- Speaker #0
On m'a offert le livre de B.A. Johnson, Zéro déchet. C'est après ce livre-là où je me suis dit, mais voilà, c'est ça en fait. Il y a eu des échecs. Et un jour, à la mairie, on me dit, voilà, on a un local. Vas-y.
- Speaker #1
Changer de cap, c'est embrasser l'avenir avec audace. Et si vous vous inspiriez de celles et ceux... qui ont osé franchir le pas vers une nouvelle vie professionnelle. Bienvenue dans Nouveau Cap, le podcast idéal qui explore les parcours de reconversion professionnelle. Je suis Pauline et je serai votre passeuse d'histoire dans cette aventure palpitante. Aujourd'hui, nous avons le plaisir de rencontrer Marie Ranchy à Lallier en Ile-et-Vilaine, une commune de 5000 habitants qui fait partie de la métropole de Rennes. Bonjour ! Bonjour !
- Speaker #2
Bonjour !
- Speaker #0
Enchantée,
- Speaker #1
c'est
- Speaker #0
Pauline ! Bonjour Pauline ! Vous êtes prête ?
- Speaker #1
presque on peut se tutoyer peut-être alors Marie on est là au-dessus de la boutique on est dans ton bureau cuisine,
- Speaker #0
salle de repos c'est bien tu fais des siestes d'ailleurs ça m'arrive de faire des siestes effectivement tu travailles beaucoup c'est pas mal d'heures ça fait au moins 70 heures par semaine waouh c'est beaucoup d'heures mais pourtant t'as la pêche mais oui il paraît que je suis hyper active
- Speaker #1
Alors, toi, tu es anciennement responsable de la paix dans un cabinet d'experts comptables. C'est comme ça qu'on dit. C'est ça. Et tu as fait le choix très, très, très audacieux de te réinventer complètement, puisque ça n'a plus rien à voir, en te mettant à ton compte, en ouvrant une boutique de vente en vrac.
- Speaker #0
C'est ça. Alors, ça n'a plus rien à voir, mais en même temps, je gère quand même de la compta. C'est vrai. J'ai un peu bénéficié quand même des atouts du cabinet pour savoir comment monter une entreprise. Donc, ça a quand même beaucoup apporté à mon projet.
- Speaker #1
Bien sûr. Déjà, est-ce que tu peux te présenter rapidement ton âge, ta situation personnelle ? Si tu as envie, évidemment, tu peux bien m'en parler. Je n'ai rien envie de vous dire. Et ton caractère ?
- Speaker #0
Donc, je suis Marie, j'ai 40 ans. 5 ans encore pour quelques semaines. Je suis mariée depuis une vingtaine d'années et j'ai deux grandes filles de 17 et 16 ans. Je suis hyperactive, souriante. Oui, ça c'est sûr aussi. J'aime rendre service et je fais très attention aussi à ce que je consomme et aux déchets. Alors,
- Speaker #1
est-ce qu'on peut... Repartir en arrière sur ta vie et parler de ta carrière dans la comptabilité. Qu'est-ce que tu faisais ? Comment t'es arrivée là ?
- Speaker #0
Première vraie expérience professionnelle dans l'épicerie familiale de mon mari. Puisque quand j'ai connu mon mari, sa maman tenait une épicerie traditionnelle. Et donc ça m'a permis de connaître aussi le sens du commerce, tenir une caisse. Et c'est là que j'ai découvert la compta. Donc je me suis lancée dans la compta. Je suis devenue assistante de gestion. Et pour les études de mon mari, on est arrivés près de Rennes. Et on est restés. Parce qu'il a trouvé du travail par là. Je suis allée dans un cabinet d'expertise comptable où j'étais responsable paye. Je suis arrivée en octobre 2015. Je rentre dans le cabinet comptable. Et au Noël 2015, on m'a offert le livre de Béa Johnson, Zéro déchet qui m'a été un vrai déclic sur ma consommation. Mais j'avais déjà cette idée de commerce dans la tête, mais je ne savais pas sur quoi. Et donc, c'est après ce livre-là que je me suis dit, mais voilà, c'est ça en fait. Moi, je veux commencer à changer ma consommation. Ce n'est pas facile. En 2016, c'était encore les prémices. Il y avait bien les magasins bio avec un peu de vrac, mais c'était assez succinct. Et donc, m'est venue l'idée de faire un lieu où je pouvais tout avoir en vrac. Mes légumes. ma cosmétique, mes céréales, etc. Tout au même endroit.
