- Speaker #0
John, John, John, John, John, stop talking, you don't understand anything, you are from, I don't know, Cabo, you're coming, I don't know where, and you're talking to us.
- Speaker #1
Bonjour à toutes et à tous, c'est le jour du troisième et dernier épisode autour de cette application Do Your Football, DIF, avec Sylvain De Vert. On va venir aujourd'hui parler de la vision du football de demain, l'avenir de Do Your Football, l'avenir de DIF. avec Sylvain qui va nous expliquer toutes les futures fonctionnalités. Merci d'avoir suivi toute cette série de podcast. Merci d'avoir noté, commenté, d'avoir partagé pour que le podcast puisse performer ainsi. Continuez, c'est le troisième et dernier épisode de cette série. Allez le noter sur toutes les plateformes, diffusez-le un maximum, continuez à commenter pour un maximum d'engagement et faire remonter le podcast. Merci à tous et on vous laisse avec l'avenir de Diff. On parlait de notation des joueurs tout à l'heure.
- Speaker #2
Oui.
- Speaker #1
Mais du coup, est-ce que les clubs vont être notés ? Par qui ? Est-ce que ce sera possible ? Est-ce que c'est possible aussi d'avoir des... Les entraîneurs aussi vont avoir leurs cartes, comme tu nous montrais tout à l'heure. Est-ce qu'ils vont être notés ? Si oui, par qui ? Les parents, les joueurs, le club en lui-même ?
- Speaker #2
Alors, ça, c'est bien. Parce que là, tu vas dans le futur. C'est bien. Donc, en fait, dans V2... Dans V2, non mais c'est bien, c'est bien, c'est dans V2. Donc V2, si tu veux, j'explique qu'est-ce que c'est. Là, on est dans MVP, c'est Market Value Product. C'est un premier produit qu'on met sur le marché pour tester le marché, pour surtout finaliser le produit. C'est pour avoir autour des vrais utilisateurs. Tu vois, pas uniquement moi qui suis un fou furieux, qui connais l'appli de long en large. Une fois, je suis avec des mecs au téléphone et je leur dis, tu appuies là, là. Enfin, je me rends compte en fait que je connais le truc vraiment sur le bout des doigts. Évidemment. Donc en fait, le... Ah, j'ai perdu mon fil. J'ai perdu mon fil. Vas-y.
- Speaker #1
On parlait de la notation des potentiels des clubs et des écrans.
- Speaker #2
Pour la MVP, c'est ça. La V1, c'est quand on a finalisé le produit après avoir eu les retours des utilisateurs. Autre que moi. Et la V2, en fait, donc ça, c'est fini pour cette année civile. Et la V2, on est en train de l'écrire. Elle va se faire développer, elle va être développée. Donc, en fait, tous les semaines, tous les 15 jours, de nouvelles fonctionnalités vont être rajoutées et les gens ne vont jamais payer un centime de plus. Ça, c'est genre ce que nous, on veut. C'est les gens qui vont payer un prix et on va rajouter, rajouter, rajouter, rajouter et les gens ne paieront rien de plus. Mais au bout, le mec, il utilisera un logiciel pour tout. C'est notre vision. Du coup, par exemple, la V2, ce qu'on veut, c'est la même dynamique que le joueur. Le coach... On va lui envoyer une notification avant la séance d'entraînement et lui dire, comment tu te sens aujourd'hui ? Parce qu'un coach aussi, il est fatigué des fois. Un coach aussi, des fois, il est en grande forme ou moyen, tu vois, regular comme on dit en espagnol. Il va mettre cette info. À la fin de la séance d'entraînement, on va lui poser deux questions. La première, c'est comment tu t'es senti toi sur le terrain ? Parce que des fois, moi, avant la séance, je vais te dire, je ne suis pas bien. Genre, je suis fatigué, etc. Mais dès que je commence la séance, c'est feu. Je sens nickel. Donc ça, c'est une autre donnée. Et la troisième donnée, c'est comment moi j'ai ressenti que le groupe a perçu ce que j'ai transmis. C'est-à-dire que des fois, toi, tu ne peux pas être bien, mais le groupe est trop content de ta séance d'entraînement. Tu vois, ils se régalent, ils courent partout, ils sont contents, ils transpirent. Donc, comment tu as ressenti ça ? Et ces trois données vont nous permettre d'avoir un suivi spécifique sur le profil d'entraîneur que tu as et sur la fluctuation aussi sur une saison. Tous les entraîneurs ont des hauts et des bas. Tu vois ce que je veux dire au bas ? Toutes les équipes ont des hauts et des bas. Et quand tu vas pouvoir comparer la donnée du joueur et de l'équipe, parce que la donnée du joueur, tu as aussi les statistiques de l'équipe, attention. Tu as une moyenne de bien-être de ton équipe pour chaque séance, par semaine, par mois, par année. Après, tu vas comparer avec… Déjà là, maintenant, dans 15 jours, d'ici le 15 octobre, tu l'auras. Tu vas pouvoir voir. Je vais te donner un exemple. Au mois de septembre, j'ai fait… deux victoires, un nul, une défaite. Tu vas voir que quand tu avais les deux victoires, tu avais 97% de présence. Le match nul, tu en avais 80. Et la défaite, tu en avais 75. Tu vas voir que ton taux de pourcentage de blessure quand tu as les deux victoires, était de zéro, de zéro, et puis de 10, et puis de 15. Je ne vais pas dire. Et tu vas voir que ta moyenne de la charge d'entraînement, au début, par exemple... elle était de 7 ou 8, donc c'était bien. Et à la fin, tu étais de 2 ou 3. Donc en fait, tu vas voir que tes résultats vont fluctuer selon le taux de présence. le taux de blessé et le taux de bien-être de ton groupe. Tu vois ce que je veux te dire ou pas ? Et ça, tu pourras l'avoir sur toute l'année. Mais une donnée que tu vois comme ça, genre c'est un graphique qu'on a créé, tu le regardes, tu le comprends tout de suite. Tu n'as pas besoin de commencer, c'est pas avec un milliard de données.
