Speaker #0ne cassez pas le peigne le podcast qui vous dit tout sur l'envers du dĂ©cor des salons de toiture prĂ©sentĂ© par julie verron et louis nous tout le monde j'espĂšre que vous allez bien que vous ĂȘtes en forme je me mets la tĂȘte collĂ©e sur l'ordinateur je vais sĂ»rement peut-ĂȘtre aller m'acheter des Ă©couteurs cet aprĂšs midi parce que j'en ai un peu marre de ce systĂšme Ă la bist la bisto des nass si vous ĂȘtes du sud vous savez ce que c'est si vous n'ĂȘtes pas du sud parfait Donc voilĂ . Du coup, j'enregistre ce podcast, pour ĂȘtre honnĂȘte avec vous. Il y avait plusieurs sujets qui me trottaient dans la tĂȘte. J'ai fait une sortie, j'ai fait une belle sortie. J'ai Ă©tĂ© fĂ©licitĂ© et ça a fait aussi du tri dans mon Insta. J'ai fait une belle sortie par rapport Ă quelque chose qui s'est prĂ©sentĂ© devant moi. C'Ă©tait cadeau, c'Ă©tait gratuit, c'Ă©tait comme ça. Je ne sais pas si j'ai envie de polĂ©miquer lĂ -dessus, parce que j'ai dĂ©jĂ polĂ©miquĂ© la semaine derniĂšre. Mais bon, je me suis dit, on va peut-ĂȘtre faire un petit rappel. Et ensuite, un deuxiĂšme sujet, le fait de se choisir. Puis je vais vous dire quelle est la chose que je dĂ©teste le plus entendre dans une clĂŽture de conversation. Si je peux vous amener Ă avoir ce genre de rĂ©flexion, ça va me faire plaisir vraiment. Parce que il y a... un mot, une phrase, une tournure de phrase qui me gonfle. En fait, deux, mais une en particulier et je vais vous rĂ©vĂ©ler donc ce que c'est. Donc, il y a eu une polĂ©mique cette semaine avec... Enfin, une polĂ©mique. Une polĂ©mique qui n'en est pas une parce qu'honnĂȘtement, c'est vite vu et vite rĂ©glĂ©. J'ai envie de vous dire. Je vais vous expliquer un peu mon point de vue lĂ -dessus. Et puis ensuite, on dĂ©battra sur le dĂ©veloppement personnel si ça vous tente. Si ça vous tente, hier je suis allĂ©e chez le coiffeur, j'ai fait un petit rĂ©el lĂ -dessus, c'est pour ça qu'il est 11h28, j'ai un petit peu de retard dans l'enregistrement du podcast, mais le montage de mon rĂ©el m'a pris un peu plus de temps que d'habitude, j'ai voulu faire quelque chose de propre. Donc, voilĂ . Il y a un mouvement qui s'appelle dĂ©branche ton TPE, moi j'ai envie de te dire rebranche ton cerveau, parce qu'honnĂȘtement... c'est quelque chose qui est pour moi, selon moi, une merde totale. Pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte, c'est Ă©pouvantable. Tu ne peux pas en fait dire au coiffeur de faire ça. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas en fait. Si tu as envie de faire quelque chose, fais-le pour toi. HonnĂȘtement, j'ai envie de vous dire, puis ça va ĂȘtre le sujet de la deuxiĂšme partie, si vous avez envie de faire quelque chose, faites-le pour vous. N'essayez pas d'amener les gens dans votre dinguerie. N'essayez pas de faire penser aux autres que machin truc. Si vous voulez faire quelque chose, faites-le pour vous seul, tout seul. Si ensuite ça fonctionne pour vous, c'est ce que moi j'ai fait avec la mĂ©thode, Ă ce moment-lĂ , vous pouvez le dupliquer. Ăa ne fonctionne pas, ta gueule, en fait, clairement. Parce que lĂ , en fait, avec le mouvement dĂ©branche ton TPE, tu es en train de faire croire au coiffeur que c'est la solution qui va clairement leur... permettre de gĂ©nĂ©rer du chiffre d'affaires, d'avoir plus de revenus, etc. Parce que tu veux faire un contre-pied Ă l'Ătat, Ă l'UNEC, machin, truc, sauf qu'en fait, ce genre d'organisme, en fait, ils sont en train de regarder ça et de se dire, mais regarde-moi les, c'est une espĂšce de mongole. Excusez-moi, mais c'est... C'est... Sachant que pour moi, les mongoles, c'est des gens qui habitent en Asie du Sud-Est. Donc, voilĂ pour vous dire... Parce qu'aujourd'hui, on ne peut plus rien dire. J'ai mĂȘme, en fait, je m'excuse, vous apprĂ©ciez ou vous apprĂ©ciez pas, je suis vraiment dĂ©solĂ©e, ça fait partie de... Ce podcast, en fait, c'est mon terrain de pensĂ©e, en fait. Donc, on a peur de tout dire aujourd'hui. On a peur de dire bonjour monsieur, merci madame. On a peur de dire que le chien est noir. on a peur de dire, enfin voilĂ , tout ça pour vous dire ça je me suis fait ramasser aussi cette semaine parce que pour moi en fait le racisme en fait il n'y a pas de sujet c'est Ă dire qu'en fait celui qui est raciste pour moi c'est le pont du village et que le discours en fait d'appartenir Ă un certain ceci ou cela pour moi il n'y a pas de sujet Je vous le dis trĂšs sincĂšrement, moi pour moi, dans ma famille mondiale, vu que j'ai habitĂ© partout dans le monde, pour moi