« Je pense donc je suis » sorry mais non Descartes cover
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Out of the Box

« Je pense donc je suis » sorry mais non Descartes

« Je pense donc je suis » sorry mais non Descartes

09min |18/05/2025
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Description

Premier épisode de cette série autour du livre Le Pouvoir du moment présent d’Eckhart Tollé.

Et on commence fort avec le chapitre 1 : tu n’es pas ton mental.


Je t’explique chaque thématique du livre avec des mots simples, des exemples concrets et une action facile à mettre en pratique.

Le but ? Que la conscience devienne une expérience, pas juste un concept.


Au programme :

• Pourquoi tu n’es pas cette petite voix qui tourne en boucle dans ta tête

• Comment commencer à observer ton mental (sans t’identifier ni te juger)

• Ce qui change quand tu cesses de croire que tu es tes pensées


C’est pas de la spiritualité perchée.

C’est concret, libérateur, et accessible maintenant.


Alors ouvre bien grand tes oreilles et ton cœur et laisse-toi traverser. 🫶


Psst : je t’attends dans mes DM 🥊


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, moi c'est Amandine et je serai ton hôte aujourd'hui. Bienvenue dans ton espace. Avant qu'on aille plus loin, je te propose de prendre une grande respiration. Pour les plus courageux, tu peux même poser une main sur ton cœur. T'inquiète, personne ne te regarde, c'est juste toi, ici et maintenant. Ok. Maintenant que t'es là, vraiment là, je t'invite à écouter. Pas juste avec ta tête, mais avec ton corps et ton cœur. Parce que c'est là que la vérité se reconnaît. Ok, pour ce nouvel épisode, je vous propose un format un peu différent. En fait, j'ai commencé un nouveau livre qui s'appelle Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle. Et depuis que je l'ai commencé ou même que j'en ai parlé un peu autour de moi ou sur les réseaux, il y a eu une avalanche de synchronicité. Énormément de personnes qui soit l'ont lu, soit veulent le lire, soit en ont déjà entendu parler. C'est clairement un livre culte. pilier dans le monde de la spiritualité et du développement personnel, mais malheureusement, j'ai fait un constat, c'est qu'il y a très peu de personnes qui arrivent à en extraire un enseignement clair, une leçon, et encore moins à le mettre en pratique dans leur vie, du coup, je crois qu'honnêtement, il y a une personne qui m'a extrait un enseignement, et pareil, après, l'idée, c'est d'arriver à le mettre en pratique, de passer de la théorie à la pratique pour pouvoir l'implémenter dans ton quotidien, dans ta vie, et c'est de là qu'est née l'idée de créer ce podcast, en tout cas. cette série d'épisodes autour de ce livre. À chaque épisode, on va prendre un chapitre et voir même une thématique d'un chapitre parce qu'il y a énormément de choses à voir ensemble, à décortiquer. Donc je te partage les prises de conscience que j'en retire avec mes mots, avec mon regard de coach et mon regard d'Amandine. On extrait l'essentiel et surtout, on termine avec à chaque fois une action concrète à mettre en place pour que t'en ressentes toi-même les pleins bénéfices dans ton quotidien et que tu puisses vraiment repartir avec quelque chose de concret. et que cette conscience, elle devienne une expérience. So, on commence ce voyage ensemble avec le chapitre 1 du pouvoir du moment présent, et on commence fort parce que le titre du chapitre, c'est « Vous n'êtes pas votre mental, tu n'es pas ton mental » . C'était la vérité la plus libératrice que j'ai jamais intégrée, et c'est clairement le socle de tout le reste. Le mental, c'est un outil qui te sert pour accomplir une tâche précise. Ok, une fois que la tâche est effectuée, tu poses l'outil. Ça, c'est la théorie. Dans la pratique, très peu savent l'utiliser. Et c'est même pas qu'on l'utilise mal, notre mental ou cet outil, c'est que c'est lui qui se sert de nous. Et pour ça, il n'y a pas besoin d'aller chercher très loin. Si je vous pose la question de qui ici sait se libérer de son mental quand il veut, qui a réussi à trouver l'interrupteur qu'il met hors circuit, on-off, ou qui arrive à choisir quand tu utilises ton mental, spoil très peu, voire personne. La réalité, c'est que le mental se sert de nous, de toi. T'es sous son emprise parce que t'as simplement jamais appris à t'en servir. Et pire même, on t'a fait croire que tu es ton mental. Ça, c'est vraiment la plus grande illusion, la plus grande mascarade qui fait souffrir beaucoup de personnes, de croire qu'on est son mental. Je te donne un exemple, une métaphore. C'est clairement pas le truc le plus waouh, mais ce sera plus simple à comprendre. Imagine un jour, tu utilises une perceuse parce que t'en as besoin. et depuis ce jour là Tu te balades avec cette perceuse qui tourne en boucle à côté de toi, ok ? Tu l'as jamais éteinte et non seulement elle est collée à toi. Donc déjà de 1, c'est ultra énergivore, mais surtout, autour de toi, petit à petit, les gens vont commencer à t'appeler et te dire « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » Et petit à petit, bah même toi-même, t'es en train de te mettre cette étiquette de « Oh, je suis la meuf à la perceuse ! » C'est très imagé, mais c'est pour te rendre compte que ton mental, c'est la même chose. Un jour, tu l'as utilisé. Depuis ce jour-là, tu ne l'as jamais arrêté parce que tu ne sais pas l'arrêter. Et en plus de ça, tu te balades avec en continu et on t'a identifié toi-même, tu t'as fini par t'identifier par ton mental. Et même sans cette métaphore, cette illusion, elle commence depuis très longtemps avec cette fameuse phrase célèbre qui est « Je pense, donc je suis » de Descartes. Le jour où j'ai lu ce livre, dans ma tête, j'étais mais en fait, Descartes, non, t'as complètement faux. Cette phrase, elle manque de nuances. énormément de croire que si on s'arrête de penser, on arrête d'exister. Mais non, en fait, au contraire, mon coco, j'ai commencé à être et à vivre le jour où j'ai arrêté de penser. Donc