- Speaker #1
Alors que ça, c'est des datas dont tu n'as jamais accès dans le monde du foot actuel en fait.
- Speaker #2
Bah non.
- Speaker #1
Tu le ressens, c'est quelque chose que tu ressens ou que tu imagines. Et tu changes ta posture si déjà, tu as assez de prise de recul pour te dire que potentiellement, peut-être, ça peut être lié à ça. Mais tu n'as jamais la data qui te montre ça de base. Parce que dans un club, comme on parlait, U12 District tout à l'heure, jamais il y a quelqu'un qui va venir te dire que tu as la charge d'entraînement les deux temps, il y a tant de pourcentages de blessés, le niveau moral de tes joueurs est en baisse. C'est pour ça que tes résultats chutent ou autre. Ça n'existe pas. C'est qu'une prise de recul.
- Speaker #2
Et le pire ?
- Speaker #1
c'est que les gens sous-estiment le nombre de personnes passionnées qui entraînent en district et qui aimeraient savoir ça je te jure moi si je suis là si on discute aujourd'hui c'est parce que je suis passionné mais en fait moi quand j'entraîne je me dis mais ton rêve quand t'es petit c'est tu veux entraîner tu vois les trucs à la télé tu te dis mais moi aussi je veux m'imaginer comme ça OK, ces datas et trucs et les GPS et patin couffin, tu te projettes aussi en tant qu'éducateur, comme un éducateur professionnel. Tu veux essayer de faire transpirer ça. Donc d'avoir accès à toutes ces données et tout, c'est aussi un sentiment d'accomplissement ou de te dire, ouais, j'ai accès à une base de fou, je suis curieux, j'ai envie de… Ah ouais, c'est ça, c'est des informations, c'est un nid d'informations énormes.
- Speaker #2
Absolument, absolument, absolument. Et je te dis, c'est que le début, parce qu'en fait, là où on veut aller, nous, c'est, on veut que les gamins vont de moins en moins dehors pour jouer au foot, tu vois. Ils jouent au foot quand ils vont au foot, quoi. Alors, c'est pas partout le cas, évidemment. Mais donc, notre idée, surtout de mon associé et moi, c'est de dire, comment pouvons-nous faire pour que les jeunes jouent de plus en plus au foot, même quand ils ne sont pas au foot. Donc en fait, on veut créer un système où les joueurs deviennent protagonistes de leur évolution. Par exemple, tu as vu, il y a des notes. Aujourd'hui, c'est le coach qui évalue sur les séances d'entraînement. Mais tu vas avoir dans le futur la possibilité de dire, OK, je ne suis pas bon de la tête, qu'est-ce que me propose DIF comme séances d'entraînement pour que je progresse de la tête ? Je vais le faire. et après, nous, DIF va proposer des ateliers d'évaluation. standards, les mêmes pour tous, tu vas les faire chez toi, ou accompagner, d'ailleurs tu pourras t'accompagner par peut-être un coach qui est dans ton secteur, et en fait tu vas soumettre ta nouvelle note. Par exemple, de jeu de tête, je t'ai mis 1 sur 6, parce que tu mets jamais la tête, tu te retires la tête, tu vois, et là tu vas bosser, tu vas bosser, tu vas bosser, et tu vas faire un exo, tu vas me dire, tu as maintenant 3 sur 6. Si tu vas pouvoir soumettre cette évaluation, que le coach va pouvoir valider ou non, parce qu'il va vérifier évidemment. C'est-à-dire que le coach qui est licencié auprès d'un club qui est licencié lui-même à la Fédération française de football pour la France, sera prioritaire dans la validation des évaluations aux données qui seront remontées par le joueur. Donc si le joueur dit 3 et que moi je dis non, non mon gars, tu restes à 1, tu restes à 1. Si je dis que c'est 2, je peux évoluer à 2. Donc ça, c'est là où on veut aller. On a encore un peu de boulot pour ça, mais ça c'est dans le premier semestre de 2026.
