Speaker #0Bienvenue dans le podcast Oser l'aventure d'être soi Je m'appelle Tiffaine Gualda, passionnée par l'entrepreneuriat, le voyage, mais aussi par l'humain et son potentiel infini d'exploration et de transformation. J'ai commencé jeune, ma quête de sens et mon engagement dans des projets à impact positif m'a amenée dès mon adolescence à parcourir le monde. Aujourd'hui, je crée chaque jour la vie et le métier qui m'inspirent profondément et qui contribuent positivement au monde et j'accompagne d'autres personnes à le faire. Je suis convaincue que la plus grande des aventures est celle qui nous invite à plonger au cœur de ce que nous sommes et de ce qui nous anime véritablement. À travers ce podcast, j'invite chacun à explorer avec moi ce qui le rend vivant, vibrant. et à dépasser ses peurs pour oser pleinement la grande aventure d'être soi. Alors, on y va ? Embarquement immédiat pour un voyage transformateur au cœur de soi. Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast en solo. Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler de digital nomadisme, d'entrepreneuriat nomade, de l'art de vivre en mouvement, de travailler en voyageant, de voyager en travaillant. C'est quelque chose qui fait en réalité partie de ma vie, partie de mon quotidien depuis maintenant plus de deux ans, où on est reparti vivre à l'étranger avec Erwan, mon compagnon. Donc on vit six à sept mois de l'année. au Sénégal, en Basse-Casamance, dans un endroit où on est relativement ancré, où on reste dans le même village, dans la même maison. Et puis, le reste de l'année, quand arrive la saison des pluies, on part en Afrique du Sud, principalement à Cape Town, mais on est aussi beaucoup plus nomades quand on est en Afrique du Sud. On a tendance à changer d'appartement tous les 10 jours, 15 jours, et à vraiment être plus en mode exploration et en mode nomade. Et c'est vrai que j'oublie parfois... fois que ce mode de vie n'est pas du tout le mode de vie de la majorité des personnes. J'oublie que ma norme à moi, c'est l'extraordinaire de quelqu'un d'autre et que c'est un mode de vie qui peut susciter beaucoup de curiosités, beaucoup de questions, beaucoup d'interrogations pour savoir si oui ou non, c'est un mode de vie qui peut nous correspondre, pour savoir quelles sont les qualités d'être, que ça demande de développer, quelle est l'organisation qu'on doit mettre en place et aussi comment est-ce que ça peut être. un levier en fait d'expansion, de développement pour nos activités professionnelles. Tout ça, c'est des thématiques que j'ai abordées en long, en large et en travers dans un atelier que j'ai adoré donner l'année dernière, qui s'intitule Entrepreneur Nomade. pouvez retrouver dans la description de l'épisode. Mais aujourd'hui, j'avais envie de vous parler un petit peu de ce thème, de comment on a vécu les quatre derniers mois en Afrique du Sud avec Erwann, puisqu'on est sur le point de quitter l'Afrique du Sud pour la France. On passe par la France avant de retourner au Sénégal parce que ma soeur se marie la semaine prochaine en France. Et ensuite, on retournera début octobre au Sénégal, dans notre douce et verte Casamance. Et moi, je vais sans doute retourner en avion pour ramener nos bagages et Erwann va probablement descendre par la route. à moto pour un tout nouveau projet entrepreneurial qu'il aspire à lancer qu'il a aussi dans le cœur depuis longtemps et c'est aussi ce que je trouve extraordinaire dans cette vie en mouvement c'est à quel point finalement on est créateur, on est tous créateurs de toute manière mais cette vie particulièrement je trouve qu'elle nous permet de pouvoir vraiment matérialiser tous les rêves tous les désirs qui nous tiennent à cœur et on se rend compte que en réalité il n'y a pas de limite à la créativité et il n'y a pas de limite à ce qu'on est capable de créer Donc ces quatre derniers mois, on a été beaucoup en Afrique du Sud, on a dû quitter l'Afrique du Sud au bout de trois mois pour pouvoir renouveler notre visa sud-africain. Et donc on est parti à l'île Maurice, qui était un pays qu'on ne connaissait pas, mais avec lequel on avait une petite revanche à prendre, puisqu'on aurait dû habiter à l'île Maurice en 2020, pendant huit mois à la période du Covid, et finalement ça n'a pas pu avoir lieu en raison du coronavirus. Alors ce que j'ai envie de vous partager dans cet épisode, c'est déjà quelles sont les qualités d'être. que ça demande pour pouvoir vivre cette vie-là. Parce que c'est une vie de rêve en apparence. Sur les réseaux, on voyage dans des endroits qui sont magnifiques. On a du temps pour nous, on a du temps pour être, on a du temps pour surfer, pour les activités qui nous tiennent à cœur, pour explorer, pour voyager, pour l'aventure. Et c'est vrai que c'est une vie de