il n'y a pas de sujet, il n'y a pas quelqu'un qui est plus noir ou plus grand ou plus gros ou plus petit ou plus machin que quelqu'un d'autre. Et quand on me dit, ouais mais toi t'as pas, tu sais pas, tu connais pas, j'ai Ă©tĂ© victime de racisme au QuĂ©bec, je pensais pas que c'Ă©tait possible. Je me suis fait dire trois fois retour dans ton pays, je pensais pas que c'Ă©tait possible, sachant qu'on parle la mĂȘme langue et qu'on a le... Je veux dire qu'on a le mĂȘme morphotype, je serais tentĂ©e de vous dire. Je ne pensais pas que c'Ă©tait possible. Donc, en fait, j'ai envie de vous dire, c'est comme crier au loup tout le temps. Au bout d'un moment, en fait, tu cries au loup, tu cries au loup, tu cries au loup. Et Ă un moment donnĂ©, en fait, les gens, ils sont saoulĂ©s, ils ne t'entendent plus. Vous voyez ce que je veux dire ArrĂȘtez avec ça, arrĂȘtez avec ce truc-lĂ . Oui, mais ça, j'ai parlĂ© de ça vite fait, rapidement. Je vous fais un truc, puis vous approuvez, vous n'approuvez pas. Pour moi, le monde, en fait, il est colorĂ©. MĂȘme quand je le dis, ça me fait vraiment, en fait, ça me ramĂšne de l'Ă©motion. Pour moi, le monde, il est colorĂ©, c'est-Ă -dire qu'il y a de tout pour tout le monde. Il y a Ă boire et Ă manger pour tout le monde. Il y a une satisfaction pour tout le monde. Et pour moi, c'est comme ça. T'es hĂ©tĂ©ro, homo, machin, truc. J'en ai rien Ă foutre. T'es grand, t'es blanc, t'es... J'en ai rien Ă foutre. Pour moi, on est des ĂȘtres humains et c'est tout. Et je me suis faite envoyer chier parce que... une certaine marque a dit oui mais ça c'est des... ces produits sont faits pour les noirs je suis dĂ©solĂ©e je suis frisĂ©e et je suis pas noire ou Ă moins que je le sache pas et j'ai quand mĂȘme envie de consommer des produits comme ça et je ne reconnais pas en fait dans ce discours lĂ en fait qui se dit que c'est une boĂźte de noirs si ou la homie moi pour moi ça n'existe pas et quand j'entends ça en fait moi qui suis pas concernĂ©e je me dis mais en fait voilà ça me fait chier ça me gonfle voilà ça me gonfle parce que pour moi, en fait, il n'y a pas de sujet. VoilĂ , t'es frisĂ©, t'es blanc, t'es frisĂ©, t'es noir, t'as tel soin, tel machin, tel truc, ça me fait chier d'entendre ça, ça me gonfle. Aujourd'hui, en 2025, de se faire dire ça. Et quand j'ai dit, j'ai Ă©crit un commentaire en disant j'en ai marre, en fait, de ce discours black and white, il me semblait qu'en fait, le sujet Ă©tait clos et que c'Ă©tait rĂ©glĂ©, mais en fait, ça ne l'est pas. Autant d'un cĂŽtĂ© oĂč t'as le blanc, en fait, de campagne qui va dire oui mais elle est noire, et je pense Ă la Miss France notamment, et toi Robert en fait tu nous casses les couilles, parce qu'au final, au final en fait, tu connais mĂȘme pas, t'as jamais voyagĂ©, t'es jamais sorti de ta campagne, et t'es capable en fait aujourd'hui d'avoir un discours raciste nausĂ©abond qui me fait chier, et t'as les blacks en fait qui sont toujours en train de se... Bref, en tout cas je rentre pas dans ce dĂ©bat lĂ , j'ai pas envie, c'est pas mon truc, j'ai pas envie de ça. Ăa ne m'intĂ©resse pas. Mais les discours sur la couleur de peau, ça me casse les couilles. Le discours pour catĂ©goriser les gens, ça me fait chier. Le discours pour dire que lui, il est trop ci ou il est trop lĂ . Quand je vois des commentaires de gars qui disent Ah, mais en parlant de Nelly Furtado qui a pris du poids bref, qui dit Ah, mais ça va, elle a bien bouffĂ© la cantine, mais en fait, toi, tu n'as pas mangĂ© du saumon. En fait, tu n'es pas le saumon le plus irriguĂ© de la riviĂšre. Et Ă mon avis, en fait, l'huile de morue, elle ne t'a pas trop irriguĂ© le cerveau. Donc vous voyez ce que je veux dire Ăa c'est le genre de truc, le genre de commentaire qui me gonfle. Ăa c'Ă©tait une parenthĂšse, une apartĂ©. Excusez-moi, moi je suis une citoyenne du monde, j'ai immigrĂ© deux fois. Je suis nĂ©e en France, immigrĂ©e au QuĂ©bec et au Mexique. J'adorerais visiter l'Afrique, j'adorerais visiter le Maghreb, j'adore la culture, j'adore les gens, j'adore la culture des autres. Moi pour moi si quelqu'un a envie de se mettre un voile sur la tĂȘte, c'est bien son choix et je l'accepte et je la prouve si c'est vraiment ce qu'elle veut. Je m'en fous, c'est pas mon problĂšme. Moi, ce que je veux, c'est que les gens soient heureux, qu'ils vivent ensemble et qu'on vive tous ensemble et qu'on soit enfin en train d'arrĂȘter ce discours de racisme parce que finalement, en fait, quand on crĂšve, on est tous le mĂȘme dans le