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Pas de messes basses !

ÉPISODE 36 - Michel de la Patellière et Nadine Bour : Cap sur le Congrès Mission à Paris !

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17min |26/09/2025
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Description

Du 7 au 9 novembre, l’Accor Arena de Paris-Bercy accueillera le Congrès Mission pour un rassemblement exceptionnel de 30 000 chrétiens venus de toute la France. À l’occasion des 10 ans de cet événement, Michel de La Patellière et Nadine Bour nous présentent ce grand rendez-vous de la mission : à qui s’adresse-t-il ? Pourquoi cette édition nationale ? Quel est le lien avec les dynamiques missionnaires locales, comme celles déjà en œuvre dans le diocèse de Troyes ?
Au micro, ils reviennent aussi sur les enjeux de l’évangélisation dans la société actuelle, sur les outils proposés, les innovations pastorales, l’importance des jeunes, et la manière concrète de s’inscrire et de participer.

Un épisode pour s’informer, s’inspirer, et peut-être… se lancer dans l’aventure missionnaire !


Contact et informations sur le Congrès Mission avec le diocèse de Troyes : https://www.cathotroyes.fr/evenement/congres-mission/

Inscription : https://www.billetweb.fr/congres-mission-2025


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Pas de messe basse, bienvenue sur le podcast du diocèse de Troyes qui nous permet de donner la parole à des femmes, à des hommes, qu'ils soient laïcs ou religieux, il y sera question de l'actualité de l'Église dans l'aube et dans sa dimension universelle. Au micro, Aline Baudin et Jean-François Laville du service communication. Eh bien bonjour à toutes et à tous et bienvenue à l'écoute des podcasts du diocèse de Troyes. Nous avons le plaisir aujourd'hui d'accueillir deux personnes, Michel de la Patellière, bonjour. Et Nadine Bour, bonjour. Bonjour. Alors si vous êtes réunis aujourd'hui, c'est parce qu'il va se passer quelque chose d'important pour l'Église, pour les chrétiens. Ça va se dérouler à Paris, à Paris-Bercy pour être plus précis, du 7 au 9 novembre, et cela s'appelle le Congrès Mission. Alors Michel de la Patelière, de quoi s'agit-il ?

  • Speaker #1

    Le Congrès Mission, dont on fête les 10 ans d'existence aujourd'hui, ça a commencé en 2015. Chaque année, un peu depuis 2015, les diocèses et le National proposent des grands rassemblements de chrétiens qui sont un peu attirés par la dimension missionnaire, la dimension de témoignage de l'Évangile par toute leur vie. En fait, même si à l'origine c'est vrai que le Renouveau a impulsé un peu l'idée des congrès-missions, aujourd'hui c'est beaucoup plus large. Aujourd'hui ça attire une foule de chrétiens. jeunes et moins jeunes, qui veulent faire de leur vie quotidienne un engagement au service de la joie de l'Évangile.

  • Speaker #0

    Alors tout de suite, jeunes et moins jeunes, concrètement, ça s'adresse à qui ?

  • Speaker #1

    Ça s'adresse de préférence à des personnes majeures. Par exemple, cette année, le congrémation insiste sur l'attirance des jeunes, mais on cible davantage les jeunes majeurs pour des questions d'assurance, d'autorisation parentale. et donc En fait, le congrès mission s'adresse à tout le monde. Sauf que cette année, il y a une insistance plus particulière sur les jeunes.

  • Speaker #0

    D'accord. Nadine, l'an dernier, je crois que ça a été décentralisé, puisqu'il y avait eu, je ne sais plus combien de dizaines ou de diocèses ou de paroisses, en fait, qui avaient co-organisé cet événement. Cette année, c'est centré sur Paris pour un grand événement. Pourquoi cette année sur Paris ? C'est l'année jubilaire ? Qu'est-ce qui justifie, en fait ?

  • Speaker #2

    Effectivement, il y a eu ce désir que ce soit décentralisé au niveau des diocèses pour qu'il y ait un peu une dynamique et une effervescence dans différents lieux de France. Et avec un rendez-vous régulier sur Paris, peut-être tous les deux ou trois ans en tout cas. Cette année, c'est un grand rassemblement national sur Paris qui va effectivement faire venir du monde de toute la France. Ça va être vraiment un événement national important.

  • Speaker #0

    Quand on dit grand rassemblement, Paris-Versi, c'est combien de personnes ?

  • Speaker #1

    C'est déjà 30 000 personnes.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    Paris-Bercy, c'est le grand stade qui réunit parfois pour des tournois de tennis.

  • Speaker #0

    Des concerts.

  • Speaker #1

    Des concerts. Si Paris-Bercy a été choisi, c'est parce qu'il y aura plusieurs événements qui vont rassembler notamment les jeunes. Le samedi soir, il y aura une grande veillée de prière pour les jeunes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc il y aura plusieurs événements. un peu festif ou parfois des messes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    Tout se passe au même endroit ? Non,

  • Speaker #1

    pas du tout. Il sera proposé à ceux qui, par exemple, voudront, les plus âgés, par exemple, qui voudront avoir une participation plus priante. Il y a des églises comme Saint-Sulpice, le Sacré-Cœur de Montmartre, qui seront ouvertes à une dimension plus... plus méditative et plus priante.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    En fait, il y aura des ateliers, il y aura des tables rondes, il y aura des parcours dans la ville, il y aura des temps de prière, des temps festifs. D'ailleurs, j'invite les gens qui sont intéressés par le programme d'aller sur le site du diocèse où il y a des éléments factuels pour se rendre compte un peu des événements et du programme à venir.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors le thème qui est proposé cette année, c'est comment proposer l'Évangile, à la société actuelle. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la mission, la manière de proposer l'évangile doit s'adapter à une société en évolution, en constante évolution ? Ou est-ce que la société va trop vite par rapport aux habitudes que l'on connaît habituellement ?

  • Speaker #2

    Alors, je pense que notre société est vraiment dans une phase de questionnement, avec des actualités qui sont parfois violentes, qui sont déstabilisantes, qui peuvent amener à la désespérance. Je pense que les hommes et les femmes sont vraiment en recherche, en quête d'un sens par rapport à leur vie, par rapport à ce qui est à vivre pour... Pour chacun, au niveau personnel, mais au niveau relationnel, et puis au niveau spirituel, aujourd'hui ce qu'on peut voir c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui sont loin de toute religion, extérieures à cette pratique, à ce vécu, et qui sont en recherche, qui ont une vraie quête, et qui viennent vers nos églises, quelles qu'elles soient, des églises protestantes, catholiques. Je pense que là, on a vraiment à prendre en compte cette demande parce qu'il y a une soif du côté de la société et qu'on a des choses à apporter.

  • Speaker #0

    Quand on dit comment proposer l'évangile à la société actuelle, on s'adresse aux prêtres, aux diacres, mais aussi aux laïcs. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'il faut aller au-delà de ce que l'on fait habituellement ? Il faut aller jusqu'à une forme de prosélytisme ?

  • Speaker #2

    Je pense que par rapport à cette question, elle s'adresse à tous les chrétiens. Quel que soit notre fonction, notre rôle ou notre état d'investissement au niveau de l'Église, je pense qu'en tant que chrétien, on a personnellement une relation avec le Seigneur et que de là, on a un témoignage. Et quand on est dans cette relation vivante, on ne peut que donner envie et aller vers l'autre parce que là, nous, on a trouvé une réponse.

  • Speaker #0

    Michel, il faut être davantage missionnaire qu'on ne l'est habituellement ? Oui,

  • Speaker #1

    en fait, je crois que le baptême, notre baptême chrétien, nous demande d'avoir ce regard missionnaire profondément. Et c'est vrai que depuis maintenant une vingtaine d'années, on a mis beaucoup plus l'accent sur une Église qui sort de ses certitudes et qui va à la rencontre de l'autre, ce qu'on appelait les périphéries à l'époque du pape François. et c'est vrai que Ce renouveau un peu missionnaire qui existe dans les paroisses, dans les diocèses, on le voit avec l'affluence de catéchumènes depuis 2-3 ans, et c'est vrai qu'il y a beaucoup de chrétiens qui disent « Moi je veux témoigner de ma joie d'être fidèle au Christ, je veux témoigner ouvertement, je ne veux pas m'enfermer dans des célébrations un peu closes, je veux sortir, je veux ouvrir mon cœur à la rencontre de l'autre. » Cette vision missionnaire, elle est en train de prendre beaucoup plus d'élan Et ce sont des rassemblements comme le congrès mission, mais moi je pense à des jeunes qui sont familiers de Thésée, Parallel Monial, les JMJ, c'est toujours les mêmes types de rassemblements et d'événements qui permettent à la fois de rentrer dans une dimension festive, on loue le Seigneur avec joie, avec enthousiasme, et en même temps on met en route un peu cette dimension qui est en soi d'aller vers... à la rencontre de l'autre.

  • Speaker #0

    En fait, ça veut dire que peut-être depuis quelques années, un certain nombre de personnes n'assumaient pas ou ne montraient pas leur foi, leur engagement religieux ou restaient très en retrait. Aujourd'hui, peut-être qu'ils sont un peu moins en retrait.

