- Speaker #0
Je suis ravie de te retrouver dans cet épisode un petit peu spécial aujourd'hui, puisque c'est un épisode surprise dans lequel j'ai eu la chance de pouvoir interviewer la toute première femme qui vient du Canada. Voilà, donc le podcast s'expand au-delà de la France, grâce à Ariane, qui est productrice, animatrice. Elle a écrit un super bouquin. Vous allez voir qu'en fait, elle est multi-casquette, multi-talent. Elle monte sur scène. Elle a des rêves plein la tête et elle va au bout de ses rêves, au bout de ses envies. Et elle explique aujourd'hui comment elle a fait ça et comment, quels sont les outils qu'elle donne aux autres pour que chacun puisse aussi bénéficier de son parcours, de son expérience et bénéficier en fait de tous les outils, de tous les incroyables outils qu'elle va partager aujourd'hui. Donc l'épisode, vu qu'on était complètement... passionnée dans cette discussion sera coupée en deux parties. Il y aura une partie qui sortira aujourd'hui et une autre partie la semaine prochaine. Donc n'hésitez pas, vous retrouverez également absolument toutes les informations de Ariane juste en dessous dans la description si vous voulez la suivre, la contacter, commander son magnifique livre, vous aurez toutes les informations. Si vous avez des questions aussi pour Ariane, vous pouvez les laisser juste en dessous. Si vous voulez commenter, noter le podcast, ce sera avec grande joie. Je vous laisse avec Ariane et je me réjouis de passer ce moment avec vous. Bonjour et bienvenue à toi dans le podcast Oser sa voix, qui t'aide à faire de ta voix ton allié numéro une. Je m'appelle Mélany, je suis coach vocale et thérapeute. Ici, je te partagerai toutes mes connaissances autour de la voix. Que ce soit de la technique vocale, mais tu comprendras qu'à mes yeux, La voix, c'est beaucoup plus profond que de la technique vocale, ça touche à l'être. Ensemble, je nous souhaite de conscientiser un peu plus chaque jour qui nous sommes. Éveillons ensemble notre plein potentiel. Incarnons notre essence et prenons notre place, vocalement et physiquement parlant. Ensemble, transformons-nous. Allez, c'est parti ! Alors je suis absolument ravie, j'ai le cœur plein de joie d'accueillir Ariane sur le podcast aujourd'hui.
- Speaker #1
Bonjour, bonjour Mélany. Est-ce que je suis ta première Canadienne sur le podcast ou c'est bon ?
- Speaker #0
Je suis la première Canadienne sur mon podcast.
- Speaker #1
Réussite, victoire !
- Speaker #0
On pèle up ! Je suis vraiment trop trop contente, ça me tient très très à cœur et puis en plus... Comment dire, t'es une femme tellement inspirante. En fait, il va falloir que je te présente en quelques mots si tu es d'accord. Et c'est loin d'être évident parce que, eh bien, Ariane, c'est une femme que je suis depuis pas très longtemps. Mais en fait, quand je t'ai découverte, j'ai eu tellement un coup de cœur que je me suis dit, il faut absolument que j'écrive à Ariane parce que je te trouve très inspirante et vous allez voir qu'Ariane est incroyable, je dirais même multipotentielle. Et donc, je suis très ravie de pouvoir l'accueillir aujourd'hui sur le podcast, puisque si je ne dis pas de bêtises, tu es productrice, animatrice. Tu as fait une animatrice dans une websérie qui s'appelle Les Influencés, n'est-ce pas ?
- Speaker #1
Exactement, oui. Deux fois même plutôt qu'aucune. Deux webséries que j'ai à mon actif. Une websérie plus gourmande. J'allais dans les restaurants. Et Les Influencers, qui est une web-série plus de rencontres inspirantes. Un peu comme tu fais, finalement, ici.
- Speaker #0
J'adore. C'est génial. Tu as écrit un livre aussi. J'ai découvert ça parce que j'ai eu la chance d'avoir un petit peu des backstage avec Ariane. On s'est appelées la dernière fois, puis on a échangé. Et j'ai découvert que tu avais écrit aussi un livre.
- Speaker #1
Absolument. Ben oui, ça fait maintenant quelques années. Et là, je l'ai ressorti, je l'ai amené avec moi. Parce que je sais que tu ne l'as pas encore. mais Chevelure d'une femme d'affaires oui qui est un roman une belle lecture légère donc je ne l'ai pas loin si jamais on en discute aujourd'hui complètement on va en discuter parce que moi je fais partie des personnes tu sais qui adorent lire j'aime
- Speaker #0
bien dévorer les histoires découvrir plein d'univers donc avec plaisir il faut vraiment que je me procure ton livre et puis justement on en parlera aussi pour que toutes les personnes qui puissent écouter cet épisode puissent aussi se le procurer merci Voilà, si le cœur leur en dit.