non, tu n'es pas tes pensées, tu n'es pas ton mental, tu n'es pas ton égo, tu n'es pas tes émotions, tu n'es pas cette personnalité secondaire. Ça, c'est la première erreur. On grandit en s'identifiant à notre personnalité secondaire, à notre égo, à notre mental, à nos pensées. On a une image mentale de qui on est. Sauf que pas du tout. Déjà c'est ultra réducteur et je vais t'en donner la preuve parce que ton mental il adore les preuves et il croit que ce qu'il comprend. Si tu peux observer une pensée. C'est que tu n'es pas cette pensée. Donc la prochaine fois que t'es dans ta tête, que t'es dans ton mental, que tu penses, observe. À l'instant même où tu te mets à observer le penseur, il y a un niveau de conscience plus élevé qui est activé. Tu accèdes à quelque chose de au-delà que cette pensée, que ce mental. Et là tu réalises que t'es forcément plus que le penseur parce que tu peux l'observer. Donc tu es celui qui observe le penseur. Tu me suis ou pas ? Je vais te reprendre une autre métaphore, elle n'a rien à voir, on va prendre la métaphore de la tasse. Je ne sais pas pourquoi, j'étais en train de boire un café, j'ai la tasse sous les yeux. Tu as une tasse devant toi. Toi, tu es dans la tasse. Cette tasse, c'est ton mental. Tu prends cette tasse et toi, tu es à l'intérieur de cette tasse. Tant que tu es à l'intérieur de cette tasse, tu ne vois que la tasse et tu crois que toi, tu es la tasse. Maintenant, prends-toi là et tu te mets à côté de la tasse. Qu'est-ce qui se passe ? De 1, tu vois la tasse. prends conscience qu'il y a une tasse, donc la tasse c'est ton mental, tu vois ton mental, tu prends conscience qu'il y a un mental, et surtout, tu prends conscience qu'il y a toi, en tant qu'individu, tu existes, tu n'es plus dans la tasse, t'es plus confondu dans la tasse, dans le mental, tu existes à part entière, t'es un individu. Donc il y a deux entités, il y a l'entité de la tasse et il y a l'entité de toi en tant que être. Et en plus de ça, tu te rends compte qu'il y a autre chose autour. Il y a un monde qui entoure toi et cette tasse. Donc t'es à la fois conscient que du toi en tant qu'individu, que du monde de la conscience qui t'entoure. Et ça, c'est une autre prise de conscience, une autre vérité. Il y a un royaume entier d'intelligence au-delà du mental. Et ce royaume d'intelligence, c'est la conscience. Et cette conscience, elle est bien plus grande que le mental. En fait, l'erreur pareille qu'on fait, c'est de croire que la pensée et la conscience, c'est la même chose. Pas du tout. Pensée et conscience, c'est pas des synonymes. La pensée, c'est un tout petit aspect de la conscience. Elle ne peut pas exister sans elle. Par contre, la conscience, elle n'a pas besoin de la pensée pour exister. Et là, j'ai envie de repartir sur une autre métaphore, mais qui revient un peu au bricolage. C'est comme si tu avais une mallette de bricolage. La mallette de bricolage, c'est la conscience. Et à l'intérieur, tu as un outil qui est du coup le mental. Donc si tu enlèves l'outil, la boîte, elle existe toujours. Par contre, si tu enlèves la boîte, il n'y a plus rien qui existe. Est-ce que tu me suis ou pas ? Du coup, revenons à nos moutons. Descartes, je suis désolée, mais je pense, donc je suis non. En revanche, nuance, je suis conscient, donc je suis. Là, c'est plus juste. Et à partir de là, je te donne deux tips pour prendre conscience que tu n'es pas ton mental. Le premier tip, c'est d'observer le penseur. Écoute ton mental, écoute cette petite voix qui est dans ta tête, différemment, sans t'identifier à elle, mais en étant la présence, la personne qui joue le rôle de témoin. Et attention, si tu t'entends, si tu sens que tu es en train de juger cette petite voix, spoil, ça c'est ton signal pour te dire que tu es en train déjà de t'identifier à elle, que tu la laisses te posséder. Donc non, tu gardes cette distance, tu gardes cette conscience entre la voix et toi, en tant qu'individu, en tant que quelqu'un qui l'écoute et qui l'observe. Et le deuxième tip, et ça je l'ai eu avec une de mes coachées, le déclic, sa réaction elle était incroyable, ça m'a fait trop plaisir. On était en train d'échanger, elle était toujours en boucle dans « je comprends pas, je comprends, je comprends pas, mais je comprends, mais oui, mais, oui, mais... » Bref, ultra dans le mental. Et il y a un moment, je lui ai dit « ok, switch le « je comprends pas » ou « je comprends » avec « je prends conscience, j'ai conscience de » . Et à ce moment-là, quand dans son vocabulaire, elle a arrêté de dire « je comprends pas ça » ou « je comprends ça » , mais de switcher avec « ok, je step back » . Je prends conscience de ça. En fait, à partir du moment où tu es au niveau de la conscience, que tu prends conscience même verbalement que tu le dis, tu sors de ton mental. Tu es au-delà de ça. Et ça, c'est vraiment un tip, même dans votre langage, quand vous vous entendez dire « je comprends pas, je comprends, etc. » et que vous êtes dans un brouhaha mental complet, bam, switch avec le mot « je prends conscience, j'ai conscience de ça » . Et je finirais même avec la petite punchline d'Eckhart Tolle. C'est fou que d'Eckhart, enfin, il s'appelle Eckart. Tollé. Mais du coup, quand je dis Descartes Tollé, ça veut dire Descartes. Mon cerveau est matricé. Du coup, qu'est-ce qu'il dit ? Il dit que être conscient, c'est s'élever au-delà de la pensée. On est sur des sacrés kicks de conscience. Mais voilà pour aujourd'hui. Je ne vais pas vous bombarder d'informations, donc je préfère faire des formats courts. Si tu dois retenir qu'une chose, c'est ça. Tu n'es pas ton mental. Donc observe, écoute. Ça, c'est le début de la liberté. Prends conscience plutôt que de chercher à comprendre. Ça aussi, c'est une clé. Et on se retrouve dans le prochain épisode pour comprendre comment fonctionne cette machine du mental pour arriver à l'utiliser à bon escient. Bisous !

Chapters

  • Tu n’es pas ton mental

    02:00

  • L’exemple de la perceuse : ton mental est un outil !

