Speaker #0Et salut toi, ça va ? Moi non. Tu ne t'attendais pas à ça, hein ? Parce que beaucoup sont habitués à répondre oui, par réflexe. Et puis pourquoi s'étaler sur le sujet ? C'est comme une honte, on tente de cacher derrière un sourire ou du maquillage. Une porte d'armoire qu'on n'a pas envie d'ouvrir, car honnêtement c'est le bordel à l'intérieur, et puis tout risque de dégringoler. Parce que répondre non, c'est s'exposer à improbable, pourquoi ? alors qu'on n'a pas forcément envie d'en parler, et il peut même arriver qu'on ne sache même pas pourquoi. Alors, c'est plus simple de ne pas le dire. Ce qui est plus simple n'est pas toujours le plus bénéfique, mais on nous a appris inconsciemment qu'il faut éviter de creuser, d'aller voir ce qui se cache, du côté sombre. Et puis de toute façon, ça va passer. L'un des plus gros fléaux de cette quête de bonheur insatiable, c'est qu'on a tendance à fuir la vie. Le bonheur n'est pas fait pour rester, sinon il ne s'appellerait pas bonheur. L'erreur est de croire que les émotions dites basses, telles que la tristesse, les baisses de morale, sont à éviter, voire à bannir. Une entrepreneur qui m'avait confié sa tristesse, son désarroi face à une situation, était submergée par la culpabilité. Oui, la culpabilité de ressentir cette tristesse. Sommes-nous coupables d'être humains, d'être vulnérables ? Depuis quand est-ce devenue une faiblesse pour nos ambitions ? Si un enfant de deux ans se met à pleurer, toutes les larmes de son corps, car il a perdu son doudou, allons-nous le culpabiliser d'être triste ? Est-ce qu'on va remettre en question la cause de sa tristesse ? Est-ce qu'on va lui lancer un « c'est pas grave, ce n'est qu'un doudou, arrête de pleurer » ? Personne ne devrait invalider tes émotions et surtout pas toi. La répression d'une émotion crée un trauma. Ça ne va pas, alors ok, ça ne va pas. Ressens-le, vis-le entièrement. Ce que tu retiens en toi fait beaucoup plus de dégâts que leur expression. Les émotions reflètent notre humanité. Elles indiquent ce qui a de l'importance à nos yeux, nous signalent lorsque des limites sont franchies et nous aident à mieux nous connaître afin d'avancer. Tu ne l'entendras pas souvent, voire jamais. mais vouloir rester au top constamment est contre-productif, voire nocif pour ton équilibre mental et émotionnel, parce que tu n'es pas un robot. Et si c'est le cas, cela cache sans doute un mal-être inconscient profond que ton système nerveux a jugé tellement risqué qu'il l'a enfermé dans un bunker afin de pouvoir continuer à fonctionner. Les émotions, tu as sûrement dû entendre ou lire qu'il faut que tu apprennes à les gérer, mais en réalité on devrait juste les laisser vivre. ne pas les réprimer et ne pas chercher à les maîtriser. Évidemment, dans une société comme la nôtre, le regard des autres influe sur notre comportement. Cela peut sembler très inconfortable. Imagine que, durant ton enfance, lorsque tu prenais la parole devant toute la classe, on se moquait de toi. Tu as réprimé tes émotions à ces moments pour montrer que tu n'étais pas touchée par l'attitude des autres élèves. Mais tu t'es créé un trauma. Ton cerveau a associé la prise de parole en public comme quelque chose de désagréable. à éviter, car c'est un danger. Donc maintenant, adulte, le cerveau t'envoie de l'anxiété lorsque tu es amené à te présenter devant des gens. Alors tu penses qu'il n'y a que deux choix à t'apporter. Soit tu te laisses submerger par l'anxiété, tu paniques et tu fuis la situation. Soit tu gères pour pouvoir être apte à prendre la parole. Dans ces deux cas, tu n'as pas accepté tes émotions. Tu as lutté contre. Alors, que veut dire accepter ces émotions concrètement ? Lorsque tu roules en voiture et qu'il y a des arbres de chaque côté de la route, tu ne leur prêtes pas attention, ils sont juste là. Tu ne tentes pas d'y faire quelque chose et tu continues d'avancer. Accepter c'est ça. Laisser l'émotion vivre, car si l'émotion sort, c'est que le trauma aussi. Les émotions sont des alliés, pas des ennemis à combattre. Elles sont là pour réguler. Alors laisse-les faire leur travail. La vie est faite de haut et de bas, et c'est juste la vie. Les vagues, les cumes, le vent, les oiseaux qui chantent, le soleil, la lune et toi qui grandis à ton rythme. J'ai appris à surfer quel que soit le sens ou la hauteur des vagues, voire même leur absence. J'ai appris à mettre à profit chaque changement d'énergie. Aucun moment n'est perdu, même ceux où j'ai le sentiment de me perdre. J'ai appris à voir les bénédictions cachées dans les orages, les ouragans et les larmes. Alors oui, ce n'est pas agréable, mais jamais inutile. Je me suis habituée à en lasser chaque part de moi comme pour leur dire « Ok, je