Speaker #0ne cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du décor des salons de toiture présenté par julie verron et louis nous tout le monde j'espère que vous allez bien que vous êtes en forme je me mets la tête collée sur l'ordinateur je vais sûrement peut-être aller m'acheter des écouteurs cet après midi parce que j'en ai un peu marre de ce système à la bist la bisto des nass si vous êtes du sud vous savez ce que c'est si vous n'êtes pas du sud parfait Donc voilà. Du coup, j'enregistre ce podcast, pour être honnête avec vous. Il y avait plusieurs sujets qui me trottaient dans la tête. J'ai fait une sortie, j'ai fait une belle sortie. J'ai été félicité et ça a fait aussi du tri dans mon Insta. J'ai fait une belle sortie par rapport à quelque chose qui s'est présenté devant moi. C'était cadeau, c'était gratuit, c'était comme ça. Je ne sais pas si j'ai envie de polémiquer là-dessus, parce que j'ai déjà polémiqué la semaine dernière. Mais bon, je me suis dit, on va peut-être faire un petit rappel. Et ensuite, un deuxième sujet, le fait de se choisir. Puis je vais vous dire quelle est la chose que je déteste le plus entendre dans une clôture de conversation. Si je peux vous amener à avoir ce genre de réflexion, ça va me faire plaisir vraiment. Parce que il y a... un mot, une phrase, une tournure de phrase qui me gonfle. En fait, deux, mais une en particulier et je vais vous révéler donc ce que c'est. Donc, il y a eu une polémique cette semaine avec... Enfin, une polémique. Une polémique qui n'en est pas une parce qu'honnêtement, c'est vite vu et vite réglé. J'ai envie de vous dire. Je vais vous expliquer un peu mon point de vue là-dessus. Et puis ensuite, on débattra sur le développement personnel si ça vous tente. Si ça vous tente, hier je suis allée chez le coiffeur, j'ai fait un petit réel là-dessus, c'est pour ça qu'il est 11h28, j'ai un petit peu de retard dans l'enregistrement du podcast, mais le montage de mon réel m'a pris un peu plus de temps que d'habitude, j'ai voulu faire quelque chose de propre. Donc, voilà. Il y a un mouvement qui s'appelle débranche ton TPE, moi j'ai envie de te dire rebranche ton cerveau, parce qu'honnêtement... c'est quelque chose qui est pour moi, selon moi, une merde totale. Pour être tout à fait honnête, c'est épouvantable. Tu ne peux pas en fait dire au coiffeur de faire ça. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas en fait. Si tu as envie de faire quelque chose, fais-le pour toi. Honnêtement, j'ai envie de vous dire, puis ça va être le sujet de la deuxième partie, si vous avez envie de faire quelque chose, faites-le pour vous. N'essayez pas d'amener les gens dans votre dinguerie. N'essayez pas de faire penser aux autres que machin truc. Si vous voulez faire quelque chose, faites-le pour vous seul, tout seul. Si ensuite ça fonctionne pour vous, c'est ce que moi j'ai fait avec la méthode, à ce moment-là, vous pouvez le dupliquer. Ça ne fonctionne pas, ta gueule, en fait, clairement. Parce que là, en fait, avec le mouvement débranche ton TPE, tu es en train de faire croire au coiffeur que c'est la solution qui va clairement leur... permettre de générer du chiffre d'affaires, d'avoir plus de revenus, etc. Parce que tu veux faire un contre-pied à l'État, à l'UNEC, machin, truc, sauf qu'en fait, ce genre d'organisme, en fait, ils sont en train de regarder ça et de se dire, mais regarde-moi les, c'est une espèce de mongole. Excusez-moi, mais c'est... C'est... Sachant que pour moi, les mongoles, c'est des gens qui habitent en Asie du Sud-Est. Donc, voilà pour vous dire... Parce qu'aujourd'hui, on ne peut plus rien dire. J'ai même, en fait, je m'excuse, vous appréciez ou vous appréciez pas, je suis vraiment désolée, ça fait partie de... Ce podcast, en fait, c'est mon terrain de pensée, en fait. Donc, on a peur de tout dire aujourd'hui. On a peur de dire bonjour monsieur, merci madame. On a peur de dire que le chien est noir. on a peur de dire, enfin voilà, tout ça pour vous dire ça je me suis fait ramasser aussi cette semaine parce que pour moi en fait le racisme en fait il n'y a pas de sujet c'est à dire qu'en fait celui qui est raciste pour moi c'est le pont du village et que le discours en fait d'appartenir à un certain ceci ou cela pour moi il n'y a pas de sujet Je vous le dis très sincèrement, moi pour moi, dans ma famille mondiale, vu que j'ai habité partout dans le monde, pour moi il n'y a pas de sujet, il n'y