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Ne me cassez pas le peigne

Dans les coulisses du business coiffure : Stratégies essentielles pour les entrepreneuses du secteur

Dans les coulisses du business coiffure : Stratégies essentielles pour les entrepreneuses du secteur

34min |06/03/2025|

244

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Ne me cassez pas le peigne

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34min |06/03/2025|

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Description

🔥 Résumé de l’épisode – Ne me cassez pas le peigne 🔥

🚨 Alerte coup de gueule ! 🚨 Aujourd’hui, je vous prends par la main (ou par les cheveux, selon votre niveau de rébellion) pour vous secouer un peu. Parce que oui, y’en a marre des coachs en carton qui te vendent du rêve avec des conseils aussi foireux qu’une permanente ratée. Travailler moins et gagner plus ? Mon cul sur la commode !

Si tu veux exploser ton chiffre d’affaires sans exploser ta clientèle en plein vol, va falloir arrêter de croire à ces balivernes et te concentrer sur les vraies stratégies qui fonctionnent. Spoiler : ça demande du taf. Mais du taf intelligent !

👉 Au programme :

- Les mythos du business qui te promettent des miracles (et qui en fait te vendent du vent)

- Pourquoi augmenter tes prix sans stratégie, c’est comme mettre du vernis sur une jambe de bois

- L’importance de ne pas confier ton business à Jeanne Clotilde , coach improvisé après une crise existentielle

- Et surtout : comment reprendre le pouvoir sur ton salon avec des vraies méthodes solides

Bref, si t’as envie d’être une patronne badass et non une brebis égarée dans la jungle du coaching bidon, cet épisode est fait pour toi. 🎙️🔥

💡 Écoute, partage, tague-moi en story et surtout… active ton cerveau avant d’acheter n’importe quoi ! #NoMoreBullshit #CoiffeuseBoss


