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Oser l'efficacité : Vers la transformation digitale des entreprises industrielles

Summer Dailean Club 13/45 - Buffers intelligents : pars relax, pas en panique

Summer Dailean Club 13/45 - Buffers intelligents : pars relax, pas en panique

03min |17/07/2025|

12

Play
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03min |17/07/2025|

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Description

Summer Dailean Club 13/45 - Buffers intelligents : pars relax, pas en panique


Ton accès au Summer Dailean Club : https://perrine.systeme.io/summer_dailean


Chez toi aussi c’est le grand duel des marges de sécurité ?
Entre ceux qui partent trois heures à l’avance “au cas où” et ceux qui vivent dangereusement “ça passe, ça passe”… jusqu’à ce que ça casse.


👉 Dans cet épisode, on décortique comment la mauvaise gestion des marges ruine ton efficacité — en vacances comme dans l’optimisation des processus industriels.


Trop de marge ? Tu crées du stock inutile, tu perds du temps et tu stresses pour rien.

Pas assez ? Ton flux s’effondre au premier grain de sable.


Le lean management nous enseigne à placer des buffers uniquement là où c’est critique : tes fournisseurs chroniquement en retard, la machine capricieuse, ou… ton enfant qui refuse de mettre ses chaussures.


Bref, arrête de gonfler toutes tes marges au hasard.

Fais ton petit rétroplanning perso et pars enfin avec l’esprit léger.


Cet été, muscle ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’embarque dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ? Des pertes de temps en production ? Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales vont t'aider à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


➡️ Abonne-toi au podcast pour ne rien rater.
Et chaque vendredi, reçois ton plan d’action et des ressources complémentaires ici :
https://perrine.systeme.io/summer_dailean


Avant de partir, tu peux :

  • 📲 T’abonner pour ne manquer aucun épisode

  • Laisser un commentaire et une note ⭐⭐⭐⭐⭐ si tu aimes le contenu ! Ça m’aide énormément.


Tu peux également me suivre sur LinkedIn et Instagram pour continuer la conversation et rester informé des dernières nouveautés :


Digetik, tous droits réservés. Un podcast réalisé et animé par Perrine Thiébaut

Graphisme et identité visuelle : Elise Rondard

Musique Intro et Outro : Annabelle Thiébaut

Montage : Annabelle Thiébaut


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Aux illéficacités, passe en mode summer day lean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! À la maison, on est de deux écoles bien distinctes. Moi, team trop de marge. Le genre à arriver sur le quai de la guerre 45 minutes à l'avance, au cas où la guerre aurait changé de place pendant la nuit. Mon homme, team marge sous-estimée. Il part pile au moment où il faut, pas une minute de trop. Et ça fonctionne. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Et là, c'est le drame. Comme quoi, nos deux méthodes ont le même point faible. On évalue tous les deux mal notre marge de sécurité. Personne n'a envie de perdre son temps. Moi je redoute la perte ultime, rater le train. Mon mari, lui voit la perte tout de suite. Partir 10 minutes plus tôt, c'est 10 minutes de sommeil en moins. Au final, on a un point commun, on se plante tous les deux. Moi je gonfle les marges pour rien et je stresse pour la forme. Lui, il vit dangereusement et le moindre grain de sable le fait dérailler. Bref, on est tous les deux convaincus de notre méthode et pourtant il y a grandement à redire. En ligne, on parle souvent de buffer, ces petits temps tampons qu'on place volontairement pour absorber les imprévus. Mais pas question de les déterminer au hasard. On le fait par contrainte, c'est-à-dire sur les étapes sensibles, celles qui bloqueraient tout si ça coince, en se basant sur l'historique des données. Ton fournisseur est toujours en retard ? Prends une marge. Cette machine tombe en panne une fois sur deux ? Prends une marge. Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. En revanche, pas besoin de surmarger les étapes qui dépendent uniquement de toi et sur lesquelles tu as la main. Ben oui, quand c'est toi qui décide... tu peux être sûr que tu traiteras des urgences jusqu'à ce que ce soit ta tâche principale qui devienne l'urgence elle-même. C'est humain. Dans l'entreprise, c'est pareil. Trop de marge et tu crées du stock ou des à-coups dans le process, pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Et puis souviens-toi de la loi de Parkinson. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Autrement dit, plus tu te donnes de temps, plus tu trouveras de quoi le remplir. Résultat, ta marge sert à caser des urgences ou à étirer la tâche. Bon. Ça marche moins avec les bouchons sur l'autoroute. Mais l'idée est là. Une marge, oui, mais juste ce qu'il faut. Chez nous, c'est souvent le sketch. Charger la voiture, c'est censé prendre 15 minutes. Sauf que les enfants courent partout, ils ressortent tout ce qu'on vient de ranger, et le doudou qui était posé sur le plan de travail n'y est plus quand il faut monter dans la voiture. Comme par hasard. Alors oui, pour un départ à 10h, je lance le plan charge de voiture à 8h. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Mais quand le doudou décide de se faire la malle, on est bien content d'avoir pris un peu de marge, pour une fois. Voilà ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour éviter le stress du départ. Établis ton rétro-planning de vacances. Liste toutes les étapes avant le départ, avec des délais réalistes. Mets des marges là où tu n'as pas la main. Délai de livraison pour ton nouveau maillot de bain, durée de trajet avec les pauses incluses. Et sois honnête, faire la valise avec des enfants, c'est pas 5 minutes. L'idée, c'est pas de vivre comme un robot, mais de partir avec l'esprit léger. Tu es au cœur du Summer Day Lean. Demain, on parlera de ta liste des indispensables. En mode Lean, aromatisé à la sauce, zéro erreur. Et si tu veux aller plus loin, abonne-toi au Summer Daily Club. Chaque vendredi, tu reçois par mail le plan d'action de la semaine et un bonus surprise. Le lien est dans la description. Oui, oui, c'est bon, j'ai eu mon train. À trois minutes près, il y avait un gros bouchon sur l'autoroute. Oui, en effet, toi tu l'aurais pas eu, oui. Pour une fois que ma marge me sert...