- Speaker #1
Moi je trouve ça intéressant, parce que dans ta vision de remettre les enfants à s'amuser, à jouer entre guillemets dehors, tu vas les prendre par le, entre guillemets, pas forcément le mot, mais le piège de l'écran. où on est tout le temps nous-mêmes aussi connectés avec les écrans, l'ordinateur, le téléphone. Mais tu vas aller les chercher là où ils sont allés et où on veut les enlever. Donc tu vas les prendre par le téléphone pour qu'ils aillent eux-mêmes dehors avec leur ballon, s'entraîner et tu contrecarres le piège de je me mets 6 sur 6 en bloquant avec une évaluation qui est à soumettre à quelqu'un. Donc d'un côté. Si le gars, il se met 6 sur 6, tu réévalues à 2 sur 6, il va retourner dehors pour continuer à s'améliorer. Donc, en fait, tu les prends entre guillemets à leur propre piège ou au piège des écrans que la société nous a amenés à subir.
- Speaker #2
Absolument, c'est l'idée. Et ça, tu vois, là, on développe vachement bien l'appli. Il y a de plus en plus de clubs qui veulent mettre en place dans tout le club. Donc là, on veut aussi aller progressivement parce qu'il y a tout un système à valider. Ce n'est pas juste sortir l'appli, mais il est vrai que moi, je suis super excité à l'idée de percevoir les retours des utilisateurs. Mais genre parce qu'il y a, rien que là, j'ai tellement d'utilisateurs qui me ramènent des trucs, je dis, j'y avais pas pensé à ça. Rien qu'hier, dans la réunion, j'ai noté deux choses. Ah, mais j'ai pas pensé à ça. Ah, mais j'ai pas pensé à ça. Mais c'est génial. Et je les note. Et du coup, j'en parle avec mes développeurs. Je dis, bon, on peut faire ça, on peut pas faire ça, machin, etc. Donc, c'est vraiment passionnant. C'est vraiment passionnant. Et les possibilités sont illimitées. Et notre objectif, c'est d'aller le plus loin. Donc ça, de toute façon, on a les idées claires. Je vais te dire autre chose, il y a un truc qui va arriver qui est une dinguerie pour les joueurs, je te parle. On va faire la gamification. C'est-à-dire qu'une fois qu'on a validé le système de la V1, dans la V2, tu verras les joueurs, ils vont pouvoir être, déjà le coach va pouvoir nommer l'homme du match. Et en fait, les évaluations des coachs vont donner comme des trophées, comme dans les jeux vidéo. En fait, ces trophées vont générer des choses spéciales. Un truc, par exemple, quand tu es nommé l'homme du match, ta carte, elle se transforme en or pendant une semaine. Trouver des axes de motivation, mais pour tout type, pas que pour l'homme du match. Il y en a plein d'autres. Du coup, là, on est en train de créer tout l'écosystème autour de ça parce que c'est vraiment complexe, par contre. Un truc qui est évolutif sur la durée. Pareil pour les coachs, je vous ai demandé ça tout à l'heure. Donc oui, les coachs aussi, on est en train de voir pour créer des cartes coach. Donc, il y a déjà des étoiles. Il y a cinq étoiles. Tous ceux qui font partie des testeurs ont deux étoiles d'office. Après, tu verras que chaque étoile, en fait, a des caractéristiques spécifiques. Une étoile, par exemple, c'est avoir renseigné tout le système. Tu as rentré tout le système, genre ton modèle de jeu, ta programmation, ton équipe, etc. Là, tu as une étoile. Et après, si tu utilises pendant un trimestre le logiciel en faisant les evals, etc., tu obtiens deux étoiles. Et après, la troisième étoile, c'est quand tu as… tu as accompli une saison complète en utilisant l'application, en faisant les évaluations, des matchs, etc. Donc l'idée, c'est vraiment que ce soit une valeur de compétence. Le mec qui a trois étoiles, ça veut dire que déjà, le mec réfléchit d'une certaine manière. Il a un cahier d'appel, évaluation, suivi de la charge de travail des joueurs, il fait ses vidéos d'avant-match, il fait ses convocations avec le truc. Tu vois ce que je veux te dire ou pas ? Il fait le suivi.
- Speaker #1
Trois étoiles, tu es un entraîneur structuré qui suit les process et qui s'y tient.
- Speaker #2
Exactement. Et du coup, avec mon pote, parce que là, je bosse avec un ami, parce que tu vois, moi, ce que j'ai développé, évidemment, c'est basé sur ma propre expérience. Donc, c'est un millimélo de la Fédération française, de la Fédération belge, de l'Espagne, etc. Et donc, ce que je bosse avec lui, c'est de faire vraiment en sorte que la personnalisation de l'outil… mettre les coachs dans la capacité de répondre dans les exigences fédérales. Par exemple, le mec qui fait des formations en France, tu vois, à la FEDE, qu'il puisse utiliser l'outil pour répondre aux exigences de la FEDE. Tu comprends ? Pour pas que ce soit un frein, tu vois. La même chose en Belgique, la même chose en Espagne. Donc dans chaque pays, je vais avoir un gars qui va m'accompagner pour faire en sorte que ce soit personnalisable pour chaque réalité, tu vois. Ça, c'est vraiment important pour moi. Parce que ça n'a pas de sens que le mec qui passe des diplômes, il utilise DIF. Et alors du coup, pour passer ses diplômes, il ne peut pas utiliser DIF. Ça me semble nul.
