Speaker #0Bienvenue dans le podcast Oser l'aventure d'être soi Je m'appelle Tiffaine Gualda, passionnée par l'entrepreneuriat, le voyage, mais aussi par l'humain et son potentiel infini d'exploration et de transformation. J'ai commencé jeune, ma quête de sens et mon engagement dans des projets à impact positif m'a amenée dès mon adolescence à parcourir le monde. Aujourd'hui, je crée chaque jour la vie et le métier qui m'inspirent profondément et qui contribuent positivement au monde, et j'accompagne d'autres personnes à le faire. Je suis convaincue que la plus grande des aventures est celle qui nous invite à plonger au cœur de ce que nous sommes et de ce qui nous anime véritablement. À travers ce podcast, j'invite chacun à explorer avec moi ce qui le rend vivant, vibrant. et à dépasser ses peurs pour oser pleinement la grande aventure d'être soi. Alors, on y va ? Embarquement immédiat pour un voyage transformateur au cœur de soi. Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans cet épisode en sous l'eau. Aujourd'hui j'ai envie de vous parler du thème d'oser revendiquer sa place. Et pour ça, je vous emmène dans les coulisses de la conférence que j'ai donnée à Bruxelles le week-end dernier, à l'occasion d'un événement qui était organisé par Margot Hamann, qui a été l'une de mes mentors pendant de nombreuses années, qu'il est toujours aujourd'hui par mon éparveau. Et j'ai eu l'opportunité de me rendre à l'événement qu'elle a organisé autour de la manifestation et du pouvoir de l'intention à Bruxelles le week-end dernier, qui rassemblait environ 86 femmes, et dans lequel j'ai eu l'occasion de donner une conférence. Et c'est de ça dont j'ai envie de vous parler. Dans cet épisode, dont la structure va être un petit peu différente des autres, je vais d'abord vous parler de comment ça s'est passé pour que je puisse revendiquer ma place parmi les conférencières. Ensuite, je vais vous lire le talk que j'ai donné devant une assemblée de 86 femmes qui étaient là pour réaliser leurs rêves, qui étaient là pour oser, qui étaient là pour réaliser tout ensemble à quel point tout est possible et à quel point on est créatrice, créateur de notre réalité. Et puis enfin, je vous partagerai la décision un peu folle que j'ai décidé de prendre et de revendiquer. à la suite de ce talk. Alors d'abord, comment est-ce que ça s'est passé ? En réalité, l'événement organisé par Margot était autour du pouvoir de l'intention de la manifestation et c'était aussi une opportunité pour elle de donner la scène à 15 de ses clientes de l'année qui sont dans le mentorat qu'elle organise et qu'elle anime cette année, afin qu'elles puissent, chacune, partager une histoire de vie, un message fort impactant avec toute l'Assemblée. Et donc moi, je ne faisais pas partie de ces 15 femmes, je ne suis pas dans le mentorat annuel qu'elle a créé. En revanche, lorsqu'elle a annoncé l'événement et annoncé le fait qu'il y avait des conférencières lors de l'événement, j'ai senti à l'intérieur de moi l'élan qui me disait très clairement que j'avais envie d'en être, que j'avais envie d'être sur scène, que j'avais envie de pouvoir prendre la parole, d'être parmi les speakers. Et sur le coup, je n'ai rien dit, je n'ai rien demandé parce que je me suis très vite raconté des histoires, très vite mon mental est monté au créneau en me disant... Oh là là, mais de toute façon, c'est pas ta place, tu fais pas partie de ces clients de cette année. Et puis, t'auras jamais le temps d'organiser un talk, parce que pour la petite histoire, et pour les personnes qui ne le savent pas, je vis entre le Sénégal et l'Afrique du Sud avec mon compagnon. Et donc, j'étais en Afrique du Sud jusqu'à il y a une dizaine, une quinzaine de jours, et on est rentrés en Europe simplement pour le mariage de ma sœur. Et donc, les deux dates coïncidaient très bien, puisque l'événement avait lieu une semaine après. Et donc, moi, j'avais très peu de temps pour organiser ce talk avec... Le déménagement, le mariage, les événements, l'atelier notamment que j'ai organisé au mois d'août pour les personnes qui souhaitent oser lancer leur podcast. Et donc très vite en fait quand on a un élan qui vient du cœur, le mental s'emmêle et trouve un million d'excuses pour ne pas participer. Et puis par la