- Speaker #1
Absolument.
- Speaker #0
Est-ce que tu peux, peut-être en première question, moi j'ai envie de savoir encore plus en détail ton parcours, est-ce que tu peux te décrire, toi, en tant que personne, dans toutes tes activités, dans toutes tes passions, est-ce que tu peux... te présenter, tout simplement.
- Speaker #1
Absolument. Merci, Mélanie, de me recevoir. On se connaît, c'est vrai, depuis pas très longtemps, mais je pense qu'on partage beaucoup de similitudes dans nos parcours et je trouve ça vraiment le fun aussi, cet échange-là de France, Canada. Je trouve que ça ouvre encore plus de portes, plus de possibilités, puis je trouve ça beau, finalement, de voir qu'on se parle pas au même fuseau horaire, pas en même temps, mais qu'on réussit quand même à créer des belles connexions. C'est vraiment cool. Et oui, pour me décrire, en fait, je suis une grande amoureuse de la vie, grande passionnée par beaucoup de choses, entre autres les voyages. Présentement, j'aime beaucoup les voyages. Je suis allée dans votre beau pays cet été, en France. J'ai fait le tour de la France. Mon copain est natif de Champagne. Et sinon, j'adore aussi tout ce qui est relié au domaine de la télévision, des productions vidéo, le milieu artistique. le théâtre, la lecture, évidemment. Si je me suis lancée dans un projet d'écriture, c'est que d'abord, j'aime lire. Donc voilà, j'ai beaucoup de passion, d'intérêt. Puis je dirais que mon parcours a commencé quand même pas mal à l'âge adulte avec l'université. Je suis allée dans un baccalauréat en télévision à Montréal, ici. Et en fait, ça m'a ouvert des belles portes dès le départ. J'ai travaillé sur plein de belles émissions. Peut-être que vous allez connaître, j'ai travaillé sur l'île de l'amour, qu'on appelle ici en France, c'est Love Island. Donc, j'ai travaillé sur la mouture québécoise pendant deux années de suite. Donc, j'ai déménagé au Mexique, en République dominicaine, le temps de ces tournages-là. Donc, plusieurs téléréalités, un souper avec mon ex, que ça s'appelle ici. Je pense que vous avez aussi la formule « un dîner avec mon ex » , ça fait quelques années quand même. J'ai eu la chance de travailler sur des beaux plateaux de tournage. Évidemment, quand il y a eu la pandémie, les plateaux de tournage ont beaucoup changé, en particulier ici au Québec. Je ne sais pas en France comment le milieu de la télévision se porte, mais ici, vraiment, ça a beaucoup, beaucoup changé. Je vois beaucoup de mes collègues qui, soit ont perdu leur emploi ou ont changé de direction. Et moi, je suis allée beaucoup plus vers le web depuis. Donc, je continue de faire du contenu vidéo, des productions vidéo. Un petit peu plus sur le web présentement.
- Speaker #0
C'est super. C'est tellement inspirant ce que tu dis, parce que justement, c'est vrai que depuis le COVID, je crois qu'on s'est tous un petit peu réinventés. On a tous dû un petit peu adapter, entre guillemets. Et je pense qu'il y a plein de projets, peut-être, qu'on avait mis un petit peu sous le tapis, tu sais. On s'était dit, bon, ça, je le ferai plus tard. Voilà, pour le moment, ce n'est pas le bon timing. Mais en fait, le COVID, il a un petit peu tout remis en question. plein de projets, du coup, qui ont pu naître aussi de cette période COVID, je trouve.
- Speaker #1
Mais tellement, tellement par curiosité, est-ce que le podcast est né de cette période-là ou du après pandémie ?
- Speaker #0
Ben oui, en fait, c'est exactement ça, parce qu'attends, parce que j'étais en train de réfléchir dans le temps, mais, ben, alors du coup, un petit peu après, parce que là, il va fêter ses deux ans, le podcast, en janvier 2025. Donc il est arrivé un petit peu après, mais c'est vrai que c'est une idée qui est arrivée petit à petit avec un groupe d'amis avec qui on parlait. Et puis elles m'ont dit, mais pourquoi tu ne ferais pas un podcast, ça serait assez chouette. Puis à la base, je me suis dit, je ne sais pas trop, on verra, pourquoi pas, ça peut être chouette. Et puis en fait, de fil en aiguille, l'idée, elle a mûri. Et puis je me suis dit, en fait, c'est sacrément chouette de pouvoir se lancer dans une aventure comme ça. et puis voilà et tu vois jamais en plus à la base c'est ça qui est assez fou c'est que jamais je me suis dit tiens je vais interviewer des personnes et puis sur le coup tu sais c'est une idée que j'avais un petit peu au fond de moi mais qui me faisait un peu peur j'étais là oh la la mais je sais pas je sais pas si je vais pouvoir faire ça et en fait mais ça a tellement été assez naturel que bah de fil en aiguille tu vois j'aime tellement l'humain en fait que je me suis dit mais allons-y et puis lançons-nous et en fait je crois que ... Je crois que c'est vraiment de cœur à cœur et en fait, ça se passe super bien. Comme quoi, des fois, on a des peurs à la base et puis de fil en aiguille, on dépasse nos peurs. Et aujourd'hui, tu vois, le fait de faire des podcasts comme ça à deux, ça me nourrit énormément. J'adore découvrir le parcours d'autres personnes et les personnes tout simplement.
