Speaker #0Le contenu des épisodes, je sais. Mais c'est le premier qui me bloque. C'est toujours le premier pas, le plus difficile en fait. Ok. Du coup, tu commencerais comment ? Il paraît que ce sont les premières secondes qui comptent le plus, lors d'une première rencontre. Alors j'irais droit au but. J'irais un truc comme... Hé, salut toi ! Ça va ? Parce que le plus important c'est toi. Et ce sera toujours toi. J'attendrai ta réponse car, oui, c'est une vraie question. Pas le ça va de politesse, qui est là juste pour décorer, ou faire semblant de se préoccuper de l'autre. Je veux vraiment savoir, ça va ? Parce que dans le fond, lorsqu'on creuse vraiment, on traîne tous en nous des petites choses que l'on pue, un mal-être, des doutes, un malaise, des bagages qui sont beaucoup trop lourds pour atteindre une certaine légèreté de vie. Je sais. Et tu as souvent l'impression que pour les autres c'est facile. Alors parfois, oui, tu fais semblant que pour toi aussi. On est tous là à jouer avec les cartes que l'on a reçues, que l'on a créées, et aux qui semble nous avoir été imposées de force. Et on court tous pour arriver sur la ligne d'arrivée afin de pouvoir dire j'ai réussi, je sais Mais réussir quoi dans le fond ? Qui décide que c'est une réussite ? Selon qui ? Par rapport à quoi ? Cette course effrénée vers un accomplissement, l'épanouissement ultime, serait-elle sans fin ? Et nous ne perdons pas quelques plumes en vol ? Toutes ces choses que l'on trimballe dans nos valises, d'où viennent-elles ? Quels impacts ont-elles dans nos vies ? Est-ce que cela entrave nos routes, au point de mettre en péril notre réussite ? Est-ce qu'un jour on pourra dire oui, ça va, sans qu'il n'y ait l'ombre d'un nuage ? Alors, ça va, et je prendrai le temps de t'écouter, parce que je sais à quel point la parole est libératrice. Il n'y aura aucun jugement de ma part, juste un être humain bienveillant qui sait à quel point c'est parfois compliqué d'en être un. Alors je t'offrirai de mon temps, parce que c'est ce que j'ai de plus précieux. Quel que soit le temps que ça prendra, sache que tu n'es pas seul, tu pourras toujours trouver une oreille attentive et un soutien sans faillite dans ce voyage de la vie. Tu vois, c'est après tout ça que je te parlerai de moi. Non pas pour que tu puisses savoir quel est mon plat préféré, ou dans quel magasin j'ai acheté ces talons, mais pour que tu saches que j'ai des clés. Celles qui ont le pouvoir d'ouvrir les portes qui sont cachées, voire emmurées en toi, afin que tu aies le choix de les ouvrir ou pas. Car tout commence en toi. Ta réalité actuelle, c'est ton choix. Il est inconscient, mais c'est bien le tien. Ton système nerveux, le fabuleux cerveau que tu as, crée ton expérience de vie. La bonne nouvelle, c'est qu'il t'appartient, tout comme la possibilité de faire de tes ambitions ta réalité. Ce qui serait bien, ce serait de faire connaissance avec lui, pour mieux le comprendre, car il peut t'aider à dépasser et détruire toutes ces petites choses désagréables. que tu trimballes dans ta valise et qui se transforme en procrastination, auto-sabotage, syndrome de l'imposteur, de l'osophobie, des choses qui arrivent à ternir la passion des plus talentueux, parce que le plus beau reste à venir et est à ta portée, en commençant en toi. Après les clés, je te parlerai de liberté, la vraie. A l'intérieur de ton inconscient se trouvent des portes. Derrière les portes qui sont fermées, il y a tout ce que ton cerveau ne souhaite pas et que tu expérimentes. Parce qu'il a appris que c'est dangereux. Je ne te parle pas de choses comme le fait de mettre ta main au feu, mais de réussite financière, d'exposition, de prise de parole, de démarche administrative, de sortir la nuit seule. Ça peut être des petites actions qui paraissent insignifiantes, et pourtant cela produit chez toi de l'angoisse, voire de la paralysie. Oui, c'est vrai, tu es capable de te forcer à effectuer ces actions. Mais ce ne sera pas son dommage émotionnel à court voire long terme. Beaucoup de maladies sont dues à des émotions stockées, réfrénées, alors qu'elles sont utiles à notre bien-être. La liberté, c'est d'avoir le choix de sa réponse émotionnelle. Est-ce que c'est facile ? Non. Mais si je t'en parle, c'est parce que je suis passée par là. J'avais des angoisses pour aller à la plage seule, parler en public, faire ma demande de passeport, conduire la nuit. Dénormais, ce n'est plus le cas. La neuroplasticité du cerveau permet que l'on puisse modifier nos discours internes, nos craintes, aussi ridicules qu'elles puissent être. On peut également en retrouver la source, se réconcilier avec l'événement et choisir une autre réalité que la petite histoire que notre cerveau a enregistrée. Parce que l'événement n'est que l'événement, un fait. Par contre, ce que tu as ressenti, tes émotions, lors de cet événement, c'est la clé. Ce que tu vis est ta réalité. et aussi ta responsabilité. Tu n'en es pas coupable, mais responsable. Si tu n'en es pas là où tu le voudrais aujourd'hui, c'est parce que ton cerveau ne le veut pas, sinon ce serait le cas. Alors quel que soit tes choix, je t'y accompagne avec bienveillance, car il n'y a rien de plus beau que de voir quelqu'un s'émanciper, ou voler vers ses rêves les plus fous. Alors, quand tu me les partageras, j'aurai l'honneur de faire partie de ceux qui te diront On commence quand ? Ce podcast, s'il est pour toi, et à vrai dire, même si tu es la seule personne qui écoute, je continuerai. Parce que le plus important, c'est toi, et ce sera toujours toi. J'espère avoir allumé une petite lumière en toi. Merci à toi, pour ton temps. Merci d'exister. Je suis Maëlle, alias Confiance, K-O-N-F-Y-A-N-S, et j'ai le privilège d'accompagner les solopreneurs ambitieux et passionnés à exploser leurs objectifs grâce aux neurosciences et aux neuroémotionnels, afin qu'ils gagnent plus de temps, d'énergie et d'argent. en toute liberté. Ceci est ton live podcast. N'hésite pas à commenter, à partager et à en parler autour de toi. Je te mets des infos juste en bas si tu souhaites en savoir davantage et je te dis à bientôt pour notre prochaine discussion.