- Speaker #1
Et puis en plus, ce n'est pas un outil qui vient en confrontation à l'éducation fédérale, par exemple. C'est justement un outil qui va venir servir les éducateurs dans leur évolution au niveau de leur pays ou au niveau d'autres pays. pays comme tu disais belgique espagne qui sait devenir nourrir l'éducateur encore plus c'est un apport il ya l'apport fédéral on va dire d'un côté côté côté licenciés etc classique et à la porte de l'application qui vont venir former l'éducateur donc c'est un complément c'est un outil exactement c'est l'accompagnement diff c'est l'accompagnement en fait toi
- Speaker #2
Tu vois, la formation, c'est la fédération. Tu vois ? Et l'accompagnement, un outil pour l'accompagner en son cheminement, c'est ça. C'est vraiment comme ça qu'on le voit.
- Speaker #1
Et tu vois, tout à l'heure, tu parlais du produit fini. Mais depuis tout à l'heure, on discute autour des différents aspects de l'appli. Mais moi, du coup, je me dis que ce sera un produit qui ne sera jamais fini parce qu'il sera constamment en évolution et lié aux différents retours que tu vas pouvoir venir incorporer à cette application. Et c'est ce que je me dis, c'est qu'au final, plus on va avancer au jour le jour, plus cette application risque d'être complète. de venir intégrer des nouveaux systèmes, des nouveaux thèmes que tu n'avais pas forcément, toi, vu, comme tu disais, parce que tu pars à la base avec ton expérience. Mais du coup, à venir pouvoir nourrir avec l'expérience de chacun des utilisateurs cette application, et elle va sans cesse évoluer de V1, V2, V3. Il y aura souvent, moi je pense, je le vois comme ça, comme un produit qui est ouvert constamment et qui va constamment être en évolution.
- Speaker #2
Oui, absolument. Et c'est l'objectif. Moi, je pense qu'il faut toujours rester ouvert à l'évolution. Je pense qu'il y a tout le temps moyen de faire mieux, tout en restant ludique, simple d'utilisation, accessible. Mais oui, je suis totalement d'accord avec toi. C'est un écosystème tellement vaste. Il y a tellement d'améliorations à apporter pour tellement de réalités, rien qu'en pensant aux connexions API, par exemple. Ce qu'on veut, c'est pour que les gens puissent connecter leurs outils du quotidien, les GPS, les vidéos de VO, etc. Donc, rien que sur ce point de vue-là, déjà, il y a… Tu vois, moi, ce que je souhaite dans l'absolu, c'est qu'on puisse connecter les montapels, les garmin, les protège-tibia qui calculent à quelle force tu fais des frappes et tes passes, les anneaux tous les outils annexes qui existent pour pouvoir croiser les données et accompagner au mieux le joueur, l'entraîneur et le club. Tu vois ce que je veux dire ? Là, je pense que ce sera une vraie... Parce que tu vois, par exemple, c'est une connerie ce que je vais te dire, mais tu vois les puces que tu mets dans les chaussures ou les protège-tibia ou les bracelets, t'as des mecs de district qui l'utilisent.
- Speaker #1
Ah bah oui.
- Speaker #2
De n'importe quel niveau. Moi, j'ai un joueur que j'accompagne depuis petit qui joue en National 2. Il s'est acheté le GPS perso.
- Speaker #1
Mais tu vois, moi, ça m'a fait penser à ça, justement. Je n'ai pas rebondi, mais quand tu parlais de l'auto-évaluation, moi, j'utilise une Garmin. Pourtant, je ne fais pas toutes les compètes de run ou de triathlon ou de trail. Mais par contre, à la fin, je peux me créer mon programme de 5, 10, 21 kilomètres. Je peux m'auto-évaluer. OK, ta performance, est-ce que c'était dur ? Comment tu t'es senti ? au niveau de l'intensité. Et en fait, tout ça, c'est ce qu'on va retrouver dans l'appli. Donc si en plus, l'appli vient se connecter à ta garmine ou par exemple ton protège tibia qui va truc ou ton anneau qui va dire que tu es à 145 BPM, si tu peux relier à ça, tu vas encore venir nourrir l'appli au niveau médical et du coup compléter ta base. Et plus tu complètes la base de données, plus tu as de chances que les données qui soient données dans l'appli se rapproche de la réalité et du coup d'avoir des outils qui sont utiles pour le joueur, pour l'éducateur, pour le club.