cercueil, c'est-Ă -dire un tas d'os. Qu'on soit gros, petit, peu importe, noir, arabe, machin, truc, on s'en branle. VoilĂ . Et ça, vraiment, c'est ce que j'ai envie de dire parce que pour moi, ça commence Ă me faire chier. VoilĂ . Et quand je vois les extrĂȘmes, les machins, les trucs, je peux vous dire qu'ici, au Mexique, ça n'existe pas. Ăa n'existe pas, ce discours de merde. Ăa n'existe pas du tout. Donc, Ă un moment donnĂ©, il faut arrĂȘter avec ça. Il faut arrĂȘter avec cette connerie parce que ça commence Ă me gonfler. Et moi, quand je vois deux sociĂ©tĂ©s, en fait, qui se ressemblent, deux compagnies qui se ressemblent, moi, j'ai Rihanna d'un cĂŽtĂ© qui a créé sa marque pour pouvoir crĂ©er du fond de teint pour tout le monde, du trĂšs, trĂšs blanc au trĂšs, trĂšs noir, pour englober tout le monde de la... des produits pour les cheveux, au frisĂ©, au red, au machin. Donc, il fait de l'inclusion totale. VoilĂ . Et d'un cĂŽtĂ©, de l'autre cĂŽtĂ©, il ne parle pas du tout, en fait, du black power et compagnie. Et de l'autre cĂŽtĂ©, il y a les secrets de Loli oĂč lĂ , en fait, tu te sens toi en tant que blanche, machin, complĂštement exclue. Je suis dĂ©solĂ©e de le dire, mais quand je vois le discours en ce moment, ça me casse les couilles. VoilĂ . Alors oui, peut-ĂȘtre que je n'ai pas connu la discrimination. Oui, peut-ĂȘtre que. Mais je ne pense pas que ce soit la meilleure façon, en fait, de gĂ©rer le truc. VoilĂ . Donc ça c'est mon point de vue, je vous prie de m'excuser, c'Ă©tait pas le dĂ©but, c'Ă©tait pas le but, c'Ă©tait pas le dĂ©but, mais des fois j'ai comme des lumiĂšres comme ça, j'ai un cerveau hyperactif, j'ai comme des lumiĂšres et donc des fois j'ai envie de parler de trucs, parce que ça me touche. Et trĂšs sincĂšrement, ce sujet me touche beaucoup parce qu'en fait, je pense qu'en crĂ©ant des catĂ©gories, en crĂ©ant des choses, en voulant se proclamer faisant partie d'eux, mais au final, on Ă©loigne les gens les uns des autres parce qu'on ne se sent pas concernĂ© par tel ou tel truc. Excusez-moi, j'ai beaucoup d'Ă©motions de parler de ça, je ne sais pas pourquoi, parce qu'en fait, pour moi, ça coule de source qu'on est tous pareils. quelqu'un qui pense pas qu'on est tous pareils mais clairement en fait il a rien Ă faire lĂ il a rien Ă faire sur cette terre dans ce monde parce qu'aujourd'hui le monde appartient Ă tout le monde on peut voyager on peut aller partout et je pense que la culture du voyage est extrĂȘmement enrichissante et je vous conseille Ă tout le monde de voyager voilĂ donc donc ça c'est pour ça ensuite pour le truc de dĂ©branche ton tpe la bande de connards de nazes de blaireau Ă mon avis Ăa, c'est des gens qui ont fait du business, en fait, au pays de Barbier-Kenne. VoilĂ , sans mauvais jeu de mots, Ă©videmment, en pensant Ă se faire Kenne. Ăvidemment, pardon. Je vais vous parler aussi d'un sujet, pourquoi je suis hyper tendue et tout, mais je vais vous en parler aprĂšs. Donc ça, pour vous dire que si tu es coiffeur, en fait, et que tu veux dĂ©brancher ton TPE, tu as tout de suite, en fait, besoin. de faire du business et de savoir comment ça se passe parce que la TVA est un impĂŽt qui t'appartient pas, qui est imputable au consommateur, je l'ai dĂ©jĂ dit 150 fois. Que dĂ©brancher ton TPE, t'as qu'Ă le dire et Ă©crire sur tous les toits, comme ça au moins les impĂŽts vont venir te chercher, c'est parfait, magnifique, merveilleux. En fait, on savait que dans la coiffure on n'Ă©tait pas des gĂ©nies, mais alors lĂ , on a vraiment affaire Ă des gĂ©nies. Le gĂ©nie de la lampe, on m'a dit frottez-le et il va sortir, sans mauvais jeu de mots lĂ encore. Clairement, oui, excusez-moi parce que hier je suis allĂ©e chez le coiffeur. LĂ , je peux le dire parce que je sais que personne n'Ă©coutera ce podcast Ă part les gens qui me connaissent. Je suis allĂ©e chez le coiffeur. J'ai vĂ©cu au QuĂ©bec pendant 7 ans, d'accord Donc, je connais bien le bail, d'accord Et lĂ , je vais dans un salon de coiffure Ă 100% mexicain, d'accord 100%, 100%, 100%, d'accord Avec seul... Seul le coiffeur qui me coiffait Ă©tait brĂ©silien, mais en tout cas rien Ă voir avec le QuĂ©bec. Donc lĂ je m'assois et lĂ qu'est-ce que j'entends Une QuĂ©bĂ©coise. Super, rien Ă dire. Magnifique. Et lĂ je me retourne puis j'entends un peu la conversation, tout ça malgrĂ© moi. malgrĂ© moi. Et lĂ , en fait, j'entends le prĂ©nom. Donc, je regarde la personne et je me dis, Ă mon avis, selon moi, selon certains de mes critĂšres, pour moi, est influenceuse, cette fille-lĂ . Je