- Speaker #1
Ah oui, puis bravo, tu le fais bien aussi. On a l'impression qu'en ce moment, on est bombardé de plein de podcasts qui ont émergé depuis encore récemment. Il y en a plein qui voient le jour et moi, je trouve ça nécessaire qu'on en ait plein sur plein de sujets différents parce qu'on est tous différents et qu'on est tous appelés vers des sujets différents. Je trouve tellement pas de mon côté qu'il y en a trop. Au contraire, je trouve qu'ils méritent toute leur place et que c'est encore mieux d'avoir le choix finalement.
- Speaker #0
Oui, complètement. Tu peux choisir vraiment en fonction de ce qui t'appelle. Et puis, comme toi, les, comment dire, par exemple, les influencés, moi, je sais que je les ai écoutés et c'est vraiment pratique parce que tu peux aussi très bien l'écouter dans ta voiture, tu peux très bien l'écouter dans ta salle de bain. Enfin, tu sais, c'est vraiment pratique, je trouve, comment dire, autant. autant des fois dans un podcast on va vraiment avoir que la voix mais des fois on a aussi l'image comme toi et donc du coup en fonction de ce qui nous parle le plus on va être amené à choisir vraiment le contenu qui nous plaît le plus et je trouve ça assez génial mais merci ça me touche beaucoup en tout cas vraiment ça
- Speaker #1
fait plaisir et tu as une belle mission aussi finalement celle de prendre toute sa voix que la voix soit étonnante encore plus présente, encore plus travaillée, encore plus élevée. Ça me parle beaucoup de ce que tu fais.
- Speaker #0
C'est vrai, oui, avec le fait de prendre sa place avec sa voix, etc., délivrer un message aussi, parce que je pense qu'on a tous un message qui nous tient à cœur de partager et puis de pouvoir se l'autoriser aussi. Je trouve ça beau, c'est une belle... ça me tient à cœur en tout cas, oui. C'est comme toi, en fin de compte, parce que c'est ce que tu fais aussi au travers de tous les médias. que tu as eu la chance d'expérimenter, entre guillemets, si on peut dire ça comme ça. Vraiment,
- Speaker #1
puis souvent, finalement, il y a une mission commune que je me suis rendue compte récemment que tous mes projets avaient, tous mes projets qu'on prend, et c'est la mission d'amener de la légèreté, de la joie, se rapprocher de ses rêves. Finalement, chaque projet, même s'ils sont tous différents, ils ont toute cette mission-là commune. Puis c'est drôle parce qu'on parlait de mon livre tout à l'heure, puis quand je parle de mon livre, souvent je vais dire que c'est une lecture qui est très légère. Et je trouve qu'on trouve la légèreté un petit peu poche parfois, on la trouve un peu ennuyante. Des fois, on associe la légèreté à un manque d'intelligence, à un manque de noblesse, alors que je trouve qu'on a tellement besoin de ça en ce moment, avec tout ce qui se passe sur la planète, dans nos vies et tout, comme si on peut avoir de la légèreté.
- Speaker #0
pourquoi pas complètement je te rejoins complètement pour moi c'est la légèreté au contraire c'est ce qui nous fait aussi pétiller c'est ce qui nous fait avec notre joie aussi parce que comme tu dis avec tout ce qui se passe on se déconnecte tellement des fois rapidement de ce qui nous fait vibrer de nos centres d'intérêt de notre joie intérieure et au contraire quand tu as des histoires quand tu as des belles histoires qui te qui te font Qui te font voyager, tu sais, des choses où... Tout de suite, tu vas plus te connecter rapidement avec ce côté pétillon de joie de vivre, d'enfant antérieur aussi, des fois. Moi, je célèbre beaucoup et souvent l'enfant antérieur. Oui,
- Speaker #1
absolument ! Absolument ! Puis quand on a des enfants autour de nous, moi, j'en ai pas encore, mais mes frères ont des enfants, puis de les voir, puis de me remettre à leur âge, j'aime vraiment ça. Je trouve que c'est ça. Ça nous ramène à l'essentiel, finalement, de la vie.