    03:12

  • La preuve

    04:50

  • L’exemple de la tasse : ton mental, toi, et le royaume de la conscience

    05:25

  • Les 2 actions !

    07:30

  • Récap’

    09:34

Description

Premier épisode de cette série autour du livre Le Pouvoir du moment présent d’Eckhart Tollé.

Et on commence fort avec le chapitre 1 : tu n’es pas ton mental.


Je t’explique chaque thématique du livre avec des mots simples, des exemples concrets et une action facile à mettre en pratique.

Le but ? Que la conscience devienne une expérience, pas juste un concept.


Au programme :

• Pourquoi tu n’es pas cette petite voix qui tourne en boucle dans ta tête

• Comment commencer à observer ton mental (sans t’identifier ni te juger)

• Ce qui change quand tu cesses de croire que tu es tes pensées


C’est pas de la spiritualité perchée.

C’est concret, libérateur, et accessible maintenant.


Alors ouvre bien grand tes oreilles et ton cœur et laisse-toi traverser. 🫶


Psst : je t’attends dans mes DM 🥊


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, moi c'est Amandine et je serai ton hôte aujourd'hui. Bienvenue dans ton espace. Avant qu'on aille plus loin, je te propose de prendre une grande respiration. Pour les plus courageux, tu peux même poser une main sur ton cœur. T'inquiète, personne ne te regarde, c'est juste toi, ici et maintenant. Ok. Maintenant que t'es là, vraiment là, je t'invite à écouter. Pas juste avec ta tête, mais avec ton corps et ton cœur. Parce que c'est là que la vérité se reconnaît. Ok, pour ce nouvel épisode, je vous propose un format un peu différent. En fait, j'ai commencé un nouveau livre qui s'appelle Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle. Et depuis que je l'ai commencé ou même que j'en ai parlé un peu autour de moi ou sur les réseaux, il y a eu une avalanche de synchronicité. Énormément de personnes qui soit l'ont lu, soit veulent le lire, soit en ont déjà entendu parler. C'est clairement un livre culte. pilier dans le monde de la spiritualité et du développement personnel, mais malheureusement, j'ai fait un constat, c'est qu'il y a très peu de personnes qui arrivent à en extraire un enseignement clair, une leçon, et encore moins à le mettre en pratique dans leur vie, du coup, je crois qu'honnêtement, il y a une personne qui m'a extrait un enseignement, et pareil, après, l'idée, c'est d'arriver à le mettre en pratique, de passer de la théorie à la pratique pour pouvoir l'implémenter dans ton quotidien, dans ta vie, et c'est de là qu'est née l'idée de créer ce podcast, en tout cas. cette série d'épisodes autour de ce livre. À chaque épisode, on va prendre un chapitre et voir même une thématique d'un chapitre parce qu'il y a énormément de choses à voir ensemble, à décortiquer. Donc je te partage les prises de conscience que j'en retire avec mes mots, avec mon regard de coach et mon regard d'Amandine. On extrait l'essentiel et surtout, on termine avec à chaque fois une action concrète à mettre en place pour que t'en ressentes toi-même les pleins bénéfices dans ton quotidien et que tu puisses vraiment repartir avec quelque chose de concret. et que cette conscience, elle devienne une expérience. So, on commence ce voyage ensemble avec le chapitre 1 du pouvoir du moment présent, et on commence fort parce que le titre du chapitre, c'est « Vous n'êtes pas votre mental, tu n'es pas ton mental » . C'était la vérité la plus libératrice que j'ai jamais intégrée, et c'est clairement le socle de tout le reste. Le mental, c'est un outil qui te sert pour accomplir une tâche précise. Ok, une fois que la tâche est effectuée, tu poses l'outil. Ça, c'est la théorie. Dans la pratique, très peu savent l'utiliser. Et c'est même pas qu'on l'utilise mal, notre mental ou cet outil, c'est que c'est lui qui se sert de nous. Et pour ça, il n'y a pas besoin d'aller chercher très loin. Si je vous pose la question de qui ici sait se libérer de son mental quand il veut, qui a réussi à trouver l'interrupteur qu'il met hors circuit, on-off, ou qui arrive à choisir quand tu utilises ton mental, spoil très peu, voire personne. La réalité, c'est que le mental se sert de nous, de toi. T'es sous son emprise parce que t'as simplement jamais appris à t'en servir. Et pire même, on t'a fait croire que tu es ton mental. Ça, c'est vraiment la plus grande illusion, la plus grande mascarade qui fait souffrir beaucoup de personnes, de croire qu'on est son mental. Je te donne un exemple, une métaphore. C'est clairement pas le truc le plus waouh, mais ce sera plus simple à comprendre. Imagine un jour, tu utilises une perceuse parce que t'en as besoin. et depuis ce jour là Tu te balades avec cette perceuse qui tourne en boucle à côté de toi, ok ? Tu l'as jamais éteinte et non seulement elle est collée à toi. Donc déjà de 1, c'est ultra énergivore, mais surtout, autour de toi, petit à petit, les gens vont commencer à t'appeler et te dire « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » Et petit à petit, bah même toi-même, t'es en train de te mettre cette étiquette de « Oh, je suis la meuf à la perceuse ! » C'est très imagé, mais c'est pour te rendre compte que ton mental, c'est la même chose. Un jour, tu l'as utilisé. Depuis ce jour-là, tu ne l'as jamais arrêté parce que tu ne sais pas l'arrêter. Et en plus de ça, tu te balades avec en continu et on t'a identifié toi-même, tu t'as fini par t'identifier par ton mental. Et même sans cette métaphore, cette illusion, elle commence depuis très longtemps avec cette fameuse phrase célèbre qui est « Je pense, donc je suis » de Descartes. Le jour où j'ai lu ce livre, dans ma tête, j'étais mais en fait, Descartes, non, t'as complètement faux. Cette phrase, elle manque de nuances. énormément de croire que si on s'arrête de penser, on arrête d'exister. Mais non, en fait, au contraire, mon coco, j'ai commencé à être et à vivre le jour où j'ai arrêté de penser. Donc non, tu n'es pas tes pensées, tu n'es pas ton mental, tu n'es pas ton égo, tu n'es pas tes émotions, tu n'es pas cette personnalité