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véron. Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous êtes en forme, mon dieu, mais il y a du sang aujourd'hui, il y a du sang ! Je risque de vous faire péter un tympan, j'ai décidé de réactiver mon micro mais de le tenir. Voilà, cette fois-ci en fait, il va suivre ma tête, regardez comme c'est merveilleux. Je bouge comme un petit serpentin et ça fonctionne. Je baisse peut-être un petit peu le son, que vous ne soyez pas sourds après l'écoute de ce podcast. Mais en tout cas, il va y avoir du son. Je pense que ça sera mieux comme ça. Vous me direz ce que vous en pensez. De toute façon, vous l'écouterez quand même. Je sais que vous êtes devenus accros à ce numéro-là. Donc voilà, après le shampoing dans les yeux de la semaine dernière. Aujourd'hui, c'est un petit coup de gueule que je veux passer. Petit gros. Petit gros coup de gueule, juste le coup de gueule petit gros. Donc voilà. Et je voulais aussi vous sensibiliser. Vous sensibiliser dans tous les sens du terme, d'accord ? Parce qu'on est dans un métier en fait où la plupart ont du mal à amasser de l'argent et si vous le dépensez n'importe comment, on ne va pas être copains, d'accord ? On ne va pas être copains, ça ne va pas le faire les agneaux, ça ne va pas le faire. C'est mieux non quand je le mets un peu plus loin, un peu plus près, un peu plus... Je verrai, je réécouterai, je verrai ça. J'ai acheté un micro en fait, je me suis dit ouais ça va être un super micro et tout avec une console de son et tout. Et en fait si t'as pas le bec collé dessus, en fait il ne prend pas le son ce petit bâtard. Donc du coup voilà. Alors une chose que je voulais dire avant ça, donc j'ai dit bâtard déjà, ça ça marche pas. Ne faites pas écouter ce podcast à vos enfants. Ça se peut que vous soyez convoqué à l'école parce qu'il aura dit des gros mots et que vous m'en tiendrez personnellement responsable, sauf que je ne prends aucune responsabilité de rien. Vous ne devez pas écouter ce podcast avec des enfants, des oreilles sensibles, votre mère, votre tante, votre belle-mère éventuellement. Sinon, vous serez jugé. Moi, je suis déjà jugé. Donc en fait, pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour vous par contre, si vous n'êtes pas habitué au jugement, ça risque certainement de vous étonner au départ. Se faire juger, ce n'est pas ouf. Au début, on se dit « Ouais, mais non, je n'ai rien fait pour mériter ça. » Et en fait, si. Et en fait, les personnes qui jugent généralement ne font pas grand-chose de leur life, ne font pas grand-chose de leur vie. Mais c'est un sport national, le jugement d'abord. internationales en fait. Mais quand on n'est pas habitué, ça peut surprendre. Quand on n'est pas habitué, en fait, on peut se dire ça va Monique, calme-toi un peu les nerfs, ça va, j'ai juste écouté un truc. Oui, mais les gens vont penser que vous avez des habitudes spéciales. Ils vont ensuite aller très loin, ils vont se faire des scénarios, ils vont penser que machin truc. Moi, en fait, avec les podcasts, cet été, on est allé jusqu'à dire que je buvais de l'alcool. Alors oui. Alors oui, je bois des fois de l'alcool, c'est-à-dire que je prends des cocktails, des trucs comme ça, vous voyez, des trucs normaux. Mais je n'ai aucune tendance alcoolique en fait. Et on est allé jusqu'à dire aussi que j'avais un penchant d'extrême droite. Imagine. Alors là, vous vous dites, mais qui a pu dire ça ? Une conne, pour te dire la vérité. Une grosse conne. Mais qui est allée jusqu'à faire un montage, etc. Enfin bref. Bon. prouver et étayer sa thèse que j'étais à moitié folle. Alors oui, je suis à moitié folle, mais t'es pas obligé de m'écouter. Tu vois ce que je veux dire ? Donc si jamais tu trouves que j'ai un penchant un peu bizarre ou quoi que ce soit, ça se peut là. Je veux dire, selon tes codes, ton éducation, ce que t'as pu éventuellement écouter quand t'étais jeune et ce que tu veux dans ton entreprise, dans ta vie, etc. Je comprends. Je comprends très bien, mais tu n'es pas obligé de m'écouter, déjà, pour commencer. Et donc, tu n'es pas obligé de me juger. Si tu me juges, c'est parce que tu m'écoutes. Et si tu m'écoutes, c'est parce que tu m'aimes, en fait. Mais que tu n'oses pas le dire. Tu n'oses pas déconstruire tes codes. Tu n'oses pas te dire, finalement, Julie Véron, elle est sympa. Mais je suis vachement sympa, en fait. C'est ça, le pire. Le pire, c'est que quand tu ne me connais pas, tu te dis, mais ça doit être un terroriste, cette meuf. Et en fait, non, et en fait tu me kiffes, et en fait tu ris, et en fait plus tu ris plus tu me kiffes, et plus tu me kiffes plus t'as honte. Plus t'as honte, en fait, et plus tu te braques, tu vois ? Et plus tu te dis, ouais, non, en fait, non, non, je peux pas aimer ce genre de meuf. Mais si, si tu peux, tu peux, t'as le droit. Regarde, c'est moi. Donc ça, ça c'était pour la base. Donc n'écoutez pas le podcast avec vos enfants sous peine d'être jugés. C'était ça, le truc de base. D'accord ? Donc ensuite, le petit coup de gueule, gros comme vous voulez, petit, gros, gros, petit, comme ça vous intéresse et comme ça vous chante, mais... c'était quand vendredi ? On est dimanche. Dimanche, 9h57, moi je me lève tôt. Le dimanche, je fais, je prépare mes réseaux, tout ça, réel et compagnie. J'aime bien avoir une journée de calme, tranquille, pour pouvoir le faire, je m'enferme dans mon bureau. Ensuite, cet après-midi, vous savez, vous vous rappelez, la semaine dernière, je suis allée me faire masser, là je suis allée me faire faire un soin du visage, du coup j'ai invité mon mari et mes deux enfants. Parce que vous vous souvenez que je voulais donc le meilleur pour mes enfants, pour mon mari aussi. Et que donc du coup, je préfère ne pas faire que de prendre des choses à raber. Et ça va encore résonner ça, aujourd'hui. Ça va encore résonner, putain de bordel. Parce que les filles, et je parle à des filles, s'il y a des garçons qui m'écoutent, bienvenue à vous. Vous êtes les bienvenus. Mais la plupart du temps, je parle aux féminins parce que j'ai un penchant pour l'entrepreneuriat aux féminins. Ça n'a rien à voir avec vous, que je ne vous aime pas, redescendez de votre arbre, posez les couilles sur la table. Ce n'est pas ça. Vous êtes aussi important pour moi que les femmes, mais seulement j'en ai assez qu'on vous mette sur une piédestale. Donc tu vas redescendre, Jeannot. Et tu vas t'asseoir sur une chaise et tu vas prendre ton temps. Tu vois ce que je veux dire ? Parce que moi, en fait, il n'y a personne qui est supérieur à personne. Tu vois ce que je veux dire ? Pour moi, tu coiffes de la même façon, tu fais les mêmes choses. En fait, tu as juste une paire de couilles que moi, je n'ai pas. D'accord ? Mais à part ça, rien d'autre. Tu vois ? Donc, redescendre un étage. Johnny. Johnny. Johnny ! Exactement. Donc, tout ça pour dire que... Il y en a assez en fait que... Et en fait, je rembobine et je recommence. Voici ma thèse. D'accord ? La thèse est la suivante. Si vous cherchez du pas cher, du moins cher, du promo, du réduc, de faire des bonnes affaires, vous avez le droit là. Il n'y a pas de problème. Vous avez tout à fait le droit en fait de chercher à payer moins cher, à avoir moins cher. Vous voyez ce que je veux dire ? Mais ne vous plaignez pas en fait que vos clientes soient dans le même état d'esprit. Si vous êtes dans cet état d'esprit-là, ça veut dire que vous faites des deals dans votre salon. Donc, vos clientes viennent chercher les deals. Donc, du coup, elles viennent chercher le pas cher. Donc, si vous avez cet état d'esprit, ne vous étonnez pas. Si par contre, vous avez le même état d'esprit que moi, et on a le droit de ne pas l'avoir, on a le droit de ne pas être... comme moi de ne pas être calibré comme moi enfin moi je suis pas là pour faire de la politique et de faire en sorte que tout le monde pense comme moi d'accord je suis ouverte au débat je suis ouverte à tout sauf que il ya un bien un truc qui me gonfle et là vous êtes responsable de votre cul dans la mer d'accord pourquoi je dis ça parce que si vous cherchez des deals si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher Si vous n'avez aucune idée de ce que ça veut dire investir, si vous êtes toujours en train de vouloir économiser, alors là vous allez me dire, oui mais tout le monde veut économiser, c'est le sort de tout le monde. Attendez, j'allume mon ventilo, parce que je commence à avoir chaud, de brasser des bras. Voilà, on va le mettre en pivotant, voilà, vous allez peut-être l'entendre ou pas, je m'en fous. Donc, si vous cherchez des deals, Si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher, si vous êtes tout le temps en train de vouloir la petite réduction, le machin, le truc, à un moment donné, vous allez être confrontés à vous acheter de la merde. Vous voyez ce que je veux dire ? À vous acheter de la merde. Et là, vous vous dites, de où elle veut en venir exactement ? Eh bien, écoute, j'y viens Jacqueline. Attends un petit peu, prends ton trou, assieds-toi, mets les mains sur la table. respire, inspire, expire, j'arrive. D'accord ? Donc là, ne me demandez pas d'où ça vient, je ne sais pas. On m'a demandé, on m'a dit, oui, ça serait bien que tu nous apprennes à faire un peu d'humour, machin, truc. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je suis née comme ça. Pour de vrai, je suis née comme ça. Voilà. Et j'avais un papa qui était comme ça. Donc, mon père était un lion. Donc, du coup, ça a fait une lionne. Voilà. Du coup, voilà. J'ai appris comme ça. Je ne sais pas pourquoi. Et donc, assieds-toi, mets les mains sur la table et écoute-moi bien. Vite fait, parce que là, tu commences vraiment à me gonfler. Ça commence à me gonfler d'entendre des conneries pareilles. Je prends des appels de... Je prends des appels pour faire découvrir la méthode Lyon, volume 1 et volume 2, option 1, option 2 en fait. Mais je ne vous en dirai pas plus, parce que j'aime bien me prendre des appels pour expliquer, pour dire exactement ce qu'il en est, dire exactement ce que je fais, dire exactement pourquoi je le fais. Et vendredi, j'étais donc dans un appel de qualification. parce que c'est des appels de qualification, parce qu'aujourd'hui la méthode Lyon est un cercle fermé, donc c'est vraiment des appels de qualification. Ce ne sont même plus des appels pour vous vendre quelque chose, parce que moi je n'ai rien à vendre. Je n'ai absolument rien à vendre, par contre je fais des appels de qualification. Donc, si tu veux te qualifier, je t'invite à prendre ton appel de rendez-vous de qualification, de découverte. que moi j'appelle, appel découverte, et à ce moment-là, on discutera ensemble. Il n'y a pas de problème, le lien est dans ma bio Instagram, si ça t'intéresse. Ça va loin, mais je vais t'expliquer pourquoi les rendez-vous vont si loin, d'accord ? Et je vais t'expliquer pourquoi ton impatience va te mener à ta chute, d'accord ? Très bien. Donc là, je prends un appel avec une jeune coiffeuse. Donc, il m'explique un petit peu sa situation, qu'il m'explique ce qu'elle veut faire, qu'il m'explique où elle veut aller, etc. Généralement, je prends des appels d'une heure, donc c'est très bien. Et là, elle me dit qu'elle s'est déjà faite accompagner. Je dis « Ah ouais, c'est trop bien ! » Sachant que je sais très bien qu'il y a à boire et à manger là-dedans. Mais bon, je préfère dire que c'est super. Donc là, je lui demande qu'elle m'explique. Elle m'explique qu'avec cet accompagnement, elle a perdu 95% de sa clientèle. Elle est dans une ville, dans une moyenne ville, je serais tentée de te dire, pas très loin de Toulouse, une heure de Toulouse à peu près. Je ne dirais pas quelle ville. Et donc, elle m'explique qu'on lui a préconisé d'augmenter ses prix de 50%. 40 à 50% en fait. Et là, je me suis dit, attends, pardon, on t'a préconisé d'augmenter tes prix de 40 à 50%. Ok, très bien. Ça se peut là. Je veux dire, moi, quand je fais des analyses d'entreprise, ça se peut que l'augmentation de prix soit aussi élevée que ça. Mais par contre, tu ne peux pas dire à une entrepreneur qui n'a aucune stratégie, qui n'a... rien mis en place dans son entreprise que la seule solution pour qu'elle travaille moins putain de merde arrêter de me casser les couilles avec ça parce que je vais finir par devenir méchante voilà si vous voulez être entrepreneur il n'y a pas 36 solution d'accord il faut bosser attendez je j'éloigne le micro parce que sinon vous allez être sourde il faut bosser nom de dieu de merde Je ne sais pas s'il était assez loin parce que j'ai crié assez fort. Mais travailler moins et gagner plus, ça n'existe pas, bordel de merde. Je vais le dire dans quelle langue ? En quelle langue il va falloir que je vous parle ? Merde, ça n'existe pas. Voilà, donc maintenant que c'est très au point, que vous avez bien compris. Je m'excuse, vous baisserez le son du coup. Donc, cette personne n'ayant aucune stratégie de mise en place d'une charte de prix plus élevée, n'ayant aucune stratégie d'acquisition de clients, n'ayant aucune stratégie de service, de service additionnel, de mise en place d'un service haut de gamme, on lui dit qu'il faut qu'elle augmente ses prix. de 40 à 50%. Et le truc, c'est qu'on ne lui dit pas comment améliorer son service, comment développer sa clientèle, comment aller chercher une nouvelle clientèle, comment développer ses réseaux, mais on lui dit juste Si tu veux travailler moins et gagner plus, il faut augmenter tes prix. Là, j'ai envie de te dire, écoute-moi bien Jacqueline, toi qui fais du coaching, toi qui t'es reconvertie parce que t'en avais plein le cul de coiffer des Jeannettes, toi qui en avais plein le cul en fait de faire ton métier de coiffeuse, toi qui ne voyais pas un avenir autrement que de laisser tomber la coiffure, toi qui n'étais plus passionnée par ton métier, toi qui en avais marre en fait de te faire remballer le bec par des clientes. Toi qui transposes ta réalité à la réalité des autres, tu commences à me casser les couilles, mais velu, d'accord ? Velu, là ! C'est pas des couilles poilues que j'ai, là ! C'est pire que ça, là ! Vraiment ! Et là, j'en ai assez d'entendre des conneries pareilles ! Le coaching, c'est pas quelque chose pour lequel tu t'es inventé une carrière ce matin en te levant. C'est quelque chose de très, très sérieux. Tu as l'entreprise. Tu as l'entreprise de coiffeuse dans tes mains, tu as des gens qui vivent avec ce métier, tu as des gens qui payent leur facture avec ce métier, tu as des gens qui chaque jour se débattent pour servir une clientèle, tu as des gens qui ne connaissent aucunement le business, tu as des gens qui sont compétents, tu as des gens qui sont beaucoup moins compétents, tu as des gens... qui ont une clientèle X, d'autres qui ont une clientèle Y, tu as des gens qui habitent à tel endroit, tu as des gens qui habitent à tel autre endroit, et toi, tu fais de la politique de prix, espèce de code, pardon, et tu dis la même chose à tout le monde, avec un putain de tableau, et tu te dis, ah ben c'est bon, la seule façon de faire, c'est d'augmenter ses prix. Mais putain, mais ferme ta putain de grande gueule de merde, hein ! Et arrête de faire du coaching parce que tu es en train d'écrouler des entreprises, espèce de vieille folle. Pardon ? Pardon ? Pardon ? Quand j'ai entendu ça, j'ai cru que mon cœur allait s'arrêter. J'ai cru que j'allais tomber de ma chaise. Je ne peux pas croire. Et vous êtes aussi responsable, les coiffeuses. Et là, je vais parler de vous maintenant. Maintenant qu'on a parlé de Jocelyne, la coach en business. qui s'est décidé en fait de sortir de son salon pour aller raconter de la merde, on va parler de vous maintenant. Parce que si la coach business est responsable, vous êtes responsable également de votre manque de jugement. Vous êtes responsable de vouloir consommer du pas cher. Vous êtes responsable de mettre votre entreprise entre les mains de n'importe qui. Putain, quelqu'un qui a eu un salon, juste un salon. qui ne vous exposent pas à ces chiffres. Vous ne les connaissez pas, ces chiffres. Vous les connaissez, ces chiffres ? Vous savez ce qui a été une success story dans son entreprise ? Ah non ? Ah ben non, on ne sait pas. On n'a pas vu, on n'a pas regardé, on ne sait pas. Ok, vous faites confiance à des gens dont vous ne savez rien. Moi, je peux le faire aussi. Je peux largement le faire. écrire des chiffres sur un doc Canva, en fait, et vous le mettre en story. Et ça ne prouvera pas que ce sont mes chiffres. Ça ne prouvera pas... Moi, je ne mets pas mes chiffres. Vous savez pourquoi je ne mets pas mes chiffres ? Parce que je n'ai pas envie qu'on se dise qu'elle se fait de l'argent sur notre dos. Je vous assure que c'est ça. Parce que mes chiffres sont très élevés. Et que du coup, je me dis, si je montre mes chiffres... Je me dis, les coiffeuses, elles vont penser qu'en fait, je me graisse la patte sur leur dos. Et ce n'est vraiment pas le cas. Mais mes chiffres sont très élevés. Et quand j'étais en salon, mes chiffres étaient très élevés également. Très élevés. Très élevés. Et je ne les montrais pas, mes chiffres, ou je les montrais à ceux qui voulaient les voir. Je ne voulais pas montrer mes chiffres. Si vous me dites, oui, Julie, j'aimerais bien voir tes chiffres. Je vais te les montrer, mes chiffres. Mais je pense que tu n'as même pas besoin de voir mes chiffres si tu es capable de compter. De voir combien de clientes j'accompagne en ce moment. J'en accompagne 47. Donc, je peux vous dire que mes chiffres sont très élevés. Mais que moi, je réinvestis mes chiffres dans des événements très haut de gamme. Avec des coiffeurs très haut de gamme pour proposer de la formation. Donc, je ne me graisse pas la patte sur le dos des coiffeurs. Je lève la main et je dis, je le jure. D'accord ? Ok ? Et je suis compétente également. Mais je ne montre pas mes chiffres. Mais par contre, quelqu'un... dont vous ne savez rien, quelqu'un qui n'a pas de carrière extérieure, quelqu'un qui n'a aucune visibilité sur les réseaux ou très peu, qui vous a montré qu'elle savait quoi faire à peine sur une tête en plastique et qui vous a dit qu'elle avait un salon et que son salon était reconnu. Le meilleur salon du sud de la France, écoute-moi bien Jacqueline, va te faire foutre parce que ce n'est pas vrai. Ce n'est pas vrai, ce n'est pas vrai et ce n'est pas vrai. D'accord ? Donc, arrêtez de croire n'importe quoi et n'importe qui. Arrêtez d'aller au moins cher. Arrêtez de consommer de la merde. Arrêtez de croire en fait n'importe quoi. Et les moutons seront bien gardés. D'accord ? Tu ne peux pas adopter la stratégie de... Jean-Ernestine là-bas, la transposer à ton salon alors que vous ne faites pas du tout le même travail, alors que vous ne faites pas du tout la même chose, alors que tu ne sais même pas comment elle coiffe. Moi, c'est ça en fait qui me bute. Parce que moi, ça fait longtemps que je suis sur les réseaux. Si vous me découvrez sur Instagram, je suis sur les réseaux depuis quand même longtemps, 2018. J'étais sur Facebook avant. Je suis très active sur les réseaux depuis 2018. Donc, avant, je postais mon travail. Aujourd'hui, je travaille dans le développement des salons de coiffure. Mais si tu veux retracer ma vie, il n'y a pas de problème. Tu peux y aller, il n'y a pas de problème. Mais sans déconner, pour écrouler 95% de son chiffre d'affaires, 95% de sa clientèle, de se retrouver dans la merde, de faire confiance à n'importe qui, à quel moment ? À quel moment on trouve ça judicieux de faire ça ? À quel moment on se dit, c'est une bonne idée, je vais le faire demain ? Allô ? Allô ? Il y a quelqu'un qui m'entend, s'il vous plaît. S'il vous plaît, dites-moi qu'il y a quelqu'un qui m'entend et qui m'écoute. Dites-moi que vous comprenez ce que je dis. Dites-moi que j'ai raison. Oh ! Je ne peux pas le croire que vous ayez autant pas de jugeottes certaines. Moi, quand j'achète des trucs par impulsion, c'est des trucs que j'ai calculés. Le premier coaching que j'ai pris, j'ai calculé, j'ai voulu savoir, j'ai voulu connaître, j'ai voulu comprendre qui était la personne. Il y a des coachings que j'ai faits qui étaient nazes. Il y a un coaching que j'ai fait qui était naze. et que j'ai dû arrêter en plein milieu, mais pas parce que j'avais payé et que j'avais écroulé 95% de ma clientèle, mais parce que j'avais payé et que je faisais 95% de plus que le coach. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est tout. Donc, à un moment donné, bande de petites Ausha pâter, si vous voulez développer votre entreprise, si vous voulez faire du bénéfice, Si vous voulez créer de l'abondance dans votre entreprise et faire du chiffre d'affaires, bande de cloche, il est temps de prendre les stratégies qui sont les plus gagnantes. Et pas, et clairement pas, clairement pas, bande de dinde, de faire confiance à n'importe qui. Travaillez moins et gagnez plus. Ça, ça existe au pays de Candy. D'accord ? C'est Blanche-Neige. qui fait travailler les oiseaux. C'est Blanche-Neige qui fait faire la vaisselle aux souris. D'accord ? Hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Oui, je sais, j'aurais dû me reconvertir dans la chanson. Sauf que... Sauf que non. Et si vous ne connaissez pas l'histoire, je faisais du chant quand j'étais plus jeune. Moultes, moultes chants plus jeunes. Sauf que, à force de respirer des produits, et c'est aussi un peu pour ça que j'ai arrêté la coiffure, il y a eu plusieurs choses qui me sont arrivées, mais ça aussi ça m'est arrivé, je ne peux plus respirer. Je respire fort, je respire mal, je ne peux plus respirer. Donc... Donc, je me suis reconvertie, d'accord ? Mais je ne me suis pas reconvertie parce que mon salon ne marchait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que j'ai décidé que la coiffure, ça ne m'intéressait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que je me suis dit que j'allais devenir le plus gros escroc de la Terre. D'accord ? Je me suis reconvertie parce que mon rêve à moi, c'était de travailler de partout. quand la Covid est arrivée. Et donc, pour travailler de partout, il me fallait devenir formatrice. Voilà, toujours dans le même domaine. Et ensuite, je suis devenue coach en développement d'entreprise parce que j'en avais assez de voir des gens galérer. D'accord ? De ce fait, de ce fait, j'ai pris des formations, je me suis formée, j'ai pris plus de 250 000 euros de formation pour devenir coach en développement d'entreprise, coach en développement personnel, et... accessoirement également formatrice pour développer du contenu. Oui, oui, oui, vous avez bien entendu. Je me suis formée. Je ne me suis pas juste dit, attends, attends, attends. Je vais juste me former pour développer ma clientèle. Non, non, je me suis formée pour développer mon savoir. Mon savoir. Voilà. Donc j'ai du savoir, j'ai de la connaissance, je sais lire un bilan, je sais lire des chiffres, je connais mes ratios, je connais mes clientes. Je connais tout en fait. Je sais tout. Et en plus de ça, j'ai une expérience de coiffeuse. Et en plus de ça, j'ai une expérience en clientèle. Et en plus de ça, j'ai eu des employés. Et en plus de ça, j'ai développé. Alors comment... Putain mais de ta mère, pardon. Excusez-moi. Pardon. Mais comment tu peux... développer des salons, développer des salons alors que tu n'as jamais eu d'employé. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Ça aussi, ça me bute. Ça aussi, ça me fait chier. Ça aussi, ça me gonfle. Ça aussi, ça me casse les pieds. Ah mais j'ai été manager. Mais ta gueule en fait. Manager, ce n'est pas employeur. manager c'est pas employeur parce que si tu as un problème avec les employés tu te fie à l'employeur donc manager c'est pas employé je le dis au cas où d'accord avoir eu un salon c'est pas non plus être compétent ouais je me fâche parce qu'à un moment donné ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me refatigue ça me trifatigue et ça me trufatigue Ça me fatigue, ça me fatigue de sa mère. Parce que je commence à en avoir marre des gens qui ont de l'ambition, mais qui se font avoir dans des paroles, dans des choses de l'utopie, qui n'existent pas, ça n'existe pas. Je reviens sur ce que j'ai dit, ça n'existe pas de travailler moins et de gagner plus. Non, en fait, pour pouvoir avoir une entreprise qui fonctionne, il faut mettre des stratégies en place. Alors, tu vas travailler moins, peut-être derrière la chaise, mais tu vas travailler plus sur ta structure. Tu vois ce que je veux dire ? Donc, arrêtez de croire des vendeurs de salades, des mangeuses de carottes, des trifouilleurs de persil. D'accord ? Commencez maintenant et d'ores et déjà. à comprendre ce que c'est qu'un business. Un business, c'est de l'échange entre deux personnes. Je te rends un service, tu me payes. D'accord ? Pour qu'on se fasse payer, il faut que ce service soit impeccable. Je te rends un service impeccable, tu me payes à ma juste valeur. D'accord ? C'est pas... Et puis surtout, pardon, je te donne un service impeccable, toi qui es prête à recevoir un service impeccable, et tu me payes à ma juste valeur parce que tu sais ce que ça vaut. Ça, c'est plutôt ça, en fait. Vous voyez ce que je veux dire ? Si, par contre, tu donnes du caviar à des cochons, je le dirai aussi souvent que possible, c'est-à-dire que tu recrutes une clientèle qui ne sait même pas ce que c'est que de la valeur de la purée de pommes de terre faite maison, mais qui prend de la purée en sachet, tu vois, c'est un exemple, OK ? Moi aussi, j'adore la purée en sachet. Ma bouffe préférée, c'est purée saucisse ou purée jambon. D'accord ? Ouais, je s'étais encore traumatisée par le jambon de la semaine dernière. Mais en même temps, j'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais manger que du jambon. Jambon pain, jambon purée, jambon pâte. J'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais mourir pour du jambon. Non, c'est pas vrai. Donc, pardon. Et de la saucisse, je vous en parle même pas. Saucisse de Strasbourg, saucisse de Toulouse, saucisse de Francfort, saucisse choucroute. Ouh ! Ouh ! Tout ça, j'adore. J'adore. Celles qui ont les idées mal placées, je vous emmerde. Donc, euh... Tout ça pour dire que si tu donnes du caviar à des cochons, si tu donnes du service haut de gamme à des gens qui ne sont pas du tout sensibilisés au service haut de gamme, bien sûr qu'on va te dire « Oui, mais c'est parce que c'est cher ! » Oui, mais par contre, si tu donnes du bon service à des bons clients, que tu justifies ton prix avec de la qualité, là, les clients vont rester. Et c'est ça que je travaille, bande de torches. C'est ça la méthode Lyon. Et plus que ça, bien sûr, évidemment. Sinon, je ne ferai pas des programmes sur six mois. Six mois. Six mois, mois, mois, mois, mois. D'accord ? Je ne ferai pas ça. Je laisserai les escrocs faire. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc arrêtez de croire n'importe qui. Arrêtez de croire des gens qui n'ont pas d'expérience. Arrêtez de croire des gens qui ont fait ce travail juste pour se blinder les poches et qui aujourd'hui font de la merde. D'accord ? Ça m'évitera de passer mes samedis après-midi. à ressasser ça et à me dire « putain, mais c'est pas possible un truc pareil » . Et donc, de me retrouver confrontée à des histoires rocambolesques qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que vous comprenez le deal là ? D'accord ? Par contre, si tu sais que ton entreprise peut faire mieux, peut performer, peut se développer, doit se développer, tu veux faire... plus de chiffre d'affaires, plus de cash, plus de bénéfices, plus de trésorerie, dis-toi à quelqu'un qui l'a déjà fait. Eh oui ! Parce que, je veux dire, c'est pas compliqué quand même. Moi, si j'ai besoin, je sais pas, admettons, quand je vais au restaurant, tu vois, je choisis quelqu'un qui est dans le métier de la restauration, tu vois, et qui travaille bien, ou s'est prouvé. Je ne me fie pas à quelqu'un qui s'est improvisé, genre Robert Garagiste, qui a décidé qu'en fait, pour lui, il en avait ras le cul de tourner des boulons, et qui s'est dit, je vais aller cuire des steaks, c'est mieux. Vous voyez ce que je veux dire ? Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Ça suffit maintenant. Ça suffit maintenant. C'est assez. C'est assez, en fait, de ne pas se servir de sa cervelle. Ça suffit. Stop. Alors, grand bien me fasse, on n'est pas nombreux dans le domaine. On n'est pas très nombreux dans le domaine. Ça va se développer de plus en plus. Je ne dis pas que je suis la meilleure. Loin, loin, loin, loin de là. Absolument pas. Mais quand même, je serais tentée de vous dire que je sais travailler. J'ai été... reconnu pour mon travail, que je sais développer du chiffre d'affaires, que je sais faire des lancements, que ça s'est prouvé avec Cancun en fait, je serais tentée de vous dire, et que je l'enseigne du coup. Et que je suis formée pour ça, je suis formée en développement aussi, en développement personnel. Donc, mes petites courgettes, là-dessus, je vais vous laisser. Le temps est écoulé. C'est passé vite quand même. C'est passé trop vite. Je ne sais pas comment vous le prenez quand vous l'écoutez, si ça vous fait chier de l'écouter, si vous mettez avance rapide ou pas. Une chose est sûre, c'est que si vous l'avez écouté jusqu'au bout, mettez-moi en story. Ça va me faire plaisir de vous partager vos stories, comme quoi vous écoutez vraiment le podcast, que vous n'êtes pas des touristes. Donc voilà, et puis là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée et on se dit à la semaine prochaine. Bye ! Ah oui, PS, PS, faites appel à votre jugement s'il vous plaît, d'accord ? Allez, on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne ! Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Description

🔥 Résumé de l’épisode – Ne me cassez pas le peigne 🔥

🚨 Alerte coup de gueule ! 🚨 Aujourd’hui, je vous prends par la main (ou par les cheveux, selon votre niveau de rébellion) pour vous secouer un peu. Parce que oui, y’en a marre des coachs en carton qui te vendent du rêve avec des conseils aussi foireux qu’une permanente ratée. Travailler moins et gagner plus ? Mon cul sur la commode !