a pas quelqu'un qui est plus noir ou plus grand ou plus gros ou plus petit ou plus machin que quelqu'un d'autre. Et quand on me dit, ouais mais toi t'as pas, tu sais pas, tu connais pas, j'ai été victime de racisme au Québec, je pensais pas que c'était possible. Je me suis fait dire trois fois retour dans ton pays, je pensais pas que c'était possible, sachant qu'on parle la même langue et qu'on a le... Je veux dire qu'on a le même morphotype, je serais tentée de vous dire. Je ne pensais pas que c'était possible. Donc, en fait, j'ai envie de vous dire, c'est comme crier au loup tout le temps. Au bout d'un moment, en fait, tu cries au loup, tu cries au loup, tu cries au loup. Et à un moment donné, en fait, les gens, ils sont saoulés, ils ne t'entendent plus. Vous voyez ce que je veux dire Arrêtez avec ça, arrêtez avec ce truc-là. Oui, mais ça, j'ai parlé de ça vite fait, rapidement. Je vous fais un truc, puis vous approuvez, vous n'approuvez pas. Pour moi, le monde, en fait, il est coloré. Même quand je le dis, ça me fait vraiment, en fait, ça me ramène de l'émotion. Pour moi, le monde, il est coloré, c'est-à-dire qu'il y a de tout pour tout le monde. Il y a à boire et à manger pour tout le monde. Il y a une satisfaction pour tout le monde. Et pour moi, c'est comme ça. T'es hétéro, homo, machin, truc. J'en ai rien à foutre. T'es grand, t'es blanc, t'es... J'en ai rien à foutre. Pour moi, on est des êtres humains et c'est tout. Et je me suis faite envoyer chier parce que... une certaine marque a dit oui mais ça c'est des... ces produits sont faits pour les noirs je suis désolée je suis frisée et je suis pas noire ou à moins que je le sache pas et j'ai quand même envie de consommer des produits comme ça et je ne reconnais pas en fait dans ce discours là en fait qui se dit que c'est une boîte de noirs si ou la homie moi pour moi ça n'existe pas et quand j'entends ça en fait moi qui suis pas concernée je me dis mais en fait voilà ça me fait chier ça me gonfle voilà ça me gonfle parce que pour moi, en fait, il n'y a pas de sujet. Voilà, t'es frisé, t'es blanc, t'es frisé, t'es noir, t'as tel soin, tel machin, tel truc, ça me fait chier d'entendre ça, ça me gonfle. Aujourd'hui, en 2025, de se faire dire ça. Et quand j'ai dit, j'ai écrit un commentaire en disant j'en ai marre, en fait, de ce discours black and white, il me semblait qu'en fait, le sujet était clos et que c'était réglé, mais en fait, ça ne l'est pas. Autant d'un côté où t'as le blanc, en fait, de campagne qui va dire oui mais elle est noire, et je pense à la Miss France notamment, et toi Robert en fait tu nous casses les couilles, parce qu'au final, au final en fait, tu connais même pas, t'as jamais voyagé, t'es jamais sorti de ta campagne, et t'es capable en fait aujourd'hui d'avoir un discours raciste nauséabond qui me fait chier, et t'as les blacks en fait qui sont toujours en train de se... Bref, en tout cas je rentre pas dans ce débat là, j'ai pas envie, c'est pas mon truc, j'ai pas envie de ça. Ça ne m'intéresse pas. Mais les discours sur la couleur de peau, ça me casse les couilles. Le discours pour catégoriser les gens, ça me fait chier. Le discours pour dire que lui, il est trop ci ou il est trop là. Quand je vois des commentaires de gars qui disent Ah, mais en parlant de Nelly Furtado qui a pris du poids bref, qui dit Ah, mais ça va, elle a bien bouffé la cantine, mais en fait, toi, tu n'as pas mangé du saumon. En fait, tu n'es pas le saumon le plus irrigué de la rivière. Et à mon avis, en fait, l'huile de morue, elle ne t'a pas trop irrigué le cerveau. Donc vous voyez ce que je veux dire Ça c'est le genre de truc, le genre de commentaire qui me gonfle. Ça c'était une parenthèse, une aparté. Excusez-moi, moi je suis une citoyenne du monde, j'ai immigré deux fois. Je suis née en France, immigrée au Québec et au Mexique. J'adorerais visiter l'Afrique, j'adorerais visiter le Maghreb, j'adore la culture, j'adore les gens, j'adore la culture des autres. Moi pour moi si quelqu'un a envie de se mettre un voile sur la tête, c'est bien son choix et je l'accepte et je la prouve si c'est vraiment ce qu'elle veut. Je m'en fous, c'est pas mon problème. Moi, ce que je veux, c'est que les gens soient heureux, qu'ils vivent ensemble et qu'on vive tous ensemble et qu'on soit enfin en train d'arrêter ce discours de racisme parce que finalement, en fait, quand on crève, on est tous le même dans le cercueil, c'est-à-dire