secondaire. Ça, c'est la première erreur. On grandit en s'identifiant à notre personnalité secondaire, à notre égo, à notre mental, à nos pensées. On a une image mentale de qui on est. Sauf que pas du tout. Déjà c'est ultra réducteur et je vais t'en donner la preuve parce que ton mental il adore les preuves et il croit que ce qu'il comprend. Si tu peux observer une pensée. C'est que tu n'es pas cette pensée. Donc la prochaine fois que t'es dans ta tête, que t'es dans ton mental, que tu penses, observe. À l'instant même où tu te mets à observer le penseur, il y a un niveau de conscience plus élevé qui est activé. Tu accèdes à quelque chose de au-delà que cette pensée, que ce mental. Et là tu réalises que t'es forcément plus que le penseur parce que tu peux l'observer. Donc tu es celui qui observe le penseur. Tu me suis ou pas ? Je vais te reprendre une autre métaphore, elle n'a rien à voir, on va prendre la métaphore de la tasse. Je ne sais pas pourquoi, j'étais en train de boire un café, j'ai la tasse sous les yeux. Tu as une tasse devant toi. Toi, tu es dans la tasse. Cette tasse, c'est ton mental. Tu prends cette tasse et toi, tu es à l'intérieur de cette tasse. Tant que tu es à l'intérieur de cette tasse, tu ne vois que la tasse et tu crois que toi, tu es la tasse. Maintenant, prends-toi là et tu te mets à côté de la tasse. Qu'est-ce qui se passe ? De 1, tu vois la tasse. prends conscience qu'il y a une tasse, donc la tasse c'est ton mental, tu vois ton mental, tu prends conscience qu'il y a un mental, et surtout, tu prends conscience qu'il y a toi, en tant qu'individu, tu existes, tu n'es plus dans la tasse, t'es plus confondu dans la tasse, dans le mental, tu existes à part entière, t'es un individu. Donc il y a deux entités, il y a l'entité de la tasse et il y a l'entité de toi en tant que être. Et en plus de ça, tu te rends compte qu'il y a autre chose autour. Il y a un monde qui entoure toi et cette tasse. Donc t'es à la fois conscient que du toi en tant qu'individu, que du monde de la conscience qui t'entoure. Et ça, c'est une autre prise de conscience, une autre vérité. Il y a un royaume entier d'intelligence au-delà du mental. Et ce royaume d'intelligence, c'est la conscience. Et cette conscience, elle est bien plus grande que le mental. En fait, l'erreur pareille qu'on fait, c'est de croire que la pensée et la conscience, c'est la même chose. Pas du tout. Pensée et conscience, c'est pas des synonymes. La pensée, c'est un tout petit aspect de la conscience. Elle ne peut pas exister sans elle. Par contre, la conscience, elle n'a pas besoin de la pensée pour exister. Et là, j'ai envie de repartir sur une autre métaphore, mais qui revient un peu au bricolage. C'est comme si tu avais une mallette de bricolage. La mallette de bricolage, c'est la conscience. Et à l'intérieur, tu as un outil qui est du coup le mental. Donc si tu enlèves l'outil, la boîte, elle existe toujours. Par contre, si tu enlèves la boîte, il n'y a plus rien qui existe. Est-ce que tu me suis ou pas ? Du coup, revenons à nos moutons. Descartes, je suis désolée, mais je pense, donc je suis non. En revanche, nuance, je suis conscient, donc je suis. Là, c'est plus juste. Et à partir de là, je te donne deux tips pour prendre conscience que tu n'es pas ton mental. Le premier tip, c'est d'observer le penseur. Écoute ton mental, écoute cette petite voix qui est dans ta tête, différemment, sans t'identifier à elle, mais en étant la présence, la personne qui joue le rôle de témoin. Et attention, si tu t'entends, si tu sens que tu es en train de juger cette petite voix, spoil, ça c'est ton signal pour te dire que tu es en train déjà de t'identifier à elle, que tu la laisses te posséder. Donc non, tu gardes cette distance, tu gardes cette conscience entre la voix et toi, en tant qu'individu, en tant que quelqu'un qui l'écoute et qui l'observe. Et le deuxième tip, et ça je l'ai eu avec une de mes coachées, le déclic, sa réaction elle était incroyable, ça m'a fait trop plaisir. On était en train d'échanger, elle était toujours en boucle dans « je comprends pas, je comprends, je comprends pas, mais je comprends, mais oui, mais, oui, mais... » Bref, ultra dans le mental. Et il y a un moment, je lui ai dit « ok, switch le « je comprends pas » ou « je comprends » avec « je prends conscience, j'ai conscience de » . Et à ce moment-là, quand dans son vocabulaire, elle a arrêté de dire « je comprends pas ça » ou « je comprends ça » , mais de switcher avec « ok, je step back » . Je prends conscience de ça. En fait, à partir du moment où tu es au niveau de la conscience, que tu prends conscience même verbalement que tu le dis, tu sors de ton mental. Tu es au-delà de ça. Et ça, c'est vraiment un tip, même dans votre langage, quand vous vous entendez dire « je comprends pas, je comprends, etc. » et que vous êtes dans un brouhaha mental complet, bam, switch avec le mot « je prends conscience, j'ai conscience de ça » . Et je finirais même avec la petite punchline d'Eckhart Tolle. C'est fou que d'Eckhart, enfin, il s'appelle Eckart. Tollé. Mais du coup, quand je dis Descartes Tollé, ça veut dire Descartes. Mon cerveau est matricé. Du coup, qu'est-ce qu'il dit ? Il dit que être conscient, c'est s'élever au-delà de la pensée. On est sur des sacrés kicks de conscience. Mais voilà pour aujourd'hui. Je ne vais pas vous bombarder d'informations, donc je préfère faire des formats courts. Si tu dois retenir qu'une chose, c'est ça. Tu n'es pas ton mental. Donc observe, écoute. Ça, c'est le début de la liberté. Prends conscience plutôt que de chercher à comprendre. Ça aussi, c'est une clé. Et on se retrouve dans le prochain épisode pour comprendre comment fonctionne cette machine du mental pour arriver à l'utiliser à bon escient. Bisous !

Chapters

  • Tu n’es pas ton mental

    02:00

  • L’exemple de la perceuse : ton mental est un outil !

    03:12

  • La preuve

    04:50

  • L’exemple de la tasse : ton mental, toi, et le royaume de la conscience

    05:25

  • Les 2 actions !