Si tu veux exploser ton chiffre d’affaires sans exploser ta clientèle en plein vol, va falloir arrêter de croire à ces balivernes et te concentrer sur les vraies stratégies qui fonctionnent. Spoiler : ça demande du taf. Mais du taf intelligent !

👉 Au programme :

- Les mythos du business qui te promettent des miracles (et qui en fait te vendent du vent)

- Pourquoi augmenter tes prix sans stratégie, c’est comme mettre du vernis sur une jambe de bois

- L’importance de ne pas confier ton business à Jeanne Clotilde , coach improvisé après une crise existentielle

- Et surtout : comment reprendre le pouvoir sur ton salon avec des vraies méthodes solides

Bref, si t’as envie d’être une patronne badass et non une brebis égarée dans la jungle du coaching bidon, cet épisode est fait pour toi. 🎙️🔥

💡 Écoute, partage, tague-moi en story et surtout… active ton cerveau avant d’acheter n’importe quoi ! #NoMoreBullshit #CoiffeuseBoss


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véron. Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous êtes en forme, mon dieu, mais il y a du sang aujourd'hui, il y a du sang ! Je risque de vous faire péter un tympan, j'ai décidé de réactiver mon micro mais de le tenir. Voilà, cette fois-ci en fait, il va suivre ma tête, regardez comme c'est merveilleux. Je bouge comme un petit serpentin et ça fonctionne. Je baisse peut-être un petit peu le son, que vous ne soyez pas sourds après l'écoute de ce podcast. Mais en tout cas, il va y avoir du son. Je pense que ça sera mieux comme ça. Vous me direz ce que vous en pensez. De toute façon, vous l'écouterez quand même. Je sais que vous êtes devenus accros à ce numéro-là. Donc voilà, après le shampoing dans les yeux de la semaine dernière. Aujourd'hui, c'est un petit coup de gueule que je veux passer. Petit gros. Petit gros coup de gueule, juste le coup de gueule petit gros. Donc voilà. Et je voulais aussi vous sensibiliser. Vous sensibiliser dans tous les sens du terme, d'accord ? Parce qu'on est dans un métier en fait où la plupart ont du mal à amasser de l'argent et si vous le dépensez n'importe comment, on ne va pas être copains, d'accord ? On ne va pas être copains, ça ne va pas le faire les agneaux, ça ne va pas le faire. C'est mieux non quand je le mets un peu plus loin, un peu plus près, un peu plus... Je verrai, je réécouterai, je verrai ça. J'ai acheté un micro en fait, je me suis dit ouais ça va être un super micro et tout avec une console de son et tout. Et en fait si t'as pas le bec collé dessus, en fait il ne prend pas le son ce petit bâtard. Donc du coup voilà. Alors une chose que je voulais dire avant ça, donc j'ai dit bâtard déjà, ça ça marche pas. Ne faites pas écouter ce podcast à vos enfants. Ça se peut que vous soyez convoqué à l'école parce qu'il aura dit des gros mots et que vous m'en tiendrez personnellement responsable, sauf que je ne prends aucune responsabilité de rien. Vous ne devez pas écouter ce podcast avec des enfants, des oreilles sensibles, votre mère, votre tante, votre belle-mère éventuellement. Sinon, vous serez jugé. Moi, je suis déjà jugé. Donc en fait, pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour vous par contre, si vous n'êtes pas habitué au jugement, ça risque certainement de vous étonner au départ. Se faire juger, ce n'est pas ouf. Au début, on se dit « Ouais, mais non, je n'ai rien fait pour mériter ça. » Et en fait, si. Et en fait, les personnes qui jugent généralement ne font pas grand-chose de leur life, ne font pas grand-chose de leur vie. Mais c'est un sport national, le jugement d'abord. internationales en fait. Mais quand on n'est pas habitué, ça peut surprendre. Quand on n'est pas habitué, en fait, on peut se dire ça va Monique, calme-toi un peu les nerfs, ça va, j'ai juste écouté un truc. Oui, mais les gens vont penser que vous avez des habitudes spéciales. Ils vont ensuite aller très loin, ils vont se faire des scénarios, ils vont penser que machin truc. Moi, en fait, avec les podcasts, cet été, on est allé jusqu'à dire que je buvais de l'alcool. Alors oui. Alors oui, je bois des fois de l'alcool, c'est-à-dire que je prends des cocktails, des trucs comme ça, vous voyez, des trucs normaux. Mais je n'ai aucune tendance alcoolique en fait. Et on est allé jusqu'à dire aussi que j'avais un penchant d'extrême droite. Imagine. Alors là, vous vous dites, mais qui a pu dire ça ? Une conne, pour te dire la vérité. Une grosse conne. Mais qui est allée jusqu'à faire un montage, etc. Enfin bref. Bon. prouver et étayer sa thèse que j'étais à moitié folle. Alors oui, je suis à moitié folle, mais t'es pas obligé de m'écouter. Tu vois ce que je veux dire ? Donc si jamais tu trouves que j'ai un penchant un peu bizarre ou quoi que ce soit, ça se peut là. Je veux dire, selon tes codes, ton éducation, ce que t'as pu éventuellement écouter quand t'étais jeune et ce que tu veux dans ton entreprise, dans ta vie, etc. Je comprends. Je comprends très bien, mais tu n'es pas obligé de m'écouter, déjà, pour commencer. Et donc, tu n'es pas obligé de me juger. Si tu me juges, c'est parce que tu m'écoutes. Et si tu m'écoutes, c'est parce que tu m'aimes, en fait. Mais que tu n'oses pas le dire. Tu n'oses pas déconstruire tes codes. Tu n'oses pas te dire, finalement, Julie Véron, elle est sympa. Mais je suis vachement sympa, en fait. C'est ça, le pire. Le pire, c'est que quand tu ne me connais pas, tu te dis, mais ça doit être un terroriste, cette meuf. Et en fait, non, et en fait tu me kiffes, et en fait tu ris, et en fait plus tu ris plus tu me kiffes, et plus tu me kiffes plus t'as honte. Plus t'as honte, en fait, et plus tu te braques, tu vois ? Et plus tu te dis, ouais, non, en fait, non, non, je peux pas aimer ce genre de meuf. Mais si, si tu peux, tu peux, t'as le droit. Regarde, c'est moi. Donc ça, ça c'était pour la base. Donc n'écoutez pas le podcast avec vos enfants sous peine d'être jugés. C'était ça, le truc de base. D'accord ? Donc ensuite, le petit coup de gueule, gros comme vous voulez, petit, gros, gros, petit, comme ça vous intéresse et comme ça vous chante, mais... c'était quand vendredi ? On est dimanche. Dimanche, 9h57, moi je me lève tôt. Le dimanche, je fais, je prépare mes réseaux, tout ça, réel et compagnie. J'aime bien avoir une journée de calme, tranquille, pour pouvoir le faire, je m'enferme dans mon bureau. Ensuite, cet après-midi, vous savez, vous vous rappelez, la semaine dernière, je suis allée me faire masser, là je suis allée me faire faire un soin du visage, du coup j'ai invité mon mari et mes deux enfants. Parce que vous vous souvenez que je voulais donc le meilleur pour mes enfants, pour mon mari aussi. Et que donc du coup, je préfère ne pas faire que de prendre des choses à raber. Et ça va encore résonner ça, aujourd'hui. Ça va encore résonner, putain de bordel. Parce que les filles, et je parle à des filles, s'il y a des garçons qui m'écoutent, bienvenue à vous. Vous êtes les bienvenus. Mais la plupart du temps, je parle aux féminins parce que j'ai un penchant pour l'entrepreneuriat aux féminins. Ça n'a rien à voir avec vous, que je ne vous aime pas, redescendez de votre arbre, posez les couilles sur la table. Ce n'est pas ça. Vous êtes aussi important pour moi que les femmes, mais seulement j'en ai assez qu'on vous mette sur une piédestale. Donc tu vas redescendre, Jeannot. Et tu vas t'asseoir sur une chaise et tu vas prendre ton temps. Tu vois ce que je veux dire ? Parce que moi, en fait, il n'y a personne qui est supérieur à personne. Tu vois ce que je veux dire ? Pour moi, tu coiffes de la même façon, tu fais les mêmes choses. En fait, tu as juste une paire de couilles que moi, je n'ai pas. D'accord ? Mais à part ça, rien d'autre. Tu vois ? Donc, redescendre un étage. Johnny. Johnny. Johnny ! Exactement. Donc, tout ça pour dire que... Il y en a assez en fait que... Et en fait, je rembobine et je recommence. Voici ma thèse. D'accord ? La thèse est la suivante. Si vous cherchez du pas cher, du moins cher, du promo, du réduc, de faire des bonnes affaires, vous avez le droit là. Il n'y a pas de problème. Vous avez tout à fait le droit en fait de chercher à payer moins cher, à avoir moins cher. Vous voyez ce que je veux dire ? Mais ne vous plaignez pas en fait que vos clientes soient dans le même état d'esprit. Si vous êtes dans cet état d'esprit-là, ça veut dire que vous faites des deals dans votre salon. Donc, vos clientes viennent chercher les deals. Donc, du coup, elles viennent chercher le pas cher. Donc, si vous avez cet état d'esprit, ne vous étonnez pas. Si par contre, vous avez le même état d'esprit que moi, et on a le droit de ne pas l'avoir, on a le droit de ne pas être... comme moi de ne pas être calibré comme moi enfin moi je suis pas là pour faire de la politique et de faire en sorte que tout le monde pense comme moi d'accord je suis ouverte au débat je suis ouverte à tout sauf que il ya un bien un truc qui me gonfle et là vous êtes responsable de votre cul dans la mer d'accord pourquoi je dis ça parce que si vous cherchez des deals si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher Si vous n'avez aucune idée de ce que ça veut dire investir, si vous êtes toujours en train de vouloir économiser, alors là vous allez me dire, oui mais tout le monde veut économiser, c'est le sort de tout le monde. Attendez, j'allume mon ventilo, parce que je commence à avoir chaud, de brasser des bras. Voilà, on va le mettre en pivotant, voilà, vous allez peut-être l'entendre ou pas, je m'en fous. Donc, si vous cherchez des deals, Si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher, si vous êtes tout le temps en train de vouloir la petite réduction, le machin, le truc, à un moment donné, vous allez être confrontés à vous acheter de la merde. Vous voyez ce que je veux dire ? À vous acheter de la merde. Et là, vous vous dites, de où elle veut en venir exactement ? Eh bien, écoute, j'y viens Jacqueline. Attends un petit peu, prends ton trou, assieds-toi, mets les mains sur la table. respire, inspire, expire, j'arrive. D'accord ? Donc là, ne me demandez pas d'où ça vient, je ne sais pas. On m'a demandé, on m'a dit, oui, ça serait bien que tu nous apprennes à faire un peu d'humour, machin, truc. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je suis née comme ça. Pour de vrai, je suis née comme ça. Voilà. Et j'avais un papa qui était comme ça. Donc, mon père était un lion. Donc, du coup, ça a fait une lionne. Voilà. Du coup, voilà. J'ai appris comme ça. Je ne sais pas pourquoi. Et donc, assieds-toi, mets les mains sur la table et écoute-moi bien. Vite fait, parce que là, tu commences vraiment à me gonfler. Ça commence à me gonfler d'entendre des conneries pareilles. Je prends des appels de... Je prends des appels pour faire découvrir la méthode Lyon, volume 1 et volume 2, option 1, option 2 en fait. Mais je ne vous en dirai pas plus, parce que j'aime bien me prendre des appels pour expliquer, pour dire exactement ce qu'il en est, dire exactement ce que je fais, dire exactement pourquoi je le fais. Et vendredi, j'étais donc dans un appel de qualification. parce que c'est des appels de qualification, parce qu'aujourd'hui la méthode Lyon est un cercle fermé, donc c'est vraiment des appels de qualification. Ce ne sont même plus des appels pour vous vendre quelque chose, parce que moi je n'ai rien à vendre. Je n'ai absolument rien à vendre, par contre je fais des appels de qualification. Donc, si tu veux te qualifier, je t'invite à prendre ton appel de rendez-vous de qualification, de découverte. que moi j'appelle, appel découverte, et à ce moment-là, on discutera ensemble. Il n'y a pas de problème, le lien est dans ma bio Instagram, si ça t'intéresse. Ça va loin, mais je vais t'expliquer pourquoi les rendez-vous vont si loin, d'accord ? Et je vais t'expliquer pourquoi ton impatience va te mener à ta chute, d'accord ? Très bien. Donc là, je prends un appel avec une jeune coiffeuse. Donc, il m'explique un petit peu sa situation, qu'il m'explique ce qu'elle veut faire, qu'il m'explique où elle veut aller, etc. Généralement, je prends des appels d'une heure, donc c'est très bien. Et là, elle me dit qu'elle s'est déjà faite accompagner. Je dis « Ah ouais, c'est trop bien ! » Sachant que je sais très bien qu'il y a à boire et à manger là-dedans. Mais bon, je préfère dire que c'est super. Donc là, je lui demande qu'elle m'explique. Elle m'explique qu'avec cet accompagnement, elle a perdu 95% de sa clientèle. Elle est dans une ville, dans une moyenne ville, je serais tentée de te dire, pas très loin de Toulouse, une heure de Toulouse à peu près. Je ne dirais pas quelle ville. Et donc, elle m'explique qu'on lui a préconisé d'augmenter ses prix de 50%. 40 à 50% en fait. Et là, je me suis dit, attends, pardon, on t'a préconisé d'augmenter tes prix de 40 à 50%. Ok, très bien. Ça se peut là. Je veux dire, moi, quand je fais des analyses d'entreprise, ça se peut que l'augmentation de prix soit aussi élevée que ça. Mais par contre, tu ne peux pas dire à une entrepreneur qui n'a aucune stratégie, qui n'a... rien mis en place dans son entreprise que la seule solution pour qu'elle travaille moins putain de merde arrêter de me casser les couilles avec ça parce que je vais finir par devenir méchante voilà si vous voulez être entrepreneur il n'y a pas 36 solution d'accord il faut bosser attendez je j'éloigne le micro parce que sinon vous allez être sourde il faut bosser nom de dieu de merde Je ne sais pas s'il était assez loin parce que j'ai crié assez fort. Mais travailler moins et gagner plus, ça n'existe pas, bordel de merde. Je vais le dire dans quelle langue ? En quelle langue il va falloir que je vous parle ? Merde, ça n'existe pas. Voilà, donc maintenant que c'est très au point, que vous avez bien compris. Je m'excuse, vous baisserez le son du coup. Donc, cette personne n'ayant aucune stratégie de mise en place d'une charte de prix plus élevée, n'ayant aucune stratégie d'acquisition de clients, n'ayant aucune stratégie de service, de service additionnel, de mise en place d'un service haut de gamme, on lui dit qu'il faut qu'elle augmente ses prix. de 40 à 50%. Et le truc, c'est qu'on ne lui dit pas comment améliorer son service, comment développer sa clientèle, comment aller chercher une nouvelle clientèle, comment développer ses réseaux, mais on lui dit juste Si tu veux travailler moins et gagner plus, il faut augmenter tes prix. Là, j'ai envie de te dire, écoute-moi bien Jacqueline, toi qui fais du coaching, toi qui t'es reconvertie parce que t'en avais plein le cul de coiffer des Jeannettes, toi qui en avais plein le cul en fait de faire ton métier de coiffeuse, toi qui ne voyais pas un avenir autrement que de laisser tomber la coiffure, toi qui n'étais plus passionnée par ton métier, toi qui en avais marre en fait de te faire remballer le bec par des clientes. Toi qui transposes ta réalité à la réalité des autres, tu commences à me casser les couilles, mais velu, d'accord ? Velu, là ! C'est pas des couilles poilues que j'ai, là ! C'est pire que ça, là ! Vraiment ! Et là, j'en ai assez d'entendre des conneries pareilles ! Le coaching, c'est pas quelque chose pour lequel tu t'es inventé une carrière ce matin en te levant. C'est quelque chose de très, très sérieux. Tu as l'entreprise. Tu as l'entreprise de coiffeuse dans tes mains, tu as des gens qui vivent avec ce métier, tu as des gens qui payent leur facture avec ce métier, tu as des gens qui chaque jour se débattent pour servir une clientèle, tu as des gens qui ne connaissent aucunement le business, tu as des gens qui sont