Christophe Moret | Chef** Shangri-La : « un cuisinier est avant tout un homme curieux » cover
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Patate

Christophe Moret | Chef** Shangri-La : « un cuisinier est avant tout un homme curieux »

Christophe Moret | Chef** Shangri-La : « un cuisinier est avant tout un homme curieux »

47min |25/02/2020
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47min |25/02/2020
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Description

Je me rends aujourd’hui au Shangri-La Paris pour rencontrer Christophe Moret, chef doublement étoilé du restaurant L’Abeille. Face à moi, un homme posé, sensible, talentueux, curieux et surtout humble. Ce qui m’a marqué chez le chef Moret, c’est en effet cette curiosité pour son métier, et surtout pour les hommes et les femmes qui l’entourent. Qu’il s’agisse de ses collaborateurs, avec lesquels il veut cultiver le partage car selon lui « la dictature en cuisine, ça ne marche pas », de ses clients ou de ses fournisseurs, qu’il aime volontiers appeler ses « partenaires ». Au-delà, Christophe Moret m’a frappée par son humilité, celle d’un cuisinier d’excellence aux origines modestes qui s’efface volontiers derrière son art. Egalement derrière les chefs dont il a géré les établissements, et notamment Alain Ducasse au restaurant trois étoiles du Plaza Athénée. Pas d’égo. Beaucoup de reconnaissance. Au fond, le chef Moret c’est l’anti « salaud » de Sartre, ce « gros plein d’être » qui croit tout savoir, qui se prend au sérieux et surtout prend son existence pour nécessaire.

Le chef Moret ne s’est pas uniquement confié sur son parcours naturellement, nous avons également échangé sur ses souvenirs d’enfance bercés par les bons plats de ses grands-parents, sur la manière dont on mange quand on nourrit les autres, sur les gâteaux confectionnés par son épouse et les plats du dimanche avec ses enfants, sur le bien manger aujourd’hui en France, sur l’éthique en cuisine et sur ses péchés mignons. Il en parle avec tant de gourmandise. Si après cet épisode, vous n’allez pas fissa vous faire un plateau de fromages, je ne réponds plus de rien. 

Si cet épisode vous plaît, je vous laisse me le dire avec un commentaire et un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts. C’est le meilleur des encouragements pour moi et surtout cela m’aide à solliciter, comme aujourd’hui, des invités de grande qualité. Je remercie tout ceux qui m’ont déjà apporté leur soutien. Vous êtes au top. Allez, je m’arrête et vous souhaite une excellente écoute. 

Description

Je me rends aujourd’hui au Shangri-La Paris pour rencontrer Christophe Moret, chef doublement étoilé du restaurant L’Abeille. Face à moi, un homme posé, sensible, talentueux, curieux et surtout humble. Ce qui m’a marqué chez le chef Moret, c’est en effet cette curiosité pour son métier, et surtout pour les hommes et les femmes qui l’entourent. Qu’il s’agisse de ses collaborateurs, avec lesquels il veut cultiver le partage car selon lui « la dictature en cuisine, ça ne marche pas », de ses clients ou de ses fournisseurs, qu’il aime volontiers appeler ses « partenaires ». Au-delà, Christophe Moret m’a frappée par son humilité, celle d’un cuisinier d’excellence aux origines modestes qui s’efface volontiers derrière son art. Egalement derrière les chefs dont il a géré les établissements, et notamment Alain Ducasse au restaurant trois étoiles du Plaza Athénée. Pas d’égo. Beaucoup de reconnaissance. Au fond, le chef Moret c’est l’anti « salaud » de Sartre, ce « gros plein d’être » qui croit tout savoir, qui se prend au sérieux et surtout prend son existence pour nécessaire.

Le chef Moret ne s’est pas uniquement confié sur son parcours naturellement, nous avons également échangé sur ses souvenirs d’enfance bercés par les bons plats de ses grands-parents, sur la manière dont on mange quand on nourrit les autres, sur les gâteaux confectionnés par son épouse et les plats du dimanche avec ses enfants, sur le bien manger aujourd’hui en France, sur l’éthique en cuisine et sur ses péchés mignons. Il en parle avec tant de gourmandise. Si après cet épisode, vous n’allez pas fissa vous faire un plateau de fromages, je ne réponds plus de rien. 

Si cet épisode vous plaît, je vous laisse me le dire avec un commentaire et un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts. C’est le meilleur des encouragements pour moi et surtout cela m’aide à solliciter, comme aujourd’hui, des invités de grande qualité. Je remercie tout ceux qui m’ont déjà apporté leur soutien. Vous êtes au top. Allez, je m’arrête et vous souhaite une excellente écoute. 