suite j'ai vu sur Instagram dans les stories qu'elle a partagé qu'une personne qui était extérieure à son groupe de mentorat allait donner une conférence. Et que d'ailleurs il restait une place. Et donc j'ai décidé de lui écrire. et de demander de revendiquer la dernière place pour pouvoir faire partie des conférencières. Donc ça, ça fait déjà partie des éléments que j'ai envie de partager parce que ça a été magnifique pour moi de donner ce talk et ça n'aurait pas eu lieu si je n'avais pas revendiqué ma place. Ensuite, j'ai aussi envie de vous partager que ça a été tout de même un défi pour moi, déjà en termes de temps, comme je voulais signaler parce que j'avais très peu de temps pour organiser cette conférence. Et c'est ok, parce que comme je le dis souvent, j'adore travailler dans l'urgence. J'en ai beaucoup parlé dans l'épisode que j'ai fait il y a deux semaines sur la procrastination. Donc c'est ok, quelque part, d'avoir eu ce temps court. Le véritable défi pour moi de cette conférence, ça a été la concision. ce n'est vraiment pas mon point fort, vous le voyez peut-être à travers le podcast. Et là, il s'agissait de réaliser un talk de 8 minutes. Une minute, c'est très court. En même temps, j'ai réalisé que c'est énorme, tout ce qu'on peut dire en 8 minutes, j'en avais pas idée, mais ça a été vraiment un exercice challengeant de réussir à résumer ma pensée sur une thématique dont je pourrais en réalité parler des heures. Et puis, le dernier défi, évidemment, ça a été le track. de l'événement, puisqu'il y avait 86 femmes dans cette assemblée, c'est mon deuxième plus grand public, ça m'était arrivé par le passé d'être speaker lors d'un événement, c'était la compétition nationale d'entrepreneuriat social à laquelle j'ai participé il y a bientôt déjà dix ans de ça. Il y avait 500 personnes dans la salle, mais je n'étais pas seule à prendre la parole, nous étions quatre, et donc c'est quand même un exercice différent d'être speaker en solo devant une assemblée de personnes. Donc le talk en question... est disponible sur Instagram. Vous pouvez le retrouver avec le son et l'image. Mais ça me tenait à cœur de pouvoir aussi le partager dans le podcast pour les personnes qui n'ont peut-être pas Instagram ni YouTube, parce qu'il sera aussi sur YouTube dans les jours qui viennent. Et je vais vous lire donc, et ensuite je vous partagerai quelle est la décision un peu folle que ça m'a donné envie de revendiquer. Je ne suis pas légitime. Ma présence ici est une imposture. Et j'ai peur. que l'on s'en rende compte. Je ne suis pas légitime. Ces cinq mots et la croyance cachée derrière ont failliment empêché de vivre toutes les plus belles expériences de ma vie. Toutes, sauf une. Lorsqu'à 16 ans, suite au burn-out de ma mère, je suis partie réaliser une mission d'aide au développement en Ghana. Mon désir de contribution et l'appel profond du continent africain étaient tellement forts qu'à aucun moment Je n'ai questionné ma légitimité. C'est plus tard, lors de mes études, en arrivant dans le monde professionnel, que j'ai commencé à douter, lorsqu'on m'a demandé pourquoi on devrait me choisir moi, plutôt qu'une autre. Quelle était ma valeur ajoutée ? Lorsque j'ai compris que mon numéro sur un classement pouvait limiter mes possibilités. Alors, comme 70% de la population qui ressent au moins une fois le syndrome de l'imposteur au cours de son parcours. J'ai commencé à ne pas me sentir assez. Et lorsque s'est présentée devant moi l'opportunité de ma vie, celle qui a tout changé, devenir présidente d'une association d'entrepreneuriat social à l'âge de 22 ans, qui œuvrait à la fois en France et en Afrique de l'Ouest, j'ai failli refuser. Mon cœur rêvait de saisir cette opportunité. Ma tête, elle, était pétrifiée. Qui est-ce que je suis, moi, pour oser ? revendiquée, la première place. Pas secrétaire, pas trésorière, présidente. Et si c'était trop grand pour moi ? Et si je n'étais pas à la hauteur ? Et si je n'étais pas légitime ? En réalité, ce n'est pas le fait d'avoir ces pensées qui posent problème. C'est même plutôt bon signe. Ça signifie qu'on s'apprête à faire quelque chose de nouveau. Le problème, c'est de décider de les croire. J'étais sur le point de renoncer lorsqu'une phrase prononcée dans un discours célèbre