compétents, tu as des gens qui sont beaucoup moins compétents, tu as des gens... qui ont une clientèle X, d'autres qui ont une clientèle Y, tu as des gens qui habitent à tel endroit, tu as des gens qui habitent à tel autre endroit, et toi, tu fais de la politique de prix, espèce de code, pardon, et tu dis la même chose à tout le monde, avec un putain de tableau, et tu te dis, ah ben c'est bon, la seule façon de faire, c'est d'augmenter ses prix. Mais putain, mais ferme ta putain de grande gueule de merde, hein ! Et arrête de faire du coaching parce que tu es en train d'écrouler des entreprises, espèce de vieille folle. Pardon ? Pardon ? Pardon ? Quand j'ai entendu ça, j'ai cru que mon cœur allait s'arrêter. J'ai cru que j'allais tomber de ma chaise. Je ne peux pas croire. Et vous êtes aussi responsable, les coiffeuses. Et là, je vais parler de vous maintenant. Maintenant qu'on a parlé de Jocelyne, la coach en business. qui s'est décidé en fait de sortir de son salon pour aller raconter de la merde, on va parler de vous maintenant. Parce que si la coach business est responsable, vous êtes responsable également de votre manque de jugement. Vous êtes responsable de vouloir consommer du pas cher. Vous êtes responsable de mettre votre entreprise entre les mains de n'importe qui. Putain, quelqu'un qui a eu un salon, juste un salon. qui ne vous exposent pas à ces chiffres. Vous ne les connaissez pas, ces chiffres. Vous les connaissez, ces chiffres ? Vous savez ce qui a été une success story dans son entreprise ? Ah non ? Ah ben non, on ne sait pas. On n'a pas vu, on n'a pas regardé, on ne sait pas. Ok, vous faites confiance à des gens dont vous ne savez rien. Moi, je peux le faire aussi. Je peux largement le faire. écrire des chiffres sur un doc Canva, en fait, et vous le mettre en story. Et ça ne prouvera pas que ce sont mes chiffres. Ça ne prouvera pas... Moi, je ne mets pas mes chiffres. Vous savez pourquoi je ne mets pas mes chiffres ? Parce que je n'ai pas envie qu'on se dise qu'elle se fait de l'argent sur notre dos. Je vous assure que c'est ça. Parce que mes chiffres sont très élevés. Et que du coup, je me dis, si je montre mes chiffres... Je me dis, les coiffeuses, elles vont penser qu'en fait, je me graisse la patte sur leur dos. Et ce n'est vraiment pas le cas. Mais mes chiffres sont très élevés. Et quand j'étais en salon, mes chiffres étaient très élevés également. Très élevés. Très élevés. Et je ne les montrais pas, mes chiffres, ou je les montrais à ceux qui voulaient les voir. Je ne voulais pas montrer mes chiffres. Si vous me dites, oui, Julie, j'aimerais bien voir tes chiffres. Je vais te les montrer, mes chiffres. Mais je pense que tu n'as même pas besoin de voir mes chiffres si tu es capable de compter. De voir combien de clientes j'accompagne en ce moment. J'en accompagne 47. Donc, je peux vous dire que mes chiffres sont très élevés. Mais que moi, je réinvestis mes chiffres dans des événements très haut de gamme. Avec des coiffeurs très haut de gamme pour proposer de la formation. Donc, je ne me graisse pas la patte sur le dos des coiffeurs. Je lève la main et je dis, je le jure. D'accord ? Ok ? Et je suis compétente également. Mais je ne montre pas mes chiffres. Mais par contre, quelqu'un... dont vous ne savez rien, quelqu'un qui n'a pas de carrière extérieure, quelqu'un qui n'a aucune visibilité sur les réseaux ou très peu, qui vous a montré qu'elle savait quoi faire à peine sur une tête en plastique et qui vous a dit qu'elle avait un salon et que son salon était reconnu. Le meilleur salon du sud de la France, écoute-moi bien Jacqueline, va te faire foutre parce que ce n'est pas vrai. Ce n'est pas vrai, ce n'est pas vrai et ce n'est pas vrai. D'accord ? Donc, arrêtez de croire n'importe quoi et n'importe qui. Arrêtez d'aller au moins cher. Arrêtez de consommer de la merde. Arrêtez de croire en fait n'importe quoi. Et les moutons seront bien gardés. D'accord ? Tu ne peux pas adopter la stratégie de... Jean-Ernestine là-bas, la transposer à ton salon alors que vous ne faites pas du tout le même travail, alors que vous ne faites pas du tout la même chose, alors que tu ne sais même pas comment elle coiffe. Moi, c'est ça en fait qui me bute. Parce que moi, ça fait longtemps que je suis sur les réseaux. Si vous me découvrez sur Instagram, je suis sur les réseaux depuis quand même longtemps, 2018. J'étais sur Facebook avant. Je suis très active sur les réseaux depuis 2018. Donc, avant, je postais mon travail. Aujourd'hui, je travaille dans le développement des salons de coiffure. Mais si tu veux retracer ma vie, il n'y a pas de problème. Tu peux y aller, il n'y a pas de problème. Mais sans déconner, pour écrouler 95% de son chiffre d'affaires, 95% de sa clientèle, de se retrouver dans la merde, de faire confiance à n'importe qui, à quel moment ? À quel moment on trouve ça judicieux de faire ça ? À quel moment on se dit, c'est une bonne idée, je vais le faire demain ? Allô ? Allô ? Il y a quelqu'un qui m'entend, s'il vous plaît. S'il vous plaît, dites-moi qu'il y a quelqu'un qui m'entend et qui m'écoute. Dites-moi que vous comprenez ce que je dis. Dites-moi que j'ai raison. Oh ! Je ne peux pas le croire que vous ayez autant pas de jugeottes certaines. Moi, quand j'achète des trucs par impulsion, c'est des trucs que j'ai calculés. Le premier coaching que j'ai pris, j'ai calculé, j'ai voulu savoir, j'ai voulu connaître, j'ai voulu comprendre qui était la personne. Il y a des coachings que j'ai faits qui étaient nazes. Il y a un coaching que j'ai fait qui était naze. et que j'ai dû arrêter en plein milieu, mais pas parce que j'avais payé et que j'avais écroulé 95% de ma clientèle, mais parce que j'avais payé et que je faisais 95% de plus que le coach. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est tout. Donc, à un moment donné, bande de petites Ausha pâter, si vous voulez développer votre entreprise, si vous voulez faire du bénéfice, Si vous voulez créer de l'abondance dans votre entreprise et faire du chiffre d'affaires, bande de cloche, il est temps de prendre les stratégies qui sont les plus gagnantes. Et pas, et clairement pas, clairement pas, bande de dinde, de faire confiance à n'importe qui. Travaillez moins et gagnez plus. Ça, ça existe au pays de Candy. D'accord ? C'est Blanche-Neige. qui fait travailler les oiseaux. C'est Blanche-Neige qui fait faire la vaisselle aux souris. D'accord ? Hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Oui, je sais, j'aurais dû me reconvertir dans la chanson. Sauf que... Sauf que non. Et si vous ne connaissez pas l'histoire, je faisais du chant quand j'étais plus jeune. Moultes, moultes chants plus jeunes. Sauf que, à force de respirer des produits, et c'est aussi un peu pour ça que j'ai arrêté la coiffure, il y a eu plusieurs choses qui me sont arrivées, mais ça aussi ça m'est arrivé, je ne peux plus respirer. Je respire fort, je respire mal, je ne peux plus respirer. Donc... Donc, je me suis reconvertie, d'accord ? Mais je ne me suis pas reconvertie parce que mon salon ne marchait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que j'ai décidé que la coiffure, ça ne m'intéressait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que je me suis dit que j'allais devenir le plus gros escroc de la Terre. D'accord ? Je me suis reconvertie parce que mon rêve à moi, c'était de travailler de partout. quand la Covid est arrivée. Et donc, pour travailler de partout, il me fallait devenir formatrice. Voilà, toujours dans le même domaine. Et ensuite, je suis devenue coach en développement d'entreprise parce que j'en avais assez de voir des gens galérer. D'accord ? De ce fait, de ce fait, j'ai pris des formations, je me suis formée, j'ai pris plus de 250 000 euros de formation pour devenir coach en développement d'entreprise, coach en développement personnel, et... accessoirement également formatrice pour développer du contenu. Oui, oui, oui, vous avez bien entendu. Je me suis formée. Je ne me suis pas juste dit, attends, attends, attends. Je vais juste me former pour développer ma clientèle. Non, non, je me suis formée pour développer mon savoir. Mon savoir. Voilà. Donc j'ai du savoir, j'ai de la connaissance, je sais lire un bilan, je sais lire des chiffres, je connais mes ratios, je connais mes clientes. Je connais tout en fait. Je sais tout. Et en plus de ça, j'ai une expérience de coiffeuse. Et en plus de ça, j'ai une expérience en clientèle. Et en plus de ça, j'ai eu des employés. Et en plus de ça, j'ai développé. Alors comment... Putain mais de ta mère, pardon. Excusez-moi. Pardon. Mais comment tu peux... développer des salons, développer des salons alors que tu n'as jamais eu d'employé. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Ça aussi, ça me bute. Ça aussi, ça me fait chier. Ça aussi, ça me gonfle. Ça aussi, ça me casse les pieds. Ah mais j'ai été manager. Mais ta gueule en fait. Manager, ce n'est pas employeur. manager c'est pas employeur parce que si tu as un problème avec les employés tu te fie à l'employeur donc manager c'est pas employé je le dis au cas où d'accord avoir eu un salon c'est pas non plus être compétent ouais je me fâche parce qu'à un moment donné ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me refatigue ça me trifatigue et ça me trufatigue Ça me fatigue, ça me fatigue de sa mère. Parce que je commence à en avoir marre des gens qui ont de l'ambition, mais qui se font avoir dans des paroles, dans des choses de l'utopie, qui n'existent pas, ça n'existe pas. Je reviens sur ce que j'ai dit, ça n'existe pas de travailler moins et de gagner plus. Non, en fait, pour pouvoir avoir une entreprise qui fonctionne, il faut mettre des stratégies en place. Alors, tu vas travailler moins, peut-être derrière la chaise, mais tu vas travailler plus sur ta structure. Tu vois ce que je veux dire ? Donc, arrêtez de croire des vendeurs de salades, des mangeuses de carottes, des trifouilleurs de persil. D'accord ? Commencez maintenant et d'ores et déjà. à comprendre ce que c'est qu'un business. Un business, c'est de l'échange entre deux personnes. Je te rends un service, tu me payes. D'accord ? Pour qu'on se fasse payer, il faut que ce service soit impeccable. Je te rends un service impeccable, tu me payes à ma juste valeur. D'accord ? C'est pas... Et puis surtout, pardon, je te donne un service impeccable, toi qui es prête à recevoir un service impeccable, et tu me payes à ma juste valeur parce que tu sais ce que ça vaut. Ça, c'est plutôt ça, en fait. Vous voyez ce que je veux dire ? Si, par contre, tu donnes du caviar à des cochons, je le dirai aussi souvent que possible, c'est-à-dire que tu recrutes une clientèle qui ne sait même pas ce que c'est que de la valeur de la purée de pommes de terre faite maison, mais qui prend de la purée en sachet, tu vois, c'est un exemple, OK ? Moi aussi, j'adore la purée en sachet. Ma bouffe préférée, c'est purée saucisse ou purée jambon. D'accord ? Ouais, je s'étais encore traumatisée par le jambon de la semaine dernière. Mais en même temps, j'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais manger que du jambon. Jambon pain, jambon purée, jambon pâte. J'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais mourir pour du jambon. Non, c'est pas vrai. Donc, pardon. Et de la saucisse, je vous en parle même pas. Saucisse de Strasbourg, saucisse de Toulouse, saucisse de Francfort, saucisse choucroute. Ouh ! Ouh ! Tout ça, j'adore. J'adore. Celles qui ont les idées mal placées, je vous emmerde. Donc, euh... Tout ça pour dire que si tu donnes du caviar à des cochons, si tu donnes du service haut de gamme à des gens qui ne sont pas du tout sensibilisés au service haut de gamme, bien sûr qu'on va te dire « Oui, mais c'est parce que c'est cher ! » Oui, mais par contre, si tu donnes du bon service à des bons clients, que tu justifies ton prix avec de la qualité, là, les clients vont rester. Et c'est ça que je travaille, bande de torches. C'est ça la méthode Lyon. Et plus que ça, bien sûr, évidemment. Sinon, je ne ferai pas des programmes sur six mois. Six mois. Six mois, mois, mois, mois, mois. D'accord ? Je ne ferai pas ça. Je laisserai les escrocs faire. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc arrêtez de croire n'importe qui. Arrêtez de croire des gens qui n'ont pas d'expérience. Arrêtez de croire des gens qui ont fait ce travail juste pour se blinder les poches et qui aujourd'hui font de la merde. D'accord ? Ça m'évitera de passer mes samedis après-midi. à ressasser ça et à me dire « putain, mais c'est pas possible un truc pareil » . Et donc, de me retrouver confrontée à des histoires rocambolesques qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que vous comprenez le deal là ? D'accord ? Par contre, si tu sais que ton entreprise peut faire mieux, peut performer, peut se développer, doit se développer, tu veux faire... plus de chiffre d'affaires, plus de cash, plus de bénéfices, plus de trésorerie, dis-toi à quelqu'un qui l'a déjà fait. Eh oui ! Parce que, je veux dire, c'est pas compliqué quand même. Moi, si j'ai besoin, je sais pas, admettons, quand je vais au restaurant, tu vois, je choisis quelqu'un qui est dans le métier de la restauration, tu vois, et qui travaille bien, ou s'est prouvé. Je ne me fie pas à quelqu'un qui s'est improvisé, genre Robert Garagiste, qui a décidé qu'en fait, pour lui, il en avait ras le cul de tourner des boulons, et qui s'est dit, je vais aller cuire des steaks, c'est mieux. Vous voyez ce que je veux dire ? Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Ça suffit maintenant. Ça suffit maintenant. C'est assez. C'est assez, en fait, de ne pas se servir de sa cervelle. Ça suffit. Stop. Alors, grand bien me fasse, on n'est pas nombreux dans le domaine. On n'est pas très nombreux dans le domaine. Ça va se développer de plus en plus. Je ne dis pas que je suis la meilleure. Loin, loin, loin, loin de là. Absolument pas. Mais quand même, je serais tentée de vous dire que je sais travailler. J'ai été... reconnu pour mon travail, que je sais développer du chiffre d'affaires, que je sais faire des lancements, que ça s'est prouvé avec Cancun en fait, je serais tentée de vous dire, et que je l'enseigne du coup. Et que je suis formée pour ça, je suis formée en développement aussi, en développement personnel. Donc, mes petites courgettes, là-dessus, je vais vous laisser. Le temps est écoulé. C'est passé vite quand même. C'est passé trop vite. Je ne sais pas comment vous le prenez quand vous l'écoutez, si ça vous fait chier de l'écouter, si vous mettez avance rapide ou pas. Une chose est sûre, c'est que si vous l'avez écouté jusqu'au bout, mettez-moi en story. Ça va me faire plaisir de vous partager vos stories, comme quoi vous écoutez vraiment le podcast, que vous n'êtes pas des touristes. Donc voilà, et puis là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée et on se dit à la semaine prochaine. Bye ! Ah oui, PS, PS, faites appel à votre jugement s'il vous plaît, d'accord ? Allez, on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne ! Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

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Description

🔥 Résumé de l’épisode – Ne me cassez pas le peigne 🔥

🚨 Alerte coup de gueule ! 🚨 Aujourd’hui, je vous prends par la main (ou par les cheveux, selon votre niveau de rébellion) pour vous secouer un peu. Parce que oui, y’en a marre des coachs en carton qui te vendent du rêve avec des conseils aussi foireux qu’une permanente ratée. Travailler moins et gagner plus ? Mon cul sur la commode !