  • Speaker #2

    Je pense qu'il y avait quand même une grande réserve par rapport à cette notion à la fois de « il ne faut pas être prosélite » et en même temps cette notion de la laïcité qu'on a beaucoup mis en avant dans la société. Et la laïcité, c'est vraiment le respect de chacun dans sa religion, dans ce qu'il vit, avec cette relation à son Dieu. Aujourd'hui, on sent que notre Église a besoin d'être missionnaire parce qu'il y a une vraie demande du côté de la société. Il y a un vrai besoin, il y a une vraie recherche. Et on sent qu'en étant dans la mission, en fait, nous-mêmes, on est fortifiés et renforcés dans notre foi. et là je dirais qu'en plus aujourd'hui on a plus qu'à être missionnaire, on a besoin d'être dans cet accueil, dans cette annonce de l'autre à l'autre, je veux dire, mais on a aussi besoin de l'accompagner dans ce qu'il vit. Et je crois que notre Église catholique aujourd'hui, par le biais des paroisses, elle a aussi à redécouvrir cette dynamique de l'accompagnement de celui qui arrive à l'Église, c'est-à-dire pas seulement l'accueillir et lui annoncer qui est Jésus, mais aussi l'accompagner à partir de là où il est. et avoir des propositions concrètes. Et c'est ce qu'on appelle aujourd'hui la transformation pastorale, la transformation de nos paroisses. Et je pense que le congrès mission, qui permet vraiment des rencontres de tous les diocèses, peut apporter des réponses, parce qu'il y a des initiatives concrètes qui se vivent dans différents endroits et qui peuvent apporter des réponses pour certains d'entre nous, en disant qu'il y a une idée qui se vit à tel endroit, ça peut être peut aussi se faire dans notre paroisse, ça peut aussi être une réponse.

  • Speaker #0

    Vous parlez d'accompagnement, là on est sur le plan humain. Est-ce que la proposition de l'évangile peut aussi passer, et pourquoi pas, peut-être que le programme peut en dire déjà quelques éléments, par des nouveaux produits, des nouveaux outils technologiques, pourquoi pas l'intelligence artificielle ? Aujourd'hui, tout passe un peu par là ?

  • Speaker #1

    Oui, je ne me prononcerai pas sur cette question de l'intelligence artificielle.

  • Speaker #0

    En tout cas, tous les outils numériques, pour le moins.

  • Speaker #1

    Dans les outils numériques, il n'y a pas de problème. Sur l'intelligence artificielle, il y a peut-être des bémols à mettre, parce qu'il y a quand même des dangers qui peuvent guetter la société aujourd'hui. Mais je ne m'avancerai pas sur ce sujet que je connais mal. Mais ce qui est sûr, c'est que l'Église, dans sa mission, dans son désir de contacter, de toucher le plus de monde possible, a besoin d'utiliser tous les moyens aujourd'hui de la société. Et c'est vrai qu'il y a des idées à prendre un peu partout. Et précisément, dans les tables rondes qu'il y aura le 7, 8, 9 novembre, ces tables rondes sont là pour présenter un peu ce que font les diocèses en termes de mission. Il y a des idées à prendre, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Alors, je vais poser directement la question. Dans le diocèse de Troyes, actuellement, en termes de mission, que se passe-t-il ? Quelles sont les initiatives ?

  • Speaker #2

    Alors par exemple, j'ai eu l'occasion d'aller à une rencontre d'un congrès mission à Besançon. C'était pas l'année dernière, ça devait être en 2023. On est allé sur un atelier qui était un atelier proposé par des paroissiens de Bretagne, de Dinard. Ils nous ont présenté leur projet de Dimanche en paroisse. C'était un projet pour dire que les personnes qui sont en recherche et qui viennent à l'église ne sont pas initiés par rapport à un déroulement. de ce qu'est une messe, aux différentes étapes. Et donc il faut avoir une autre proposition. Et donc leur proposition c'était, en matinée, on propose temps de chant, louanges, témoignages, paroles de Dieu avec un échange, apéritifs et repas, et tout se termine à 13h30, avec pour les paroissiens la possibilité d'avoir la messe en amont, avant cet accueil des gens de la périphérie. Et donc, on a concrétisé ce projet sur notre paroisse à Saint-Julien et on l'a vécu à quatre reprises. Et c'est vraiment une réponse concrète, adaptée et qui permet à chaque fois d'accueillir des nouvelles personnes avec beaucoup de relationnel, d'ouverture. Sachant aussi qu'après le temps de la parole de Dieu, on a des temps d'échange en petits groupes avec des animateurs. Ce qui fait qu'il y a de la rencontre, de l'échange, du questionnement. Et on voit que là, il y a des possibilités qui peuvent aussi se poursuivre par d'autres propositions.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors revenons à ce congrès mission et revenons encore une fois au diocèse de Troyes. Que se passe-t-il dans le diocèse de Troyes en termes d'organisation concrètement ? Qui faut-il contacter ? Qui peut venir ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Tout à fait. Alors nous sommes actuellement une petite équipe de 7-8 personnes qui a pour mission de diffuser un peu ces modes de communication, diffuser un peu le programme. et alors Alors, pour les inscriptions, actuellement, on est un peu au démarrage. Et en fait, il va nous être demandé de rassembler un peu les futures inscriptions par des préinscriptions. Les participants s'inscriront directement sur le site du National.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'il y a un nombre de places limitées ?

  • Speaker #1

    A priori, pas. Il y a 30 000 places.

  • Speaker #0

    Et vous disiez tout à l'heure, tous les âges, il faut être majeur ? Il faut être majeur, d'accord. D'accord, mais après il n'y a plus de limite quoi.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de limite, oui. Avec une assistance plus particulière pour les jeunes, mais c'est vrai qu'aujourd'hui on a lancé les invitations, on cherche des référents, des ambassadeurs, dans les espaces pastoraux, dans les différentes paroisses, pour nous représenter et pour permettre de diffuser plus rapidement les programmes, l'invitation au congrès mission, voilà.

  • Speaker #0

    Alors, si on veut être encore plus concret, combien ça coûte ?

  • Speaker #1

    En gros, à Accor Arena, il faut compter environ 35 euros si on veut être dans les gradins, pour une journée.

  • Speaker #0

    Pour une journée.

  • Speaker #1

    Pour une journée.

  • Speaker #0

    On n'est pas obligé d'assister aux trois journées ?

  • Speaker #1

    Non, on n'est pas obligé d'assister aux trois journées. Il y a des gens qui vont choisir d'aller à la carte, soit le samedi, soit le vendredi, soit le dimanche. Ça, c'est libre à chacun. Il y a des gens qui ne pourront pas se déplacer pour les trois jours.

  • Speaker #0

    Ok, mais 35 euros si on veut être dans les gradins, mais si on n'est pas dans les gradins, on est où ?

  • Speaker #1

    C'est moins cher, on est dans la fosse. Et chaque jour, à peu près, il faudra compter entre... 35, 20 euros. En gros, on a calculé à peu près, mais c'est une estimation pour l'instant, si on reste les trois jours, 70 ou 80 euros.

  • Speaker #0

    Alors ça, c'est pour assister donc au congrès, mais est-ce qu'il y a des possibilités d'hébergement ?

  • Speaker #1

    On est en recherche d'hébergement sur Paris. On a des contacts, mais il faut qu'on trouve des hébergements, soit collectifs, soit individuels.

  • Speaker #0

    Et ça, c'est le national qui s'en charge ou c'est chaque diocèse ?

  • Speaker #1

    Chaque diocèse devra trouver des hébergements. De trouver des hébergements ?

  • Speaker #0

    30 000 places, 30 000 lits ? Non,

  • Speaker #1

    ce n'est pas possible. Chaque diocèse est amenée à trouver ses propres lieux d'hébergement.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors, pour en savoir davantage, qui contacter ? Quelles coordonnées ?

  • Speaker #1

    Mon adresse mail et mon numéro de téléphone.

  • Speaker #0

    On va peut-être le repréciser très clairement. Donc, Michel de La Patellière, si je ne me trompe pas, 06 66 79 89 83. Je répète, 06 66 79 89 83 et Nadine Bourg 07 67 06 57 43. J'ai une adresse mail, contact@congresmissiontroyes.com. Ça, c'est bon ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'adresse mail dédiée pour l'ensemble des informations. On reçoit sous cette adresse mail les gens qui veulent des renseignements plus complémentaires. s'ils ne passent pas par le téléphone.

  • Speaker #0

    D'accord, et ces coordonnées, on les retrouve également sur le site du diocèse de Troyes. Tout à fait, oui. Très bien, voilà. Quelque chose à ajouter pour inciter les gens à y aller ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est une occasion en or, parce que notre diocèse célèbre un peu le thème de la mission, et qu'il faut utiliser tous les moyens pour inviter les jeunes et les moins jeunes un peu à stimuler leur réflexe missionnaire, leur vie missionnaire baptismale. Et je pense que c'est un bon moyen.

  • Speaker #2

    Oui, je pense que dans nos paroisses, on se questionne justement à comment avoir des propositions, comment innover, comment permettre à ceux qui arrivent de pouvoir trouver leur place. Parfois, on est dans des questionnements sans fin. Et simplement de se dire que dans des lieux comme ça, il peut y avoir des éclairages, des solutions, des réponses. Et là, vraiment, ça vaut le coup. et je trouve que En plus, on retrouve un enthousiasme parce qu'on est dans l'ouverture, dans la rencontre. Et on se dit que notre Église, en fait, elle n'est pas du tout en train de mourir. Simplement, elle est en train de changer, de se transformer. Et donc, il faut aller voir et il faut avoir cette envie de se déplacer pour en rencontrer d'autres et revenir du coup enrichi.

  • Speaker #0

    Belle conclusion. Nadine, Michel, merci pour ces témoignages et bonne journée à vous.

  • Speaker #2

    Merci. Au revoir. Au revoir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pas de messe basse. S'il vous a plu, n'hésitez pas à nous encourager en commentant ou en laissant quelques étoiles sur votre plateforme d'écoute. Nous serons heureux de découvrir vos avis. Vous pouvez également soutenir l'Église catholique de l'Aube en faisant un don sur notre site internet www.cathtroyes.fr. C-A-T-H-O-T-R-O-Y-E-S. A bientôt !

