez nous, je me suis dit que, un, j'avais aucune idée de ce qui allait arriver au moment où j'ai rentré dans ce bar-là. Et deux, j'étais fière de moi. J'étais fière de moi sans même m'en rendre compte. J'ai fait une différence. J'ai juste écouté mon intuition. C'était une histoire de synchronicité. J'étais là au bon moment avec cette personne-là. Voilà. Bref, je parle d'œuvre utile aujourd'hui. C'est quoi une œuvre utile ? Parce qu'il y a le mot œuvre, là, nécessairement. Tu sais, cette émission-là que j'ai regardée, bon, c'était des artistes. Mais pour moi, faire œuvre utile, c'est pas juste au niveau des artistes, c'est pas juste l'œuvre, une œuvre artistique, non. Pour moi, tout ce qui sort de l'être humain en termes de dons, de talents, de compétences, de... de paroles, d'actions, d'émotions. Pour moi, c'est toutes des œuvres utiles. Et là, je t'ai raconté une histoire, mais combien de fois en 31 ans de pratique j'ai été là au bon moment avec les bonnes paroles en suivant mon intuition. Je n'ai pas prouvé, j'ai écrit des livres d'anecdotes de notaires qui se sont passées réellement dans mon bureau. J'en ai plein d'anecdotes comme ça. J'ai choisi celle-là, mais j'aurais pu t'en compter d'autres. C'est ça. Donc, pour moi, faire œuvre utile, c'est partager ses richesses intérieures pour faire une différence dans la vie des autres, et ça, souvent, sans même s'en rendre compte. Donc, l'idée, c'est de sortir de chez vous, puis de faire des choses, d'aller dans la populace. Je veux dire, si tu restes chez vous dans ton sous-sol, tu ne prends pas grand-œuvre utile là, on s'entend. Et si tu... penses, parce que là, je t'entends penser, tu penses que tu n'as rien d'exceptionnel à offrir, bien, détrompe-toi. Je dis souvent que chaque être humain est unique et magnifique. Tu en as des dons, des talents, des compétences, même si tu ne vois pas aller. C'est sûr, nous, on ne se voit pas aller, mais je suis persuadée qu'il y a du monde, et là, c'est pour ça qu'il faut sortir de chez vous, si tu veux l'entendre. Si tu veux entendre les gens. te dire ces choses qui ressemblent à « Ah mon Dieu, t'es donc bien bon, t'es donc bien bonne, c'est donc bien beau ce que tu fais, puis je ne savais pas que tu faisais ça, puis mon Dieu, on peut-tu acheter ça, tu comprends ? » Donc voilà. Ou juste « Merci d'être là » , tu comprends ? Tu sais, tu as l'impression que ta vie n'a aucun impact dans la société, mais non. Juste à faire un sourire à la caissière de l'épicerie, tu as peut-être fait une différence dans sa vie. Peut-être qu'elle est en train de se divorcer à la faille à terre, les enfants, puis toute la patente, puis il faut qu'elle se trouve un loyer. Puis là, toi, tu arrives, tu lui fais un beau sourire. Peut-être que tu as fait de sa journée. Tu comprends-tu ? C'est ça. Donc, oui, on peut faire des choses très simples, mais qui font toute la différence pour une personne qui passe une mauvaise journée. On fait souvent œuvre utile sans le savoir, jusqu'à ce que quelqu'un nous le dise. Puis moi, je pense qu'en tant qu'être humain, on a la responsabilité, ce n'est pas juste « envoyons-nous faire les… » Non, moi, je pense qu'on a la responsabilité, je pèse mes mots, de partager aux autres nos richesses intérieures. Moi, je dis souvent que c'est ce qui nous différencie des animaux. Tu vas me dire que lui, l'animal, il partage leur maudit parce qu'on le mange. Je te l'accorde. Mais tu comprends ce que je veux dire. On partage ce qu'on a à l'intérieur de nous et les gens attendent après toi. Faire œuvre utile, ce n'est pas un exploit. C'est une obligation. Je te le dis, tu es obligé. Pourquoi ? Parce