ne la connaissais pas en tant qu'influenceuse, mais bon. Je me dis, je vais chercher sur les rĂ©seaux. Donc, je cherche son prĂ©nom, influenceuse au QuĂ©bec. Pas manquĂ©, effectivement. Selon certains de mes critĂšres, elle est influenceuse. VoilĂ . Et donc... je cherche dans quoi et donc c'est une influenceuse qui vend ses charmes sur on les fans et ses pieds sur mime s'est créé compagnie donc lĂ en fait moi je vous parle de ça je sais pas oui parce que je tombe sur ces rĂ©seaux et tout ça et donc je ris parce que elle se fait faire une une il prend une douche de saucisses de strasbourg et du coup ça m'a fait rire bref ça c'est un apartĂ© pour ma dinguerie de journĂ©e d'hier qui a Ă©tĂ© pour moi je pense la journĂ©e oĂč j'ai le rouge et le plus ri intĂ©rieurement dans ma tĂȘte pour ne pas avoir un faux rire parce que la douche de saucisse de Strasbourg pour de vrai ça m'a fait rire ensuite le fait que je me retrouve avec une avec une nana qui a un million de followers en fait sur les rĂ©seaux et et en fait je me suis rendu compte trĂšs sincĂšrement Ă ce moment lĂ j'ai aucun prĂ©jugĂ© rien du tout je m'en fous chacun fait ce qu'il veut et gagne sa vie comme il le souhaite et comme il le sent j'en ai j'ai aucun jugement par rapport à ça mais je me suis dit en fait En dehors de nos travails, de nos professions respectives, je ne sais pas si c'est une profession ou un truc bref, on se retrouve en fait dans des endroits oĂč, en fait, si personne ne dit que personne est, c'est no name, voilĂ , on est tous low profile et tout. Sorti des rĂ©seaux, en fait, finalement, la vie est bien plus normale qu'on le pense. Donc voilĂ , c'Ă©tait tout ça pour dire ça. VoilĂ , aucune attitude particuliĂšre, rien du tout. Donc, vraiment, voilĂ . la plus normale de la Terre, et donc du coup moi aussi la plus normale de la Terre, mais sauf que moi j'ai plein de millions d'abonnĂ©s sur les rĂ©seaux. Peut-ĂȘtre que je vais envisager de vendre mes pieds. VoilĂ . Donc ça, c'est pour ça. Donc si vous entendez quelque chose crier, c'est peut-ĂȘtre mon fils. Il faut quand mĂȘme de l'avertir pour qu'il sache que j'enregistre quand mĂȘme au cas oĂč. Donc ça c'est pour les deux sujets. Je ne pourlimiterai pas plus sur des branches dont TPE, parce qu'honnĂȘtement j'en ai dĂ©jĂ fait une story, j'ai dĂ©jĂ montrĂ© tout ça, j'ai dĂ©jĂ dit, j'ai dĂ©jĂ expliquĂ© ce que j'en pensais, ça n'a aucun rapport. Je trouve que dĂ©jĂ on a des problĂšmes de crĂ©dibilitĂ© dans notre mĂ©tier, si en plus de ça on s'en rajoute une couche. VoilĂ , par des actions imbĂ©ciles, on a dĂ©jĂ vu ça. Moi, j'ai trouvĂ© que, et lĂ encore, je ne me prie de m'excuser, ça ne reste que mon point de vue, mais j'ai trouvĂ© que les gilets jaunes, ça n'avait pas Ă©tĂ© ouf en termes de mobilisation. Ăa avait beaucoup plus foutu le bordel, foutu la rue et la ville et les gens et les commerces, sans dessus-dessous, plutĂŽt que d'avoir apportĂ© des solutions concrĂštes. J'aurais voulu qu'ils amĂšnent des solutions concrĂštes, mais pour... pour de vrai bloquer des routes et bloquer des ronds-points, ça n'a jamais apportĂ© de solution. Je suis vraiment dĂ©solĂ©e pour eux. C'est cool, c'est super. Ils ont essayĂ© un truc, ils ont essayĂ© quelque chose, mais au final, ça n'a pas levĂ©. Donc voilĂ , mais ça a durĂ© trop longtemps. AprĂšs, on nous a collĂ© la Covid et tout. Donc on a bien vu que ce genre d'action dans un monde moderne d'aujourd'hui, ça ne sert Ă rien. La seule action... aujourd'hui qui fonctionne, c'est de s'en sortir de maniĂšre individuelle. C'est-Ă -dire de faire ses propres choix, d'aller dans ses propres actions, de crĂ©er son propre business, de faire les choses pour soi. Et ce n'est pas de l'Ă©goĂŻsme. C'est pour ça que je rebondis lĂ -dessus. Ce n'est pas de l'Ă©goĂŻsme pour moi. Je veux dire, si vous voulez faire du bĂ©nĂ©volat, vous pouvez aller le faire le dimanche aprĂšs-midi. C'est parfait. Vous pouvez aller faire de l'humanitaire dans un autre pays ou dans votre propre pays. C'est parfait. J'en fais moi-mĂȘme. Je donne Ă©normĂ©ment moi-mĂȘme sans que ça ait besoin de s'afficher sur les rĂ©seaux sociaux. J'en ai pas besoin. Ăa n'est pas nĂ©cessaire. VoilĂ . Si on veut faire des actions concrĂštes, des vraies actions. autant les faire pour que ça aille rĂ©ellement dans la poche de la bonne personne. Parce que lĂ , en fait, ce que vous ĂȘtes en train de faire, c'est que vous ĂȘtes en train de mettre le doigt sur notre mĂ©tier. Vous ĂȘtes en train de mettre en lumiĂšre notre mĂ©tier. Et le jour oĂč ils