Description

Du 7 au 9 novembre, l’Accor Arena de Paris-Bercy accueillera le Congrès Mission pour un rassemblement exceptionnel de 30 000 chrétiens venus de toute la France. À l’occasion des 10 ans de cet événement, Michel de La Patellière et Nadine Bour nous présentent ce grand rendez-vous de la mission : à qui s’adresse-t-il ? Pourquoi cette édition nationale ? Quel est le lien avec les dynamiques missionnaires locales, comme celles déjà en œuvre dans le diocèse de Troyes ?
Au micro, ils reviennent aussi sur les enjeux de l’évangélisation dans la société actuelle, sur les outils proposés, les innovations pastorales, l’importance des jeunes, et la manière concrète de s’inscrire et de participer.

Un épisode pour s’informer, s’inspirer, et peut-être… se lancer dans l’aventure missionnaire !


Contact et informations sur le Congrès Mission avec le diocèse de Troyes : https://www.cathotroyes.fr/evenement/congres-mission/

Inscription : https://www.billetweb.fr/congres-mission-2025


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Pas de messe basse, bienvenue sur le podcast du diocèse de Troyes qui nous permet de donner la parole à des femmes, à des hommes, qu'ils soient laïcs ou religieux, il y sera question de l'actualité de l'Église dans l'aube et dans sa dimension universelle. Au micro, Aline Baudin et Jean-François Laville du service communication. Eh bien bonjour à toutes et à tous et bienvenue à l'écoute des podcasts du diocèse de Troyes. Nous avons le plaisir aujourd'hui d'accueillir deux personnes, Michel de la Patellière, bonjour. Et Nadine Bour, bonjour. Bonjour. Alors si vous êtes réunis aujourd'hui, c'est parce qu'il va se passer quelque chose d'important pour l'Église, pour les chrétiens. Ça va se dérouler à Paris, à Paris-Bercy pour être plus précis, du 7 au 9 novembre, et cela s'appelle le Congrès Mission. Alors Michel de la Patelière, de quoi s'agit-il ?

  • Speaker #1

    Le Congrès Mission, dont on fête les 10 ans d'existence aujourd'hui, ça a commencé en 2015. Chaque année, un peu depuis 2015, les diocèses et le National proposent des grands rassemblements de chrétiens qui sont un peu attirés par la dimension missionnaire, la dimension de témoignage de l'Évangile par toute leur vie. En fait, même si à l'origine c'est vrai que le Renouveau a impulsé un peu l'idée des congrès-missions, aujourd'hui c'est beaucoup plus large. Aujourd'hui ça attire une foule de chrétiens. jeunes et moins jeunes, qui veulent faire de leur vie quotidienne un engagement au service de la joie de l'Évangile.

  • Speaker #0

    Alors tout de suite, jeunes et moins jeunes, concrètement, ça s'adresse à qui ?

  • Speaker #1

    Ça s'adresse de préférence à des personnes majeures. Par exemple, cette année, le congrémation insiste sur l'attirance des jeunes, mais on cible davantage les jeunes majeurs pour des questions d'assurance, d'autorisation parentale. et donc En fait, le congrès mission s'adresse à tout le monde. Sauf que cette année, il y a une insistance plus particulière sur les jeunes.

  • Speaker #0

    D'accord. Nadine, l'an dernier, je crois que ça a été décentralisé, puisqu'il y avait eu, je ne sais plus combien de dizaines ou de diocèses ou de paroisses, en fait, qui avaient co-organisé cet événement. Cette année, c'est centré sur Paris pour un grand événement. Pourquoi cette année sur Paris ? C'est l'année jubilaire ? Qu'est-ce qui justifie, en fait ?

  • Speaker #2

    Effectivement, il y a eu ce désir que ce soit décentralisé au niveau des diocèses pour qu'il y ait un peu une dynamique et une effervescence dans différents lieux de France. Et avec un rendez-vous régulier sur Paris, peut-être tous les deux ou trois ans en tout cas. Cette année, c'est un grand rassemblement national sur Paris qui va effectivement faire venir du monde de toute la France. Ça va être vraiment un événement national important.

  • Speaker #0

    Quand on dit grand rassemblement, Paris-Versi, c'est combien de personnes ?

  • Speaker #1

    C'est déjà 30 000 personnes.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    Paris-Bercy, c'est le grand stade qui réunit parfois pour des tournois de tennis.

  • Speaker #0

    Des concerts.

  • Speaker #1

    Des concerts. Si Paris-Bercy a été choisi, c'est parce qu'il y aura plusieurs événements qui vont rassembler notamment les jeunes. Le samedi soir, il y aura une grande veillée de prière pour les jeunes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc il y aura plusieurs événements. un peu festif ou parfois des messes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    Tout se passe au même endroit ? Non,

  • Speaker #1

    pas du tout. Il sera proposé à ceux qui, par exemple, voudront, les plus âgés, par exemple, qui voudront avoir une participation plus priante. Il y a des églises comme Saint-Sulpice, le Sacré-Cœur de Montmartre, qui seront ouvertes à une dimension plus... plus méditative et plus priante.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    En fait, il y aura des ateliers, il y aura des tables rondes, il y aura des parcours dans la ville, il y aura des temps de prière, des temps festifs. D'ailleurs, j'invite les gens qui sont intéressés par le programme d'aller sur le site du diocèse où il y a des éléments factuels pour se rendre compte un peu des événements et du programme à venir.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors le thème qui est proposé cette année, c'est comment proposer l'Évangile, à la société actuelle. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la mission, la manière de proposer l'évangile doit s'adapter à une société en évolution, en constante évolution ? Ou est-ce que la société va trop vite par rapport aux habitudes que l'on connaît habituellement ?

  • Speaker #2

    Alors, je pense que notre société est vraiment dans une phase de questionnement, avec des actualités qui sont parfois violentes, qui sont déstabilisantes, qui peuvent amener à la désespérance. Je pense que les hommes et les femmes sont vraiment en recherche, en quête d'un sens par rapport à leur vie, par rapport à ce qui est à vivre pour... Pour chacun, au niveau personnel, mais au niveau relationnel, et puis au niveau spirituel, aujourd'hui ce qu'on peut voir c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui sont loin de toute religion, extérieures à cette pratique, à ce vécu, et qui sont en recherche, qui ont une vraie quête, et qui viennent vers nos églises, quelles qu'elles soient, des églises protestantes, catholiques. Je pense que là, on a vraiment à prendre en compte cette demande parce qu'il y a une soif du côté de la société et qu'on a des choses à apporter.

  • Speaker #0

    Quand on dit comment proposer l'évangile à la société actuelle, on s'adresse aux prêtres, aux diacres, mais aussi aux laïcs. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'il faut aller au-delà de ce que l'on fait habituellement ? Il faut aller jusqu'à une forme de prosélytisme ?

  • Speaker #2

    Je pense que par rapport à cette question, elle s'adresse à tous les chrétiens. Quel que soit notre fonction, notre rôle ou notre état d'investissement au niveau de l'Église, je pense qu'en tant que chrétien, on a personnellement une relation avec le Seigneur et que de là, on a un témoignage. Et quand on est dans cette relation vivante, on ne peut que donner envie et aller vers l'autre parce que là, nous, on a trouvé une réponse.

  • Speaker #0

    Michel, il faut être davantage missionnaire qu'on ne l'est habituellement ? Oui,

  • Speaker #1

    en fait, je crois que le baptême, notre baptême chrétien, nous demande d'avoir ce regard missionnaire profondément. Et c'est vrai que depuis maintenant une vingtaine d'années, on a mis beaucoup plus l'accent sur une Église qui sort de ses certitudes et qui va à la rencontre de l'autre, ce qu'on appelait les périphéries à l'époque du pape François. et c'est vrai que Ce renouveau un peu missionnaire qui existe dans les paroisses, dans les diocèses, on le voit avec l'affluence de catéchumènes depuis 2-3 ans, et c'est vrai qu'il y a beaucoup de chrétiens qui disent « Moi je veux témoigner de ma joie d'être fidèle au Christ, je veux témoigner ouvertement, je ne veux pas m'enfermer dans des célébrations un peu closes, je veux sortir, je veux ouvrir mon cœur à la rencontre de l'autre. » Cette vision missionnaire, elle est en train de prendre beaucoup plus d'élan Et ce sont des rassemblements comme le congrès mission, mais moi je pense à des jeunes qui sont familiers de Thésée, Parallel Monial, les JMJ, c'est toujours les mêmes types de rassemblements et d'événements qui permettent à la fois de rentrer dans une dimension festive, on loue le Seigneur avec joie, avec enthousiasme, et en même temps on met en route un peu cette dimension qui est en soi d'aller vers... à la rencontre de l'autre.

  • Speaker #0

    En fait, ça veut dire que peut-être depuis quelques années, un certain nombre de personnes n'assumaient pas ou ne montraient pas leur foi, leur engagement religieux ou restaient très en retrait. Aujourd'hui, peut-être qu'ils sont un peu moins en retrait.