te vois, tu as le droit d'exister » . Ce n'est pas glamour. Bon, ce n'est pas sexy, pas instagrammable, mais c'est humain. Et on ne devrait pas le fuir. Fuir, c'est repousser l'inévitable, cacher la poussière sous le tapis et faire semblant que tout est propre. À quel moment sommes-nous devenus lâches au point de se fuir soi-même, de ne plus être à l'écoute de la personne qui nous impacte le plus, c'est-à-dire nous-mêmes ? Ça ne va pas. Ok. Ressens. Puis on en parle après. Et si on creusait pour comprendre pourquoi ? Je sais que ce n'est pas agréable, mais c'est nécessaire et tu n'es pas seul. Qu'est-ce qui ne va pas ? Qu'est-ce que tu ressens ? Depuis combien de temps ? Est-ce que cela dépend de toi ? Que devrais-tu changer, améliorer les choses ? Sache que quoi qu'il arrive et qu'importe ce que tu ressens, tu as toujours le pouvoir de choisir. Le plus grand risque, lorsque les vagues deviennent trop fortes et nous submergent, c'est de se perdre. Ne plus savoir dans quelle direction on allait, ne plus avoir pied, ne plus rien voir à l'horizon. Parfois, ce n'est pas si soudain que ça. On s'éloigne juste un peu, chaque jour, du rivage. Le courant nous emporte doucement, comme lorsqu'on fait la planche à la plage, pendant quelques minutes et qu'on réalise qu'on n'est plus en face de notre serviette déposée sur le sable. C'est exactement ces petits écarts répétés. qui construisent petit à petit un mal-être parfois si profond qu'on ne se reconnaît plus. Aller à l'encontre de qui tu es, de tes valeurs, de ta personnalité, c'est te trahir progressivement toi-même. Cela produit peu à peu des failles qui à tout moment peuvent briser les fondations essentielles qui ont été construites. Combien de fois t'es-tu forcée pour faire plaisir, pour convenir, pour ne pas déranger ? Combien de fois n'as-tu rien dit alors que même ton corps criait ? Combien de fois as-tu fait semblant d'être une personne que tu n'es pas ? Non mais ça va, je prends sur moi. Ok, mais combien de temps ? Est-ce que ça en vaut réellement la peine ? Ta santé ? Ton bonheur tout le temps ? La vie, ta vie, est précieuse. Et tout ce qui fait de toi qui tu es est unique. Ne te perds pas. Et si jamais il t'arrive de te perdre, sache qu'il y aura toujours une bouée à laquelle t'accrocher. Mais c'est à toi de lever la tête hors de l'eau pour la percevoir. Souvent c'est ce qui est le plus dur, je sais. Mais ce n'est pas impossible. Alors Ausha. Encore. Un jour j'ai lu cette phrase qui disait « Tu n'es pas en dépression. Tu es en désaccord profond avec la vie que tu mènes. » Ça a tellement résonné en moi. Et comme pour venir la compléter, il y a eu celle qui dit « À force de ne pas trahir les autres, combien de fois t'es-tu trahi toi-même ? » Voilà. C'est ça le point de convergence de toute ma vision. Toi. Car après des années à étudier les êtres humains et leurs comportements, j'en suis arrivée à ce constat. La source de tous les maux est de ne pas se connaître soi-même assez, de s'éloigner de qui on est, de ne pas se rester fidèle. Alors ça donne des êtres humains blessés, abîmés, perdus, en quête de sens et d'épanouissement. Et comme le hasard n'existe pas et que tout est parfait, j'ai l'immense privilège et le plaisir de t'annoncer qu'un test est désormais disponible. Pas n'importe quel test, un révélateur de tes préférences comportementales, un outil bienveillant qui ne juge pas et ne t'enferme pas dans une case. En quelques minutes, il dresse une cartographie fine des mécanismes internes, moteur d'action, zone de tension, profil de stress, besoin prioritaire. Résultat, tu as entre les mains une fiche ultra-visuelle claire activable qui permet d'aller directement à l'essentiel. Il est accessible à un prix tout doux, alors tu n'as aucune excuse pour ne pas te connaître. Il est disponible afin que tu puisses réaliser à quel point tu es une personne unique, exceptionnelle, capable de réaliser tes ambitions les plus folles. Ce n'est pas qu'un simple test. Tu pourras concrètement te voir dans le miroir, savoir quels environnements ne te sont pas favorables et ceux où tu brilles sans effort. Désormais, tu seras en capacité d'éviter les sources de stress, les situations qui drainent ton énergie. Tu auras enfin le choix de te choisir. Je l'ai moi-même effectué et je peux t'assurer que je n'ai jamais fait de test aussi pertinent et juste. Pas de jargon compliqué, pas de questions incompréhensibles, juste de la simplicité pour t'offrir l'excellence. Tu obtiendras un rapport détaillé, hyper pratique et concret. Et serait sur le gâteau, tu peux prendre un rendez-vous avec moi, afin qu'on approfondisse ensemble les potentielles horizons qui n'attendent que toi. 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