vont rĂ©ellement s'en prĂ©occuper, ça va nous faire chier, ça va nous faire mal, ça va nous casser les couilles. Et vous n'aurez que vos yeux pour pleurer. Donc franchement, j'ai envie de vous dire, laissez-nous faire. On va le faire nous-mĂȘmes. VoilĂ . On va s'en occuper nous-mĂȘmes. VoilĂ . Et c'est tout. Je veux dire, je serais tentĂ©e de vous dire, si vous n'ĂȘtes pas d'accord, ne vous prenez pas d'abonnement avec l'UNEK ou machin. CrĂ©ez votre propre groupement, comme moi j'ai fait, votre propre communautĂ©. Vous faites vos choses et vous fermez votre gueule. DĂ©branchez votre TPE, vous allez prendre un contrĂŽle fiscal, vous allez prendre un contrĂŽle URSAF. Vous allez avoir votre client qui va avoir vu ça sur les rĂ©seaux, machin, truc, qui ne peut pas s'en empĂȘcher. Monique, elle ne peut pas s'empĂȘcher, ta-ta-ta. Donc, qu'est-ce qu'elle va faire, Monique Elle va vous dĂ©noncer. Vous serez dans la merde. Donc lĂ , clairement, c'est un mauvais deal. TrĂšs mauvais deal. Ne le faites pas, dans le Dieu. Ne le faites pas. Ăa ne va pas vous plaire, le concept. et les consĂ©quences ne vont pas vous plaire. Et comme, en plus de ça, vous ĂȘtes des mauvais joueurs, parce que la plupart du temps, si tu fais ce genre de trucs, c'est que dĂ©jĂ , de base, tu joues mal. Tu ne sais pas jouer, tu n'as pas les rĂšgles. Tu veux tricher, dĂ©jĂ , de base. Tu veux acheter toutes les maisons du Monopoly sans passer par la casse-prison, blablabla. Bref. Excusez-moi si vous entendez le vendeur de jus de fruits. VoilĂ , donc il passe dans la rue avec son haut-parleur et sa bagnole. Je ne sais pas si vous l'entendez. Je ne sais pas si vous l'entendez. En tout cas, moi je l'entends. Il me perturbe. Ăcoutez-moi bien, Joseph. Salut. Donc il me perturbe. Donc tout ça pour dire que, clairement... faites les choses pour vous. On nous a rabĂąchĂ© qu'il ne fallait pas ĂȘtre Ă©goĂŻste, qu'il fallait ĂȘtre poli, qu'il fallait faire ci, qu'il fallait faire ça. Ăa, c'Ă©tait hier. Aujourd'hui, ĂȘtre centrĂ© sur soi, sur son business, sur ce qu'on fait, c'est essentiel pour le faire grandir et Ă©voluer. En fait, le truc, c'est qu'avant, on prenait le problĂšme Ă l'envers. Vous voyez ce que je veux dire On prenait un trĂšs grand cercle. Et au fur et Ă mesure, on rĂ©trĂ©cissait ce cercle jusqu'Ă ce qu'on trouve une clientĂšle qui nous ressemble. D'accord Et qu'on soit, qu'on ait les moyennes d'eux, machin truc. Donc on parlait Ă tout le monde. D'accord Pour espĂ©rer avoir un noyau. Donc, ça veut dire que c'Ă©tait trĂšs compliquĂ©, dĂ©jĂ . Et que, forcĂ©ment, ça ne marchait pas de ouf. D'accord On s'est installĂ© n'importe oĂč. On parlait Ă n'importe qui. On vendait n'importe quoi. On faisait de tout pour tout le monde. Et on a bien vu que cette stratĂ©gie, aujourd'hui, elle ne marche plus. D'accord Donc, qu'est-ce que ça veut dire Aujourd'hui, on a bien vu que c'Ă©tait l'inverse. C'est-Ă -dire qu'on parle Ă un petit groupe de clients, on leur offre des services premium avec des produits de qualitĂ©, avec un service vraiment qui se dĂ©marque, et donc on fanatise sa clientĂšle. Ăa, c'est rĂ©ellement, en fait, le noyau aujourd'hui. Et ensuite, aprĂšs, au fur et Ă mesure, on grandit son cercle. Vous voyez bien qu'on fait l'inverse de ce qui se faisait il y a quelques annĂ©es, dans les annĂ©es 2000, par exemple. D'accord Donc, ça, c'est important que vous le sachiez. Donc, pourquoi faire des actions collectives aujourd'hui en sachant clairement que ça ne fonctionne pas quand tu fais des actions fait l'action pour toi Ă moi j'ai dĂ©cidĂ© que fuck la merde j'ai envie de dĂ©brancher mon tpu j'en ai rien Ă foutre ok trĂšs bien alors on veut dĂ©jĂ voir comment ça s'est passĂ© pour toi Johnny comment ça a marchĂ© tu vois et ensuite si jamais on voit que ça a marchĂ© on va le faire on va le faire. VoilĂ . On va le faire, il n'y a pas de problĂšme. Mais, si on voit que ce n'est pas ouf, on va te laisser faire, on va te regarder. Mais ça, ce n'est pas de l'Ă©goĂŻsme, en fait. C'est de la survie. C'est de la survie, clairement. Par exemple, je te donne un exemple. Comment ça se passe aujourd'hui Je vois beaucoup qui crient Ă la copie et tout. Moi aussi, au dĂ©but, j'ai criĂ© Ă la copie et tout. Mais une idĂ©e quand elle sort, une idĂ©e quand elle sort. c'est que dĂ©jĂ quelqu'un a eu l'idĂ©e en mĂȘme temps. C'est sĂ»r. Et certain. Ăa veut dire qu'il y a dĂ©jĂ quelqu'un qui a eu cette idĂ©e. Vous la sortez en mĂȘme temps ou pas en mĂȘme temps, mais en tout cas, bref. Ensuite, si quelqu'un te