  • Speaker #2

    Je pense qu'il y avait quand même une grande réserve par rapport à cette notion à la fois de « il ne faut pas être prosélite » et en même temps cette notion de la laïcité qu'on a beaucoup mis en avant dans la société. Et la laïcité, c'est vraiment le respect de chacun dans sa religion, dans ce qu'il vit, avec cette relation à son Dieu. Aujourd'hui, on sent que notre Église a besoin d'être missionnaire parce qu'il y a une vraie demande du côté de la société. Il y a un vrai besoin, il y a une vraie recherche. Et on sent qu'en étant dans la mission, en fait, nous-mêmes, on est fortifiés et renforcés dans notre foi. et là je dirais qu'en plus aujourd'hui on a plus qu'à être missionnaire, on a besoin d'être dans cet accueil, dans cette annonce de l'autre à l'autre, je veux dire, mais on a aussi besoin de l'accompagner dans ce qu'il vit. Et je crois que notre Église catholique aujourd'hui, par le biais des paroisses, elle a aussi à redécouvrir cette dynamique de l'accompagnement de celui qui arrive à l'Église, c'est-à-dire pas seulement l'accueillir et lui annoncer qui est Jésus, mais aussi l'accompagner à partir de là où il est. et avoir des propositions concrètes. Et c'est ce qu'on appelle aujourd'hui la transformation pastorale, la transformation de nos paroisses. Et je pense que le congrès mission, qui permet vraiment des rencontres de tous les diocèses, peut apporter des réponses, parce qu'il y a des initiatives concrètes qui se vivent dans différents endroits et qui peuvent apporter des réponses pour certains d'entre nous, en disant qu'il y a une idée qui se vit à tel endroit, ça peut être peut aussi se faire dans notre paroisse, ça peut aussi être une réponse.

  • Speaker #0

    Vous parlez d'accompagnement, là on est sur le plan humain. Est-ce que la proposition de l'évangile peut aussi passer, et pourquoi pas, peut-être que le programme peut en dire déjà quelques éléments, par des nouveaux produits, des nouveaux outils technologiques, pourquoi pas l'intelligence artificielle ? Aujourd'hui, tout passe un peu par là ?

  • Speaker #1

    Oui, je ne me prononcerai pas sur cette question de l'intelligence artificielle.

  • Speaker #0

    En tout cas, tous les outils numériques, pour le moins.

  • Speaker #1

    Dans les outils numériques, il n'y a pas de problème. Sur l'intelligence artificielle, il y a peut-être des bémols à mettre, parce qu'il y a quand même des dangers qui peuvent guetter la société aujourd'hui. Mais je ne m'avancerai pas sur ce sujet que je connais mal. Mais ce qui est sûr, c'est que l'Église, dans sa mission, dans son désir de contacter, de toucher le plus de monde possible, a besoin d'utiliser tous les moyens aujourd'hui de la société. Et c'est vrai qu'il y a des idées à prendre un peu partout. Et précisément, dans les tables rondes qu'il y aura le 7, 8, 9 novembre, ces tables rondes sont là pour présenter un peu ce que font les diocèses en termes de mission. Il y a des idées à prendre, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Alors, je vais poser directement la question. Dans le diocèse de Troyes, actuellement, en termes de mission, que se passe-t-il ? Quelles sont les initiatives ?

  • Speaker #2

    Alors par exemple, j'ai eu l'occasion d'aller à une rencontre d'un congrès mission à Besançon. C'était pas l'année dernière, ça devait être en 2023. On est allé sur un atelier qui était un atelier proposé par des paroissiens de Bretagne, de Dinard. Ils nous ont présenté leur projet de Dimanche en paroisse. C'était un projet pour dire que les personnes qui sont en recherche et qui viennent à l'église ne sont pas initiés par rapport à un déroulement. de ce qu'est une messe, aux différentes étapes. Et donc il faut avoir une autre proposition. Et donc leur proposition c'était, en matinée, on propose temps de chant, louanges, témoignages, paroles de Dieu avec un échange, apéritifs et repas, et tout se termine à 13h30, avec pour les paroissiens la possibilité d'avoir la messe en amont, avant cet accueil des gens de la périphérie. Et donc, on a concrétisé ce projet sur notre paroisse à Saint-Julien et on l'a vécu à quatre reprises. Et c'est vraiment une réponse concrète, adaptée et qui permet à chaque fois d'accueillir des nouvelles personnes avec beaucoup de relationnel, d'ouverture. Sachant aussi qu'après le temps de la parole de Dieu, on a des temps d'échange en petits groupes avec des animateurs. Ce qui fait qu'il y a de la rencontre, de l'échange, du questionnement. Et on voit que là, il y a des possibilités qui peuvent aussi se poursuivre par d'autres propositions.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors revenons à ce congrès mission et revenons encore une fois au diocèse de Troyes. Que se passe-t-il dans le diocèse de Troyes en termes d'organisation concrètement ? Qui faut-il contacter ? Qui peut venir ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Tout à fait. Alors nous sommes actuellement une petite équipe de 7-8 personnes qui a pour mission de diffuser un peu ces modes de communication, diffuser un peu le programme. et alors Alors, pour les inscriptions, actuellement, on est un peu au démarrage. Et en fait, il va nous être demandé de rassembler un peu les futures inscriptions par des préinscriptions. Les participants s'inscriront directement sur le site du National.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'il y a un nombre de places limitées ?

  • Speaker #1

    A priori, pas. Il y a 30 000 places.

  • Speaker #0

    Et vous disiez tout à l'heure, tous les âges, il faut être majeur ? Il faut être majeur, d'accord. D'accord, mais après il n'y a plus de limite quoi.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de limite, oui. Avec une assistance plus particulière pour les jeunes, mais c'est vrai qu'aujourd'hui on a lancé les invitations, on cherche des référents, des ambassadeurs, dans les espaces pastoraux, dans les différentes paroisses, pour nous représenter et pour permettre de diffuser plus rapidement les programmes, l'invitation au congrès mission, voilà.

  • Speaker #0

    Alors, si on veut être encore plus concret, combien ça coûte ?

  • Speaker #1

    En gros, à Accor Arena, il faut compter environ 35 euros si on veut être dans les gradins, pour une journée.

  • Speaker #0

    Pour une journée.

  • Speaker #1

    Pour une journée.

  • Speaker #0

    On n'est pas obligé d'assister aux trois journées ?

  • Speaker #1

    Non, on n'est pas obligé d'assister aux trois journées. Il y a des gens qui vont choisir d'aller à la carte, soit le samedi, soit le vendredi, soit le dimanche. Ça, c'est libre à chacun. Il y a des gens qui ne pourront pas se déplacer pour les trois jours.

  • Speaker #0

    Ok, mais 35 euros si on veut être dans les gradins, mais si on n'est pas dans les gradins, on est où ?

  • Speaker #1

    C'est moins cher, on est dans la fosse. Et chaque jour, à peu près, il faudra compter entre... 35, 20 euros. En gros, on a calculé à peu près, mais c'est une estimation pour l'instant, si on reste les trois jours, 70 ou 80 euros.

  • Speaker #0

    Alors ça, c'est pour assister donc au congrès, mais est-ce qu'il y a des possibilités d'hébergement ?

  • Speaker #1

    On est en recherche d'hébergement sur Paris. On a des contacts, mais il faut qu'on trouve des hébergements, soit collectifs, soit individuels.

  • Speaker #0

    Et ça, c'est le national qui s'en charge ou c'est chaque diocèse ?

  • Speaker #1

    Chaque diocèse devra trouver des hébergements. De trouver des hébergements ?

  • Speaker #0

    30 000 places, 30 000 lits ? Non,

  • Speaker #1

    ce n'est pas possible. Chaque diocèse est amenée à trouver ses propres lieux d'hébergement.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors, pour en savoir davantage, qui contacter ? Quelles coordonnées ?

  • Speaker #1

    Mon adresse mail et mon numéro de téléphone.

  • Speaker #0

    On va peut-être le repréciser très clairement. Donc, Michel de La Patellière, si je ne me trompe pas, 06 66 79 89 83. Je répète, 06 66 79 89 83 et Nadine Bourg 07 67 06 57 43. J'ai une adresse mail, contact@congresmissiontroyes.com. Ça, c'est bon ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'adresse mail dédiée pour l'ensemble des informations. On reçoit sous cette adresse mail les gens qui veulent des renseignements plus complémentaires. s'ils ne passent pas par le téléphone.

  • Speaker #0

    D'accord, et ces coordonnées, on les retrouve également sur le site du diocèse de Troyes. Tout à fait, oui. Très bien, voilà. Quelque chose à ajouter pour inciter les gens à y aller ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est une occasion en or, parce que notre diocèse célèbre un peu le thème de la mission, et qu'il faut utiliser tous les moyens pour inviter les jeunes et les moins jeunes un peu à stimuler leur réflexe missionnaire, leur vie missionnaire baptismale. Et je pense que c'est un bon moyen.

  • Speaker #2

    Oui, je pense que dans nos paroisses, on se questionne justement à comment avoir des propositions, comment innover, comment permettre à ceux qui arrivent de pouvoir trouver leur place. Parfois, on est dans des questionnements sans fin. Et simplement de se dire que dans des lieux comme ça, il peut y avoir des éclairages, des solutions, des réponses. Et là, vraiment, ça vaut le coup. et je trouve que En plus, on retrouve un enthousiasme parce qu'on est dans l'ouverture, dans la rencontre. Et on se dit que notre Église, en fait, elle n'est pas du tout en train de mourir. Simplement, elle est en train de changer, de se transformer. Et donc, il faut aller voir et il faut avoir cette envie de se déplacer pour en rencontrer d'autres et revenir du coup enrichi.

  • Speaker #0

    Belle conclusion. Nadine, Michel, merci pour ces témoignages et bonne journée à vous.

  • Speaker #2

    Merci. Au revoir. Au revoir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pas de messe basse. S'il vous a plu, n'hésitez pas à nous encourager en commentant ou en laissant quelques étoiles sur votre plateforme d'écoute. Nous serons heureux de découvrir vos avis. Vous pouvez également soutenir l'Église catholique de l'Aube en faisant un don sur notre site internet www.cathtroyes.fr. C-A-T-H-O-T-R-O-Y-E-S. A bientôt !

