Elodie Garamond (Le Tigre) & Pilates by Justine | Je confine, donc je mange #5 cover
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Patate

Elodie Garamond (Le Tigre) & Pilates by Justine | Je confine, donc je mange #5

Elodie Garamond (Le Tigre) & Pilates by Justine | Je confine, donc je mange #5

59min |28/04/2020
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Description

Elodie Garamond, la fondatrice du célèbre club de yoga parisien Le Tigre, et Justine Corrion, professeur de pilates que l’on retrouve sous le pseudo de Pilates by Justine, sont mes deux invitées du jour. 

En guise d’introduction à ces échanges avec deux femmes qui habitent leur corps et le monde avec une approche singulière du bien-être, approche dont l’alimentation est tout naturellement l’une des composantes majeures, j’avais envie de revenir sur le l’étymologie du mot crise. Vous allez vite comprendre pourquoi. Je me souviens avoir été fascinée, il y a plus de 10 ans, par l’analyse que mon professeur de prépa, Eric, en avait dressée. La crise, c’est « krinein » en grec, qui signifie « discerner », « séparer », et qui donnera « krisis ». Le moment de la crise appartient d’abord au vocabulaire de la médecine, puisqu’il caractérise la phase de la maladie durant laquelle les symptômes apparaissent. Alors même si la crise est porteuse de maux - les symptômes sont pénibles à vivre -, elle est aussi discernement : elle seule permet la guérison. Si la maladie n’apparaît pas avec la clarté de la crise, il n’y aurait en effet aucune raison de lui chercher un remède.

Quelles sont nos maladies à nous dont la crise actuelle serait un révélateur ? Prenez cet épisode, comme le précédent avec Fabrice Santoro et Thomas Uhl d’ailleurs, mais à la lumière d’un éclairage différent, comme une opportunité de repenser cette crise sanitaire et économique. Au premier chef au travers du corps puisque la crise est initialement, je vous le disais, du ressort du vocabulaire corporel, médical. Dans notre corps et dans le monde qui nous entoure, cette crise peut être une invitation à nous guérir de nos maux à nous, nous individus et nous individus qui faisons collectivement société. Et si on questionnait la manière dont on se nourrit et dont on nourrit le monde, au sens figuré et au sens propre, pour sortir renforcés de la crise et faire de l’après une renaissance ?

Avec Elodie et Justine nous avons ainsi exploré leur propre confinement comme autant de pistes pour vivre au mieux le nôtre : la pratique du yoga et du pilates à la maison ; l’importance des routines, dans nos assiettes et bien au-delà ; la vie de famille et la nécessité de s’accorder une chambre à soi malgré la vie en communauté ; la gestion du temps ; le goût pour le geste de cuisiner comme premier acte d’amour envers soi en donnant des bonnes choses à son corps, tout en dessinant le monde que l’on cautionne au travers de notre alimentation. Ces regards croisés de deux femmes entrepreneures, mamans, vraies, et dotées d’une lumineuse énergie vous fera autant de bien qu’à moi je l’espère. Et puis Patate restera toujours Patate. Nous sommes donc aussi revenues sur leurs péchés mignons et comme d’habitude maintenant, leurs repas de sortie de confinement. 

Si vous pensez avoir bénéficié de ces échanges, ce serait génial de me laisser un avis 5 étoiles, et même un commentaire peut-être, sur Apple Podcasts, ou de partager l’émission autour de vous si vous n’êtes pas branché•e Apple ou que vous l’avez déjà fait. C’est le meilleur moyen de soutenir le programme et de m’aider à le continuer avec des invités de qualité. Allez, je vous laisse, et vous souhaite une très, très bonne écoute et remercie tous ceux qui ont contribué à l’interlude entre les deux interviews. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Elodie Garamond, la fondatrice du célèbre club de yoga parisien Le Tigre, et Justine Corrion, professeur de pilates que l’on retrouve sous le pseudo de Pilates by Justine, sont mes deux invitées du jour. 