    07:30

  • Récap’

    09:34

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Premier épisode de cette série autour du livre Le Pouvoir du moment présent d’Eckhart Tollé.

Et on commence fort avec le chapitre 1 : tu n’es pas ton mental.


Je t’explique chaque thématique du livre avec des mots simples, des exemples concrets et une action facile à mettre en pratique.

Le but ? Que la conscience devienne une expérience, pas juste un concept.


Au programme :

• Pourquoi tu n’es pas cette petite voix qui tourne en boucle dans ta tête

• Comment commencer à observer ton mental (sans t’identifier ni te juger)

• Ce qui change quand tu cesses de croire que tu es tes pensées


C’est pas de la spiritualité perchée.

C’est concret, libérateur, et accessible maintenant.


Alors ouvre bien grand tes oreilles et ton cœur et laisse-toi traverser. 🫶


Psst : je t’attends dans mes DM 🥊


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, moi c'est Amandine et je serai ton hôte aujourd'hui. Bienvenue dans ton espace. Avant qu'on aille plus loin, je te propose de prendre une grande respiration. Pour les plus courageux, tu peux même poser une main sur ton cœur. T'inquiète, personne ne te regarde, c'est juste toi, ici et maintenant. Ok. Maintenant que t'es là, vraiment là, je t'invite à écouter. Pas juste avec ta tête, mais avec ton corps et ton cœur. Parce que c'est là que la vérité se reconnaît. Ok, pour ce nouvel épisode, je vous propose un format un peu différent. En fait, j'ai commencé un nouveau livre qui s'appelle Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle. Et depuis que je l'ai commencé ou même que j'en ai parlé un peu autour de moi ou sur les réseaux, il y a eu une avalanche de synchronicité. Énormément de personnes qui soit l'ont lu, soit veulent le lire, soit en ont déjà entendu parler. C'est clairement un livre culte. pilier dans le monde de la spiritualité et du développement personnel, mais malheureusement, j'ai fait un constat, c'est qu'il y a très peu de personnes qui arrivent à en extraire un enseignement clair, une leçon, et encore moins à le mettre en pratique dans leur vie, du coup, je crois qu'honnêtement, il y a une personne qui m'a extrait un enseignement, et pareil, après, l'idée, c'est d'arriver à le mettre en pratique, de passer de la théorie à la pratique pour pouvoir l'implémenter dans ton quotidien, dans ta vie, et c'est de là qu'est née l'idée de créer ce podcast, en tout cas. cette série d'épisodes autour de ce livre. À chaque épisode, on va prendre un chapitre et voir même une thématique d'un chapitre parce qu'il y a énormément de choses à voir ensemble, à décortiquer. Donc je te partage les prises de conscience que j'en retire avec mes mots, avec mon regard de coach et mon regard d'Amandine. On extrait l'essentiel et surtout, on termine avec à chaque fois une action concrète à mettre en place pour que t'en ressentes toi-même les pleins bénéfices dans ton quotidien et que tu puisses vraiment repartir avec quelque chose de concret. et que cette conscience, elle devienne une expérience. So, on commence ce voyage ensemble avec le chapitre 1 du pouvoir du moment présent, et on commence fort parce que le titre du chapitre, c'est « Vous n'êtes pas votre mental, tu n'es pas ton mental » . C'était la vérité la plus libératrice que j'ai jamais intégrée, et c'est clairement le socle de tout le reste. Le mental, c'est un outil qui te sert pour accomplir une tâche précise. Ok, une fois que la tâche est effectuée, tu poses l'outil. Ça, c'est la théorie. Dans la pratique, très peu savent l'utiliser. Et c'est même pas qu'on l'utilise mal, notre mental ou cet outil, c'est que c'est lui qui se sert de nous. Et pour ça, il n'y a pas besoin d'aller chercher très loin. Si je vous pose la question de qui ici sait se libérer de son mental quand il veut, qui a réussi à trouver l'interrupteur qu'il met hors circuit, on-off, ou qui arrive à choisir quand tu utilises ton mental, spoil très peu, voire personne. La réalité, c'est que le mental se sert de nous, de toi. T'es sous son emprise parce que t'as simplement jamais appris à t'en servir. Et pire même, on t'a fait croire que tu es ton mental. Ça, c'est vraiment la plus grande illusion, la plus grande mascarade qui fait souffrir beaucoup de personnes, de croire qu'on est son mental. Je te donne un exemple, une métaphore. C'est clairement pas le truc le plus waouh, mais ce sera plus simple à comprendre. Imagine un jour, tu utilises une perceuse parce que t'en as besoin. et depuis ce jour là Tu te balades avec cette perceuse qui tourne en boucle à côté de toi, ok ? Tu l'as jamais éteinte et non seulement elle est collée à toi. Donc déjà de 1, c'est ultra énergivore, mais surtout, autour de toi, petit à petit, les gens vont commencer à t'appeler et te dire « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » Et petit à petit, bah même toi-même, t'es en train de te mettre cette étiquette de « Oh, je suis la meuf à la perceuse ! » C'est très imagé, mais c'est pour te rendre compte que ton mental, c'est la même chose. Un jour, tu l'as utilisé. Depuis ce jour-là, tu ne l'as jamais arrêté parce que tu ne sais pas l'arrêter. Et en plus de ça, tu te balades avec en continu et on t'a identifié toi-même, tu t'as fini par t'identifier par ton mental. Et même sans cette métaphore, cette illusion, elle commence depuis très longtemps avec cette fameuse phrase célèbre qui est « Je pense, donc je suis » de Descartes. Le jour où j'ai lu ce livre, dans ma tête, j'étais mais en fait, Descartes, non, t'as complètement faux. Cette phrase, elle manque de nuances. énormément de croire que si on s'arrête de penser, on arrête d'exister. Mais non, en fait, au contraire, mon coco, j'ai commencé à être et à vivre le jour où j'ai arrêté de penser. Donc non, tu n'es pas tes pensées, tu n'es pas ton mental, tu n'es pas ton égo, tu n'es pas tes émotions, tu n'es pas cette personnalité secondaire. Ça, c'est la première erreur. On grandit en