un tas d'os. Qu'on soit gros, petit, peu importe, noir, arabe, machin, truc, on s'en branle. Voilà. Et ça, vraiment, c'est ce que j'ai envie de dire parce que pour moi, ça commence à me faire chier. Voilà. Et quand je vois les extrêmes, les machins, les trucs, je peux vous dire qu'ici, au Mexique, ça n'existe pas. Ça n'existe pas, ce discours de merde. Ça n'existe pas du tout. Donc, à un moment donné, il faut arrêter avec ça. Il faut arrêter avec cette connerie parce que ça commence à me gonfler. Et moi, quand je vois deux sociétés, en fait, qui se ressemblent, deux compagnies qui se ressemblent, moi, j'ai Rihanna d'un côté qui a créé sa marque pour pouvoir créer du fond de teint pour tout le monde, du très, très blanc au très, très noir, pour englober tout le monde de la... des produits pour les cheveux, au frisé, au red, au machin. Donc, il fait de l'inclusion totale. Voilà. Et d'un côté, de l'autre côté, il ne parle pas du tout, en fait, du black power et compagnie. Et de l'autre côté, il y a les secrets de Loli où là, en fait, tu te sens toi en tant que blanche, machin, complètement exclue. Je suis désolée de le dire, mais quand je vois le discours en ce moment, ça me casse les couilles. Voilà. Alors oui, peut-être que je n'ai pas connu la discrimination. Oui, peut-être que. Mais je ne pense pas que ce soit la meilleure façon, en fait, de gérer le truc. Voilà. Donc ça c'est mon point de vue, je vous prie de m'excuser, c'était pas le début, c'était pas le but, c'était pas le début, mais des fois j'ai comme des lumières comme ça, j'ai un cerveau hyperactif, j'ai comme des lumières et donc des fois j'ai envie de parler de trucs, parce que ça me touche. Et très sincèrement, ce sujet me touche beaucoup parce qu'en fait, je pense qu'en créant des catégories, en créant des choses, en voulant se proclamer faisant partie d'eux, mais au final, on éloigne les gens les uns des autres parce qu'on ne se sent pas concerné par tel ou tel truc. Excusez-moi, j'ai beaucoup d'émotions de parler de ça, je ne sais pas pourquoi, parce qu'en fait, pour moi, ça coule de source qu'on est tous pareils. quelqu'un qui pense pas qu'on est tous pareils mais clairement en fait il a rien à faire là il a rien à faire sur cette terre dans ce monde parce qu'aujourd'hui le monde appartient à tout le monde on peut voyager on peut aller partout et je pense que la culture du voyage est extrêmement enrichissante et je vous conseille à tout le monde de voyager voilà donc donc ça c'est pour ça ensuite pour le truc de débranche ton tpe la bande de connards de nazes de blaireau à mon avis Ça, c'est des gens qui ont fait du business, en fait, au pays de Barbier-Kenne. Voilà, sans mauvais jeu de mots, évidemment, en pensant à se faire Kenne. Évidemment, pardon. Je vais vous parler aussi d'un sujet, pourquoi je suis hyper tendue et tout, mais je vais vous en parler après. Donc ça, pour vous dire que si tu es coiffeur, en fait, et que tu veux débrancher ton TPE, tu as tout de suite, en fait, besoin. de faire du business et de savoir comment ça se passe parce que la TVA est un impôt qui t'appartient pas, qui est imputable au consommateur, je l'ai déjà dit 150 fois. Que débrancher ton TPE, t'as qu'à le dire et écrire sur tous les toits, comme ça au moins les impôts vont venir te chercher, c'est parfait, magnifique, merveilleux. En fait, on savait que dans la coiffure on n'était pas des génies, mais alors là, on a vraiment affaire à des génies. Le génie de la lampe, on m'a dit frottez-le et il va sortir, sans mauvais jeu de mots là encore. Clairement, oui, excusez-moi parce que hier je suis allée chez le coiffeur. Là, je peux le dire parce que je sais que personne n'écoutera ce podcast à part les gens qui me connaissent. Je suis allée chez le coiffeur. J'ai vécu au Québec pendant 7 ans, d'accord Donc, je connais bien le bail, d'accord Et là, je vais dans un salon de coiffure à 100% mexicain, d'accord 100%, 100%, 100%, d'accord Avec seul... Seul le coiffeur qui me coiffait était brésilien, mais en tout cas rien à voir avec le Québec. Donc là je m'assois et là qu'est-ce que j'entends Une Québécoise. Super, rien à dire. Magnifique. Et là je me retourne puis j'entends un peu la conversation, tout ça malgré moi. malgré moi. Et là, en fait, j'entends le prénom. Donc, je regarde la personne et je me dis, à mon avis, selon moi, selon certains de mes critères, pour moi, est influenceuse, cette fille-là. Je ne la connaissais