En guise d’introduction à ces échanges avec deux femmes qui habitent leur corps et le monde avec une approche singulière du bien-être, approche dont l’alimentation est tout naturellement l’une des composantes majeures, j’avais envie de revenir sur le l’étymologie du mot crise. Vous allez vite comprendre pourquoi. Je me souviens avoir été fascinée, il y a plus de 10 ans, par l’analyse que mon professeur de prépa, Eric, en avait dressée. La crise, c’est « krinein » en grec, qui signifie « discerner », « séparer », et qui donnera « krisis ». Le moment de la crise appartient d’abord au vocabulaire de la médecine, puisqu’il caractérise la phase de la maladie durant laquelle les symptômes apparaissent. Alors même si la crise est porteuse de maux - les symptômes sont pénibles à vivre -, elle est aussi discernement : elle seule permet la guérison. Si la maladie n’apparaît pas avec la clarté de la crise, il n’y aurait en effet aucune raison de lui chercher un remède.

Quelles sont nos maladies à nous dont la crise actuelle serait un révélateur ? Prenez cet épisode, comme le précédent avec Fabrice Santoro et Thomas Uhl d’ailleurs, mais à la lumière d’un éclairage différent, comme une opportunité de repenser cette crise sanitaire et économique. Au premier chef au travers du corps puisque la crise est initialement, je vous le disais, du ressort du vocabulaire corporel, médical. Dans notre corps et dans le monde qui nous entoure, cette crise peut être une invitation à nous guérir de nos maux à nous, nous individus et nous individus qui faisons collectivement société. Et si on questionnait la manière dont on se nourrit et dont on nourrit le monde, au sens figuré et au sens propre, pour sortir renforcés de la crise et faire de l’après une renaissance ?

Avec Elodie et Justine nous avons ainsi exploré leur propre confinement comme autant de pistes pour vivre au mieux le nôtre : la pratique du yoga et du pilates à la maison ; l’importance des routines, dans nos assiettes et bien au-delà ; la vie de famille et la nécessité de s’accorder une chambre à soi malgré la vie en communauté ; la gestion du temps ; le goût pour le geste de cuisiner comme premier acte d’amour envers soi en donnant des bonnes choses à son corps, tout en dessinant le monde que l’on cautionne au travers de notre alimentation. Ces regards croisés de deux femmes entrepreneures, mamans, vraies, et dotées d’une lumineuse énergie vous fera autant de bien qu’à moi je l’espère. Et puis Patate restera toujours Patate. Nous sommes donc aussi revenues sur leurs péchés mignons et comme d’habitude maintenant, leurs repas de sortie de confinement. 

Si vous pensez avoir bénéficié de ces échanges, ce serait génial de me laisser un avis 5 étoiles, et même un commentaire peut-être, sur Apple Podcasts, ou de partager l’émission autour de vous si vous n’êtes pas branché•e Apple ou que vous l’avez déjà fait. C’est le meilleur moyen de soutenir le programme et de m’aider à le continuer avec des invités de qualité. Allez, je vous laisse, et vous souhaite une très, très bonne écoute et remercie tous ceux qui ont contribué à l’interlude entre les deux interviews. 


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En guise d’introduction à ces échanges avec deux femmes qui habitent leur corps et le monde avec une approche singulière du bien-être, approche dont l’alimentation est tout naturellement l’une des composantes majeures, j’avais envie de revenir sur le l’étymologie du mot crise. Vous allez vite comprendre pourquoi. Je me souviens avoir été fascinée, il y a plus de 10 ans, par l’analyse que mon professeur de prépa, Eric, en avait dressée. La crise, c’est « krinein » en grec, qui signifie « discerner », « séparer », et qui donnera « krisis ». Le moment de la crise appartient d’abord au vocabulaire de la médecine, puisqu’il caractérise la phase de la maladie durant laquelle les symptômes apparaissent. Alors même si la crise est porteuse de maux - les symptômes sont pénibles à vivre -, elle est aussi discernement : elle seule permet la guérison. Si la maladie n’apparaît pas avec la clarté de la crise, il n’y aurait en effet aucune raison de lui chercher un remède.

