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Ne me cassez pas le peigne

Engage toi ou crève

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38min |12/12/2024|

176

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Description

🎙 Épisode explosif de "Ne me cassez pas le peigne"

Dans cet épisode sans filtre, Julie Verrons vous plonge dans les défis de l’engagement, clé ultime pour transformer votre salon et votre vie pro. Avec sa franchise légendaire, elle démonte les excuses, éclaire les peurs et montre pourquoi bouger son "cul" de la zone de confort est indispensable pour avancer.

Julie partage son parcours, ses galères, ses victoires et l’importance de rester fidèle à ses valeurs, quitte à dire "NON" aux opportunités qui trahissent son intégrité. Elle s’adresse à toutes les coiffeuses ambitieuses : tu veux des résultats ? Engage-toi à fond, ou arrête de rêver.


🔥 À retenir : Le succès n’arrive pas sans risque, sans engagement et sans choisir les bonnes batailles. Si toi aussi, tu veux passer un cap, cet épisode est une vraie claque (et un boost d’énergie).


➡️ Inscris-toi à la prochaine masterclass et viens découvrir comment la méthode Lionne peut transformer ton business.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure. Présentez Farjouli Véran. Hello, hello tout le monde. J'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. Donc aujourd'hui, ça va être un épisode, je ne sais pas trop comment l'appeler. Donc ça va être une discussion ouverte en fait, que je vais vous proposer. J'ai la voix un peu cassée, je vous prie de m'excuser. Je vais parler doucement, je vais parler près du micro, je vais monter le son du micro, je vais tout faire pour que vous m'entendiez bien. Je ne vais pas crier parce que j'ai mal au... Depuis Cancun, en fait, j'ai mal au code vocal jusque dans les oreilles. Donc, je vais parler doucement en espérant que vous m'entendiez bien et que le son soit bien. Je vais me coller devant mon micro. Je vais tout faire pour que ça fonctionne et que ce soit bien. Voilà. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous passez un bel hiver. Pardon, c'est méchant, pardon. Mais quoi qu'il arrive, c'est l'hiver. Puis n'importe où dans le monde où vous êtes, c'est l'hiver. Puis moi, il fait beau. Donc voilà, nous c'est la bonne période, il fait beau. Il ne fait pas chaud, il ne fait pas trop chaud, mais il fait assez chaud pour qu'on puisse aller à la mer et se baigner, mais il ne fait pas trop chaud. Donc, pardon, excusez-moi, j'ai perdu la voix, ça sera le karma, puis c'est tout. Donc voilà. Aujourd'hui, j'avais envie de parler d'un sujet qui me tient à cœur, qui s'appelle l'engagement. Pourquoi ? Parce que j'ai beaucoup d'appels, j'espère que ça va enregistrer, oui c'est bon. Donc j'ai beaucoup de gens qui m'appellent en ce moment, qui veulent avoir des appels, tout ça. Et l'engagement, en fait, revient souvent. L'engagement et l'engagement qu'on est prêt à mettre sur soi. On se demande en fait qu'est-ce que j'apporte et qu'est-ce que j'amène et qu'est-ce que le business de la coiffure peut être évolutionné par la lione. Eh bien, pardon, vous voyez, ce n'est pas terrible à la voix, mais bon. Eh bien, en fait, c'est l'engagement. Je n'ai pas réinventé la roue du business. Je n'ai pas trouvé une méthode infaillible qui va vous faire. passer de zéro à millionnaire d'un coup du jour au lendemain. Je n'ai pas les clés de la richesse absolue, je n'ai pas les clés qui vont vous permettre d'acheter une Ferrari demain matin si c'est votre souhait ou de voyager à travers le monde si c'est votre souhait. J'ai juste une clé qui, avec votre engagement, va vous donner la possibilité de générer du chiffre d'affaires et d'acquérir une rentabilité dans votre entreprise. Et ça passe par l'engagement. Et là, vous allez me dire, c'est quoi l'engagement ? L'engagement, en fait, c'est la promesse que tu te fais à toi-même. C'est le choix, en fait, que tu te donnes. Est-ce que j'ai le choix, en fait, de m'abandonner ou est-ce que j'ai le choix d'avancer ? Et là, ce qui revient en ce moment beaucoup, c'est la peur. J'ai peur. J'ai peur de ne pas pouvoir payer. J'ai peur de ne pas pouvoir me payer. J'ai peur de ne pas pouvoir payer mes factures. Mais la question à se poser, en fait, est la suivante, c'est si je ne fais rien, si je fais tout comme je faisais avant, Si je ne mets rien en place, est-ce que je vais avoir des résultats différents ? Est-ce que je vais être capable de générer plus de chiffre d'affaires ? Est-ce que je vais être capable de me payer davantage ? Est-ce que je vais sortir mon cul de la merde ? En fait, c'est ça. Moi, j'ai quelqu'un que j'admire beaucoup et que j'apprécie beaucoup. On ne se parle plus vraiment beaucoup, mais ça ne fait rien, elle est dans mon cœur quand même. C'est Barbara qui m'avait dit, un jour... Il m'avait dit Tu sais Julie, les gens sont faits ainsi. La merde, c'est chaud et c'est confortable. Donc quand tu as le cul planté dedans, tu trouves que c'est chaud et c'est confortable. Ça pue un peu, tu vois, ça pue. Mais au bout d'un moment, à force de sentir l'odeur, il ne la sente plus. Donc qu'est-ce qu'il garde ? C'est la chaleur et le confort. Donc à partir du moment où tu te soulèves le cul, vous voyez l'image, tu te soulèves le cul de la merde. et tu te dis oh putain j'ai froid au cul, oh putain ça pue encore plus, et oh putain il va falloir que j'aille me laver, que je redevienne avec le cul propre en fait, et ça ça va me faire chier. Donc je préfère rester le cul planté dans la merde, mais vraiment bien profond en fait, pour être sûre, pour être sûre en fait que je ne sorte pas de ma zone de confort, et pour être sûre que, au cas où, ben, tu sais au moins... J'ai quelque chose à manger si jamais j'en ai besoin. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est horrible quand on dit ça. Vous vous dites, ah mon Dieu, je suis en train d'écouter le podcast, puis il est 7h du mat, puis elle me parle de merde. Mais en fait, je suis confrontée à ça tout le temps. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Des gens, en fait, qui veulent changer, sans changer tout en changeant, mais surtout, qui ne veulent pas se mettre dans des situations inconfortables au cas où ils auraient été. Mais en fait, moi, je le dis souvent, puis c'est quelque chose qui m'a été beaucoup reproché. Il ne faut pas croire que ma position à moi, elle est facile. Ma position à moi, elle n'est pas facile. Elle n'est pas facile du tout. Pourquoi ? Parce que, comme vous, en fait, je dois avoir des clients, je dois faire... Je dois avoir des clients qui me rémunèrent. Je dois lancer des projets. Je dois prendre des risques. Je prends beaucoup plus de risques. Et plus ton entreprise, elle grandit, et plus tu prends des risques, en fait. Les risques sont proportionnels, en fait, au chiffre d'affaires. Plus tu fais du chiffre d'affaires, et plus les risques vont être importants. Pourquoi ? Parce que plus tu grandis, en fait, et plus la chute, elle peut être grande. Donc, tu prends de plus en plus de risques. Voilà, c'est comme de la drogue, en fait. C'est-à-dire que tu peux choisir d'arrêter, tu vois, mais tu peux choisir en fait toujours de prendre la dose supplémentaire. Et pour moi, mon travail, c'est comme de la drogue en fait. Je choisis toujours de prendre la dose supplémentaire. Alors on peut se dire, est-ce qu'un jour je vais faire une overdose ? Peut-être. Mais je suis accro à mon job, vraiment. Vous voyez, on est dimanche, il est 14h36, je viens de faire des appels, je viens de travailler sur mes stratégies. Et je suis debout depuis 6 heures du mat. J'en ai rien à foutre en fait. Parce que pour moi, ça me nourrit plus que de dormir le matin. Ça me nourrit plus que de rien foutre. Ça me nourrit plus que d'aller à la plage, de faire mon job. Ça m'apporte beaucoup plus en fait que de rester le cul assise dans ma merde. Et pourtant j'y ai été dans la merde. J'ai été conditionnée à vivre dans la merde. En fait, pour être tout à fait honnête. J'ai été en fait... Moi, j'ai pas honte de le dire, j'ai été élevée par des parents qui n'avaient pas d'ambition, ou très peu, qui étaient conditionnés à faire leur job, puis c'est tout. Mon père, il a fini sa vie, il était au RSA, parce qu'il avait des problèmes de dos et tout ça. Il aurait pu faire comme moi, c'était un putain de peintre en plus, un putain d'artiste, hyper rigoureux mon père, mais vraiment hyper rigoureux. C'est capable de peindre au pinceau, sans mettre de scotch pour pas déborder, c'était vraiment quelqu'un d'hyper rigoureux dans son travail. et extrêmement travailleur, vraiment. Mais artiste, tu vois, genre, la vie est faite de l'endemain que je ne verrai pas. Et il aurait pu se dire, moi j'ai mal au dos, plutôt que d'attendre qu'on me rémunère pour mon dos, je vais monter un empire, tu vois. Je vais créer des centres de formation, puis je vais aider les jeunes à peindre, etc. Puis je vais me planquer là-dedans, tu vois. Il aurait pu faire ça. Il n'a pas voulu. Lui, il a attendu, il ne savait pas trop. Il n'a jamais été trop entrepreneur. Mais il n'a pas voulu, il n'a pas fait. Il a fini au RSA, en fait. Dans une mort de merde, honnêtement, personne ne veut mourir de cette mort-là, honnêtement. Et même quand j'en parle, pardon, je me dis, on ne peut pas, en fait, avoir vécu et se dire que tu t'écrases comme ça. pas te laisser la chance en fait des choses c'est pas possible tu peux pas te laisser la chance en fait de te dire ah ben moi de toute façon on me propose des solutions puis j'en veux pas parce que j'ai envie de vous j'ai envie de mourir comme une merde on peut pas dire ça en fait on peut pas se dire ça et 1 et moi en fait pour moi c'est aucunement une possibilité je je vis comme si c'était impossible de c'était en fait pour Je ne sais pas comment vous dire, pardon, je reprends mes esprits, mais pour moi, être en bas de l'échelle, en fait, ce n'est pas une possibilité. Me dire que je suis victime, en fait, ce n'est pas une possibilité. Je ne me laisse pas la chance, en fait. Donc, qu'est-ce que je fais ? Je m'engage. Je m'engage chaque jour. Je m'engage chaque jour à faire mieux. Je m'engage chaque jour à faire plus. Je m'engage chaque jour, en fait, à... à aller de l'avant. Je suis sûre que sans cet engagement-là, je serais capable de me dire des fois Je ne peux pas, je ne le fais pas, j'arrête. Vous voyez, on est dimanche, puis je l'ai dit. On est dimanche, puis je pourrais me dire Ah, moi, non, moi, tu sais, j'ai envie d'aller à la plage, j'ai envie de me mettre les doigts de pied en éventail. Je pourrais, tu sais, je prends ma voiture, je fais 20 minutes de bagnole et j'y suis. Il fait beau, il fait 29 degrés aujourd'hui, il y a grand soleil, et je suis dans mon bureau. Je viens d'annuler mon voyage en Inde. Je devais aller en Inde avec ma cousine. J'ai annulé. Pourquoi ? Parce que mon entreprise prend une expansion que je n'avais même pas vu aller, que j'ai choisie, que j'ai voulu, mais que je n'ai même pas vu aller. Et donc du coup, je me dis, il faut que je le gère. Je ne peux pas dire à mes clients, non, non, écoute, pas de problème. Moi, je prends deux semaines et je serai en Inde. Pendant que toi, tu seras en train de galérer avec ton entreprise. Non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Je ne peux pas dire Ah ben moi je vais organiser Cancun, puis tu sais, si il y a pendant deux semaines je ne suis pas là, ben c'est correct. Non, je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas faire ça. Donc j'ai choisi, j'ai fait un choix, et ce choix en fait il s'appelle l'Institut Lyon. J'ai plus de voix, je suis fatiguée des fois, puis des fois je me dis je m'arrêterai bien, puis je le ferai plus tard. Je le ferai plus tard parce que je n'ai pas envie de mourir d'une mort de merde. En m'étant dit je verrai plus tard non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Et donc, c'est comme la drogue. C'est-à-dire qu'en fait, quand tu as atteint des scores, la chute est plus grande si tu t'arrêtes. Donc, c'est ça en fait le défi. Un jour, je retrouverai un certain confort en me disant je peux faire ce que je veux, puis j'ai des gens qui travaillent pour moi, mais je ne le fais pas pour l'instant. Voilà, je ne le fais pas pour l'instant. Donc ça, c'est quelque chose que je voulais vraiment en discuter parce qu'on parle beaucoup de coaching et tout ça. Puis il y a beaucoup de gens qui sortent de ça, qui le font plus ou moins bien, plus ou moins sérieusement, plus ou moins avec des compétences. Et en fait, je me dis, mais OK, je veux dire, OK, il y a de tout, un peu de tout. Puis moi, j'ai ouvert le marché, puis je suis bien contente de l'avoir fait. Aujourd'hui, il y a un peu de tout qui sort sur la toile. Combien d'entre nous le font sérieusement ? Combien d'entre nous le font réellement sérieusement ? Puis c'est quoi être accompagné réellement ? Avoir un coach, un mentor, c'est réellement avoir quelqu'un qui te prend au trip et qui te dit putain, quand tu fais une merde, excusez Tyson, quand tu fais une merde, il faut qu'il y ait quelqu'un qui soit capable de te rattraper dans ta merde, qui soit capable de te sortir de là. Et que ce soit confortable ou non, il faut que tu sois capable de l'entendre, il faut que tu sois capable de te faire saisir. Il faut que tu sois capable de te faire saisir et que de cette empoignade, tu récupères des astuces et des stratégies qui te permettent de ne plus jamais tomber là. Moi, je suis tombée loin, je suis tombée bas. Moi, je n'ai pas honte de le dire que je me suis fait saisir ma bagnole. Je n'ai pas honte de le dire que je suis partie au Québec, je n'avais pas d'argent. Je n'ai pas honte de le dire que j'ai monté un salon avec 2000 balles. Je n'ai pas honte de le dire que ça n'a pas toujours été facile, que j'ai vécu dans un appartement où il n'y avait pas de meubles. Quand j'en parle comme ça, je me dis que ça fait comme genre... c'est un peu le discours de tous les coachs, genre ouais, moi je suis partie de rien, je suis partie de zéro, puis je suis arrivé, j'ai explosé les scores, etc. Je pense que tant que t'as pas bouffé de la merde, t'es pas capable de performer. Pour performer, il faut avoir bouffé de la putain de merde. Il faut vraiment avoir été au 36ème dessous pour te dire que cette situation-là, tu la veux plus jamais. Plus jamais, en fait. Tu veux plus jamais être là. Tu veux plus jamais te retrouver là. Tu veux plus jamais avoir à vivre ça. Et comme je l'ai dit cette semaine dans mes stories, je remercie les gens qui n'ont pas cru en moi. Je remercie tous ceux qui pensaient que j'étais une putain d'imposteur, qui m'ont bâchée, qui m'ont détruite sur les réseaux, qui ont fait en sorte de me faire du mal. Je pense notamment à des commentaires, puis je ne remettrai pas le nom, parce que ce n'est pas nécessaire. C'était un groupe de coiffeurs qui se pensaient plus intelligents qu'à moyenne, et qui ont fait un putain de poste, qui m'a tué, qui m'a détruit, qui a voulu me détruire, qui pensait faire plus malin, qui pensait prendre ses couilles dans sa main et se dire la verron on va la dégommer, mais la verron tu la dégonneras jamais ! Je suis un peu comme le pissenlit, tu vois, tu l'arraches, puis il y en a deux, trois qui repoussent. Donc, tu ne m'auras jamais, tu vois, c'est vraiment ça. Puis ce n'est pas pour me vanter, c'est pareil. J'ai voulu faire de la formation. Puis aujourd'hui, en fait, on m'a dit, cette semaine, quelqu'un m'a dit, puis très justement, Oh mon Dieu, mais avec un coup de deux, tu vas te mettre à dos les centres de formation. Mais en fait, les centres de formation, ils n'ont jamais voulu de moi. À part un, qui est Educatitude. Sinon, les centres de formation n'ont jamais voulu de moi. Ils se sont dit, Mais c'est qui cette conne ? C'est qui cette conne tatouée de partout, qui a l'air de ramener sa fraise et qui nous fait de l'ombre là ? C'est qui cette teubée là ? La teubée en fait, elle est en train de révolutionner le monde de la coiffure. et en fait de te balayer au passage. Donc en fait, bienvenue à la teubée. Moi, ça me fait rire, tu vois, parce que je me dis, c'est ce que j'ai répondu d'ailleurs à cette charmante personne. Je lui ai dit, ils n'avaient qu'à me faire confiance quand c'était le moment. Et elle m'a répondu un truc très juste. Elle m'a dit, il y en a qui pensent qu'il faut ouvrir le parapluie quand il pleut, mais des fois, il faut déjà ouvrir le parapluie quand il fait beau. Parce que des fois, quand il pleut, ton parapluie est cassé. Et puis quand il est cassé, c'est trop tard. ils ne te protègent pas de la pluie. Donc c'est exactement ça. Donc voilà, je voulais vraiment parler de ça parce que je voulais vraiment dire à tous ceux qui hésitent de se choisir, de se faire accompagner, coacher, mentorer, etc. que c'est un passage qui évite bien des conneries, bien du stress, bien des choses qui sont désagréables et qui pourraient être tellement évitées. Faites le coaching, c'est pour éviter de te retrouver dans des situations désagréables. Cette situation où tu te dis putain, je me serais bien passé de cette merde Et pourtant, tu vois, c'est ça. Et comme je l'ai déjà dit, je ne veux pas de personnes qui ne sont pas engagées. Des gens qui ne sont pas engagés, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui abandonnent, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui ne sont pas capables de voir la différence entre la qualité ou... ça ne m'intéresse pas, des gens qui ne sont pas capables de savoir pourquoi ils le font, ça ne m'intéresse pas. Et je connais mes capacités aujourd'hui. Quelqu'un aura beau dire Ah mais Julie Véran, c'est trop de la merde, ça ne marche pas, etc. Je connais mes capacités aujourd'hui et je sais ce que j'amène, j'en suis convaincue. Et aujourd'hui, je n'ai pas besoin qu'on me fasse ma pub, je n'ai pas besoin. J'ai surtout besoin d'avoir des clients qui réussissent. Moi, mon moteur, en fait, ce n'est pas la publicité que quelqu'un va me faire pour voir. Mon moteur, c'est la réussite de mes clients. Mon moteur, c'est de faire évoluer le métier de la coiffure. Mon moteur, en fait, c'est que les gens puissent faire du business et savoir exactement qu'en coiffure, on a le droit de gagner sa vie, le droit de gagner de l'argent, le droit d'être important, le droit de se sentir important. Ça, pour moi, c'est important. Ça, pour moi, c'est quelque chose. Quand je fais les masterclass à Cancun, je ne le fais pas pour gagner de l'argent parce que sinon, très sincèrement, je ne ferais pas ça. Je le fais parce que mon métier pour moi est important. J'en ai souffert qu'on dise que j'étais une conne de coiffeuse, que j'avais rien, que j'avais un pois chiche dans la tronche, ou que mes clients me disaient... J'ai un client qui m'a dit Vous parlez plusieurs langues, vous êtes plus intelligente que la moyenne des coiffeuses. Mais je t'emmerde en fait. Je t'emmerde mais vraiment profondément. Ou un client qui m'a dit Ah mais c'est plaisant de faire la discussion avec vous, vous avez l'air tellement intelligente. Mais en fait, c'est quoi en fait ? Ça n'a rien à voir avec l'intelligence ou pas l'intelligence, ça a à voir avec la culture. On peut être qui on veut et être cultivé, et on peut être qui on veut et être con comme une valise. Mais réellement, tu peux être avocat et être le plus grand des connards, et tu peux être éboueur et être la personne la plus intelligente et la plus pertinente que je connaisse. Le métier, le niveau social, le rang social n'a rien à voir là-dedans. Et si vos clients vous rabâchent en fait que... Oh mais c'est cher, oh mais c'est ceci. Et en fait voilà, j'ai, en fait moi j'ai compris que j'ai rien à prouver et à montrer à personne. Mais rien du tout, que dalle. Je peux m'habiller comme je veux en fait, j'en ai rien à foutre. J'ai pas besoin de montrer que j'ai des, que je m'habille comme une duchesse en fait. Parce qu'en fait, tu peux t'habiller comme une duchesse, puis je fais un petit clin d'œil à ma copine. Tu peux t'habiller comme une duchesse en fait, et avoir l'air d'une conne. Et avoir joué la conne. et avoir été une conne pendant longtemps, et à croire en fait que t'es sortie de la cuisse de Jupiter alors que t'es même pas sortie du trou du cul d'Apollon, je suis désolée de le dire, mais c'est ça pareil ! C'est ça pareil ! Il y en a qui se donnent du genre, tu vois, avec les fringues et tout, mais ça sert à rien en fait ! Ça sert à que dalle ! Tu peux te... Tu sais, je veux dire, tu peux être habillée simplement et être la personne la plus pertinente du monde. Et tu peux être coiffeur en fait dans un village et avoir le plus grand talent du monde. Et tu peux être coiffeur... à la capitale et n'avoir aucun talent. Voilà, on s'en fout en fait. On s'en fout, on a le droit d'être qui on veut. On a le droit d'être qui on veut et de faire ce qu'on veut et d'être la personne la plus experte pour la clientèle qu'on se choisit. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas vouloir faire tout le monde et coiffer tout le monde, etc. C'est avoir une expertise et de rejoindre sa clientèle. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas se dire moi je vais me donner un style Je vais m'habiller comme ça, puis je vais avoir l'air d'une bourge, alors qu'en fait, je mange des boîtes de thon. Mais on s'en fout, en fait. Posséder quelque chose, posséder un sac, posséder ci, posséder là, c'est pour impressionner des gens, en fait, que... C'est pour impressionner une communauté dont tu ne feras jamais partie au final. Aller dans un yacht, voler dans un jet privé. En fait, si c'est ce que tu veux faire, tant mieux. Mais d'abord, avant tout ça, avant toute chose, avant de montrer que tu as trois couilles, montre déjà que tu peux faire une différence dans ce monde. Montre déjà que tu as quelque chose à apporter aux autres. montre déjà en fait que tu es capable clairement de dans ta mission d'apporter un véritable résultat pour quelqu'un d'autre et de faire en sorte en fait que tu puisses changer la vie de quelqu'un d'autre et après tu te fera pousser une troisième couille ça te chante voyez ce que je veux dire donc quoi je dis ça pourquoi je m'emballe samba dit donc parce que parce que en fait on n'a rien à prouver aux gens On n'a rien du tout à prouver aux autres. La seule personne que tu dois impacter, en fait, c'est tes clients. C'est les gens qui sont autour de toi. C'est les gens que tu serres. Ce ne sont pas les gens qui te regardent et qui, en fait, avec les pop-corns, se mettent des pop-corns dans la bouche et se disent Oh mon Dieu, mais quelle connerie elle va nous faire encore aujourd'hui. On s'en tape totalement. Moi, je serre une clientèle et j'aide les entrepreneurs de la coiffure à développer leur salon. Et je ne m'occupe que des personnes qui sont engagées et qui veulent vraiment avoir un réel résultat parce que je suis convaincue de ce que j'apporte aujourd'hui. Je le sais. Je le sais plus qu'avant, plus que jamais en fait. Je sais ce que je suis capable d'apporter. J'amène de la vibe en fait dans la vie des gens. J'amène de la bienveillance. J'amène en fait une... Je fais une réelle différence dans le business des gens et aujourd'hui, je n'ai rien à prouver en fait. Mais rien. Rien parce que ce que je construis, généralement, depuis un certain moment, parce que j'ai construit des trucs qui n'ont pas marché, mais depuis un certain moment, ça fonctionne. Pourquoi ça fonctionne ? Vous pensez que depuis un moment, je n'aurais pas pu avoir quelqu'un qui dise Oh mon Dieu, mais c'est trop de la merde, n'achetez pas chez elle, c'est trop de la merde, etc. J'ai évolué, je n'ai pas toujours fait du bon travail, je me suis formée, je me suis développée, j'ai développé mon mindset, mon esprit pour pouvoir faire du bon travail. Je me suis formée de ouf. Je n'ai pas toujours été une bonne coiffeuse, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours été une bonne coach, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours fait des bonnes choses dans mon business, mais je me suis formée pour le faire. Et je me forme encore. Et je pense que l'humilité, en fait, fait partie de mes plus grandes qualités. C'est-à-dire que moi, pour moi, en fait, je n'ai pas trois couilles, mais vraiment pas. Et je n'en ai jamais eu, en fait. J'ai fait des erreurs, j'ai fait des choix. J'ai fait des choses qui m'ont amené quelque part et j'enseigne ça. Mais moi, je ne sais pas, je ne sais pas, je te le dis comme ça, je te dis juste ça. Genre, quand tu choisis quelqu'un pour t'accompagner, quand tu choisis quelqu'un parce que tu te dis je vais prendre un tel parce qu'il est moins cher que Julie Véron, puis en fait, kiff kiff, ça doit se toucher je te dis juste un truc. Quand tu choisis la personne qui va t'accompagner dans ton business, demande-toi quels sont les résultats que tu veux avoir. déjà première chose deuxième chose en fait demande toi est ce que cette personne a eu les résultats que toi tu veux avoir et renseigne toi bien d'accord troisième chose regarde ce que ton coach est capable d'accomplir pour son entreprise aujourd'hui ok donc déjà là déjà ça donne des indications ok bon très bien est ce que en fait c'est du c'est du bluff ou est ce que c'est réellement quelque chose qui est arrivé c'est à dire la meuf est ce qu'elle a construit des trucs qui l'ont amené vers un certain palier. Tu vois, moi, par exemple, je te donne un exemple. J'ai monté la méthode Lyon. J'ai formé plus de 200 coiffeurs à la méthode Lyon. J'ai monté la masterclass à Cancun. J'ai amené 150 coiffeurs. Je développe le numéro 2. J'ai en fait la possibilité aujourd'hui de montrer les résultats de mes clients. J'ai la possibilité en fait, même si je n'ai pas beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux, de développer quelque chose qui fonctionne. Donc, pourquoi je dis ça ? Pourquoi je me débat aujourd'hui face à vous ? Parce qu'en fait, la réussite, elle ne dépend pas de moi. Parce que moi, en fait, si vous regardez ce que j'ai déjà fait, vous voyez que je suis capable de le faire. Je suis encore capable et je serai encore capable demain. Mais demandez-vous, vous, quel est l'engagement que vous voulez mettre pour votre entreprise ? Quelle est la main que vous voulez ? Quel est le bouton que vous voulez actionner pour que votre entreprise fonctionne ? Parce que moi, la mienne, je suis capable de la faire fonctionner. Ce qui montre que je suis capable de faire fonctionner celle des autres et que je suis capable de montrer comment on est capable de générer du chiffre d'affaires et de la rentabilité. Mais sans engagement, sans ton engagement, sans ta vision, il n'y a rien qui se passe. Et surtout, si tu n'es pas capable de t'engager pour le changement, il n'y a rien qui va se passer. Moi, j'ai monté toutes les choses que j'ai montées récemment parce que je me suis faite accompagner par quelqu'un, par plusieurs. et que je suis toujours accompagnée aujourd'hui. Et qu'on a beau avoir un milliard d'idées à la seconde, quand on est créatif, quand on est coiffeur, quand on est entrepreneur, mais la plupart du temps, c'est une seule idée qui va vous amener au succès. Une seule. Une seule idée. Une seule idée avec une seule clientèle cible qui va vous amener vers le succès. Ce n'est pas un milliard d'idées, c'est une seule idée. Une seule idée qui va vous amener quelque part. Moi, la seule idée qui m'amène quelque part aujourd'hui, C'est la méthode Lyon et c'est la seule clientèle que j'ai envie de servir, c'est les coiffeurs. La seule. Est-ce que c'est facile tous les jours ? Non, ce n'est pas facile tous les jours. Comme vous, quand vous coiffez en salon, ce n'est pas facile tous les jours. Est-ce qu'on critique mon prix ? Bien sûr. Est-ce qu'on se dit que c'est de la folie ? Bien sûr. Est-ce qu'on se demande si je me touche avec mes prix ? Bien sûr. Évidemment. Évidemment. Mais la valeur ajoutée que j'amène, est-ce qu'elle est bonne pour tout le monde ? Non. Est-ce qu'elle amène des résultats ? Oui. Est-ce qu'il faut s'engager pour ses résultats ? Bien sûr, évidemment, bien évidemment. C'est comme vous, vos clients, quand ils viennent au salon, quand on dit Ouais, mais tu devrais faire un épisode là pour parler des gens qui ne viennent pas au salon Mais est-ce que c'est des gens qui méritent votre service ? Est-ce que c'est des gens qui sont complètement engagés pour votre service ? Parce qu'avoir des beaux cheveux, c'est un engagement, on est d'accord ou pas ? C'est un réel engagement, avoir des beaux cheveux. Avoir une couleur entretenue, c'est un engagement, c'est-à-dire que tu dois y aller toutes les 4 à 6 semaines. Avoir des belles rallonges, des beaux cheveux, des belles extensions, pardon, je cherchais le mot en français. Des belles extensions, c'est un engagement. Tu ne peux pas te retrouver avec les cheveux qui descendent au niveau des oreilles, il faut que tu les remontes, tes extensions. Donc c'est un engagement. Avoir des cheveux bien entretenus, un beau blond, c'est un engagement. Avoir une entreprise qui tourne, c'est un engagement et donc les clients doivent s'engager pour ça. Ce n'est pas en fait Ok, je vais aller me faire couper les pointes Non, c'est un engagement, merde. Tu t'engages à avoir des beaux cheveux, tu t'engages à utiliser des bons produits, tu t'engages en fait à venir de manière régulière dans mon entreprise. Si tu loupes ton rendez-vous, que tu ne me préviens pas, c'est que tu as défailli en fait à ton engagement envers moi et envers toi-même. Est-ce que je dois continuer à t'accepter dans mon salon ? Non. Est-ce que je dois tirer la langue en fait et avoir la langue qui touche mon bureau ? pour me dire, je vais essayer de la reprendre. Non, non, tu ne reprends pas des gens qui t'ont manqué d'engagement et qui ont manqué de respect. C'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Donc, si toi, tu n'es pas capable d'être engagé envers ton entreprise, si toi, tu n'es pas capable de mettre des bonnes actions dans ton entreprise, comment tu vas avoir la bonne clientèle ? Comment tu veux que les clients choisissent ? Comment tu veux que les clients fassent preuve d'engagement envers toi ? Si toi-même, tu n'es pas capable d'en avoir. Si toi-même, tu n'es pas capable de choisir. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire stop. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire ok, non, ça y est, c'est bon, j'arrête. Tu vois ce que je veux dire ? Arrête. Arrête et prends les bonnes stratégies, fais les bonnes choses. Fais les bonnes choses au bon moment. Et arrête de penser en fait que c'est de leur faute. C'est de ta faute, ta posture. En tant que chef d'entreprise, en tant que leader, ta posture va déterminer la posture de tes clients. Je te jure. Si tu fais un diagnostic et que tu imposes des choses, je te jure, elles ne vont pas vouloir venir te contredire et te contrarier. Elles ne vont pas vouloir. Moi, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je dis, écoute-moi bien, si tu ne fais pas les shampoings et les soins que je te dis, déjà, non seulement, premier, je ne te coiffe plus. Et deuxième, à un moment donné, tu ne viendras pas te plaindre que tes cheveux tombent dans le lavabo. et que tu te retrouves chauve. Moi, je ne prends pas des responsabilités de ça. Et là, je leur parlais comme je vous parle en ce moment. C'est-à-dire que moi, en fait, le langage commercial, il n'existe pas. Il n'existe pas avec moi. C'est je t'aime et je te respecte énormément. Je t'aime et je te respecte parce que tu viens me voir. Je t'aime et je te respecte parce que tu t'engages dans mon entreprise. Tu payes. pour que je te coiffe ou tu payes pour que je te coach, mais en fait, je ne te trouve aucune excuse si tu me manques de respect ou si tu manques d'engagement envers toi-même. Parce que si tu n'utilises pas les bons produits, que tu prends des produits de grande surface, parce que là, je me suis engueulée avec un coiffeur cette semaine. Ça m'a gonflée. Ça m'a grave gavée, en fait. De ouf, même. Parce que moi, en fait, tout l'argent du monde ne viendra pas acheter mes valeurs. Aucunement. Jamais. D'accord ? Donc, ça veut dire que si on me propose un gros contrat, 2 millions, pour que je fasse de la publicité, pour de la coloration en boîte, je ne le ferai pas. Et je m'engage avec vous. Vous voyez ? je m'engage avec vous, je ne le ferai pas, même pour un million je le ferai pas, voilà, même pour un gros chèque je le ferai pas. Et donc là, j'ouvre mes réseaux, d'accord, et je vois ça. Il faut savoir que j'étais en processus de recrutement pour Cancun 2, et que les coiffeurs qui travaillent avec moi sont des coiffeurs en fait qui respectent, enfin qui respectent, qui ont les mêmes valeurs que les miennes. En fait ils ont même pas besoin de respecter mes valeurs. on a les mêmes valeurs, tout simplement. Et donc, là, il y a eu des gens qui ont postulé. Voilà. Et donc là, je vois qu'un coiffeur qui a postulé, ou en tout cas qui a montré un intérêt, a fait de la publicité pour de la coloration en boîte. Mais mon gars, c'est non. C'est 1 plus 1 égale non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. C'est pas possible. Et tu peux me dire, en fait, que l'avenir est... dans le produit de grande surface que le coiffeur, que la produit de grande surface paye mieux, que ça t'a fait un beau chèque, qu'on ne connaît pas ta réalité, que ci, que mi, j'en ai rien à foutre. Tu vois ce que je veux dire ? J'en ai rien à branler, mais total, mais vraiment. Totalement, mais total. Je m'en fous, en fait. J'en ai rien à foutre. Parce que moi, mon intégrité veut que tu as le droit de faire ce que tu veux. Mais moi, en fait, je me respecte. Et moi, je respecte mes convictions. Et moi, je me dis, c'est sûr que c'est non. C'était non déjà avant, mais là, c'est encore plus non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Ce n'est pas possible, en fait. Donc, vous voyez les balises de mon entreprise, comment elles sont claires, comment elles sont nettes, comment elles sont clean ? Eh bien, vos clients, quand ils rentrent dans une entreprise où les balises sont claires, sont clean, sont posées, ils ne s'essayent pas. Vous voyez ? Ils ne s'essayent pas. Ils n'essayent pas d'aller à l'encontre de ce que vous êtes. Ils ne s'essayent pas. Moi, mes filles, je le dis de source sûre, et elles écouteront sûrement le podcast, mes filles, elles sont hyper engagées. Quand elles ne sont pas engagées, qu'elles abandonnent, je ne les retiens pas. Je ne les retiens pas du tout. Je n'en ai rien à faire. Si on ne s'engage pas envers son entreprise, si on ne s'engage pas envers la personne qu'on est, ce n'est pas la peine de rester avec moi. Ça ne m'intéresse pas. Moi, j'ai des gens engagés. Je suis fière de mes filles. Je suis fière de mes Lyon, je suis fière de ce que je monte, je suis fière de mon entreprise, je suis fière de mes valeurs. Pourquoi ? Parce que je sais ce que j'amène et je suis fière de voir les coiffeurs vouloir s'engager là-dessus, vouloir se prononcer, se positionner là-dessus, vouloir se débattre chaque jour pour montrer qu'en fait le métier de la coiffure ça vaut quelque chose. Pour montrer qu'on est une industrie qui se tient debout, on est une industrie qui apporte du bonheur aux clients. mais qui ne sont pas prêts à tout, on n'est pas prêts à tout pour se faire marcher sur les pieds. Et donc, aujourd'hui, on se positionne et on met nos valeurs à la bonne place. Voilà. Et que moi, en fait, demain matin, Schwarzkopf peut m'appeler et me dire Bon, là, si tu faisais de la pub pour le spray racine, machin... Mais non. Non. Je suis désolée. Non. Parce que tu peux pas après dire au coiffeur Oh mais non, mais t'inquiète, c'est pas grave, mais je reste quand même professionnelle. Non, tu peux pas. C'est foutu, tu t'es tiré dessus. Tu t'es tiré dessus. C'est foutu, tu peux être la meilleure personne, la personne la plus gentille de la Terre, mais tu t'es tiré dessus, putain, mais t'es quoi ? T'es débile ? Tu t'es tiré dessus à une profession qui galère déjà pour proposer en fait ses produits professionnels et de faire comprendre aux... Ginette, le bénéfice de ça, et toi tu nous tires dessus, mais va chier en fait. Va chier, voilà. Va chier, c'est tout. Désolée. Je n'étais pas partie pour ça. De base. Je n'étais pas partie pour ça. Je n'étais pas partie pour ça. Pardon. Je n'étais pas partie pour faire un podcast comme ça, avec des gros mots et tout. Je n'étais pas du tout partie. Je suis là, ouais, non, on va faire pas crête papillon. ça va rouler vous allez voir et je n'étais même pas parti pour faire cette durée là En plus, je m'étais dit non, ça va être beau. Et en fait, non, c'est non. Merci beaucoup de m'avoir écoutée. Une chose est sûre, si vous vous engagez, engagez-vous. Si vous voulez du changement, il faut s'engager. Si vous voulez que quelque chose bouge dans vos entreprises, il faut s'engager pour le changement, pour le renouveau et pour tout. Vous ne pouvez pas vous dire, je veux changer, mais je ne m'engage pas. Ce n'est pas possible. On a peur, oui, elle existe. La peur de ne pas réussir, la peur d'échouer, elle existe. Elle existera toujours. Elle sera toujours présente. J'ai peur pour mon entreprise tous les jours. J'ai peur de ne pas réussir. J'ai peur de ne pas y arriver. J'ai peur qu'on n'achète pas mes choses. J'ai peur de ne plus avoir de clients. J'ai peur en fait que ma masterclass, elle ne se vende pas. J'ai peur que les formateurs, ils se disent Ah non, Julie Véron, c'est trop de la merde. J'ai peur, vous voyez, j'ai peur tout le temps. Mais est-ce que ça m'empêche d'avancer ? Non, ça ne m'empêche pas d'avancer, putain. Si je n'avance plus, je meurs. Si je n'avance plus en fait, je fais comme mon père en fait. Je meurs. Je meurs dans une mort de merde. Dans une mort où je me dis, j'aurais dû, si j'avais su, j'aurais pu. Mais je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je veux être fière de moi et je veux que mes enfants soient fiers de moi. Je veux être fière en fait. Je veux être fière de moi et être sûre que quand ce sera mon temps, mon moment, je vais accomplir des trucs, des trucs de ouf, des trucs de dingue. Moi je suis quelqu'un qui aime les trucs de dingue. Tu fais pas le tour des Etats-Unis en camping-car pour faire Québec-le-Mexique en dormant dans des parkings de supermarché pour pas faire des trucs de ouf. Vous voyez ce que je veux dire ? Voilà. C'est ça en fait ma vie. Ma vie c'était ça. Voilà. Tu fais pas en prenant ton chien et tes trois valises, en ayant un peu d'argent dans tes poches pour aller dormir dans un appartement pas de beuble pour faire Toulouse-Québec pour te retrouver à faire des trucs de merde. Non c'est pas ça. Vous voyez ce que je veux dire ? Non, moi ma vie elle est exceptionnelle. Et j'ai envie qu'elle reste exceptionnelle. Voilà, j'ai envie de... Je m'offre un standing exceptionnel. Et donc, qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que je ne laisse pas la place à la médiocrité. Voilà, tout simplement. Je vous remercie de m'avoir suivi. Excusez-moi, je vais éternuer, ça se peut. Merci de m'avoir suivi. Je vous souhaite... Sinon j'arrêterai pas de parler là. Sinon il n'y aura plus... Voilà, je ferai un épisode de 3 heures là. Merci de m'avoir suivie, on se retrouve au prochain épisode. Et n'oubliez pas de vous abonner, n'oubliez pas qu'on dévoile les formateurs pour la Masterclass Cancun le 8 janvier, et que les pré-ventes pour ceux qui étaient là présents cette année vont avoir lieu le 12 janvier, les ventes générales le 19 janvier, et que la méthode Lyon ferme ses portes le 10 janvier. Voilà, donc on se retrouve. Pour la masterclass gratuite du 6 au 10 janvier, vous pouvez vous inscrire dès à présent. Le lien est en bio, à la bio, pardon, de mon Instagram. Vous avez le lien en bio, pardon. En attendant, portez-vous bien et on se retrouve la semaine prochaine. Bye.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Description

🎙 Épisode explosif de "Ne me cassez pas le peigne"

Dans cet épisode sans filtre, Julie Verrons vous plonge dans les défis de l’engagement, clé ultime pour transformer votre salon et votre vie pro. Avec sa franchise légendaire, elle démonte les excuses, éclaire les peurs et montre pourquoi bouger son "cul" de la zone de confort est indispensable pour avancer.