pas en tant qu'influenceuse, mais bon. Je me dis, je vais chercher sur les réseaux. Donc, je cherche son prénom, influenceuse au Québec. Pas manqué, effectivement. Selon certains de mes critères, elle est influenceuse. Voilà. Et donc... je cherche dans quoi et donc c'est une influenceuse qui vend ses charmes sur on les fans et ses pieds sur mime s'est créé compagnie donc là en fait moi je vous parle de ça je sais pas oui parce que je tombe sur ces réseaux et tout ça et donc je ris parce que elle se fait faire une une il prend une douche de saucisses de strasbourg et du coup ça m'a fait rire bref ça c'est un aparté pour ma dinguerie de journée d'hier qui a été pour moi je pense la journée où j'ai le rouge et le plus ri intérieurement dans ma tête pour ne pas avoir un faux rire parce que la douche de saucisse de Strasbourg pour de vrai ça m'a fait rire ensuite le fait que je me retrouve avec une avec une nana qui a un million de followers en fait sur les réseaux et et en fait je me suis rendu compte très sincèrement à ce moment là j'ai aucun préjugé rien du tout je m'en fous chacun fait ce qu'il veut et gagne sa vie comme il le souhaite et comme il le sent j'en ai j'ai aucun jugement par rapport à ça mais je me suis dit en fait En dehors de nos travails, de nos professions respectives, je ne sais pas si c'est une profession ou un truc bref, on se retrouve en fait dans des endroits où, en fait, si personne ne dit que personne est, c'est no name, voilà, on est tous low profile et tout. Sorti des réseaux, en fait, finalement, la vie est bien plus normale qu'on le pense. Donc voilà, c'était tout ça pour dire ça. Voilà, aucune attitude particulière, rien du tout. Donc, vraiment, voilà. la plus normale de la Terre, et donc du coup moi aussi la plus normale de la Terre, mais sauf que moi j'ai plein de millions d'abonnés sur les réseaux. Peut-être que je vais envisager de vendre mes pieds. Voilà. Donc ça, c'est pour ça. Donc si vous entendez quelque chose crier, c'est peut-être mon fils. Il faut quand même de l'avertir pour qu'il sache que j'enregistre quand même au cas où. Donc ça c'est pour les deux sujets. Je ne pourlimiterai pas plus sur des branches dont TPE, parce qu'honnêtement j'en ai déjà fait une story, j'ai déjà montré tout ça, j'ai déjà dit, j'ai déjà expliqué ce que j'en pensais, ça n'a aucun rapport. Je trouve que déjà on a des problèmes de crédibilité dans notre métier, si en plus de ça on s'en rajoute une couche. Voilà, par des actions imbéciles, on a déjà vu ça. Moi, j'ai trouvé que, et là encore, je ne me prie de m'excuser, ça ne reste que mon point de vue, mais j'ai trouvé que les gilets jaunes, ça n'avait pas été ouf en termes de mobilisation. Ça avait beaucoup plus foutu le bordel, foutu la rue et la ville et les gens et les commerces, sans dessus-dessous, plutôt que d'avoir apporté des solutions concrètes. J'aurais voulu qu'ils amènent des solutions concrètes, mais pour... pour de vrai bloquer des routes et bloquer des ronds-points, ça n'a jamais apporté de solution. Je suis vraiment désolée pour eux. C'est cool, c'est super. Ils ont essayé un truc, ils ont essayé quelque chose, mais au final, ça n'a pas levé. Donc voilà, mais ça a duré trop longtemps. Après, on nous a collé la Covid et tout. Donc on a bien vu que ce genre d'action dans un monde moderne d'aujourd'hui, ça ne sert à rien. La seule action... aujourd'hui qui fonctionne, c'est de s'en sortir de manière individuelle. C'est-à-dire de faire ses propres choix, d'aller dans ses propres actions, de créer son propre business, de faire les choses pour soi. Et ce n'est pas de l'égoïsme. C'est pour ça que je rebondis là-dessus. Ce n'est pas de l'égoïsme pour moi. Je veux dire, si vous voulez faire du bénévolat, vous pouvez aller le faire le dimanche après-midi. C'est parfait. Vous pouvez aller faire de l'humanitaire dans un autre pays ou dans votre propre pays. C'est parfait. J'en fais moi-même. Je donne énormément moi-même sans que ça ait besoin de s'afficher sur les réseaux sociaux. J'en ai pas besoin. Ça n'est pas nécessaire. Voilà. Si on veut faire des actions concrètes, des vraies actions. autant les faire pour que ça aille réellement dans la poche de la bonne personne. Parce que là, en fait, ce que vous êtes en train de faire, c'est que vous êtes en train de mettre le doigt sur notre métier. Vous êtes en train de mettre en lumière notre métier. Et le jour où ils vont réellement s'en préoccuper, ça