- Speaker #0
Complètement, oui, c'est ça. L'essentiel, et je crois qu'en fait, l'essentiel, il est simple en plus. Parce que, tu sais, des fois, on se complique la vie. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais des fois... Oui,
- Speaker #1
oui, oui.
- Speaker #0
Et quand tu reviens à la simplicité, ça fait tellement, tellement de bien.
- Speaker #1
Absolument, absolument.
- Speaker #0
Qu'est-ce qui t'a amenée, parce que du coup, je sais que tu as même fait de la scène, en fin de compte aussi, tu fais de la scène, tu fais plein de trucs, en fait.
- Speaker #1
Oui, vraiment, vraiment. Je pense que j'ai pas envie non plus de me mettre dans une case seulement parce que, justement, l'enfant intérieur en nous a tellement d'idées, de passions, d'intérêts, que c'est dommage, finalement, de les compartimenter. Et oui, vraiment, depuis que je suis toute jeune, j'ai fait des comédies musicales, du théâtre et tout. Et c'est drôle, à la vie adulte, j'ai rapidement... Un de mes rêves, parce que j'en ai beaucoup, mais un de mes rêves était de travailler à Disney et d'être une princesse. Donc, j'aime beaucoup l'univers de Walt Disney World et tout. Et finalement, en faisant quelques recherches, je me suis rendue compte que c'était un six mois minimum dans sa vie qu'il fallait dédier à ce projet-là pour aller à Orlando, en Floride et faire ça. Et pour moi, ça ne fonctionnait pas finalement dans mon horaire de vie. Et c'est drôle, des fois, ce qu'on souhaite arrive, mais d'une toute autre façon. Et il y a quelques années, il y a une entreprise de ma région qui faisait ça, qui faisait de l'animation. et qui m'ont approchée. Donc, j'ai joué pendant quatre ans La Reine des Neiges. J'ai chanté Libérée, Délivrée toutes les fins de semaine de ma jeune vie adulte. Et j'ai tellement eu de plaisir. Et ça m'a reconnectée autant aux enfants qu'à mon plaisir de jouer. Cool ! Aller faire des costumes, de la musique et tout.
- Speaker #0
J'adore ! Tu vois, en plus, sans le savoir, on est super synchro parce que j'ai fait la même chose. J'ai joué... La Reine des Neiges et je chantais Libéré, délivré. Non,
- Speaker #1
non, non, non, pour vrai !
- Speaker #0
Dans les spectacles de Noël qu'on faisait. Et oui, oui, je te jure, c'est incroyable.
- Speaker #1
C'est donc bien drôle ! Ah, et ce personnage-là qui est un... Tu sais, on s'entend, la Reine des Neiges, quand on dit ça à des jeunes parents d'enfants de 7-8 ans, ils ne sont plus capables d'entendre parler d'elle puis de ses chansons. Mais ça reste quand même un beau personnage que l'univers de Disney a créé. Une belle femme-princesse complètement assumée et très différente aussi. C'était vraiment agréable à jouer.
- Speaker #0
Complètement, oui, c'est clair. J'aime beaucoup son univers, j'aime beaucoup son personnage. Tu peux vraiment aller dans plein de facettes différentes de cette princesse-là. Oui, j'aime beaucoup. Tu vois, comme quoi, pas de hasard.
- Speaker #1
Il y a des synchronicités. Exactement.
- Speaker #0
Qu'est-ce qui t'a amené du coup à oser comme ça, tu sais, tous tes rêves ? Parce que des fois, on a des rêves, mais on les met un petit peu dans une petite boîte et puis on se dit plus tard. Et puis on finit peut-être par les oublier des fois. Qu'est-ce qui, toi, t'a amené à dire non, je vais créer l'opportunité, je vais ouvrir les portes et puis je vais rebondir ? Tu vois, t'aurais pu te dire, mince, Disney à Orlando, ce n'est pas pour moi. Bon, tant pis. j'abandonne. Et non, en fait, c'est quoi qui t'a poussé à aller chercher est-ce qu'il n'y a pas ça dans ma région ? Est-ce qu'il n'y a pas ça ? Tu vois, en fait, pour moi, tu ouvres vraiment les portes des opportunités. Qu'est-ce qui te donne ça ?