Si tu veux exploser ton chiffre d’affaires sans exploser ta clientèle en plein vol, va falloir arrêter de croire à ces balivernes et te concentrer sur les vraies stratégies qui fonctionnent. Spoiler : ça demande du taf. Mais du taf intelligent !

👉 Au programme :

- Les mythos du business qui te promettent des miracles (et qui en fait te vendent du vent)

- Pourquoi augmenter tes prix sans stratégie, c’est comme mettre du vernis sur une jambe de bois

- L’importance de ne pas confier ton business à Jeanne Clotilde , coach improvisé après une crise existentielle

- Et surtout : comment reprendre le pouvoir sur ton salon avec des vraies méthodes solides

Bref, si t’as envie d’être une patronne badass et non une brebis égarée dans la jungle du coaching bidon, cet épisode est fait pour toi. 🎙️🔥

💡 Écoute, partage, tague-moi en story et surtout… active ton cerveau avant d’acheter n’importe quoi ! #NoMoreBullshit #CoiffeuseBoss


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véron. Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous êtes en forme, mon dieu, mais il y a du sang aujourd'hui, il y a du sang ! Je risque de vous faire péter un tympan, j'ai décidé de réactiver mon micro mais de le tenir. Voilà, cette fois-ci en fait, il va suivre ma tête, regardez comme c'est merveilleux. Je bouge comme un petit serpentin et ça fonctionne. Je baisse peut-être un petit peu le son, que vous ne soyez pas sourds après l'écoute de ce podcast. Mais en tout cas, il va y avoir du son. Je pense que ça sera mieux comme ça. Vous me direz ce que vous en pensez. De toute façon, vous l'écouterez quand même. Je sais que vous êtes devenus accros à ce numéro-là. Donc voilà, après le shampoing dans les yeux de la semaine dernière. Aujourd'hui, c'est un petit coup de gueule que je veux passer. Petit gros. Petit gros coup de gueule, juste le coup de gueule petit gros. Donc voilà. Et je voulais aussi vous sensibiliser. Vous sensibiliser dans tous les sens du terme, d'accord ? Parce qu'on est dans un métier en fait où la plupart ont du mal à amasser de l'argent et si vous le dépensez n'importe comment, on ne va pas être copains, d'accord ? On ne va pas être copains, ça ne va pas le faire les agneaux, ça ne va pas le faire. C'est mieux non quand je le mets un peu plus loin, un peu plus près, un peu plus... Je verrai, je réécouterai, je verrai ça. J'ai acheté un micro en fait, je me suis dit ouais ça va être un super micro et tout avec une console de son et tout. Et en fait si t'as pas le bec collé dessus, en fait il ne prend pas le son ce petit bâtard. Donc du coup voilà. Alors une chose que je voulais dire avant ça, donc j'ai dit bâtard déjà, ça ça marche pas. Ne faites pas écouter ce podcast à vos enfants. Ça se peut que vous soyez convoqué à l'école parce qu'il aura dit des gros mots et que vous m'en tiendrez personnellement responsable, sauf que je ne prends aucune responsabilité de rien. Vous ne devez pas écouter ce podcast avec des enfants, des oreilles sensibles, votre mère, votre tante, votre belle-mère éventuellement. Sinon, vous serez jugé. Moi, je suis déjà jugé. Donc en fait, pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour vous par contre, si vous n'êtes pas habitué au jugement, ça risque certainement de vous étonner au départ. Se faire juger, ce n'est pas ouf. Au début, on se dit « Ouais, mais non, je n'ai rien fait pour mériter ça. » Et en fait, si. Et en fait, les personnes qui jugent généralement ne font pas grand-chose de leur life, ne font pas grand-chose de leur vie. Mais c'est un sport national, le jugement d'abord. internationales en fait. Mais quand on n'est pas habitué, ça peut surprendre. Quand on n'est pas habitué, en fait, on peut se dire ça va Monique, calme-toi un peu les nerfs, ça va, j'ai juste écouté un truc. Oui, mais les gens vont penser que vous avez des habitudes spéciales. Ils vont ensuite aller très loin, ils vont se faire des scénarios, ils vont penser que machin truc. Moi, en fait, avec les podcasts, cet été, on est allé jusqu'à dire que je buvais de l'alcool. Alors oui. Alors oui, je bois des fois de l'alcool, c'est-à-dire que je prends des cocktails, des trucs comme ça, vous voyez, des trucs normaux. Mais je n'ai aucune tendance alcoolique en fait. Et on est allé jusqu'à dire aussi que j'avais un penchant d'extrême droite. Imagine. Alors là, vous vous dites, mais qui a pu dire ça ? Une conne, pour te dire la vérité. Une grosse conne. Mais qui est allée jusqu'à faire un montage, etc. Enfin bref. Bon. prouver et étayer sa thèse que j'étais à moitié folle. Alors oui, je suis à moitié folle, mais t'es pas obligé de m'écouter. Tu vois ce que je veux dire ? Donc si jamais tu trouves que j'ai un penchant un peu bizarre ou quoi que ce soit, ça se peut là. Je veux dire, selon tes codes, ton éducation, ce que t'as pu éventuellement écouter quand t'étais jeune et ce que tu veux dans ton entreprise, dans ta vie, etc. Je comprends. Je comprends très bien, mais tu n'es pas obligé de m'écouter, déjà, pour commencer. Et donc, tu n'es pas obligé de me juger. Si tu me juges, c'est parce que tu m'écoutes. Et si tu m'écoutes, c'est parce que tu m'aimes, en fait. Mais que tu n'oses pas le dire. Tu n'oses pas déconstruire tes codes. Tu n'oses pas te dire, finalement, Julie Véron, elle est sympa. Mais je suis vachement sympa, en fait. C'est ça, le pire. Le pire, c'est que quand tu ne me connais pas, tu te dis, mais ça doit être un terroriste, cette meuf. Et en fait, non, et en fait tu me kiffes, et en fait tu ris, et en fait plus tu ris plus tu me kiffes, et plus tu me kiffes plus t'as honte. Plus t'as honte, en fait, et plus tu te braques, tu vois ? Et plus tu te dis, ouais, non, en fait, non, non, je peux pas aimer ce genre de meuf. Mais si, si tu peux, tu peux, t'as le droit. Regarde, c'est moi. Donc ça, ça c'était pour la base. Donc n'écoutez pas le podcast avec vos enfants sous peine d'être jugés. C'était ça, le truc de base. D'accord ? Donc ensuite, le petit coup de gueule, gros comme vous voulez, petit, gros, gros, petit, comme ça vous intéresse et comme ça vous chante, mais... c'était quand vendredi ? On est dimanche. Dimanche, 9h57, moi je me lève tôt. Le dimanche, je fais, je prépare mes réseaux, tout ça, réel et compagnie. J'aime bien avoir une journée de calme, tranquille, pour pouvoir le faire, je m'enferme dans mon bureau. Ensuite, cet après-midi, vous savez, vous vous rappelez, la semaine dernière, je suis allée me faire masser, là je suis allée me faire faire un soin du visage, du coup j'ai invité mon mari et mes deux enfants. Parce que vous vous souvenez que je voulais donc le meilleur pour mes enfants, pour mon mari aussi. Et que donc du coup, je préfère ne pas faire que de prendre des choses à raber. Et ça va encore résonner ça, aujourd'hui. Ça va encore résonner, putain de bordel. Parce que les filles, et je parle à des filles, s'il y a des garçons qui m'écoutent, bienvenue à vous. Vous êtes les bienvenus. Mais la plupart du temps, je parle aux féminins parce que j'ai un penchant pour l'entrepreneuriat aux féminins. Ça n'a rien à voir avec vous, que je ne vous aime pas, redescendez de votre arbre, posez les couilles sur la table. Ce n'est pas ça. Vous êtes aussi important pour moi que les femmes, mais seulement j'en ai assez qu'on vous mette sur une piédestale. Donc tu vas redescendre, Jeannot. Et tu vas t'asseoir sur une chaise et tu vas prendre ton temps. Tu vois ce que je veux dire ? Parce que moi, en fait, il n'y a personne qui est supérieur à personne. Tu vois ce que je veux dire ? Pour moi, tu coiffes de la même façon, tu fais les mêmes choses. En fait, tu as juste une paire de couilles que moi, je n'ai pas. D'accord ? Mais à part ça, rien d'autre. Tu vois ? Donc, redescendre un étage. Johnny. Johnny. Johnny ! Exactement. Donc, tout ça pour dire que... Il y en a assez en fait que... Et en fait, je rembobine et je recommence. Voici ma thèse. D'accord ? La thèse est la suivante. Si vous cherchez du pas cher, du moins cher, du promo, du réduc, de faire des bonnes affaires, vous avez le droit là. Il n'y a pas de problème. Vous avez tout à fait le droit en fait de chercher à payer moins cher, à avoir moins cher. Vous voyez ce que je veux dire ? Mais ne vous plaignez pas en fait que vos clientes soient dans le même état d'esprit. Si vous êtes dans cet état d'esprit-là, ça veut dire que vous faites des deals dans votre salon. Donc, vos clientes viennent chercher les deals. Donc, du coup, elles viennent chercher le pas cher. Donc, si vous avez cet état d'esprit, ne vous étonnez pas. Si par contre, vous avez le même état d'esprit que moi, et on a le droit de ne pas l'avoir, on a le droit de ne pas être... comme moi de ne pas être calibré comme moi enfin moi je suis pas là pour faire de la politique et de faire en sorte que tout le monde pense comme moi d'accord je suis ouverte au débat je suis ouverte à tout sauf que il ya un bien un truc qui me gonfle et là vous êtes responsable de votre cul dans la mer d'accord pourquoi je dis ça parce que si vous cherchez des deals si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher Si vous n'avez aucune idée de ce que ça veut dire investir, si vous êtes toujours en train de vouloir économiser, alors là vous allez me dire, oui mais tout le monde veut économiser, c'est le sort de tout le monde. Attendez, j'allume mon ventilo, parce que je commence à avoir chaud, de brasser des bras. Voilà, on va le mettre en pivotant, voilà, vous allez peut-être l'entendre ou pas, je m'en fous. Donc, si vous cherchez des deals, Si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher, si vous êtes tout le temps en train de vouloir la petite réduction, le machin, le truc, à un moment donné, vous allez être confrontés à vous acheter de la merde. Vous voyez ce que je veux dire ? À vous acheter de la merde. Et là, vous vous dites, de où elle veut en venir exactement ? Eh bien, écoute, j'y viens Jacqueline. Attends un petit peu, prends ton trou, assieds-toi, mets les mains sur la table. respire, inspire, expire, j'arrive. D'accord ? Donc là, ne me demandez pas d'où ça vient, je ne sais pas. On m'a demandé, on m'a dit, oui, ça serait bien que tu nous apprennes à faire un peu d'humour, machin, truc. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je suis née comme ça. Pour de vrai, je suis née comme ça. Voilà. Et j'avais un papa qui était comme ça. Donc, mon père était un lion. Donc, du coup, ça a fait une lionne. Voilà. Du coup, voilà. J'ai appris comme ça. Je ne sais pas pourquoi. Et donc, assieds-toi, mets les mains sur la table et écoute-moi bien. Vite fait, parce que là, tu commences vraiment à me gonfler. Ça commence à me gonfler d'entendre des conneries pareilles. Je prends des appels de... Je prends des appels pour faire découvrir la méthode Lyon, volume 1 et volume 2, option 1, option 2 en fait. Mais je ne vous en dirai pas plus, parce que j'aime bien me prendre des appels pour expliquer, pour dire exactement ce qu'il en est, dire exactement ce que je fais, dire exactement pourquoi je le fais. Et vendredi, j'étais donc dans un appel de qualification. parce que c'est des appels de qualification, parce qu'aujourd'hui la méthode Lyon est un cercle fermé, donc c'est vraiment des appels de qualification. Ce ne sont même plus des appels pour vous vendre quelque chose, parce que moi je n'ai rien à vendre. Je n'ai absolument rien à vendre, par contre je fais des appels de qualification. Donc, si tu veux te qualifier, je t'invite à prendre ton appel de rendez-vous de qualification, de découverte. que moi j'appelle, appel découverte, et à ce moment-là, on discutera ensemble. Il n'y a pas de problème, le lien est dans ma bio Instagram, si ça t'intéresse. Ça va loin, mais je vais t'expliquer pourquoi les rendez-vous vont si loin, d'accord ? Et je vais t'expliquer pourquoi ton impatience va te mener à ta chute, d'accord ? Très bien. Donc là, je prends un appel avec une jeune coiffeuse. Donc, il m'explique un petit peu sa situation, qu'il m'explique ce qu'elle veut faire, qu'il m'explique où elle veut aller, etc. Généralement, je prends des appels d'une heure, donc c'est très bien. Et là, elle me dit qu'elle s'est déjà faite accompagner. Je dis « Ah ouais, c'est trop bien ! » Sachant que je sais très bien qu'il y a à boire et à manger là-dedans. Mais bon, je préfère dire que c'est super. Donc là, je lui demande qu'elle m'explique. Elle m'explique qu'avec cet accompagnement, elle a perdu 95% de sa clientèle. Elle est dans une ville, dans une moyenne ville, je serais tentée de te dire, pas très loin de Toulouse, une heure de Toulouse à peu près. Je ne dirais pas quelle ville. Et donc, elle m'explique qu'on lui a préconisé d'augmenter ses prix de 50%. 40 à 50% en fait. Et là, je me suis dit, attends, pardon, on t'a préconisé d'augmenter tes prix de 40 à 50%. Ok, très bien. Ça se peut là. Je veux dire, moi, quand je fais des analyses d'entreprise, ça se peut que l'augmentation de prix soit aussi élevée que ça. Mais par contre, tu ne peux pas dire à une entrepreneur qui n'a aucune stratégie, qui n'a... rien mis en place dans son entreprise que la seule solution pour qu'elle travaille moins putain de merde arrêter de me casser les couilles avec ça parce que je vais finir par devenir méchante voilà si vous voulez être entrepreneur il n'y a pas 36 solution d'accord il faut bosser attendez je j'éloigne le micro parce que sinon vous allez être sourde il faut bosser nom de dieu de merde Je ne sais pas s'il était assez loin parce que j'ai crié assez fort. Mais travailler moins et gagner plus, ça n'existe pas, bordel de merde. Je vais le dire dans quelle langue ? En quelle langue il va falloir que je vous parle ? Merde, ça n'existe pas. Voilà, donc maintenant que c'est très au point, que vous avez bien compris. Je m'excuse, vous baisserez le son du coup. Donc, cette personne n'ayant aucune stratégie de mise en place d'une charte de prix plus élevée, n'ayant aucune stratégie d'acquisition de clients, n'ayant aucune stratégie de service, de service additionnel, de mise en place d'un service haut de gamme, on lui dit qu'il faut qu'elle augmente ses prix. de 40 à 50%. Et le truc, c'est qu'on ne lui dit pas comment améliorer son service, comment développer sa clientèle, comment aller chercher une nouvelle clientèle, comment développer ses réseaux, mais on lui dit juste Si tu veux travailler moins et gagner plus, il faut augmenter tes prix. Là, j'ai envie de te dire, écoute-moi bien Jacqueline, toi qui fais du coaching, toi qui t'es reconvertie parce que t'en avais plein le cul de coiffer des Jeannettes, toi qui en avais plein le cul en fait de faire ton métier de coiffeuse, toi qui ne voyais pas un avenir autrement que de laisser tomber la coiffure, toi qui n'étais plus passionnée par ton métier, toi qui en avais marre en fait de te faire remballer le bec par des clientes. Toi qui transposes ta réalité à la réalité des autres, tu commences à me casser les couilles, mais velu, d'accord ? Velu, là ! C'est pas des couilles poilues que j'ai, là ! C'est pire que ça, là ! Vraiment ! Et là, j'en ai assez d'entendre des conneries pareilles ! Le coaching, c'est pas quelque chose pour lequel tu t'es inventé une carrière ce matin en te levant. C'est quelque chose de très, très sérieux. Tu as l'entreprise. Tu as l'entreprise de coiffeuse dans tes mains, tu as des gens qui vivent avec ce métier, tu as des gens qui payent leur facture avec ce métier, tu as des gens qui chaque jour se débattent pour servir une clientèle, tu as des gens qui ne connaissent aucunement le