va nous faire chier, ça va nous faire mal, ça va nous casser les couilles. Et vous n'aurez que vos yeux pour pleurer. Donc franchement, j'ai envie de vous dire, laissez-nous faire. On va le faire nous-mêmes. Voilà. On va s'en occuper nous-mêmes. Voilà. Et c'est tout. Je veux dire, je serais tentée de vous dire, si vous n'êtes pas d'accord, ne vous prenez pas d'abonnement avec l'UNEK ou machin. Créez votre propre groupement, comme moi j'ai fait, votre propre communauté. Vous faites vos choses et vous fermez votre gueule. Débranchez votre TPE, vous allez prendre un contrôle fiscal, vous allez prendre un contrôle URSAF. Vous allez avoir votre client qui va avoir vu ça sur les réseaux, machin, truc, qui ne peut pas s'en empêcher. Monique, elle ne peut pas s'empêcher, ta-ta-ta. Donc, qu'est-ce qu'elle va faire, Monique Elle va vous dénoncer. Vous serez dans la merde. Donc là, clairement, c'est un mauvais deal. Très mauvais deal. Ne le faites pas, dans le Dieu. Ne le faites pas. Ça ne va pas vous plaire, le concept. et les conséquences ne vont pas vous plaire. Et comme, en plus de ça, vous êtes des mauvais joueurs, parce que la plupart du temps, si tu fais ce genre de trucs, c'est que déjà, de base, tu joues mal. Tu ne sais pas jouer, tu n'as pas les règles. Tu veux tricher, déjà, de base. Tu veux acheter toutes les maisons du Monopoly sans passer par la casse-prison, blablabla. Bref. Excusez-moi si vous entendez le vendeur de jus de fruits. Voilà, donc il passe dans la rue avec son haut-parleur et sa bagnole. Je ne sais pas si vous l'entendez. Je ne sais pas si vous l'entendez. En tout cas, moi je l'entends. Il me perturbe. Écoutez-moi bien, Joseph. Salut. Donc il me perturbe. Donc tout ça pour dire que, clairement... faites les choses pour vous. On nous a rabâché qu'il ne fallait pas être égoïste, qu'il fallait être poli, qu'il fallait faire ci, qu'il fallait faire ça. Ça, c'était hier. Aujourd'hui, être centré sur soi, sur son business, sur ce qu'on fait, c'est essentiel pour le faire grandir et évoluer. En fait, le truc, c'est qu'avant, on prenait le problème à l'envers. Vous voyez ce que je veux dire On prenait un très grand cercle. Et au fur et à mesure, on rétrécissait ce cercle jusqu'à ce qu'on trouve une clientèle qui nous ressemble. D'accord Et qu'on soit, qu'on ait les moyennes d'eux, machin truc. Donc on parlait à tout le monde. D'accord Pour espérer avoir un noyau. Donc, ça veut dire que c'était très compliqué, déjà. Et que, forcément, ça ne marchait pas de ouf. D'accord On s'est installé n'importe où. On parlait à n'importe qui. On vendait n'importe quoi. On faisait de tout pour tout le monde. Et on a bien vu que cette stratégie, aujourd'hui, elle ne marche plus. D'accord Donc, qu'est-ce que ça veut dire Aujourd'hui, on a bien vu que c'était l'inverse. C'est-à-dire qu'on parle à un petit groupe de clients, on leur offre des services premium avec des produits de qualité, avec un service vraiment qui se démarque, et donc on fanatise sa clientèle. Ça, c'est réellement, en fait, le noyau aujourd'hui. Et ensuite, après, au fur et à mesure, on grandit son cercle. Vous voyez bien qu'on fait l'inverse de ce qui se faisait il y a quelques années, dans les années 2000, par exemple. D'accord Donc, ça, c'est important que vous le sachiez. Donc, pourquoi faire des actions collectives aujourd'hui en sachant clairement que ça ne fonctionne pas quand tu fais des actions fait l'action pour toi à moi j'ai décidé que fuck la merde j'ai envie de débrancher mon tpu j'en ai rien à foutre ok très bien alors on veut déjà voir comment ça s'est passé pour toi Johnny comment ça a marché tu vois et ensuite si jamais on voit que ça a marché on va le faire on va le faire. Voilà. On va le faire, il n'y a pas de problème. Mais, si on voit que ce n'est pas ouf, on va te laisser faire, on va te regarder. Mais ça, ce n'est pas de l'égoïsme, en fait. C'est de la survie. C'est de la survie, clairement. Par exemple, je te donne un exemple. Comment ça se passe aujourd'hui Je vois beaucoup qui crient à la copie et tout. Moi aussi, au début, j'ai crié à la copie et tout. Mais une idée quand elle sort, une idée quand elle sort. c'est que déjà quelqu'un a eu l'idée en même temps. C'est sûr. Et certain. Ça veut dire qu'il y a déjà quelqu'un qui a eu cette idée. Vous la sortez en même temps ou pas en même temps, mais en tout cas, bref. Ensuite, si quelqu'un te copie, OK, super. Qu'il y ait un marché, il