Julie partage son parcours, ses galères, ses victoires et l’importance de rester fidèle à ses valeurs, quitte à dire "NON" aux opportunités qui trahissent son intégrité. Elle s’adresse à toutes les coiffeuses ambitieuses : tu veux des résultats ? Engage-toi à fond, ou arrête de rêver.


🔥 À retenir : Le succès n’arrive pas sans risque, sans engagement et sans choisir les bonnes batailles. Si toi aussi, tu veux passer un cap, cet épisode est une vraie claque (et un boost d’énergie).


➡️ Inscris-toi à la prochaine masterclass et viens découvrir comment la méthode Lionne peut transformer ton business.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure. Présentez Farjouli Véran. Hello, hello tout le monde. J'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. Donc aujourd'hui, ça va être un épisode, je ne sais pas trop comment l'appeler. Donc ça va être une discussion ouverte en fait, que je vais vous proposer. J'ai la voix un peu cassée, je vous prie de m'excuser. Je vais parler doucement, je vais parler près du micro, je vais monter le son du micro, je vais tout faire pour que vous m'entendiez bien. Je ne vais pas crier parce que j'ai mal au... Depuis Cancun, en fait, j'ai mal au code vocal jusque dans les oreilles. Donc, je vais parler doucement en espérant que vous m'entendiez bien et que le son soit bien. Je vais me coller devant mon micro. Je vais tout faire pour que ça fonctionne et que ce soit bien. Voilà. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous passez un bel hiver. Pardon, c'est méchant, pardon. Mais quoi qu'il arrive, c'est l'hiver. Puis n'importe où dans le monde où vous êtes, c'est l'hiver. Puis moi, il fait beau. Donc voilà, nous c'est la bonne période, il fait beau. Il ne fait pas chaud, il ne fait pas trop chaud, mais il fait assez chaud pour qu'on puisse aller à la mer et se baigner, mais il ne fait pas trop chaud. Donc, pardon, excusez-moi, j'ai perdu la voix, ça sera le karma, puis c'est tout. Donc voilà. Aujourd'hui, j'avais envie de parler d'un sujet qui me tient à cœur, qui s'appelle l'engagement. Pourquoi ? Parce que j'ai beaucoup d'appels, j'espère que ça va enregistrer, oui c'est bon. Donc j'ai beaucoup de gens qui m'appellent en ce moment, qui veulent avoir des appels, tout ça. Et l'engagement, en fait, revient souvent. L'engagement et l'engagement qu'on est prêt à mettre sur soi. On se demande en fait qu'est-ce que j'apporte et qu'est-ce que j'amène et qu'est-ce que le business de la coiffure peut être évolutionné par la lione. Eh bien, pardon, vous voyez, ce n'est pas terrible à la voix, mais bon. Eh bien, en fait, c'est l'engagement. Je n'ai pas réinventé la roue du business. Je n'ai pas trouvé une méthode infaillible qui va vous faire. passer de zéro à millionnaire d'un coup du jour au lendemain. Je n'ai pas les clés de la richesse absolue, je n'ai pas les clés qui vont vous permettre d'acheter une Ferrari demain matin si c'est votre souhait ou de voyager à travers le monde si c'est votre souhait. J'ai juste une clé qui, avec votre engagement, va vous donner la possibilité de générer du chiffre d'affaires et d'acquérir une rentabilité dans votre entreprise. Et ça passe par l'engagement. Et là, vous allez me dire, c'est quoi l'engagement ? L'engagement, en fait, c'est la promesse que tu te fais à toi-même. C'est le choix, en fait, que tu te donnes. Est-ce que j'ai le choix, en fait, de m'abandonner ou est-ce que j'ai le choix d'avancer ? Et là, ce qui revient en ce moment beaucoup, c'est la peur. J'ai peur. J'ai peur de ne pas pouvoir payer. J'ai peur de ne pas pouvoir me payer. J'ai peur de ne pas pouvoir payer mes factures. Mais la question à se poser, en fait, est la suivante, c'est si je ne fais rien, si je fais tout comme je faisais avant, Si je ne mets rien en place, est-ce que je vais avoir des résultats différents ? Est-ce que je vais être capable de générer plus de chiffre d'affaires ? Est-ce que je vais être capable de me payer davantage ? Est-ce que je vais sortir mon cul de la merde ? En fait, c'est ça. Moi, j'ai quelqu'un que j'admire beaucoup et que j'apprécie beaucoup. On ne se parle plus vraiment beaucoup, mais ça ne fait rien, elle est dans mon cœur quand même. C'est Barbara qui m'avait dit, un jour... Il m'avait dit Tu sais Julie, les gens sont faits ainsi. La merde, c'est chaud et c'est confortable. Donc quand tu as le cul planté dedans, tu trouves que c'est chaud et c'est confortable. Ça pue un peu, tu vois, ça pue. Mais au bout d'un moment, à force de sentir l'odeur, il ne la sente plus. Donc qu'est-ce qu'il garde ? C'est la chaleur et le confort. Donc à partir du moment où tu te soulèves le cul, vous voyez l'image, tu te soulèves le cul de la merde. et tu te dis oh putain j'ai froid au cul, oh putain ça pue encore plus, et oh putain il va falloir que j'aille me laver, que je redevienne avec le cul propre en fait, et ça ça va me faire chier. Donc je préfère rester le cul planté dans la merde, mais vraiment bien profond en fait, pour être sûre, pour être sûre en fait que je ne sorte pas de ma zone de confort, et pour être sûre que, au cas où, ben, tu sais au moins... J'ai quelque chose à manger si jamais j'en ai besoin. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est horrible quand on dit ça. Vous vous dites, ah mon Dieu, je suis en train d'écouter le podcast, puis il est 7h du mat, puis elle me parle de merde. Mais en fait, je suis confrontée à ça tout le temps. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Des gens, en fait, qui veulent changer, sans changer tout en changeant, mais surtout, qui ne veulent pas se mettre dans des situations inconfortables au cas où ils auraient été. Mais en fait, moi, je le dis souvent, puis c'est quelque chose qui m'a été beaucoup reproché. Il ne faut pas croire que ma position à moi, elle est facile. Ma position à moi, elle n'est pas facile. Elle n'est pas facile du tout. Pourquoi ? Parce que, comme vous, en fait, je dois avoir des clients, je dois faire... Je dois avoir des clients qui me rémunèrent. Je dois lancer des projets. Je dois prendre des risques. Je prends beaucoup plus de risques. Et plus ton entreprise, elle grandit, et plus tu prends des risques, en fait. Les risques sont proportionnels, en fait, au chiffre d'affaires. Plus tu fais du chiffre d'affaires, et plus les risques vont être importants. Pourquoi ? Parce que plus tu grandis, en fait, et plus la chute, elle peut être grande. Donc, tu prends de plus en plus de risques. Voilà, c'est comme de la drogue, en fait. C'est-à-dire que tu peux choisir d'arrêter, tu vois, mais tu peux choisir en fait toujours de prendre la dose supplémentaire. Et pour moi, mon travail, c'est comme de la drogue en fait. Je choisis toujours de prendre la dose supplémentaire. Alors on peut se dire, est-ce qu'un jour je vais faire une overdose ? Peut-être. Mais je suis accro à mon job, vraiment. Vous voyez, on est dimanche, il est 14h36, je viens de faire des appels, je viens de travailler sur mes stratégies. Et je suis debout depuis 6 heures du mat. J'en ai rien à foutre en fait. Parce que pour moi, ça me nourrit plus que de dormir le matin. Ça me nourrit plus que de rien foutre. Ça me nourrit plus que d'aller à la plage, de faire mon job. Ça m'apporte beaucoup plus en fait que de rester le cul assise dans ma merde. Et pourtant j'y ai été dans la merde. J'ai été conditionnée à vivre dans la merde. En fait, pour être tout à fait honnête. J'ai été en fait... Moi, j'ai pas honte de le dire, j'ai été élevée par des parents qui n'avaient pas d'ambition, ou très peu, qui étaient conditionnés à faire leur job, puis c'est tout. Mon père, il a fini sa vie, il était au RSA, parce qu'il avait des problèmes de dos et tout ça. Il aurait pu faire comme moi, c'était un putain de peintre en plus, un putain d'artiste, hyper rigoureux mon père, mais vraiment hyper rigoureux. C'est capable de peindre au pinceau, sans mettre de scotch pour pas déborder, c'était vraiment quelqu'un d'hyper rigoureux dans son travail. et extrêmement travailleur, vraiment. Mais artiste, tu vois, genre, la vie est faite de l'endemain que je ne verrai pas. Et il aurait pu se dire, moi j'ai mal au dos, plutôt que d'attendre qu'on me rémunère pour mon dos, je vais monter un empire, tu vois. Je vais créer des centres de formation, puis je vais aider les jeunes à peindre, etc. Puis je vais me planquer là-dedans, tu vois. Il aurait pu faire ça. Il n'a pas voulu. Lui, il a attendu, il ne savait pas trop. Il n'a jamais été trop entrepreneur. Mais il n'a pas voulu, il n'a pas fait. Il a fini au RSA, en fait. Dans une mort de merde, honnêtement, personne ne veut mourir de cette mort-là, honnêtement. Et même quand j'en parle, pardon, je me dis, on ne peut pas, en fait, avoir vécu et se dire que tu t'écrases comme ça. pas te laisser la chance en fait des choses c'est pas possible tu peux pas te laisser la chance en fait de te dire ah ben moi de toute façon on me propose des solutions puis j'en veux pas parce que j'ai envie de vous j'ai envie de mourir comme une merde on peut pas dire ça en fait on peut pas se dire ça et 1 et moi en fait pour moi c'est aucunement une possibilité je je vis comme si c'était impossible de c'était en fait pour Je ne sais pas comment vous dire, pardon, je reprends mes esprits, mais pour moi, être en bas de l'échelle, en fait, ce n'est pas une possibilité. Me dire que je suis victime, en fait, ce n'est pas une possibilité. Je ne me laisse pas la chance, en fait. Donc, qu'est-ce que je fais ? Je m'engage. Je m'engage chaque jour. Je m'engage chaque jour à faire mieux. Je m'engage chaque jour à faire plus. Je m'engage chaque jour, en fait, à... à aller de l'avant. Je suis sûre que sans cet engagement-là, je serais capable de me dire des fois Je ne peux pas, je ne le fais pas, j'arrête. Vous voyez, on est dimanche, puis je l'ai dit. On est dimanche, puis je pourrais me dire Ah, moi, non, moi, tu sais, j'ai envie d'aller à la plage, j'ai envie de me mettre les doigts de pied en éventail. Je pourrais, tu sais, je prends ma voiture, je fais 20 minutes de bagnole et j'y suis. Il fait beau, il fait 29 degrés aujourd'hui, il y a grand soleil, et je suis dans mon bureau. Je viens d'annuler mon voyage en Inde. Je devais aller en Inde avec ma cousine. J'ai annulé. Pourquoi ? Parce que mon entreprise prend une expansion que je n'avais même pas vu aller, que j'ai choisie, que j'ai voulu, mais que je n'ai même pas vu aller. Et donc du coup, je me dis, il faut que je le gère. Je ne peux pas dire à mes clients, non, non, écoute, pas de problème. Moi, je prends deux semaines et je serai en Inde. Pendant que toi, tu seras en train de galérer avec ton entreprise. Non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Je ne peux pas dire Ah ben moi je vais organiser Cancun, puis tu sais, si il y a pendant deux semaines je ne suis pas là, ben c'est correct. Non, je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas faire ça. Donc j'ai choisi, j'ai fait un choix, et ce choix en fait il s'appelle l'Institut Lyon. J'ai plus de voix, je suis fatiguée des fois, puis des fois je me dis je m'arrêterai bien, puis je le ferai plus tard. Je le ferai plus tard parce que je n'ai pas envie de mourir d'une mort de merde. En m'étant dit je verrai plus tard non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Et donc, c'est comme la drogue. C'est-à-dire qu'en fait, quand tu as atteint des scores, la chute est plus grande si tu t'arrêtes. Donc, c'est ça en fait le défi. Un jour, je retrouverai un certain confort en me disant je peux faire ce que je veux, puis j'ai des gens qui travaillent pour moi, mais je ne le fais pas pour l'instant. Voilà, je ne le fais pas pour l'instant. Donc ça, c'est quelque chose que je voulais vraiment en discuter parce qu'on parle beaucoup de coaching et tout ça. Puis il y a beaucoup de gens qui sortent de ça, qui le font plus ou moins bien, plus ou moins sérieusement, plus ou moins avec des compétences. Et en fait, je me dis, mais OK, je veux dire, OK, il y a de tout, un peu de tout. Puis moi, j'ai ouvert le marché, puis je suis bien contente de l'avoir fait. Aujourd'hui, il y a un peu de tout qui sort sur la toile. Combien d'entre nous le font sérieusement ? Combien d'entre nous le font réellement sérieusement ? Puis c'est quoi être accompagné réellement ? Avoir un coach, un mentor, c'est réellement avoir quelqu'un qui te prend au trip et qui te dit putain, quand tu fais une merde, excusez Tyson, quand tu fais une merde, il faut qu'il y ait quelqu'un qui soit capable de te rattraper dans ta merde, qui soit capable de te sortir de là. Et que ce soit confortable ou non, il faut que tu sois capable de l'entendre, il faut que tu sois capable de te faire saisir. Il faut que tu sois capable de te faire saisir et que de cette empoignade, tu récupères des astuces et des stratégies qui te permettent de ne plus jamais tomber là. Moi, je suis tombée loin, je suis tombée bas. Moi, je n'ai pas honte de le dire que je me suis fait saisir ma bagnole. Je n'ai pas honte de le dire que je suis partie au Québec, je n'avais pas d'argent. Je n'ai pas honte de le dire que j'ai monté un salon avec 2000 balles. Je n'ai pas honte de le dire que ça n'a pas toujours été facile, que j'ai vécu dans un appartement où il n'y avait pas de meubles. Quand j'en parle comme ça, je me dis que ça fait comme genre... c'est un peu le discours de tous les coachs, genre ouais, moi je suis partie de rien, je suis partie de zéro, puis je suis arrivé, j'ai explosé les scores, etc. Je pense que tant que t'as pas bouffé de la merde, t'es pas capable de performer. Pour performer, il faut avoir bouffé de la putain de merde. Il faut vraiment avoir été au 36ème dessous pour te dire que cette situation-là, tu la veux plus jamais. Plus jamais, en fait. Tu veux plus jamais être là. Tu veux plus jamais te retrouver là. Tu veux plus jamais avoir à vivre ça. Et comme je l'ai dit cette semaine dans mes stories, je remercie les gens qui n'ont pas cru en moi. Je remercie tous ceux qui pensaient que j'étais une putain d'imposteur, qui m'ont bâchée, qui m'ont détruite sur les réseaux, qui ont fait en sorte de me faire du mal. Je pense notamment à des commentaires, puis je ne remettrai pas le nom, parce que ce n'est pas nécessaire. C'était un groupe de coiffeurs qui se pensaient plus intelligents qu'à moyenne, et qui ont fait un putain de poste, qui m'a tué, qui m'a détruit, qui a voulu me détruire, qui pensait faire plus malin, qui pensait prendre ses couilles dans sa main et se dire la verron on va la dégommer, mais la verron tu la dégonneras jamais ! Je suis un peu comme le pissenlit, tu vois, tu l'arraches, puis il y en a deux, trois qui repoussent. Donc, tu ne m'auras jamais, tu vois, c'est vraiment ça. Puis ce n'est pas pour me vanter, c'est pareil. J'ai voulu faire de la formation. Puis aujourd'hui, en fait, on m'a dit, cette semaine, quelqu'un m'a dit, puis très justement, Oh mon Dieu, mais avec un coup de deux, tu vas te mettre à dos les centres de formation. Mais en fait, les centres de formation, ils n'ont jamais voulu de moi. À part un, qui est Educatitude. Sinon, les centres de formation n'ont jamais voulu de moi. Ils se sont dit, Mais c'est qui cette conne ? C'est qui cette conne tatouée de partout, qui a l'air de ramener sa fraise et qui nous fait de l'ombre là ? C'est qui cette teubée là ? La teubée en fait, elle est en train de révolutionner le monde de la coiffure. et en fait de te balayer au passage. Donc en fait, bienvenue à la teubée. Moi, ça me fait rire, tu vois, parce que je me dis, c'est ce que j'ai répondu d'ailleurs à cette charmante personne. Je lui ai dit, ils n'avaient qu'à me faire confiance quand c'était le moment. Et elle m'a répondu un truc très juste. Elle m'a dit, il y en a qui pensent qu'il faut ouvrir le parapluie quand il pleut, mais des fois, il faut déjà ouvrir le parapluie quand il fait beau. Parce que des fois, quand il pleut, ton parapluie est cassé. Et puis quand il est cassé, c'est trop tard. ils ne te protègent pas de la pluie. Donc c'est exactement ça. Donc voilà, je voulais vraiment parler de ça parce que je voulais vraiment dire à tous ceux qui hésitent de se choisir, de se faire accompagner, coacher, mentorer, etc. que c'est un passage qui évite bien des conneries, bien du stress, bien des choses qui sont désagréables et qui pourraient être tellement évitées. Faites le coaching, c'est pour éviter de te retrouver dans des situations désagréables. Cette situation où tu te dis putain, je me serais bien passé de cette merde Et pourtant, tu vois, c'est ça. Et comme je l'ai déjà dit, je ne veux pas de personnes qui ne sont pas engagées. Des gens qui ne sont pas engagés, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui abandonnent, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui ne sont pas capables de voir la différence entre la qualité ou... ça ne m'intéresse pas, des gens qui ne sont pas capables de savoir pourquoi ils le font, ça ne m'intéresse pas. Et je connais mes capacités aujourd'hui. Quelqu'un aura beau dire Ah mais Julie Véran, c'est trop de la merde, ça ne marche pas, etc. Je connais mes capacités aujourd'hui et je sais ce que j'amène, j'en suis convaincue. Et aujourd'hui, je n'ai pas besoin qu'on me fasse ma pub, je n'ai pas besoin. J'ai surtout besoin d'avoir des clients qui réussissent. Moi, mon moteur, en fait, ce n'est pas la publicité que quelqu'un va me faire pour voir. Mon moteur, c'est la réussite de mes clients. Mon moteur, c'est de faire évoluer le métier de la coiffure. Mon moteur, en fait, c'est que les gens puissent faire du business et savoir exactement qu'en coiffure, on a le droit de gagner sa vie, le droit de gagner de l'argent, le droit d'être important, le droit de se sentir important. Ça, pour moi, c'est important. Ça, pour moi, c'est quelque chose. Quand je fais les masterclass à Cancun, je ne le fais pas pour gagner de l'argent parce que sinon, très sincèrement, je ne ferais pas ça. Je le fais parce que mon métier pour moi est important. J'en ai souffert qu'on dise que j'étais une conne de coiffeuse, que j'avais rien, que j'avais un pois chiche dans la tronche, ou que mes clients me disaient... J'ai un client qui m'a dit Vous parlez plusieurs langues, vous êtes plus intelligente que la moyenne des coiffeuses. Mais je t'emmerde en fait. Je t'emmerde mais vraiment profondément. Ou un client qui m'a dit Ah mais c'est plaisant de faire la discussion avec vous, vous avez l'air tellement intelligente. Mais en fait, c'est quoi en fait ? Ça n'a rien à voir avec l'intelligence ou pas l'intelligence, ça a à voir avec la culture. On peut être qui on veut et être cultivé, et on peut être qui on veut et être con comme une valise. Mais réellement, tu peux être avocat et être le plus grand des connards, et tu peux être éboueur et être la personne la plus intelligente et la plus pertinente que je connaisse. Le métier, le niveau social, le rang social n'a rien à voir là-dedans. Et si vos clients vous rabâchent en fait que... Oh mais c'est cher, oh mais c'est ceci. Et en fait voilà, j'ai, en fait moi j'ai compris que j'ai rien à prouver et à montrer à personne. Mais rien du tout, que dalle. Je peux m'habiller comme je veux en fait, j'en ai rien à foutre. J'ai pas besoin de montrer que j'ai des, que je m'habille comme une duchesse en fait. Parce qu'en fait, tu peux t'habiller comme une duchesse, puis je fais un petit clin d'œil à ma copine. Tu peux t'habiller comme une duchesse en fait, et avoir l'air d'une conne. Et avoir joué la conne. et avoir été une conne pendant longtemps, et à croire en fait que t'es sortie de la cuisse de Jupiter alors que t'es même pas sortie du trou du cul d'Apollon, je suis désolée de le dire, mais c'est ça pareil ! C'est ça pareil ! Il y en a qui se donnent du genre, tu vois, avec les fringues et tout, mais ça sert à rien en fait ! Ça sert à que dalle ! Tu peux te... Tu sais, je veux dire, tu peux être habillée simplement et être la personne la plus pertinente du monde. Et tu peux être coiffeur en fait dans un village et avoir le plus grand talent du monde. Et tu peux être coiffeur... à la capitale et n'avoir aucun talent. Voilà, on s'en fout en fait. On s'en fout, on a le droit d'être qui on veut. On a le droit d'être qui on veut et de faire ce qu'on veut et d'être la personne la plus experte pour la clientèle qu'on se choisit. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas vouloir faire tout le monde et coiffer tout le monde, etc. C'est avoir une expertise et de rejoindre sa clientèle. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas se dire moi je vais me donner un style Je vais m'habiller comme ça, puis je vais avoir l'air d'une bourge, alors qu'en fait, je mange des boîtes de thon. Mais on s'en fout, en fait. Posséder quelque chose, posséder un sac, posséder ci, posséder là, c'est pour impressionner des gens, en fait, que... C'est pour impressionner une communauté dont tu ne feras jamais partie au final. Aller dans un yacht, voler dans un jet privé. En fait, si c'est ce que tu veux faire, tant mieux. Mais d'abord, avant tout ça, avant toute chose, avant de montrer que tu as trois couilles, montre déjà que tu peux faire une différence dans ce monde. Montre déjà que tu as quelque chose à apporter aux autres. montre déjà en fait que tu es capable clairement de dans ta mission d'apporter un véritable résultat pour quelqu'un d'autre et de faire en sorte en fait que tu puisses changer la vie de quelqu'un d'autre et après tu te fera pousser une troisième couille ça te chante voyez ce que je veux dire donc quoi je dis ça pourquoi je m'emballe samba dit donc parce que parce que en fait on n'a rien à prouver aux gens On n'a rien du tout à prouver aux autres. La seule personne que tu dois impacter, en fait, c'est tes clients. C'est les gens qui sont autour de toi. C'est les gens que tu serres. Ce ne sont pas les gens qui te regardent et qui, en fait, avec les pop-corns, se mettent des pop-corns dans la bouche et se disent Oh mon Dieu, mais quelle connerie elle va nous faire encore aujourd'hui. On s'en tape totalement. Moi, je serre une clientèle et j'aide les entrepreneurs de la coiffure à développer leur salon. Et je ne m'occupe que des personnes qui sont engagées et qui veulent vraiment avoir un réel résultat parce que je suis convaincue de ce que j'apporte aujourd'hui. Je le sais. Je le sais plus qu'avant, plus que jamais en fait. Je sais ce que je suis capable d'apporter. J'amène de la vibe en fait dans la vie des gens. J'amène de la bienveillance. J'amène en fait une... Je fais une réelle différence dans le business des gens et aujourd'hui, je n'ai rien à prouver en fait. Mais rien. Rien parce que ce que je construis, généralement, depuis un certain moment, parce que j'ai construit des trucs qui n'ont pas marché, mais depuis un certain moment, ça fonctionne. Pourquoi ça fonctionne ? Vous pensez que depuis un moment, je n'aurais pas pu avoir quelqu'un qui dise Oh mon Dieu, mais c'est trop de la merde, n'achetez pas chez elle, c'est trop de la merde, etc. J'ai évolué, je n'ai pas toujours fait du bon travail, je me suis formée, je me suis développée, j'ai développé mon mindset, mon esprit pour pouvoir faire du bon travail. Je me suis formée de ouf. Je n'ai pas toujours été une bonne coiffeuse, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours été une bonne coach, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours fait des bonnes choses dans mon business, mais je me suis formée pour le faire. Et je me forme encore. Et je pense que l'humilité, en fait, fait partie de mes plus grandes qualités. C'est-à-dire que moi, pour moi, en fait, je n'ai pas trois couilles, mais vraiment pas. Et je n'en ai jamais eu, en fait. J'ai fait des erreurs, j'ai fait des choix. J'ai fait des choses qui m'ont amené quelque part et j'enseigne ça. Mais moi, je ne sais pas, je ne sais pas, je te le dis comme ça, je te dis juste ça. Genre, quand tu choisis quelqu'un pour t'accompagner, quand tu choisis quelqu'un parce que tu te dis je vais prendre un tel parce qu'il est moins cher que Julie Véron, puis en fait, kiff kiff, ça doit se toucher je te dis juste un truc. Quand tu choisis la personne qui va t'accompagner dans ton business, demande-toi quels sont les résultats que tu veux avoir. déjà première chose deuxième chose en fait demande toi est ce que cette personne a eu les résultats que toi tu veux avoir et renseigne toi bien d'accord troisième chose regarde ce que ton coach est capable d'accomplir pour son entreprise aujourd'hui ok donc déjà là déjà ça donne des indications ok bon très bien est ce que en fait c'est du c'est du bluff ou est ce que c'est réellement quelque chose qui est arrivé c'est à dire la meuf est ce qu'elle a construit des trucs qui l'ont amené vers un certain palier. Tu vois, moi, par exemple, je te donne un exemple. J'ai monté la méthode Lyon. J'ai formé plus de 200 coiffeurs à la méthode Lyon. J'ai monté la masterclass à Cancun. J'ai amené 150 coiffeurs. Je développe le numéro 2. J'ai en fait la possibilité aujourd'hui de montrer les résultats de mes clients. J'ai la possibilité en fait, même si je n'ai pas beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux, de développer quelque chose qui fonctionne. Donc, pourquoi je dis ça ? Pourquoi je me débat aujourd'hui face à vous ? Parce qu'en fait, la réussite, elle ne dépend pas de moi. Parce que moi, en fait, si vous regardez ce que j'ai déjà fait, vous voyez que je suis capable de le faire. Je suis encore capable et je serai encore capable demain. Mais demandez-vous, vous, quel est l'engagement que vous voulez mettre pour votre entreprise ? Quelle est la main que vous voulez ? Quel est le bouton que vous voulez actionner pour que votre entreprise fonctionne ? Parce que moi, la mienne, je suis capable de la faire fonctionner. Ce qui montre que je suis capable de faire fonctionner celle des autres et que je suis capable de montrer comment on est capable de générer du chiffre d'affaires et de la rentabilité. Mais sans engagement, sans ton engagement, sans ta vision, il n'y a rien qui se passe. Et surtout, si tu n'es pas capable de t'engager pour le changement, il n'y a rien qui va se passer. Moi, j'ai monté toutes les choses que j'ai montées récemment parce que je me suis faite accompagner par quelqu'un, par plusieurs. et que je suis toujours accompagnée aujourd'hui. Et qu'on a beau avoir un milliard d'idées à la seconde, quand on est créatif, quand on est coiffeur, quand on est entrepreneur, mais la plupart du temps, c'est une seule idée qui va vous amener au succès. Une seule. Une seule idée. Une seule idée avec une seule clientèle cible qui va vous amener vers le succès. Ce n'est pas un milliard d'idées, c'est une seule idée. Une seule idée qui va vous amener quelque part. Moi, la seule idée qui m'amène quelque part aujourd'hui, C'est la méthode Lyon et c'est la seule clientèle que j'ai envie de servir, c'est les coiffeurs. La seule. Est-ce que c'est facile tous les jours ? Non, ce n'est pas facile tous les jours. Comme vous, quand vous coiffez en salon, ce n'est pas facile tous les jours. Est-ce qu'on critique mon prix ? Bien sûr. Est-ce qu'on se dit que c'est de la folie ? Bien sûr. Est-ce qu'on se demande si je me touche avec mes prix ? Bien sûr. Évidemment. Évidemment. Mais la valeur ajoutée que j'amène, est-ce qu'elle est bonne pour tout le monde ? Non. Est-ce qu'elle amène des résultats ? Oui. Est-ce qu'il faut s'engager pour ses résultats ? Bien sûr, évidemment, bien évidemment. C'est comme vous, vos clients, quand ils viennent au salon, quand on dit Ouais, mais tu devrais faire un épisode là pour parler des gens qui ne viennent pas au salon Mais est-ce que c'est des gens qui méritent votre service ? Est-ce que c'est des gens qui sont complètement engagés pour votre service ? Parce qu'avoir des beaux cheveux, c'est un engagement, on est d'accord ou pas ? C'est un réel engagement, avoir des beaux cheveux. Avoir une couleur entretenue, c'est un engagement, c'est-à-dire que tu dois y aller toutes les 4 à 6 semaines. Avoir des belles rallonges, des beaux cheveux, des belles extensions, pardon, je cherchais le mot en français. Des belles extensions, c'est un engagement. Tu ne peux pas te retrouver avec les cheveux qui descendent au niveau des oreilles, il faut que tu les remontes, tes extensions. Donc c'est un engagement. Avoir des cheveux bien entretenus, un beau blond, c'est un engagement. Avoir une entreprise qui tourne, c'est un engagement et donc les clients doivent s'engager pour ça. Ce n'est pas en fait Ok, je vais aller me faire couper les pointes Non, c'est un engagement, merde. Tu t'engages à avoir des beaux cheveux, tu t'engages à utiliser des bons produits, tu t'engages en fait à venir de manière régulière dans mon entreprise. Si tu loupes ton rendez-vous, que tu ne me préviens pas, c'est que tu as défailli en fait à ton engagement envers moi et envers toi-même. Est-ce que je dois continuer à t'accepter dans mon salon ? Non. Est-ce que je dois tirer la langue en fait et avoir la langue qui touche mon bureau ? pour me dire, je vais essayer de la reprendre. Non, non, tu ne reprends pas des gens qui t'ont manqué d'engagement et qui ont manqué de respect. C'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Donc, si toi, tu n'es pas capable d'être engagé envers ton entreprise, si toi, tu n'es pas capable de mettre des bonnes actions dans ton entreprise, comment tu vas avoir la bonne clientèle ? Comment tu veux que les clients choisissent ? Comment tu veux que les clients fassent preuve d'engagement envers toi ? Si toi-même, tu n'es pas capable d'en avoir. Si toi-même, tu n'es pas capable de choisir. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire stop. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire ok, non, ça y est, c'est bon, j'arrête. Tu vois ce que je veux dire ? Arrête. Arrête et prends les bonnes stratégies, fais les bonnes choses. Fais les bonnes choses au bon moment. Et arrête de penser en fait que c'est de leur faute. C'est de ta faute, ta posture. En tant que chef d'entreprise, en tant que leader, ta posture va déterminer la posture de tes clients. Je te jure. Si tu fais un diagnostic et que tu imposes des choses, je te jure, elles ne vont pas vouloir venir te contredire et te contrarier. Elles ne vont pas vouloir. Moi, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je dis, écoute-moi bien, si tu ne fais pas les shampoings et les soins que je te dis, déjà, non seulement, premier, je ne te coiffe plus. Et deuxième, à un moment donné, tu ne viendras pas te plaindre que tes cheveux tombent dans le lavabo. et que tu te retrouves chauve. Moi, je ne prends pas des responsabilités de ça. Et là, je leur parlais comme je vous parle en ce moment. C'est-à-dire que moi, en fait, le langage commercial, il n'existe pas. Il n'existe pas avec moi. C'est je t'aime et je te respecte énormément. Je t'aime et je te respecte parce que tu viens me voir. Je t'aime et je te respecte parce que tu t'engages dans mon entreprise. Tu payes. pour que je te coiffe ou tu payes pour que je te coach, mais en fait, je ne te trouve aucune excuse si tu me manques de respect ou si tu manques d'engagement envers toi-même. Parce que si tu n'utilises pas les bons produits, que tu prends des produits de grande surface, parce que là, je me suis engueulée avec un coiffeur cette semaine. Ça m'a gonflée. Ça m'a grave gavée, en fait. De ouf, même. Parce que moi, en fait, tout l'argent du monde ne viendra pas acheter mes valeurs. Aucunement. Jamais. D'accord ? Donc, ça veut dire que si on me propose un gros contrat, 2 millions, pour que je fasse de la publicité, pour de la coloration en boîte, je ne le ferai pas. Et je m'engage avec vous. Vous voyez ? je m'engage avec vous, je ne le ferai pas, même pour un million je le ferai pas, voilà, même pour un gros chèque je le ferai pas. Et donc là, j'ouvre mes réseaux, d'accord, et je vois ça. Il faut savoir que j'étais en processus de recrutement pour Cancun 2, et que les coiffeurs qui travaillent avec moi sont des coiffeurs en fait qui respectent, enfin qui respectent, qui ont les mêmes valeurs que les miennes. En fait ils ont même pas besoin de respecter mes valeurs. on a les mêmes valeurs, tout simplement. Et donc, là, il y a eu des gens qui ont postulé. Voilà. Et donc là, je vois qu'un coiffeur qui a postulé, ou en tout cas qui a montré un intérêt, a fait de la publicité pour de la coloration en boîte. Mais mon gars, c'est non. C'est 1 plus 1 égale non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. C'est pas possible. Et tu peux me dire, en fait, que l'avenir est... dans le produit de grande surface que le coiffeur, que la produit de grande surface paye mieux, que ça t'a fait un beau chèque, qu'on ne connaît pas ta réalité, que ci, que mi, j'en ai rien à foutre. Tu vois ce que je veux dire ? J'en ai rien à branler, mais total, mais vraiment. Totalement, mais total. Je m'en fous, en fait. J'en ai rien à foutre. Parce que moi, mon intégrité veut que tu as le droit de faire ce que tu veux. Mais moi, en fait, je me respecte. Et moi, je respecte mes convictions. Et moi, je me dis, c'est sûr que c'est non. C'était non déjà avant, mais là, c'est encore plus non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Ce n'est pas possible, en fait. Donc, vous voyez les balises de mon entreprise, comment elles sont claires, comment elles sont nettes, comment elles sont clean ? Eh bien, vos clients, quand ils rentrent dans une entreprise où les balises sont claires, sont clean, sont posées, ils ne s'essayent pas. Vous voyez ? Ils ne s'essayent pas. Ils n'essayent pas d'aller à l'encontre de ce que vous êtes. Ils ne s'essayent pas. Moi, mes filles, je le dis de source sûre, et elles écouteront sûrement le podcast, mes filles, elles sont hyper engagées. Quand elles ne sont pas engagées, qu'elles abandonnent, je ne les retiens pas. Je ne les retiens pas du tout. Je n'en ai rien à faire. Si on ne s'engage pas envers son entreprise, si on ne s'engage pas envers la personne qu'on est, ce n'est pas la peine de rester avec moi. Ça ne m'intéresse pas. Moi, j'ai des gens engagés. Je suis fière de mes filles. Je suis fière de mes Lyon, je suis fière de ce que je monte, je suis fière de mon entreprise, je suis fière de mes valeurs. Pourquoi ? Parce que je sais ce que j'amène et je suis fière de voir les coiffeurs vouloir s'engager là-dessus, vouloir se prononcer, se positionner là-dessus, vouloir se débattre chaque jour pour montrer qu'en fait le métier de la coiffure ça vaut quelque chose. Pour montrer qu'on est une industrie qui se tient debout, on est une industrie qui apporte du bonheur aux clients. mais qui ne sont pas prêts à tout, on n'est pas prêts à tout pour se faire marcher sur les pieds. Et donc, aujourd'hui, on se positionne et on met nos valeurs à la bonne place. Voilà. Et que moi, en fait, demain matin, Schwarzkopf peut m'appeler et me dire Bon, là, si tu faisais de la pub pour le spray racine, machin... Mais non. Non. Je suis désolée. Non. Parce que tu peux pas après dire au coiffeur Oh mais non, mais t'inquiète, c'est pas grave, mais je reste quand même professionnelle. Non, tu peux pas. C'est foutu, tu t'es tiré dessus. Tu t'es tiré dessus. C'est foutu, tu peux être la meilleure personne, la personne la plus gentille de la Terre, mais tu t'es tiré dessus, putain, mais t'es quoi ? T'es débile ? Tu t'es tiré dessus à une profession qui galère déjà pour proposer en fait ses produits professionnels et de faire comprendre aux... Ginette, le bénéfice de ça, et toi tu nous tires dessus, mais va chier en fait. Va chier, voilà. Va chier, c'est tout. Désolée. Je n'étais pas partie pour ça. De base. Je n'étais pas partie pour ça. Je n'étais pas partie pour ça. Pardon. Je n'étais pas partie pour faire un podcast comme ça, avec des gros mots et tout. Je n'étais pas du tout partie. Je suis là, ouais, non, on va faire pas crête papillon. ça va rouler vous allez voir et je n'étais même pas parti pour faire cette durée là En plus, je m'étais dit non, ça va être beau. Et en fait, non, c'est non. Merci beaucoup de m'avoir écoutée. Une chose est sûre, si vous vous engagez, engagez-vous. Si vous voulez du changement, il faut s'engager. Si vous voulez que quelque chose bouge dans vos entreprises, il faut s'engager pour le changement, pour le renouveau et pour tout. Vous ne pouvez pas vous dire, je veux changer, mais je ne m'engage pas. Ce n'est pas possible. On a peur, oui, elle existe. La peur de ne pas réussir, la peur d'échouer, elle existe. Elle existera toujours. Elle sera toujours présente. J'ai peur pour mon entreprise tous les jours. J'ai peur de ne pas réussir. J'ai peur de ne pas y arriver. J'ai peur qu'on n'achète pas mes choses. J'ai peur de ne plus avoir de clients. J'ai peur en fait que ma masterclass, elle ne se vende pas. J'ai peur que les formateurs, ils se disent Ah non, Julie Véron, c'est trop de la merde. J'ai peur, vous voyez, j'ai peur tout le temps. Mais est-ce que ça m'empêche d'avancer ? Non, ça ne m'empêche pas d'avancer, putain. Si je n'avance plus, je meurs. Si je n'avance plus en fait, je fais comme mon père en fait. Je meurs. Je meurs dans une mort de merde. Dans une mort où je me dis, j'aurais dû, si j'avais su, j'aurais pu. Mais je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je veux être fière de moi et je veux que mes enfants soient fiers de moi. Je veux être fière en fait. Je veux être fière de moi et être sûre que quand ce sera mon temps, mon moment, je vais accomplir des trucs, des trucs de ouf, des trucs de dingue. Moi je suis quelqu'un qui aime les trucs de dingue. Tu fais pas le tour des Etats-Unis en camping-car pour faire Québec-le-Mexique en dormant dans des parkings de supermarché pour pas faire des trucs de ouf. Vous voyez ce que je veux dire ? Voilà. C'est ça en fait ma vie. Ma vie c'était ça. Voilà. Tu fais pas en prenant ton chien et tes trois valises, en ayant un peu d'argent dans tes poches pour aller dormir dans un appartement pas de beuble pour faire Toulouse-Québec pour te retrouver à faire des trucs de merde. Non c'est pas ça. Vous voyez ce que je veux dire ? Non, moi ma vie elle est exceptionnelle. Et j'ai envie qu'elle reste exceptionnelle. Voilà, j'ai envie de... Je m'offre un standing exceptionnel. Et donc, qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que je ne laisse pas la place à la médiocrité. Voilà, tout simplement. Je vous remercie de m'avoir suivi. Excusez-moi, je vais éternuer, ça se peut. Merci de m'avoir suivi. Je vous souhaite... Sinon j'arrêterai pas de parler là. Sinon il n'y aura plus... Voilà, je ferai un épisode de 3 heures là. Merci de m'avoir suivie, on se retrouve au prochain épisode. Et n'oubliez pas de vous abonner, n'oubliez pas qu'on dévoile les formateurs pour la Masterclass Cancun le 8 janvier, et que les pré-ventes pour ceux qui étaient là présents cette année vont avoir lieu le 12 janvier, les ventes générales le 19 janvier, et que la méthode Lyon ferme ses portes le 10 janvier. Voilà, donc on se retrouve. Pour la masterclass gratuite du 6 au 10 janvier, vous pouvez vous inscrire dès à présent. Le lien est en bio, à la bio, pardon, de mon Instagram. Vous avez le lien en bio, pardon. En attendant, portez-vous bien et on se retrouve la semaine prochaine. Bye.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

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Description

🎙 Épisode explosif de "Ne me cassez pas le peigne"

Dans cet épisode sans filtre, Julie Verrons vous plonge dans les défis de l’engagement, clé ultime pour transformer votre salon et votre vie pro. Avec sa franchise légendaire, elle démonte les excuses, éclaire les peurs et montre pourquoi bouger son "cul" de la zone de confort est indispensable pour avancer.