Description

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Chez toi aussi c’est le grand duel des marges de sécurité ?
Entre ceux qui partent trois heures à l’avance “au cas où” et ceux qui vivent dangereusement “ça passe, ça passe”… jusqu’à ce que ça casse.


👉 Dans cet épisode, on décortique comment la mauvaise gestion des marges ruine ton efficacité — en vacances comme dans l’optimisation des processus industriels.


Trop de marge ? Tu crées du stock inutile, tu perds du temps et tu stresses pour rien.

Pas assez ? Ton flux s’effondre au premier grain de sable.


Le lean management nous enseigne à placer des buffers uniquement là où c’est critique : tes fournisseurs chroniquement en retard, la machine capricieuse, ou… ton enfant qui refuse de mettre ses chaussures.


Bref, arrête de gonfler toutes tes marges au hasard.

Fais ton petit rétroplanning perso et pars enfin avec l’esprit léger.


Cet été, muscle ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’embarque dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ? Des pertes de temps en production ? Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales vont t'aider à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


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Transcription

  • Speaker #0

    Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Aux illéficacités, passe en mode summer day lean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! À la maison, on est de deux écoles bien distinctes. Moi, team trop de marge. Le genre à arriver sur le quai de la guerre 45 minutes à l'avance, au cas où la guerre aurait changé de place pendant la nuit. Mon homme, team marge sous-estimée. Il part pile au moment où il faut, pas une minute de trop. Et ça fonctionne. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Et là, c'est le drame. Comme quoi, nos deux méthodes ont le même point faible. On évalue tous les deux mal notre marge de sécurité. Personne n'a envie de perdre son temps. Moi je redoute la perte ultime, rater le train. Mon mari, lui voit la perte tout de suite. Partir 10 minutes plus tôt, c'est 10 minutes de sommeil en moins. Au final, on a un point commun, on se plante tous les deux. Moi je gonfle les marges pour rien et je stresse pour la forme. Lui, il vit dangereusement et le moindre grain de sable le fait dérailler. Bref, on est tous les deux convaincus de notre méthode et pourtant il y a grandement à redire. En ligne, on parle souvent de buffer, ces petits temps tampons qu'on place volontairement pour absorber les imprévus. Mais pas question de les déterminer au hasard. On le fait par contrainte, c'est-à-dire sur les étapes sensibles, celles qui bloqueraient tout si ça coince, en se basant sur l'historique des données. Ton fournisseur est toujours en retard ? Prends une marge. Cette machine tombe en panne une fois sur deux ? Prends une marge. Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. En revanche, pas besoin de surmarger les étapes qui dépendent uniquement de toi et sur lesquelles tu as la main. Ben oui, quand c'est toi qui décide... tu peux être sûr que tu traiteras des urgences jusqu'à ce que ce soit ta tâche principale qui devienne l'urgence elle-même. C'est humain. Dans l'entreprise, c'est pareil. Trop de marge et tu crées du stock ou des à-coups dans le process, pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Et puis souviens-toi de la loi de Parkinson. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Autrement dit, plus tu te donnes de temps, plus tu trouveras de quoi le remplir. Résultat, ta marge sert à caser des urgences ou à étirer la tâche. Bon. Ça marche moins avec les bouchons sur l'autoroute. Mais l'idée est là. Une marge, oui, mais juste ce qu'il faut. Chez nous, c'est souvent le sketch. Charger la voiture, c'est censé prendre 15 minutes. Sauf que les enfants courent partout, ils ressortent tout ce qu'on vient de ranger, et le doudou qui était posé sur le plan de travail n'y est plus quand il faut monter dans la voiture. Comme par hasard. Alors oui, pour un départ à 10h, je lance le plan charge de voiture à 8h. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Mais quand le doudou décide de se faire la malle, on est bien content d'avoir pris un peu de marge, pour une fois. Voilà ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour éviter le stress du départ. Établis ton rétro-planning de vacances. Liste toutes les étapes avant le départ, avec des délais réalistes. Mets des marges là où tu n'as pas la main. Délai de livraison pour ton nouveau maillot de bain, durée de trajet avec les pauses incluses. Et sois honnête, faire la valise avec des enfants, c'est pas 5 minutes. L'idée, c'est pas de vivre comme un robot, mais de partir avec l'esprit léger. Tu es au cœur du Summer Day Lean. Demain, on parlera de ta liste des indispensables. En mode Lean, aromatisé à la sauce, zéro erreur. Et si tu veux aller plus loin, abonne-toi au Summer Daily Club. Chaque vendredi, tu reçois par mail le plan d'action de la semaine et un bonus surprise. Le lien est dans la description. Oui, oui, c'est bon, j'ai eu mon train. À trois minutes près, il y avait un gros bouchon sur l'autoroute. Oui, en effet, toi tu l'aurais pas eu, oui. Pour une fois que ma marge me sert...

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👉 Dans cet épisode, on décortique comment la mauvaise gestion des marges ruine ton efficacité — en vacances comme dans l’optimisation des processus industriels.


Trop de marge ? Tu crées du stock inutile, tu perds du temps et tu stresses pour rien.

Pas assez ? Ton flux s’effondre au premier grain de sable.


Le lean management nous enseigne à placer des buffers uniquement là où c’est critique : tes fournisseurs chroniquement en retard, la machine capricieuse, ou… ton enfant qui refuse de mettre ses chaussures.


Bref, arrête de gonfler toutes tes marges au hasard.

Fais ton petit rétroplanning perso et pars enfin avec l’esprit léger.


Cet été, muscle ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’embarque dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ? Des pertes de temps en production ? Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