- Speaker #1
Bien, je trouve déjà à la base que c'est vraiment triste de laisser de côté nos rêves ou de les trouver inimaginables ou trop grands pour exister. Fait que oui, ça a comme été rapidement mon... Ma mission, vraiment, quand un objectif est grand, c'est comment je peux m'en rapprocher le plus possible. Ça a été ça pour Walt Disney. Aujourd'hui, ce n'est plus un rêve. Je n'ai plus du tout envie d'aller à Disney faire ça. Je l'ai fait. Je l'ai fait, mais à ma façon. Et c'était la même chose quand je voulais écrire un livre. Je n'ai jamais attendu qu'une maison d'édition vienne cogner à ma porte avant d'en écrire un. Souvent, on attend des opportunités. Je l'ai juste écrit. Et à un moment donné, la vie a fait en sorte... qu'il s'est publié, il a trouvé sa boutique parfaite pour être vendu et tout. Tout, c'est comme enchaîné. Et c'était la même chose avec la télévision. Je voulais être animatrice, mais être animatrice en sortant de l'école, ça n'arrive pas souvent. Vraiment pas souvent. Les producteurs ne viennent pas cogner à ta porte. Les producteurs doivent te voir d'une façon ou d'une autre. Et je m'étais dit, à l'université, je m'étais donné un deadline. J'étais complètement investie dans mes études, mais je m'étais dit, le jour où j'ai mon diplôme, je vais animer. Peu importe la façon que ce sera. Ce ne sera peut-être pas sur une grande chaîne de télévision parce que ce ne sera peut-être pas possible. Bien oui, bien oui. Puis comment je peux m'en rapprocher ? Donc, j'ai créé, c'est là que j'ai vraiment créé mon entreprise, ma boîte de production et que j'ai commencé à animer mes propres émissions. C'est devenu aussi un projet d'entrepreneuriat en même temps. Ça m'a apporté d'autres choses. C'est ça que j'aime beaucoup, croire au processus plutôt qu'au résultat.
- Speaker #0
Complètement. Wow, c'est tellement puissant ce que tu dis. Je te rejoins complètement parce que le processus, c'est là où petit à petit, tu apprends aussi à te connaître, tu apprends ce que tu veux vraiment, tu réadaptes. Ça me parle beaucoup ce que tu dis. Ça me parle beaucoup et tu as créé ta propre... En fait, tu as créé tes propres opportunités.
- Speaker #1
À fond. Complètement. Puis j'encourage finalement tout le monde à le faire. Puis parfois, je trouve que le rêve, c'est facile. Parfois, se mettre en action, c'est beaucoup moins facile parce qu'on trouve ça trop gros, trop grand et tout. Mais autant, j'adore les rêves un peu grandioses, puis qui, pour l'instant, ne font peut-être pas de sens, mais un rêve, c'est fait aussi pour donner... une envie de se lever à tous les matins, finalement, de donner une raison d'aller travailler tous les jours, tu sais.
- Speaker #0
Complètement. Oui, ça donne vraiment du sens au rêve, en fin de compte. Et comme tu dis, le passage à l'action, je ne sais pas si tu es d'accord avec ça, moi je dis toujours, tu sais, dans les coachings vocaux, le but, c'est d'avancer pas à pas et petit pas par petit pas. Et de ne pas voir, tu sais, le sommet de la montagne où tu te dis, oh mon Dieu, c'est ce sommet de montagne, je ne vais pas y arriver. En fait, d'y aller petit à petit et d'avoir une sorte de chemin, tu sais, le chemin où tu sais les étapes que tu dois passer, les grosses étapes, entre guillemets. Mais après, tu fais des petits pas. Qu'est-ce que tu en penses de ça ?
- Speaker #1
Exactement, exactement. Puis j'imagine que tu chantes aussi un peu. Si tu as déjà fait l'arène des neiges, j'ai déjà chanté Libéré, délivré. Mais c'est ça, on ne peut pas atteindre la plus haute note dès la première répétition. C'est comme... notre corps, nos cordes vocales ont besoin d'entraînement, on a besoin d'y aller petit par petit, fait que je pense que c'est comme ça dans beaucoup d'aspects de la musique, je suis pas une musicienne mais je me doute que c'est ça aussi fait que ouais, petit pas par petit pas pis finalement souvent ce que j'ai l'impression en entendant les grands de ce monde ceux qui sont arrivés au sommet qu'on a l'impression qu'ils sont au sommet souvent ce qu'on entend c'est que c'est pas nécessairement le top du top qui est le mieux mais C'est vraiment, ça a été les étapes pour y arriver, tu sais.
- Speaker #0
Complètement. Oui, c'est clair. Et comme tu dis, c'est vrai qu'on revient au processus où on va se construire, quoi. Tout se construit. Ta technique vocale, elle va se construire. Comme tu dis, si, par exemple, les notes de libérer, délivrer, elles sortaient comme ça, d'un coup, d'un seul, ce serait génial, mais ça ne fonctionne pas.
- Speaker #1
Oui, ce serait génial. Elle est difficile. Elle n'est pas facile, cette chanson.