- Speaker #2
Absolument. C'est exactement la vision que j'ai. Après, je ne sais pas pour quand ce sera possible, mais en tout cas, pour l'API, il y aura des connexions d'API possibles dès la V2, ça c'est sûr et certain, ça je l'ai prévu. C'est un budget aussi, tu vois, et puis il y a pas mal de prouesses technologiques dans ce qu'on fait, qui ne sont pas toutes résolues d'ailleurs. Il y a les équipes qui bossent dessus intensément. Mais pour l'instant, il n'y a rien d'insurmontable. Ça, c'est la bonne nouvelle. Par exemple, tu vois, à partir du 1er novembre, il y aura un outil dans Diff qui s'appelle Footboard où tu pourras créer tes propres séances. Tu créeras tes procédés, tes exercices. Tu vois, un logiciel où tu peux faire des créations, des exos, des machins, l'enregistrer en cloud, en ligne. dans le système, tu vois, tu pourras les trier. Tu vois, c'est ça le truc, c'est infini, tu vois. Tu peux créer tes animations, tu pourras les mettre, tu peux les mettre dans tes vidéos d'avant-match, une capture d'écran, ce sera un clic. J'ai recherché à tout simplifier, tu vois. Et là, franchement, une fois que Footboard sera livré, qu'il y aura les statistiques, déjà là, l'outil, déjà aujourd'hui, les gens qui l'utilisent, dès que tu passes à inviter ton équipe à faire tes matchs, les gens sont enchantés de l'outil. Mais là, quand on aura en plus la possibilité de créer toi-même tes trucs, en fait, c'est génial. Génial. Il me tarde.
- Speaker #1
Ce qui est bien, c'est que tu as une application qui est utilisable par l'éducateur qui n'est pas forcément passionné, curieux. Il peut utiliser, je dis n'importe quoi, 5% de tout ce que tu proposes dans l'appli. Et du coup, ça va être quand même un facilitateur énorme pour lui. Et à contrario, celui qui est lui, il se dit, comme on disait tout à l'heure, moi, ma vie, même si je suis en district 2, Mais moi, je me projette comme un éducateur professionnel. Les datas, je veux être curieux, je veux essayer de m'améliorer. En fait, ce qui est bien, c'est que c'est adapté à l'utilisation de chacun.
- Speaker #2
Mais là, je vais te faire halluciner. J'ai une équipe de vétérans qui l'utilisent. Mais oui, mais oui, mais bien sûr qu'ils l'utilisent. Ils se font des matchs une fois par semaine. Eh bien, le coach, il les évalue et il se fend de la gueule. Il trouve ça génial. Ils sont informés de tout. Ils ont les infos, ils ont le calendrier, ils ont une carte avec une photo sympa. Et ils se chambrent. « Eh, t'as vu, machin, le coach t'a mis une étoile ou trois étoiles. » Je pense que je n'ai pas idée de la dimension que ça peut prendre.
- Speaker #1
Et pareil, on en discutait juste avant aussi. Ce que je trouve qui est, moi en tout cas, qui me touche ou entre guillemets qui me plaît là-dedans, c'est qu'on va de plus en plus dans le côté technologique, par exemple dans… Maintenant, pour les jeux vidéo, on va mettre un casque et on va jouer avec le casque aux jeux vidéo. Mais en fait, là, tu vas jouer aux jeux vidéo dans la vraie vie. Tu as ton application dans la main, mais par contre, tu vas jouer avec tes potes dehors. Moi, je trouve que c'est ça qui est le vrai jeu vidéo de la vie. En fait, tu vas jouer, tu vas t'amuser. Et à la fin, tu as un jeu.
- Speaker #2
C'est ça.
- Speaker #1
Plutôt que d'être enfermé chez toi sur un écran, en live connecté sur Internet avec les autres, chacun chez eux, ou avec un masque devant la tête. Au final, on va faire ça, on va le faire dehors, comme nous on faisait. Je pense qu'on aurait rêvé il y a 20 ans d'avoir une appli comme ça et de se dire, on passe notre journée à jouer au foot et au final, on évolue sur notre jeu vidéo.
- Speaker #2
Ah, c'est sûr. C'est sûr. C'est sûr. Franchement, c'est sûr. Moi, je le vois, je te dis moi-même, je regarde tous les jours. Et c'est moi-même qui m'évalue. Je ne peux pas te dire autre chose. C'est comme le gars que j'avais vu. J'avais vu une émission sur les réseaux sociaux, tu vois. C'est le mec qui a inventé, qui a créé Facebook, je crois. Et du coup, c'était Facebook ou Insta, je ne sais plus. Et il disait que l'algorithme derrière le téléphone était fait pour te... pour attirer ton attention toi et que tu scrolles, tu scrolles, parce qu'il y a toujours des trucs intéressants tu peux que t'intéresser, il n'y a que des trucs intéressants et il me dit, mais moi je me fais avaluer, moi qui vous explique ça moi même je prends mon tel et je scroll tu vois ?
- Speaker #1
je me fais piéger par ma propre création tu vois ce que je veux dire ?
- Speaker #2
Moi c'est pareil, moi même j'évalue parce qu'en fait quand je fais des démos je montre comment on évalue si tu veux donc je m'évalue moi-même Et du coup, moi-même, je regarde ma carte et je me dis, ah, tu as vu, ah là là, tu sais, j'y vais. Je dois dire, là, je ne suis plus blessé. Je ne veux plus faire d'exemple de blessé parce que du coup, je suis sélectionnable. Mais quand on me sélectionne, on me dit, attention, Sylvain, il est en rouge, il est blessé. Alors, j'ai quand même le droit de le mettre parce que des fois, tu peux être blessé. Le coach peut faire jouer 10 minutes, tu vois. Mais par contre, je suis prévenu. Donc du coup, dans ce cadre-là, j'ai match demain à 15h. C'est rigolo, c'est rigolo. C'est vrai que non.
