Transcription

• Speaker #0

  Bienvenue en 2025, bienvenue au défi de chanter son voix, on est en jour pour tenter une création.

• Speaker #1

  Quand on vient au monde avec une maladie génétique, quand on est quelque part vulnérable face à certaines situations, surtout lorsqu'on est dépendant des autres, parce que notre situation, dans la société dans laquelle on évolue, fait que... on est obligé d'être dépendant de certaines personnes, et bien, parfois, on n'ose pas dire ce qu'on pense à certaines personnes, justement. Je pense à des personnes en particulier, même une personne en particulier, mais bon, le podcast Plaisir Handicap, je ne l'ai pas créé pour régler mes comptes, je l'ai créé pour justement parler du plaisir, parler du handicap, parler de ces deux sujets, parfois tabous, mais qui... à mon sens, ne devrait pas l'être. Et justement, quand on est handicapé, eh bien, on est dépendant de certaines personnes parce qu'on ne peut pas accomplir certaines tâches. On a besoin d'aide, en fait. Voilà, tout simplement, on a besoin d'aide. Et il y a certaines personnes, on n'aimerait peut-être pas forcément qu'elles nous aident, mais on n'a pas le choix. On n'a pas le choix, ça c'est... Une injonction qu'on peut parfois entendre, peut-être que les personnes en situation de handicap, malheureusement, c'est une injonction, t'as pas le choix, je sais pas, je sais pas si c'est vraiment une différence entre les personnes handicapées ou pas, par rapport à cette injonction d'avoir le choix ou pas, j'ignore. Mais pour la contrainte du jour, je vais me permettre ça, c'est de traiter les personnes, en tout cas la personne. en particulier, qui m'a vraiment, attention, bouché les oreilles de vos enfants, mais il y a vraiment des personnes qu'on a envie d'envoyer chier, mais d'une force. Vous ne pouvez pas imaginer. Et notre situation fait que, on ne peut peut-être pas forcément le faire, parce qu'on aurait besoin potentiellement de l'aide de ces personnes, parce qu'on n'a pas le choix. Des personnes qu'on aurait vraiment envie de traiter d'énormes cornichons. Voilà. C'était ça la contrainte du jour. C'était de placer le mot cornichon. Ouais, voilà. J'ai pas dit que c'était forcément réfléchi. J'en vois, c'est aussi ça. C'est de sortir un peu de sa zone habituelle, sa zone de confort, sa zone de connu, puis de tenter des choses. Mais c'est vrai que traiter certaines personnes d'énormes cornichons, ça fait un bien de fou. Ça fait un bien de fou. Donc, chers auditeurs, chères auditrices, vous n'êtes pas mes petits cornichons. Eh, peut-être qu'il y a des cornichons qui écoutent mon podcast. Ouais, peut-être, peut-être. Je ne sais pas. Peu importe. En tout cas, je leur envoie beaucoup d'amour, de plaisir. Ça, c'est sûr. Je vais m'arrêter là pour cette contrainte créative du jour. Et je vais vous souhaiter une bonne journée. Ça, c'est évident. Et je vous dis surtout à demain pour un autre épisode du défi du mois de janvier. Je vais vous dire la contrainte du jour pour demain. Ça sera d'apporter mon approche pour gérer un grand projet. Comment je gère les doutes ? Oh mon Dieu, il faut absolument que vous écoutiez cet épisode. Il faut absolument que vous écoutiez cet épisode parce que je vais vous parler de mon love shop. Alors, pour les personnes intéressées, abonnez-vous au podcast comme ça vous... ne louperai pas l'épisode de demain qui va vous parler de ce grand projet que j'y mets là. Ah bien, je l'espère. Je vous dis à demain.