- Speaker #0
C'est vrai qu'elle est sacrément technique, mais comme tu dis, en fait, c'est une chanson qui est très, On va répéter une fois, cinq fois, dix fois, vingt fois. Puis en plus, la répétition, on sait à quel point elle est importante pour bien ancrer. Je travaille beaucoup, tu sais, avec la mémoire du corps, la mémoire musculaire. Oui ! Et puis le fait de répéter, petit à petit, tu vas commencer à te dire « Ah tiens, cette note, elle me faisait peur. » Mais en fait, plus je la fais, puis moins elle me fait peur. Jusqu'au moment où tu vas te dire « Ah ben c'est bon, en fait, je prends confiance. » Et puis la note, elle sort. Et puis les cordes vocales, elles auront eu le temps de faire leur travail aussi pour bien se dynamiser.
- Speaker #1
Exactement.
- Speaker #0
C'est vrai que tout, même les mises en scène, tu sais, plus on va faire confiance à notre corps, plus on a répété notre mise en scène, et puis plus c'est automatisé, si on peut dire.
- Speaker #1
Exactement, ouais.
- Speaker #0
Quand on t'entend comme ça, avec justement animatrice, t'as écrit ton livre, enfin, t'es sur scène, on peut se dire, tu sais, de l'extérieur, on peut se dire, mais en fait, tu sais, Est-ce que c'est facile ? Ou est-ce qu'il y a eu vraiment des challenges dans ce parcours-là ? Parce que souvent, on voit le résultat, justement, et on se dit, j'aimerais trop, ça m'inspire vraiment. Et puis, on a l'impression que ça s'est fait. On ne se rend pas compte, en fait. C'est comme quand tu vois un spectacle. Tu te dis, oh purée, ce spectacle est incroyable. Mais tu ne te rends pas compte de tous les coulisses qu'il y a eu, toutes les galères, tous les challenges, etc. Donc, est-ce que toi, comment ? Comment c'est ta relation avec les challenges, justement ?
- Speaker #1
Oui, puis les réseaux sociaux aussi apportent beaucoup cette notion-là de voir le résultat et pas nécessairement les coulisses. Puis c'est OK aussi, on a envie de s'inspirer, on a envie de voir le beau, mais parfois, c'est ça, on oublie le travail derrière. Mais oui, je dirais que mon premier grand, je vais mettre vraiment des guillemets, mais échec, pour moi, ça a été quand j'étais prête, justement, à aller à l'école de théâtre, à l'école d'animation. C'était après mes études en cégep, qu'on appelle ici. Et j'avais comme une formule mathématique qui avait toujours, toujours fonctionné jusqu'à ce moment-là, et c'était travail égale succès. Donc, j'avais fait mes auditions pour entrer dans les écoles de théâtre. Il y en a six grandes écoles ici au Québec, mais qui sont très, très, très restreintes. Il n'y a pas énormément d'étudiants qui sont admis. Pareil pour télévision, le programme que j'ai fait finalement. Donc là, la première année, j'ai mis du temps, de l'énergie, du cœur, de l'argent dans toutes mes auditions. Et j'étais convaincue que j'allais être prise. J'avais tellement travaillé fort. Et finalement, j'ai été prise à nulle part. Nulle part, OK ? Et j'ai trouvé ça tellement difficile parce que, bon, jusqu'à présent, j'avais eu un parcours assez simple, justement, comme tu disais, mais à travers mon petit milieu, ma région. avec les autres gens dans mes classes que j'avais eues. Et cette année-là, j'ai vraiment trouvé ça difficile. Donc, je me suis inscrite à un autre programme universitaire qui ne m'intéressait pas du tout, du tout, du tout, mais dans lequel, finalement, j'ai créé des belles connexions, j'ai appris des belles choses. malgré tout. Et la deuxième année, j'ai refait le même processus en ajoutant un mot à ma formule mathématique. C'était plus travail égal succès, c'était travail plus persévérance égal succès. Travail plus échec, même j'ai envie de dire, plus persévérance égal succès, parce que l'échec fait partie de la ligne du temps, finalement, parce qu'on a choisi toutes les deux un milieu dans lequel c'est... C'est compliqué, dans lequel il faut passer des auditions, dans lequel c'est beaucoup, beaucoup de gens intéressés, mais très peu d'élus. Donc, si on n'est pas à l'aise avec l'échec, moi, ce que je me suis dit, je me suis dit, c'est un test. C'est vraiment un test pour savoir si je suis fait pour aller dans cette voie-là, dans cette mission-là. Parce que sinon, il y en a d'autres des milieux que c'est, tu fais les études et t'es là après, dans le milieu du travail, ça se fait bien. Donc, ça fait que... Moi, là, ça a été vraiment de changer mon mindset. Donc oui, il y en a eu beaucoup d'autres après des échecs. Et pour moi, ça fait partie de la formule, finalement, de bonheur. C'est comme, essaie, fais des erreurs, puis après ça, tu pourras profiter puis faire ce qui te fait vibrer, tu sais.