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Je me rends aujourd’hui au Shangri-La Paris pour rencontrer Christophe Moret, chef doublement étoilé du restaurant L’Abeille. Face à moi, un homme posé, sensible, talentueux, curieux et surtout humble. Ce qui m’a marqué chez le chef Moret, c’est en effet cette curiosité pour son métier, et surtout pour les hommes et les femmes qui l’entourent. Qu’il s’agisse de ses collaborateurs, avec lesquels il veut cultiver le partage car selon lui « la dictature en cuisine, ça ne marche pas », de ses clients ou de ses fournisseurs, qu’il aime volontiers appeler ses « partenaires ». Au-delà, Christophe Moret m’a frappée par son humilité, celle d’un cuisinier d’excellence aux origines modestes qui s’efface volontiers derrière son art. Egalement derrière les chefs dont il a géré les établissements, et notamment Alain Ducasse au restaurant trois étoiles du Plaza Athénée. Pas d’égo. Beaucoup de reconnaissance. Au fond, le chef Moret c’est l’anti « salaud » de Sartre, ce « gros plein d’être » qui croit tout savoir, qui se prend au sérieux et surtout prend son existence pour nécessaire.

Le chef Moret ne s’est pas uniquement confié sur son parcours naturellement, nous avons également échangé sur ses souvenirs d’enfance bercés par les bons plats de ses grands-parents, sur la manière dont on mange quand on nourrit les autres, sur les gâteaux confectionnés par son épouse et les plats du dimanche avec ses enfants, sur le bien manger aujourd’hui en France, sur l’éthique en cuisine et sur ses péchés mignons. Il en parle avec tant de gourmandise. Si après cet épisode, vous n’allez pas fissa vous faire un plateau de fromages, je ne réponds plus de rien. 

Si cet épisode vous plaît, je vous laisse me le dire avec un commentaire et un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts. C’est le meilleur des encouragements pour moi et surtout cela m’aide à solliciter, comme aujourd’hui, des invités de grande qualité. Je remercie tout ceux qui m’ont déjà apporté leur soutien. Vous êtes au top. Allez, je m’arrête et vous souhaite une excellente écoute. 

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Je me rends aujourd’hui au Shangri-La Paris pour rencontrer Christophe Moret, chef doublement étoilé du restaurant L’Abeille. Face à moi, un homme posé, sensible, talentueux, curieux et surtout humble. Ce qui m’a marqué chez le chef Moret, c’est en effet cette curiosité pour son métier, et surtout pour les hommes et les femmes qui l’entourent. Qu’il s’agisse de ses collaborateurs, avec lesquels il veut cultiver le partage car selon lui « la dictature en cuisine, ça ne marche pas », de ses clients ou de ses fournisseurs, qu’il aime volontiers appeler ses « partenaires ». Au-delà, Christophe Moret m’a frappée par son humilité, celle d’un cuisinier d’excellence aux origines modestes qui s’efface volontiers derrière son art. Egalement derrière les chefs dont il a géré les établissements, et notamment Alain Ducasse au restaurant trois étoiles du Plaza Athénée. Pas d’égo. Beaucoup de reconnaissance. Au fond, le chef Moret c’est l’anti « salaud » de Sartre, ce « gros plein d’être » qui croit tout savoir, qui se prend au sérieux et surtout prend son existence pour nécessaire.

Le chef Moret ne s’est pas uniquement confié sur son parcours naturellement, nous avons également échangé sur ses souvenirs d’enfance bercés par les bons plats de ses grands-parents, sur la manière dont on mange quand on nourrit les autres, sur les gâteaux confectionnés par son épouse et les plats du dimanche avec ses enfants, sur le bien manger aujourd’hui en France, sur l’éthique en cuisine et sur ses péchés mignons. Il en parle avec tant de gourmandise. Si après cet épisode, vous n’allez pas fissa vous faire un plateau de fromages, je ne réponds plus de rien. 

Si cet épisode vous plaît, je vous laisse me le dire avec un commentaire et un avis 5 étoiles sur Apple Podcasts. C’est le meilleur des encouragements pour moi et surtout cela m’aide à solliciter, comme aujourd’hui, des invités de grande qualité. Je remercie tout ceux qui m’ont déjà apporté leur soutien. Vous êtes au top. Allez, je m’arrête et vous souhaite une excellente écoute. 

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