faut qu'il y ait de la demande. Si la demande, en fait, elle existe, à un moment donné, sachant le nombre qu'on est, franchement, il va y avoir besoin de plusieurs personnes pour répondre à la demande. Et pour surtout faire en sorte en fait que chaque demande, puisqu'elles sont chacune différentes. Par exemple, je te donne un exemple, les vêtements. tout le monde ne va pas s'habiller de la même façon. Le coiffeur, tout le monde ne va pas se coiffer de la même façon. Les produits, tout le monde ne va pas utiliser les produits de la même marque, etc. Donc, il y a besoin d'y avoir un marché. Donc, s'il y a besoin d'y avoir un marché, il y a besoin d'avoir des gens qui répondent à ce marché-là. C'est ça, en fait, la concurrence pour moi. Donc, pourquoi C'est insurgé. de ça. Il y en a besoin. Donc ça, c'est pour ça. Je ne sais pas pourquoi, je ne me rappelle plus pourquoi j'allais là-dessus, mais en tout cas, bref, tout ça pour vous dire que, si ça y est, on a besoin, en fait, de se dire, moi, je vais regarder si ça fonctionne, puis si ça fonctionne, et c'est comme ça que ça marche aujourd'hui, il ne faut pas croire. Si ça fonctionne, on verra si on ne fait pas la même chose. en le modernisant, en faisant les choses un petit peu à ma sauce, avec mon identité et tout, mais je vais faire quelque chose de similaire. En coiffure, on le sait très bien. Le balayage. Combien il y en a de gens qui forment en balayage Énormément. Est-ce que c'est le même balayage Non. Est-ce que c'est la même personne Non plus. Donc, clairement, pourquoi ça nous pose un problème Bon. Donc là, quand on sait ça maintenant, quand on sait qu'on veut voir qu'est-ce qui fonctionne chez les uns et chez les autres, eh bien c'est parfait. Moi, je vais te regarder, débrancher ton TPE, puis je vais attendre. Puis ça marche. On va tous le faire. Si ça ne marche pas, on te laisse dans ta merde. Est-ce que c'est d'égoïsme Non. C'est du... du jugement. Voilà. Donc pourquoi je parle de ça Je vais aller vite fait là-dessus, mais je rebondis en fait sur ce que je voulais vous présenter. J'ai eu un... J'ai fait quelque chose de très fort aujourd'hui que je pense que jamais j'aurais pu le faire avant. Jamais, jamais, jamais. Jamais. J'ai pris une décision extrêmement solide et... Je pensais jamais que j'aurais pu prendre une décision pareille. Et pourtant, on n'est ni en conflit, on s'adore, ça va bien, je n'ai aucun problème avec ma famille, rien du tout. Mais j'ai décidé... pour des raisons logistiques de ne pas aller au mariage de mon frère je lui ai annoncé aujourd'hui et là vous dites oh mais c'est dégueulasse mais c'est pas gentil etc je vous mets le contexte un peu avec mon frère on a 12 ans d'écart donc lui il a 12 ans de moins d'accord moi je me suis mariée ça va faire 20 ans cet été et Et lui, donc, il se marie cette année. Moi, je me suis mariée en 2005. Lui, il se marie cette année en 2025. Donc, pile 20 ans après moi. Et en fait, c'est pas pour me vanter, mais j'ai tellement de recul aujourd'hui. Mais tellement de recul aujourd'hui. Sur tellement de choses. Que, en fait, je me dis, moi, par exemple, pour mon mariage, je me suis mariée, j'avais 20 ans, 21 ans. au moment du mariage, moi j'aurais fait ça simple. Tu vois, j'aurais fait ça ultra simple. J'aurais fait ça avec deux, trois personnes. J'aurais fait ça simple. Tu vois, même au bord d'une plage, ou peu importe. Mes témoins, mes parents, c'est tout. Tu vois ce que je veux dire Parce que je sais, je sais, je le sais. Je le sais tellement. Que tu vois des gens que tu n'as jamais vus. Que tu vois des gens que tu ne verras plus jamais. Que tu vois des gens que ça fait longtemps que tu n'as pas vus. Que tu dois revenir en fait sur les années en arrière. Que tu dois te forcer à écouter de la musique qui est trop forte. Que tu dois te forcer à écouter des trucs que tu n'as pas envie. À te mêler à des gens avec qui tu es mal à l'aise. Je n'ai pas envie de ça. Je n'ai pas envie. Je préfère faire un beau cadeau. réellement faire un beau geste qui se souviendront plutôt que de leur offrir une présence en fait de moi qui n'est pas ouf n'est pas à l'aise je suis quelqu'un qui suis une trame à l'aise dans la foule donc je me dis Et là, c'est là que je vais revenir sur mes deux phrases. Je ne vous ai pas oublié, ne vous inquiétez pas. Mais c'est là que je me dis, en fait, c'est quoi être égoïste au final Être égoïste, en fait, c'est aller quelque part où tu n'as