s'identifiant à notre personnalité secondaire, à notre égo, à notre mental, à nos pensées. On a une image mentale de qui on est. Sauf que pas du tout. Déjà c'est ultra réducteur et je vais t'en donner la preuve parce que ton mental il adore les preuves et il croit que ce qu'il comprend. Si tu peux observer une pensée. C'est que tu n'es pas cette pensée. Donc la prochaine fois que t'es dans ta tête, que t'es dans ton mental, que tu penses, observe. À l'instant même où tu te mets à observer le penseur, il y a un niveau de conscience plus élevé qui est activé. Tu accèdes à quelque chose de au-delà que cette pensée, que ce mental. Et là tu réalises que t'es forcément plus que le penseur parce que tu peux l'observer. Donc tu es celui qui observe le penseur. Tu me suis ou pas ? Je vais te reprendre une autre métaphore, elle n'a rien à voir, on va prendre la métaphore de la tasse. Je ne sais pas pourquoi, j'étais en train de boire un café, j'ai la tasse sous les yeux. Tu as une tasse devant toi. Toi, tu es dans la tasse. Cette tasse, c'est ton mental. Tu prends cette tasse et toi, tu es à l'intérieur de cette tasse. Tant que tu es à l'intérieur de cette tasse, tu ne vois que la tasse et tu crois que toi, tu es la tasse. Maintenant, prends-toi là et tu te mets à côté de la tasse. Qu'est-ce qui se passe ? De 1, tu vois la tasse. prends conscience qu'il y a une tasse, donc la tasse c'est ton mental, tu vois ton mental, tu prends conscience qu'il y a un mental, et surtout, tu prends conscience qu'il y a toi, en tant qu'individu, tu existes, tu n'es plus dans la tasse, t'es plus confondu dans la tasse, dans le mental, tu existes à part entière, t'es un individu. Donc il y a deux entités, il y a l'entité de la tasse et il y a l'entité de toi en tant que être. Et en plus de ça, tu te rends compte qu'il y a autre chose autour. Il y a un monde qui entoure toi et cette tasse. Donc t'es à la fois conscient que du toi en tant qu'individu, que du monde de la conscience qui t'entoure. Et ça, c'est une autre prise de conscience, une autre vérité. Il y a un royaume entier d'intelligence au-delà du mental. Et ce royaume d'intelligence, c'est la conscience. Et cette conscience, elle est bien plus grande que le mental. En fait, l'erreur pareille qu'on fait, c'est de croire que la pensée et la conscience, c'est la même chose. Pas du tout. Pensée et conscience, c'est pas des synonymes. La pensée, c'est un tout petit aspect de la conscience. Elle ne peut pas exister sans elle. Par contre, la conscience, elle n'a pas besoin de la pensée pour exister. Et là, j'ai envie de repartir sur une autre métaphore, mais qui revient un peu au bricolage. C'est comme si tu avais une mallette de bricolage. La mallette de bricolage, c'est la conscience. Et à l'intérieur, tu as un outil qui est du coup le mental. Donc si tu enlèves l'outil, la boîte, elle existe toujours. Par contre, si tu enlèves la boîte, il n'y a plus rien qui existe. Est-ce que tu me suis ou pas ? Du coup, revenons à nos moutons. Descartes, je suis désolée, mais je pense, donc je suis non. En revanche, nuance, je suis conscient, donc je suis. Là, c'est plus juste. Et à partir de là, je te donne deux tips pour prendre conscience que tu n'es pas ton mental. Le premier tip, c'est d'observer le penseur. Écoute ton mental, écoute cette petite voix qui est dans ta tête, différemment, sans t'identifier à elle, mais en étant la présence, la personne qui joue le rôle de témoin. Et attention, si tu t'entends, si tu sens que tu es en train de juger cette petite voix, spoil, ça c'est ton signal pour te dire que tu es en train déjà de t'identifier à elle, que tu la laisses te posséder. Donc non, tu gardes cette distance, tu gardes cette conscience entre la voix et toi, en tant qu'individu, en tant que quelqu'un qui l'écoute et qui l'observe. Et le deuxième tip, et ça je l'ai eu avec une de mes coachées, le déclic, sa réaction elle était incroyable, ça m'a fait trop plaisir. On était en train d'échanger, elle était toujours en boucle dans « je comprends pas, je comprends, je comprends pas, mais je comprends, mais oui, mais, oui, mais... » Bref, ultra dans le mental. Et il y a un moment, je lui ai dit « ok, switch le « je comprends pas » ou « je comprends » avec « je prends conscience, j'ai conscience de » . Et à ce moment-là, quand dans son vocabulaire, elle a arrêté de dire « je comprends pas ça » ou « je comprends ça » , mais de switcher avec « ok, je step back » . Je prends conscience de ça. En fait, à partir du moment où tu es au niveau de la conscience, que tu prends conscience même verbalement que tu le dis, tu sors de ton mental. Tu es au-delà de ça. Et ça, c'est vraiment un tip, même dans votre langage, quand vous vous entendez dire « je comprends pas, je comprends, etc. » et que vous êtes dans un brouhaha mental complet, bam, switch avec le mot « je prends conscience, j'ai conscience de ça » . Et je finirais même avec la petite punchline d'Eckhart Tolle. C'est fou que d'Eckhart, enfin, il s'appelle Eckart. Tollé. Mais du coup, quand je dis Descartes Tollé, ça veut dire Descartes. Mon cerveau est matricé. Du coup, qu'est-ce qu'il dit ? Il dit que être conscient, c'est s'élever au-delà de la pensée. On est sur des sacrés kicks de conscience. Mais voilà pour aujourd'hui. Je ne vais pas vous bombarder d'informations, donc je préfère faire des formats courts. Si tu dois retenir qu'une chose, c'est ça. Tu n'es pas ton mental. Donc observe, écoute. Ça, c'est le début de la liberté. Prends conscience plutôt que de chercher à comprendre. Ça aussi, c'est une clé. Et on se retrouve dans le prochain épisode pour comprendre comment fonctionne cette machine du mental pour arriver à l'utiliser à bon escient. Bisous !

Chapters

  • Tu n’es pas ton mental

    02:00

  • L’exemple de la perceuse : ton mental est un outil !

    03:12

  • La preuve

    04:50

  • L’exemple de la tasse : ton mental, toi, et le royaume de la conscience

    05:25

  • Les 2 actions !