rêve. Cependant, ça ne vient pas avec aucun effort, avec aucun défi, avec aucun challenge. Et pour moi, ce qui est important de comprendre, c'est que le fait de se créer une vie sur mesure, le fait de créer la vie à laquelle on aspire profondément, qui nous rend profondément vivants, dans laquelle on peut exprimer toutes les parts de soi, une vie qui soit finalement non conventionnelle, qui ne soit pas la vie de la majorité, ça va nous demander de faire des choix qui sont des choix non conventionnels et qui sont des choix que la majorité des gens ne font pas, qui vont un petit peu finalement à l'encontre de la norme sociétale. Ça nous demande de quitter un certain... confort de vie, ça nous demande de quitter un certain environnement qui est connu et d'apprendre à faire bouger ses repères, à changer ses habitudes constamment. Ça nous demande parfois de quitter des proches, de s'éloigner de proches, d'amis, peut-être de compagnons, de partenaires de vie qui ne sont pas alignés avec ce projet de vie qui est tellement important pour nous et qui vibre dans notre cœur et je sais que c'est challengeant parce que moi aussi je suis passée par là. Et puis ça nous demande de quitter un certain système, de s'accrocher d'une certaine norme que l'on a dans notre pays et dans nos normes occidentales. Si comme moi vous avez grandi en Occident, moi j'ai grandi dans un tout petit village de 300 habitants en Haute-Normandie, et donc je n'étais pas du tout prédestinée à vivre cette grande vie de voyage et d'aventure à travers le continent africain. Mais finalement, tout est possible. Tout est possible, et ce que ça va venir nous demander, c'est de faire grandir des qualités d'être à l'intérieur de nous. Pour moi, la première qualité d'être à faire grandir, si vous aspirez à vivre cette vie, ça va être le courage. Le courage, le sens de l'aventure, notre capacité à sortir de sa zone de confort. Ensuite, il va y avoir la débrouillardise, le fait d'apprendre à trouver des solutions, d'apprendre à créer des solutions, à être de plus en plus créatif avec la vie et de moins en moins créatif. Les Sud-Africains emploient souvent l'expression to make a plan c'est-à-dire qu'à un moment donné, dès qu'on rencontre une difficulté, plutôt que de se dire oh là là, on a un problème eh bien on se dit ok, we're gonna make a plan on va trouver une solution, on va faire un plan. Ça demande aussi, et ça pour moi c'est l'une de mes qualités d'être préférées, c'est de faire grandir son sentiment de sécurité intérieure, sa capacité à trouver son ancrage, à trouver sa... stabilité à l'intérieur de soi. Et parfois, il y a beaucoup de personnes qui me demandent Mais comment est-ce que tu fais pour ne pas te sentir perdue, pour ne pas te sentir flottante dans le monde ? C'est parce que je trouve cette stabilité à l'intérieur de moi. Et j'ai appris à réguler mon système nerveux, et j'ai appris à réguler mes émotions, et je me sens en sécurité, en fait, avec moi, tout simplement, et je sais que quoi qu'il arrive, j'ai les ressources à l'intérieur de moi pour faire face à n'importe quelle situation. On a rencontré avec Erwan la semaine dernière un voisin sud-africain qui nous a invité à boire un verre, qui a plus de 70 ans, c'est un aventurier, il était directeur d'une grande compagnie pétrolière à l'époque de l'Apartheid. Et puis finalement, il a démissionné et il est parti pendant plus de 30 ans voyager à travers le monde. Et il nous a rappelé une citation, qui est une citation de Bob Marley, qui dit My home is in my head Ma maison est littéralement dans ma tête. Et moi, je pense que c'est vrai. quand on est un grand voyageur, un grand aventurier, on développe cette capacité finalement à emmener sa maison avec soi parce qu'elle est à l'intérieur de soi. Et moi, plutôt que de l'imaginer dans ma tête, je la visualise vraiment comme étant plutôt ancrée dans mon corps, dans mes sensations physiques, dans ma capacité à me ramener à l'instant présent. Ensuite, pour moi, le fait de vivre cette vie de voyage et d'aventure, ça nous demande de faire grandir la discipline et notre capacité à être organisée. Parce que quand on... travaille en voyageant, quand on voyage en travaillant, eh bien, on a ces deux parts, quelque part, à faire coexister. Et il va y avoir beaucoup de distractions, beaucoup d'opportunités de finalement se perdre un petit peu entre les deux, avoir la difficulté à naviguer les deux. On peut vite être tenté de se détourner de nos projets, de nos objectifs, notamment nos objectifs business, entrepreneuriaux. Et donc, c'est important d'apprendre à bien s'organiser, à développer sa productivité. non pas pour travailler plus, mais pour avoir plus de temps, pour avoir plus d'espace, pour pouvoir prendre soin de soi, de ce que moi j'aime bien appeler notre