copie, OK, super. Qu'il y ait un marchĂ©, il faut qu'il y ait de la demande. Si la demande, en fait, elle existe, Ă un moment donnĂ©, sachant le nombre qu'on est, franchement, il va y avoir besoin de plusieurs personnes pour rĂ©pondre Ă la demande. Et pour surtout faire en sorte en fait que chaque demande, puisqu'elles sont chacune diffĂ©rentes. Par exemple, je te donne un exemple, les vĂȘtements. tout le monde ne va pas s'habiller de la mĂȘme façon. Le coiffeur, tout le monde ne va pas se coiffer de la mĂȘme façon. Les produits, tout le monde ne va pas utiliser les produits de la mĂȘme marque, etc. Donc, il y a besoin d'y avoir un marchĂ©. Donc, s'il y a besoin d'y avoir un marchĂ©, il y a besoin d'avoir des gens qui rĂ©pondent Ă ce marchĂ©-lĂ . C'est ça, en fait, la concurrence pour moi. Donc, pourquoi C'est insurgĂ©. de ça. Il y en a besoin. Donc ça, c'est pour ça. Je ne sais pas pourquoi, je ne me rappelle plus pourquoi j'allais lĂ -dessus, mais en tout cas, bref, tout ça pour vous dire que, si ça y est, on a besoin, en fait, de se dire, moi, je vais regarder si ça fonctionne, puis si ça fonctionne, et c'est comme ça que ça marche aujourd'hui, il ne faut pas croire. Si ça fonctionne, on verra si on ne fait pas la mĂȘme chose. en le modernisant, en faisant les choses un petit peu Ă ma sauce, avec mon identitĂ© et tout, mais je vais faire quelque chose de similaire. En coiffure, on le sait trĂšs bien. Le balayage. Combien il y en a de gens qui forment en balayage ĂnormĂ©ment. Est-ce que c'est le mĂȘme balayage Non. Est-ce que c'est la mĂȘme personne Non plus. Donc, clairement, pourquoi ça nous pose un problĂšme Bon. Donc lĂ , quand on sait ça maintenant, quand on sait qu'on veut voir qu'est-ce qui fonctionne chez les uns et chez les autres, eh bien c'est parfait. Moi, je vais te regarder, dĂ©brancher ton TPE, puis je vais attendre. Puis ça marche. On va tous le faire. Si ça ne marche pas, on te laisse dans ta merde. Est-ce que c'est d'Ă©goĂŻsme Non. C'est du... du jugement. VoilĂ . Donc pourquoi je parle de ça Je vais aller vite fait lĂ -dessus, mais je rebondis en fait sur ce que je voulais vous prĂ©senter. J'ai eu un... J'ai fait quelque chose de trĂšs fort aujourd'hui que je pense que jamais j'aurais pu le faire avant. Jamais, jamais, jamais. Jamais. J'ai pris une dĂ©cision extrĂȘmement solide et... Je pensais jamais que j'aurais pu prendre une dĂ©cision pareille. Et pourtant, on n'est ni en conflit, on s'adore, ça va bien, je n'ai aucun problĂšme avec ma famille, rien du tout. Mais j'ai dĂ©cidĂ©... pour des raisons logistiques de ne pas aller au mariage de mon frĂšre je lui ai annoncĂ© aujourd'hui et lĂ vous dites oh mais c'est dĂ©gueulasse mais c'est pas gentil etc je vous mets le contexte un peu avec mon frĂšre on a 12 ans d'Ă©cart donc lui il a 12 ans de moins d'accord moi je me suis mariĂ©e ça va faire 20 ans cet Ă©tĂ© et Et lui, donc, il se marie cette annĂ©e. Moi, je me suis mariĂ©e en 2005. Lui, il se marie cette annĂ©e en 2025. Donc, pile 20 ans aprĂšs moi. Et en fait, c'est pas pour me vanter, mais j'ai tellement de recul aujourd'hui. Mais tellement de recul aujourd'hui. Sur tellement de choses. Que, en fait, je me dis, moi, par exemple, pour mon mariage, je me suis mariĂ©e, j'avais 20 ans, 21 ans. au moment du mariage, moi j'aurais fait ça simple. Tu vois, j'aurais fait ça ultra simple. J'aurais fait ça avec deux, trois personnes. J'aurais fait ça simple. Tu vois, mĂȘme au bord d'une plage, ou peu importe. Mes tĂ©moins, mes parents, c'est tout. Tu vois ce que je veux dire Parce que je sais, je sais, je le sais. Je le sais tellement. Que tu vois des gens que tu n'as jamais vus. Que tu vois des gens que tu ne verras plus jamais. Que tu vois des gens que ça fait longtemps que tu n'as pas vus. Que tu dois revenir en fait sur les annĂ©es en arriĂšre. Que tu dois te forcer Ă Ă©couter de la musique qui est trop forte. Que tu dois te forcer Ă Ă©couter des trucs que tu n'as pas envie. Ă te mĂȘler Ă des gens avec qui tu es mal Ă l'aise. Je n'ai pas envie de ça. Je n'ai pas envie. Je prĂ©fĂšre faire un beau cadeau. rĂ©ellement faire un beau geste qui se souviendront plutĂŽt que de leur offrir une prĂ©sence en fait de moi qui n'est pas ouf n'est pas Ă l'aise je suis quelqu'un qui suis une trame Ă l'aise dans la foule donc je me dis Et lĂ , c'est lĂ que je vais revenir sur mes deux phrases. Je ne vous ai pas oubliĂ©, ne vous inquiĂ©tez pas. Mais c'est lĂ que je me dis, en fait, c'est quoi ĂȘtre Ă©goĂŻste au final Ătre Ă©goĂŻste, en fait, c'est aller