- Speaker #1
Tu ne fais pas que de l'alimentation. Tu fais aussi de la cosmétique, comme tu dis. Oui, des jouets pour enfants, j'en ai vu tout à l'heure. En fait, c'est un engagement 360 sur le zéro déchet.
- Speaker #0
C'est ça.
- Speaker #1
Il est beau ce savon bleu.
- Speaker #0
Ça, c'est un autre artisan sur Saint-Brieuc. Tout à l'heure, j'avais du savon de Saint-Urial qui est à un quart d'heure d'ici. Alors,
- Speaker #1
je repars en arrière. C'est l'idée, c'est un projet.
- Speaker #0
C'est un rêve. Après, ça demande du temps et puis des finances. Voilà. Et aussi l'approbation de la famille. Parce que moi, j'ai l'idée, mais mon mari connaissait ce que c'était qu'une épicerie. Et il savait le temps qu'il fallait y passer tout au long de la semaine.
- Speaker #1
Il a dû se dire, oh mince,
- Speaker #0
je vais passer toute mon enfance dans une épicerie. C'était que son adolescence, mais oui.
- Speaker #1
Oui, donc lui, il était en accord avec ton projet.
- Speaker #0
Il était en accord avec mon projet. On en a parlé avec nos enfants aussi, qui étaient encore petites à ce moment-là. C'était un projet à quatre.
- Speaker #1
Donc, tu es dans ton travail, dans l'entreprise dans laquelle tu es embauchée depuis quelques années. Et comment tu passes ce moment, le cap, de te dire, OK, je vais aller chercher des informations, je vais chercher des gens pour m'aider ?
- Speaker #0
Alors, des infos, effectivement. Quand j'étais dans un cabinet comptable, je savais déjà. En plus, c'était un cabinet spécialisé dans les jeunes entreprises. Plutôt informatique ou nouvelles technologies, mais c'était quand même des jeunes entrepreneurs. Malgré leur manque d'expérience, surtout parfois en gestion, ils se sont lancés et certains ont très bien réussi. J'ai vu leur progression et c'est vrai que je me dis, pourquoi pas moi ? Alors, c'est vrai que je ne veux pas devenir millionnaire avec une épicerie vrac, mais voilà, j'avais déjà quelques clés. Donc ça, ça a été une première chose. Une deuxième chose, c'est que j'ai perdu mon papa pendant ces années dans ce poste. Et il ne m'a pas laissé beaucoup d'argent, mais un petit peu, pour moi suffisamment pour pouvoir me dire Ah, j'ai un petit apport quand même, je peux peut-être en faire quelque chose. Il serait fier de moi en plus.
- Speaker #1
Et comment on y va alors ?
- Speaker #0
Comment on y va ? Après, il faut trouver le lieu. Il faut se former, effectivement. Donc, j'ai contacté Réseau Vrac. qui est une association spécialisée pour se former justement dans ce métier. J'ai contacté la CCI pour me former plutôt à tout ce qui est... C'est un stage un peu généraliste, mais marketing, contacter les banques, la compta, moi je connaissais.
- Speaker #1
Pourquoi la CCI ?
- Speaker #0
La Chambre des commerces et de l'industrie. Et puis, j'ai contacté la mairie pour savoir s'il y avait des commerces, des lieux sur lesquels je pouvais me... commencer à réfléchir pour m'installer.
- Speaker #1
Les formations, ça a été fluide ?
- Speaker #0
Pour toi,
- Speaker #1
c'était facile ?
- Speaker #0
C'était rapide. Ça t'intéressait ? Oui, forcément. C'est sûr que ça prend... J'avais que cinq semaines de congé, donc je prenais sur mes congés pour pouvoir aller me former. Parce que tu travaillais encore. Je travaillais encore. Là, on me dit, il faut faire une étude de marché quand même avant de se lancer. Donc, je fais une étude de marché. Je vois à peu près qu'il y a des gens intéressés.