écologie personnelle, et aussi pour pouvoir profiter de la destination qui nous accueille et des personnes qui nous entourent. Et puis enfin pour moi, l'une des qualités aussi vraiment à développer, c'est sa curiosité et son humilité, parce qu'on arrive dans un pays qui a des croyances, qui a des traités. tradition, qu'il y a un mode de fonctionnement qui va être différent du nôtre. Et pour moi, c'est important de ne pas arriver dans une posture de sachant. On a un petit peu cette tendance-là en France, aussi parce qu'on est le pays des lumières, à croire que nous sommes la lumière et que notre vision du monde est supérieure et que c'est nous qui allons répandre la lumière autour de nous. Et je trouve que c'est important de se mettre dans une posture de curiosité, de désapprentissage, de déconstruction pour finalement venir observer qu'est-ce qu'on peut apprendre de nouveau et Comment est-ce qu'on peut, au lieu d'être sachant, acquérir finalement plus de sagesse intérieure en étant simplement à l'écoute des personnes que l'on rencontre dans les voyages que l'on fait ? Et parfois, c'est une sagesse qui va venir d'une rencontre avec un pêcheur, avec un marchand, avec une rencontre fortuite qu'on va pouvoir faire au cours de notre voyage, et c'est important d'apprendre à écouter. Pour moi, le fait d'être digital nomade, d'être entrepreneur nomade, ça a vraiment plein de bénéfices dans ma vie personnelle, mais aussi dans ma vie professionnelle. Et notamment le fait de devoir changer ses repères en permanence. Alors c'est challengeant, en partie. Et en même temps, le fait de devoir changer comme ça son lieu de vie, ses trajets, l'endroit où on fait nos courses, nos habitudes alimentaires, parce qu'en réalité, en fonction des pays, on ne retrouve pas toujours les mêmes pros. produits et notamment quand on est au Sénégal, il y a plein de produits auxquels on n'a pas accès. Quelque part ça nous demande de garder une forme de souplesse mentale, d'agilité mentale et de ne pas s'enfermer dans une vie qu'on vivrait en mode pilote automatique, où on refait toujours les mêmes trajets, où on achète toujours quelque part un petit peu les mêmes produits parce qu'on a pris l'habitude et ça finalement c'est hyper précieux dans notre vie professionnelle et même personnelle parce que ça nous oblige en fait en permanence. à accueillir des idées fraîches, à regarder les choses avec un regard neuf. Et ça, ça permet d'avoir plus d'idées et de créativité dans la façon dont on veut organiser notre vie. Nous, ce qu'on aime bien aussi avec Erwann, c'est voyager de façon légère, donc vivre avec l'essentiel. Alors, on n'a pas tellement l'impression quand on voyage d'être léger, parce qu'on a ici en Afrique du Sud un gros bagage chacun, plus un bagage cabine. On vient tout juste de s'acheter des planches de surf, donc... effectivement quand on voyage, on n'a pas la sensation d'être léger, mais c'est tout ce qu'on possède. On ne possède rien d'autre, à part si on a une moto qui nous attend au Sénégal, et la moto avec laquelle Erwan a fait son grand voyage à moto en 2019 de Paris jusqu'à Cape Town, 20 000 km à travers le continent africain, cette moto-là est toujours avec nous en Afrique du Sud, et on en profite pour aller explorer et se balader. Mais globalement, on possède assez peu de choses et cette vie minimaliste nous convient bien parce qu'elle nous rappelle de ne pas trop s'encombrer. Elle nous oblige à faire du tri régulièrement, à ne garder à chaque fois que l'essentiel. Et pour moi, ça, c'est vraiment un cadeau parce que ça nous permet encore une fois d'être encore plus souple dans la danse et dans le mouvement de la vie. On envisage peut-être d'acheter un pita terre en Afrique du Sud l'année prochaine. éventuellement pour pouvoir le louer, notamment quand on est au Sénégal. Mais voilà, c'est un projet qui reste pour l'instant en discussion. En tout cas, ce qui est certain, c'est qu'on devient aussi de plus en plus créatif dans notre capacité à activer de nouveaux robinets d'abondance grâce à nos voyages. Et ça, c'est quelque chose dont je parle beaucoup dans l'atelier Entrepreneur Nomade, c'est comment faire de ces voyages finalement un levier de développement pour son activité et de quelle manière est-ce que ça peut nous permettre d'ouvrir de nouveaux robinets d'abondance. J'ai aussi envie d'attirer votre attention sur quelques écueils à éviter, quelques pièges dans lesquels on pourrait tomber. Il y a notamment la raison, le motif qui nous pousse à partir. Et pour avoir travaillé dans l'univers du tourisme, notamment avant de me lancer dans l'entrepreneuriat, j'ai observé, j'ai rencontré beaucoup de personnes qui voyagent parce qu'elles fuient certaines réalités familiales, relationnelles, sociétales. Parce qu'elles fuient, voilà, c'est