business, tu as des gens qui sont compétents, tu as des gens qui sont beaucoup moins compétents, tu as des gens... qui ont une clientèle X, d'autres qui ont une clientèle Y, tu as des gens qui habitent à tel endroit, tu as des gens qui habitent à tel autre endroit, et toi, tu fais de la politique de prix, espèce de code, pardon, et tu dis la même chose à tout le monde, avec un putain de tableau, et tu te dis, ah ben c'est bon, la seule façon de faire, c'est d'augmenter ses prix. Mais putain, mais ferme ta putain de grande gueule de merde, hein ! Et arrête de faire du coaching parce que tu es en train d'écrouler des entreprises, espèce de vieille folle. Pardon ? Pardon ? Pardon ? Quand j'ai entendu ça, j'ai cru que mon cœur allait s'arrêter. J'ai cru que j'allais tomber de ma chaise. Je ne peux pas croire. Et vous êtes aussi responsable, les coiffeuses. Et là, je vais parler de vous maintenant. Maintenant qu'on a parlé de Jocelyne, la coach en business. qui s'est décidé en fait de sortir de son salon pour aller raconter de la merde, on va parler de vous maintenant. Parce que si la coach business est responsable, vous êtes responsable également de votre manque de jugement. Vous êtes responsable de vouloir consommer du pas cher. Vous êtes responsable de mettre votre entreprise entre les mains de n'importe qui. Putain, quelqu'un qui a eu un salon, juste un salon. qui ne vous exposent pas à ces chiffres. Vous ne les connaissez pas, ces chiffres. Vous les connaissez, ces chiffres ? Vous savez ce qui a été une success story dans son entreprise ? Ah non ? Ah ben non, on ne sait pas. On n'a pas vu, on n'a pas regardé, on ne sait pas. Ok, vous faites confiance à des gens dont vous ne savez rien. Moi, je peux le faire aussi. Je peux largement le faire. écrire des chiffres sur un doc Canva, en fait, et vous le mettre en story. Et ça ne prouvera pas que ce sont mes chiffres. Ça ne prouvera pas... Moi, je ne mets pas mes chiffres. Vous savez pourquoi je ne mets pas mes chiffres ? Parce que je n'ai pas envie qu'on se dise qu'elle se fait de l'argent sur notre dos. Je vous assure que c'est ça. Parce que mes chiffres sont très élevés. Et que du coup, je me dis, si je montre mes chiffres... Je me dis, les coiffeuses, elles vont penser qu'en fait, je me graisse la patte sur leur dos. Et ce n'est vraiment pas le cas. Mais mes chiffres sont très élevés. Et quand j'étais en salon, mes chiffres étaient très élevés également. Très élevés. Très élevés. Et je ne les montrais pas, mes chiffres, ou je les montrais à ceux qui voulaient les voir. Je ne voulais pas montrer mes chiffres. Si vous me dites, oui, Julie, j'aimerais bien voir tes chiffres. Je vais te les montrer, mes chiffres. Mais je pense que tu n'as même pas besoin de voir mes chiffres si tu es capable de compter. De voir combien de clientes j'accompagne en ce moment. J'en accompagne 47. Donc, je peux vous dire que mes chiffres sont très élevés. Mais que moi, je réinvestis mes chiffres dans des événements très haut de gamme. Avec des coiffeurs très haut de gamme pour proposer de la formation. Donc, je ne me graisse pas la patte sur le dos des coiffeurs. Je lève la main et je dis, je le jure. D'accord ? Ok ? Et je suis compétente également. Mais je ne montre pas mes chiffres. Mais par contre, quelqu'un... dont vous ne savez rien, quelqu'un qui n'a pas de carrière extérieure, quelqu'un qui n'a aucune visibilité sur les réseaux ou très peu, qui vous a montré qu'elle savait quoi faire à peine sur une tête en plastique et qui vous a dit qu'elle avait un salon et que son salon était reconnu. Le meilleur salon du sud de la France, écoute-moi bien Jacqueline, va te faire foutre parce que ce n'est pas vrai. Ce n'est pas vrai, ce n'est pas vrai et ce n'est pas vrai. D'accord ? Donc, arrêtez de croire n'importe quoi et n'importe qui. Arrêtez d'aller au moins cher. Arrêtez de consommer de la merde. Arrêtez de croire en fait n'importe quoi. Et les moutons seront bien gardés. D'accord ? Tu ne peux pas adopter la stratégie de... Jean-Ernestine là-bas, la transposer à ton salon alors que vous ne faites pas du tout le même travail, alors que vous ne faites pas du tout la même chose, alors que tu ne sais même pas comment elle coiffe. Moi, c'est ça en fait qui me bute. Parce que moi, ça fait longtemps que je suis sur les réseaux. Si vous me découvrez sur Instagram, je suis sur les réseaux depuis quand même longtemps, 2018. J'étais sur Facebook avant. Je suis très active sur les réseaux depuis 2018. Donc, avant, je postais mon travail. Aujourd'hui, je travaille dans le développement des salons de coiffure. Mais si tu veux retracer ma vie, il n'y a pas de problème. Tu peux y aller, il n'y a pas de problème. Mais sans déconner, pour écrouler 95% de son chiffre d'affaires, 95% de sa clientèle, de se retrouver dans la merde, de faire confiance à n'importe qui, à quel moment ? À quel moment on trouve ça judicieux de faire ça ? À quel moment on se dit, c'est une bonne idée, je vais le faire demain ? Allô ? Allô ? Il y a quelqu'un qui m'entend, s'il vous plaît. S'il vous plaît, dites-moi qu'il y a quelqu'un qui m'entend et qui m'écoute. Dites-moi que vous comprenez ce que je dis. Dites-moi que j'ai raison. Oh ! Je ne peux pas le croire que vous ayez autant pas de jugeottes certaines. Moi, quand j'achète des trucs par impulsion, c'est des trucs que j'ai calculés. Le premier coaching que j'ai pris, j'ai calculé, j'ai voulu savoir, j'ai voulu connaître, j'ai voulu comprendre qui était la personne. Il y a des coachings que j'ai faits qui étaient nazes. Il y a un coaching que j'ai fait qui était naze. et que j'ai dû arrêter en plein milieu, mais pas parce que j'avais payé et que j'avais écroulé 95% de ma clientèle, mais parce que j'avais payé et que je faisais 95% de plus que le coach. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est tout. Donc, à un moment donné, bande de petites Ausha pâter, si vous voulez développer votre entreprise, si vous voulez faire du bénéfice, Si vous voulez créer de l'abondance dans votre entreprise et faire du chiffre d'affaires, bande de cloche, il est temps de prendre les stratégies qui sont les plus gagnantes. Et pas, et clairement pas, clairement pas, bande de dinde, de faire confiance à n'importe qui. Travaillez moins et gagnez plus. Ça, ça existe au pays de Candy. D'accord ? C'est Blanche-Neige. qui fait travailler les oiseaux. C'est Blanche-Neige qui fait faire la vaisselle aux souris. D'accord ? Hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Oui, je sais, j'aurais dû me reconvertir dans la chanson. Sauf que... Sauf que non. Et si vous ne connaissez pas l'histoire, je faisais du chant quand j'étais plus jeune. Moultes, moultes chants plus jeunes. Sauf que, à force de respirer des produits, et c'est aussi un peu pour ça que j'ai arrêté la coiffure, il y a eu plusieurs choses qui me sont arrivées, mais ça aussi ça m'est arrivé, je ne peux plus respirer. Je respire fort, je respire mal, je ne peux plus respirer. Donc... Donc, je me suis reconvertie, d'accord ? Mais je ne me suis pas reconvertie parce que mon salon ne marchait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que j'ai décidé que la coiffure, ça ne m'intéressait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que je me suis dit que j'allais devenir le plus gros escroc de la Terre. D'accord ? Je me suis reconvertie parce que mon rêve à moi, c'était de travailler de partout. quand la Covid est arrivée. Et donc, pour travailler de partout, il me fallait devenir formatrice. Voilà, toujours dans le même domaine. Et ensuite, je suis devenue coach en développement d'entreprise parce que j'en avais assez de voir des gens galérer. D'accord ? De ce fait, de ce fait, j'ai pris des formations, je me suis formée, j'ai pris plus de 250 000 euros de formation pour devenir coach en développement d'entreprise, coach en développement personnel, et... accessoirement également formatrice pour développer du contenu. Oui, oui, oui, vous avez bien entendu. Je me suis formée. Je ne me suis pas juste dit, attends, attends, attends. Je vais juste me former pour développer ma clientèle. Non, non, je me suis formée pour développer mon savoir. Mon savoir. Voilà. Donc j'ai du savoir, j'ai de la connaissance, je sais lire un bilan, je sais lire des chiffres, je connais mes ratios, je connais mes clientes. Je connais tout en fait. Je sais tout. Et en plus de ça, j'ai une expérience de coiffeuse. Et en plus de ça, j'ai une expérience en clientèle. Et en plus de ça, j'ai eu des employés. Et en plus de ça, j'ai développé. Alors comment... Putain mais de ta mère, pardon. Excusez-moi. Pardon. Mais comment tu peux... développer des salons, développer des salons alors que tu n'as jamais eu d'employé. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Ça aussi, ça me bute. Ça aussi, ça me fait chier. Ça aussi, ça me gonfle. Ça aussi, ça me casse les pieds. Ah mais j'ai été manager. Mais ta gueule en fait. Manager, ce n'est pas employeur. manager c'est pas employeur parce que si tu as un problème avec les employés tu te fie à l'employeur donc manager c'est pas employé je le dis au cas où d'accord avoir eu un salon c'est pas non plus être compétent ouais je me fâche parce qu'à un moment donné ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me refatigue ça me trifatigue et ça me trufatigue Ça me fatigue, ça me fatigue de sa mère. Parce que je commence à en avoir marre des gens qui ont de l'ambition, mais qui se font avoir dans des paroles, dans des choses de l'utopie, qui n'existent pas, ça n'existe pas. Je reviens sur ce que j'ai dit, ça n'existe pas de travailler moins et de gagner plus. Non, en fait, pour pouvoir avoir une entreprise qui fonctionne, il faut mettre des stratégies en place. Alors, tu vas travailler moins, peut-être derrière la chaise, mais tu vas travailler plus sur ta structure. Tu vois ce que je veux dire ? Donc, arrêtez de croire des vendeurs de salades, des mangeuses de carottes, des trifouilleurs de persil. D'accord ? Commencez maintenant et d'ores et déjà. à comprendre ce que c'est qu'un business. Un business, c'est de l'échange entre deux personnes. Je te rends un service, tu me payes. D'accord ? Pour qu'on se fasse payer, il faut que ce service soit impeccable. Je te rends un service impeccable, tu me payes à ma juste valeur. D'accord ? C'est pas... Et puis surtout, pardon, je te donne un service impeccable, toi qui es prête à recevoir un service impeccable, et tu me payes à ma juste valeur parce que tu sais ce que ça vaut. Ça, c'est plutôt ça, en fait. Vous voyez ce que je veux dire ? Si, par contre, tu donnes du caviar à des cochons, je le dirai aussi souvent que possible, c'est-à-dire que tu recrutes une clientèle qui ne sait même pas ce que c'est que de la valeur de la purée de pommes de terre faite maison, mais qui prend de la purée en sachet, tu vois, c'est un exemple, OK ? Moi aussi, j'adore la purée en sachet. Ma bouffe préférée, c'est purée saucisse ou purée jambon. D'accord ? Ouais, je s'étais encore traumatisée par le jambon de la semaine dernière. Mais en même temps, j'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais manger que du jambon. Jambon pain, jambon purée, jambon pâte. J'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais mourir pour du jambon. Non, c'est pas vrai. Donc, pardon. Et de la saucisse, je vous en parle même pas. Saucisse de Strasbourg, saucisse de Toulouse, saucisse de Francfort, saucisse choucroute. Ouh ! Ouh ! Tout ça, j'adore. J'adore. Celles qui ont les idées mal placées, je vous emmerde. Donc, euh... Tout ça pour dire que si tu donnes du caviar à des cochons, si tu donnes du service haut de gamme à des gens qui ne sont pas du tout sensibilisés au service haut de gamme, bien sûr qu'on va te dire « Oui, mais c'est parce que c'est cher ! » Oui, mais par contre, si tu donnes du bon service à des bons clients, que tu justifies ton prix avec de la qualité, là, les clients vont rester. Et c'est ça que je travaille, bande de torches. C'est ça la méthode Lyon. Et plus que ça, bien sûr, évidemment. Sinon, je ne ferai pas des programmes sur six mois. Six mois. Six mois, mois, mois, mois, mois. D'accord ? Je ne ferai pas ça. Je laisserai les escrocs faire. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc arrêtez de croire n'importe qui. Arrêtez de croire des gens qui n'ont pas d'expérience. Arrêtez de croire des gens qui ont fait ce travail juste pour se blinder les poches et qui aujourd'hui font de la merde. D'accord ? Ça m'évitera de passer mes samedis après-midi. à ressasser ça et à me dire « putain, mais c'est pas possible un truc pareil » . Et donc, de me retrouver confrontée à des histoires rocambolesques qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que vous comprenez le deal là ? D'accord ? Par contre, si tu sais que ton entreprise peut faire mieux, peut performer, peut se développer, doit se développer, tu veux faire... plus de chiffre d'affaires, plus de cash, plus de bénéfices, plus de trésorerie, dis-toi à quelqu'un qui l'a déjà fait. Eh oui ! Parce que, je veux dire, c'est pas compliqué quand même. Moi, si j'ai besoin, je sais pas, admettons, quand je vais au restaurant, tu vois, je choisis quelqu'un qui est dans le métier de la restauration, tu vois, et qui travaille bien, ou s'est prouvé. Je ne me fie pas à quelqu'un qui s'est improvisé, genre Robert Garagiste, qui a décidé qu'en fait, pour lui, il en avait ras le cul de tourner des boulons, et qui s'est dit, je vais aller cuire des steaks, c'est mieux. Vous voyez ce que je veux dire ? Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Ça suffit maintenant. Ça suffit maintenant. C'est assez. C'est assez, en fait, de ne pas se servir de sa cervelle. Ça suffit. Stop. Alors, grand bien me fasse, on n'est pas nombreux dans le domaine. On n'est pas très nombreux dans le domaine. Ça va se développer de plus en plus. Je ne dis pas que je suis la meilleure. Loin, loin, loin, loin de là. Absolument pas. Mais quand même, je serais tentée de vous dire que je sais travailler. J'ai été... reconnu pour mon travail, que je sais développer du chiffre d'affaires, que je sais faire des lancements, que ça s'est prouvé avec Cancun en fait, je serais tentée de vous dire, et que je l'enseigne du coup. Et que je suis formée pour ça, je suis formée en développement aussi, en développement personnel. Donc, mes petites courgettes, là-dessus, je vais vous laisser. Le temps est écoulé. C'est passé vite quand même. C'est passé trop vite. Je ne sais pas comment vous le prenez quand vous l'écoutez, si ça vous fait chier de l'écouter, si vous mettez avance rapide ou pas. Une chose est sûre, c'est que si vous l'avez écouté jusqu'au bout, mettez-moi en story. Ça va me faire plaisir de vous partager vos stories, comme quoi vous écoutez vraiment le podcast, que vous n'êtes pas des touristes. Donc voilà, et puis là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée et on se dit à la semaine prochaine. Bye ! Ah oui, PS, PS, faites appel à votre jugement s'il vous plaît, d'accord ? Allez, on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne ! Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

Description

🔥 Résumé de l’épisode – Ne me cassez pas le peigne 🔥

🚨 Alerte coup de gueule ! 🚨 Aujourd’hui, je vous prends par la main (ou par les cheveux, selon votre niveau de rébellion) pour vous secouer un peu. Parce que oui, y’en a marre des coachs en carton qui te vendent du rêve avec des conseils aussi foireux qu’une permanente ratée. Travailler moins et gagner plus ? Mon cul sur la commode !