- Speaker #1
Et du coup, on parlait de l'application, on parle de ça. Donc là, tu nous disais que tu es en phase de test. La phase de test, elle se décompose comment ? Comment tu as mis ça en place ?
- Speaker #2
Alors du coup, le test, normalement, est parti sur un mois de test. Là, on va le prolonger de deux semaines. On va faire six semaines. Parce que les utilisateurs... les retours des utilisateurs ont amené à des modifications et j'ai besoin que ces modifications soient testées de nouveau par les utilisateurs donc en fait toutes les semaines moi ce que je fais c'est je les appelle ils ont l'habitude de m'envoyer des google forms avec des bugs là il y a un bug, là il se passe ci, ça ou m'envoyer un message par whatsapp, ils sont tous en contact direct avec moi et après toutes les semaines on rajoute des fonctionnalités Par exemple, là aujourd'hui, quand ils ont reçu le produit, ils ne pouvaient que faire leur modèle de jeu, programmation, sans entraînement. Après, on a rajouté la possibilité de créer les matchs et de les évaluer. Après, on a rajouté l'évaluation pour le cycle. Là, maintenant, il va y avoir dix jours où on va laisser un peu mûrir tout ce qu'on a corrigé pour voir si ça s'est bien validé, pour qu'on ait un bloc solide. Et après, on va rajouter les statistiques, footboard, la plateforme pour les clubs. En fait, on construit progressivement. Du coup, normalement, on devait faire une application payante à partir du 10 octobre, mais on va se donner un peu plus de temps. Je pense qu'on va mettre le paywall le 1er novembre. Comme ça, on aura vraiment eu le temps avec tous nos utilisateurs de faire le tour des choses qui fonctionnent, des modifications, si les modifications fonctionnent bien. En fait, ça, c'est le processus. Toutes les semaines, on rajoute des fonctionnalités. On en a blindé. On en a plein. C'est le truc, les gens ne se rendent pas compte. C'est que derrière, c'est un univers qu'on a créé. C'est 50 000 mots en trois langues. Parce qu'on l'a fait en trois langues. On l'a fait en anglais, en espagnol, en français. Mais 50 000 mots, c'est que l'ingénierie. On a 250 000 mots avec tout le développement. C'est une folie. C'est comme il me disait, le mec, il me dit, tu dois t'imaginer... J'ai un directeur de projet, tu sais. Il me dit, tu dois t'imaginer que là, tu as créé en fait un univers comme quand tu regardes Le Seigneur des Anneaux. Tu vois ? Donc, tu dois expliquer que telle population s'appelle comme ça, parle comme ça. Tu dois écrire le papa, le maman. Tu dois faire une terminologie, un lexique. Donc, j'ai un dictionnaire et tout. J'ai un dictionnaire. J'ai un dictionnaire. J'ai dû créer un dictionnaire. Les mecs, ils m'ont dit, il faut que tu fasses un dictionnaire. Je fais, les gars, vous êtes mignons. Je suis un crémeur. Et j'ai dû faire un dictionnaire. Donc, j'ai terminologie, dictionnaire, ingénierie, catalogue. Franchement, j'avais su. que c'était là où j'allais, franchement, je ne le savais pas. Parce qu'à la base, moi, je voulais juste créer, tu vois, une méthodologie que tout le monde puisse utiliser, etc. Mais je ne savais pas que ça allait aller aussi loin. Mais c'est passionnant. C'est vraiment passionnant. Mais c'est du taf. C'est une dinguerie. Par contre, tu sais, c'est comme quand tu fais de la construction. C'est dur. Mais quand tu te retournes, tu as construit quelque chose. Tu comprends ce que je veux te dire ? donc là à chaque fois que je bosse je bosse je retourne sur mon appli pour m'amuser faire ma séance mon truc et je vois tout ce qui change tu vois tout ce qui évolue ah bim le logo il apparaît bien là ah bim ah cette fonctionnalité ah c'est trop cool la dernière fois j'ai des évaluations à faire tu vois apparemment j'ai des évaluations à faire et j'ai des évaluations de fin de cycle à faire je vais regarder vite fait et donc c'est rigolo donc je m'amuse je m'amuse à les évaluer mais quand si tu veux mon équipe de foot à moi. C'est des présidents de clubs. Le plus jeune a 12 ans et le plus vieux doit avoir 75 ans. Et je les évalue. Donc, c'est rigolo parce qu'eux, je les ai à la maison. Ils voient, ils me zévalent. Tu vois ? C'est méga rigolo. C'est méga rigolo. Donc, des fois, ils m'envoient un texto et me disent « Hé, tu m'as mis deux étoiles sur les duels. » Et je dis « Ben, regarde les vidéos. » C'est drôle, c'est très drôle.