- Speaker #1
Donc tu me dis que tu as fait une étude de marché et c'est quelque chose que tu savais faire, que tu maîtrisais ?
- Speaker #0
J'ai fait un peu comme j'ai pu. Avec le stage de la CCI, on nous avait dit un petit peu ce qu'il fallait faire, mais je n'ai pas forcément été au bon endroit, avec les bonnes questions. J'ai eu la chance que la femme de mon employeur travaille dans les statistiques et c'est elle qui m'a fait l'analyse de mon étude de marché.
- Speaker #1
Mais toi, tu rencontres toujours les bonnes personnes sur ta route.
- Speaker #0
Et puis, il me manque un élément, il faut que je démissionne. Donc, j'en parle à mon employeur. Et donc, je lui dis, est-ce que je peux faire une rupture conventionnelle ? Donc là, il me dit, non, ce n'est pas prévu, moi j'ai besoin de toi. Donc, si tu pars, tu démissionnes. Et donc, j'ai dû faire appel à Transition Pro, qui permet d'avoir droit à Pôle emploi après avoir démissionné, mais quand on a un projet.
- Speaker #1
Donc Transition Pro, est-ce que juste on peut se poser deux secondes dessus et que tu m'expliques ce que c'est ?
- Speaker #0
Alors Transition Pro, c'est il me semble une association pour traiter les dossiers des personnes qui veulent bénéficier de l'ARE, donc de l'indemnité chômage, malgré leur démission. Donc on passe en commission, il a fallu faire un dossier, passer en commission, j'ai été refusée une première fois, et puis la deuxième fois c'était la bonne.
- Speaker #1
Donc ça ne t'a pas démotivée ?
- Speaker #0
Alors, il y a forcément des moments un peu compliqués quand on monte un projet. Il y a toujours la recherche de local qui ne prend pas, le refus de l'employeur, après le refus de Transition Pro, le refus de banque. Il y a toujours des éléments négatifs, mais quand on est motivé, il faut aller de l'avant. Et c'est ce que j'ai fait, c'est ce qu'on a fait. Et puis, la preuve que ça a fonctionné.
- Speaker #1
Avec l'argent de côté ?
- Speaker #0
On avait un peu d'argent de côté, oui.
- Speaker #1
Et vous avez tout investi ?
- Speaker #0
Il nous en reste un tout petit peu.
- Speaker #1
J'aime bien le tout petit peu qui est un peu...
- Speaker #0
Après, on a eu cette chance de... L'épicerie nous appartient à nous propres.
- Speaker #1
D'accord.
- Speaker #0
Encore un peu à la banque, mais du coup, c'est un investissement personnel aussi. Alors ici, on est dans un vieux bâtiment. C'était un ancien hangar dans lequel il y avait une réparation de vélo jusque dans les années 1950. Ça a été racheté par un couvreur qui en a vite fait plutôt une rallonge de sa maison. Donc quand je suis arrivée ici...
- Speaker #1
Alors comme vous avez fait des recherches, il y a eu des échecs.
- Speaker #0
Il y a eu des échecs. On a visité des lieux qui n'étaient pas adaptés et chers. Et on était locataires. Et un jour, à la mairie, on me dit, voilà, on a un local. Nous, on devait l'acheter. Mais si tu es partante pour acheter toi, vas-y. Donc là, il a fallu aller voir les banques. Savoir, est-ce qu'on peut, avec le projet, investir en plus dans un local et avec beaucoup de travaux. C'était très gris, très sale. Enfin, sale, non, pas sale, mais ça baignait dans son jus. Vétuste, quoi. Vétuste, vétuste. Donc, on a fait. Passer six mois à tout déblayer.
- Speaker #1
Ça veut dire que la banque a dit oui.
- Speaker #0
Ça veut dire que la banque a dit oui, sinon je ne serais pas là.
- Speaker #1
Donc après plusieurs échecs, il y a eu des grandes réussites.
- Speaker #0
Mais bien sûr.