un schéma relationnel. Et ce qui est important de comprendre quand on part vivre à l'étranger, quand on est beaucoup en mouvement, c'est qu'on aura beau changer de décor, on ne va pas changer ce qui est à l'intérieur de nous. Et donc finalement, on va attirer à soi les mêmes situations tant qu'on ne fait pas ce travail intérieur. Puisque vous le savez, notre réalité extérieure est finalement le reflet de notre réalité intérieure. On aura beau partir à 1000, 2000, 10000 kilomètres, on ne pourra pas vraiment échapper à ces schémas. inconscients qui sont à l'œuvre et qui ont tendance à diriger notre vie plus que nous la dirigeons nous-mêmes. Et quelque part, c'est une belle opportunité parce que le fait de voyager, ça va nous laisser aussi beaucoup de temps pour être dans cette introspection et pour faire aussi ce travail de dépouillement ou en tout cas, ce travail de développement, de transformation personnelle. Il y a aussi une croyance qui est souvent répandue quand on pense au digital nomade, c'est cette idée de vivre en vacances. Et pour moi, il y a une vraie différence entre vivre en vacances et vivre en voyage parce que concrètement, c'est aussi du travail de gérer une entreprise. Moi, même si je prends beaucoup de temps pour moi, que j'adore voyager, que j'adore explorer, je passe aussi beaucoup de temps à travailler avec un travail que j'ai choisi dans un cadre, un contexte que j'adore, mais ça reste néanmoins du travail. Et à cet endroit-là, c'est aussi intéressant d'aller observer quelles sont les croyances que vont nous renvoyer les personnes de notre entourage. Parce que si vous avez autour de vous beaucoup de personnes qui vous renvoient que votre vie ressemble à une vie de vacancier, c'est peut-être qu'il y a une part de vous qui juge ce mode de vie, qui ressent de la culpabilité, à profiter de l'endroit dans lequel vous vous trouvez. Et ça peut être intéressant à cet endroit-là d'aller regarder ce qui se joue. pour que vous-même vous puissiez cultiver des croyances qui soient davantage soutenantes et qui finalement respectent votre écologie personnelle, respectent votre écologie intérieure et à considérer en fait qu'on peut tout à fait faire les deux et travailler et en même temps avoir du temps pour soi et pour ce qui compte pour soi. Donc si vous aspirez profondément à vivre cette vie, prenez le temps d'observer pourquoi est-ce que vous avez envie de vivre cette vie, plus vous aurez un pourquoi qui est fort. Plus ce sera facile pour vous, plus vous trouverez les ressources intérieures pour traverser les défis que représentent cette vie de voyageur, de digital nomade, d'entrepreneur nomade. Et plus vous aurez aussi identifié les croyances que vous avez par rapport aux personnes qui vivent cette vie-là, plus ce sera facile pour vous de les déconstruire, de cultiver d'autres croyances et de pouvoir finalement attirer plus d'opportunités de travailler en voyageant dans votre vie. J'avais aussi envie de prendre le temps de répondre à des questions qu'on m'a posées sur Instagram en lien avec la vie de Digital Nomad. Et c'est intéressant parce que c'est quand même souvent des questions qui tournent autour de l'organisation. Et de finalement, comment on parvient, comment je parviens à organiser mon quotidien professionnel et personnel en tant qu'entrepreneur. Donc moi, je viens vous partager ce qui fonctionne pour moi. Mais après, l'idée, c'est que vous puissiez trouver votre propre recette, votre propre façon de fonctionner. Et à cet endroit-là, pour moi, il n'y a pas vraiment de secret. Ce qui est important, c'est de s'autoriser à expérimenter, à explorer, à tester différentes choses et voir ce qui va bien fonctionner pour vous. Donc moi, la façon dont je m'organise, c'est que j'ai un agenda en ligne, un Google Agenda, dans lequel je vais noter mes projets de voyage, dans lequel je vais noter mes déplacements professionnels et dans lequel je vais noter mes grands projets. Si j'ai des grands projets que j'ai envie de lancer, comme une retraite, comme un mastermind, expansion, comme un programme en ligne, ces grands projets-là, je vais les mettre dans mon agenda. Ils vont être placés dans mon agenda plusieurs mois à l'avance, en général un trimestre à l'avance, un semestre. C'est rare que j'ai de la visibilité un semestre à l'avance, mais trois à six mois auparavant. Et ça, ça va me permettre d'avoir de la visibilité pour pouvoir organiser mes voyages autour de ça. autour de ces grands éléments. Ensuite, je vais avoir mes séances avec mes clientes en individuel qui vont être plutôt programmées deux à trois semaines à l'avance. Et donc là, c'est plutôt une vision court terme qui va me permettre d'avoir de la souplesse. Donc moi, la façon dont j'aime bien fonctionner, c'est ce que je transmets, c'est