quelque part oĂč tu n'as pas envie d'ĂȘtre. Ătre Ă un endroit oĂč tu n'as pas envie d'aller. Faire semblant d'ĂȘtre bien alors qu'en fait, finalement, ce n'est pas lĂ oĂč tu as envie d'ĂȘtre. Ou est-ce que c'est se choisir Est-ce que c'est se choisir Et plutĂŽt que de faire quelque chose que tu n'as pas envie de faire, mais de mettre en fait extrĂȘmement, Ă©normĂ©ment d'amour et de... On va dire... je ne sais pas, le mot ne me vient pas, mais Ă©normĂ©ment de cĆur dans quelque chose que tu as envie de faire. C'est-Ă -dire, moi, j'ai envie de leur faire un beau cadeau, j'ai envie de vraiment leur offrir quelque chose de bien, mais je n'ai pas envie d'ĂȘtre Ă un endroit oĂč je n'ai pas envie d'aller. Parce qu'en plus de ça, moi, me dĂ©placer, c'est facilement 2000 euros. Juste me dĂ©placer pour aller en France, pour aller Ă un mariage. En plus de ça... Tu ne peux pas y aller juste pour une journĂ©e. Il faut en plus que tu fasses facilement 3-4 jours. C'est la masterclass la semaine d'aprĂšs. Donc, il se marierait le 31 octobre. La masterclass, c'est le 8. Donc, une semaine avant. Je ne peux pas. Clairement, je ne peux pas. Je ne peux pas. Mon travail et mon engagement est bien plus important aujourd'hui que toute autre chose. Alors vous allez me dire, oui, mais c'est des choses qui ne reviendront pas. J'ai vĂ©cu bien des choses qui ne reviendront jamais. et je n'ai aucune amertume de les avoir vĂ©cu seul voilĂ et ça n'a rien Ă voir avec eux avec qui avec qu'est ce c'est juste que Je ne m'attache pas en fait Ă certaines choses comme ça mais je m'attache Ă vraiment rĂ©ellement je suis dans l'accomplissement en ce moment et pour moi c'est important et je sais que c'est quelque chose que je regretterai pas je reverrai les photos les films et tout je dirai ah ouais c'est bien c'est bien et tout je regretterai pas cette dĂ©cision je le sais une donc ça me en fait ce qui m'Ă©meut aujourd'hui c'est d'avoir le courage je pense de me choisir et de choisir ce truc lĂ de me dire j'ai envie d'ĂȘtre une bonne personne pour eux c'est Ă dire j'ai envie de leur faire un beau cadeau et d'ĂȘtre d'ĂȘtre vraiment spectatrice du truc et voilĂ de peut-ĂȘtre mĂȘme passer un moment avec eux bref plutĂŽt que de d'ĂȘtre lĂ de ne pas de ne pas aimer ce moment lĂ oĂč de l'aimĂ© mais d'ĂȘtre Ă©triquĂ© avec du monde toi tu te mets lĂ , toi tu fais ça, on Ă©coute le discours de machin, hop, hop, asseyez-vous lĂ , hop, faites ça, hop, hop, les photos, hop, hop, machin, regarde, on prend une photo, machin, je, horreur de ça, j'ai horreur de ça, horreur de ça, et je peux vous dire trĂšs sincĂšrement, c'est quelque chose que j'ai dĂ©testĂ© dans mon mariage, c'est ça, c'est-Ă -dire, Devoir inviter des gens que tu ne reverras plus Devoir supporter que ma grand-mĂšre ait trouvĂ© Que ma grand-mĂšre paternelle avec qui je n'avais pas une super relation Mais je l'ai invitĂ©e pour mon pĂšre D'avoir Ă accepter Qu'elle me dise que la musique est trop forte Que si, que lĂ , que le repas, que machin Que si, que mi, que lĂ Bref, de ne pas voir finalement les gens Parce que ça va tellement vite cette journĂ©e Tu profites de rien Mon frĂšre je ne le verrai pas et je le sais Ma belle-sĆur je ne la verrai pas et je le sais pertinemment que je les verrai pas ou en coup de vent ou machin parce qu'ils doivent ĂȘtre un peu avec un tel un peu avec un tel un peu avec un tel on profite jamais de cette journĂ©e lĂ trĂšs sincĂšrement elle est elle passe vite et elle est pourrie pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte ils la kifferont pas ou alors s'il la kiffe et qui feront des morceaux mais pas la journĂ©e dans son intĂ©gralitĂ© ils ont des enfants des petits machin c'est une catastrophe moi je vous assure Ă refaire je ferai quelque chose d'ultra intime mais pas ça passe ça finit que c'est gros ça finit que c'est grand ça finit que c'est machin voilĂ donc j'ai choisi de ne pas y aller voilĂ j'ai choisi de ne pas y aller j'ai choisi de me choisir donc voilĂ je sais pas qu'est ce que vous auriez fait Ă ma place voilĂ Mais je me sens extrĂȘmement Ă l'aise avec ce choix. Je me sens extrĂȘmement Ă l'aise avec le fait que j'ai plus envie de subir. J'ai plus envie de subir, en fait. J'ai plus envie de m'infliger des choses que je n'aime pas. J'ai plus envie de m'infliger des choses que je n'ai pas envie. Je n'ai plus envie, en fait, de subir. C'est clair. C'est clair et net. Il y a des fois oĂč j'ai subi des trucs. notamment un voyage oĂč je me faisais une joie d'aller et j'ai subi le voyage alors