- Speaker #0
Complètement. Mais j'adore ta vision parce que je pense que la persévérance, elle compte énormément dans notre domaine et puis dans d'autres domaines aussi. Comme tu dis, on est beaucoup exposé aux noms. Moi, je sais que pour avoir fait des castings, des auditions, des concours, tu as 20 noms pour un oui.
- Speaker #1
Oui, même je dirais 99 noms pour un oui.
- Speaker #0
Oui, voilà, c'est ça. C'est exactement ça. Tu as des refus. Et en fait, je pense que ça nous construit aussi parce que ça construit aussi une force. Tu dirais que tu as appris quoi ? de cet échec, comme tu l'as nommé ?
- Speaker #1
Qu'est-ce que j'ai appris ? J'ai appris à relever mes manches et à ouvrir mes horizons. Je trouve que parfois, quand on a une vision, c'est le but. Il faut toujours avoir une vision vers où on s'en va, mais il faut comprendre qu'à un certain moment, on va un peu dérouter peut-être de la vision. C'est la vie, tu sais. C'est tout simplement la vie. Et d'ouvrir ses horizons, d'ouvrir les possibilités, de voir qu'est-ce qui est possible considérant ce qui arrive. Je pense qu'il n'y a rien de pire finalement dans un chemin vers les rêves que d'être complètement les yeux proches, proches, proches de la réalité. Il faut prendre un pas de recul et c'est ce que j'ai le plus envie de faire en ce moment. Je suis beaucoup là-dedans dans essayer de prendre un pas de recul, de voir le schéma plus grand finalement que d'avoir le nez collé dessus.
- Speaker #0
Ouais, complètement, parce qu'en plus, quand on prend un peu de recul, on se rend compte qu'il y a d'autres portes. Et puis tu te dis peut-être, ah bah tiens, cette porte-là, je ne l'avais pas vue. Et puis ça donne quoi en fait si je l'ouvre ? Tu as d'autres possibilités, je trouve, des choses que tu n'avais pas vues. Et c'est vrai que c'est important de pouvoir, comme tu dis, pas rester toujours le nez collé aux choses, mais de pouvoir prendre du recul, ça aide beaucoup.
- Speaker #1
Ouais.
- Speaker #0
J'aime beaucoup parce que plus je t'entends parler et plus je me dis que, comment dire, tu es un exemple du fait de croire en soi. Tu dirais quoi du fait de croire en soi dans ses projets, dans ses rêves, dans la vie au quotidien ? Tu dirais quoi par rapport au fait de croire en soi ?
- Speaker #1
Je dirais que c'est un défi d'une vie. La confiance en soi, il y a des journées où... On pourrait être la reine d'Angleterre. On a toute la confiance du monde. Et la journée du lendemain, on se rappelle qu'on est des femmes, donc on a un cycle qui fait en sorte qu'il y a des semaines dans le mois où on est inébranlable et d'autres semaines où, oh mon Dieu, la moindre remarque, le moindre non, le moindre obstacle sur notre route nous fait arrêter. Puis c'est d'accepter un peu, finalement, ces cycles-là, accepter qu'on n'aura pas toujours la même confiance du jour au lendemain. Mais quand elle est présente, quand on a ça qui vibre en nous, bien qu'on en profite pleinement, puis qu'on l'embrasse finalement, tu sais. Aujourd'hui, tu vois, j'ai fait en sorte de mettre dans ma journée que des trucs, tu vois, pour m'alimenter, parce que je savais que j'aurais un podcast avec toi, j'avais fait un autre enregistrement ce matin, et c'était mon objectif, c'est je me suis dit, tiens, on met tout ça ensemble pour assurer que l'énergie soit le plus haute possible. Mais c'est normal que ça balance avec d'autres journées où... Je suis habillée très relax. Chez nous, je suis plus sur l'ordinateur à faire des... Tout ça, là, c'est bien se balancer, finalement. Ouais,
- Speaker #0
exactement. Tu dirais que l'équilibre, du coup, pour toi, il est important. C'est important pour toi. Je ne suis pas certaine que c'est possible d'atteindre un équilibre. Je ne crois pas. Je pense que c'est aussi normal d'avoir des périodes de vie un peu déséquilibrées. Puis tu vois, je viens de jouer un peu avec ça parce qu'on a eu un énorme événement pour le travail dans lequel j'étais autant à l'arrière-scène que sur la scène. Et ça a demandé énormément de travail, énormément d'énergie. C'était très, très, très, très haut en énergie. Et quand des événements comme ça se terminent, c'est normal qu'on a eu... Beaucoup plus de travail, beaucoup plus de focus qui est mis là-dessus que sur les autres phases de notre vie. Quand ça se termine, là, tu vois, je suis partie en voyage la semaine passée. Et c'est drôle parce qu'on avait choisi la destination des Bahamas avec mon ami. Et quand on arrive