- Speaker #1
C'est ça, tu vas contribuer avec l'application à nourrir l'écosystème et surtout, comme on disait, mettre les enfants dehors, faciliter la vie des éducateurs, faciliter la vie journalière, on va dire, de la vie d'un club aussi. Et moi, je trouve ça super intéressant dans le sens où c'est un facilitateur énorme pour tout le monde et un moyen de mettre tout le monde au sport. C'est quand même aujourd'hui des sujets un peu plus globaux que juste ce dont on discute aujourd'hui, c'est-à-dire le foot. Il y a aussi beaucoup une démarche humaine derrière.
- Speaker #2
Tu vois, j'ai une image que j'ai partagée sur mes réseaux de mémoire. J'ai vu des dessins, des espèces de dessins gags. Il y avait un dessin qui mettait en 1995 ou en 2000. Tu voyais une maman qui prenait, qui gueulait à la fenêtre pour dire « Hé, là c'est bon, vas-y, rentre ! » Et en 2025, tu vois une maman qui prend un gamin par le cou, qui le sort de la porte et « Hé, va dehors ! » Deux images l'une à côté de l'autre. Et franchement, je la vois cette image, et je dis « Mais mon Dieu ! » Tu vois, quand tu as 20 ans, tu te dis « Ouais, à 40 ans, c'est des vieux ! » Là, tu as 40 ans, tu te dis, merde, en fait, c'est pas si vieux que ça. mais on la diff entre quand t'avais 20 et quand t'en as 40
- Speaker #0
C'est juste dingue. C'est tellement vrai. C'est tellement vrai, tu vois.
- Speaker #1
C'est tellement vrai.
- Speaker #0
C'est va dehors, mec. C'est tellement vite. Ouais. C'est fou, hein. C'est fou, hein. C'est quand tu y es que tu t'en rends compte. C'est ça, il n'y a pas de secret. Il faut faire le chemin pour après voir.
- Speaker #1
C'est ça. L'image dont tu parles, moi, ça me parle aussi. Moi, quand j'étais petit, c'était mon père qui sifflait en haut du bâtiment pour me dire qu'il fallait que je rentre. Sinon, je restais toute la journée dehors. Tant qu'il n'y avait personne qui t'avait appelé, tu restais dehors ?
- Speaker #0
Moi, c'est ce que je faisais moi aussi. Moi, je jouais dans le jardin, j'avais un but, j'avais mes voisins, je les sonnais aux portes des voisins, je n'avais pas de téléphone, rien. Je me souviens, ça a 18 ans, j'ai eu mon premier téléphone que je me suis acheté. Mais ouais, c'est fou. Les Sony Ericsson, je me souviens, c'était un pavé le truc. On peut être rassommé quelqu'un. C'est un talkie-walkie de gendarmerie aujourd'hui.
- Speaker #1
Tu ne pouvais pas le mettre dans la poche.
- Speaker #0
Non, avec l'écran, tu sais, orange-jaune. Ah, merde. C'est incroyable. Ouais, c'est vrai. Ce que je dis souvent à ma femme, j'ai mis à mes enfants, ils ont connu Netflix, Internet. Pour eux, dire Netflix, Spotify, ces choses-là, tu vois, dire OK Google, c'est banal. Tu vois, ils grandissent avec ça, quoi. Ouais. Je me rappelle la première fois que j'étais chez quelqu'un et qu'elle disait OK Google, mets la musique, je suis fait. C'est qui Google ? C'est qui OK ? C'est trop drôle. Et ce n'est pas fini. Et ce n'est pas fini parce que là, l'IA, la robotisation. J'étais en Chine récemment. J'étais à l'hôtel. Et du coup, je suis dans l'ascenseur. Et il y a cinq personnes sur leur téléphone. Moi, je suis juste comme ça sans mon téléphone. Ils s'arrêtent au 43ème étage. Et tu as la porte qui s'ouvre. Et tu as un robot qui rentre. Mais genre, les cinq Chinois... même pas ils ont levé la tête t'as un robot qui rentre dans l'ascenseur et moi je suis comme ça j'ai dit qu'est-ce que c'est que ce bordel il y a personne qui regarde et je dis attends mais c'est quoi ce truc on descend au 18ème étage tous les 5 sur leur portable tu vois même pas ils calculent la porte elle s'ouvre et le robot il se barre toujours personne qui lève la tête et je dis mais qu'est-ce que c'est donc je regarde où est-ce qu'il va et tout le reste et après je demande mais c'est quoi ces trucs En fait, c'est des livreurs de nourriture. Ils partent de la cuisine, ils prennent l'ascenseur, ils vont devant ta chambre, ça sonne, tu ouvres, tu prends et ils se barrent. Je dis, mais attendez, qu'est-ce que c'est que ce sketch ? Pareil dans la rue, tu as des voitures sans chauffeur. Quand tu vois une bagnole, il n'y a rien. Et c'est des livreurs en fait, même système que l'hôtel.
- Speaker #1
Ça, j'avais vu, j'ai quelqu'un qui m'avait envoyé une vidéo, je ne sais plus dans quel pays il était, et pareil, c'était des taxis. Tu es dans un taxi sans chauffeur.