- Speaker #1
Et alors comment on s'organise quand on arrive ici, qu'on fait ce qu'on a fait les travaux ? Après, c'est un métier quand même assez complexe d'aller chercher tous les fournisseurs.
- Speaker #0
Alors ça s'est fait au même temps. Quand les travaux ont commencé, j'étais encore en poste. Donc ma journée, c'était le matin, je me préparais les enfants, j'allais travailler. Je rentrais le soir, on allait aux travaux et on rentrait, il était 21h et les enfants n'avaient pas mangé. Une fois que les enfants étaient couchés, c'était le projet. Je ne me couchais pas avant minuit, une heure. Donc ça, ça a duré jusqu'en juin.
- Speaker #1
Tu continues de te former sur les nouveautés, sur comment on gère le mieux ce type de boutique en rack, parce que c'est quand même très niche.
- Speaker #0
J'essaie de me former un peu plus sur les réseaux sociaux. La communication, c'est peut-être la partie où j'ai le plus de mal.
- Speaker #1
Et tu as eu des aides financières ?
- Speaker #0
J'ai eu des aides financières de la part d'une association des cigales, qui s'appelle Coup de Pouce, qui est dans la commune, qui venait juste de se monter, de l'AIE. Les cigales, c'est une association de citoyens qui veulent investir dans des petites entreprises, qui ont des besoins, et ça leur permet de déduire des impôts. Et ça,
- Speaker #1
c'est toujours toi qui as trouvé, qui as cherché et qui as trouvé.
- Speaker #0
Oui.
- Speaker #1
Et comment tu cherches ? Internet, du réseau ?
- Speaker #0
Parce que c'était dans la commune, ça s'est fait. Parce que tu parles avec les gens. Oui. Et puis, je n'étais pas toute seule à être en projet. J'avais mon maraîcher qui était en projet aussi. D'ailleurs, c'est lui qui m'a dû me parler des cigales. J'ai aussi un prêt par initiative qui est en lien avec la CCI, la Chambre de commerce et d'industrie. Et puis, j'ai un prêt aussi au niveau de mes beaux-parents.
- Speaker #1
Qui ne sont pas du coup ni une association ni un organisme.
- Speaker #0
Non, mais qu'on remercie. Oui, qu'on remercie chaleureusement. Je les rembourse tous les mois, comme les autres d'ailleurs. Et puis, le dernier prêt, bien sûr, le plus gros, c'est celui de la banque. Bien sûr. Si on se tourne, on a le rayon enfants. Donc, avec des gourdes pour les enfants, des peluches.
- Speaker #1
Des poteaux, des opinels.
- Speaker #0
Tes opinions spéciales, enfant, quand même ! C'est pas vrai ! Mais si ! À partir de 7 ans ?
- Speaker #1
Mais non ! Donc, tu t'installes dans ta boutique, tu commences à placer tes produits. Comment se fait une clientèle ? Comment tu t'es fait connaître ?
- Speaker #0
Alors, j'ai commencé, avant l'ouverture de la boutique, à faire des marchés. Ah, c'est marrant ! J'ai fait quelques marchés dans ma colline pour commencer justement à dire aux gens, ben voilà... Je vendrais ça. Alors, il y aura plein d'autres choses, mais voilà, j'ai déjà quelques cosmétiques, j'ai déjà des produits d'entretien, j'ai déjà quelques accessoires. Qu'est-ce que vous en pensez ? C'était très intéressant à faire parce que ce n'est pas facile d'apprendre à connaître 800 produits des premiers coups. Donc, il a fallu que j'apprenne ces produits-là et c'était très bien de le faire au fur et à mesure du temps. Et puis, il a fallu tester, bien sûr. Et les clients aussi ont pu tester. Et puis, comme ça leur a plu, ils ont pu en discuter. Donc, le jour de l'ouverture, j'ai eu des clients qui connaissaient déjà quelques produits. Ah ! Voilà.
- Speaker #1
C'est génial parce que tu as vachement été aidée, tu as accepté l'aide de tout le monde.
- Speaker #0
Il faut. Oui. Tu ne peux pas faire ça tout seul.
- Speaker #1
Parce que ça génère quand même beaucoup de stress. Tu m'en avais parlé, tu ne dors pas à fond la nuit.