Si tu veux exploser ton chiffre d’affaires sans exploser ta clientèle en plein vol, va falloir arrêter de croire à ces balivernes et te concentrer sur les vraies stratégies qui fonctionnent. Spoiler : ça demande du taf. Mais du taf intelligent !

👉 Au programme :

- Les mythos du business qui te promettent des miracles (et qui en fait te vendent du vent)

- Pourquoi augmenter tes prix sans stratégie, c’est comme mettre du vernis sur une jambe de bois

- L’importance de ne pas confier ton business à Jeanne Clotilde , coach improvisé après une crise existentielle

- Et surtout : comment reprendre le pouvoir sur ton salon avec des vraies méthodes solides

Bref, si t’as envie d’être une patronne badass et non une brebis égarée dans la jungle du coaching bidon, cet épisode est fait pour toi. 🎙️🔥

💡 Écoute, partage, tague-moi en story et surtout… active ton cerveau avant d’acheter n’importe quoi ! #NoMoreBullshit #CoiffeuseBoss


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Ne me cassez pas le peigne, le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de coiffure, présenté par Julie Véron. Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en forme, que vous êtes en forme, mon dieu, mais il y a du sang aujourd'hui, il y a du sang ! Je risque de vous faire péter un tympan, j'ai décidé de réactiver mon micro mais de le tenir. Voilà, cette fois-ci en fait, il va suivre ma tête, regardez comme c'est merveilleux. Je bouge comme un petit serpentin et ça fonctionne. Je baisse peut-être un petit peu le son, que vous ne soyez pas sourds après l'écoute de ce podcast. Mais en tout cas, il va y avoir du son. Je pense que ça sera mieux comme ça. Vous me direz ce que vous en pensez. De toute façon, vous l'écouterez quand même. Je sais que vous êtes devenus accros à ce numéro-là. Donc voilà, après le shampoing dans les yeux de la semaine dernière. Aujourd'hui, c'est un petit coup de gueule que je veux passer. Petit gros. Petit gros coup de gueule, juste le coup de gueule petit gros. Donc voilà. Et je voulais aussi vous sensibiliser. Vous sensibiliser dans tous les sens du terme, d'accord ? Parce qu'on est dans un métier en fait où la plupart ont du mal à amasser de l'argent et si vous le dépensez n'importe comment, on ne va pas être copains, d'accord ? On ne va pas être copains, ça ne va pas le faire les agneaux, ça ne va pas le faire. C'est mieux non quand je le mets un peu plus loin, un peu plus près, un peu plus... Je verrai, je réécouterai, je verrai ça. J'ai acheté un micro en fait, je me suis dit ouais ça va être un super micro et tout avec une console de son et tout. Et en fait si t'as pas le bec collé dessus, en fait il ne prend pas le son ce petit bâtard. Donc du coup voilà. Alors une chose que je voulais dire avant ça, donc j'ai dit bâtard déjà, ça ça marche pas. Ne faites pas écouter ce podcast à vos enfants. Ça se peut que vous soyez convoqué à l'école parce qu'il aura dit des gros mots et que vous m'en tiendrez personnellement responsable, sauf que je ne prends aucune responsabilité de rien. Vous ne devez pas écouter ce podcast avec des enfants, des oreilles sensibles, votre mère, votre tante, votre belle-mère éventuellement. Sinon, vous serez jugé. Moi, je suis déjà jugé. Donc en fait, pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour vous par contre, si vous n'êtes pas habitué au jugement, ça risque certainement de vous étonner au départ. Se faire juger, ce n'est pas ouf. Au début, on se dit « Ouais, mais non, je n'ai rien fait pour mériter ça. » Et en fait, si. Et en fait, les personnes qui jugent généralement ne font pas grand-chose de leur life, ne font pas grand-chose de leur vie. Mais c'est un sport national, le jugement d'abord. internationales en fait. Mais quand on n'est pas habitué, ça peut surprendre. Quand on n'est pas habitué, en fait, on peut se dire ça va Monique, calme-toi un peu les nerfs, ça va, j'ai juste écouté un truc. Oui, mais les gens vont penser que vous avez des habitudes spéciales. Ils vont ensuite aller très loin, ils vont se faire des scénarios, ils vont penser que machin truc. Moi, en fait, avec les podcasts, cet été, on est allé jusqu'à dire que je buvais de l'alcool. Alors oui. Alors oui, je bois des fois de l'alcool, c'est-à-dire que je prends des cocktails, des trucs comme ça, vous voyez, des trucs normaux. Mais je n'ai aucune tendance alcoolique en fait. Et on est allé jusqu'à dire aussi que j'avais un penchant d'extrême droite. Imagine. Alors là, vous vous dites, mais qui a pu dire ça ? Une conne, pour te dire la vérité. Une grosse conne. Mais qui est allée jusqu'à faire un montage, etc. Enfin bref. Bon. prouver et étayer sa thèse que j'étais à moitié folle. Alors oui, je suis à moitié folle, mais t'es pas obligé de m'écouter. Tu vois ce que je veux dire ? Donc si jamais tu trouves que j'ai un penchant un peu bizarre ou quoi que ce soit, ça se peut là. Je veux dire, selon tes codes, ton éducation, ce que t'as pu éventuellement écouter quand t'étais jeune et ce que tu veux dans ton entreprise, dans ta vie, etc. Je comprends. Je comprends très bien, mais tu n'es pas obligé de m'écouter, déjà, pour commencer. Et donc, tu n'es pas obligé de me juger. Si tu me juges, c'est parce que tu m'écoutes. Et si tu m'écoutes, c'est parce que tu m'aimes, en fait. Mais que tu n'oses pas le dire. Tu n'oses pas déconstruire tes codes. Tu n'oses pas te dire, finalement, Julie Véron, elle est sympa. Mais je suis vachement sympa, en fait. C'est ça, le pire. Le pire, c'est que quand tu ne me connais pas, tu te dis, mais ça doit être un terroriste, cette meuf. Et en fait, non, et en fait tu me kiffes, et en fait tu ris, et en fait plus tu ris plus tu me kiffes, et plus tu me kiffes plus t'as honte. Plus t'as honte, en fait, et plus tu te braques, tu vois ? Et plus tu te dis, ouais, non, en fait, non, non, je peux pas aimer ce genre de meuf. Mais si, si tu peux, tu peux, t'as le droit. Regarde, c'est moi. Donc ça, ça c'était pour la base. Donc n'écoutez pas le podcast avec vos enfants sous peine d'être jugés. C'était ça, le truc de base. D'accord ? Donc ensuite, le petit coup de gueule, gros comme vous voulez, petit, gros, gros, petit, comme ça vous intéresse et comme ça vous chante, mais... c'était quand vendredi ? On est dimanche. Dimanche, 9h57, moi je me lève tôt. Le dimanche, je fais, je prépare mes réseaux, tout ça, réel et compagnie. J'aime bien avoir une journée de calme, tranquille, pour pouvoir le faire, je m'enferme dans mon bureau. Ensuite, cet après-midi, vous savez, vous vous rappelez, la semaine dernière, je suis allée me faire masser, là je suis allée me faire faire un soin du visage, du coup j'ai invité mon mari et mes deux enfants. Parce que vous vous souvenez que je voulais donc le meilleur pour mes enfants, pour mon mari aussi. Et que donc du coup, je préfère ne pas faire que de prendre des choses à raber. Et ça va encore résonner ça, aujourd'hui. Ça va encore résonner, putain de bordel. Parce que les filles, et je parle à des filles, s'il y a des garçons qui m'écoutent, bienvenue à vous. Vous êtes les bienvenus. Mais la plupart du temps, je parle aux féminins parce que j'ai un penchant pour l'entrepreneuriat aux féminins. Ça n'a rien à voir avec vous, que je ne vous aime pas, redescendez de votre arbre, posez les couilles sur la table. Ce n'est pas ça. Vous êtes aussi important pour moi que les femmes, mais seulement j'en ai assez qu'on vous mette sur une piédestale. Donc tu vas redescendre, Jeannot. Et tu vas t'asseoir sur une chaise et tu vas prendre ton temps. Tu vois ce que je veux dire ? Parce que moi, en fait, il n'y a personne qui est supérieur à personne. Tu vois ce que je veux dire ? Pour moi, tu coiffes de la même façon, tu fais les mêmes choses. En fait, tu as juste une paire de couilles que moi, je n'ai pas. D'accord ? Mais à part ça, rien d'autre. Tu vois ? Donc, redescendre un étage. Johnny. Johnny. Johnny ! Exactement. Donc, tout ça pour dire que... Il y en a assez en fait que... Et en fait, je rembobine et je recommence. Voici ma thèse. D'accord ? La thèse est la suivante. Si vous cherchez du pas cher, du moins cher, du promo, du réduc, de faire des bonnes affaires, vous avez le droit là. Il n'y a pas de problème. Vous avez tout à fait le droit en fait de chercher à payer moins cher, à avoir moins cher. Vous voyez ce que je veux dire ? Mais ne vous plaignez pas en fait que vos clientes soient dans le même état d'esprit. Si vous êtes dans cet état d'esprit-là, ça veut dire que vous faites des deals dans votre salon. Donc, vos clientes viennent chercher les deals. Donc, du coup, elles viennent chercher le pas cher. Donc, si vous avez cet état d'esprit, ne vous étonnez pas. Si par contre, vous avez le même état d'esprit que moi, et on a le droit de ne pas l'avoir, on a le droit de ne pas être... comme moi de ne pas être calibré comme moi enfin moi je suis pas là pour faire de la politique et de faire en sorte que tout le monde pense comme moi d'accord je suis ouverte au débat je suis ouverte à tout sauf que il ya un bien un truc qui me gonfle et là vous êtes responsable de votre cul dans la mer d'accord pourquoi je dis ça parce que si vous cherchez des deals si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher Si vous n'avez aucune idée de ce que ça veut dire investir, si vous êtes toujours en train de vouloir économiser, alors là vous allez me dire, oui mais tout le monde veut économiser, c'est le sort de tout le monde. Attendez, j'allume mon ventilo, parce que je commence à avoir chaud, de brasser des bras. Voilà, on va le mettre en pivotant, voilà, vous allez peut-être l'entendre ou pas, je m'en fous. Donc, si vous cherchez des deals, Si vous êtes tout le temps en train de vouloir payer moins cher, si vous êtes tout le temps en train de vouloir la petite réduction, le machin, le truc, à un moment donné, vous allez être confrontés à vous acheter de la merde. Vous voyez ce que je veux dire ? À vous acheter de la merde. Et là, vous vous dites, de où elle veut en venir exactement ? Eh bien, écoute, j'y viens Jacqueline. Attends un petit peu, prends ton trou, assieds-toi, mets les mains sur la table. respire, inspire, expire, j'arrive. D'accord ? Donc là, ne me demandez pas d'où ça vient, je ne sais pas. On m'a demandé, on m'a dit, oui, ça serait bien que tu nous apprennes à faire un peu d'humour, machin, truc. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je suis née comme ça. Pour de vrai, je suis née comme ça. Voilà. Et j'avais un papa qui était comme ça. Donc, mon père était un lion. Donc, du coup, ça a fait une lionne. Voilà. Du coup, voilà. J'ai appris comme ça. Je ne sais pas pourquoi. Et donc, assieds-toi, mets les mains sur la table et écoute-moi bien. Vite fait, parce que là, tu commences vraiment à me gonfler. Ça commence à me gonfler d'entendre des conneries pareilles. Je prends des appels de... Je prends des appels pour faire découvrir la méthode Lyon, volume 1 et volume 2, option 1, option 2 en fait. Mais je ne vous en dirai pas plus, parce que j'aime bien me prendre des appels pour expliquer, pour dire exactement ce qu'il en est, dire exactement ce que je fais, dire exactement pourquoi je le fais. Et vendredi, j'étais donc dans un appel de qualification. parce que c'est des appels de qualification, parce qu'aujourd'hui la méthode Lyon est un cercle fermé, donc c'est vraiment des appels de qualification. Ce ne sont même plus des appels pour vous vendre quelque chose, parce que moi je n'ai rien à vendre. Je n'ai absolument rien à vendre, par contre je fais des appels de qualification. Donc, si tu veux te qualifier, je t'invite à prendre ton appel de rendez-vous de qualification, de découverte. que moi j'appelle, appel découverte, et à ce moment-là, on discutera ensemble. Il n'y a pas de problème, le lien est dans ma bio Instagram, si ça t'intéresse. Ça va loin, mais je vais t'expliquer pourquoi les rendez-vous vont si loin, d'accord ? Et je vais t'expliquer pourquoi ton impatience va te mener à ta chute, d'accord ? Très bien. Donc là, je prends un appel avec une jeune coiffeuse. Donc, il m'explique un petit peu sa situation, qu'il m'explique ce qu'elle veut faire, qu'il m'explique où elle veut aller, etc. Généralement, je prends des appels d'une heure, donc c'est très bien. Et là, elle me dit qu'elle s'est déjà faite accompagner. Je dis « Ah ouais, c'est trop bien ! » Sachant que je sais très bien qu'il y a à boire et à manger là-dedans. Mais bon, je préfère dire que c'est super. Donc là, je lui demande qu'elle m'explique. Elle m'explique qu'avec cet accompagnement, elle a perdu 95% de sa clientèle. Elle est dans une ville, dans une moyenne ville, je serais tentée de te dire, pas très loin de Toulouse, une heure de Toulouse à peu près. Je ne dirais pas quelle ville. Et donc, elle m'explique qu'on lui a préconisé d'augmenter ses prix de 50%. 40 à 50% en fait. Et là, je me suis dit, attends, pardon, on t'a préconisé d'augmenter tes prix de 40 à 50%. Ok, très bien. Ça se peut là. Je veux dire, moi, quand je fais des analyses d'entreprise, ça se peut que l'augmentation de prix soit aussi élevée que ça. Mais par contre, tu ne peux pas dire à une entrepreneur qui n'a aucune stratégie, qui n'a... rien mis en place dans son entreprise que la seule solution pour qu'elle travaille moins putain de merde arrêter de me casser les couilles avec ça parce que je vais finir par devenir méchante voilà si vous voulez être entrepreneur il n'y a pas 36 solution d'accord il faut bosser attendez je j'éloigne le micro parce que sinon vous allez être sourde il faut bosser nom de dieu de merde Je ne sais pas s'il était assez loin parce que j'ai crié assez fort. Mais travailler moins et gagner plus, ça n'existe pas, bordel de merde. Je vais le dire dans quelle langue ? En quelle langue il va falloir que je vous parle ? Merde, ça n'existe pas. Voilà, donc maintenant que c'est très au point, que vous avez bien compris. Je m'excuse, vous baisserez le son du coup. Donc, cette personne n'ayant aucune stratégie de mise en place d'une charte de prix plus élevée, n'ayant aucune stratégie d'acquisition de clients, n'ayant aucune stratégie de service, de service additionnel, de mise en place d'un service haut de gamme, on lui dit qu'il faut qu'elle augmente ses prix. de 40 à 50%. Et le truc, c'est qu'on ne lui dit pas comment améliorer son service, comment développer sa clientèle, comment aller chercher une nouvelle clientèle, comment développer ses réseaux, mais on lui dit juste Si tu veux travailler moins et gagner plus, il faut augmenter tes prix. Là, j'ai envie de te dire, écoute-moi bien Jacqueline, toi qui fais du coaching, toi qui t'es reconvertie parce que t'en avais plein le cul de coiffer des Jeannettes, toi qui en avais plein le cul en fait de faire ton métier de coiffeuse, toi qui ne voyais pas un avenir autrement que de laisser tomber la coiffure, toi qui n'étais plus passionnée par ton métier, toi qui en avais marre en fait de te faire remballer le bec par des clientes. Toi qui transposes ta réalité à la réalité des autres, tu commences à me casser les couilles, mais velu, d'accord ? Velu, là ! C'est pas des couilles poilues que j'ai, là ! C'est pire que ça, là ! Vraiment ! Et là, j'en ai assez d'entendre des conneries pareilles ! Le coaching, c'est pas quelque chose pour lequel tu t'es inventé une carrière ce matin en te levant. C'est quelque chose de très, très sérieux. Tu as l'entreprise. Tu as l'entreprise de coiffeuse dans tes mains, tu as des gens qui vivent avec ce métier, tu as des gens qui payent leur facture avec ce métier, tu as des gens qui chaque jour se débattent