qu'effectivement, les gens attendent après toi. Ils attendent après tes richesses. Ils ne savent pas qu'il existe tes richesses, mais je le sais qu'ils attendent après ça parce que Tu ne peux pas garder ça pour toi. Il faut que tu partages ça aux autres. Il faut qu'on connaisse les trésors qui se cachent à l'intérieur de toi. Je ne parle pas de tes intestins. Un mot peut parfois soigner plus qu'un médicament. Tu penses que tu n'as rien fait d'extraordinaire. Juste à être là, comme moi je l'ai été dans mon histoire, c'est plus fort qu'un prix Nobel. Un sourire dans une file d'attente, ça peut être... plus puissant qu'un discours. Tu comprends ce que je veux dire. Et là, je suis rendue à te donner les 10 raisons pourquoi faire œuvre utile. Premièrement, pour te donner un sens à ta vie. Pour, à ton décès, que tu te dises, « Colline, j'ai mené une bonne vie, puis j'ai fait du bien. J'ai fait du bien aux gens. » Deuxièmement, pour créer un effet domino positif. C'est sûr que si toi, tu partages aux autres tes affaires, ça va donner le goût aux autres de faire la même affaire et ainsi de suite. Et moi, mon rêve ultime, là, OK, on jase. Mon rêve ultime, c'est que tout le monde partage ses richesses intérieures. Qu'on ait tout accès à ce trésor incroyable-là. C'est ça, mon rêve. Troisièmement, Pour transformer une souffrance en lumière, je te parlais de la caissière tantôt, c'est ça. Faire œuvre utile, tu le fais, puis c'est sûr que tu fais du bien aux autres. Que tu t'en rendes compte ou pas, on s'en sacre. Quatrièmement, pour t'humaniser davantage, effectivement, parce que si tu restes comme un ermite dans ton sous-sol et que tu ne vois jamais personne, on s'entend-tu que tu deviens sauvage assez, merci. Cinquièmement, pour nourrir ton âme. C'est bien dit ça. C'est sûr que tu nourris ton âme en donnant, en partageant. Et que tu vois bien dans la face du monde que tu fais du bien. Ça, ça nourrit ton âme. Ensuite, pour honorer tes dons, pour honorer tes richesses, sont là tes richesses intérieures. Il faut que tu les honores en les partageant. Pour bâtir un monde meilleur, bien c'est ça, ça fait partie de mon souhait, ça, de bâtir un monde meilleur où tout le monde partage ses dons, ses talents, ses compétences, puis qu'on dit comme « Wow, on est donc bien extraordinaire tout le monde ! » Pour inspirer les autres, évidemment. Pour ne jamais regretter, bien oui, pour ne jamais regretter, tu sais, c'est pas rendu sur ton lit de mort, dire « Ah mon Dieu, j'aurais donc dû partager mes gogosses que je fais dans mon garage depuis 30 ans. » Non, c'est pas là que le temps, tu comprends, c'est là, là. Et finalement, pour que ton passage sur terre compte, pour qu'à ton décès, on ait des traces de ton passage sur terre, pas juste une piétonne balle, tu comprends-tu ? Qu'on voit tes réalisations, que tout le monde ait un souvenir de toi. C'est ça, c'est ça la raison d'être de notre passage sur la terre. Et là, tu vas me dire, comment on fait ça, œuvre utile ? C'est pas compliqué. premièrement, il faut que tu conscientises tes richesses, tes dons, tes talents, tes compétences. Regarde-toi dans le miroir, puis regarde ce que tu fais, regarde autour de toi ce que tu fais, ce que tu es, ce que tu dis, ce que tu comprends-tu. C'est ça, tes dons, tes talents, tes compétences. Regarde-toi avec un œil différent. Regarde-toi comme si c'était quelqu'un d'autre qui t'a regardé, de un. Donc, oui, prendre conscience de ta valeur, c'est ça. Être attentif aux autres autour de toi. écoute ce que le monde te dit, quand les gens te disent hey wow, t'es donc bien bon t'es donc bien bonne tu fais ça, wow comprends-tu que, arrête