sur les droits des femmes, la même année, a fait basculer mon choix. If not me, who ? If not now, when ? Si ce n'est pas moi, alors qui ? Et si ce n'est pas maintenant, alors quand ? Cette phrase m'a donné le courage de répondre à l'appel de mon cœur. Ce soir-là, je me suis présentée et j'ai été élue. Je me souviens ne pas avoir fermé l'œil de la nuit tellement je tremblais face à ce qui m'attendait. Et pourtant, un an après, mon équipe remportait pour la toute première fois de son histoire la compétition nationale d'entrepreneuriat social. Et je partais représenter la France à Johannesburg, en Afrique du Sud, pour un projet que je développais à l'époque. Au Sénégal, Afrique du Sud, Sénégal, entrepreneuriat social, les graines de mon avenir étaient déjà plantées. Notre présent est la somme des choix que nous avons fait dans le passé. Notre futur, lui, est la somme de ceux que nous faisons dans le présent. Oui, mais depuis quel espace choisissons-nous vraiment ? Depuis notre potentiel illimité ? Ou depuis cette voix en nous qui nous dit que quoi que nous fassions, nous ne serons jamais assez ? Cette expérience m'a appris une leçon que je n'ai jamais oubliée et que je me réjouis de transmettre à présent. La légitimité vient en faisant. Il ne faut pas attendre de se sentir légitime pour se lancer. Et au contraire, c'est parce que je vais me lancer et que je vais pratiquer, pratiquer, pratiquer encore que je vais renforcer mon sentiment de légitimité. Cela demande de se donner l'autorisation d'être débutant, c'est-à-dire imparfait. De s'autoriser à viser la progression plutôt que la perfection. De mettre toute son attention sur le processus plutôt que de se mettre la pression du résultat. De choisir d'honorer le voyage plutôt que de sacraliser la destination. Parce que ce qui compte véritablement, ce sont les expériences que l'on vit, ce sont les relations que l'on tisse en chemin, et c'est inévitablement la personne que l'on devient de l'autre côté de l'aventure. Se donner l'autorisation d'être débutant. Cela demande du courage et de la vulnérabilité, bien plus que des compétences. Comme dit Julia Cameron, c'est l'audace et non le talent. qui amène l'artiste sur le devant de la scène. Trop souvent, nous nous demandons Qui est-ce que je suis pour oser rêver grand ? En réalité, qui sommes-nous pour ne pas le faire ? Qui sommes-nous pour priver le monde de ce que nous avons à offrir ? Et si, au lieu de braquer la lumière vers soi et sa peur d'être jugée, on apprenait à retourner le projecteur vers l'autre et l'impact que l'on peut avoir auprès de notre communauté ? Et si ça pouvait faire la différence dans la trajectoire de vie d'une personne, est-ce que ça n'est pas déjà bien assez ? Ces dernières années, apprendre à dépasser le syndrome de l'imposteur m'a permis de rencontrer l'homme avec qui je partage ma vie, puis bientôt 7 ans, alors que je le trouvais trop intelligent pour moi. D'oser créer mon entreprise à l'âge de 26 ans, alors que j'étais plus jeune que toutes mes clientes. De devenir l'animatrice d'un podcast. alors que je tremblais à l'idée de porter ma voix, d'organiser des retraites au Sénégal, alors que je ne m'étais moi-même jamais rendue à ce genre d'événement, de participer le mois dernier à ma toute première compétition de surf féminin en longboard en Afrique du Sud, alors que je suis loin d'avoir un niveau confirmé, de commencer à écrire un livre sur l'entrepreneuriat durable, alors que je ne suis pas encore une experte renommée du sujet, et tant de projets merveilleux, absolument. imparfait. Bien sûr, il existe d'autres entreprises de coaching, d'autres podcasts, d'autres livres. Bien sûr, tout a déjà été dit, mais jamais par moi. Avec ma vision, mon histoire, mon énergie, ma singularité, j'ai troqué le concept de valeur ajoutée pour celui d'unicité. Je ne cherche plus à prouver que je suis meilleure que les autres, simplement à exprimer pleinement celle que je suis. Et plus je m'autorise. Plus je permets à d'autres de s'autoriser, car, dans le fond, on peut tous être l'expert de quelqu'un d'autre. Il suffit d'être à l'étape d'après. Je crois que le monde a besoin de personnes qui osent pleinement la grande aventure d'être soi. Je suis convaincue que nous pouvons tous devenir un maillon de