pour servir une clientèle, tu as des gens qui ne connaissent aucunement le business, tu as des gens qui sont compétents, tu as des gens qui sont beaucoup moins compétents, tu as des gens... qui ont une clientèle X, d'autres qui ont une clientèle Y, tu as des gens qui habitent à tel endroit, tu as des gens qui habitent à tel autre endroit, et toi, tu fais de la politique de prix, espèce de code, pardon, et tu dis la même chose à tout le monde, avec un putain de tableau, et tu te dis, ah ben c'est bon, la seule façon de faire, c'est d'augmenter ses prix. Mais putain, mais ferme ta putain de grande gueule de merde, hein ! Et arrête de faire du coaching parce que tu es en train d'écrouler des entreprises, espèce de vieille folle. Pardon ? Pardon ? Pardon ? Quand j'ai entendu ça, j'ai cru que mon cœur allait s'arrêter. J'ai cru que j'allais tomber de ma chaise. Je ne peux pas croire. Et vous êtes aussi responsable, les coiffeuses. Et là, je vais parler de vous maintenant. Maintenant qu'on a parlé de Jocelyne, la coach en business. qui s'est décidé en fait de sortir de son salon pour aller raconter de la merde, on va parler de vous maintenant. Parce que si la coach business est responsable, vous êtes responsable également de votre manque de jugement. Vous êtes responsable de vouloir consommer du pas cher. Vous êtes responsable de mettre votre entreprise entre les mains de n'importe qui. Putain, quelqu'un qui a eu un salon, juste un salon. qui ne vous exposent pas à ces chiffres. Vous ne les connaissez pas, ces chiffres. Vous les connaissez, ces chiffres ? Vous savez ce qui a été une success story dans son entreprise ? Ah non ? Ah ben non, on ne sait pas. On n'a pas vu, on n'a pas regardé, on ne sait pas. Ok, vous faites confiance à des gens dont vous ne savez rien. Moi, je peux le faire aussi. Je peux largement le faire. écrire des chiffres sur un doc Canva, en fait, et vous le mettre en story. Et ça ne prouvera pas que ce sont mes chiffres. Ça ne prouvera pas... Moi, je ne mets pas mes chiffres. Vous savez pourquoi je ne mets pas mes chiffres ? Parce que je n'ai pas envie qu'on se dise qu'elle se fait de l'argent sur notre dos. Je vous assure que c'est ça. Parce que mes chiffres sont très élevés. Et que du coup, je me dis, si je montre mes chiffres... Je me dis, les coiffeuses, elles vont penser qu'en fait, je me graisse la patte sur leur dos. Et ce n'est vraiment pas le cas. Mais mes chiffres sont très élevés. Et quand j'étais en salon, mes chiffres étaient très élevés également. Très élevés. Très élevés. Et je ne les montrais pas, mes chiffres, ou je les montrais à ceux qui voulaient les voir. Je ne voulais pas montrer mes chiffres. Si vous me dites, oui, Julie, j'aimerais bien voir tes chiffres. Je vais te les montrer, mes chiffres. Mais je pense que tu n'as même pas besoin de voir mes chiffres si tu es capable de compter. De voir combien de clientes j'accompagne en ce moment. J'en accompagne 47. Donc, je peux vous dire que mes chiffres sont très élevés. Mais que moi, je réinvestis mes chiffres dans des événements très haut de gamme. Avec des coiffeurs très haut de gamme pour proposer de la formation. Donc, je ne me graisse pas la patte sur le dos des coiffeurs. Je lève la main et je dis, je le jure. D'accord ? Ok ? Et je suis compétente également. Mais je ne montre pas mes chiffres. Mais par contre, quelqu'un... dont vous ne savez rien, quelqu'un qui n'a pas de carrière extérieure, quelqu'un qui n'a aucune visibilité sur les réseaux ou très peu, qui vous a montré qu'elle savait quoi faire à peine sur une tête en plastique et qui vous a dit qu'elle avait un salon et que son salon était reconnu. Le meilleur salon du sud de la France, écoute-moi bien Jacqueline, va te faire foutre parce que ce n'est pas vrai. Ce n'est pas vrai, ce n'est pas vrai et ce n'est pas vrai. D'accord ? Donc, arrêtez de croire n'importe quoi et n'importe qui. Arrêtez d'aller au moins cher. Arrêtez de consommer de la merde. Arrêtez de croire en fait n'importe quoi. Et les moutons seront bien gardés. D'accord ? Tu ne peux pas adopter la stratégie de... Jean-Ernestine là-bas, la transposer à ton salon alors que vous ne faites pas du tout le même travail, alors que vous ne faites pas du tout la même chose, alors que tu ne sais même pas comment elle coiffe. Moi, c'est ça en fait qui me bute. Parce que moi, ça fait longtemps que je suis sur les réseaux. Si vous me découvrez sur Instagram, je suis sur les réseaux depuis quand même longtemps, 2018. J'étais sur Facebook avant. Je suis très active sur les réseaux depuis 2018. Donc, avant, je postais mon travail. Aujourd'hui, je travaille dans le développement des salons de coiffure. Mais si tu veux retracer ma vie, il n'y a pas de problème. Tu peux y aller, il n'y a pas de problème. Mais sans déconner, pour écrouler 95% de son chiffre d'affaires, 95% de sa clientèle, de se retrouver dans la merde, de faire confiance à n'importe qui, à quel moment ? À quel moment on trouve ça judicieux de faire ça ? À quel moment on se dit, c'est une bonne idée, je vais le faire demain ? Allô ? Allô ? Il y a quelqu'un qui m'entend, s'il vous plaît. S'il vous plaît, dites-moi qu'il y a quelqu'un qui m'entend et qui m'écoute. Dites-moi que vous comprenez ce que je dis. Dites-moi que j'ai raison. Oh ! Je ne peux pas le croire que vous ayez autant pas de jugeottes certaines. Moi, quand j'achète des trucs par impulsion, c'est des trucs que j'ai calculés. Le premier coaching que j'ai pris, j'ai calculé, j'ai voulu savoir, j'ai voulu connaître, j'ai voulu comprendre qui était la personne. Il y a des coachings que j'ai faits qui étaient nazes. Il y a un coaching que j'ai fait qui était naze. et que j'ai dû arrêter en plein milieu, mais pas parce que j'avais payé et que j'avais écroulé 95% de ma clientèle, mais parce que j'avais payé et que je faisais 95% de plus que le coach. Vous voyez ce que je veux dire ? C'est tout. Donc, à un moment donné, bande de petites Ausha pâter, si vous voulez développer votre entreprise, si vous voulez faire du bénéfice, Si vous voulez créer de l'abondance dans votre entreprise et faire du chiffre d'affaires, bande de cloche, il est temps de prendre les stratégies qui sont les plus gagnantes. Et pas, et clairement pas, clairement pas, bande de dinde, de faire confiance à n'importe qui. Travaillez moins et gagnez plus. Ça, ça existe au pays de Candy. D'accord ? C'est Blanche-Neige. qui fait travailler les oiseaux. C'est Blanche-Neige qui fait faire la vaisselle aux souris. D'accord ? Hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, hormis ça, ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Ça n'existe pas. Oui, je sais, j'aurais dû me reconvertir dans la chanson. Sauf que... Sauf que non. Et si vous ne connaissez pas l'histoire, je faisais du chant quand j'étais plus jeune. Moultes, moultes chants plus jeunes. Sauf que, à force de respirer des produits, et c'est aussi un peu pour ça que j'ai arrêté la coiffure, il y a eu plusieurs choses qui me sont arrivées, mais ça aussi ça m'est arrivé, je ne peux plus respirer. Je respire fort, je respire mal, je ne peux plus respirer. Donc... Donc, je me suis reconvertie, d'accord ? Mais je ne me suis pas reconvertie parce que mon salon ne marchait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que j'ai décidé que la coiffure, ça ne m'intéressait pas. Je ne me suis pas reconvertie parce que je me suis dit que j'allais devenir le plus gros escroc de la Terre. D'accord ? Je me suis reconvertie parce que mon rêve à moi, c'était de travailler de partout. quand la Covid est arrivée. Et donc, pour travailler de partout, il me fallait devenir formatrice. Voilà, toujours dans le même domaine. Et ensuite, je suis devenue coach en développement d'entreprise parce que j'en avais assez de voir des gens galérer. D'accord ? De ce fait, de ce fait, j'ai pris des formations, je me suis formée, j'ai pris plus de 250 000 euros de formation pour devenir coach en développement d'entreprise, coach en développement personnel, et... accessoirement également formatrice pour développer du contenu. Oui, oui, oui, vous avez bien entendu. Je me suis formée. Je ne me suis pas juste dit, attends, attends, attends. Je vais juste me former pour développer ma clientèle. Non, non, je me suis formée pour développer mon savoir. Mon savoir. Voilà. Donc j'ai du savoir, j'ai de la connaissance, je sais lire un bilan, je sais lire des chiffres, je connais mes ratios, je connais mes clientes. Je connais tout en fait. Je sais tout. Et en plus de ça, j'ai une expérience de coiffeuse. Et en plus de ça, j'ai une expérience en clientèle. Et en plus de ça, j'ai eu des employés. Et en plus de ça, j'ai développé. Alors comment... Putain mais de ta mère, pardon. Excusez-moi. Pardon. Mais comment tu peux... développer des salons, développer des salons alors que tu n'as jamais eu d'employé. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Ça aussi, ça me bute. Ça aussi, ça me fait chier. Ça aussi, ça me gonfle. Ça aussi, ça me casse les pieds. Ah mais j'ai été manager. Mais ta gueule en fait. Manager, ce n'est pas employeur. manager c'est pas employeur parce que si tu as un problème avec les employés tu te fie à l'employeur donc manager c'est pas employé je le dis au cas où d'accord avoir eu un salon c'est pas non plus être compétent ouais je me fâche parce qu'à un moment donné ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me fatigue ça me refatigue ça me trifatigue et ça me trufatigue Ça me fatigue, ça me fatigue de sa mère. Parce que je commence à en avoir marre des gens qui ont de l'ambition, mais qui se font avoir dans des paroles, dans des choses de l'utopie, qui n'existent pas, ça n'existe pas. Je reviens sur ce que j'ai dit, ça n'existe pas de travailler moins et de gagner plus. Non, en fait, pour pouvoir avoir une entreprise qui fonctionne, il faut mettre des stratégies en place. Alors, tu vas travailler moins, peut-être derrière la chaise, mais tu vas travailler plus sur ta structure. Tu vois ce que je veux dire ? Donc, arrêtez de croire des vendeurs de salades, des mangeuses de carottes, des trifouilleurs de persil. D'accord ? Commencez maintenant et d'ores et déjà. à comprendre ce que c'est qu'un business. Un business, c'est de l'échange entre deux personnes. Je te rends un service, tu me payes. D'accord ? Pour qu'on se fasse payer, il faut que ce service soit impeccable. Je te rends un service impeccable, tu me payes à ma juste valeur. D'accord ? C'est pas... Et puis surtout, pardon, je te donne un service impeccable, toi qui es prête à recevoir un service impeccable, et tu me payes à ma juste valeur parce que tu sais ce que ça vaut. Ça, c'est plutôt ça, en fait. Vous voyez ce que je veux dire ? Si, par contre, tu donnes du caviar à des cochons, je le dirai aussi souvent que possible, c'est-à-dire que tu recrutes une clientèle qui ne sait même pas ce que c'est que de la valeur de la purée de pommes de terre faite maison, mais qui prend de la purée en sachet, tu vois, c'est un exemple, OK ? Moi aussi, j'adore la purée en sachet. Ma bouffe préférée, c'est purée saucisse ou purée jambon. D'accord ? Ouais, je s'étais encore traumatisée par le jambon de la semaine dernière. Mais en même temps, j'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais manger que du jambon. Jambon pain, jambon purée, jambon pâte. J'adore le jambon. Je kiffe le jambon. Je pourrais mourir pour du jambon. Non, c'est pas vrai. Donc, pardon. Et de la saucisse, je vous en parle même pas. Saucisse de Strasbourg, saucisse de Toulouse, saucisse de Francfort, saucisse choucroute. Ouh ! Ouh ! Tout ça, j'adore. J'adore. Celles qui ont les idées mal placées, je vous emmerde. Donc, euh... Tout ça pour dire que si tu donnes du caviar à des cochons, si tu donnes du service haut de gamme à des gens qui ne sont pas du tout sensibilisés au service haut de gamme, bien sûr qu'on va te dire « Oui, mais c'est parce que c'est cher ! » Oui, mais par contre, si tu donnes du bon service à des bons clients, que tu justifies ton prix avec de la qualité, là, les clients vont rester. Et c'est ça que je travaille, bande de torches. C'est ça la méthode Lyon. Et plus que ça, bien sûr, évidemment. Sinon, je ne ferai pas des programmes sur six mois. Six mois. Six mois, mois, mois, mois, mois. D'accord ? Je ne ferai pas ça. Je laisserai les escrocs faire. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc arrêtez de croire n'importe qui. Arrêtez de croire des gens qui n'ont pas d'expérience. Arrêtez de croire des gens qui ont fait ce travail juste pour se blinder les poches et qui aujourd'hui font de la merde. D'accord ? Ça m'évitera de passer mes samedis après-midi. à ressasser ça et à me dire « putain, mais c'est pas possible un truc pareil » . Et donc, de me retrouver confrontée à des histoires rocambolesques qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que vous comprenez le deal là ? D'accord ? Par contre, si tu sais que ton entreprise peut faire mieux, peut performer, peut se développer, doit se développer, tu veux faire... plus de chiffre d'affaires, plus de cash, plus de bénéfices, plus de trésorerie, dis-toi à quelqu'un qui l'a déjà fait. Eh oui ! Parce que, je veux dire, c'est pas compliqué quand même. Moi, si j'ai besoin, je sais pas, admettons, quand je vais au restaurant, tu vois, je choisis quelqu'un qui est dans le métier de la restauration, tu vois, et qui travaille bien, ou s'est prouvé. Je ne me fie pas à quelqu'un qui s'est improvisé, genre Robert Garagiste, qui a décidé qu'en fait, pour lui, il en avait ras le cul de tourner des boulons, et qui s'est dit, je vais aller cuire des steaks, c'est mieux. Vous voyez ce que je veux dire ? Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Arrêtez avec ça. Ça suffit maintenant. Ça suffit maintenant. C'est assez. C'est assez, en fait, de ne pas se servir de sa cervelle. Ça suffit. Stop. Alors, grand bien me fasse, on n'est pas nombreux dans le domaine. On n'est pas très nombreux dans le domaine. Ça va se développer de plus en plus. Je ne dis pas que je suis la meilleure. Loin, loin, loin, loin de là. Absolument pas. Mais quand même, je serais tentée de vous dire que je sais travailler. J'ai été... reconnu pour mon travail, que je sais développer du chiffre d'affaires, que je sais faire des lancements, que ça s'est prouvé avec Cancun en fait, je serais tentée de vous dire, et que je l'enseigne du coup. Et que je suis formée pour ça, je suis formée en développement aussi, en développement personnel. Donc, mes petites courgettes, là-dessus, je vais vous laisser. Le temps est écoulé. C'est passé vite quand même. C'est passé trop vite. Je ne sais pas comment vous le prenez quand vous l'écoutez, si ça vous fait chier de l'écouter, si vous mettez avance rapide ou pas. Une chose est sûre, c'est que si vous l'avez écouté jusqu'au bout, mettez-moi en story. Ça va me faire plaisir de vous partager vos stories, comme quoi vous écoutez vraiment le podcast, que vous n'êtes pas des touristes. Donc voilà, et puis là-dessus, je vous souhaite une bonne fin de journée et on se dit à la semaine prochaine. Bye ! Ah oui, PS, PS, faites appel à votre jugement s'il vous plaît, d'accord ? Allez, on se retrouve la semaine prochaine. Bye !

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté Ne me cassez pas le peigne ! Envie de découvrir encore plus des coulisses sur le business de la coiffure ? Abonne-toi pour ne louper aucun épisode. Partage et commente pour réagir. Rendez-vous très vite pour un nouvel épisode, toujours présenté par Julie Véron.

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