là-bas, on est deux filles qui adorons les activités, les excursions, bouger. Mais j'étais tellement fatiguée, j'étais tellement dans une autre énergie. Et c'est drôle parce que quand on est arrivées, on a quand même demandé à tout le monde. qu'est-ce qu'on fait ici dans les Bahamas, qu'est-ce que vous nous conseillez ? Et tout le monde nous disait, il faut ici être dans le go with the flow. Il faut n'avoir aucun plan et laisser les plans venir à nous. Et c'était vraiment, c'était pas instinctif pour moi, puis finalement, c'était exactement ce qu'on a fait. On a suivi ce que les Bahamien, pardon, nous disaient, et on a fait ça, puis finalement, c'est là que les batteries se sont réénergisées, là, et on... Fait que tu sais, c'est normal d'avoir finalement des équilibres, je pense. C'est juste de s'assurer à un moment donné que tout... C'est de les faire danser, finalement. C'est d'avoir une période qu'on assume qu'on va être beaucoup plus au travail, ensuite assumer qu'on va venir recharger les batteries, ensuite on va venir essayer de retrouver un équilibre. Moi, j'ai un amoureux qui, présentement, est en Champagne, justement. Je le disais, il était dans sa période des vendanges. Et là, il revient à Montréal dans quelques jours. Mon focus va être complètement ailleurs quand il va être de retour. Je trouve que c'est bien aussi de jouer avec toutes ces phases-là.
- Speaker #1
Oui, complètement. Je pense que ce qui est chouette, c'est que, comme tu dis, d'accueillir, en fait, d'accueillir un petit peu les énergies, d'accueillir les projets, d'accueillir... Moi, j'aime beaucoup cette mentalité des Bahamas où, en fin de compte, c'est... Oui ! Accueillir ce qui vient à nous.
- Speaker #0
Et tellement ! Puis c'est drôle parce qu'ici, tu vois, au Québec, les saisons sont très marquées. L'été, c'est très chaud, même si parfois les Français croient qu'il fait froid au Québec. L'été, c'est très chaud, ça ressemble beaucoup en France. Mais l'automne, on sent en ce moment qu'on est dans un changement de saison, évidemment que l'hiver, c'est très différent aussi et le printemps aussi. Mais la société s'attend à ce qu'on ait la même énergie, le même rythme de vie, peu importe les saisons. Alors que si on se fie aux animaux ou aux plantes, eux, chaque saison, font en sorte qu'ils ont soit une régénération, soit ils vont être en dormance, soit ils vont être en pleine expansion. Fait que j'essaie d'un petit peu plus me fier à les énergies, justement, ce qui se passe autour de nous, les saisons. Je pense que si on se fie plus à ça, bien finalement, ça vient équilibrer.
- Speaker #1
Oui, complètement. Et puis sans culpabilité aussi, parce que tu sais, des fois, on est beaucoup à... à se dire « ah mais j'ai pas fait assez » ou « j'ai pas fait comme si, j'aurais dû faire comme ça » . Et en fait, tu sais, on est un petit peu dans un discours avec soi qui est dur en fait, où tu sais, on est tout le temps exigeant, on veut tout le temps plus de nous-mêmes. Et je trouve que ta vision, elle permet aussi de se dire « tout va bien » et on accueille, et puis en fait, on s'adapte. Et je pense que c'est une belle, comment dire, ça amène à vraiment s'écouter aussi. je pense, revenir à soi et c'est important je pense qu'on est beaucoup à passer outre ça parce que ça va très vite, il y a beaucoup d'informations tellement, de s'écouter je pense que c'est vraiment tellement important oui,
- Speaker #0
certainement, de s'écouter puis c'est ça de prendre conscience de ce qui se passe autour de nous, puis comme tu dis, d'accepter si c'est une période un petit peu plus ... Au Québec, quand on est en plein mois de janvier et que tout est figé dans la glace à l'extérieur, c'est normal que nous aussi, on ait juste envie de se reposer, d'être plus ancré à la maison. C'est normal, c'est un peu la nature finalement.
- Speaker #1
Oui, complètement. Puis d'être OK avec tout ça et puis de se dire, voilà, j'ai besoin de plus de douceur, j'ai besoin de revenir à moi. C'est beau et même sur le long terme, je trouve, tu sais, quand tu as des ambitions, d'ailleurs, on va parler après d'ambition, si tu es d'accord, mais de projet, on l'appelle un petit peu comme on a envie. Mais je pense que c'est bien de pouvoir prendre soin de soi, pouvoir justement tenir aussi sur le long terme et de pouvoir mener à bien nos projets de cœur, nos envies, tout simplement.
- Speaker #0
Ah oui, clairement.
- Speaker #2
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