qu'en fait Je me faisais une joie d'y aller. Et en fait, je ne suis pas partie avec les bonnes personnes. Ăa a Ă©tĂ© un calvaire pendant une semaine. Et pourtant, j'ai kiffĂ© ce voyage. J'ai kiffĂ© le fait d'ĂȘtre lĂ , mais pas avec les bonnes personnes. Je suis partie avec une amie, qui aujourd'hui, ce n'est plus une amie. Et ça a Ă©tĂ© dur pour moi, parce que voilĂ . Et aujourd'hui, on n'a plus de contact, vraiment. Et je trouve ça dommage. Parce que je trouve que ça a brisĂ© quelque chose. Et j'ai trouvĂ© ça vraiment dommage. Et je n'ai pas kiffĂ©. Je n'ai pas kiffĂ© du tout. Je n'ai vraiment pas kiffĂ©. Et ça m'a vraiment fait chier. Et je n'ai pas honte de le dire. Donc, voilĂ . Et donc, je vais conclure avec ça. Choisissez-vous. Choisissez-vous, c'est important. On fait des choses parce qu'on doit, par obligation, par plein de choses. Mais moi, en fait, je n'ai plus envie de m'obliger Ă faire des choses. Plus jamais envie de m'obliger Ă faire des choses. Je ne veux pas m'obliger Ă faire des choses. Je veux vivre parce que je sais que la vie est tellement courte. tellement courte que je n'ai pas envie de m'obliger Ă faire des choses. J'ai envie de faire des choses qui me plaisent. J'ai envie de rester avec mes enfants. J'ai envie de faire des choses pour ma carriĂšre. J'ai envie de faire des choses qui me font vibrer. Et je n'ai pas envie de m'obliger Ă faire des choses. Et il y a une phrase, deux phrases. En tout cas. Une chose qu'on me dit souvent, et Ă chaque fois j'ai envie de reprendre la personne, et je ne le fais pas parce qu'on dirait que c'est une phrase bateau. Quand quelqu'un finit une phrase en fait en te disant, bon, mais bon courage, en fait ne me souhaite pas bon courage. Parce que moi en fait, je n'ai pas besoin de courage pour vivre ma vie. Je vis ma vie clairement dans le sens oĂč j'ai envie de la mener. Mais je n'ai pas besoin de courage. Tu peux dire et finir ta phrase en disant amuse-toi, enjoy. Moi, je dis souvent ça. Allez, salut, enjoy. Amuse-toi, enjoy yourself. Amuse-toi, enjoy. Amuse-toi, profite. Sois Ă l'aise, fais les choses qui te plaisent. Ne va pas travailler le matin en Ă©tant avec la boue au ventre ou quoi que ce soit. Ne va pas Ă une invitation oĂč tu n'as pas envie d'aller. Ne fais pas les choses qui te freinent. Enjoy. Ăa, c'est vraiment quelque chose d'important. Et la deuxiĂšme, elle ne me vient pas. Un bon courage. Ăa, c'est quelque chose qui me frappe Ă chaque fois qu'on me dit Allez, un bon courage Mais courage de quoi en fait Si tu le choisis, que tu aies Ă l'aise, que tu aies alignĂ©, que tu te sens bien, que tu aies Ă l'aise dans tes baskets, tu n'as pas besoin de courage. Tu n'as pas besoin de courage en fait. Tu as besoin de vivre. Tu as besoin de vivre. Mais arrĂȘte de me dire bon courage. Bon courage pour moi, c'est la phrase des faibles. C'est la phrase des gens qui subissent. C'est la phrase des gens qui sont Ă©teints. Il n'y a pas besoin de courage pour vivre. Mais il y a besoin de vie pour continuer. Donc, enjoy yourself. Amuse-toi. Amuse-toi chaque jour. Amuse-toi chaque jour. Mais arrĂȘte de subir. VoilĂ , ça c'est quelque chose qui est vraiment, qui m'interpelle vraiment. Et la deuxiĂšme, je ne m'en souviens plus. J'ai un blanc de mĂ©moire, mais celle-lĂ , ça me tenait vraiment Ă cĆur. Bon courage. Je ne veux plus jamais que quelqu'un m'adresse ce mot-lĂ . Parce que je n'ai pas besoin de courage. Mon courage, il est innĂ©. C'est parce que j'ai envie de vivre que je dĂ©ploie toutes mes forces pour arriver Ă mes objectifs. Mais ce n'est certainement pas parce que j'ai du courage. J'ai de la vie. J'ai envie de vivre pleinement, en fait. Toute ma vie. Tout. Dans son intĂ©gralitĂ©. Mais jamais j'aurai besoin de courage. VoilĂ . Parce que le courage, il coule dans mes veines dĂ©jĂ de base. VoilĂ . Donc si j'ai mon blanc de mĂ©moire qui revient, je vous le dirai, quelles sont les deux phrases. Mais ça, c'Ă©tait vraiment la best. C'Ă©tait vraiment ce que je voulais. Ăa, c'Ă©tait vraiment en fait ce que je voulais vous transmettre. Si vous aimez la vie en fait, si vous aimez votre vie, le courage en fait, c'est inutile. Parce que c'est la vie que vous menez qui vous donne toute la force nĂ©cessaire pour rĂ©ussir. VoilĂ . Donc, moi je dis force. Vraiment, force Ă toi. C'est vraiment. Que tu dĂ©ploies le maximum de tes forces pour que tu arrives Ă ton objectif. Alors lĂ -dessus, je vous laisse. Je vous remercie et je vous souhaite une bonne fin de journĂ©e. Et on se retrouve la semaine prochaine.