pas envie d'être. Être à un endroit où tu n'as pas envie d'aller. Faire semblant d'être bien alors qu'en fait, finalement, ce n'est pas là où tu as envie d'être. Ou est-ce que c'est se choisir Est-ce que c'est se choisir Et plutôt que de faire quelque chose que tu n'as pas envie de faire, mais de mettre en fait extrêmement, énormément d'amour et de... On va dire... je ne sais pas, le mot ne me vient pas, mais énormément de cœur dans quelque chose que tu as envie de faire. C'est-à-dire, moi, j'ai envie de leur faire un beau cadeau, j'ai envie de vraiment leur offrir quelque chose de bien, mais je n'ai pas envie d'être à un endroit où je n'ai pas envie d'aller. Parce qu'en plus de ça, moi, me déplacer, c'est facilement 2000 euros. Juste me déplacer pour aller en France, pour aller à un mariage. En plus de ça... Tu ne peux pas y aller juste pour une journée. Il faut en plus que tu fasses facilement 3-4 jours. C'est la masterclass la semaine d'après. Donc, il se marierait le 31 octobre. La masterclass, c'est le 8. Donc, une semaine avant. Je ne peux pas. Clairement, je ne peux pas. Je ne peux pas. Mon travail et mon engagement est bien plus important aujourd'hui que toute autre chose. Alors vous allez me dire, oui, mais c'est des choses qui ne reviendront pas. J'ai vécu bien des choses qui ne reviendront jamais. et je n'ai aucune amertume de les avoir vécu seul voilà et ça n'a rien à voir avec eux avec qui avec qu'est ce c'est juste que Je ne m'attache pas en fait à certaines choses comme ça mais je m'attache à vraiment réellement je suis dans l'accomplissement en ce moment et pour moi c'est important et je sais que c'est quelque chose que je regretterai pas je reverrai les photos les films et tout je dirai ah ouais c'est bien c'est bien et tout je regretterai pas cette décision je le sais une donc ça me en fait ce qui m'émeut aujourd'hui c'est d'avoir le courage je pense de me choisir et de choisir ce truc là de me dire j'ai envie d'être une bonne personne pour eux c'est à dire j'ai envie de leur faire un beau cadeau et d'être d'être vraiment spectatrice du truc et voilà de peut-être même passer un moment avec eux bref plutôt que de d'être là de ne pas de ne pas aimer ce moment là où de l'aimé mais d'être étriqué avec du monde toi tu te mets là, toi tu fais ça, on écoute le discours de machin, hop, hop, asseyez-vous là, hop, faites ça, hop, hop, les photos, hop, hop, machin, regarde, on prend une photo, machin, je, horreur de ça, j'ai horreur de ça, horreur de ça, et je peux vous dire très sincèrement, c'est quelque chose que j'ai détesté dans mon mariage, c'est ça, c'est-à-dire, Devoir inviter des gens que tu ne reverras plus Devoir supporter que ma grand-mère ait trouvé Que ma grand-mère paternelle avec qui je n'avais pas une super relation Mais je l'ai invitée pour mon père D'avoir à accepter Qu'elle me dise que la musique est trop forte Que si, que là, que le repas, que machin Que si, que mi, que là Bref, de ne pas voir finalement les gens Parce que ça va tellement vite cette journée Tu profites de rien Mon frère je ne le verrai pas et je le sais Ma belle-sœur je ne la verrai pas et je le sais pertinemment que je les verrai pas ou en coup de vent ou machin parce qu'ils doivent être un peu avec un tel un peu avec un tel un peu avec un tel on profite jamais de cette journée là très sincèrement elle est elle passe vite et elle est pourrie pour être tout à fait honnête ils la kifferont pas ou alors s'il la kiffe et qui feront des morceaux mais pas la journée dans son intégralité ils ont des enfants des petits machin c'est une catastrophe moi je vous assure à refaire je ferai quelque chose d'ultra intime mais pas ça passe ça finit que c'est gros ça finit que c'est grand ça finit que c'est machin voilà donc j'ai choisi de ne pas y aller voilà j'ai choisi de ne pas y aller j'ai choisi de me choisir donc voilà je sais pas qu'est ce que vous auriez fait à ma place voilà Mais je me sens extrêmement à l'aise avec ce choix. Je me sens extrêmement à l'aise avec le fait que j'ai plus envie de subir. J'ai plus envie de subir, en fait. J'ai plus envie de m'infliger des choses que je n'aime pas. J'ai plus envie de m'infliger des choses que je n'ai pas envie. Je n'ai plus envie, en fait, de subir. C'est clair. C'est clair et net. Il y a des fois où j'ai subi des trucs. notamment un voyage où je me faisais une joie d'aller et j'ai subi le voyage alors qu'en fait Je me faisais une joie