ce que j'enseigne aussi beaucoup dans mon programme Entreprendre Durablement, c'est cette idée de définir un cadre et au sein de ce cadre, d'avoir de la souplesse. Il y a beaucoup de personnes, notamment les amateurs de voyage, sont des grands amateurs de liberté et les amateurs de liberté ont tendance à considérer que le cadre est enfermant. Moi je ne suis pas d'accord avec ça parce que je trouve que le cadre il est là pour être soutenant. Et plus on apprend à poser un cadre, plus on est organisé, plus on fait grandir la discipline à l'intérieur de soi, plus ça va être au service de notre liberté. Du fait de pouvoir avoir ce que moi j'appelle un agenda spacieux pour pouvoir absorber les imprévus, pour pouvoir accueillir la spontanéité, accueillir le mouvement de la vie. Donc c'est vraiment une danse, un équilibre entre cette énergie quelque part du masculin et du féminin. Et pour que le féminin puisse s'abandonner, si vous visualisez une danse, une danse de couple, on a besoin d'avoir un cadre, une structure qui est solide. Et c'est ça qui va nous permettre de pouvoir être dans le flow, le lâcher-prise. accueillir l'inconnu, accueillir la spontanéité. Donc c'est vraiment de cette manière-là que moi je travaille et que je fonctionne aussi dans mon entreprise. J'aime beaucoup parler de cette notion d'agenda spacieux. Toutes mes clientes dans mes programmes, dans mes coachings m'entendent parler de cet aspect-là parce que pour moi il est vraiment clé. Et il y a une question que j'adore me poser à cet endroit-là et à laquelle je veille au grain, c'est est-ce que j'ai un agenda de manager ou un agenda de créateur ? Et un agenda de créateur, pour moi, c'est un agenda dans lequel on va avoir des blocs de temps. Donc des temps où on va pouvoir être créatif, des temps où on va pouvoir rendre du temps pour nous, des temps où on va pouvoir dédier à ce que moi j'appelle des moments deep focus. Donc c'est des moments où je vais couper toutes les distractions extérieures, mettre mon téléphone en mode avion, mettre de la musique, haute fréquence, etc. Et pouvoir vraiment être hyper concentré, hyper... productive sur ce que j'ai envie de délivrer. Donc ça, pour moi, ça nous demande de bien nous connaître, d'apprendre à faire de la place, et aussi de connaître sa cyclicité, sa chronobiologie, pour pouvoir savoir quelles sont nos zones de tranquillité, de productivité, de créativité. Tout ça, j'en parle aussi beaucoup dans mon programme Entreprendre Durablement, parce que pour moi, c'est ce qui contribue à créer le cadre soutenant pour nous, pour notre entreprise, pour qu'elle soit à notre service. et non l'inverse, et qu'elles soient au service de notre écologie personnelle. Je trouve aussi que c'est intéressant de connaître les lieux dans lesquels on est les plus créatifs, dans lesquels on est les plus productifs. Moi, par exemple, j'ai remarqué que je suis très créative dans les lieux publics, très productive aussi, concrètement dans les cafés, dans les espaces publics, avec une mention bonus très très spéciale pour les aéroports. Et dans les aéroports... dans l'avion, c'est un moment pour moi, c'est un boulevard, c'est royal de création, de créativité et donc je me réjouis en fait de savoir que je vais avoir 10h, 13h presque ininterrompues où je vais pouvoir être dans ma bulle et créer en fait que j'ai envie de créer d'une traite. Il y a comme ça des masterclass entières que j'ai créées dans l'avion. L'année dernière, j'avais créé, en revenant de l'Afrique du Sud, mon guide offert pour entreprendre durablement d'une traite. Et donc là, je prends l'avion la semaine prochaine et je commence déjà à faire la liste des choses que j'ai envie de pouvoir préparer dans l'avion. Et il y a notamment cette année des éléments qui sont en lien avec le livre. et le projet d'écriture sur lequel je travaille. Voilà, et puis je garde toujours dans mon organisation un temps dédié à la partie plus administrative dans mon activité, qui en général est le vendredi matin, où là je m'occupe de ma gestion d'activité, de ma comptabilité, et aussi de mes démarches administratives, qu'elles soient en lien avec le professionnel et où le personnel est la partie plus réservation, de billets, de trains, d'avions, les checks à faire sur les passeports, les assurances, ce genre d'éléments. Et je garde évidemment de l'espace pour les activités qui me rendent vivante, qui me permettent de prendre soin de moi, que ce soit le yoga, le surf, la pole dance, les massages ou tout simplement des temps d'exploration ou des temps de qualité à deux avec Erwann, mon compagnie. Encore une fois, le but de notre activité, c'est qu'elle soit notre service. Donc non, je ne culpabilise pas quand je prends ce temps-là parce que je me rappelle pourquoi j'ai décidé de mener