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Description

Du 7 au 9 novembre, l’Accor Arena de Paris-Bercy accueillera le Congrès Mission pour un rassemblement exceptionnel de 30 000 chrétiens venus de toute la France. À l’occasion des 10 ans de cet événement, Michel de La Patellière et Nadine Bour nous présentent ce grand rendez-vous de la mission : à qui s’adresse-t-il ? Pourquoi cette édition nationale ? Quel est le lien avec les dynamiques missionnaires locales, comme celles déjà en œuvre dans le diocèse de Troyes ?
Au micro, ils reviennent aussi sur les enjeux de l’évangélisation dans la société actuelle, sur les outils proposés, les innovations pastorales, l’importance des jeunes, et la manière concrète de s’inscrire et de participer.

Un épisode pour s’informer, s’inspirer, et peut-être… se lancer dans l’aventure missionnaire !


Contact et informations sur le Congrès Mission avec le diocèse de Troyes : https://www.cathotroyes.fr/evenement/congres-mission/

Inscription : https://www.billetweb.fr/congres-mission-2025


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Pas de messe basse, bienvenue sur le podcast du diocèse de Troyes qui nous permet de donner la parole à des femmes, à des hommes, qu'ils soient laïcs ou religieux, il y sera question de l'actualité de l'Église dans l'aube et dans sa dimension universelle. Au micro, Aline Baudin et Jean-François Laville du service communication. Eh bien bonjour à toutes et à tous et bienvenue à l'écoute des podcasts du diocèse de Troyes. Nous avons le plaisir aujourd'hui d'accueillir deux personnes, Michel de la Patellière, bonjour. Et Nadine Bour, bonjour. Bonjour. Alors si vous êtes réunis aujourd'hui, c'est parce qu'il va se passer quelque chose d'important pour l'Église, pour les chrétiens. Ça va se dérouler à Paris, à Paris-Bercy pour être plus précis, du 7 au 9 novembre, et cela s'appelle le Congrès Mission. Alors Michel de la Patelière, de quoi s'agit-il ?

  • Speaker #1

    Le Congrès Mission, dont on fête les 10 ans d'existence aujourd'hui, ça a commencé en 2015. Chaque année, un peu depuis 2015, les diocèses et le National proposent des grands rassemblements de chrétiens qui sont un peu attirés par la dimension missionnaire, la dimension de témoignage de l'Évangile par toute leur vie. En fait, même si à l'origine c'est vrai que le Renouveau a impulsé un peu l'idée des congrès-missions, aujourd'hui c'est beaucoup plus large. Aujourd'hui ça attire une foule de chrétiens. jeunes et moins jeunes, qui veulent faire de leur vie quotidienne un engagement au service de la joie de l'Évangile.

  • Speaker #0

    Alors tout de suite, jeunes et moins jeunes, concrètement, ça s'adresse à qui ?

  • Speaker #1

    Ça s'adresse de préférence à des personnes majeures. Par exemple, cette année, le congrémation insiste sur l'attirance des jeunes, mais on cible davantage les jeunes majeurs pour des questions d'assurance, d'autorisation parentale. et donc En fait, le congrès mission s'adresse à tout le monde. Sauf que cette année, il y a une insistance plus particulière sur les jeunes.

  • Speaker #0

    D'accord. Nadine, l'an dernier, je crois que ça a été décentralisé, puisqu'il y avait eu, je ne sais plus combien de dizaines ou de diocèses ou de paroisses, en fait, qui avaient co-organisé cet événement. Cette année, c'est centré sur Paris pour un grand événement. Pourquoi cette année sur Paris ? C'est l'année jubilaire ? Qu'est-ce qui justifie, en fait ?

  • Speaker #2

    Effectivement, il y a eu ce désir que ce soit décentralisé au niveau des diocèses pour qu'il y ait un peu une dynamique et une effervescence dans différents lieux de France. Et avec un rendez-vous régulier sur Paris, peut-être tous les deux ou trois ans en tout cas. Cette année, c'est un grand rassemblement national sur Paris qui va effectivement faire venir du monde de toute la France. Ça va être vraiment un événement national important.

  • Speaker #0

    Quand on dit grand rassemblement, Paris-Versi, c'est combien de personnes ?

  • Speaker #1

    C'est déjà 30 000 personnes.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    Paris-Bercy, c'est le grand stade qui réunit parfois pour des tournois de tennis.

  • Speaker #0

    Des concerts.

  • Speaker #1

    Des concerts. Si Paris-Bercy a été choisi, c'est parce qu'il y aura plusieurs événements qui vont rassembler notamment les jeunes. Le samedi soir, il y aura une grande veillée de prière pour les jeunes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc il y aura plusieurs événements. un peu festif ou parfois des messes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    Tout se passe au même endroit ? Non,

  • Speaker #1

    pas du tout. Il sera proposé à ceux qui, par exemple, voudront, les plus âgés, par exemple, qui voudront avoir une participation plus priante. Il y a des églises comme Saint-Sulpice, le Sacré-Cœur de Montmartre, qui seront ouvertes à une dimension plus... plus méditative et plus priante.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    En fait, il y aura des ateliers, il y aura des tables rondes, il y aura des parcours dans la ville, il y aura des temps de prière, des temps festifs. D'ailleurs, j'invite les gens qui sont intéressés par le programme d'aller sur le site du diocèse où il y a des éléments factuels pour se rendre compte un peu des événements et du programme à venir.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors le thème qui est proposé cette année, c'est comment proposer l'Évangile, à la société actuelle. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la mission, la manière de proposer l'évangile doit s'adapter à une société en évolution, en constante évolution ? Ou est-ce que la société va trop vite par rapport aux habitudes que l'on connaît habituellement ?

  • Speaker #2

    Alors, je pense que notre société est vraiment dans une phase de questionnement, avec des actualités qui sont parfois violentes, qui sont déstabilisantes, qui peuvent amener à la désespérance. Je pense que les hommes et les femmes sont vraiment en recherche, en quête d'un sens par rapport à leur vie, par rapport à ce qui est à vivre pour... Pour chacun, au niveau personnel, mais au niveau relationnel, et puis au niveau spirituel, aujourd'hui ce qu'on peut voir c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui sont loin de toute religion, extérieures à cette pratique, à ce vécu, et qui sont en recherche, qui ont une vraie quête, et qui viennent vers nos églises, quelles qu'elles soient, des églises protestantes, catholiques. Je pense que là, on a vraiment à prendre en compte cette demande parce qu'il y a une soif du côté de la société et qu'on a des choses à apporter.

  • Speaker #0

    Quand on dit comment proposer l'évangile à la société actuelle, on s'adresse aux prêtres, aux diacres, mais aussi aux laïcs. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'il faut aller au-delà de ce que l'on fait habituellement ? Il faut aller jusqu'à une forme de prosélytisme ?

  • Speaker #2

    Je pense que par rapport à cette question, elle s'adresse à tous les chrétiens. Quel que soit notre fonction, notre rôle ou notre état d'investissement au niveau de l'Église, je pense qu'en tant que chrétien, on a personnellement une relation avec le Seigneur et que de là, on a un témoignage. Et quand on est dans cette relation vivante, on ne peut que donner envie et aller vers l'autre parce que là, nous, on a trouvé une réponse.

  • Speaker #0

    Michel, il faut être davantage missionnaire qu'on ne l'est habituellement ? Oui,

  • Speaker #1

    en fait, je crois que le baptême, notre baptême chrétien, nous demande d'avoir ce regard missionnaire profondément. Et c'est vrai que depuis maintenant une vingtaine d'années, on a mis beaucoup plus l'accent sur une Église qui sort de ses certitudes et qui va à la rencontre de l'autre, ce qu'on appelait les périphéries à l'époque du pape François. et c'est vrai que Ce renouveau un peu missionnaire qui existe dans les paroisses, dans les diocèses, on le voit avec l'affluence de catéchumènes depuis 2-3 ans, et c'est vrai qu'il y a beaucoup de chrétiens qui disent « Moi je veux témoigner de ma joie d'être fidèle au Christ, je veux témoigner ouvertement, je ne veux pas m'enfermer dans des célébrations un peu closes, je veux sortir, je veux ouvrir mon cœur à la rencontre de l'autre. » Cette vision missionnaire, elle est en train de prendre beaucoup plus d'élan Et ce sont des rassemblements comme le congrès mission, mais moi je pense à des jeunes qui sont familiers de Thésée, Parallel Monial, les JMJ, c'est toujours les mêmes types de rassemblements et d'événements qui permettent à la fois de rentrer dans une dimension festive, on loue le Seigneur avec joie, avec enthousiasme, et en même temps on met en route un peu cette dimension qui est en soi d'aller vers... à la rencontre de l'autre.

  • Speaker #0

    En fait, ça veut dire que peut-être depuis quelques années, un certain nombre de personnes n'assumaient pas ou ne montraient pas leur foi, leur engagement religieux ou restaient très en retrait. Aujourd'hui, peut-être qu'ils sont un peu moins en retrait.