cette grande chaîne d'inspiration et d'activation, à condition que nous osions occuper pleinement notre place. Alors ? J'ai envie de vous demander, quel est le prochain rêve que vous souhaitez réaliser ? Quel est le prochain risque que vous allez prendre ? Qu'est-ce que votre âme vous appelle à faire ? Quitter ce job, réaliser ce voyage, entreprendre ce projet. Et si vous décidiez de répondre à l'appel ? Et si vous vous donniez l'autorisation d'être débutant ? Et si votre courage pouvait faire la différence ? dans la trajectoire de vie d'une personne. Et si ce n'est pas vous qui le faites, alors qui ? Et si ce n'est pas maintenant que vous le faites, alors quand ? Voilà pour le talk que j'avais à cœur de vous partager. Si vous avez regardé la vidéo sur Instagram, vous avez peut-être remarqué qu'il y a des phrases qui ont été dites un peu différemment. Là, j'ai lu la version originale, qui n'est pas exactement celle qui est ressortie pendant l'événement. Et c'est OK. parce que comme j'aime bien dire et comme disait souvent ma prof de pole dance, le public ne connaît pas la choré. Et donc quand il y a des hésitations, quand il y a des phrases qu'on a dites dans le désordre, eh bien c'est ok parce que c'est du vivant. Et c'est aussi ça la magie du direct. J'ai été très touchée de pouvoir donner ce talk. J'ai été infiniment émue par le nombre de femmes qui sont venues me voir à la suite de cette conférence. Certaines qui étaient en larmes. et qui m'ont partagé que ça leur donnait l'autorisation, elles aussi, d'oser porter leur voix, d'oser porter leur message. d'oser peut-être avancer vers leurs rêves, vers ce projet d'entreprise, vers ce projet d'écriture, vers ce projet de podcast. Et ça m'a donné, moi aussi, l'envie d'oser revendiquer plus grand. Je me suis vraiment rendue compte qu'il y avait l'âme d'une speakeuse, une speaker en moi, et qu'il était temps de la faire vivre davantage, de laisser peut-être plus d'espace à cette part-là de moi. Alors j'ai décidé d'oser candidater pour un TED Talk, les conférences TED. que peut-être vous connaissez et si vous ne les connaissez pas, je vous invite à taper tête haute et à aller découvrir les merveilleuses conférences de tant et tant de personnes qui sont passées par là pour délivrer un message puissant sur scène. C'est un véritable challenge et j'aime beaucoup l'idée de vous le partager. J'ai décidé de revendiquer ma place, que je le fais avec la trouille, que je le fais avec le syndrome de l'imposteur et c'est ok parce que j'entends ces voix. Dans ma tête, j'entends ces pensées circuler et je décide de ne pas les croire et je décide de ne pas les laisser me limiter. Je n'ai aucune idée de quel sera le résultat, je ne sais pas si je serai sélectionnée, mais c'est ok parce que je décide de mettre mon attention sur le processus et je décide que quoi qu'il arrive, le fait de revendiquer ma place et d'envoyer ce message à l'univers que je suis prête à plus de visibilité, à plus de prise de parole en public, je sais. que mon message sera entendu, que ça passe par un TED Talk ou que ça passe par d'autres expériences, que je vais attirer, que je vais manifester à moi. Parce que c'est vraiment ça quand il s'agit de manifestation. Et parfois, on attend que l'extérieur nous sollicite, on attend que les opportunités viennent des autres, on attend qu'on nous tende le micro, qu'on nous donne l'opportunité. Par exemple, je suis en train de travailler sur un projet d'écriture et on m'a posé la question récemment, mais est-ce que c'est une maison d'édition qui t'a approché pour écrire un livre ? Non, c'est moi, je décide. je décide qu'il est temps de revendiquer l'écriture, le chapitre de l'écriture dans ma vie. Je décide de revendiquer ma place à la table des entrepreneurs, à la table des conférencières, à la table des auteurs, comme j'ai revendiqué ma place à la table des surfeuses le mois dernier en Afrique du Sud en participant à la compétition. Et ça aussi c'est important parce que j'ai eu l'opportunité d'être interviewée sur la chaîne YouTube de Julien Perron cette semaine. Et en partageant mon parcours, il me disait Ah ouais, mais en fait, t'as de la chance. En tout cas, on pourrait croire de l'extérieur que t'as de la chance. Et c'est important de comprendre que la