- Speaker #0
Oui. Et là, en Chine, ils ont fait le taxi. C'est un drone, en fait, qui est un taxi-hélicoptère. Donc, en fait, c'est un drone en format hélicoptère. Tu rentres dedans, tu mets ton adresse, il décolle et il te dépose. Et tu n'as pas de conducteur, tu n'as rien. Je te dis que la présentatrice, quand il m'a montré la vidéo, mon pote, parce que je lui ai dit, mais non, ce n'est pas possible, du monde des vidéos, elle faisait pas la maline. Je te dis, elle faisait pas la maline. Tu voyais qu'elle était là. Mais bon, tout s'est bien passé, évidemment. Mais bon, si ça, ça existe, tu sais très bien où on va.
- Speaker #1
Oui,
- Speaker #0
c'est sûr.
- Speaker #1
Je pense qu'on se disait, il y a des films qu'on a tous vus où tu as une robotisation du monde qui est créée. Mais je pense qu'on tend vers ça. De toute façon, avec tous les développements technologiques, je pense que... On le voit avec l'IA, ça commence par l'IA, il y a les robots, enfin si on part de là, on peut remonter très loin, mais tu parles de l'industrialisation, il y a 30, 40, 50 ans, ça commençait par ça. Puis on y va avec les robots maintenant qui se déplacent tout seuls, l'IA qui fait ton travail de réflexion à ta place, qui te pond tout ce que tu veux. Tu peux tout créer avec l'IA maintenant. Donc, on va vers une digitalisation des procédés.
- Speaker #0
Absolument. John, c'est quand qu'on refait la prochaine alors ?
- Speaker #1
Est-ce qu'on ne ferait pas la prochaine fois peut-être des thèmes avec un plus, un deep dive en fonction des différents aspects, avec peut-être une vision plus globale de chacun des aspects ? Ça pourrait être intéressant. De rentrer un peu plus dans le contexte.
- Speaker #0
Avec grand plaisir.
- Speaker #1
Faire des petits épisodes partout.
- Speaker #0
Avec plaisir. Avec plaisir. tu me diras quel thème tu veux faire
- Speaker #1
On va découper tout ça. Sylvain, tu es dispo sur les réseaux ?
- Speaker #0
Oui, absolument.
- Speaker #1
Les gens doivent rejoindre les réseaux de DIF ?
- Speaker #0
Oui, donc DIF, on est sur Instagram, on est sur Facebook. Moi-même, j'ai un compte aussi. C'est une page Facebook qu'on a. C'est un compte Instagram. On est sur YouTube aussi. Sur YouTube, on est sur Football Avant-Garde encore. Pour l'instant, je laisse quand même, vu qu'on a quand même 11 000 abonnés, on leur laisse le temps de s'acclimater à Diff. Après, on va changer la chaîne YouTube en Diff, en fait. Et voilà. Du coup, ça, c'est pour les réseaux. Puis moi, j'ai même mes réseaux sociaux, Sylvain Dehir, sur LinkedIn, sur Insta, sur Facebook. Voilà.
- Speaker #1
Donc, toutes les personnes qui nous ont écoutés et qui peuvent être intéressées pour voir la finalisation ou l'avancée de Diff, déjà, je vous… demande d'aller voir tout ça sur les réseaux. Tous ceux qui sont intéressés, pour l'instant, du coup, on n'a pas de version globale disponible pour tout le monde. Pour l'instant, on est encore en phase de test. Du coup, tu nous disais.
- Speaker #0
Exact. Et ceux qui sont intéressés, ils vont sur doyourfootball.com. C'est un landing page. Ils vont dessus. Ils peuvent s'inscrire. Ils seront les premiers à recevoir des invitations une semaine avant tous les autres pour pouvoir aller s'inscrire sur l'application.
- Speaker #1
Ok, donc vous pouvez déjà tous aller sur les réseaux, vous préinscrire et suivre l'évolution du projet.
- Speaker #0
On a déjà 150 personnes en exat.
- Speaker #1
Magnifique, ça va continuer à grandir. N'hésitez pas aussi à revenir vers nous en commentaire, à dire quel type de procédé pourrait vous intéresser, qu'est-ce que vous trouvez intéressant sur l'application et quel type de procédé vous aimeriez voir. ou entendre en tout cas en podcast, savoir qu'est-ce qui est possible de faire potentiellement pour les prochains épisodes. Sylvain, je te remercie beaucoup. Je te dis à très vite et on va pas tarder à clôturer ce premier épisode ensemble.
- Speaker #0
Je te remercie beaucoup, John. C'était un super moment. Quand tu veux, remets ça. Quand tu veux.
- Speaker #1
Allez, merci à tous d'avoir pris le temps d'écouter ou d'avoir vu la vidéo. Et encore une fois, allez vous rapprocher des réseaux de DIF. N'hésitez pas à vous abonner aussi au podcast Football Club. sur les réseaux aussi disponibles un peu partout. Et on vous dit à très vite.
- Speaker #0
Ciao, à bientôt.
- Speaker #1
Ciao.