Julie partage son parcours, ses galères, ses victoires et l’importance de rester fidèle à ses valeurs, quitte à dire "NON" aux opportunités qui trahissent son intégrité. Elle s’adresse à toutes les coiffeuses ambitieuses : tu veux des résultats ? Engage-toi à fond, ou arrête de rêver.


🔥 À retenir : Le succès n’arrive pas sans risque, sans engagement et sans choisir les bonnes batailles. Si toi aussi, tu veux passer un cap, cet épisode est une vraie claque (et un boost d’énergie).


➡️ Inscris-toi à la prochaine masterclass et viens découvrir comment la méthode Lionne peut transformer ton business.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure. Présentez Farjouli Véran. Hello, hello tout le monde. J'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. Donc aujourd'hui, ça va être un épisode, je ne sais pas trop comment l'appeler. Donc ça va être une discussion ouverte en fait, que je vais vous proposer. J'ai la voix un peu cassée, je vous prie de m'excuser. Je vais parler doucement, je vais parler près du micro, je vais monter le son du micro, je vais tout faire pour que vous m'entendiez bien. Je ne vais pas crier parce que j'ai mal au... Depuis Cancun, en fait, j'ai mal au code vocal jusque dans les oreilles. Donc, je vais parler doucement en espérant que vous m'entendiez bien et que le son soit bien. Je vais me coller devant mon micro. Je vais tout faire pour que ça fonctionne et que ce soit bien. Voilà. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous passez un bel hiver. Pardon, c'est méchant, pardon. Mais quoi qu'il arrive, c'est l'hiver. Puis n'importe où dans le monde où vous êtes, c'est l'hiver. Puis moi, il fait beau. Donc voilà, nous c'est la bonne période, il fait beau. Il ne fait pas chaud, il ne fait pas trop chaud, mais il fait assez chaud pour qu'on puisse aller à la mer et se baigner, mais il ne fait pas trop chaud. Donc, pardon, excusez-moi, j'ai perdu la voix, ça sera le karma, puis c'est tout. Donc voilà. Aujourd'hui, j'avais envie de parler d'un sujet qui me tient à cœur, qui s'appelle l'engagement. Pourquoi ? Parce que j'ai beaucoup d'appels, j'espère que ça va enregistrer, oui c'est bon. Donc j'ai beaucoup de gens qui m'appellent en ce moment, qui veulent avoir des appels, tout ça. Et l'engagement, en fait, revient souvent. L'engagement et l'engagement qu'on est prêt à mettre sur soi. On se demande en fait qu'est-ce que j'apporte et qu'est-ce que j'amène et qu'est-ce que le business de la coiffure peut être évolutionné par la lione. Eh bien, pardon, vous voyez, ce n'est pas terrible à la voix, mais bon. Eh bien, en fait, c'est l'engagement. Je n'ai pas réinventé la roue du business. Je n'ai pas trouvé une méthode infaillible qui va vous faire. passer de zéro à millionnaire d'un coup du jour au lendemain. Je n'ai pas les clés de la richesse absolue, je n'ai pas les clés qui vont vous permettre d'acheter une Ferrari demain matin si c'est votre souhait ou de voyager à travers le monde si c'est votre souhait. J'ai juste une clé qui, avec votre engagement, va vous donner la possibilité de générer du chiffre d'affaires et d'acquérir une rentabilité dans votre entreprise. Et ça passe par l'engagement. Et là, vous allez me dire, c'est quoi l'engagement ? L'engagement, en fait, c'est la promesse que tu te fais à toi-même. C'est le choix, en fait, que tu te donnes. Est-ce que j'ai le choix, en fait, de m'abandonner ou est-ce que j'ai le choix d'avancer ? Et là, ce qui revient en ce moment beaucoup, c'est la peur. J'ai peur. J'ai peur de ne pas pouvoir payer. J'ai peur de ne pas pouvoir me payer. J'ai peur de ne pas pouvoir payer mes factures. Mais la question à se poser, en fait, est la suivante, c'est si je ne fais rien, si je fais tout comme je faisais avant, Si je ne mets rien en place, est-ce que je vais avoir des résultats différents ? Est-ce que je vais être capable de générer plus de chiffre d'affaires ? Est-ce que je vais être capable de me payer davantage ? Est-ce que je vais sortir mon cul de la merde ? En fait, c'est ça. Moi, j'ai quelqu'un que j'admire beaucoup et que j'apprécie beaucoup. On ne se parle plus vraiment beaucoup, mais ça ne fait rien, elle est dans mon cœur quand même. C'est Barbara qui m'avait dit, un jour... Il m'avait dit Tu sais Julie, les gens sont faits ainsi. La merde, c'est chaud et c'est confortable. Donc quand tu as le cul planté dedans, tu trouves que c'est chaud et c'est confortable. Ça pue un peu, tu vois, ça pue. Mais au bout d'un moment, à force de sentir l'odeur, il ne la sente plus. Donc qu'est-ce qu'il garde ? C'est la chaleur et le confort. Donc à partir du moment où tu te soulèves le cul, vous voyez l'image, tu te soulèves le cul de la merde. et tu te dis oh putain j'ai froid au cul, oh putain ça pue encore plus, et oh putain il va falloir que j'aille me laver, que je redevienne avec le cul propre en fait, et ça ça va me faire chier. Donc je préfère rester le cul planté dans la merde, mais vraiment bien profond en fait, pour être sûre, pour être sûre en fait que je ne sorte pas de ma zone de confort, et pour être sûre que, au cas où, ben, tu sais au moins... J'ai quelque chose à manger si jamais j'en ai besoin. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est horrible quand on dit ça. Vous vous dites, ah mon Dieu, je suis en train d'écouter le podcast, puis il est 7h du mat, puis elle me parle de merde. Mais en fait, je suis confrontée à ça tout le temps. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Des gens, en fait, qui veulent changer, sans changer tout en changeant, mais surtout, qui ne veulent pas se mettre dans des situations inconfortables au cas où ils auraient été. Mais en fait, moi, je le dis souvent, puis c'est quelque chose qui m'a été beaucoup reproché. Il ne faut pas croire que ma position à moi, elle est facile. Ma position à moi, elle n'est pas facile. Elle n'est pas facile du tout. Pourquoi ? Parce que, comme vous, en fait, je dois avoir des clients, je dois faire... Je dois avoir des clients qui me rémunèrent. Je dois lancer des projets. Je dois prendre des risques. Je prends beaucoup plus de risques. Et plus ton entreprise, elle grandit, et plus tu prends des risques, en fait. Les risques sont proportionnels, en fait, au chiffre d'affaires. Plus tu fais du chiffre d'affaires, et plus les risques vont être importants. Pourquoi ? Parce que plus tu grandis, en fait, et plus la chute, elle peut être grande. Donc, tu prends de plus en plus de risques. Voilà, c'est comme de la drogue, en fait. C'est-à-dire que tu peux choisir d'arrêter, tu vois, mais tu peux choisir en fait toujours de prendre la dose supplémentaire. Et pour moi, mon travail, c'est comme de la drogue en fait. Je choisis toujours de prendre la dose supplémentaire. Alors on peut se dire, est-ce qu'un jour je vais faire une overdose ? Peut-être. Mais je suis accro à mon job, vraiment. Vous voyez, on est dimanche, il est 14h36, je viens de faire des appels, je viens de travailler sur mes stratégies. Et je suis debout depuis 6 heures du mat. J'en ai rien à foutre en fait. Parce que pour moi, ça me nourrit plus que de dormir le matin. Ça me nourrit plus que de rien foutre. Ça me nourrit plus que d'aller à la plage, de faire mon job. Ça m'apporte beaucoup plus en fait que de rester le cul assise dans ma merde. Et pourtant j'y ai été dans la merde. J'ai été conditionnée à vivre dans la merde. En fait, pour être tout à fait honnête. J'ai été en fait... Moi, j'ai pas honte de le dire, j'ai été élevée par des parents qui n'avaient pas d'ambition, ou très peu, qui étaient conditionnés à faire leur job, puis c'est tout. Mon père, il a fini sa vie, il était au RSA, parce qu'il avait des problèmes de dos et tout ça. Il aurait pu faire comme moi, c'était un putain de peintre en plus, un putain d'artiste, hyper rigoureux mon père, mais vraiment hyper rigoureux. C'est capable de peindre au pinceau, sans mettre de scotch pour pas déborder, c'était vraiment quelqu'un d'hyper rigoureux dans son travail. et extrêmement travailleur, vraiment. Mais artiste, tu vois, genre, la vie est faite de l'endemain que je ne verrai pas. Et il aurait pu se dire, moi j'ai mal au dos, plutôt que d'attendre qu'on me rémunère pour mon dos, je vais monter un empire, tu vois. Je vais créer des centres de formation, puis je vais aider les jeunes à peindre, etc. Puis je vais me planquer là-dedans, tu vois. Il aurait pu faire ça. Il n'a pas voulu. Lui, il a attendu, il ne savait pas trop. Il n'a jamais été trop entrepreneur. Mais il n'a pas voulu, il n'a pas fait. Il a fini au RSA, en fait. Dans une mort de merde, honnêtement, personne ne veut mourir de cette mort-là, honnêtement. Et même quand j'en parle, pardon, je me dis, on ne peut pas, en fait, avoir vécu et se dire que tu t'écrases comme ça. pas te laisser la chance en fait des choses c'est pas possible tu peux pas te laisser la chance en fait de te dire ah ben moi de toute façon on me propose des solutions puis j'en veux pas parce que j'ai envie de vous j'ai envie de mourir comme une merde on peut pas dire ça en fait on peut pas se dire ça et 1 et moi en fait pour moi c'est aucunement une possibilité je je vis comme si c'était impossible de c'était en fait pour Je ne sais pas comment vous dire, pardon, je reprends mes esprits, mais pour moi, être en bas de l'échelle, en fait, ce n'est pas une possibilité. Me dire que je suis victime, en fait, ce n'est pas une possibilité. Je ne me laisse pas la chance, en fait. Donc, qu'est-ce que je fais ? Je m'engage. Je m'engage chaque jour. Je m'engage chaque jour à faire mieux. Je m'engage chaque jour à faire plus. Je m'engage chaque jour, en fait, à... à aller de l'avant. Je suis sûre que sans cet engagement-là, je serais capable de me dire des fois Je ne peux pas, je ne le fais pas, j'arrête. Vous voyez, on est dimanche, puis je l'ai dit. On est dimanche, puis je pourrais me dire Ah, moi, non, moi, tu sais, j'ai envie d'aller à la plage, j'ai envie de me mettre les doigts de pied en éventail. Je pourrais, tu sais, je prends ma voiture, je fais 20 minutes de bagnole et j'y suis. Il fait beau, il fait 29 degrés aujourd'hui, il y a grand soleil, et je suis dans mon bureau. Je viens d'annuler mon voyage en Inde. Je devais aller en Inde avec ma cousine. J'ai annulé. Pourquoi ? Parce que mon entreprise prend une expansion que je n'avais même pas vu aller, que j'ai choisie, que j'ai voulu, mais que je n'ai même pas vu aller. Et donc du coup, je me dis, il faut que je le gère. Je ne peux pas dire à mes clients, non, non, écoute, pas de problème. Moi, je prends deux semaines et je serai en Inde. Pendant que toi, tu seras en train de galérer avec ton entreprise. Non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Je ne peux pas dire Ah ben moi je vais organiser Cancun, puis tu sais, si il y a pendant deux semaines je ne suis pas là, ben c'est correct. Non, je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas faire ça. Donc j'ai choisi, j'ai fait un choix, et ce choix en fait il s'appelle l'Institut Lyon. J'ai plus de voix, je suis fatiguée des fois, puis des fois je me dis je m'arrêterai bien, puis je le ferai plus tard. Je le ferai plus tard parce que je n'ai pas envie de mourir d'une mort de merde. En m'étant dit je verrai plus tard non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Et donc, c'est comme la drogue. C'est-à-dire qu'en fait, quand tu as atteint des scores, la chute est plus grande si tu t'arrêtes. Donc, c'est ça en fait le défi. Un jour, je retrouverai un certain confort en me disant je peux faire ce que je veux, puis j'ai des gens qui travaillent pour moi, mais je ne le fais pas pour l'instant. Voilà, je ne le fais pas pour l'instant. Donc ça, c'est quelque chose que je voulais vraiment en discuter parce qu'on parle beaucoup de coaching et tout ça. Puis il y a beaucoup de gens qui sortent de ça, qui le font plus ou moins bien, plus ou moins sérieusement, plus ou moins avec des compétences. Et en fait, je me dis, mais OK, je veux dire, OK, il y a de tout, un peu de tout. Puis moi, j'ai ouvert le marché, puis je suis bien contente de l'avoir fait. Aujourd'hui, il y a un peu de tout qui sort sur la toile. Combien d'entre nous le font sérieusement ? Combien d'entre nous le font réellement sérieusement ? Puis c'est quoi être accompagné réellement ? Avoir un coach, un mentor, c'est réellement avoir quelqu'un qui te prend au trip et qui te dit putain, quand tu fais une merde, excusez Tyson, quand tu fais une merde, il faut qu'il y ait quelqu'un qui soit capable de te rattraper dans ta merde, qui soit capable de te sortir de là. Et que ce soit confortable ou non, il faut que tu sois capable de l'entendre, il faut que tu sois capable de te faire saisir. Il faut que tu sois capable de te faire saisir et que de cette empoignade, tu récupères des astuces et des stratégies qui te permettent de ne plus jamais tomber là. Moi, je suis tombée loin, je suis tombée bas. Moi, je n'ai pas honte de le dire que je me suis fait saisir ma bagnole. Je n'ai pas honte de le dire que je suis partie au Québec, je n'avais pas d'argent. Je n'ai pas honte de le dire que j'ai monté un salon avec 2000 balles. Je n'ai pas honte de le dire que ça n'a pas toujours été facile, que j'ai vécu dans un appartement où il n'y avait pas de meubles. Quand j'en parle comme ça, je me dis que ça fait comme genre... c'est un peu le discours de tous les coachs, genre ouais, moi je suis partie de rien, je suis partie de zéro, puis je suis arrivé, j'ai explosé les scores, etc. Je pense que tant que t'as pas bouffé de la merde, t'es pas capable de performer. Pour performer, il faut avoir bouffé de la putain de merde. Il faut vraiment avoir été au 36ème dessous pour te dire que cette situation-là, tu la veux plus jamais. Plus jamais, en fait. Tu veux plus jamais être là. Tu veux plus jamais te retrouver là. Tu veux plus jamais avoir à vivre ça. Et comme je l'ai dit cette semaine dans mes stories, je remercie les gens qui n'ont pas cru en moi. Je remercie tous ceux qui pensaient que j'étais une putain d'imposteur, qui m'ont bâchée, qui m'ont détruite sur les réseaux, qui ont fait en sorte de me faire du mal. Je pense notamment à des commentaires, puis je ne remettrai pas le nom, parce que ce n'est pas nécessaire. C'était un groupe de coiffeurs qui se pensaient plus intelligents qu'à moyenne, et qui ont fait un putain de poste, qui m'a tué, qui m'a détruit, qui a voulu me détruire, qui pensait faire plus malin, qui pensait prendre ses couilles dans sa main et se dire la verron on va la dégommer, mais la verron tu la dégonneras jamais ! Je suis un peu comme le pissenlit, tu vois, tu l'arraches, puis il y en a deux, trois qui repoussent. Donc, tu ne m'auras jamais, tu vois, c'est vraiment ça. Puis ce n'est pas pour me vanter, c'est pareil. J'ai voulu faire de la formation. Puis aujourd'hui, en fait, on m'a dit, cette semaine, quelqu'un m'a dit, puis très justement, Oh mon Dieu, mais avec un coup de deux, tu vas te mettre à dos les centres de formation. Mais en fait, les centres de formation, ils n'ont jamais voulu de moi. À part un, qui est Educatitude. Sinon, les centres de formation n'ont jamais voulu de moi. Ils se sont dit, Mais c'est qui cette conne ? C'est qui cette conne tatouée de partout, qui a l'air de ramener sa fraise et qui nous fait de l'ombre là ? C'est qui cette teubée là ? La teubée en fait, elle est en train de révolutionner le monde de la coiffure. et en fait de te balayer au passage. Donc en fait, bienvenue à la teubée. Moi, ça me fait rire, tu vois, parce que je me dis, c'est ce que j'ai répondu d'ailleurs à cette charmante personne. Je lui ai dit, ils n'avaient qu'à me faire confiance quand c'était le moment. Et elle m'a répondu un truc très juste. Elle m'a dit, il y en a qui pensent qu'il faut ouvrir le parapluie quand il pleut, mais des fois, il faut déjà ouvrir le parapluie quand il fait beau. Parce que des fois, quand il pleut, ton parapluie est cassé. Et puis quand il est cassé, c'est trop tard. ils ne te protègent pas de la pluie. Donc c'est exactement ça. Donc voilà, je voulais vraiment parler de ça parce que je voulais vraiment dire à tous ceux qui hésitent de se choisir, de se faire accompagner, coacher, mentorer, etc. que c'est un passage qui évite bien des conneries, bien du stress, bien des choses qui sont désagréables et qui pourraient être tellement évitées. Faites le coaching, c'est pour éviter de te retrouver dans des situations désagréables. Cette situation où tu te dis putain, je me serais bien passé de cette merde Et pourtant, tu vois, c'est ça. Et comme je l'ai déjà dit, je ne veux pas de personnes qui ne sont pas engagées. Des gens qui ne sont pas engagés, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui abandonnent, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui ne sont pas capables de voir la différence entre la qualité ou... ça ne m'intéresse pas, des gens qui ne sont pas capables de savoir pourquoi ils le font, ça ne m'intéresse pas. Et je connais mes capacités aujourd'hui. Quelqu'un aura beau dire Ah mais Julie Véran, c'est trop de la merde, ça ne marche pas, etc. Je connais mes capacités aujourd'hui et je sais ce que j'amène, j'en suis convaincue. Et aujourd'hui, je n'ai pas besoin qu'on me fasse ma pub, je n'ai pas besoin. J'ai surtout besoin d'avoir des clients qui réussissent. Moi, mon moteur, en fait, ce n'est pas la publicité que quelqu'un va me faire pour voir. Mon moteur, c'est la réussite de mes clients. Mon moteur, c'est de faire évoluer le métier de la coiffure. Mon moteur, en fait, c'est que les gens puissent faire du business et savoir exactement qu'en coiffure, on a le droit de gagner sa vie, le droit de gagner de l'argent, le droit d'être important, le droit de se sentir important. Ça, pour moi, c'est important. Ça, pour moi, c'est quelque chose. Quand je fais les masterclass à Cancun, je ne le fais pas pour gagner de l'argent parce que sinon, très sincèrement, je ne ferais pas ça. Je le fais parce que mon métier pour moi est important. J'en ai souffert qu'on dise que j'étais une conne de coiffeuse, que j'avais rien, que j'avais un pois chiche dans la tronche, ou que mes clients me disaient... J'ai un client qui m'a dit Vous parlez plusieurs langues, vous êtes plus intelligente que la moyenne des coiffeuses. Mais je t'emmerde en fait. Je t'emmerde mais vraiment profondément. Ou un client qui m'a dit Ah mais c'est plaisant de faire la discussion avec vous, vous avez l'air tellement intelligente. Mais en fait, c'est quoi en fait ? Ça n'a rien à voir avec l'intelligence ou pas l'intelligence, ça a à voir avec la culture. On peut être qui on veut et être cultivé, et on peut être qui on veut et être con comme une valise. Mais réellement, tu peux être avocat et être le plus grand des connards, et tu peux être éboueur et être la personne la plus intelligente et la plus pertinente que je connaisse. Le métier, le niveau social, le rang social n'a rien à voir là-dedans. Et si vos clients vous rabâchent en fait que... Oh mais c'est cher, oh mais c'est ceci. Et en fait voilà, j'ai, en fait moi j'ai compris que j'ai rien à prouver et à montrer à personne. Mais rien du tout, que dalle. Je peux m'habiller comme je veux en fait, j'en ai rien à foutre. J'ai pas besoin de montrer que j'ai des, que je m'habille comme une duchesse en fait. Parce qu'en fait, tu peux t'habiller comme une duchesse, puis je fais un petit clin d'œil à ma copine. Tu peux t'habiller comme une duchesse en fait, et avoir l'air d'une conne. Et avoir joué la conne. et avoir été une conne pendant longtemps, et à croire en fait que t'es sortie de la cuisse de Jupiter alors que t'es même pas sortie du trou du cul d'Apollon, je suis désolée de le dire, mais c'est ça pareil ! C'est ça pareil ! Il y en a qui se donnent du genre, tu vois, avec les fringues et tout, mais ça sert à rien en fait ! Ça sert à que dalle ! Tu peux te... Tu sais, je veux dire, tu peux être habillée simplement et être la personne la plus pertinente du monde. Et tu peux être coiffeur en fait dans un village et avoir le plus grand talent du monde. Et tu peux être coiffeur... à la capitale et n'avoir aucun talent. Voilà, on s'en fout en fait. On s'en fout, on a le droit d'être qui on veut. On a le droit d'être qui on veut et de faire ce qu'on veut et d'être la personne la plus experte pour la clientèle qu'on se choisit. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas vouloir faire tout le monde et coiffer tout le monde, etc. C'est avoir une expertise et de rejoindre sa clientèle. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas se dire moi je vais me donner un style Je vais m'habiller comme ça, puis je vais avoir l'air d'une bourge, alors qu'en fait, je mange des boîtes de thon. Mais on s'en fout, en fait. Posséder quelque chose, posséder un sac, posséder ci, posséder là, c'est pour impressionner des gens, en fait, que... C'est pour impressionner une communauté dont tu ne feras jamais partie au final. Aller dans un yacht, voler dans un jet privé. En fait, si c'est ce que tu veux faire, tant mieux. Mais d'abord, avant tout ça, avant toute chose, avant de montrer que tu as trois couilles, montre déjà que tu peux faire une différence dans ce monde. Montre déjà que tu as quelque chose à apporter aux autres. montre déjà en fait que tu es capable clairement de dans ta mission d'apporter un véritable résultat pour quelqu'un d'autre et de faire en sorte en fait que tu puisses changer la vie de quelqu'un d'autre et après tu te fera pousser une troisième couille ça te chante voyez ce que je veux dire donc quoi je dis ça pourquoi je m'emballe samba dit donc parce que parce que en fait on n'a rien à prouver aux gens On n'a rien du tout à prouver aux autres. La seule personne que tu dois impacter, en fait, c'est tes clients. C'est les gens qui sont autour de toi. C'est les gens que tu serres. Ce ne sont pas les gens qui te regardent et qui, en fait, avec les pop-corns, se mettent des pop-corns dans la bouche et se disent Oh mon Dieu, mais quelle connerie elle va nous faire encore aujourd'hui. On s'en tape totalement. Moi, je serre une clientèle et j'aide les entrepreneurs de la coiffure à développer leur salon. Et je ne m'occupe que des personnes qui sont engagées et qui veulent vraiment avoir un réel résultat parce que je suis convaincue de ce que j'apporte aujourd'hui. Je le sais. Je le sais plus qu'avant, plus que jamais en fait. Je sais ce que je suis capable d'apporter. J'amène de la vibe en fait dans la vie des gens. J'amène de la bienveillance. J'amène en fait une... Je fais une réelle différence dans le business des gens et aujourd'hui, je n'ai rien à prouver en fait. Mais rien. Rien parce que ce que je construis, généralement, depuis un certain moment, parce que j'ai construit des trucs qui n'ont pas marché, mais depuis un certain moment, ça fonctionne. Pourquoi ça fonctionne ? Vous pensez que depuis un moment, je n'aurais pas pu avoir quelqu'un qui dise Oh mon Dieu, mais c'est trop de la merde, n'achetez pas chez elle, c'est trop de la merde, etc. J'ai évolué, je n'ai pas toujours fait du bon travail, je me suis formée, je me suis développée, j'ai développé mon mindset, mon esprit pour pouvoir faire du bon travail. Je me suis formée de ouf. Je n'ai pas toujours été une bonne coiffeuse, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours été une bonne coach, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours fait des bonnes choses dans mon business, mais je me suis formée pour le faire. Et je me forme encore. Et je pense que l'humilité, en fait, fait partie de mes plus grandes qualités. C'est-à-dire que moi, pour moi, en fait, je n'ai pas trois couilles, mais vraiment pas. Et je n'en ai jamais eu, en fait. J'ai fait des erreurs, j'ai fait des choix. J'ai fait des choses qui m'ont amené quelque part et j'enseigne ça. Mais moi, je ne sais pas, je ne sais pas, je te le dis comme ça, je te dis juste ça. Genre, quand tu choisis quelqu'un pour t'accompagner, quand tu choisis quelqu'un parce que tu te dis je vais prendre un tel parce qu'il est moins cher que Julie Véron, puis en fait, kiff kiff, ça doit se toucher je te dis juste un truc. Quand tu choisis la personne qui va t'accompagner dans ton business, demande-toi quels sont les résultats que tu veux avoir. déjà première chose deuxième chose en fait demande toi est ce que cette personne a eu les résultats que toi tu veux avoir et renseigne toi bien d'accord troisième chose regarde ce que ton coach est capable d'accomplir pour son entreprise aujourd'hui ok donc déjà là déjà ça donne des indications ok bon très bien est ce que en fait c'est du c'est du bluff ou est ce que c'est réellement quelque chose qui est arrivé c'est à dire la meuf est ce qu'elle a construit des trucs qui l'ont amené vers un certain palier. Tu vois, moi, par exemple, je te donne un exemple. J'ai monté la méthode Lyon. J'ai formé plus de 200 coiffeurs à la méthode Lyon. J'ai monté la masterclass à Cancun. J'ai amené 150 coiffeurs. Je développe le numéro 2. J'ai en fait la possibilité aujourd'hui de montrer les résultats de mes clients. J'ai la possibilité en fait, même si je n'ai pas beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux, de développer quelque chose qui fonctionne. Donc, pourquoi je dis ça ? Pourquoi je me débat aujourd'hui face à vous ? Parce qu'en fait, la réussite, elle ne dépend pas de moi. Parce que moi, en fait, si vous regardez ce que j'ai déjà fait, vous voyez que je suis capable de le faire. Je suis encore capable et je serai encore capable demain. Mais demandez-vous, vous, quel est l'engagement que vous voulez mettre pour votre entreprise ? Quelle est la main que vous voulez ? Quel est le bouton que vous voulez actionner pour que votre entreprise fonctionne ? Parce que moi, la mienne, je suis capable de la faire fonctionner. Ce qui montre que je suis capable de faire fonctionner celle des autres et que je suis capable de montrer comment on est capable de générer du chiffre d'affaires et de la rentabilité. Mais sans engagement, sans ton engagement, sans ta vision, il n'y a rien qui se passe. Et surtout, si tu n'es pas capable de t'engager pour le changement, il n'y a rien qui va se passer. Moi, j'ai monté toutes les choses que j'ai montées récemment parce que je me suis faite accompagner par quelqu'un, par plusieurs. et que je suis toujours accompagnée aujourd'hui. Et qu'on a beau avoir un milliard d'idées à la seconde, quand on est créatif, quand on est coiffeur, quand on est entrepreneur, mais la plupart du temps, c'est une seule idée qui va vous amener au succès. Une seule. Une seule idée. Une seule idée avec une seule clientèle cible qui va vous amener vers le succès. Ce n'est pas un milliard d'idées, c'est une seule idée. Une seule idée qui va vous amener quelque part. Moi, la seule idée qui m'amène quelque part aujourd'hui, C'est la méthode Lyon et c'est la seule clientèle que j'ai envie de servir, c'est les coiffeurs. La seule. Est-ce que c'est facile tous les jours ? Non, ce n'est pas facile tous les jours. Comme vous, quand vous coiffez en salon, ce n'est pas facile tous les jours. Est-ce qu'on critique mon prix ? Bien sûr. Est-ce qu'on se dit que c'est de la folie ? Bien sûr. Est-ce qu'on se demande si je me touche avec mes prix ? Bien sûr. Évidemment. Évidemment. Mais la valeur ajoutée que j'amène, est-ce qu'elle est bonne pour tout le monde ? Non. Est-ce qu'elle amène des résultats ? Oui. Est-ce qu'il faut s'engager pour ses résultats ? Bien sûr, évidemment, bien évidemment. C'est comme vous, vos clients, quand ils viennent au salon, quand on dit Ouais, mais tu devrais faire un épisode là pour parler des gens qui ne viennent pas au salon Mais est-ce que c'est des gens qui méritent votre service ? Est-ce que c'est des gens qui sont complètement engagés pour votre service ? Parce qu'avoir des beaux cheveux, c'est un engagement, on est d'accord ou pas ? C'est un réel engagement, avoir des beaux cheveux. Avoir une couleur entretenue, c'est un engagement, c'est-à-dire que tu dois y aller toutes les 4 à 6 semaines. Avoir des belles rallonges, des beaux cheveux, des belles extensions, pardon, je cherchais le mot en français. Des belles extensions, c'est un engagement. Tu ne peux pas te retrouver avec les cheveux qui descendent au niveau des oreilles, il faut que tu les remontes, tes extensions. Donc c'est un engagement. Avoir des cheveux bien entretenus, un beau blond, c'est un engagement. Avoir une entreprise qui tourne, c'est un engagement et donc les clients doivent s'engager pour ça. Ce n'est pas en fait Ok, je vais aller me faire couper les pointes Non, c'est un engagement, merde. Tu t'engages à avoir des beaux cheveux, tu t'engages à utiliser des bons produits, tu t'engages en fait à venir de manière régulière dans mon entreprise. Si tu loupes ton rendez-vous, que tu ne me préviens pas, c'est que tu as défailli en fait à ton engagement envers moi et envers toi-même. Est-ce que je dois continuer à t'accepter dans mon salon ? Non. Est-ce que je dois tirer la langue en fait et avoir la langue qui touche mon bureau ? pour me dire, je vais essayer de la reprendre. Non, non, tu ne reprends pas des gens qui t'ont manqué d'engagement et qui ont manqué de respect. C'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Donc, si toi, tu n'es pas capable d'être engagé envers ton entreprise, si toi, tu n'es pas capable de mettre des bonnes actions dans ton entreprise, comment tu vas avoir la bonne clientèle ? Comment tu veux que les clients choisissent ? Comment tu veux que les clients fassent preuve d'engagement envers toi ? Si toi-même, tu n'es pas capable d'en avoir. Si toi-même, tu n'es pas capable de choisir. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire stop. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire ok, non, ça y est, c'est bon, j'arrête. Tu vois ce que je veux dire ? Arrête. Arrête et prends les bonnes stratégies, fais les bonnes choses. Fais les bonnes choses au bon moment. Et arrête de penser en fait que c'est de leur faute. C'est de ta faute, ta posture. En tant que chef d'entreprise, en tant que leader, ta posture va déterminer la posture de tes clients. Je te jure. Si tu fais un diagnostic et que tu imposes des choses, je te jure, elles ne vont pas vouloir venir te contredire et te contrarier. Elles ne vont pas vouloir. Moi, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je dis, écoute-moi bien, si tu ne fais pas les shampoings et les soins que je te dis, déjà, non seulement, premier, je ne te coiffe plus. Et deuxième, à un moment donné, tu ne viendras pas te plaindre que tes cheveux tombent dans le lavabo. et que tu te retrouves chauve. Moi, je ne prends pas des responsabilités de ça. Et là, je leur parlais comme je vous parle en ce moment. C'est-à-dire que moi, en fait, le langage commercial, il n'existe pas. Il n'existe pas avec moi. C'est je t'aime et je te respecte énormément. Je t'aime et je te respecte parce que tu viens me voir. Je t'aime et je te respecte parce que tu t'engages dans mon entreprise. Tu payes. pour que je te coiffe ou tu payes pour que je te coach, mais en fait, je ne te trouve aucune excuse si tu me manques de respect ou si tu manques d'engagement envers toi-même. Parce que si tu n'utilises pas les bons produits, que tu prends des produits de grande surface, parce que là, je me suis engueulée avec un coiffeur cette semaine. Ça m'a gonflée. Ça m'a grave gavée, en fait. De ouf, même. Parce que moi, en fait, tout l'argent du monde ne viendra pas acheter mes valeurs. Aucunement. Jamais. D'accord ? Donc, ça veut dire que si on me propose un gros contrat, 2 millions, pour que je fasse de la publicité, pour de la coloration en boîte, je ne le ferai pas. Et je m'engage avec vous. Vous voyez ? je m'engage avec vous, je ne le ferai pas, même pour un million je le ferai pas, voilà, même pour un gros chèque je le ferai pas. Et donc là, j'ouvre mes réseaux, d'accord, et je vois ça. Il faut savoir que j'étais en processus de recrutement pour Cancun 2, et que les coiffeurs qui travaillent avec moi sont des coiffeurs en fait qui respectent, enfin qui respectent, qui ont les mêmes valeurs que les miennes. En fait ils ont même pas besoin de respecter mes valeurs. on a les mêmes valeurs, tout simplement. Et donc, là, il y a eu des gens qui ont postulé. Voilà. Et donc là, je vois qu'un coiffeur qui a postulé, ou en tout cas qui a montré un intérêt, a fait de la publicité pour de la coloration en boîte. Mais mon gars, c'est non. C'est 1 plus 1 égale non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. C'est pas possible. Et tu peux me dire, en fait, que l'avenir est... dans le produit de grande surface que le coiffeur, que la produit de grande surface paye mieux, que ça t'a fait un beau chèque, qu'on ne connaît pas ta réalité, que ci, que mi, j'en ai rien à foutre. Tu vois ce que je veux dire ? J'en ai rien à branler, mais total, mais vraiment. Totalement, mais total. Je m'en fous, en fait. J'en ai rien à foutre. Parce que moi, mon intégrité veut que tu as le droit de faire ce que tu veux. Mais moi, en fait, je me respecte. Et moi, je respecte mes convictions. Et moi, je me dis, c'est sûr que c'est non. C'était non déjà avant, mais là, c'est encore plus non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Ce n'est pas possible, en fait. Donc, vous voyez les balises de mon entreprise, comment elles sont claires, comment elles sont nettes, comment elles sont clean ? Eh bien, vos clients, quand ils rentrent dans une entreprise où les balises sont claires, sont clean, sont posées, ils ne s'essayent pas. Vous voyez ? Ils ne s'essayent pas. Ils n'essayent pas d'aller à l'encontre de ce que vous êtes. Ils ne s'essayent pas. Moi, mes filles, je le dis de source sûre, et elles écouteront sûrement le podcast, mes filles, elles sont hyper engagées. Quand elles ne sont pas engagées, qu'elles abandonnent, je ne les retiens pas. Je ne les retiens pas du tout. Je n'en ai rien à faire. Si on ne s'engage pas envers son entreprise, si on ne s'engage pas envers la personne qu'on est, ce n'est pas la peine de rester avec moi. Ça ne m'intéresse pas. Moi, j'ai des gens engagés. Je suis fière de mes filles. Je suis fière de mes Lyon, je suis fière de ce que je monte, je suis fière de mon entreprise, je suis fière de mes valeurs. Pourquoi ? Parce que je sais ce que j'amène et je suis fière de voir les coiffeurs vouloir s'engager là-dessus, vouloir se prononcer, se positionner là-dessus, vouloir se débattre chaque jour pour montrer qu'en fait le métier de la coiffure ça vaut quelque chose. Pour montrer qu'on est une industrie qui se tient debout, on est une industrie qui apporte du bonheur aux clients. mais qui ne sont pas prêts à tout, on n'est pas prêts à tout pour se faire marcher sur les pieds. Et donc, aujourd'hui, on se positionne et on met nos valeurs à la bonne place. Voilà. Et que moi, en fait, demain matin, Schwarzkopf peut m'appeler et me dire Bon, là, si tu faisais de la pub pour le spray racine, machin... Mais non. Non. Je suis désolée. Non. Parce que tu peux pas après dire au coiffeur Oh mais non, mais t'inquiète, c'est pas grave, mais je reste quand même professionnelle. Non, tu peux pas. C'est foutu, tu t'es tiré dessus. Tu t'es tiré dessus. C'est foutu, tu peux être la meilleure personne, la personne la plus gentille de la Terre, mais tu t'es tiré dessus, putain, mais t'es quoi ? T'es débile ? Tu t'es tiré dessus à une profession qui galère déjà pour proposer en fait ses produits professionnels et de faire comprendre aux... Ginette, le bénéfice de ça, et toi tu nous tires dessus, mais va chier en fait. Va chier, voilà. Va chier, c'est tout. Désolée. Je n'étais pas partie pour ça. De base. Je n'étais pas partie pour ça. Je n'étais pas partie pour ça. Pardon. Je n'étais pas partie pour faire un podcast comme ça, avec des gros mots et tout. Je n'étais pas du tout partie. Je suis là, ouais, non, on va faire pas crête papillon. ça va rouler vous allez voir et je n'étais même pas parti pour faire cette durée là En plus, je m'étais dit non, ça va être beau. Et en fait, non, c'est non. Merci beaucoup de m'avoir écoutée. Une chose est sûre, si vous vous engagez, engagez-vous. Si vous voulez du changement, il faut s'engager. Si vous voulez que quelque chose bouge dans vos entreprises, il faut s'engager pour le changement, pour le renouveau et pour tout. Vous ne pouvez pas vous dire, je veux changer, mais je ne m'engage pas. Ce n'est pas possible. On a peur, oui, elle existe. La peur de ne pas réussir, la peur d'échouer, elle existe. Elle existera toujours. Elle sera toujours présente. J'ai peur pour mon entreprise tous les jours. J'ai peur de ne pas réussir. J'ai peur de ne pas y arriver. J'ai peur qu'on n'achète pas mes choses. J'ai peur de ne plus avoir de clients. J'ai peur en fait que ma masterclass, elle ne se vende pas. J'ai peur que les formateurs, ils se disent Ah non, Julie Véron, c'est trop de la merde. J'ai peur, vous voyez, j'ai peur tout le temps. Mais est-ce que ça m'empêche d'avancer ? Non, ça ne m'empêche pas d'avancer, putain. Si je n'avance plus, je meurs. Si je n'avance plus en fait, je fais comme mon père en fait. Je meurs. Je meurs dans une mort de merde. Dans une mort où je me dis, j'aurais dû, si j'avais su, j'aurais pu. Mais je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je veux être fière de moi et je veux que mes enfants soient fiers de moi. Je veux être fière en fait. Je veux être fière de moi et être sûre que quand ce sera mon temps, mon moment, je vais accomplir des trucs, des trucs de ouf, des trucs de dingue. Moi je suis quelqu'un qui aime les trucs de dingue. Tu fais pas le tour des Etats-Unis en camping-car pour faire Québec-le-Mexique en dormant dans des parkings de supermarché pour pas faire des trucs de ouf. Vous voyez ce que je veux dire ? Voilà. C'est ça en fait ma vie. Ma vie c'était ça. Voilà. Tu fais pas en prenant ton chien et tes trois valises, en ayant un peu d'argent dans tes poches pour aller dormir dans un appartement pas de beuble pour faire Toulouse-Québec pour te retrouver à faire des trucs de merde. Non c'est pas ça. Vous voyez ce que je veux dire ? Non, moi ma vie elle est exceptionnelle. Et j'ai envie qu'elle reste exceptionnelle. Voilà, j'ai envie de... Je m'offre un standing exceptionnel. Et donc, qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que je ne laisse pas la place à la médiocrité. Voilà, tout simplement. Je vous remercie de m'avoir suivi. Excusez-moi, je vais éternuer, ça se peut. Merci de m'avoir suivi. Je vous souhaite... Sinon j'arrêterai pas de parler là. Sinon il n'y aura plus... Voilà, je ferai un épisode de 3 heures là. Merci de m'avoir suivie, on se retrouve au prochain épisode. Et n'oubliez pas de vous abonner, n'oubliez pas qu'on dévoile les formateurs pour la Masterclass Cancun le 8 janvier, et que les pré-ventes pour ceux qui étaient là présents cette année vont avoir lieu le 12 janvier, les ventes générales le 19 janvier, et que la méthode Lyon ferme ses portes le 10 janvier. Voilà, donc on se retrouve. Pour la masterclass gratuite du 6 au 10 janvier, vous pouvez vous inscrire dès à présent. Le lien est en bio, à la bio, pardon, de mon Instagram. Vous avez le lien en bio, pardon. En attendant, portez-vous bien et on se retrouve la semaine prochaine. Bye.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Description

🎙 Épisode explosif de "Ne me cassez pas le peigne"

Dans cet épisode sans filtre, Julie Verrons vous plonge dans les défis de l’engagement, clé ultime pour transformer votre salon et votre vie pro. Avec sa franchise légendaire, elle démonte les excuses, éclaire les peurs et montre pourquoi bouger son "cul" de la zone de confort est indispensable pour avancer.