chance, c'est Anne-Claire Méry qui disait ça, c'est le résultat à la fois d'une préparation intérieure et de la capacité à se saisir des opportunités extérieures. Et pour moi, c'est vraiment ça. C'est comment est-ce que je vais me programmer, programmer mon inconscient pour les miracles. Et c'est aussi d'ailleurs le... le titre de l'épisode de podcast que j'avais enregistré avec Margot Hamann. Donc ça, c'est tout le travail intérieur que je peux faire pour apprendre à mettre de la conscience sur mes pensées, apprendre à faire le tri, apprendre à reformuler certaines pensées en pensées plus soutenantes. Et ensuite, c'est aussi ma capacité à passer à l'action, à me saisir des opportunités, à revendiquer ma place, à quelque part oser occuper ma place dans ce monde parce que nous avons toutes et tous un message à transmettre. Et le monde attend que vous occupiez votre place. Vous n'avez pas idée de qui vous allez inspirer en osant passer à l'action. Tout comme il y a des dizaines de femmes qui m'ont remercié d'avoir donné ce talk, alors que j'ai failli ne pas oser revendiquer ma place pour le faire. Donc je décide que les prochains talks auront aussi beaucoup d'impact et je décide de ne pas laisser la peur m'empêcher de revendiquer ma place. Et c'est vraiment tout ce que je vous souhaite. Saisissez-vous des opportunités. N'attendez pas qu'on vous donne l'autorisation. N'attendez pas d'avoir des preuves à présenter. Décidez que vous allez devenir la preuve, que c'est possible que vous allez devenir la preuve de votre succès. Et si vous avez des rêves, des projets en tête que vous souhaitez réaliser, il est grand temps d'oser revendiquer votre place. Et revendiquer, qu'est-ce que ça signifie ? Je suis allée voir dans le dictionnaire. C'est vraiment cette idée, finalement, de réclamer quelque chose sur lequel on a un droit, et donc vous avez le droit. d'occuper votre place. Vous avez même le devoir de le faire parce que je suis convaincue que le monde a besoin d'histoires inspirantes, on a besoin des uns des autres, de différentes énergies, de différentes visions du monde, de différents récits de vie pour pouvoir se reconnaître, pour pouvoir entendre les résonances et peut-être nous aussi oser passer à l'action. Voilà ce que j'avais envie de vous partager à travers cet épisode au format un petit peu particulier, j'en ai conscience. J'ai aussi envie de vous partager pour les personnes qui aspirent à oser se reconvertir et se lancer dans l'entrepreneuriat, ou pour les personnes qui sont entrepreneurs déjà lancés mais qui ont peut-être envie de venir revendiquer le niveau d'après, de pérenniser leur entreprise ou d'oser lancer un nouveau projet, peut-être un projet de podcast, peut-être un projet de livre ou bien de nouvelles offres. J'ai le plaisir. de réouvrir des places en coaching individuel ce mois-ci. C'est des places qui sont très limitées, il y en aura peut-être une ou deux pour des parcours de coaching de 3 à 6 mois en fonction de votre besoin. Si vous sentez que c'est le moment pour vous de passer à l'action, d'oser revendiquer plus grand, d'oser laisser une place et donner la chance à vos rêves de se réaliser, n'hésitez pas à réserver une séance découverte avec moi. Je vais mettre le lien dans la description de l'épisode. Je mettrai aussi le lien de la conférence avec la vidéo que j'ai donnée, ainsi que des épisodes de podcast que j'ai évoqués, donc celui avec Margot et un épisode plus long que j'avais donné sur la légitimité pour celles et ceux qui se reconnaîtront à travers ce fameux syndrome de l'imposteur qu'il est temps de dépasser pour chacun et chacune d'entre nous. Je vous souhaite une très belle fin de journée, soirée, où que vous soyez et je me réjouis de vous retrouver la semaine prochaine. pour un épisode en duo. A très bientôt ! Merci pour votre présence. Si cet épisode vous a plu, je vous invite à le partager avec vos proches pour continuer à semer ensemble des graines d'inspiration. Vous pouvez également noter le podcast pour contribuer à le rendre plus visible et vous abonner pour être tenu au courant des prochains épisodes. Enfin, pour suivre mes aventures et connaître l'actualité de mes programmes et accompagnements, retrouvez-moi sur ma page Instagram, Tiffaine Gwenda. À très vite !