  • Speaker #2

    Je pense qu'il y avait quand même une grande réserve par rapport à cette notion à la fois de « il ne faut pas être prosélite » et en même temps cette notion de la laïcité qu'on a beaucoup mis en avant dans la société. Et la laïcité, c'est vraiment le respect de chacun dans sa religion, dans ce qu'il vit, avec cette relation à son Dieu. Aujourd'hui, on sent que notre Église a besoin d'être missionnaire parce qu'il y a une vraie demande du côté de la société. Il y a un vrai besoin, il y a une vraie recherche. Et on sent qu'en étant dans la mission, en fait, nous-mêmes, on est fortifiés et renforcés dans notre foi. et là je dirais qu'en plus aujourd'hui on a plus qu'à être missionnaire, on a besoin d'être dans cet accueil, dans cette annonce de l'autre à l'autre, je veux dire, mais on a aussi besoin de l'accompagner dans ce qu'il vit. Et je crois que notre Église catholique aujourd'hui, par le biais des paroisses, elle a aussi à redécouvrir cette dynamique de l'accompagnement de celui qui arrive à l'Église, c'est-à-dire pas seulement l'accueillir et lui annoncer qui est Jésus, mais aussi l'accompagner à partir de là où il est. et avoir des propositions concrètes. Et c'est ce qu'on appelle aujourd'hui la transformation pastorale, la transformation de nos paroisses. Et je pense que le congrès mission, qui permet vraiment des rencontres de tous les diocèses, peut apporter des réponses, parce qu'il y a des initiatives concrètes qui se vivent dans différents endroits et qui peuvent apporter des réponses pour certains d'entre nous, en disant qu'il y a une idée qui se vit à tel endroit, ça peut être peut aussi se faire dans notre paroisse, ça peut aussi être une réponse.

  • Speaker #0

    Vous parlez d'accompagnement, là on est sur le plan humain. Est-ce que la proposition de l'évangile peut aussi passer, et pourquoi pas, peut-être que le programme peut en dire déjà quelques éléments, par des nouveaux produits, des nouveaux outils technologiques, pourquoi pas l'intelligence artificielle ? Aujourd'hui, tout passe un peu par là ?

  • Speaker #1

    Oui, je ne me prononcerai pas sur cette question de l'intelligence artificielle.

  • Speaker #0

    En tout cas, tous les outils numériques, pour le moins.

  • Speaker #1

    Dans les outils numériques, il n'y a pas de problème. Sur l'intelligence artificielle, il y a peut-être des bémols à mettre, parce qu'il y a quand même des dangers qui peuvent guetter la société aujourd'hui. Mais je ne m'avancerai pas sur ce sujet que je connais mal. Mais ce qui est sûr, c'est que l'Église, dans sa mission, dans son désir de contacter, de toucher le plus de monde possible, a besoin d'utiliser tous les moyens aujourd'hui de la société. Et c'est vrai qu'il y a des idées à prendre un peu partout. Et précisément, dans les tables rondes qu'il y aura le 7, 8, 9 novembre, ces tables rondes sont là pour présenter un peu ce que font les diocèses en termes de mission. Il y a des idées à prendre, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Alors, je vais poser directement la question. Dans le diocèse de Troyes, actuellement, en termes de mission, que se passe-t-il ? Quelles sont les initiatives ?

  • Speaker #2

    Alors par exemple, j'ai eu l'occasion d'aller à une rencontre d'un congrès mission à Besançon. C'était pas l'année dernière, ça devait être en 2023. On est allé sur un atelier qui était un atelier proposé par des paroissiens de Bretagne, de Dinard. Ils nous ont présenté leur projet de Dimanche en paroisse. C'était un projet pour dire que les personnes qui sont en recherche et qui viennent à l'église ne sont pas initiés par rapport à un déroulement. de ce qu'est une messe, aux différentes étapes. Et donc il faut avoir une autre proposition. Et donc leur proposition c'était, en matinée, on propose temps de chant, louanges, témoignages, paroles de Dieu avec un échange, apéritifs et repas, et tout se termine à 13h30, avec pour les paroissiens la possibilité d'avoir la messe en amont, avant cet accueil des gens de la périphérie. Et donc, on a concrétisé ce projet sur notre paroisse à Saint-Julien et on l'a vécu à quatre reprises. Et c'est vraiment une réponse concrète, adaptée et qui permet à chaque fois d'accueillir des nouvelles personnes avec beaucoup de relationnel, d'ouverture. Sachant aussi qu'après le temps de la parole de Dieu, on a des temps d'échange en petits groupes avec des animateurs. Ce qui fait qu'il y a de la rencontre, de l'échange, du questionnement. Et on voit que là, il y a des possibilités qui peuvent aussi se poursuivre par d'autres propositions.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors revenons à ce congrès mission et revenons encore une fois au diocèse de Troyes. Que se passe-t-il dans le diocèse de Troyes en termes d'organisation concrètement ? Qui faut-il contacter ? Qui peut venir ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Tout à fait. Alors nous sommes actuellement une petite équipe de 7-8 personnes qui a pour mission de diffuser un peu ces modes de communication, diffuser un peu le programme. et alors Alors, pour les inscriptions, actuellement, on est un peu au démarrage. Et en fait, il va nous être demandé de rassembler un peu les futures inscriptions par des préinscriptions. Les participants s'inscriront directement sur le site du National.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'il y a un nombre de places limitées ?

  • Speaker #1

    A priori, pas. Il y a 30 000 places.

  • Speaker #0

    Et vous disiez tout à l'heure, tous les âges, il faut être majeur ? Il faut être majeur, d'accord. D'accord, mais après il n'y a plus de limite quoi.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de limite, oui. Avec une assistance plus particulière pour les jeunes, mais c'est vrai qu'aujourd'hui on a lancé les invitations, on cherche des référents, des ambassadeurs, dans les espaces pastoraux, dans les différentes paroisses, pour nous représenter et pour permettre de diffuser plus rapidement les programmes, l'invitation au congrès mission, voilà.

  • Speaker #0

    Alors, si on veut être encore plus concret, combien ça coûte ?

  • Speaker #1

    En gros, à Accor Arena, il faut compter environ 35 euros si on veut être dans les gradins, pour une journée.

  • Speaker #0

    Pour une journée.

  • Speaker #1

    Pour une journée.

  • Speaker #0

    On n'est pas obligé d'assister aux trois journées ?

  • Speaker #1

    Non, on n'est pas obligé d'assister aux trois journées. Il y a des gens qui vont choisir d'aller à la carte, soit le samedi, soit le vendredi, soit le dimanche. Ça, c'est libre à chacun. Il y a des gens qui ne pourront pas se déplacer pour les trois jours.

  • Speaker #0

    Ok, mais 35 euros si on veut être dans les gradins, mais si on n'est pas dans les gradins, on est où ?

  • Speaker #1

    C'est moins cher, on est dans la fosse. Et chaque jour, à peu près, il faudra compter entre... 35, 20 euros. En gros, on a calculé à peu près, mais c'est une estimation pour l'instant, si on reste les trois jours, 70 ou 80 euros.

  • Speaker #0

    Alors ça, c'est pour assister donc au congrès, mais est-ce qu'il y a des possibilités d'hébergement ?

  • Speaker #1

    On est en recherche d'hébergement sur Paris. On a des contacts, mais il faut qu'on trouve des hébergements, soit collectifs, soit individuels.

  • Speaker #0

    Et ça, c'est le national qui s'en charge ou c'est chaque diocèse ?

  • Speaker #1

    Chaque diocèse devra trouver des hébergements. De trouver des hébergements ?

  • Speaker #0

    30 000 places, 30 000 lits ? Non,

  • Speaker #1

    ce n'est pas possible. Chaque diocèse est amenée à trouver ses propres lieux d'hébergement.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors, pour en savoir davantage, qui contacter ? Quelles coordonnées ?

  • Speaker #1

    Mon adresse mail et mon numéro de téléphone.

  • Speaker #0

    On va peut-être le repréciser très clairement. Donc, Michel de La Patellière, si je ne me trompe pas, 06 66 79 89 83. Je répète, 06 66 79 89 83 et Nadine Bourg 07 67 06 57 43. J'ai une adresse mail, contact@congresmissiontroyes.com. Ça, c'est bon ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'adresse mail dédiée pour l'ensemble des informations. On reçoit sous cette adresse mail les gens qui veulent des renseignements plus complémentaires. s'ils ne passent pas par le téléphone.

  • Speaker #0

    D'accord, et ces coordonnées, on les retrouve également sur le site du diocèse de Troyes. Tout à fait, oui. Très bien, voilà. Quelque chose à ajouter pour inciter les gens à y aller ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est une occasion en or, parce que notre diocèse célèbre un peu le thème de la mission, et qu'il faut utiliser tous les moyens pour inviter les jeunes et les moins jeunes un peu à stimuler leur réflexe missionnaire, leur vie missionnaire baptismale. Et je pense que c'est un bon moyen.

  • Speaker #2

    Oui, je pense que dans nos paroisses, on se questionne justement à comment avoir des propositions, comment innover, comment permettre à ceux qui arrivent de pouvoir trouver leur place. Parfois, on est dans des questionnements sans fin. Et simplement de se dire que dans des lieux comme ça, il peut y avoir des éclairages, des solutions, des réponses. Et là, vraiment, ça vaut le coup. et je trouve que En plus, on retrouve un enthousiasme parce qu'on est dans l'ouverture, dans la rencontre. Et on se dit que notre Église, en fait, elle n'est pas du tout en train de mourir. Simplement, elle est en train de changer, de se transformer. Et donc, il faut aller voir et il faut avoir cette envie de se déplacer pour en rencontrer d'autres et revenir du coup enrichi.

  • Speaker #0

    Belle conclusion. Nadine, Michel, merci pour ces témoignages et bonne journée à vous.

  • Speaker #2

    Merci. Au revoir. Au revoir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pas de messe basse. S'il vous a plu, n'hésitez pas à nous encourager en commentant ou en laissant quelques étoiles sur votre plateforme d'écoute. Nous serons heureux de découvrir vos avis. Vous pouvez également soutenir l'Église catholique de l'Aube en faisant un don sur notre site internet www.cathtroyes.fr. C-A-T-H-O-T-R-O-Y-E-S. A bientôt !