cette vie. Et la raison pour laquelle j'ai décidé de mener cette vie, c'est justement pour pouvoir avoir du temps et de l'espace pour ce qui est important pour moi. Et donc à cet endroit-là, pour moi, ça nous demande vraiment d'être très au clair sur quels sont nos critères de réussite. Qu'est-ce qui fait qu'on considère qu'une vie est réussie ? Est-ce que c'est uniquement des indicateurs financiers ? Est-ce que c'est uniquement des indicateurs de statut social ? Et pour moi, il est clair aujourd'hui que parmi les critères qui font que... ma vie est réussie, il y a la qualité et l'apaisement de mon système nerveux, donc la régulation de mon système nerveux, et la quantité de joie, d'enthousiasme, d'amour que je reçois dans ma vie. Ensuite, une autre question qu'on m'a posée, ça ressemble un petit peu, c'est autour du rythme de travail et de finalement comment trouver des lieux et comment trouver de la connexion internet quand on en a besoin. J'aime beaucoup cette question parce que ça faisait partie aussi de mes peurs quand on a décidé de retourner vivre, notamment sur le continent. africains et particulièrement au Sénégal parce qu'il y a souvent des coupures de courant. Alors en réalité, ça arrive aussi en Afrique du Sud. On n'en a pas trop eu cette année, mais en Afrique du Sud, il y a souvent ce qu'on appelle des low-shading qui sont des coupures aussi d'électricité, mais qui sont planifiées par l'entreprise nationale d'électricité ESCOM, qui sont des opérations tout simplement de délestage. Donc, il faut savoir que ça existe. En général, quand ça se produit, il n'y a plus de courant, mais il y a quand même Internet. Si on a bien anticipé, on peut quand même travailler. On peut avoir de la lumière. en branchant sa ring light sur son ordinateur. Voilà, ça nous oblige en fait tout simplement à être créatifs. Et au Sénégal, quand il y a des coupures d'électricité, il n'y a pas d'Internet, mais nous, on fait toujours des cartes SIM locales dans les pays dans lesquels on est. Et donc ça, c'est vraiment quelque chose que je vous recommande parce qu'aujourd'hui, la 4G fonctionne très bien dans la plupart des pays. Elle fonctionne très, très bien en Brousse, au fin fond du Sénégal. Donc j'imagine que ça fonctionne dans le monde entier. Et ça nous assure de pouvoir avoir de la connexion, quel que soit l'endroit dans lequel on se trouve. Et donc, je pense que ça, ça demande simplement de lâcher prise et d'être à l'aise avec le fait que ça fait partie du voyage et que les clientes qui viennent à nous, elles viennent aussi à nous parce qu'on mène cette vie-là. Et donc, nos clients sont très à l'aise du fait qu'on puisse avoir finalement cette problématique, qu'on puisse rencontrer cette problématique, voire ce sera inspirant pour elles de voir comment est-ce qu'on répond à cette problématique-là. Donc pour moi, ce n'est pas du tout un frein. Et d'ailleurs, une question que j'adore me poser, c'est mais si au lieu d'être un frein, c'était un tremplin ? Et par rapport au rythme de travail, je pense que j'ai répondu dans la question précédente, cette idée d'avoir un agenda spacieux, avec des blocs de temps, de repos, de créativité, de travail. Et nous, ce qu'on aime bien faire avec Erwan aussi, c'est de toujours réserver, en tout cas dans la mesure du possible, on réserve des hébergements dans lesquels on a... au moins deux chambres, ce qui nous permet d'avoir un espace de travail au calme, un espace notamment moi d'intimité pour pouvoir mener mes séances de coaching. Et si on peut avoir encore plus d'espace, eh bien, on prend l'option avec joie. Et j'ai envie de prendre le temps de répondre à une dernière question qu'on m'a posée qui est comment parvenir à garder une routine dans cette vie de digital nomade, d'entrepreneur nomade. Alors moi, je dirais que parvenir à garder toujours la même routine, c'est quasiment impossible. Et en même temps, c'est justement le choix qu'on a fait, c'est de pouvoir casser quelque part régulièrement nos habitudes. En revanche, à chaque fois, dans les nouveaux endroits où on s'installe, on va essayer quelque part de recréer une routine selon les différents endroits. Donc, quand on est au Sénégal, on est quand même assez ancré pendant six mois au même endroit. Moi, je vais au yoga une fois par semaine. On a un cours tous les deux avec Erwan, avec un coach sportif privé. une fois par semaine le matin très tôt sur la plage. J'essaie d'aller surfer les week-ends et si je peux y aller parfois aussi une fois en semaine, j'y vais. Et au Sénégal, j'ai une routine que j'aime beaucoup, c'est que je vais me faire masser deux fois par mois. Et ça, j'ai plus de mal à le tenir en Afrique du Sud. En Afrique du Sud, c'est une routine qui est un petit peu plus différente et d'autant plus qu'en fait on bouge