    07:30

  • Récap’

    09:34

Description

Premier épisode de cette série autour du livre Le Pouvoir du moment présent d’Eckhart Tollé.

Et on commence fort avec le chapitre 1 : tu n’es pas ton mental.


Je t’explique chaque thématique du livre avec des mots simples, des exemples concrets et une action facile à mettre en pratique.

Le but ? Que la conscience devienne une expérience, pas juste un concept.


Au programme :

• Pourquoi tu n’es pas cette petite voix qui tourne en boucle dans ta tête

• Comment commencer à observer ton mental (sans t’identifier ni te juger)

• Ce qui change quand tu cesses de croire que tu es tes pensées


C’est pas de la spiritualité perchée.

C’est concret, libérateur, et accessible maintenant.


Alors ouvre bien grand tes oreilles et ton cœur et laisse-toi traverser. 🫶


Psst : je t’attends dans mes DM 🥊


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, moi c'est Amandine et je serai ton hôte aujourd'hui. Bienvenue dans ton espace. Avant qu'on aille plus loin, je te propose de prendre une grande respiration. Pour les plus courageux, tu peux même poser une main sur ton cœur. T'inquiète, personne ne te regarde, c'est juste toi, ici et maintenant. Ok. Maintenant que t'es là, vraiment là, je t'invite à écouter. Pas juste avec ta tête, mais avec ton corps et ton cœur. Parce que c'est là que la vérité se reconnaît. Ok, pour ce nouvel épisode, je vous propose un format un peu différent. En fait, j'ai commencé un nouveau livre qui s'appelle Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle. Et depuis que je l'ai commencé ou même que j'en ai parlé un peu autour de moi ou sur les réseaux, il y a eu une avalanche de synchronicité. Énormément de personnes qui soit l'ont lu, soit veulent le lire, soit en ont déjà entendu parler. C'est clairement un livre culte. pilier dans le monde de la spiritualité et du développement personnel, mais malheureusement, j'ai fait un constat, c'est qu'il y a très peu de personnes qui arrivent à en extraire un enseignement clair, une leçon, et encore moins à le mettre en pratique dans leur vie, du coup, je crois qu'honnêtement, il y a une personne qui m'a extrait un enseignement, et pareil, après, l'idée, c'est d'arriver à le mettre en pratique, de passer de la théorie à la pratique pour pouvoir l'implémenter dans ton quotidien, dans ta vie, et c'est de là qu'est née l'idée de créer ce podcast, en tout cas. cette série d'épisodes autour de ce livre. À chaque épisode, on va prendre un chapitre et voir même une thématique d'un chapitre parce qu'il y a énormément de choses à voir ensemble, à décortiquer. Donc je te partage les prises de conscience que j'en retire avec mes mots, avec mon regard de coach et mon regard d'Amandine. On extrait l'essentiel et surtout, on termine avec à chaque fois une action concrète à mettre en place pour que t'en ressentes toi-même les pleins bénéfices dans ton quotidien et que tu puisses vraiment repartir avec quelque chose de concret. et que cette conscience, elle devienne une expérience. So, on commence ce voyage ensemble avec le chapitre 1 du pouvoir du moment présent, et on commence fort parce que le titre du chapitre, c'est « Vous n'êtes pas votre mental, tu n'es pas ton mental » . C'était la vérité la plus libératrice que j'ai jamais intégrée, et c'est clairement le socle de tout le reste. Le mental, c'est un outil qui te sert pour accomplir une tâche précise. Ok, une fois que la tâche est effectuée, tu poses l'outil. Ça, c'est la théorie. Dans la pratique, très peu savent l'utiliser. Et c'est même pas qu'on l'utilise mal, notre mental ou cet outil, c'est que c'est lui qui se sert de nous. Et pour ça, il n'y a pas besoin d'aller chercher très loin. Si je vous pose la question de qui ici sait se libérer de son mental quand il veut, qui a réussi à trouver l'interrupteur qu'il met hors circuit, on-off, ou qui arrive à choisir quand tu utilises ton mental, spoil très peu, voire personne. La réalité, c'est que le mental se sert de nous, de toi. T'es sous son emprise parce que t'as simplement jamais appris à t'en servir. Et pire même, on t'a fait croire que tu es ton mental. Ça, c'est vraiment la plus grande illusion, la plus grande mascarade qui fait souffrir beaucoup de personnes, de croire qu'on est son mental. Je te donne un exemple, une métaphore. C'est clairement pas le truc le plus waouh, mais ce sera plus simple à comprendre. Imagine un jour, tu utilises une perceuse parce que t'en as besoin. et depuis ce jour là Tu te balades avec cette perceuse qui tourne en boucle à côté de toi, ok ? Tu l'as jamais éteinte et non seulement elle est collée à toi. Donc déjà de 1, c'est ultra énergivore, mais surtout, autour de toi, petit à petit, les gens vont commencer à t'appeler et te dire « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » « Oh, t'as vu, c'est la meuf à la perceuse ! » Et petit à petit, bah même toi-même, t'es en train de te mettre cette étiquette de « Oh, je suis la meuf à la perceuse ! » C'est très imagé, mais c'est pour te rendre compte que ton mental, c'est la même chose. Un jour, tu l'as utilisé. Depuis ce jour-là, tu ne l'as jamais arrêté parce que tu ne sais pas l'arrêter. Et en plus de ça, tu te balades avec en continu et on t'a identifié toi-même, tu t'as fini par t'identifier par ton mental. Et même sans cette métaphore, cette illusion, elle commence depuis très longtemps avec cette fameuse phrase célèbre qui est « Je pense, donc je suis » de Descartes. Le jour où j'ai lu ce livre, dans ma tête, j'étais mais en fait, Descartes, non, t'as complètement faux. Cette phrase, elle manque de nuances. énormément de croire que si on s'arrête de penser, on arrête d'exister. Mais non, en fait, au contraire, mon coco, j'ai commencé à être et à vivre le jour où j'ai arrêté de penser. Donc non, tu n'es pas tes pensées, tu n'es pas ton mental, tu n'es pas ton égo, tu n'es pas tes émotions, tu n'es pas cette personnalité secondaire. Ça, c'est la première erreur. On grandit en s'identifiant à notre personnalité