Description

Du 7 au 9 novembre, l’Accor Arena de Paris-Bercy accueillera le Congrès Mission pour un rassemblement exceptionnel de 30 000 chrétiens venus de toute la France. À l’occasion des 10 ans de cet événement, Michel de La Patellière et Nadine Bour nous présentent ce grand rendez-vous de la mission : à qui s’adresse-t-il ? Pourquoi cette édition nationale ? Quel est le lien avec les dynamiques missionnaires locales, comme celles déjà en œuvre dans le diocèse de Troyes ?
Au micro, ils reviennent aussi sur les enjeux de l’évangélisation dans la société actuelle, sur les outils proposés, les innovations pastorales, l’importance des jeunes, et la manière concrète de s’inscrire et de participer.

Un épisode pour s’informer, s’inspirer, et peut-être… se lancer dans l’aventure missionnaire !


Contact et informations sur le Congrès Mission avec le diocèse de Troyes : https://www.cathotroyes.fr/evenement/congres-mission/

Inscription : https://www.billetweb.fr/congres-mission-2025


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Pas de messe basse, bienvenue sur le podcast du diocèse de Troyes qui nous permet de donner la parole à des femmes, à des hommes, qu'ils soient laïcs ou religieux, il y sera question de l'actualité de l'Église dans l'aube et dans sa dimension universelle. Au micro, Aline Baudin et Jean-François Laville du service communication. Eh bien bonjour à toutes et à tous et bienvenue à l'écoute des podcasts du diocèse de Troyes. Nous avons le plaisir aujourd'hui d'accueillir deux personnes, Michel de la Patellière, bonjour. Et Nadine Bour, bonjour. Bonjour. Alors si vous êtes réunis aujourd'hui, c'est parce qu'il va se passer quelque chose d'important pour l'Église, pour les chrétiens. Ça va se dérouler à Paris, à Paris-Bercy pour être plus précis, du 7 au 9 novembre, et cela s'appelle le Congrès Mission. Alors Michel de la Patelière, de quoi s'agit-il ?

  • Speaker #1

    Le Congrès Mission, dont on fête les 10 ans d'existence aujourd'hui, ça a commencé en 2015. Chaque année, un peu depuis 2015, les diocèses et le National proposent des grands rassemblements de chrétiens qui sont un peu attirés par la dimension missionnaire, la dimension de témoignage de l'Évangile par toute leur vie. En fait, même si à l'origine c'est vrai que le Renouveau a impulsé un peu l'idée des congrès-missions, aujourd'hui c'est beaucoup plus large. Aujourd'hui ça attire une foule de chrétiens. jeunes et moins jeunes, qui veulent faire de leur vie quotidienne un engagement au service de la joie de l'Évangile.

  • Speaker #0

    Alors tout de suite, jeunes et moins jeunes, concrètement, ça s'adresse à qui ?

  • Speaker #1

    Ça s'adresse de préférence à des personnes majeures. Par exemple, cette année, le congrémation insiste sur l'attirance des jeunes, mais on cible davantage les jeunes majeurs pour des questions d'assurance, d'autorisation parentale. et donc En fait, le congrès mission s'adresse à tout le monde. Sauf que cette année, il y a une insistance plus particulière sur les jeunes.

  • Speaker #0

    D'accord. Nadine, l'an dernier, je crois que ça a été décentralisé, puisqu'il y avait eu, je ne sais plus combien de dizaines ou de diocèses ou de paroisses, en fait, qui avaient co-organisé cet événement. Cette année, c'est centré sur Paris pour un grand événement. Pourquoi cette année sur Paris ? C'est l'année jubilaire ? Qu'est-ce qui justifie, en fait ?

  • Speaker #2

    Effectivement, il y a eu ce désir que ce soit décentralisé au niveau des diocèses pour qu'il y ait un peu une dynamique et une effervescence dans différents lieux de France. Et avec un rendez-vous régulier sur Paris, peut-être tous les deux ou trois ans en tout cas. Cette année, c'est un grand rassemblement national sur Paris qui va effectivement faire venir du monde de toute la France. Ça va être vraiment un événement national important.

  • Speaker #0

    Quand on dit grand rassemblement, Paris-Versi, c'est combien de personnes ?

  • Speaker #1

    C'est déjà 30 000 personnes.

  • Speaker #0

    C'est énorme.

  • Speaker #1

    Paris-Bercy, c'est le grand stade qui réunit parfois pour des tournois de tennis.

  • Speaker #0

    Des concerts.

  • Speaker #1

    Des concerts. Si Paris-Bercy a été choisi, c'est parce qu'il y aura plusieurs événements qui vont rassembler notamment les jeunes. Le samedi soir, il y aura une grande veillée de prière pour les jeunes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    Donc il y aura plusieurs événements. un peu festif ou parfois des messes à Paris-Bercy.

  • Speaker #0

    Tout se passe au même endroit ? Non,

  • Speaker #1

    pas du tout. Il sera proposé à ceux qui, par exemple, voudront, les plus âgés, par exemple, qui voudront avoir une participation plus priante. Il y a des églises comme Saint-Sulpice, le Sacré-Cœur de Montmartre, qui seront ouvertes à une dimension plus... plus méditative et plus priante.

  • Speaker #0

    D'accord.

  • Speaker #1

    En fait, il y aura des ateliers, il y aura des tables rondes, il y aura des parcours dans la ville, il y aura des temps de prière, des temps festifs. D'ailleurs, j'invite les gens qui sont intéressés par le programme d'aller sur le site du diocèse où il y a des éléments factuels pour se rendre compte un peu des événements et du programme à venir.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors le thème qui est proposé cette année, c'est comment proposer l'Évangile, à la société actuelle. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la mission, la manière de proposer l'évangile doit s'adapter à une société en évolution, en constante évolution ? Ou est-ce que la société va trop vite par rapport aux habitudes que l'on connaît habituellement ?

  • Speaker #2

    Alors, je pense que notre société est vraiment dans une phase de questionnement, avec des actualités qui sont parfois violentes, qui sont déstabilisantes, qui peuvent amener à la désespérance. Je pense que les hommes et les femmes sont vraiment en recherche, en quête d'un sens par rapport à leur vie, par rapport à ce qui est à vivre pour... Pour chacun, au niveau personnel, mais au niveau relationnel, et puis au niveau spirituel, aujourd'hui ce qu'on peut voir c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui sont loin de toute religion, extérieures à cette pratique, à ce vécu, et qui sont en recherche, qui ont une vraie quête, et qui viennent vers nos églises, quelles qu'elles soient, des églises protestantes, catholiques. Je pense que là, on a vraiment à prendre en compte cette demande parce qu'il y a une soif du côté de la société et qu'on a des choses à apporter.

  • Speaker #0

    Quand on dit comment proposer l'évangile à la société actuelle, on s'adresse aux prêtres, aux diacres, mais aussi aux laïcs. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu'il faut aller au-delà de ce que l'on fait habituellement ? Il faut aller jusqu'à une forme de prosélytisme ?

  • Speaker #2

    Je pense que par rapport à cette question, elle s'adresse à tous les chrétiens. Quel que soit notre fonction, notre rôle ou notre état d'investissement au niveau de l'Église, je pense qu'en tant que chrétien, on a personnellement une relation avec le Seigneur et que de là, on a un témoignage. Et quand on est dans cette relation vivante, on ne peut que donner envie et aller vers l'autre parce que là, nous, on a trouvé une réponse.

  • Speaker #0

    Michel, il faut être davantage missionnaire qu'on ne l'est habituellement ? Oui,

  • Speaker #1

    en fait, je crois que le baptême, notre baptême chrétien, nous demande d'avoir ce regard missionnaire profondément. Et c'est vrai que depuis maintenant une vingtaine d'années, on a mis beaucoup plus l'accent sur une Église qui sort de ses certitudes et qui va à la rencontre de l'autre, ce qu'on appelait les périphéries à l'époque du pape François. et c'est vrai que Ce renouveau un peu missionnaire qui existe dans les paroisses, dans les diocèses, on le voit avec l'affluence de catéchumènes depuis 2-3 ans, et c'est vrai qu'il y a beaucoup de chrétiens qui disent « Moi je veux témoigner de ma joie d'être fidèle au Christ, je veux témoigner ouvertement, je ne veux pas m'enfermer dans des célébrations un peu closes, je veux sortir, je veux ouvrir mon cœur à la rencontre de l'autre. » Cette vision missionnaire, elle est en train de prendre beaucoup plus d'élan Et ce sont des rassemblements comme le congrès mission, mais moi je pense à des jeunes qui sont familiers de Thésée, Parallel Monial, les JMJ, c'est toujours les mêmes types de rassemblements et d'événements qui permettent à la fois de rentrer dans une dimension festive, on loue le Seigneur avec joie, avec enthousiasme, et en même temps on met en route un peu cette dimension qui est en soi d'aller vers... à la rencontre de l'autre.

  • Speaker #0

    En fait, ça veut dire que peut-être depuis quelques années, un certain nombre de personnes n'assumaient pas ou ne montraient pas leur foi, leur engagement religieux ou restaient très en retrait. Aujourd'hui, peut-être qu'ils sont un peu moins en retrait.

