undefined cover
undefined cover
Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans cover
Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans cover
PLAFF

Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans

Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans

22min |28/04/2023
Play
undefined cover
undefined cover
Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans cover
Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans cover
PLAFF

Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans

Déjouer les pièges de l'âgisme et retravailler après 54 ans

22min |28/04/2023
Play

Description

Trois femmes expliquent dans cet épisode comment elles sont parvenues à retrouver du travail ou une activité passée la cinquantaine, malgré les nombreux obstacles qu'elles ont dû surmonter. 


- Ursula a fait appel à son réseau et utilisé la méthode de "l'arborescence" : demander à chacun de ses contacts professionnels trois noms de personnes à contacter. Ces prises de contact, effectuées méticuleusement, ont fini par payer car elle a finalement été embauchée comme DRH. 

- Pascale, après une expatriation et une carrière bien remplie, n'avait pas l'intention de raccrocher après avoir liquidé sa retraite. Elle s'est engagée comme ambassadrice et animatrice réseau d'une marque américaine de produits de beauté .
- Séverine a vécu une année avec le RSA comme seul revenu, désespérant de ne jamais  retravailler comme graphiste. Elle a écrit un post "trop vieille pour travailler ? " sur Linkedin, post qui est devenu viral et s'est traduit par l'entrée en relation avec des nouveaux et bons clients qui la satisfont. 


Un épisode qui ouvre des pistes possibles, à explorer.
Il n'en reste pas moins que le problème structurel et culturel du sous-emploi en France des travailleurs et travailleuses âgés de 50-64 ans demeure entier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Trois femmes expliquent dans cet épisode comment elles sont parvenues à retrouver du travail ou une activité passée la cinquantaine, malgré les nombreux obstacles qu'elles ont dû surmonter. 


- Ursula a fait appel à son réseau et utilisé la méthode de "l'arborescence" : demander à chacun de ses contacts professionnels trois noms de personnes à contacter. Ces prises de contact, effectuées méticuleusement, ont fini par payer car elle a finalement été embauchée comme DRH. 

- Pascale, après une expatriation et une carrière bien remplie, n'avait pas l'intention de raccrocher après avoir liquidé sa retraite. Elle s'est engagée comme ambassadrice et animatrice réseau d'une marque américaine de produits de beauté .
- Séverine a vécu une année avec le RSA comme seul revenu, désespérant de ne jamais  retravailler comme graphiste. Elle a écrit un post "trop vieille pour travailler ? " sur Linkedin, post qui est devenu viral et s'est traduit par l'entrée en relation avec des nouveaux et bons clients qui la satisfont. 


Un épisode qui ouvre des pistes possibles, à explorer.
Il n'en reste pas moins que le problème structurel et culturel du sous-emploi en France des travailleurs et travailleuses âgés de 50-64 ans demeure entier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Trois femmes expliquent dans cet épisode comment elles sont parvenues à retrouver du travail ou une activité passée la cinquantaine, malgré les nombreux obstacles qu'elles ont dû surmonter. 


- Ursula a fait appel à son réseau et utilisé la méthode de "l'arborescence" : demander à chacun de ses contacts professionnels trois noms de personnes à contacter. Ces prises de contact, effectuées méticuleusement, ont fini par payer car elle a finalement été embauchée comme DRH. 

- Pascale, après une expatriation et une carrière bien remplie, n'avait pas l'intention de raccrocher après avoir liquidé sa retraite. Elle s'est engagée comme ambassadrice et animatrice réseau d'une marque américaine de produits de beauté .
- Séverine a vécu une année avec le RSA comme seul revenu, désespérant de ne jamais  retravailler comme graphiste. Elle a écrit un post "trop vieille pour travailler ? " sur Linkedin, post qui est devenu viral et s'est traduit par l'entrée en relation avec des nouveaux et bons clients qui la satisfont. 


Un épisode qui ouvre des pistes possibles, à explorer.
Il n'en reste pas moins que le problème structurel et culturel du sous-emploi en France des travailleurs et travailleuses âgés de 50-64 ans demeure entier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Trois femmes expliquent dans cet épisode comment elles sont parvenues à retrouver du travail ou une activité passée la cinquantaine, malgré les nombreux obstacles qu'elles ont dû surmonter. 


- Ursula a fait appel à son réseau et utilisé la méthode de "l'arborescence" : demander à chacun de ses contacts professionnels trois noms de personnes à contacter. Ces prises de contact, effectuées méticuleusement, ont fini par payer car elle a finalement été embauchée comme DRH. 

- Pascale, après une expatriation et une carrière bien remplie, n'avait pas l'intention de raccrocher après avoir liquidé sa retraite. Elle s'est engagée comme ambassadrice et animatrice réseau d'une marque américaine de produits de beauté .
- Séverine a vécu une année avec le RSA comme seul revenu, désespérant de ne jamais  retravailler comme graphiste. Elle a écrit un post "trop vieille pour travailler ? " sur Linkedin, post qui est devenu viral et s'est traduit par l'entrée en relation avec des nouveaux et bons clients qui la satisfont. 


Un épisode qui ouvre des pistes possibles, à explorer.
Il n'en reste pas moins que le problème structurel et culturel du sous-emploi en France des travailleurs et travailleuses âgés de 50-64 ans demeure entier.



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like