secondaire, à notre égo, à notre mental, à nos pensées. On a une image mentale de qui on est. Sauf que pas du tout. Déjà c'est ultra réducteur et je vais t'en donner la preuve parce que ton mental il adore les preuves et il croit que ce qu'il comprend. Si tu peux observer une pensée. C'est que tu n'es pas cette pensée. Donc la prochaine fois que t'es dans ta tête, que t'es dans ton mental, que tu penses, observe. À l'instant même où tu te mets à observer le penseur, il y a un niveau de conscience plus élevé qui est activé. Tu accèdes à quelque chose de au-delà que cette pensée, que ce mental. Et là tu réalises que t'es forcément plus que le penseur parce que tu peux l'observer. Donc tu es celui qui observe le penseur. Tu me suis ou pas ? Je vais te reprendre une autre métaphore, elle n'a rien à voir, on va prendre la métaphore de la tasse. Je ne sais pas pourquoi, j'étais en train de boire un café, j'ai la tasse sous les yeux. Tu as une tasse devant toi. Toi, tu es dans la tasse. Cette tasse, c'est ton mental. Tu prends cette tasse et toi, tu es à l'intérieur de cette tasse. Tant que tu es à l'intérieur de cette tasse, tu ne vois que la tasse et tu crois que toi, tu es la tasse. Maintenant, prends-toi là et tu te mets à côté de la tasse. Qu'est-ce qui se passe ? De 1, tu vois la tasse. prends conscience qu'il y a une tasse, donc la tasse c'est ton mental, tu vois ton mental, tu prends conscience qu'il y a un mental, et surtout, tu prends conscience qu'il y a toi, en tant qu'individu, tu existes, tu n'es plus dans la tasse, t'es plus confondu dans la tasse, dans le mental, tu existes à part entière, t'es un individu. Donc il y a deux entités, il y a l'entité de la tasse et il y a l'entité de toi en tant que être. Et en plus de ça, tu te rends compte qu'il y a autre chose autour. Il y a un monde qui entoure toi et cette tasse. Donc t'es à la fois conscient que du toi en tant qu'individu, que du monde de la conscience qui t'entoure. Et ça, c'est une autre prise de conscience, une autre vérité. Il y a un royaume entier d'intelligence au-delà du mental. Et ce royaume d'intelligence, c'est la conscience. Et cette conscience, elle est bien plus grande que le mental. En fait, l'erreur pareille qu'on fait, c'est de croire que la pensée et la conscience, c'est la même chose. Pas du tout. Pensée et conscience, c'est pas des synonymes. La pensée, c'est un tout petit aspect de la conscience. Elle ne peut pas exister sans elle. Par contre, la conscience, elle n'a pas besoin de la pensée pour exister. Et là, j'ai envie de repartir sur une autre métaphore, mais qui revient un peu au bricolage. C'est comme si tu avais une mallette de bricolage. La mallette de bricolage, c'est la conscience. Et à l'intérieur, tu as un outil qui est du coup le mental. Donc si tu enlèves l'outil, la boîte, elle existe toujours. Par contre, si tu enlèves la boîte, il n'y a plus rien qui existe. Est-ce que tu me suis ou pas ? Du coup, revenons à nos moutons. Descartes, je suis désolée, mais je pense, donc je suis non. En revanche, nuance, je suis conscient, donc je suis. Là, c'est plus juste. Et à partir de là, je te donne deux tips pour prendre conscience que tu n'es pas ton mental. Le premier tip, c'est d'observer le penseur. Écoute ton mental, écoute cette petite voix qui est dans ta tête, différemment, sans t'identifier à elle, mais en étant la présence, la personne qui joue le rôle de témoin. Et attention, si tu t'entends, si tu sens que tu es en train de juger cette petite voix, spoil, ça c'est ton signal pour te dire que tu es en train déjà de t'identifier à elle, que tu la laisses te posséder. Donc non, tu gardes cette distance, tu gardes cette conscience entre la voix et toi, en tant qu'individu, en tant que quelqu'un qui l'écoute et qui l'observe. Et le deuxième tip, et ça je l'ai eu avec une de mes coachées, le déclic, sa réaction elle était incroyable, ça m'a fait trop plaisir. On était en train d'échanger, elle était toujours en boucle dans « je comprends pas, je comprends, je comprends pas, mais je comprends, mais oui, mais, oui, mais... » Bref, ultra dans le mental. Et il y a un moment, je lui ai dit « ok, switch le « je comprends pas » ou « je comprends » avec « je prends conscience, j'ai conscience de » . Et à ce moment-là, quand dans son vocabulaire, elle a arrêté de dire « je comprends pas ça » ou « je comprends ça » , mais de switcher avec « ok, je step back » . Je prends conscience de ça. En fait, à partir du moment où tu es au niveau de la conscience, que tu prends conscience même verbalement que tu le dis, tu sors de ton mental. Tu es au-delà de ça. Et ça, c'est vraiment un tip, même dans votre langage, quand vous vous entendez dire « je comprends pas, je comprends, etc. » et que vous êtes dans un brouhaha mental complet, bam, switch avec le mot « je prends conscience, j'ai conscience de ça » . Et je finirais même avec la petite punchline d'Eckhart Tolle. C'est fou que d'Eckhart, enfin, il s'appelle Eckart. Tollé. Mais du coup, quand je dis Descartes Tollé, ça veut dire Descartes. Mon cerveau est matricé. Du coup, qu'est-ce qu'il dit ? Il dit que être conscient, c'est s'élever au-delà de la pensée. On est sur des sacrés kicks de conscience. Mais voilà pour aujourd'hui. Je ne vais pas vous bombarder d'informations, donc je préfère faire des formats courts. Si tu dois retenir qu'une chose, c'est ça. Tu n'es pas ton mental. Donc observe, écoute. Ça, c'est le début de la liberté. Prends conscience plutôt que de chercher à comprendre. Ça aussi, c'est une clé. Et on se retrouve dans le prochain épisode pour comprendre comment fonctionne cette machine du mental pour arriver à l'utiliser à bon escient. Bisous !

Chapters

  • Tu n’es pas ton mental

    02:00

  • L’exemple de la perceuse : ton mental est un outil !

    03:12

  • La preuve

    04:50

  • L’exemple de la tasse : ton mental, toi, et le royaume de la conscience

    05:25

  • Les 2 actions !

    07:30

  • Récap’

    09:34

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