de dire non, je ne fais rien je fais ça à temps perdu conscientise que ça a une valeur au jeu des autres pis il faut que ça aille à tes yeux aussi on s'entend ose agir, oui ose, même timidement timidement et Regarde, je ne veux pas que tu fasses des cabanes à moineaux ou n'importe quoi. Tu comprends ? Tu gosses dans ton garage ou dans ta cuisine ou peu importe. À la prochaine occasion, un petit salon communautaire qu'il y a dans ton patelin, loue une table, va montrer ça au monde, mets des petits prix avec des petites étiquettes. Puis, regarde. Go. Je ne peux pas te dire d'autres choses. Go. Reste vrai et bienveillant ou bienveillante. Effectivement, ne pète pas plus haut que le trou. Ton jangui, assis-le. Ton égo, assis-le sur le siège passager. Mais sois quand même fier de ce que tu réalises. Oui, célèbre les petits impacts. Célèbre toutes les petites différences ou les grandes que tu peux faire dans la société. Évidemment. Mais sans jamais chercher la reconnaissance. Fais-le pas pour ça. Fais-le pour un toi, nourrir ton âme, faire du bien aux autres. Et oui, les reconnaissances viendront par la suite, mais ce n'est pas la première raison pour laquelle tu le fais. Et bien oui, recommence encore et encore et encore et encore et encore. Donc, partage sans cesse tes dons, tes talents, tes compétences aux autres. Et oui, accepte de faire une différence dans la vie des gens. Bref, je m'en allais prendre une eau minérale dans un bar aux 5 à 7 et je rencontre le beau Jean, en beau tabaslac, triste, qui avait broyé sa vie, qui me raconte son histoire de suicide de son colocataire. Puis moi, dans le fond, tout ce que je veux, c'est de faire du bien puis d'avoir des bonnes paroles puis qu'ils comprennent. finalement, de tourner ça au positif et de dire, regarde, ton chum aurait pu choisir n'importe quelle autre personne pour passer les dernières heures de sa vie et c'est toi qui as choisi. Merci à Georgette parce que c'est quand même elle qui m'a soufflé les réponses. C'est là qu'on voit l'importance d'écouter les gens, de voir les signes, en fait, parce que il y a des signes qui se présentent à toi. Il faut que tu les vois. Moi, c'était évident. Mais il faut que tu les vois. Puis là, tu vois les signes, tu écoutes, tu prends le temps, tu suis ton intuition, puis tu communiques. Donc, juste ça, c'est faire œuvre utile tant qu'à moi, parce que tu partages ton temps, entre autres, et le temps, c'est précieux. Face à ton utilité sur la Terre, tu as deux options. La première, c'est que tu mènes ta petite vie tranquille. Tu fais ce que ton boss te demande de faire, moyennant un salaire. Tu as peu ou pas vraiment de loisirs à part regarder la télé et bisouner dans ton garage. Tu n'es pas très enclin ou encline à accepter les compliments. Tu ne donnes pas ou peu souvent ton opinion parce que tu penses que ce n'est pas valable. Tu as peu d'estime de toi-même. Ton décès passera probablement inaperçu, comme ta présence sur Terre d'ailleurs. Ou, deuxième option, tu crois à la synchronicité. Tu suis ton intuition. Tu agis selon ton instinct. Tu crois sincèrement que tu peux faire une différence dans la vie des gens en partageant tes dons, tes talents, tes compétences, et ce, avec ou sans rémunération. Tu te dis que tant qu'à être sur la Terre, aussi bien te rendre utile. À ta mort, beaucoup de gens seront peinés. Tous se rappelleront de ton apport dans leur vie et dans la société en général. Tu as le goût d'inspirer les autres avec ton parcours. Pourquoi ne pas embarquer dans l'Académie Révélation ? De l'idée à l'ovation. Pourquoi pas ? Contacte-moi aux infos à commerciale marie-josée-saint-laurent.com.