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    Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Aux illéficacités, passe en mode summer day lean. Tout l'été, 45 épisodes pour aborder le lean avec légèreté et en tongs. Le but, aiguiser ton esprit process pour attaquer la rentrée avec plein de bonnes idées. Allez, c'est parti ! À la maison, on est de deux écoles bien distinctes. Moi, team trop de marge. Le genre à arriver sur le quai de la guerre 45 minutes à l'avance, au cas où la guerre aurait changé de place pendant la nuit. Mon homme, team marge sous-estimée. Il part pile au moment où il faut, pas une minute de trop. Et ça fonctionne. Jusqu'au jour où la chaussure gauche disparaît mystérieusement juste avant de partir. Et là, c'est le drame. Comme quoi, nos deux méthodes ont le même point faible. On évalue tous les deux mal notre marge de sécurité. Personne n'a envie de perdre son temps. Moi je redoute la perte ultime, rater le train. Mon mari, lui voit la perte tout de suite. Partir 10 minutes plus tôt, c'est 10 minutes de sommeil en moins. Au final, on a un point commun, on se plante tous les deux. Moi je gonfle les marges pour rien et je stresse pour la forme. Lui, il vit dangereusement et le moindre grain de sable le fait dérailler. Bref, on est tous les deux convaincus de notre méthode et pourtant il y a grandement à redire. En ligne, on parle souvent de buffer, ces petits temps tampons qu'on place volontairement pour absorber les imprévus. Mais pas question de les déterminer au hasard. On le fait par contrainte, c'est-à-dire sur les étapes sensibles, celles qui bloqueraient tout si ça coince, en se basant sur l'historique des données. Ton fournisseur est toujours en retard ? Prends une marge. Cette machine tombe en panne une fois sur deux ? Prends une marge. Tes enfants refusent de mettre leurs chaussures ? Prends une marge. Une grosse marge. En revanche, pas besoin de surmarger les étapes qui dépendent uniquement de toi et sur lesquelles tu as la main. Ben oui, quand c'est toi qui décide... tu peux être sûr que tu traiteras des urgences jusqu'à ce que ce soit ta tâche principale qui devienne l'urgence elle-même. C'est humain. Dans l'entreprise, c'est pareil. Trop de marge et tu crées du stock ou des à-coups dans le process, pas assez et ton flux s'effondre au premier imprévu. Et puis souviens-toi de la loi de Parkinson. Le travail s'étale de manière à occuper tout le temps disponible pour son achèvement. Autrement dit, plus tu te donnes de temps, plus tu trouveras de quoi le remplir. Résultat, ta marge sert à caser des urgences ou à étirer la tâche. Bon. Ça marche moins avec les bouchons sur l'autoroute. Mais l'idée est là. Une marge, oui, mais juste ce qu'il faut. Chez nous, c'est souvent le sketch. Charger la voiture, c'est censé prendre 15 minutes. Sauf que les enfants courent partout, ils ressortent tout ce qu'on vient de ranger, et le doudou qui était posé sur le plan de travail n'y est plus quand il faut monter dans la voiture. Comme par hasard. Alors oui, pour un départ à 10h, je lance le plan charge de voiture à 8h. Même si ça fait grimer à ces messieurs qui auraient bien dormi jusqu'à 9h30. Mais quand le doudou décide de se faire la malle, on est bien content d'avoir pris un peu de marge, pour une fois. Voilà ce que tu peux faire dès aujourd'hui pour éviter le stress du départ. Établis ton rétro-planning de vacances. Liste toutes les étapes avant le départ, avec des délais réalistes. Mets des marges là où tu n'as pas la main. Délai de livraison pour ton nouveau maillot de bain, durée de trajet avec les pauses incluses. Et sois honnête, faire la valise avec des enfants, c'est pas 5 minutes. L'idée, c'est pas de vivre comme un robot, mais de partir avec l'esprit léger. Tu es au cœur du Summer Day Lean. Demain, on parlera de ta liste des indispensables. En mode Lean, aromatisé à la sauce, zéro erreur. Et si tu veux aller plus loin, abonne-toi au Summer Daily Club. Chaque vendredi, tu reçois par mail le plan d'action de la semaine et un bonus surprise. Le lien est dans la description. Oui, oui, c'est bon, j'ai eu mon train. À trois minutes près, il y avait un gros bouchon sur l'autoroute. Oui, en effet, toi tu l'aurais pas eu, oui. Pour une fois que ma marge me sert...

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Ton accès au Summer Dailean Club : https://perrine.systeme.io/summer_dailean


Chez toi aussi c’est le grand duel des marges de sécurité ?
Entre ceux qui partent trois heures à l’avance “au cas où” et ceux qui vivent dangereusement “ça passe, ça passe”… jusqu’à ce que ça casse.


👉 Dans cet épisode, on décortique comment la mauvaise gestion des marges ruine ton efficacité — en vacances comme dans l’optimisation des processus industriels.


Trop de marge ? Tu crées du stock inutile, tu perds du temps et tu stresses pour rien.

Pas assez ? Ton flux s’effondre au premier grain de sable.


Le lean management nous enseigne à placer des buffers uniquement là où c’est critique : tes fournisseurs chroniquement en retard, la machine capricieuse, ou… ton enfant qui refuse de mettre ses chaussures.


Bref, arrête de gonfler toutes tes marges au hasard.

Fais ton petit rétroplanning perso et pars enfin avec l’esprit léger.


Cet été, muscle ton esprit Lean en 5 minutes par jour.


Du 1er juillet au 31 août, je t’embarque dans le Summer Dailean Club : un épisode du lundi au vendredi pour parler Lean, optimisation et efficacité — appliqués à tes vacances.


Objectif ? Profiter à fond, sans te laisser polluer par le stress, et préparer en douceur la rentrée.


Tu as un projet de transformation digitale ? Des pertes de temps en production ? Des processus mal maitrisés ? Ou à optimiser ?


Ces petites doses estivales vont t'aider à attaquer tes chantiers de rentrée du bon pied.


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