d'y aller. Et en fait, je ne suis pas partie avec les bonnes personnes. Ça a été un calvaire pendant une semaine. Et pourtant, j'ai kiffé ce voyage. J'ai kiffé le fait d'être là, mais pas avec les bonnes personnes. Je suis partie avec une amie, qui aujourd'hui, ce n'est plus une amie. Et ça a été dur pour moi, parce que voilà. Et aujourd'hui, on n'a plus de contact, vraiment. Et je trouve ça dommage. Parce que je trouve que ça a brisé quelque chose. Et j'ai trouvé ça vraiment dommage. Et je n'ai pas kiffé. Je n'ai pas kiffé du tout. Je n'ai vraiment pas kiffé. Et ça m'a vraiment fait chier. Et je n'ai pas honte de le dire. Donc, voilà. Et donc, je vais conclure avec ça. Choisissez-vous. Choisissez-vous, c'est important. On fait des choses parce qu'on doit, par obligation, par plein de choses. Mais moi, en fait, je n'ai plus envie de m'obliger à faire des choses. Plus jamais envie de m'obliger à faire des choses. Je ne veux pas m'obliger à faire des choses. Je veux vivre parce que je sais que la vie est tellement courte. tellement courte que je n'ai pas envie de m'obliger à faire des choses. J'ai envie de faire des choses qui me plaisent. J'ai envie de rester avec mes enfants. J'ai envie de faire des choses pour ma carrière. J'ai envie de faire des choses qui me font vibrer. Et je n'ai pas envie de m'obliger à faire des choses. Et il y a une phrase, deux phrases. En tout cas. Une chose qu'on me dit souvent, et à chaque fois j'ai envie de reprendre la personne, et je ne le fais pas parce qu'on dirait que c'est une phrase bateau. Quand quelqu'un finit une phrase en fait en te disant, bon, mais bon courage, en fait ne me souhaite pas bon courage. Parce que moi en fait, je n'ai pas besoin de courage pour vivre ma vie. Je vis ma vie clairement dans le sens où j'ai envie de la mener. Mais je n'ai pas besoin de courage. Tu peux dire et finir ta phrase en disant amuse-toi, enjoy. Moi, je dis souvent ça. Allez, salut, enjoy. Amuse-toi, enjoy yourself. Amuse-toi, enjoy. Amuse-toi, profite. Sois à l'aise, fais les choses qui te plaisent. Ne va pas travailler le matin en étant avec la boue au ventre ou quoi que ce soit. Ne va pas à une invitation où tu n'as pas envie d'aller. Ne fais pas les choses qui te freinent. Enjoy. Ça, c'est vraiment quelque chose d'important. Et la deuxième, elle ne me vient pas. Un bon courage. Ça, c'est quelque chose qui me frappe à chaque fois qu'on me dit Allez, un bon courage Mais courage de quoi en fait Si tu le choisis, que tu aies à l'aise, que tu aies aligné, que tu te sens bien, que tu aies à l'aise dans tes baskets, tu n'as pas besoin de courage. Tu n'as pas besoin de courage en fait. Tu as besoin de vivre. Tu as besoin de vivre. Mais arrête de me dire bon courage. Bon courage pour moi, c'est la phrase des faibles. C'est la phrase des gens qui subissent. C'est la phrase des gens qui sont éteints. Il n'y a pas besoin de courage pour vivre. Mais il y a besoin de vie pour continuer. Donc, enjoy yourself. Amuse-toi. Amuse-toi chaque jour. Amuse-toi chaque jour. Mais arrête de subir. Voilà, ça c'est quelque chose qui est vraiment, qui m'interpelle vraiment. Et la deuxième, je ne m'en souviens plus. J'ai un blanc de mémoire, mais celle-là, ça me tenait vraiment à cœur. Bon courage. Je ne veux plus jamais que quelqu'un m'adresse ce mot-là. Parce que je n'ai pas besoin de courage. Mon courage, il est inné. C'est parce que j'ai envie de vivre que je déploie toutes mes forces pour arriver à mes objectifs. Mais ce n'est certainement pas parce que j'ai du courage. J'ai de la vie. J'ai envie de vivre pleinement, en fait. Toute ma vie. Tout. Dans son intégralité. Mais jamais j'aurai besoin de courage. Voilà. Parce que le courage, il coule dans mes veines déjà de base. Voilà. Donc si j'ai mon blanc de mémoire qui revient, je vous le dirai, quelles sont les deux phrases. Mais ça, c'était vraiment la best. C'était vraiment ce que je voulais. Ça, c'était vraiment en fait ce que je voulais vous transmettre. Si vous aimez la vie en fait, si vous aimez votre vie, le courage en fait, c'est inutile. Parce que c'est la vie que vous menez qui vous donne toute la force nécessaire pour réussir. Voilà. Donc, moi je dis force. Vraiment, force à toi. C'est vraiment. Que tu déploies le maximum de tes forces pour que tu arrives à ton objectif. Alors là-dessus, je vous laisse. Je vous remercie et je vous souhaite une bonne fin de journée. Et on se retrouve la semaine prochaine.