régulièrement et on change régulièrement de logement. Mais j'essaie tout de même, à chaque fois qu'on est à Cape Town, d'aller à la pole dance une fois par semaine. Je suis trop trop contente d'avoir repris cette année la pole et d'aller surfer une à deux fois par semaine. Et là, je n'ai pas vraiment de jour parce que ça dépend des vagues et des conditions. Le marais n'attend pas, les vagues n'attendent pas. Donc j'essaie d'avoir un agenda spacieux aussi pour ça, pour pouvoir organiser mon temps. en fonction des conditions extérieures et être plus souple aussi aux conditions extérieures. Et puis, une routine que je garde, c'est que j'aime prendre beaucoup de temps pour lire. En général, je lis tous les soirs. J'essaie de prendre du temps pour écrire plutôt les matins. Mais je ne le fais pas tout le temps. Pour moi, c'est difficile d'avoir une routine qui est 100% régulière. Je ne pense pas forcément même que ce soit souhaitable. Je ne suis pas sûre que ça convienne à tout le monde, cette idée de Miracle Morning, par exemple. Je trouve que c'est bien de prendre les grandes lignes, mais ensuite de se rappeler qu'on est humain, de se rappeler qu'on est cyclique et qu'en fonction de notre cycle, de notre chronobiologie, encore une fois, de notre énergie, il y a des éléments qui vont varier. Moi, j'adapte en fait ma routine aussi en fonction de ces éléments-là. Par contre, il y a des éléments que je garde absolument qui vont être le sport et le mouvement, des moments où je peux vraiment être dans mon corps et me dépenser, avoir des temps d'introspection, passer beaucoup de temps seul, ça c'est important pour moi. et avoir des temps où je vais pouvoir prendre soin de mon énergie en allant me faire masser, en allant me balader, voir un coucher de soleil au bord de l'océan. Ça, ça fait aussi partie de mes noms négociables aujourd'hui, c'est de vivre au bord de l'océan et de pouvoir aller voir la mer quasiment tous les jours, idéalement de pouvoir la voir depuis mon balcon ou depuis de l'appartement, du logement dans lequel on est. Pour moi, il y a un point de vigilance à avoir avec cette idée de digital nomadisme, c'est vraiment le fait de pouvoir... Travailler, alors moi j'ai vraiment cette vision de l'entrepreneuriat qui est une vision de l'entrepreneuriat durable. Et pour moi ça s'applique aussi au voyage. Donc c'est un peu cette idée de finalement de slowpreneuriat ou de slow travel. Cette idée de travailler et de voyager de façon écologique pour soi et pour le monde. Alors évidemment, je ne parle pas forcément d'avion, mais pour moi une des façons de réduire aussi son impact carbone, c'est de rester plus longtemps dans les pays dans lesquels on se trouve. Et donc moi, plutôt que de voyager dans un maximum de pays, cocher les cases pour avoir fait, c'est une expression que je déteste, faire tel et tel pays, je vous invite plutôt à trouver l'endroit du monde qui vibre pour vous, dans lequel vous vous sentez bien, dans lequel vous vous sentez à la maison, où il fait bon vivre pour vous, et de créer pourquoi pas un ancrage local ou semi-local, avec cette terre qui vous accueille, de la même manière que c'est vraiment hyper important pour moi. de pouvoir vivre au contact de la population locale dans les pays dans lesquels je me trouve, d'avoir des amis sénégalais, d'avoir des amis sud-africains. Et en fait, je ne conçois pas, je vois beaucoup de personnes qui voyagent dans certains pays, qui vont vivre au Costa Rica, qui vont vivre à Bali. et qui finalement se retrouvent avec des groupes d'Européens, d'Occidentaux et qui ont très peu d'amis malinés ou très peu d'amis costaricains ou finalement d'amis locaux. Et ça, pour moi, ce n'est pas du tout envisageable. Et si je fais le choix d'habiter dans un pays, c'est aussi pour sa culture locale et c'est aussi parce que j'ai envie de vivre, en fait, tout simplement comme un ou une locale. De la même manière que quand on est parti aller au Maurice, on n'a pas... réserver un hôtel avec piscine devant la plage, mais on a pris un Airbnb chez une mauricienne. On a loué une petite moto pour pouvoir explorer l'île Maurice comme des mauriciens. Et moi, j'adore vraiment cette idée de pouvoir vivre la vie locale, aller faire mes courses comme une locale. Voilà, tout simplement, pour moi, ça coule de sauce. et aussi de pouvoir contribuer à mon échelle à des projets ou à des initiatives locales à impact positif. J'adore l'idée de pouvoir m'engager dans des projets, notamment des projets d'empowerment, d'entrepreneuriat, d'émancipation des femmes ou d'émancipation de la population, des projets aussi en lien avec la terre, d'agroécologie, ou ce genre de projets qui me parlent, qui me touchent, qui me font vibrer et dans lesquels je me réjouis de pouvoir. contribuer, soit à travers mes