  • Speaker #2

    Je pense qu'il y avait quand même une grande réserve par rapport à cette notion à la fois de « il ne faut pas être prosélite » et en même temps cette notion de la laïcité qu'on a beaucoup mis en avant dans la société. Et la laïcité, c'est vraiment le respect de chacun dans sa religion, dans ce qu'il vit, avec cette relation à son Dieu. Aujourd'hui, on sent que notre Église a besoin d'être missionnaire parce qu'il y a une vraie demande du côté de la société. Il y a un vrai besoin, il y a une vraie recherche. Et on sent qu'en étant dans la mission, en fait, nous-mêmes, on est fortifiés et renforcés dans notre foi. et là je dirais qu'en plus aujourd'hui on a plus qu'à être missionnaire, on a besoin d'être dans cet accueil, dans cette annonce de l'autre à l'autre, je veux dire, mais on a aussi besoin de l'accompagner dans ce qu'il vit. Et je crois que notre Église catholique aujourd'hui, par le biais des paroisses, elle a aussi à redécouvrir cette dynamique de l'accompagnement de celui qui arrive à l'Église, c'est-à-dire pas seulement l'accueillir et lui annoncer qui est Jésus, mais aussi l'accompagner à partir de là où il est. et avoir des propositions concrètes. Et c'est ce qu'on appelle aujourd'hui la transformation pastorale, la transformation de nos paroisses. Et je pense que le congrès mission, qui permet vraiment des rencontres de tous les diocèses, peut apporter des réponses, parce qu'il y a des initiatives concrètes qui se vivent dans différents endroits et qui peuvent apporter des réponses pour certains d'entre nous, en disant qu'il y a une idée qui se vit à tel endroit, ça peut être peut aussi se faire dans notre paroisse, ça peut aussi être une réponse.

  • Speaker #0

    Vous parlez d'accompagnement, là on est sur le plan humain. Est-ce que la proposition de l'évangile peut aussi passer, et pourquoi pas, peut-être que le programme peut en dire déjà quelques éléments, par des nouveaux produits, des nouveaux outils technologiques, pourquoi pas l'intelligence artificielle ? Aujourd'hui, tout passe un peu par là ?

  • Speaker #1

    Oui, je ne me prononcerai pas sur cette question de l'intelligence artificielle.

  • Speaker #0

    En tout cas, tous les outils numériques, pour le moins.

  • Speaker #1

    Dans les outils numériques, il n'y a pas de problème. Sur l'intelligence artificielle, il y a peut-être des bémols à mettre, parce qu'il y a quand même des dangers qui peuvent guetter la société aujourd'hui. Mais je ne m'avancerai pas sur ce sujet que je connais mal. Mais ce qui est sûr, c'est que l'Église, dans sa mission, dans son désir de contacter, de toucher le plus de monde possible, a besoin d'utiliser tous les moyens aujourd'hui de la société. Et c'est vrai qu'il y a des idées à prendre un peu partout. Et précisément, dans les tables rondes qu'il y aura le 7, 8, 9 novembre, ces tables rondes sont là pour présenter un peu ce que font les diocèses en termes de mission. Il y a des idées à prendre, c'est sûr.

  • Speaker #0

    Alors, je vais poser directement la question. Dans le diocèse de Troyes, actuellement, en termes de mission, que se passe-t-il ? Quelles sont les initiatives ?

  • Speaker #2

    Alors par exemple, j'ai eu l'occasion d'aller à une rencontre d'un congrès mission à Besançon. C'était pas l'année dernière, ça devait être en 2023. On est allé sur un atelier qui était un atelier proposé par des paroissiens de Bretagne, de Dinard. Ils nous ont présenté leur projet de Dimanche en paroisse. C'était un projet pour dire que les personnes qui sont en recherche et qui viennent à l'église ne sont pas initiés par rapport à un déroulement. de ce qu'est une messe, aux différentes étapes. Et donc il faut avoir une autre proposition. Et donc leur proposition c'était, en matinée, on propose temps de chant, louanges, témoignages, paroles de Dieu avec un échange, apéritifs et repas, et tout se termine à 13h30, avec pour les paroissiens la possibilité d'avoir la messe en amont, avant cet accueil des gens de la périphérie. Et donc, on a concrétisé ce projet sur notre paroisse à Saint-Julien et on l'a vécu à quatre reprises. Et c'est vraiment une réponse concrète, adaptée et qui permet à chaque fois d'accueillir des nouvelles personnes avec beaucoup de relationnel, d'ouverture. Sachant aussi qu'après le temps de la parole de Dieu, on a des temps d'échange en petits groupes avec des animateurs. Ce qui fait qu'il y a de la rencontre, de l'échange, du questionnement. Et on voit que là, il y a des possibilités qui peuvent aussi se poursuivre par d'autres propositions.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors revenons à ce congrès mission et revenons encore une fois au diocèse de Troyes. Que se passe-t-il dans le diocèse de Troyes en termes d'organisation concrètement ? Qui faut-il contacter ? Qui peut venir ? Comment ça se passe ?

  • Speaker #1

    Tout à fait. Alors nous sommes actuellement une petite équipe de 7-8 personnes qui a pour mission de diffuser un peu ces modes de communication, diffuser un peu le programme. et alors Alors, pour les inscriptions, actuellement, on est un peu au démarrage. Et en fait, il va nous être demandé de rassembler un peu les futures inscriptions par des préinscriptions. Les participants s'inscriront directement sur le site du National.

  • Speaker #0

    Est-ce qu'il y a un nombre de places limitées ?

  • Speaker #1

    A priori, pas. Il y a 30 000 places.

  • Speaker #0

    Et vous disiez tout à l'heure, tous les âges, il faut être majeur ? Il faut être majeur, d'accord. D'accord, mais après il n'y a plus de limite quoi.

  • Speaker #1

    Il n'y a pas de limite, oui. Avec une assistance plus particulière pour les jeunes, mais c'est vrai qu'aujourd'hui on a lancé les invitations, on cherche des référents, des ambassadeurs, dans les espaces pastoraux, dans les différentes paroisses, pour nous représenter et pour permettre de diffuser plus rapidement les programmes, l'invitation au congrès mission, voilà.

  • Speaker #0

    Alors, si on veut être encore plus concret, combien ça coûte ?

  • Speaker #1

    En gros, à Accor Arena, il faut compter environ 35 euros si on veut être dans les gradins, pour une journée.

  • Speaker #0

    Pour une journée.

  • Speaker #1

    Pour une journée.

  • Speaker #0

    On n'est pas obligé d'assister aux trois journées ?

  • Speaker #1

    Non, on n'est pas obligé d'assister aux trois journées. Il y a des gens qui vont choisir d'aller à la carte, soit le samedi, soit le vendredi, soit le dimanche. Ça, c'est libre à chacun. Il y a des gens qui ne pourront pas se déplacer pour les trois jours.

  • Speaker #0

    Ok, mais 35 euros si on veut être dans les gradins, mais si on n'est pas dans les gradins, on est où ?

  • Speaker #1

    C'est moins cher, on est dans la fosse. Et chaque jour, à peu près, il faudra compter entre... 35, 20 euros. En gros, on a calculé à peu près, mais c'est une estimation pour l'instant, si on reste les trois jours, 70 ou 80 euros.

  • Speaker #0

    Alors ça, c'est pour assister donc au congrès, mais est-ce qu'il y a des possibilités d'hébergement ?

  • Speaker #1

    On est en recherche d'hébergement sur Paris. On a des contacts, mais il faut qu'on trouve des hébergements, soit collectifs, soit individuels.

  • Speaker #0

    Et ça, c'est le national qui s'en charge ou c'est chaque diocèse ?

  • Speaker #1

    Chaque diocèse devra trouver des hébergements. De trouver des hébergements ?

  • Speaker #0

    30 000 places, 30 000 lits ? Non,

  • Speaker #1

    ce n'est pas possible. Chaque diocèse est amenée à trouver ses propres lieux d'hébergement.

  • Speaker #0

    D'accord. Alors, pour en savoir davantage, qui contacter ? Quelles coordonnées ?

  • Speaker #1

    Mon adresse mail et mon numéro de téléphone.

  • Speaker #0

    On va peut-être le repréciser très clairement. Donc, Michel de La Patellière, si je ne me trompe pas, 06 66 79 89 83. Je répète, 06 66 79 89 83 et Nadine Bourg 07 67 06 57 43. J'ai une adresse mail, contact@congresmissiontroyes.com. Ça, c'est bon ?

  • Speaker #1

    Oui, c'est l'adresse mail dédiée pour l'ensemble des informations. On reçoit sous cette adresse mail les gens qui veulent des renseignements plus complémentaires. s'ils ne passent pas par le téléphone.

  • Speaker #0

    D'accord, et ces coordonnées, on les retrouve également sur le site du diocèse de Troyes. Tout à fait, oui. Très bien, voilà. Quelque chose à ajouter pour inciter les gens à y aller ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est une occasion en or, parce que notre diocèse célèbre un peu le thème de la mission, et qu'il faut utiliser tous les moyens pour inviter les jeunes et les moins jeunes un peu à stimuler leur réflexe missionnaire, leur vie missionnaire baptismale. Et je pense que c'est un bon moyen.

  • Speaker #2

    Oui, je pense que dans nos paroisses, on se questionne justement à comment avoir des propositions, comment innover, comment permettre à ceux qui arrivent de pouvoir trouver leur place. Parfois, on est dans des questionnements sans fin. Et simplement de se dire que dans des lieux comme ça, il peut y avoir des éclairages, des solutions, des réponses. Et là, vraiment, ça vaut le coup. et je trouve que En plus, on retrouve un enthousiasme parce qu'on est dans l'ouverture, dans la rencontre. Et on se dit que notre Église, en fait, elle n'est pas du tout en train de mourir. Simplement, elle est en train de changer, de se transformer. Et donc, il faut aller voir et il faut avoir cette envie de se déplacer pour en rencontrer d'autres et revenir du coup enrichi.

  • Speaker #0

    Belle conclusion. Nadine, Michel, merci pour ces témoignages et bonne journée à vous.

  • Speaker #2

    Merci. Au revoir. Au revoir. Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pas de messe basse. S'il vous a plu, n'hésitez pas à nous encourager en commentant ou en laissant quelques étoiles sur votre plateforme d'écoute. Nous serons heureux de découvrir vos avis. Vous pouvez également soutenir l'Église catholique de l'Aube en faisant un don sur notre site internet www.cathtroyes.fr. C-A-T-H-O-T-R-O-Y-E-S. A bientôt !

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