- Speaker #0
Forcément, quand tu te couches le soir, tu te dis, il ne faut pas que j'oublie ça. Tiens, oh ma zut, j'ai oublié de ranger ça à tel endroit. Il ne faut pas que j'oublie demain matin. Oui. Mais après, on est très fatigué aussi. La nuit, c'est rare maintenant que... que je fasse des insomnies, ce qui m'arrivait assez régulièrement avant. Donc, j'ai toujours le stress, mais ce n'est pas le même qu'avant.
- Speaker #1
Financièrement, tu t'en sors ?
- Speaker #0
Je me paye très peu et c'est grâce aux salaires de mon mari, pour l'instant, qu'on s'en sort. D'accord. Voilà.
- Speaker #1
Mais qu'est-ce que c'est l'objectif et qu'est-ce que tu vois pour l'avenir ? Tu vas y arriver à te payer ?
- Speaker #0
Oui, je vais y arriver.
- Speaker #1
Tu vas t'en rappeler tout ce que tu as remboursé déjà ?
- Speaker #0
Déjà, j'aurais fini mes trois prêts. Déjà, si je peux en finir au moins deux, ça fera déjà un petit peu de salaire supplémentaire. Mais oui, dans le... l'idéal, ça serait que j'ai au moins un SMIC. Net.
- Speaker #1
Ok.
- Speaker #0
J'aime bien que tu précises.
- Speaker #1
Net. Tu es heureuse quand même ?
- Speaker #0
J'adore ce que je fais.
- Speaker #1
J'ai l'impression. Quand on rentre chez toi, parce que c'est chez toi en fait. Oui,
- Speaker #0
c'est chez moi. C'est justement mon deuxième chez moi.
- Speaker #1
Quand on rentre, on sent que tu es passionnée et que c'est tellement joliment fait qu'on sent la passion. Donc, ça enlève tous les côtés désagréables, j'imagine.
- Speaker #0
Oui, il y en a. Il y en a forcément des côtés désagréables. Et oui, c'est vite effacé par... Par le sourire des clients, par c'était trop bon ou dis-donc, ce que tu as fait, c'est chouette, comme tu viens de le dire, ton magasin est trop beau. Le nombre de fois où je peux l'entendre, ça met du baume au cœur. Oui,
- Speaker #1
t'es alignée avec les valeurs que tu as réellement à l'intérieur.
- Speaker #0
Tout à fait.
- Speaker #1
Alors ça, je le demande toujours à la fin de l'épisode. Quel est ton conseil à la personne qui souhaite opérer une reconversion ? Et qui se dit, je ne sais pas ce que je fais, mais j'ai envie.
- Speaker #0
Il faut être bien entouré, bien sûr. Surtout, ne pas se décourager. S'il y a des moments négatifs, laissez ça de côté. Et puis, il y aura forcément du bon qui arrivera après.
- Speaker #1
C'est joli. En tout cas, ça donne envie. Merci beaucoup,
- Speaker #0
Marie. Merci, Pauline. On va aller manger encore des petits gâteaux.
- Speaker #1
Oui, c'est tout.
- Speaker #0
qui est sorti, c'est tout bon. Maya, c'est parti ?
- Speaker #1
Oui, c'est parti. Merci Marie-Lou.
- Speaker #0
Merci à toi, à tous les gestionnaires et à vous aussi.
- Speaker #1
Merci à toutes et à tous d'avoir écouté cet épisode de Nouveau Cap. J'espère que vous avez passé un bon moment. Ce podcast vous est proposé par IDEO, le service public de l'orientation en Bretagne. IDEO vous accompagne dans vos aventures professionnelles, que vous soyez collégien, lycéen, apprenti, étudiant et adulte en recherche d'emploi ou en reconversion. Le site ideo.bretagne.bzh vous offre des informations essentielles sur les métiers, les formations, les aides, les financements et les lieux d'information. N'oubliez pas que chaque pas vers le changement est une occasion de grandir et de se réaliser pleinement. Alors restez à l'écoute pour de nouvelles histoires inspirantes sur Nouveau Cap.