retraites, soit à travers certaines initiatives auxquelles je participe. Voilà ce que j'avais envie de vous partager à travers cet épisode autour de la vie de Digital Nomad. C'est une vie de voyage et d'aventure qui est immensément riche. C'est une vie qui est intense. C'est une vie, j'ai bien conscience, qui ne correspond pas à tout le monde. Qui vend du rêve sur le papier, mais qui n'est pas de tout repos. Il faut savoir, ça demande vraiment de faire grandir des qualités d'être... à l'intérieur de soi, ça demande vraiment d'apprendre à développer une organisation pour faire en sorte que ce soit écologique pour nous et aussi pour faire en sorte que ça puisse vraiment être un levier de développement pour nos activités professionnelles. Et ça, encore une fois, c'est quelque chose dont je parle beaucoup dans l'atelier Entrepreneur Nomade, que vous pouvez retrouver aussi en descriptif de l'épisode et qui est vraiment une mine d'or d'informations, d'excellentes questions. à vous poser de bons plans si vous aspirez à être entrepreneur nomade. Il est accessible à un prix qui est abordable et je vous le recommande vraiment. On parle aussi de comment gérer des imprévus en voyage, de tout l'aspect hyper pratico-pratique des assurances, des banques, des billets d'avion, d'avoir une société à l'étranger puisque moi aujourd'hui, ma société est matriculée à l'étranger et non en France. Voilà, donc on parle de tous ces aspects-là. Si ça vous intéresse et pour les personnes qui peut-être aspire à vivre, à tester cette vie d'entrepreneur nomade, à goûter aux joies de la vie digital nomade. Et à cet art de vivre et de travailler en voyageant, j'ai conçu l'année dernière une offre que j'adore, qui est ultra exclusive, qui s'appelle l'immersion entrepreneur nomade, qui a lieu au Sénégal, et qui est vraiment en réalité un vie ma vie d'entrepreneur nomade où moi je vous accueille pendant une semaine pour un coaching immersif en présentiel où on va être... travailler sur votre entreprise. Je vais vous accompagner en fait à franchir un nouveau palier dans votre activité, à créer peut-être une nouvelle offre, à travailler sur un projet. Ça peut être revoir votre modèle d'affaires, ça peut être travailler sur un projet d'écriture, ça peut être réaffiner une stratégie de communication ou une stratégie d'offres tout simplement que vous avez. Il y a vraiment cette idée de venir changer de cadre, remettre du mouvement. pour retrouver l'inspiration, la créativité, pour passer aussi par le corps, parce qu'il y a vraiment une grande dimension d'incarner. Et on est pleinement dans la vie, dans son corps. Il y a des cours de surf, de yoga, qui sont ajoutés pendant cette semaine. Et c'est une semaine, en fait, où vous êtes en toute autonomie, logé à quelques pas de chez moi, dans un cadre qui est sécurisé, qui est profondément dépaysant, qui est profondément stimulant, inspirant. unique et on fait de la magie ensemble pendant une semaine. Il y a une à deux places par an. La prochaine immersion aura lieu en novembre et je pense aussi ouvrir une place au mois de janvier. C'est vous qui choisissez les dates qui vous correspondent. Moi, je valide que je suis disponible et c'est une immersion qui peut se vivre en solo ou en duo. Vous pouvez venir en étant deux amis entrepreneurs ou bien vous pouvez venir seul en ayant confiance que vous ferez des rencontres magiques et magnifiques sur place. Je vous laisse aussi toutes les infos dans la description. Si ça vous parle, si vous avez des questions, n'hésitez pas à venir m'en parler en message privé. Je serai ravie de vous répondre. Et dans tous les cas, je vous souhaite à toutes et à tous d'oser vivre profondément la vie qui vous ressemble, de créer en fait sur mesure pour vous la vie qui vous rend profondément vivant, de vous affranchir des codes, des normes, du système dans lequel vous avez grandi. pouvoir créer de nouvelles réalités, de nouvelles opportunités pour vous et pour votre vie, pour votre activité aussi, si vous êtes entrepreneur. Je vous remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. J'espère qu'il vous a nourri, qu'il vous a inspiré, qu'il vous a donné des clés de qualité d'être à faire grandir à l'intérieur de vous. Et je me réjouis de vous retrouver la semaine prochaine pour un tout nouvel épisode. À très bientôt ! Merci pour votre présence. Si cet épisode vous a plu, je vous invite à le partager avec vos proches pour continuer à semer ensemble des graines d'inspiration. Vous pouvez également noter le podcast pour contribuer à le rendre plus visible et vous abonner pour être tenu au courant des prochains épisodes. Enfin, pour suivre mes aventures et connaître l'actualité de mes programmes et accompagnements, retrouvez-moi sur ma page Instagram, Tiffaine Gualda. À très vite !