Julie partage son parcours, ses galères, ses victoires et l’importance de rester fidèle à ses valeurs, quitte à dire "NON" aux opportunités qui trahissent son intégrité. Elle s’adresse à toutes les coiffeuses ambitieuses : tu veux des résultats ? Engage-toi à fond, ou arrête de rêver.


🔥 À retenir : Le succès n’arrive pas sans risque, sans engagement et sans choisir les bonnes batailles. Si toi aussi, tu veux passer un cap, cet épisode est une vraie claque (et un boost d’énergie).


➡️ Inscris-toi à la prochaine masterclass et viens découvrir comment la méthode Lionne peut transformer ton business.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure. Présentez Farjouli Véran. Hello, hello tout le monde. J'espère que vous allez bien, j'espère que vous êtes en forme. Donc aujourd'hui, ça va être un épisode, je ne sais pas trop comment l'appeler. Donc ça va être une discussion ouverte en fait, que je vais vous proposer. J'ai la voix un peu cassée, je vous prie de m'excuser. Je vais parler doucement, je vais parler près du micro, je vais monter le son du micro, je vais tout faire pour que vous m'entendiez bien. Je ne vais pas crier parce que j'ai mal au... Depuis Cancun, en fait, j'ai mal au code vocal jusque dans les oreilles. Donc, je vais parler doucement en espérant que vous m'entendiez bien et que le son soit bien. Je vais me coller devant mon micro. Je vais tout faire pour que ça fonctionne et que ce soit bien. Voilà. J'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous passez un bel hiver. Pardon, c'est méchant, pardon. Mais quoi qu'il arrive, c'est l'hiver. Puis n'importe où dans le monde où vous êtes, c'est l'hiver. Puis moi, il fait beau. Donc voilà, nous c'est la bonne période, il fait beau. Il ne fait pas chaud, il ne fait pas trop chaud, mais il fait assez chaud pour qu'on puisse aller à la mer et se baigner, mais il ne fait pas trop chaud. Donc, pardon, excusez-moi, j'ai perdu la voix, ça sera le karma, puis c'est tout. Donc voilà. Aujourd'hui, j'avais envie de parler d'un sujet qui me tient à cœur, qui s'appelle l'engagement. Pourquoi ? Parce que j'ai beaucoup d'appels, j'espère que ça va enregistrer, oui c'est bon. Donc j'ai beaucoup de gens qui m'appellent en ce moment, qui veulent avoir des appels, tout ça. Et l'engagement, en fait, revient souvent. L'engagement et l'engagement qu'on est prêt à mettre sur soi. On se demande en fait qu'est-ce que j'apporte et qu'est-ce que j'amène et qu'est-ce que le business de la coiffure peut être évolutionné par la lione. Eh bien, pardon, vous voyez, ce n'est pas terrible à la voix, mais bon. Eh bien, en fait, c'est l'engagement. Je n'ai pas réinventé la roue du business. Je n'ai pas trouvé une méthode infaillible qui va vous faire. passer de zéro à millionnaire d'un coup du jour au lendemain. Je n'ai pas les clés de la richesse absolue, je n'ai pas les clés qui vont vous permettre d'acheter une Ferrari demain matin si c'est votre souhait ou de voyager à travers le monde si c'est votre souhait. J'ai juste une clé qui, avec votre engagement, va vous donner la possibilité de générer du chiffre d'affaires et d'acquérir une rentabilité dans votre entreprise. Et ça passe par l'engagement. Et là, vous allez me dire, c'est quoi l'engagement ? L'engagement, en fait, c'est la promesse que tu te fais à toi-même. C'est le choix, en fait, que tu te donnes. Est-ce que j'ai le choix, en fait, de m'abandonner ou est-ce que j'ai le choix d'avancer ? Et là, ce qui revient en ce moment beaucoup, c'est la peur. J'ai peur. J'ai peur de ne pas pouvoir payer. J'ai peur de ne pas pouvoir me payer. J'ai peur de ne pas pouvoir payer mes factures. Mais la question à se poser, en fait, est la suivante, c'est si je ne fais rien, si je fais tout comme je faisais avant, Si je ne mets rien en place, est-ce que je vais avoir des résultats différents ? Est-ce que je vais être capable de générer plus de chiffre d'affaires ? Est-ce que je vais être capable de me payer davantage ? Est-ce que je vais sortir mon cul de la merde ? En fait, c'est ça. Moi, j'ai quelqu'un que j'admire beaucoup et que j'apprécie beaucoup. On ne se parle plus vraiment beaucoup, mais ça ne fait rien, elle est dans mon cœur quand même. C'est Barbara qui m'avait dit, un jour... Il m'avait dit Tu sais Julie, les gens sont faits ainsi. La merde, c'est chaud et c'est confortable. Donc quand tu as le cul planté dedans, tu trouves que c'est chaud et c'est confortable. Ça pue un peu, tu vois, ça pue. Mais au bout d'un moment, à force de sentir l'odeur, il ne la sente plus. Donc qu'est-ce qu'il garde ? C'est la chaleur et le confort. Donc à partir du moment où tu te soulèves le cul, vous voyez l'image, tu te soulèves le cul de la merde. et tu te dis oh putain j'ai froid au cul, oh putain ça pue encore plus, et oh putain il va falloir que j'aille me laver, que je redevienne avec le cul propre en fait, et ça ça va me faire chier. Donc je préfère rester le cul planté dans la merde, mais vraiment bien profond en fait, pour être sûre, pour être sûre en fait que je ne sorte pas de ma zone de confort, et pour être sûre que, au cas où, ben, tu sais au moins... J'ai quelque chose à manger si jamais j'en ai besoin. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est horrible quand on dit ça. Vous vous dites, ah mon Dieu, je suis en train d'écouter le podcast, puis il est 7h du mat, puis elle me parle de merde. Mais en fait, je suis confrontée à ça tout le temps. Tout le temps, tout le temps, tout le temps. Des gens, en fait, qui veulent changer, sans changer tout en changeant, mais surtout, qui ne veulent pas se mettre dans des situations inconfortables au cas où ils auraient été. Mais en fait, moi, je le dis souvent, puis c'est quelque chose qui m'a été beaucoup reproché. Il ne faut pas croire que ma position à moi, elle est facile. Ma position à moi, elle n'est pas facile. Elle n'est pas facile du tout. Pourquoi ? Parce que, comme vous, en fait, je dois avoir des clients, je dois faire... Je dois avoir des clients qui me rémunèrent. Je dois lancer des projets. Je dois prendre des risques. Je prends beaucoup plus de risques. Et plus ton entreprise, elle grandit, et plus tu prends des risques, en fait. Les risques sont proportionnels, en fait, au chiffre d'affaires. Plus tu fais du chiffre d'affaires, et plus les risques vont être importants. Pourquoi ? Parce que plus tu grandis, en fait, et plus la chute, elle peut être grande. Donc, tu prends de plus en plus de risques. Voilà, c'est comme de la drogue, en fait. C'est-à-dire que tu peux choisir d'arrêter, tu vois, mais tu peux choisir en fait toujours de prendre la dose supplémentaire. Et pour moi, mon travail, c'est comme de la drogue en fait. Je choisis toujours de prendre la dose supplémentaire. Alors on peut se dire, est-ce qu'un jour je vais faire une overdose ? Peut-être. Mais je suis accro à mon job, vraiment. Vous voyez, on est dimanche, il est 14h36, je viens de faire des appels, je viens de travailler sur mes stratégies. Et je suis debout depuis 6 heures du mat. J'en ai rien à foutre en fait. Parce que pour moi, ça me nourrit plus que de dormir le matin. Ça me nourrit plus que de rien foutre. Ça me nourrit plus que d'aller à la plage, de faire mon job. Ça m'apporte beaucoup plus en fait que de rester le cul assise dans ma merde. Et pourtant j'y ai été dans la merde. J'ai été conditionnée à vivre dans la merde. En fait, pour être tout à fait honnête. J'ai été en fait... Moi, j'ai pas honte de le dire, j'ai été élevée par des parents qui n'avaient pas d'ambition, ou très peu, qui étaient conditionnés à faire leur job, puis c'est tout. Mon père, il a fini sa vie, il était au RSA, parce qu'il avait des problèmes de dos et tout ça. Il aurait pu faire comme moi, c'était un putain de peintre en plus, un putain d'artiste, hyper rigoureux mon père, mais vraiment hyper rigoureux. C'est capable de peindre au pinceau, sans mettre de scotch pour pas déborder, c'était vraiment quelqu'un d'hyper rigoureux dans son travail. et extrêmement travailleur, vraiment. Mais artiste, tu vois, genre, la vie est faite de l'endemain que je ne verrai pas. Et il aurait pu se dire, moi j'ai mal au dos, plutôt que d'attendre qu'on me rémunère pour mon dos, je vais monter un empire, tu vois. Je vais créer des centres de formation, puis je vais aider les jeunes à peindre, etc. Puis je vais me planquer là-dedans, tu vois. Il aurait pu faire ça. Il n'a pas voulu. Lui, il a attendu, il ne savait pas trop. Il n'a jamais été trop entrepreneur. Mais il n'a pas voulu, il n'a pas fait. Il a fini au RSA, en fait. Dans une mort de merde, honnêtement, personne ne veut mourir de cette mort-là, honnêtement. Et même quand j'en parle, pardon, je me dis, on ne peut pas, en fait, avoir vécu et se dire que tu t'écrases comme ça. pas te laisser la chance en fait des choses c'est pas possible tu peux pas te laisser la chance en fait de te dire ah ben moi de toute façon on me propose des solutions puis j'en veux pas parce que j'ai envie de vous j'ai envie de mourir comme une merde on peut pas dire ça en fait on peut pas se dire ça et 1 et moi en fait pour moi c'est aucunement une possibilité je je vis comme si c'était impossible de c'était en fait pour Je ne sais pas comment vous dire, pardon, je reprends mes esprits, mais pour moi, être en bas de l'échelle, en fait, ce n'est pas une possibilité. Me dire que je suis victime, en fait, ce n'est pas une possibilité. Je ne me laisse pas la chance, en fait. Donc, qu'est-ce que je fais ? Je m'engage. Je m'engage chaque jour. Je m'engage chaque jour à faire mieux. Je m'engage chaque jour à faire plus. Je m'engage chaque jour, en fait, à... à aller de l'avant. Je suis sûre que sans cet engagement-là, je serais capable de me dire des fois Je ne peux pas, je ne le fais pas, j'arrête. Vous voyez, on est dimanche, puis je l'ai dit. On est dimanche, puis je pourrais me dire Ah, moi, non, moi, tu sais, j'ai envie d'aller à la plage, j'ai envie de me mettre les doigts de pied en éventail. Je pourrais, tu sais, je prends ma voiture, je fais 20 minutes de bagnole et j'y suis. Il fait beau, il fait 29 degrés aujourd'hui, il y a grand soleil, et je suis dans mon bureau. Je viens d'annuler mon voyage en Inde. Je devais aller en Inde avec ma cousine. J'ai annulé. Pourquoi ? Parce que mon entreprise prend une expansion que je n'avais même pas vu aller, que j'ai choisie, que j'ai voulu, mais que je n'ai même pas vu aller. Et donc du coup, je me dis, il faut que je le gère. Je ne peux pas dire à mes clients, non, non, écoute, pas de problème. Moi, je prends deux semaines et je serai en Inde. Pendant que toi, tu seras en train de galérer avec ton entreprise. Non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Je ne peux pas dire Ah ben moi je vais organiser Cancun, puis tu sais, si il y a pendant deux semaines je ne suis pas là, ben c'est correct. Non, je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Je ne peux pas faire ça. Donc j'ai choisi, j'ai fait un choix, et ce choix en fait il s'appelle l'Institut Lyon. J'ai plus de voix, je suis fatiguée des fois, puis des fois je me dis je m'arrêterai bien, puis je le ferai plus tard. Je le ferai plus tard parce que je n'ai pas envie de mourir d'une mort de merde. En m'étant dit je verrai plus tard non, ce n'est pas possible. Je ne peux pas en fait. Je ne peux pas. Et donc, c'est comme la drogue. C'est-à-dire qu'en fait, quand tu as atteint des scores, la chute est plus grande si tu t'arrêtes. Donc, c'est ça en fait le défi. Un jour, je retrouverai un certain confort en me disant je peux faire ce que je veux, puis j'ai des gens qui travaillent pour moi, mais je ne le fais pas pour l'instant. Voilà, je ne le fais pas pour l'instant. Donc ça, c'est quelque chose que je voulais vraiment en discuter parce qu'on parle beaucoup de coaching et tout ça. Puis il y a beaucoup de gens qui sortent de ça, qui le font plus ou moins bien, plus ou moins sérieusement, plus ou moins avec des compétences. Et en fait, je me dis, mais OK, je veux dire, OK, il y a de tout, un peu de tout. Puis moi, j'ai ouvert le marché, puis je suis bien contente de l'avoir fait. Aujourd'hui, il y a un peu de tout qui sort sur la toile. Combien d'entre nous le font sérieusement ? Combien d'entre nous le font réellement sérieusement ? Puis c'est quoi être accompagné réellement ? Avoir un coach, un mentor, c'est réellement avoir quelqu'un qui te prend au trip et qui te dit putain, quand tu fais une merde, excusez Tyson, quand tu fais une merde, il faut qu'il y ait quelqu'un qui soit capable de te rattraper dans ta merde, qui soit capable de te sortir de là. Et que ce soit confortable ou non, il faut que tu sois capable de l'entendre, il faut que tu sois capable de te faire saisir. Il faut que tu sois capable de te faire saisir et que de cette empoignade, tu récupères des astuces et des stratégies qui te permettent de ne plus jamais tomber là. Moi, je suis tombée loin, je suis tombée bas. Moi, je n'ai pas honte de le dire que je me suis fait saisir ma bagnole. Je n'ai pas honte de le dire que je suis partie au Québec, je n'avais pas d'argent. Je n'ai pas honte de le dire que j'ai monté un salon avec 2000 balles. Je n'ai pas honte de le dire que ça n'a pas toujours été facile, que j'ai vécu dans un appartement où il n'y avait pas de meubles. Quand j'en parle comme ça, je me dis que ça fait comme genre... c'est un peu le discours de tous les coachs, genre ouais, moi je suis partie de rien, je suis partie de zéro, puis je suis arrivé, j'ai explosé les scores, etc. Je pense que tant que t'as pas bouffé de la merde, t'es pas capable de performer. Pour performer, il faut avoir bouffé de la putain de merde. Il faut vraiment avoir été au 36ème dessous pour te dire que cette situation-là, tu la veux plus jamais. Plus jamais, en fait. Tu veux plus jamais être là. Tu veux plus jamais te retrouver là. Tu veux plus jamais avoir à vivre ça. Et comme je l'ai dit cette semaine dans mes stories, je remercie les gens qui n'ont pas cru en moi. Je remercie tous ceux qui pensaient que j'étais une putain d'imposteur, qui m'ont bâchée, qui m'ont détruite sur les réseaux, qui ont fait en sorte de me faire du mal. Je pense notamment à des commentaires, puis je ne remettrai pas le nom, parce que ce n'est pas nécessaire. C'était un groupe de coiffeurs qui se pensaient plus intelligents qu'à moyenne, et qui ont fait un putain de poste, qui m'a tué, qui m'a détruit, qui a voulu me détruire, qui pensait faire plus malin, qui pensait prendre ses couilles dans sa main et se dire la verron on va la dégommer, mais la verron tu la dégonneras jamais ! Je suis un peu comme le pissenlit, tu vois, tu l'arraches, puis il y en a deux, trois qui repoussent. Donc, tu ne m'auras jamais, tu vois, c'est vraiment ça. Puis ce n'est pas pour me vanter, c'est pareil. J'ai voulu faire de la formation. Puis aujourd'hui, en fait, on m'a dit, cette semaine, quelqu'un m'a dit, puis très justement, Oh mon Dieu, mais avec un coup de deux, tu vas te mettre à dos les centres de formation. Mais en fait, les centres de formation, ils n'ont jamais voulu de moi. À part un, qui est Educatitude. Sinon, les centres de formation n'ont jamais voulu de moi. Ils se sont dit, Mais c'est qui cette conne ? C'est qui cette conne tatouée de partout, qui a l'air de ramener sa fraise et qui nous fait de l'ombre là ? C'est qui cette teubée là ? La teubée en fait, elle est en train de révolutionner le monde de la coiffure. et en fait de te balayer au passage. Donc en fait, bienvenue à la teubée. Moi, ça me fait rire, tu vois, parce que je me dis, c'est ce que j'ai répondu d'ailleurs à cette charmante personne. Je lui ai dit, ils n'avaient qu'à me faire confiance quand c'était le moment. Et elle m'a répondu un truc très juste. Elle m'a dit, il y en a qui pensent qu'il faut ouvrir le parapluie quand il pleut, mais des fois, il faut déjà ouvrir le parapluie quand il fait beau. Parce que des fois, quand il pleut, ton parapluie est cassé. Et puis quand il est cassé, c'est trop tard. ils ne te protègent pas de la pluie. Donc c'est exactement ça. Donc voilà, je voulais vraiment parler de ça parce que je voulais vraiment dire à tous ceux qui hésitent de se choisir, de se faire accompagner, coacher, mentorer, etc. que c'est un passage qui évite bien des conneries, bien du stress, bien des choses qui sont désagréables et qui pourraient être tellement évitées. Faites le coaching, c'est pour éviter de te retrouver dans des situations désagréables. Cette situation où tu te dis putain, je me serais bien passé de cette merde Et pourtant, tu vois, c'est ça. Et comme je l'ai déjà dit, je ne veux pas de personnes qui ne sont pas engagées. Des gens qui ne sont pas engagés, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui abandonnent, ça ne m'intéresse pas. Des gens qui ne sont pas capables de voir la différence entre la qualité ou... ça ne m'intéresse pas, des gens qui ne sont pas capables de savoir pourquoi ils le font, ça ne m'intéresse pas. Et je connais mes capacités aujourd'hui. Quelqu'un aura beau dire Ah mais Julie Véran, c'est trop de la merde, ça ne marche pas, etc. Je connais mes capacités aujourd'hui et je sais ce que j'amène, j'en suis convaincue. Et aujourd'hui, je n'ai pas besoin qu'on me fasse ma pub, je n'ai pas besoin. J'ai surtout besoin d'avoir des clients qui réussissent. Moi, mon moteur, en fait, ce n'est pas la publicité que quelqu'un va me faire pour voir. Mon moteur, c'est la réussite de mes clients. Mon moteur, c'est de faire évoluer le métier de la coiffure. Mon moteur, en fait, c'est que les gens puissent faire du business et savoir exactement qu'en coiffure, on a le droit de gagner sa vie, le droit de gagner de l'argent, le droit d'être important, le droit de se sentir important. Ça, pour moi, c'est important. Ça, pour moi, c'est quelque chose. Quand je fais les masterclass à Cancun, je ne le fais pas pour gagner de l'argent parce que sinon, très sincèrement, je ne ferais pas ça. Je le fais parce que mon métier pour moi est important. J'en ai souffert qu'on dise que j'étais une conne de coiffeuse, que j'avais rien, que j'avais un pois chiche dans la tronche, ou que mes clients me disaient... J'ai un client qui m'a dit Vous parlez plusieurs langues, vous êtes plus intelligente que la moyenne des coiffeuses. Mais je t'emmerde en fait. Je t'emmerde mais vraiment profondément. Ou un client qui m'a dit Ah mais c'est plaisant de faire la discussion avec vous, vous avez l'air tellement intelligente. Mais en fait, c'est quoi en fait ? Ça n'a rien à voir avec l'intelligence ou pas l'intelligence, ça a à voir avec la culture. On peut être qui on veut et être cultivé, et on peut être qui on veut et être con comme une valise. Mais réellement, tu peux être avocat et être le plus grand des connards, et tu peux être éboueur et être la personne la plus intelligente et la plus pertinente que je connaisse. Le métier, le niveau social, le rang social n'a rien à voir là-dedans. Et si vos clients vous rabâchent en fait que... Oh mais c'est cher, oh mais c'est ceci. Et en fait voilà, j'ai, en fait moi j'ai compris que j'ai rien à prouver et à montrer à personne. Mais rien du tout, que dalle. Je peux m'habiller comme je veux en fait, j'en ai rien à foutre. J'ai pas besoin de montrer que j'ai des, que je m'habille comme une duchesse en fait. Parce qu'en fait, tu peux t'habiller comme une duchesse, puis je fais un petit clin d'œil à ma copine. Tu peux t'habiller comme une duchesse en fait, et avoir l'air d'une conne. Et avoir joué la conne. et avoir été une conne pendant longtemps, et à croire en fait que t'es sortie de la cuisse de Jupiter alors que t'es même pas sortie du trou du cul d'Apollon, je suis désolée de le dire, mais c'est ça pareil ! C'est ça pareil ! Il y en a qui se donnent du genre, tu vois, avec les fringues et tout, mais ça sert à rien en fait ! Ça sert à que dalle ! Tu peux te... Tu sais, je veux dire, tu peux être habillée simplement et être la personne la plus pertinente du monde. Et tu peux être coiffeur en fait dans un village et avoir le plus grand talent du monde. Et tu peux être coiffeur... à la capitale et n'avoir aucun talent. Voilà, on s'en fout en fait. On s'en fout, on a le droit d'être qui on veut. On a le droit d'être qui on veut et de faire ce qu'on veut et d'être la personne la plus experte pour la clientèle qu'on se choisit. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas vouloir faire tout le monde et coiffer tout le monde, etc. C'est avoir une expertise et de rejoindre sa clientèle. C'est ça en fait l'objectif. Ce n'est pas se dire moi je vais me donner un style Je vais m'habiller comme ça, puis je vais avoir l'air d'une bourge, alors qu'en fait, je mange des boîtes de thon. Mais on s'en fout, en fait. Posséder quelque chose, posséder un sac, posséder ci, posséder là, c'est pour impressionner des gens, en fait, que... C'est pour impressionner une communauté dont tu ne feras jamais partie au final. Aller dans un yacht, voler dans un jet privé. En fait, si c'est ce que tu veux faire, tant mieux. Mais d'abord, avant tout ça, avant toute chose, avant de montrer que tu as trois couilles, montre déjà que tu peux faire une différence dans ce monde. Montre déjà que tu as quelque chose à apporter aux autres. montre déjà en fait que tu es capable clairement de dans ta mission d'apporter un véritable résultat pour quelqu'un d'autre et de faire en sorte en fait que tu puisses changer la vie de quelqu'un d'autre et après tu te fera pousser une troisième couille ça te chante voyez ce que je veux dire donc quoi je dis ça pourquoi je m'emballe samba dit donc parce que parce que en fait on n'a rien à prouver aux gens On n'a rien du tout à prouver aux autres. La seule personne que tu dois impacter, en fait, c'est tes clients. C'est les gens qui sont autour de toi. C'est les gens que tu serres. Ce ne sont pas les gens qui te regardent et qui, en fait, avec les pop-corns, se mettent des pop-corns dans la bouche et se disent Oh mon Dieu, mais quelle connerie elle va nous faire encore aujourd'hui. On s'en tape totalement. Moi, je serre une clientèle et j'aide les entrepreneurs de la coiffure à développer leur salon. Et je ne m'occupe que des personnes qui sont engagées et qui veulent vraiment avoir un réel résultat parce que je suis convaincue de ce que j'apporte aujourd'hui. Je le sais. Je le sais plus qu'avant, plus que jamais en fait. Je sais ce que je suis capable d'apporter. J'amène de la vibe en fait dans la vie des gens. J'amène de la bienveillance. J'amène en fait une... Je fais une réelle différence dans le business des gens et aujourd'hui, je n'ai rien à prouver en fait. Mais rien. Rien parce que ce que je construis, généralement, depuis un certain moment, parce que j'ai construit des trucs qui n'ont pas marché, mais depuis un certain moment, ça fonctionne. Pourquoi ça fonctionne ? Vous pensez que depuis un moment, je n'aurais pas pu avoir quelqu'un qui dise Oh mon Dieu, mais c'est trop de la merde, n'achetez pas chez elle, c'est trop de la merde, etc. J'ai évolué, je n'ai pas toujours fait du bon travail, je me suis formée, je me suis développée, j'ai développé mon mindset, mon esprit pour pouvoir faire du bon travail. Je me suis formée de ouf. Je n'ai pas toujours été une bonne coiffeuse, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours été une bonne coach, mais je me suis formée pour le devenir. Je n'ai pas toujours fait des bonnes choses dans mon business, mais je me suis formée pour le faire. Et je me forme encore. Et je pense que l'humilité, en fait, fait partie de mes plus grandes qualités. C'est-à-dire que moi, pour moi, en fait, je n'ai pas trois couilles, mais vraiment pas. Et je n'en ai jamais eu, en fait. J'ai fait des erreurs, j'ai fait des choix. J'ai fait des choses qui m'ont amené quelque part et j'enseigne ça. Mais moi, je ne sais pas, je ne sais pas, je te le dis comme ça, je te dis juste ça. Genre, quand tu choisis quelqu'un pour t'accompagner, quand tu choisis quelqu'un parce que tu te dis je vais prendre un tel parce qu'il est moins cher que Julie Véron, puis en fait, kiff kiff, ça doit se toucher je te dis juste un truc. Quand tu choisis la personne qui va t'accompagner dans ton business, demande-toi quels sont les résultats que tu veux avoir. déjà première chose deuxième chose en fait demande toi est ce que cette personne a eu les résultats que toi tu veux avoir et renseigne toi bien d'accord troisième chose regarde ce que ton coach est capable d'accomplir pour son entreprise aujourd'hui ok donc déjà là déjà ça donne des indications ok bon très bien est ce que en fait c'est du c'est du bluff ou est ce que c'est réellement quelque chose qui est arrivé c'est à dire la meuf est ce qu'elle a construit des trucs qui l'ont amené vers un certain palier. Tu vois, moi, par exemple, je te donne un exemple. J'ai monté la méthode Lyon. J'ai formé plus de 200 coiffeurs à la méthode Lyon. J'ai monté la masterclass à Cancun. J'ai amené 150 coiffeurs. Je développe le numéro 2. J'ai en fait la possibilité aujourd'hui de montrer les résultats de mes clients. J'ai la possibilité en fait, même si je n'ai pas beaucoup d'abonnés sur les réseaux sociaux, de développer quelque chose qui fonctionne. Donc, pourquoi je dis ça ? Pourquoi je me débat aujourd'hui face à vous ? Parce qu'en fait, la réussite, elle ne dépend pas de moi. Parce que moi, en fait, si vous regardez ce que j'ai déjà fait, vous voyez que je suis capable de le faire. Je suis encore capable et je serai encore capable demain. Mais demandez-vous, vous, quel est l'engagement que vous voulez mettre pour votre entreprise ? Quelle est la main que vous voulez ? Quel est le bouton que vous voulez actionner pour que votre entreprise fonctionne ? Parce que moi, la mienne, je suis capable de la faire fonctionner. Ce qui montre que je suis capable de faire fonctionner celle des autres et que je suis capable de montrer comment on est capable de générer du chiffre d'affaires et de la rentabilité. Mais sans engagement, sans ton engagement, sans ta vision, il n'y a rien qui se passe. Et surtout, si tu n'es pas capable de t'engager pour le changement, il n'y a rien qui va se passer. Moi, j'ai monté toutes les choses que j'ai montées récemment parce que je me suis faite accompagner par quelqu'un, par plusieurs. et que je suis toujours accompagnée aujourd'hui. Et qu'on a beau avoir un milliard d'idées à la seconde, quand on est créatif, quand on est coiffeur, quand on est entrepreneur, mais la plupart du temps, c'est une seule idée qui va vous amener au succès. Une seule. Une seule idée. Une seule idée avec une seule clientèle cible qui va vous amener vers le succès. Ce n'est pas un milliard d'idées, c'est une seule idée. Une seule idée qui va vous amener quelque part. Moi, la seule idée qui m'amène quelque part aujourd'hui, C'est la méthode Lyon et c'est la seule clientèle que j'ai envie de servir, c'est les coiffeurs. La seule. Est-ce que c'est facile tous les jours ? Non, ce n'est pas facile tous les jours. Comme vous, quand vous coiffez en salon, ce n'est pas facile tous les jours. Est-ce qu'on critique mon prix ? Bien sûr. Est-ce qu'on se dit que c'est de la folie ? Bien sûr. Est-ce qu'on se demande si je me touche avec mes prix ? Bien sûr. Évidemment. Évidemment. Mais la valeur ajoutée que j'amène, est-ce qu'elle est bonne pour tout le monde ? Non. Est-ce qu'elle amène des résultats ? Oui. Est-ce qu'il faut s'engager pour ses résultats ? Bien sûr, évidemment, bien évidemment. C'est comme vous, vos clients, quand ils viennent au salon, quand on dit Ouais, mais tu devrais faire un épisode là pour parler des gens qui ne viennent pas au salon Mais est-ce que c'est des gens qui méritent votre service ? Est-ce que c'est des gens qui sont complètement engagés pour votre service ? Parce qu'avoir des beaux cheveux, c'est un engagement, on est d'accord ou pas ? C'est un réel engagement, avoir des beaux cheveux. Avoir une couleur entretenue, c'est un engagement, c'est-à-dire que tu dois y aller toutes les 4 à 6 semaines. Avoir des belles rallonges, des beaux cheveux, des belles extensions, pardon, je cherchais le mot en français. Des belles extensions, c'est un engagement. Tu ne peux pas te retrouver avec les cheveux qui descendent au niveau des oreilles, il faut que tu les remontes, tes extensions. Donc c'est un engagement. Avoir des cheveux bien entretenus, un beau blond, c'est un engagement. Avoir une entreprise qui tourne, c'est un engagement et donc les clients doivent s'engager pour ça. Ce n'est pas en fait Ok, je vais aller me faire couper les pointes Non, c'est un engagement, merde. Tu t'engages à avoir des beaux cheveux, tu t'engages à utiliser des bons produits, tu t'engages en fait à venir de manière régulière dans mon entreprise. Si tu loupes ton rendez-vous, que tu ne me préviens pas, c'est que tu as défailli en fait à ton engagement envers moi et envers toi-même. Est-ce que je dois continuer à t'accepter dans mon salon ? Non. Est-ce que je dois tirer la langue en fait et avoir la langue qui touche mon bureau ? pour me dire, je vais essayer de la reprendre. Non, non, tu ne reprends pas des gens qui t'ont manqué d'engagement et qui ont manqué de respect. C'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non, c'est non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Donc, si toi, tu n'es pas capable d'être engagé envers ton entreprise, si toi, tu n'es pas capable de mettre des bonnes actions dans ton entreprise, comment tu vas avoir la bonne clientèle ? Comment tu veux que les clients choisissent ? Comment tu veux que les clients fassent preuve d'engagement envers toi ? Si toi-même, tu n'es pas capable d'en avoir. Si toi-même, tu n'es pas capable de choisir. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire stop. Si toi-même, tu n'es pas capable de dire ok, non, ça y est, c'est bon, j'arrête. Tu vois ce que je veux dire ? Arrête. Arrête et prends les bonnes stratégies, fais les bonnes choses. Fais les bonnes choses au bon moment. Et arrête de penser en fait que c'est de leur faute. C'est de ta faute, ta posture. En tant que chef d'entreprise, en tant que leader, ta posture va déterminer la posture de tes clients. Je te jure. Si tu fais un diagnostic et que tu imposes des choses, je te jure, elles ne vont pas vouloir venir te contredire et te contrarier. Elles ne vont pas vouloir. Moi, je l'ai regardé droit dans les yeux. Je dis, écoute-moi bien, si tu ne fais pas les shampoings et les soins que je te dis, déjà, non seulement, premier, je ne te coiffe plus. Et deuxième, à un moment donné, tu ne viendras pas te plaindre que tes cheveux tombent dans le lavabo. et que tu te retrouves chauve. Moi, je ne prends pas des responsabilités de ça. Et là, je leur parlais comme je vous parle en ce moment. C'est-à-dire que moi, en fait, le langage commercial, il n'existe pas. Il n'existe pas avec moi. C'est je t'aime et je te respecte énormément. Je t'aime et je te respecte parce que tu viens me voir. Je t'aime et je te respecte parce que tu t'engages dans mon entreprise. Tu payes. pour que je te coiffe ou tu payes pour que je te coach, mais en fait, je ne te trouve aucune excuse si tu me manques de respect ou si tu manques d'engagement envers toi-même. Parce que si tu n'utilises pas les bons produits, que tu prends des produits de grande surface, parce que là, je me suis engueulée avec un coiffeur cette semaine. Ça m'a gonflée. Ça m'a grave gavée, en fait. De ouf, même. Parce que moi, en fait, tout l'argent du monde ne viendra pas acheter mes valeurs. Aucunement. Jamais. D'accord ? Donc, ça veut dire que si on me propose un gros contrat, 2 millions, pour que je fasse de la publicité, pour de la coloration en boîte, je ne le ferai pas. Et je m'engage avec vous. Vous voyez ? je m'engage avec vous, je ne le ferai pas, même pour un million je le ferai pas, voilà, même pour un gros chèque je le ferai pas. Et donc là, j'ouvre mes réseaux, d'accord, et je vois ça. Il faut savoir que j'étais en processus de recrutement pour Cancun 2, et que les coiffeurs qui travaillent avec moi sont des coiffeurs en fait qui respectent, enfin qui respectent, qui ont les mêmes valeurs que les miennes. En fait ils ont même pas besoin de respecter mes valeurs. on a les mêmes valeurs, tout simplement. Et donc, là, il y a eu des gens qui ont postulé. Voilà. Et donc là, je vois qu'un coiffeur qui a postulé, ou en tout cas qui a montré un intérêt, a fait de la publicité pour de la coloration en boîte. Mais mon gars, c'est non. C'est 1 plus 1 égale non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. C'est pas possible. Et tu peux me dire, en fait, que l'avenir est... dans le produit de grande surface que le coiffeur, que la produit de grande surface paye mieux, que ça t'a fait un beau chèque, qu'on ne connaît pas ta réalité, que ci, que mi, j'en ai rien à foutre. Tu vois ce que je veux dire ? J'en ai rien à branler, mais total, mais vraiment. Totalement, mais total. Je m'en fous, en fait. J'en ai rien à foutre. Parce que moi, mon intégrité veut que tu as le droit de faire ce que tu veux. Mais moi, en fait, je me respecte. Et moi, je respecte mes convictions. Et moi, je me dis, c'est sûr que c'est non. C'était non déjà avant, mais là, c'est encore plus non. Tu vois ce que je veux dire ? C'est non. Ce n'est pas possible, en fait. Donc, vous voyez les balises de mon entreprise, comment elles sont claires, comment elles sont nettes, comment elles sont clean ? Eh bien, vos clients, quand ils rentrent dans une entreprise où les balises sont claires, sont clean, sont posées, ils ne s'essayent pas. Vous voyez ? Ils ne s'essayent pas. Ils n'essayent pas d'aller à l'encontre de ce que vous êtes. Ils ne s'essayent pas. Moi, mes filles, je le dis de source sûre, et elles écouteront sûrement le podcast, mes filles, elles sont hyper engagées. Quand elles ne sont pas engagées, qu'elles abandonnent, je ne les retiens pas. Je ne les retiens pas du tout. Je n'en ai rien à faire. Si on ne s'engage pas envers son entreprise, si on ne s'engage pas envers la personne qu'on est, ce n'est pas la peine de rester avec moi. Ça ne m'intéresse pas. Moi, j'ai des gens engagés. Je suis fière de mes filles. Je suis fière de mes Lyon, je suis fière de ce que je monte, je suis fière de mon entreprise, je suis fière de mes valeurs. Pourquoi ? Parce que je sais ce que j'amène et je suis fière de voir les coiffeurs vouloir s'engager là-dessus, vouloir se prononcer, se positionner là-dessus, vouloir se débattre chaque jour pour montrer qu'en fait le métier de la coiffure ça vaut quelque chose. Pour montrer qu'on est une industrie qui se tient debout, on est une industrie qui apporte du bonheur aux clients. mais qui ne sont pas prêts à tout, on n'est pas prêts à tout pour se faire marcher sur les pieds. Et donc, aujourd'hui, on se positionne et on met nos valeurs à la bonne place. Voilà. Et que moi, en fait, demain matin, Schwarzkopf peut m'appeler et me dire Bon, là, si tu faisais de la pub pour le spray racine, machin... Mais non. Non. Je suis désolée. Non. Parce que tu peux pas après dire au coiffeur Oh mais non, mais t'inquiète, c'est pas grave, mais je reste quand même professionnelle. Non, tu peux pas. C'est foutu, tu t'es tiré dessus. Tu t'es tiré dessus. C'est foutu, tu peux être la meilleure personne, la personne la plus gentille de la Terre, mais tu t'es tiré dessus, putain, mais t'es quoi ? T'es débile ? Tu t'es tiré dessus à une profession qui galère déjà pour proposer en fait ses produits professionnels et de faire comprendre aux... Ginette, le bénéfice de ça, et toi tu nous tires dessus, mais va chier en fait. Va chier, voilà. Va chier, c'est tout. Désolée. Je n'étais pas partie pour ça. De base. Je n'étais pas partie pour ça. Je n'étais pas partie pour ça. Pardon. Je n'étais pas partie pour faire un podcast comme ça, avec des gros mots et tout. Je n'étais pas du tout partie. Je suis là, ouais, non, on va faire pas crête papillon. ça va rouler vous allez voir et je n'étais même pas parti pour faire cette durée là En plus, je m'étais dit non, ça va être beau. Et en fait, non, c'est non. Merci beaucoup de m'avoir écoutée. Une chose est sûre, si vous vous engagez, engagez-vous. Si vous voulez du changement, il faut s'engager. Si vous voulez que quelque chose bouge dans vos entreprises, il faut s'engager pour le changement, pour le renouveau et pour tout. Vous ne pouvez pas vous dire, je veux changer, mais je ne m'engage pas. Ce n'est pas possible. On a peur, oui, elle existe. La peur de ne pas réussir, la peur d'échouer, elle existe. Elle existera toujours. Elle sera toujours présente. J'ai peur pour mon entreprise tous les jours. J'ai peur de ne pas réussir. J'ai peur de ne pas y arriver. J'ai peur qu'on n'achète pas mes choses. J'ai peur de ne plus avoir de clients. J'ai peur en fait que ma masterclass, elle ne se vende pas. J'ai peur que les formateurs, ils se disent Ah non, Julie Véron, c'est trop de la merde. J'ai peur, vous voyez, j'ai peur tout le temps. Mais est-ce que ça m'empêche d'avancer ? Non, ça ne m'empêche pas d'avancer, putain. Si je n'avance plus, je meurs. Si je n'avance plus en fait, je fais comme mon père en fait. Je meurs. Je meurs dans une mort de merde. Dans une mort où je me dis, j'aurais dû, si j'avais su, j'aurais pu. Mais je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je n'en veux pas de ça. Je veux être fière de moi et je veux que mes enfants soient fiers de moi. Je veux être fière en fait. Je veux être fière de moi et être sûre que quand ce sera mon temps, mon moment, je vais accomplir des trucs, des trucs de ouf, des trucs de dingue. Moi je suis quelqu'un qui aime les trucs de dingue. Tu fais pas le tour des Etats-Unis en camping-car pour faire Québec-le-Mexique en dormant dans des parkings de supermarché pour pas faire des trucs de ouf. Vous voyez ce que je veux dire ? Voilà. C'est ça en fait ma vie. Ma vie c'était ça. Voilà. Tu fais pas en prenant ton chien et tes trois valises, en ayant un peu d'argent dans tes poches pour aller dormir dans un appartement pas de beuble pour faire Toulouse-Québec pour te retrouver à faire des trucs de merde. Non c'est pas ça. Vous voyez ce que je veux dire ? Non, moi ma vie elle est exceptionnelle. Et j'ai envie qu'elle reste exceptionnelle. Voilà, j'ai envie de... Je m'offre un standing exceptionnel. Et donc, qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que je ne laisse pas la place à la médiocrité. Voilà, tout simplement. Je vous remercie de m'avoir suivi. Excusez-moi, je vais éternuer, ça se peut. Merci de m'avoir suivi. Je vous souhaite... Sinon j'arrêterai pas de parler là. Sinon il n'y aura plus... Voilà, je ferai un épisode de 3 heures là. Merci de m'avoir suivie, on se retrouve au prochain épisode. Et n'oubliez pas de vous abonner, n'oubliez pas qu'on dévoile les formateurs pour la Masterclass Cancun le 8 janvier, et que les pré-ventes pour ceux qui étaient là présents cette année vont avoir lieu le 12 janvier, les ventes générales le 19 janvier, et que la méthode Lyon ferme ses portes le 10 janvier. Voilà, donc on se retrouve. Pour la masterclass gratuite du 6 au 10 janvier, vous pouvez vous inscrire dès à présent. Le lien est en bio, à la bio, pardon, de mon Instagram. Vous avez le lien en bio, pardon. En attendant, portez-vous bien et on se retrouve la semaine prochaine. Bye.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne. Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

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