Quelles sont nos maladies à nous dont la crise actuelle serait un révélateur ? Prenez cet épisode, comme le précédent avec Fabrice Santoro et Thomas Uhl d’ailleurs, mais à la lumière d’un éclairage différent, comme une opportunité de repenser cette crise sanitaire et économique. Au premier chef au travers du corps puisque la crise est initialement, je vous le disais, du ressort du vocabulaire corporel, médical. Dans notre corps et dans le monde qui nous entoure, cette crise peut être une invitation à nous guérir de nos maux à nous, nous individus et nous individus qui faisons collectivement société. Et si on questionnait la manière dont on se nourrit et dont on nourrit le monde, au sens figuré et au sens propre, pour sortir renforcés de la crise et faire de l’après une renaissance ?

Avec Elodie et Justine nous avons ainsi exploré leur propre confinement comme autant de pistes pour vivre au mieux le nôtre : la pratique du yoga et du pilates à la maison ; l’importance des routines, dans nos assiettes et bien au-delà ; la vie de famille et la nécessité de s’accorder une chambre à soi malgré la vie en communauté ; la gestion du temps ; le goût pour le geste de cuisiner comme premier acte d’amour envers soi en donnant des bonnes choses à son corps, tout en dessinant le monde que l’on cautionne au travers de notre alimentation. Ces regards croisés de deux femmes entrepreneures, mamans, vraies, et dotées d’une lumineuse énergie vous fera autant de bien qu’à moi je l’espère. Et puis Patate restera toujours Patate. Nous sommes donc aussi revenues sur leurs péchés mignons et comme d’habitude maintenant, leurs repas de sortie de confinement. 

Si vous pensez avoir bénéficié de ces échanges, ce serait génial de me laisser un avis 5 étoiles, et même un commentaire peut-être, sur Apple Podcasts, ou de partager l’émission autour de vous si vous n’êtes pas branché•e Apple ou que vous l’avez déjà fait. C’est le meilleur moyen de soutenir le programme et de m’aider à le continuer avec des invités de qualité. Allez, je vous laisse, et vous souhaite une très, très bonne écoute et remercie tous ceux qui ont contribué à l’interlude entre les deux interviews. 


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Quelles sont nos maladies à nous dont la crise actuelle serait un révélateur ? Prenez cet épisode, comme le précédent avec Fabrice Santoro et Thomas Uhl d’ailleurs, mais à la lumière d’un éclairage différent, comme une opportunité de repenser cette crise sanitaire et économique. Au premier chef au travers du corps puisque la crise est initialement, je vous le disais, du ressort du vocabulaire corporel, médical. Dans notre corps et dans le monde qui nous entoure, cette crise peut être une invitation à nous guérir de nos maux à nous, nous individus et nous individus qui faisons collectivement société. Et si on questionnait la manière dont on se nourrit et dont on nourrit le monde, au sens figuré et au sens propre, pour sortir renforcés de la crise et faire de l’après une renaissance ?

Avec Elodie et Justine nous avons ainsi exploré leur propre confinement comme autant de pistes pour vivre au mieux le nôtre : la pratique du yoga et du pilates à la maison ; l’importance des routines, dans nos assiettes et bien au-delà ; la vie de famille et la nécessité de s’accorder une chambre à soi malgré la vie en communauté ; la gestion du temps ; le goût pour le geste de cuisiner comme premier acte d’amour envers soi en donnant des bonnes choses à son corps, tout en dessinant le monde que l’on cautionne au travers de notre alimentation. Ces regards croisés de deux femmes entrepreneures, mamans, vraies, et dotées d’une lumineuse énergie vous fera autant de bien qu’à moi je l’espère. Et puis Patate restera toujours Patate. Nous sommes donc aussi revenues sur leurs péchés mignons et comme d’habitude maintenant, leurs repas de sortie de confinement. 

Si vous pensez avoir bénéficié de ces échanges, ce serait génial de me laisser un avis 5 étoiles, et même un commentaire peut-être, sur Apple Podcasts, ou de partager l’émission autour de vous si vous n’êtes pas branché•e Apple ou que vous l’avez déjà fait. C’est le meilleur moyen de soutenir le programme et de m’aider à le continuer avec des invités de qualité. Allez, je vous laisse, et vous souhaite une très, très bonne écoute et remercie tous ceux qui ont contribué à l’interlude entre les deux interviews. 


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